Par Braham (Braham) le dimanche 16 octobre 2005 - 17h56:

Le Coing Tune, bronzé au Girofle et coupé en 2 après Kippour.

Par Davideden (Davideden) le dimanche 16 octobre 2005 - 16h42:

De temps en temps on recoit par mailroom des commentaires provocatifs sur la Tunisie "pays de tolerance" et sur ces Juifs qui en ont disparus pour raisons peu claires.

La Tunisie est le pays de l'homogeneite religieuse, du racisme sournois, spoliation et eviction des Juifs.

Par Meyer (Meyer) le dimanche 16 octobre 2005 - 16h52:

Une famille interdite de prière au kotel (suite).

Personne n'a jeté "l'opprobre sur tout un public" !! Uniquement sur tous ceux qui ont aggressé le général et sa famille. Un tel fait commis en dehors d'Israel serait condamnable (judiciairement), et pas s'il a lieu au kotel, ou alors on lui trouve des excuses ??

L'officier a appliqué les décisions d'un gouvernement démocratiquement élu.

Les "rabbins" qui manipulent les voyous aggresseurs considèrent qu'il ne fallait pas les appliquer. On peut remarquer leur courage de s'attaquer à plusieurs dizaines à une famille.

Par Sarel (Sarel) le dimanche 16 octobre 2005 - 15h45:

A tout les paricipants dans ces commentaires
et qui s'interressent au sujet juif et israelien Je voudrai exposer une idee Essayez de definir la paix que vous souhaitez
Etant donne qu'il n'existe pas encore des frontieres reconnues en israel Je propose de donner votre avis la dessus !!
Il y a deja des dizaines d;hommes d'etat en israel qui ont ""leur frontiere" qui change
de direction d'apres les evenements
A ce moment la on pourrait peut etre recevoir des reponses de quelque part!!!
Shalom sarel

Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 16 octobre 2005 - 15h00:

Le General Stern a en effet ete agresse par une bande de degeneres ( malheureusement on en a aussi ) Mais ne jetons pas l oprobe sur tout un public ... il a lui meme declare , en retournant au kotel le lendemain pour y prier ... ces gens la me reprochent le fait que les soldats n ont pas refuse de servir pendant le dementellement et j en suis fier ... a la question comment sa famille a reagi a l incident ... il a repondu mon petit garcon de 10 ans a crie aux agresseurs "" je suis fier de mon papa "" C est deja oublie je suis retourne au Kotel prier , car cet endroit n appartient a personne en propre et personne ne pourra m empecher d y aller ... de plus c est une excellente lecon pour les jeunes soldats ... personne n a le droit de leur dire ou prier ni meme leur faire peur ... ils sont notre fierte et ont agi comme ce qu on attendait d eux ... ce sont ces quelques assaillants irresponsables qui doivent avoir honte d avoir empeche un juif religieux d avoir prie dans cet endroit unificateur du peuple juif . Je regrette a t il ajoute que les meneurs se disent etre des rabins importants .

Apres l incident , Sharon a telephonne a Eleazar Stern pour lui renouveler son soutien mais aussi ses remerciements pour son role significatif dans le bon deroulement du dementellement .

Shaoul Mofaz de son cote a aussi condamne cet acte de pure delinquence inacceptable et a rajoute que c etait un acte contre tous les soldats et officiers du simple soldat aux plus hauts des grades qui ont participe au dementellement et ont accepte d obeir aux ordres , et l ont fait de la meilleures maniere qu il soit pour laquelle nous avons recu du monde entier des felicitations .

Par Meyer (Meyer) le dimanche 16 octobre 2005 - 13h03:

Une famille interdite de prière au kotel.

Vendredi soir et samedi un officier supérieur de l’armée israélienne, accompagné de sa famille et habillé en civil, a été agressé verbalement et physiquement lors de son arrivée au kotel pour participer à la prière du shabat. Des dizaines de religieux fanatiques ont proféré des insultes et lancé des pierres et différents objets. La police a dû protéger la famille et un policier a été blessé.

Ces voyous suivent les instructions de « rabbins » qui n’ont toujours pas accepté la réalité du retrait de Gaza. C'est la façon qu'ont ces « rabbins » de prêcher le Ahavat Israel.

http://www.haaretzdaily.com/hasen/spages/634924.html
Sharon, Halutz slam Western Wall attack on IDF officer by worshippers
By Aluf Benn and Amiram Barkat, Haaretz Correspondents and Haaretz Service

http://www.haaretz.com/hasen/spages/635055.html
Jews expel a Jew from the Kotel
By Uzi Benziman

Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 16 octobre 2005 - 08h45:

AL QAEDA S'INSTALLE AU SINAÏ



Par Albert Soued pour www.nuitdorient.com

Le 16 octobre 2005



Invention occidentale, l'Internet est aujourd'hui le principal outil de diffusion de la pensée salafiste et extrémiste de l'Islam. La nébuleuse Al Qaeda utilise le net pour publier ses théories, ses doctrines, ses méthodes et y décrit même les moyens pour terroriser l'Occident et ses "subordonnés arabes". Elle l'utilise aussi pour sa propagande et pour recruter.

