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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Octobre 2005: Archive jusqu'au 13/octobre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 12 octobre 2005 - 05h30:

Pas de solution (info # 011110/5) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



A la Ména, la majorité des analystes, des journalistes et des reporters a beaucoup d’estime pour le président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas. Il me suffit de rappeler aux oublieux que nous fûmes les premiers à annoncer qu’Abbas allait être choisi par Arafat pour être le premier premier ministre de l’AP et que nous nous en réjouîmes. C’était à une époque où les relations entre les deux hommes étaient à couteaux tirés – ce qui s’avéra comme une constante avec le recul dont nous disposons aujourd’hui –, et notre révélation nous avait valu un concert de ricanements auprès de ceux qui préfèrent se dessiner les événements du Moyen-Orient plutôt que de les observer. A la même période, nous fûmes aussi les seuls à faire état des déclarations de M. Abbas, lorsqu’il affirmait, au faîte des violences palestiniennes, la nécessité de mettre un terme à l’Intifada. Autant dire que nous n’avons jamais douté de la volonté d’Abou Mazen de faire cesser le terrorisme et de négocier, pacifiquement, le statut final de la région, avec, en point de mire, la solution des deux Etats distincts pour deux peuples différents.



En tant qu’observateurs pragmatiques de la situation, juifs et arabes, nous espérions – et nous espérons encore ! – le succès du président palestinien.



Aujourd’hui toutefois, il est de notre devoir, forts des informations dont nous disposons, d’avertir nos lecteurs que les augures sont fortement défavorables, pour ne pas écrire que les carottes de M. Abbas sont presque cuites, autant que l’avenir du système de gestion de la Palestine, tel qu’il a été mis en place à la Moukata de Ramallah. En quatre vocables : ça ne marche pas !



Je rédige cette synthèse pessimiste après avoir recueilli les avis des gens du terrain, ceux qui respirent, jour après jour et depuis des années, l’air qu’on respire à Gaza et dans les territoires palestiniens de Cisjordanie. Et je n’ai pas fait qu’écouter les points de vue de Sami El Soudi et des autres témoins de la Ména sur place, je puis vous l’assurer. J’ai consulté le panel le plus large possible d’opinions, ce, incluant celles de reporters étrangers couvrant la réalité palestinienne au quotidien, ainsi que celles des responsables sécuritaires et politiques israéliens et palestiniens. Leurs impressions convergent. Elles sont même identiques.



Et la synthèse de cette prise de température est la suivante : la capacité d’Abbas à établir son contrôle sur les territoires soumis à son autorité et sur ceux qui pourraient lui être transférés est inexistante. Il est impossible pour lui, et pour l’AP, à la fois de désarmer les intégristes et de mettre fin aux batailles intestines qui ensanglantent la communauté palestinienne. Ce n’est pas une question de nombre de fusils, ni de nombre d’hommes à disposition, c’est une affaire d’absence de leadership, de foisonnement d’intérêts claniques et de conquêtes de petits privilèges. Pour ne rien arranger aux affaires palestiniennes et régionales, Abbas ne dispose d’aucun appui significatif dans sa société archi-tribalisée. Il est seul. Seul au point d’être incapable d’assurer sa propre sécurité au sein même de la Moukata ou aux abords de son domicile.



La nouveauté contenue dans cette synthèse, c’est qu’il est illusoire d’attendre des choses qu’elles s’arrangent. En fait, pour suivre tous nos indicateurs, la situation est destinée à empirer ; elle déchoit vers l’anarchie absolue dans les territoires palestiniens. Le chaos. Déjà Mahmoud Abbas n’est qu’un général sans armée, ne serait-ce le respect qu’il m’inspire, j’écrirais une poupée de chiffons. Une poupée qui s’exprime, certes, et qui articule des propos pleins de bon sens. Mais ces propos, justement, sont à mille lieues de la réalité que tout observateur un peu exercé peut découvrir en regardant Gaza. A mille lieues de toute applicabilité.



Disons-le sans détours inutiles, la police palestinienne ne vaut rien ; elle est incapable d’effectuer la moindre opération offensive. Les bandes armées non plus, qui ne comptent parfois guère plus de 30 membres, d’autres, une centaine. Et elles pullulent. Et si elles ne sont pas à même non plus de mener des opérations offensives, elles peuvent cependant tout à fait se livrer à des coups de main et à des règlements de comptes, comme dans le cas de l’élimination de Moussa Arafat. Les Forces de sécurité ne disposent ni du commandement, ni de l’organisation, ni des ressources humaines nécessaires à empêcher ces actions qui sont largement plus mafieuses que politiques.



Dans les territoires on ne discute pas du tracé des futures frontières avec Israël mais du moyen de s’approprier le contrôle d’un camp de réfugiés, d’une rue, ou d’un peu d’influence.



Au centre de cette gabegie deux groupes armés tirent leur épingle du jeu : le Hamas et la Sécurité Préventive aux ordres de Mohammed Dahlan. Le Hamas dispose de deux avantages, celui de pouvoir compter sur des membres fanatisés et donc mobilisés en permanence, et celui d’être organisé et de posséder l’expérience du combat. Pour illustrer cette constatation, le reporter-correspondant d’un media français qui a, à son actif, un an et demi de vie à Gaza, m’a gratifié hier de la formule suivante : "les types du Hamas qui n’étaient pas au point ont tous été liquidés par Israël. Ceux qui restent sont passés experts en camouflage et en méthodes de survie. Pendant qu’ils acquéraient leur expérience au combat, les policiers palestiniens séchaient en piges inutiles dans leurs Jeep au soleil".



Il s’agit d’une image précise de la situation, la police palestinienne, en dépit de son surnombre, n’est pas de taille à désarmer les miliciens intégristes, il faut s’en faire une raison.



Quant à la Sécurité Préventive, elle est la mieux armée, la plus disciplinée et la mieux encadrée de toutes les formations sécuritaires palestiniennes. Sur l’ordre de Dahlan, elle pourrait – certes au prix de violents affrontements – s’emparer du contrôle des territoires palestiniens. Assurément, mais la Sécurité Préventive et ses mille cinq cents hommes reste complètement à l’écart du tumulte ; elle laisse faire. Ses membres passent leurs après-midi et leurs soirées à d’interminables parties de poker, tandis que les officiers fréquentent le centre équestre, soignent leurs uniformes et abordent les filles de l’élite économique palestinienne.



Dahlan ne joue que sa carte, expliquent tous les observateurs sur place, il attend son heure. Il aspire à bien plus qu’à un titre raccommodé de ministre de second rang, poursuivent les reporters, il attend que l’Autorité Palestinienne s’écroule sur ses dirigeants ou que, juste avant que cela ne survienne, on l’appelle – de Ramallah, mais aussi de Washington et de Jérusalem – pour sauver la baraque en jouant monsieur providence.



"Mais cela signifierait la fin de l’Autorité Palestinienne à vocation démocratique, telle qu’on la saisit aujourd’hui", prévient Sami El Soudi, "si Dahlan intervient, ce sera avec les méthodes Dahlan, quelque chose qui ressemblera à la répression de Septembre noir, menée sans grande parcimonie par les bédouins du roi Hussein. Ce ne sera pas pour remettre les clés d’un Etat pacifié aux politiciens de Ramallah qu’il méprise, mais pour les garder. Ce sera une autocratie paramilitaire de type dictature arabe et rien d’autre", ponctue notre confrère, qui sait habituellement de quoi il parle.



A Jérusalem, on a bien compris la gravité de la situation et, pour le comité restreint des conseillers stratégiques de Sharon, qui siègent presque en permanence, l’enjeu est simple et précis et il s’intitule : "Comment sauver Abbas ?"



J’ai eu ce matin une intense conversation avec l’un de ces collègues analystes stratégiques. Autant dire qu’ils n’ont pas trouvé la solution miracle et qu’ils doutent qu’elle existe. Ce gouvernement est prêt à transférer à Mahmoud Abbas la totalité des agglomérations palestiniennes de Judée-Samarie pour autant qu’il puisse y maintenir l’ordre et à engager avec lui la négociation sur la résolution finale du conflit, dans les mêmes conditions. Mais on est très loin du compte, m’a confié mon interlocuteur.



Ces derniers jours, se sont déroulées plusieurs rencontres avec Saëb Erekat, le ministre palestinien chargé des contacts avec Israël. Erekat est venu présenter aux Israéliens une liste de requêtes censées "donner de l’air à Abbas". Au cours de l’une des discussions, l’un des négociateurs de Sharon a proposé, en signe de sérieux et de bonne volonté, de remettre à l’AP "en une fois, toutes les villes palestiniennes de Cisjordanie". Erekat a souri : "et que voulez-vous qu’on en fasse", aurait-il rétorqué, "nous n’avons pas le début de la capacité d’en assurer le contrôle, accepter serait suicidaire".



L’heure est très grave. Les Israéliens, Shimon Pérès en a parlé ce matin, sont en train de considérer la requête d’Abbas de libérer vingt terroristes, dont la plupart a du sang sur les mains, selon la formule consacrée. En situation normale, Jérusalem aurait rejeté cette demande sans même l’examiner mais nous ne sommes pas "en situation normale". Les conseillers ne sont toutefois pas persuadés de l’opportunité de relâcher ces criminels, ils doutent que cela renforcerait Abbas, considérant que, dans la dialectique des intégristes palestiniens, ce geste pourrait être exploité comme une justification de l’Intifada et comme un signe de la faiblesse d’Israël. Cela pourrait donner un bol d’air au Hamas plutôt qu’à Abou Mazen, explique mon confrère.