Une nouvelle doctrine viendrait s'ajouter aujourd'hui à celle du tandem Ben Laden/ Moussab al Zarqaoui. En effet, les méthodes sanglantes d'al Zarqaoui en Irak ne sont pas du goût de tous les Musulmans, notamment de ceux qui considèrent les shiites comme des frères.

Un document de 1601p. "Appel à la résistance globale islamique" est publié sur le net. Son auteur est un homme dont la tête est mise à pris par les Américains. Cet homme était un combattant du Jihad en Afghanistan, jusqu'à ce que l'offensive alliée l'en ait chassé. Il s'appelle Abou Moussab al Souri. Né à Alep en 1958, il est issu d'une famille portant le nom de sa grand mère Sitt Maryam, famille "soufi" respectable, appartenant à la confrérie "Al Rifaiyah". Cet homme a "mal tourné", sous l'influence du wahabisme saoudien. De nationalité espagnole par mariage, il a vécu en Espagne et à Londres au début des années 90, puis s'est engagé en Afghanistan, au temps des Talibans. Depuis sa fuite, on a perdu sa trace. Serait-il au Sinaï ? Toujours est-il que sa doctrine de "résistance globale" semble se répandre aujourd'hui et elle est relayée par Abou Mohamad al Hilali qui a publié sur le net un condensé de 16p.(1)

Trois principaux objectifs sont proposés. Le premier objectif est de recruter en permanence des "moujahidoun", endoctrinés au salafisme pendant une longue période, car il s'agit de constituer des cellules-unités d'élite.

Le second objectif concerne le choix des cibles du terrorisme. Pendant que les Etats-Unis sont "occupés" en Irak, ils prêtent moins attention à leur guerre contre les terroristes. Il faut donc continuer à "occuper" ce grand Satan avec les insurgés sunnites et les hordes internationales d'al Zarqaoui, pendant qu'on "occupe" le petit Satan (Israël) avec le Hamas. La terreur doit viser les gouvernements "arabes à la solde de l'Amérique" pour les affaiblir et les renverser: Egypte, Jordanie, Arabie, Yémen…. Il faut s'attaquer à leurs ressources, tourisme, pétrole et gaz, ports et bateaux. Et la meilleure plate-forme pour y accéder est la péninsule du Sinaï, au Centre.

Le 3ème objectif ce sont les Juifs et Israël qui sera alors encerclé par des pays islamistes.



Le choix du Sinaï n'est pas dû au hasard. C'est un lieu démilitarisé du fait des accords de paix entre l'Egypte et Israël. La présence de soldats égyptiens est minime. Par ailleurs l'Egypte y a beaucoup investi dans le tourisme pour les Occidentaux. Enfin il y a un mécontentement des populations bédouines qui sillonnent ce désert et qui ne se sentent plus chez elles, avec la modernisation des zones côtières et l'envahissement du tourisme partout. Ces nomades s'adonnent à de nombreux trafics (hashish, drogues, femmes…). Al Qaeda leur propose un trafic encore plus lucratif, celui des armes, alors que les autorités égyptiennes s'ingénient à les pourchasser. Enfin la configuration des lieux est idéale pour l'entraînement des "moujahidoun" et pour y cacher des armes. De nombreuses cavernes y sont encore moins inaccessibles qu'à Tora Bora, en Afghanistan (2).

Un cinquième du Sinaï serait aujourd'hui contrôlé par la nébuleuse al Qaeda, le Nord, autour d'el Arish, et la partie centrale montagneuse, autour du Jebel Hillal, où les troupes égyptiennes ne s'aventurent plus, après avoir essuyé plusieurs échecs devant des accès imprenables, dangereux et des hommes bien armés.

De cette nouvelle forteresse, Al Qaeda aurait expédié des hommes et des armes à Gaza pour y constituer une base avancée, à travers la zone ouverte de Rafiah.



Notes

(1) l'adresse des sites hébergeant ces écrits en arabe sera communiquée sur demande.

(2) de plus, n'est-ce pas au Sinaï que la Tora a été créée (Bora) ?