Oui mais que faire ? Faute d’agir, Mahmoud Abbas va s’enfoncer et tous ici savent qu’intellectuellement et conceptuellement, il est l’interlocuteur palestinien valable et honorable dont Israël attendait l’émergence depuis des décennies.



En tous cas, dans l’entourage de Sharon et dans celui de Bush – qui va recevoir le président de l’AP très prochainement – on a compris que rien ne sert d’exiger de sa part qu’il neutralise les organisations terroristes. Il voudrait bien, mais il est loin d’en avoir les moyens. Certes, l’exigence provisionnée dans la Road Map de ce que les Palestiniens désarment les terroristes, demeure comme préambule à l’ouverture des négociations sur le statut définitif. Car, stratégiquement, il inutile et même périlleux de négocier avec un partenaire qui ne se trouve pas en situation de réaliser sa part du contrat.



On saisit ici tout l’espace qui peut exister dans la réalité entre la nécessité de s’en tenir à une doctrine stratégique juste et celle, beaucoup plus urgente, de sauver la tête de son interlocuteur. Faute d’interlocuteur, une doctrine, aussi bonne soit-elle, ne sert plus à rien…



Alors, dans cette situation au demeurant inextricable, j’entends dire à des experts, maîtres de la raison et des solutions rationnelles, que "seul un miracle pourrait sauver l’AP et les chances d’établir la paix dans cette région du monde". Peut-être une intervention américaine ? européenne ? euro-américaine, pour instaurer le contrôle de Mahmoud Abbas en Palestine ? Avec la guerre contre les intégristes, qui dure en Irak, ce me semble une option difficilement réalisable.



Sinon… ni les politiciens, ni les analystes, ni les reporters, ni les journalistes les mieux au fait de l’équation palestinienne ne possèdent la moindre idée de la manière d’éviter le désastre. Et, vous l’aurez compris, à l’heure de vérité, notre incompétence est extrêmement préoccupante.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 octobre 2005 - 02h49:

Finzi vous non plus ne semblez pas savoir lire.. Je n'ai pas en particulier recommande ce site; j'ai recommande de voir cet extrait video de l'emission d'Ardisson.. Nuance..
Peu importe le site sur lequel je l'ai trouve..

Les adratiques seraient-ils devenus trop politiquement correct??? boring...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 12 octobre 2005 - 03h16:

Nao! Mais qu'est-ce que c'est que toute cette histoire? On recommence avec la gauche qui nous avait fait tant de salades avec Oslo. La gauche qui se reveille a nouveau! Attendez que les Americains se rendent compte que la gauche americaine est menee par la gauche juive qui se faufile dans les rangs des democrates et des hommes de couleurs pour que les Etats Unis se tournent vers la gauche.

Nao laisse tomber, Ils croient connaitre le bon chemin et croient pouvoir nous devier dans leur philosophie. Depuis quand on veut interdire la libre expression? On est pas en France.

Tant qu'il n'y a pas des regles qui gouvernent ce sujet, recommande ce que tu veux et comme disait "Simon" ZL heureusement qu'on a la fleche pour passer outre. En tunisien on dit " Ekteb Ala Keifek Ou Elbess Ala Keif Enass" Ecrit a ta guise et habille-toi selon la mode du public.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 octobre 2005 - 01h10:

et aussi lu sur occidentalis:

La pression islamiste dans des entreprises
Posté le Mardi 11 octobre 2005 @ 20:04:16 par Marianne

Un rapport récemment effectué pour plusieurs entreprises françaises, et dont l'AFP a pris connaissance, révèle la "pression islamiste" qui s'exerce dans certaines entreprises de la grande distribution et de la sécurité, notamment par le biais d'un "prosélytisme militant et contestataire".

Ce "rapport de recherche" a été écrit par Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), à partir d'entretiens avec des policiers, des cadres d'entreprises et des élus locaux, et d'enquêtes sur le terrain.
Le texte d'une trentaine de pages, daté de septembre, constitue une "version révisée" d'une étude de 2004 sur la montée de l'islamisme dans la société française, réalisée pour le compte d'entreprises de la grande distribution et du transport de colis - dont les noms n'ont pas été révélés - afin de déterminer les "impacts possibles" sur leurs activités.

Selon ce rapport, la stratégie de la "poussée islamiste" dans les entreprises passe par trois étapes : le prosélytisme religieux, la prise de contrôle de la communauté musulmane dans l'entreprise, et la remise en question de ses règles de fonctionnement pour imposer les valeurs islamiques.

Les exemples sont nombreux, même si encore peu d'entreprises acceptent de les évoquer ouvertement", souligne ce rapport, qui cite la découverte d'une "dizaines de salles de prières clandestines à EuroDisney" ou le cas, en 2002, du président d'une société de fret à l'aéroport de Roissy, employant 3.000 personnes, qui s'est plaint auprès des Renseignements généraux (RG) de "l'implantation d'un petit groupe de confession musulmane décidé à imposer leur mode de travail sous la menace de grèves à répétition".

Des postes cibles

Le rapport relève que la grande distribution apparaît comme la plus concernée. "De nombreux hypermarchés observent que les employés les plus engagés dans le prosélytisme islamique cherchent systématiquement" à occuper les postes de standardistes, de chauffeurs-livreurs, de coursiers, de caissières ou de sécurité, "qui permettent des échanges d'information, d'argent et de marchandises".

Par ailleurs, les "beurettes" des grandes surfaces constituent "la nouvelle cible des islamistes", écrit Eric Denécé. Il cite plusieurs cas, dont celui d'un hypermarché de Livry-Gargan où deux caissières qui refusaient de porter le voile sont "considérées comme étant séquestrées par leur famille", aucun contact n'ayant pu être établi avec elles après leur départ normal, un soir, du magasin.

"Cette montée en puissance de l'islamisme radical" représente "une nouvelle menace qui peut menacer l'intégrité de l'entreprise" et "qui doit être assimilée à un risque sectaire davantage que contestataire", assure le rapport. Il propose donc de "traiter ce risque de la même manière que les risques représentés par l'Eglise de la Scientologie ou les autres sectes".

Par ailleurs, à côté de ces "risques sectaires", le rapport observe "la multiplication de pratiques criminelles" dans ces entreprises : vols dans les stocks; cambriolages dans l'entreprise, ses fournisseurs ou les transporteurs de fonds grâce à des informations provenant de l'intérieur de la société ou d'entreprises sous-traitantes; détournements de fonds sur des sommes en liquide à la caisse; détournement et falsification de chèques".

"Ces pratiques ont deux finalités, la délinquance utilisant l'islam comme prétexte et le financement local du terrorisme", ajoute le rapport.

AFP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 octobre 2005 - 01h04:

Ce qui est interessant avec les gauchos bien pensants, c'est qu'ils trouvent tjrs les "autres" etre des mechants racistes et haineux mais ca ne leur viendrait jamais a l'idee d'analyser et de blamer le comportement detestable et agressif de ceux qu'ils defendent corps et ame.. C'est a sens unique..
Pff vraiment pathetique...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 12 octobre 2005 - 00h27:

Tiens Omega reapparait.. Pourquoi vous sentez vous vise et insulte par ces qualificatifs??

Vous pouviez vous limiter a ignorer le site de France Echos (quoi que les gens de ce site ne sont pas plus racistes que ceux qu'ils insultent by the way..) et juste ecouter les balivernes style love and peace de Bedos et Robin sur Ardisson..
C'etait ca qu'il fallait faire. Rien de plus..

PS: Si ca vous chante, je vous autorise a me traiter d'extreme-droite, fasciste, raciste primitif et puante mais pas d'antisemite....
merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Finzi (Finzi) le mercredi 12 octobre 2005 - 00h14:

Je suis choquée et scandalisée par le site que NAO nous a recommandé.
Je ne pensais pas que je verrais ça sur Harissa ...
YUK !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 11 octobre 2005 - 22h38:

Pour Omega, que pensez-vous si on interdisait le site de Daniel Pipes sur ce forum ? Ainsi on aurait qu'une seule version progressiste de l'info "droit de l'hommiste", altermondialiste, bien pensante, marxiste, gauchiste... En résumé, la nouvelle maladie mentale de l'occident !


DES MONSTRES !!!


Tourisme sexuel arabe

par Daniel Pipes
FrontPageMagazine.com
7 octobre 2005

Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Les médias indiens ont publié des révélations sur le comportement peu reluisant d'Arabes du Golfe dans la ville de Hyderabad, au sud-est de l'inde. «Jeunes mariés d'une nuit», par R. Akhileshwari dans le Deccan Herald, et «Une fille mineure, beaucoup d'Arabes» par Mohammed Wajihuddin dans le Times of India, en sont deux exemples notables. Wajihuddin commence par poser le décor:

Ce sont de vieux prédateurs animés d'une vigueur nouvelle. Souvent barbus, toujours en robes flottantes et turbans luxueux. Les riches Arabes d'âge mûr sont de plus en plus nombreux à rôder dans les quartiers défavorisés de Hyderabad, tels des monarques médiévaux flânant dans leur harem, ramenant dans ce siècle des temps que nous avions tort de croire engloutis par l'histoire. Ces Arabes gonflés au viagra commettent un crime manifeste sous le couvert du nikaah, la réglementation islamique du mariage.