Sources

Gloria- Herzlyah Vol 3 N°7 – Oct 2005 –

Reouven Paz reupaz@netvision.net.il "Al Qaeda search for new Fronts, instructions for Jihad Activity in Egypt and Sinai

www.Debka.com - 3/10/2005 "In Sinai al Qaeda has advanced to striking range of the Suez Canal, Jordan and Israel"

Washington Post – Robin Wright – 7/10/2005 "Al Zawahiri oulines global Jihad vision"

Jerusalem Post – Khaled Abou Toameh - 9/10/2005 " Al Qaeda raises its head in Gaza"

The Guardian- Ian Cobain & Ewen Mac Askill 8/10/2005 "M15 unmasks covert arms programs"

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 16 octobre 2005 - 08h00:

Bonjour tunisiennes et tunisiens,



Je m'appelle Abdel, un tunisien de Paris, je trouve que le site Harissa est Magnifique, les internautes d'Harissa qui échanges des avis sur ce Forum sont super Tolérants. Et Je trouve que c'est super sympa de parler des relations tolérantes entre les musulmans et les juifs de Tunisie c'est normal puisque tout les deux sont tunisiens, ce pays symbole de la sérénité et de la tolérance.



Merci pour tous qui ont participer à créer ce site et je rappelle que la Tunisie ouvre ses bras à tous les tunisiens expatriés que ça soit musulmans, juifs et rapatriés français née en Tunisie.

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 16 octobre 2005 - 08h00:

Bonjour,
Je me nomme Ayouch, et j'aimerais savoir pourquoi David Deidou Siméoni était nommé Ayouch.
Je cherche d'où vient ce nom.
Merci de m'éclairer si vous le pouvez.
Ayouch

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 16 octobre 2005 - 07h26:

Bonjour

je suis tres heureux d'avoir trouve une trace de nos chers juifs tunisiens qui malheureusement on disparus du pays et ceux qui sont restes ne sont que peu et assez vieux maintenant en tout cas ceux que j'ai connu dans ma jeunesse a sousse sont partis il y avait raoul pinhas marcel et tant d'autres nous avons vecu comme des freres enfin c'est fini tout ca

merci

yacoub

Par Mena (Mena) le dimanche 16 octobre 2005 - 05h56:

L’antisémitisme : une déviance qui colle aux semelles de l’Europe (info # 011210/5) [analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency


Plus le temps passe, plus il devient clair qu’en France, les dividendes, en termes d'image, qu'Israël aurait dû engranger après le retrait de Gaza, ne verront jamais le jour. Lors de la démolition des implantations de Gaza et l'expulsion de leurs habitants, la haine anti-israélienne a continué à sévir dans les média français. Et maintenant que Gaza est entièrement aux mains de l'Autorité Palestinienne, la haine persiste. Les synagogues abandonnées, aussitôt saccagées dans la frénésie destructrice ? Un piège tendu par Israël. Les serres nourricières, offertes à l'Autorité Palestinienne et aussitôt détruites ? Des pièges encore.


Les explications à l'obstination anti-israélienne des journalistes français et, au-delà, de certains journalistes européens, sont nombreuses. Identification du Palestinien au « bon révolutionnaire » du tiers-monde [1] dans la tradition qui a conduit à idolâtrer Che Guevara, dont les portraits imprimés sur des T-shirts sont aussi nombreux dans les manifestations de gauche et d'extrême gauche que les keffieh façon Arafat. Volonté des bien-pensants de se faire voir du côté des populations qui semblent pauvres et « opprimées ». Anti-capitalisme primaire, qui fait qu'on déteste Israël, société relativement riche et américanisée.


Une autre explication, qui a déjà été proposée sous différentes formes, me semble être la bonne ; elle est, je dois le dire, plus navrante encore : si l'on se remémore l'histoire de l'Europe, on constate que l'antisémitisme, jusque voici soixante ans, y a fait partie de l'air du temps. Au point que des œuvres de la littérature populaire « à mettre entre toutes les mains » contiennent des passages notoirement antisémites sans que quiconque ne s'en offusque ni ne fait mine de s’en apercevoir. Il n’est que de relire certains passages des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet ou d'Oliver Twist, de Charles Dickens.



On sait aussi qu’il y a soixante ans, la quasi-totalité des pays d'Europe a contribué à la « solution finale » ou, au moins, a laissé génocider les Juifs sans élever la moindre protestation. L'antisémitisme européen, qu'on a laissé courir et se disséminer, a fini par féconder la barbarie absolue, qui constitue une tache indélébile sur la civilisation européenne.