Ensuite, il expose le nœud du problème:

Abusant des dispositions autorisant un Musulman à avoir quatre épouses en même temps, de nombreux Arabes âgés non seulement épousent des mineures à Hyderabad, mais en épousent parfois même plus d'une par session. «Les Arabes préfèrent les mariées adolescentes, et vierges», déclare Jameela Nishat, qui conseille et sensibilise les jeunes femmes sur ce thème déplaisant.

Généralement, les Arabes «épousent» les jeunes filles pour de courtes périodes, parfois juste pour la nuit. Wajihuddin précise que les formalités de mariage et de divorce sont souvent préparées en même temps, afin d'accélérer la procédure pour tous les participants. Akhileshwari observe que «leurs filles sont soumises à la concupiscence de vieux Arabes gâteux pour à peine 5000 roupies». Ce montant représente moins de cent euros.

Une chaîne de télévision indienne relata récemment le cas d'une présentation de huit futures mariées potentielles, mineures pour la plupart, au cours de laquelle elles furent offertes à leurs soupirants arabes. «Cela ressemblait à une maison de passe. Les filles durent défiler devant les Arabes qui soulevaient leurs burka, passaient la main dans leurs cheveux, étudiaient leur allure et conversaient avec elles par l'intermédiaire d'un interprète», se rappelle l'un des assistants de Nishat.

Wajihuddin décrit également un cas spécifique:

Le 1er août, un cheikh des EAU âgé de 45 ans, Al Rahman Ismail Mirza Abdul Jabbar, prit contact avec un «négociant» spécialisé de 70 ans, Zainab Bi, dans la vieille ville, près du quartier historique de Charminar. Celui-ci lui procura Farheen Sultana et Hina Sultana, âgées de 13 à 15 ans, pour vingt mille roupies [370 euros]. Puis il loua les services du kadi [juge islamique] Mohammed Abdul Waheed Qureshi pour prononcer le mariage. Le kadi, invoquant une disposition du droit islamique, maria les filles à l'Arabe, qui quitta les lieux dès l'aube suivante, après sa nuit de noces.

Voilà pour le «mariage».

Sunita Krishnan, directrice de Prajwala, une ONG luttant contre le trafic humain, insiste sur le fait, hélas trop évident, que les jeunes filles ne sont pas appréciées. «Lorsqu'une jeune fille est vendue ou que sa vie est ruinée, ce n'est pas un malheur national. C'est pourquoi le phénomène est ignoré tant par la communauté concernée que par la société en général.» À l'exception de Maulana Hameeduddin Aqil, qui dirige Millat-e-Islamia (une organisation locale, apparemment sans lien avec le fameux groupe terroriste pakistanais) et qui condamne ouvertement ces simulacres de mariage («Ils commettent un péché. Ce n'est pas le nikaah, c'est de la prostitution qui ne dit pas son nom»), les autorités islamiques d'Inde sont presque toutes silencieuses devant cette caricature de la charia.

Les politiciens musulmans de la ville de Hyderabad ne semblent pas s'inquiéter outre mesure. «Cette affaire ne figure au programme d'aucun politicien», affirme Mazhar Hussain, directeur de la Fédération des associations de bénévoles, une organisation d'aide sociale. Le Majlis-e-Ittihadul Muslameen (MIM), principal parti musulman de Hyderabad, est parfaitement insouciant: «Il est indéniable que de nombreuses familles ont vu leur destin changer à la suite de tels mariages», déclara ainsi en souriant le président du MIM, Sultan Salahuddin Owaisi.

Commentaires:

(1) L'ironie du sort veut que les filles ainsi offertes semblent être toutes musulmanes – les filles hindoues ne sont pas admises.

(2) Le comportement des Arabes en Inde ressemble en partie à celui des Japonais et des Occidentaux en Thaïlande. Mais le cas indien présente des différences notables: il concerne des mariages, avec un fort accent sur la virginité, et les autorités locales semblent se réjouir du fait que leurs mineures alimentent ainsi le tourisme sexuel.

(3) Le tourisme sexuel arabe n'est pas limité à l'Inde; il existe également dans d'autres pays pauvres.

(4) Ce négoce de personnes n'est qu'un aspect d'un problème qui se fait sentir partout en Arabie Saoudite et dans les États du Golfe (pour une autre dimension, voir «Les Saoudiens importent des esclaves aux États-Unis»).

(5) Concubinage, travail forcé, servitude contractuelle, esclavage: ces problèmes profonds ne sont pratiquement pas abordés – et encore moins traités – dans la région du Golfe. Un théologien saoudien de premier plan a même été jusqu'à affirmer que «l'esclavage fait partie de l'islam» et que quiconque souhaite son abrogation «est un infidèle». Aussi longtemps que de telles déclarations pourront être proférées publiquement, et impunément, les abus continueront.

(6) L'hypocrisie qui caractérise ce commerce est peut-être son aspect le plus détestable. Mieux vaut une prostitution affichée qu'une parodie de mariage religieux, car si la première est reconnue comme un vice, la seconde se pare, en plus, des attributs de la vertu.

(7) Wajihuddin compare les hommes arabes à des «monarques médiévaux» et l'analogie est correcte. Ces transactions impliquant des mineures musulmanes et effectuées sous les auspices de la loi islamique montrent une nouvelle fois à quel point le monde musulman est dominé par des usages d'une autre époque et combien il est urgent de moderniser la religion islamique.

De http://fr.danielpipes.org | Article original à l'adresse suivante: http://fr.danielpipes.org/article/3023

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 11 octobre 2005 - 22h22:

http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2479&thold=0,http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2479&thold=0


Du fatalisme au fanatisme.


par Albert kehl.


Toutes mes excuses tout d'abord à l'auteur de cet article pour avoir tardé à le mettre en ligne, d'autant plus qu'il propose une excellente analyse du comportement musulman à travers les siècles... Un texte à lire absolument !

L'Islam fait beaucoup parler de lui depuis la fin de la seconde guerre mondiale, et cela dans bien des pays : Liban, Afghanistan, Soudan, Indonèsie, Algèrie, Serbie... et cela, par des actions de guerre ou de terrorisme accompagnées d'atrocités particulièrement révoltantes : mutilations diverses, sexuelles notamment, égorgements sauvages, viols, éventrations...

face à cette barbarie d'un autre âge, particulièrement inquiètante vu l'importance des fidèles de cette religion résidant actuellement en Europe et notamment dans notre pays beaucoup désireraient conjurer ou au moins tenter de détourner cette épée de Damoclès suspendue au-dessus de nos têtes en mettant leur espoir dans un Islam de paix, dans un Islam citoyen selon l'expression en vogue.


Ils pensent qu'il suffirait de nommer à la tête des fidèles de l'islam, des imams décidés à promouvoir cet islam de rêve. est-ce souhaitable ? assurèment ! Qui n'y souscrirait pas ? Est-ce réalisable ? C'est là, la vraie, la seule question à se poser !

L'Histoire de l'Islam comprend des époques guerrières et des périodes de paix. Donc, à priori, l'espoir d'une solution heureuse n'est pas à repousser. Reste à comprendre le pourquoi de ses accès de fièvre et les raisons de ses périodes de paix. La réponse ne peut se trouver que dans l'ouvrage du prophète Muhammad, dans ce Coran qui, d'après les imams répond à l'essentiel des questions concernant la communauté des "soumis" et donc, parmi celle-ci : la guerre mais aussi la paix !

on remarquera, tout d'abord, que si on cite souvent des versets du Nouveau Testament qui appellent à l'amour du prochain, on ne parle JAMIS de versets coraniques semblables qui inciteraient aur espect de la vie d'autrui. Et cela, pour la simple et bonne raison qu'il n'y en a pas ! Le Coran n'est pas un livre de paix, mais de guerre et nombreux sont les versets qui appellent délibérément au meurtre des mécréants.

Sans doute le rôle des imams est-il important, primordial même puisque le Coran fait obligation aux fidèles, aux "soumis" de leur obéir en tout : Sourate 4, verset 59 : "Oh ! les croyants ! Obéissez à Dieu et obéissez au messager et à CEUX d'entre vous qui détiennent le commandement".

Quant aux ordres de meurtre, en voici quelques-uns :

- sourate 4, verset 89 : "Ne prenez pas d'amis chez les mécréants... s'ils tournent le dos, saisissez-les alors et tuez-les où que vous ls trouviez".

- sourate 9, verset 5 : "[...] tuez ces faiseurs de Dieux où que vous les trouviez".

- sourate 33, verset 61 : "Ce sont des maudits, où qu'on les trouve, ils seront pris et tués de tuerie".