Comme l'a écrit le journaliste Ron Rosenbaum, dans un article du San Francisco Chronicle, publié le 28 avril 2002 (« The Second Holocaust - and European Complicity ») : « Plus les Européens peuvent focaliser leur attention sur la réponse israélienne au terrorisme, et non sur les actes terroristes eux-mêmes, plus ils peuvent dépeindre les Juifs comme les véritables méchants, plus ils peuvent exonérer leur conscience collective de toute trace de complicité dans le meurtre de masse qui macule leur passé. Hitler est peut-être allé trop loin, et peut-être que nombre d'Européens ont fait preuve de lâcheté ou d'indifférence à l'époque, mais quand on voit ce que font les Juifs aujourd'hui, on se sent moins coupable ».

Parce que je pense que cette explication est sensée, je crains qu'il ne soit à jamais impossible que l'Europe change fondamentalement d'attitude face à Israël, et puisse un jour se conduire en véritable amie de l'Etat hébreu. L'Europe se plaît à se penser civilisée et étrangère à la barbarie. C’est pour cette raison qu’elle a toujours beaucoup de mal à regarder son passé en face.



L'islamisation qui la gagne n'arrange rien et ne va rien arranger dans les années à venir, dès lors que le néo-antisémitisme arabo-musulman a trouvé ses racines, et qu’il se propage en France, en Belgique, en Grande-Bretagne, en Allemagne, grâce à Internet et aux chaînes de télévision par satellite. Al Manar n'est plus diffusée en Europe, mais Aljazeera est elle-même porteuse de nombre de débordements à donner la nausée.


Parce que cette explication est la bonne et que, au-delà de l'antisémitisme, le racisme reste très présent en Europe, je crois que les journalistes européens, dans leur immense majorité, mais aussi les hommes politiques européens, vont rester très réticents à l'idée que la démocratie et l'Etat de droit puissent être appliqués au monde musulman. L'indifférence méprisante des Européens vis-à-vis des discours modérés prononcés par quelques chefs d'Etats musulmans ces dernières semaines, le dédain des Européens pour la démocratisation de l'Afghanistan et de l'Irak sont à cet égard édifiants. Et les Israéliens, qui pourraient penser que l'absence de compassion européenne lors d'attentats-suicides est réservée à leurs victimes doivent voir que les Irakiens aujourd'hui subissent cette même lacune. La vague de xénophobie populiste qui parcourt aujourd'hui l'Europe au sujet de la Turquie est elle aussi édifiante.


L'Europe, dans sa globalité, au fond, n'est pas vraiment sortie de l'antisémitisme : pour nier ou occulter les conséquences de son antisémitisme passé, elle embrasse l'antisionisme et l'anti-israélisme à pleines dents. L'Europe n'est pas non plus sortie du racisme : pour dénier son mépris des populations musulmanes, elle ne les aime que pauvres, fanatisées, marginalisées, réduites à la condition d'épouvantails ou de travailleurs émigrés, soumises à des dictateurs.

La différence entre l'Europe et les Etats-Unis, considérée sous cet angle, apparaît aujourd'hui plus flagrante que jamais. Non seulement, pour l'essentiel, la société américaine n'est plus touchée par l'antisémitisme (ou de façon très marginale), et non seulement l'antisionisme en Amérique est circonscrit au sein de l'extrême gauche des campus universitaires, mais on a conscience aux Etats-Unis que toute forme de racisme est condamnable, et que la seule possibilité de voir s'éteindre l'islam radical est d'agir pour que des démocraties musulmanes éclosent et croissent.


George Bush a prononcé un discours en tous points remarquable le 7 octobre dernier devant le National Endowment for Democracies (La contribution nationale pour les démocraties). Ce discours résumait et actualisait l'essence de la « doctrine Bush » et ce que serait selon lui l’avenir. La presse américaine a pris bonne note du contenu de ce discours et a perçu son importance. La presse israélienne en a fait de même. J'ai cherché, mais en vain, une évocation scrupuleuse de ce discours dans la presse européenne, et cette autre absence m’est apparue, hélas, très significative.







Note de la rédaction :



[1] Cette identification du Palestinien au « bon révolutionnaire » du tiers-monde n’a rien d’une révélation spontanée. Elle n’a pas toujours existé. Elle est la résultante d’un plan prémédité de déformation sémantique systématique, mis au point par le théoricien antisioniste Marius Schattner et l’AFP qui l’emploie, largement diffusé dans la presse française afin de vulgariser l’assimilation du conflit israélo-arabe aux guerres de décolonisation. En vérité, ledit conflit est absolument exempt des critères retenus par les Sciences politiques et l’Histoire afin de reconnaître une péripétie de la guerre de décolonisation. Cette tromperie, s’exprimant par l’emploi inapproprié, quoique déraisonnablement fréquent, des termes colon, femme-colon, bébé-colon (pour définir notamment des êtres humains israélites assassinés par des terroristes !), colonisateurs, quartiers de colonisation et colonies, constitue l’un des signes exemplaires de l’antisémitisme français dont parle Guy Millière.