Les imams se trouvent donc, en permanence, confrontés à l'ordre d'avoir à tuer l'infidèle, à la rigueur, d'avoir à faire de lui un "dhimmi", un citoyen diminué et cela sans pouvoir opposer d'autres textes qui inciteraient à l'amour du prochain comme "on" ou "ils" le laissent supposer pour faire croire en l'émergence possible d'un Islam paisible. Mais sur quelles bases les imams décident-ils de la paix ou de la guerre ? La philosophie musulmane est simple : Les fidèles ne sont que des instruments dans la main d'Allah, des "soumis". "inch llah !" "S'il plait à Dieu !" est une de leurs expressions favorites car ce dernier est le dispensateur du bien comme du mal.

Voyons-en l'application dans l'histoire : lorsqu'en 632 Muhammad mourut, il venait de conquérir et d'islamiser la péninsule arabique toute entière. Il se trouva qu'à cette époque, la plupart des pays limitrophes étaient particulièrement affaiblis. Les chefs qui succédèrent au Prophète en conclurent qu'allah avait suscité cette situation favorable et puisque le Coran l'ordonnait, ils déclarèrent aussitôt, dans la foulée, le "Jihad", la guerre sainte. Nous noterons que l'Arabie n'était nullement agressée, pas même menacée par qui que ce soit, ou en quoi que ce soit...

L'Egypte était en pleine déliquescence, ce fut un jeu d'enfant de l'occuper. Les Bysantins n'en pouvaient plus, eux aussi, des dissensions internes. C'est donc en direction de la Syrie, de la Palestine, de la Turquie.. mais aussi, dans le même temps, en direction du Maghreb que s'élancèrent les premières vagues islamiques avec, ne l'oublions pas, les massacres, les pillages, les prises d'esclaves et les destructions, souvent les dévastations, comparées à celles des sauterelles par l'historien Ibn Kaldhoum. Il s'agissait de conquérir des terres pour l'Islam, pour la plus grande gloire d'Allah, mais aussi pour en profiter... les musulmans tués au combat étaient assurés, pour leur part, en récompense, d'accèder à un Paradis peuplé de femmes vierges et de jeunes garçons !

FANATISME ! dira-t-on sans doute ? Nous noterons cependant que lorsque Charles Martel les repoussa en Espagne et, plus tard, lorsque les Espagnols les refoulèrent en Afrique du Nord, ce fanatisme fera place, tout naturellement au FATALISME.

Dieu en a décidé ainsi, inclinons-nous ! Ce sont les deux facettes de l'Islam ! Fanatisme en réponse à la faiblesse ! Fatalisme face à la force ! C'est la raison pour laquelle la paix française put régner sur le Maghreb durant plus d'un siècle : tant que la France affirma son autorité et l'exerça...

Quand les imams décèlent une faiblesse dans les pays où les musulmans cohabitent avec des fdèles de religions différentes, c'est aussitôt le Jihad qui s'impose. Il en va de même lorsqu'il s'agit d'un peuple voisin affaibli car la possibilité de l'attaquer est offerte par Dieu dans l'esprit des imams et qu'il faut donc profiter de l'occasion. C'est aussi simple que cela !

Les années passèrent... vint alors la seconde guerre mondiale. L'Europe, en général, la France en particulier, en sortirent humiliées. Les conditions devenaient favorables à une reprise de la Jihad. Les derniers combats se terminaient à peine en Europe que le fanatisme réveillé par les imams se manifesta en Algérie, dans la région de Sétif, par des violences inouïes (égorgements, viols, incendies), en mai 1945...

Commença, alors, ce qu'on appela la décolonisation. L'Islam récupéra facilement les territoires conquis après la mort du Prophète quelques siècles auparavant : Lybie, Egypte, Ethiopie, Syrie, Liban, Afrique Noire, Tunisie et Maroc. Seule, l'Algérie déclarée territoire français résista au terrorisme islamique pour finalement, après la capitulation d'Evian, retourner dans le giron de l'Islam.

La grande aventure européenne en terres islamiques, autrefois chrétiennes, ne l'oublions pas ! engagée pour se défendre des incursions musulmanes et protéger le commerce en Méditerranée se terminait. Avec elle cessait la période de paix : celle du fatalisme !

Celle du retour au fanatisme venait de la remplacer. L'Histoire la retiendra comme la 2ème grande vague islamique de conquètes. La faiblesse de l'Europe et de la France étant toujours évidente, les imams, sans appeler ouvertement à la guerre (la force des armes n'étant pas en leur faveur) se contentent d'encourager les fidèles à "monter" dans notre pays. "Nous prendrons la France avec le ventre de nos femmes" avait même déclaré un tract du FLN au lendemain de la capitulation d'Evian...

Depuis, tout normalement, la nouvelle marche de l'Islam vers l'Europe s'exécute, comme autrefois, selon les 2 mêmes axes :

- du Sud au Nord, par les peuples du Maghreb et d'Afrique Noire

- de l'Est vers l'Ouest, par des populations turques : les uns et les autres, essaimant, au passage, selon leurs parcours, en Espagne, en Italie, en Allemagne et poursuivant vers la Belgique et les pays nordiques.

Pour les musulmans, il ne peut que s'agir là d'un véritable miracle divin, que cette montée, que cette installation, sans coup férir, sans combat, sans se voir opposer le moindre réflexe de défense, de millions et de millions d'entre-eux : qui pis est, avec, tout au contraire et tout à fait contre nature, l'approbation véhémente des gouvernements actuels, des religions chrétiennes et judaïques, sans parler des média unanimes et d'une intelligentsia qui feint de ne rien comprendre à ce qui se passe, comme sous "influence". Un phénomène d'auto colonisation dont il n'est aucun autre exemple à cette échelle, dans l'histoire de l'humanité !

Aussi, ne nous étonnons pas si l'Islam, bien attiédi au temps de la colonisation française où la fréquentation des mosquées était au plus bas, connaît sur notre sol un extra-ordinaire regain d'intérêt de la part des fidèles musulmans sidérés à la vue de ce continent qui s'offre à eux... ou plutôt qu'Allah leur offre...

Ne nous étonnons donc point si cette situation a suscité déjà la montée du fanatisme par des actions terroristes encore rares, mais suceptibles, à tout moment, au moindre appel des imams, d'une ampleur encore insoupçonnée. Les sentiments religieux exacerbés par cette faiblesse et le mépris qu'elle negendre chez ce peuple qui n'admire rien tant que la virilité et le courage, ne peut qu'en pousser beaucoup à l'action, au désir de se signaler aux yeux d'Allah par des actions d'éclat.

sans doute dira-t-on, et c'est vrai, qu'il y a des musulmans "européanisés" qui se désolent de cela et notamment, déjà, des prémices que constituent l'engagement des "jeunes" dans les actions violentes que l'on sait : non seulement contre les biens matériels des autochtones, mais aussi moraux (mépris, injures et même violences physiques envers les représentants de l'ordre et jusqu'aux enseignants, comme en Algérie voici peu encore). Tout cela ne faisant que traduire l'impatience, pour l'instant contenue, de bien des adultes...

Mais, ils savent bien, ces hommes de bonne volonté, qu'ils ne peuvent RIEN contre le LIVRE, contre le CORAN et contre le fait que même si, eux, désiraient résister à la tentation, il y en aurait TOUJOURS d'autres pour tenter l'aventure à l'appel des imams, au nom d'Allah et peut-être eux-mêmes, finalement, ne serait-ce que par crainte d'avoir à subir le sort des harkis, eux-aussi, voulaient la paix française au temps de la guerre d'Algérie et qu'on livra au fer des égorgeurs...

Que nous réserve donc l'avenir ? Un sursaut d'autorité et de fermeté sans concession de la part de ceux qui nous gouvernent, ce qui raménerait le calme, l'obéissance à nos lois et donc le fatalisme pour un temps parmi la population musulmane ou la continuation du laisser-aller, du renoncement et de l'humiliation, avec au bout du fanatisme déchainé, la conversion à l'Islam ou la condition de "dhimmis" sur notre propre sol jusqu'à des temps indéfinis...

La seule solution vraiment efficace, la seule digne pour nous, peuples d'Europe, demeurant le retour, dans leurs pays d'origine, de l'immense majorité d'entre-eux ! ... car la menace musulmane demeurera tout autant que le Coran qui appelle au meurtre des mécréants, ne sera pas interdit dans nos pays et que des imams continueront à l'enseigner !

Albert Kehl.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 11 octobre 2005 - 21h30:

Axelle, dans le calendrier hébraïque Joseph Bloch 5766 il est indiqué pour Bruxelles
Allumage des bougies et début du jeûne : avant 18h39.

D'autre part on précise les horaires de villes françaises par rapport à Bruxelles

Valenciennes : 3 minutes après Bruxelles
Lille et Douai : 5 min
Arras : 6 min
Dunkerque : 8 min
Calais : 10 min
Boulogne-sur-Mer : 11 min

Cela permet de prévoir l'heure du repas en conséquence.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Omega (Omega) le mardi 11 octobre 2005 - 20h10:

Je prefere 1.000.000 de fois etre un artiste "droit de l'hommiste", altermondialiste et bien pensant, gauchiste attarde mental et has been plutot que de recommender des sites d'extreme-droite, fascistes, racistes primitifs, antisemites et puants.

OMEGA

PS : Ce site France-echos ne devrait pas avoir sa place sur ce forum.

PS2 : Je croyais que les insultes personnelles etaient interdites sur ce forum