Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 23 octobre 2005 - 12h00: |
Tun a écrit :
" vraiment la theorie sur la lecture juive du coran est tout simplement pathetique c tout ce que j´ai a dire "
Non !
Ce qui est pathétique c'est d'avoir voulu revêtir un costume beaucoup trop grand pour soi
C'est tout ce que j'ai à dire
Par Toufiq (Toufiq) le samedi 22 octobre 2005 - 18h20: |
et surtout de ne jamais sortir sans sa cot cot de mailles.
Par Hmimoun (Hmimoun) le samedi 22 octobre 2005 - 15h07: |
Pour vous prémunir de la grippe aviaire, il est fortement recommandé:
- De bien vous couvrir afin de ne pas attraper la chair de poule
- De ne plus écrire avec un porte-plume
- De ne plus vous faire appeler "mon petit poussin" ou "mon petit canard"
Par Braham (Braham) le vendredi 21 octobre 2005 - 21h10: |
Voici les representants de 'europalestine' qui ont recommande le "festival de films documentaires israeliens".
Dis moi qui te recommande, je te dirai qui tu es.
Par Mena (Mena) le vendredi 21 octobre 2005 - 20h16: |
Un prince et une princesse du Maroc citoyens israéliens ? (info # 012010/5) [analyse]
Par Viviane Miles © Metula News Agency
Vous croyez aux contes de fées, vous ? L’histoire d’Hedva Selaa, en tous cas, relègue Cendrillon et Blanche-Neige au rang des contes ordinaires.
Hedva, âgée de 53 ans, est réceptionniste dans un hôtel à Eilat. Elle et son frère Jacky ont perdu leur mère, Anita Benzaquen, il y a huit ans. Quant à leur père, comme l’a récemment révélé le grand quotidien Yedioth Aharonot, ce pourrait bien être… Hassan II, l’ancien roi du Maroc. A l’époque de la conception de ces deux citoyens israéliens, feu le roi était encore le prince héritier Moulay Hassan ; il avait alors entre 20 et 25 ans.
Si cette fable est fondée sur des faits réels, il ne se serait pas agi du fruit d’un royal égarement d’un soir mais d’une relation suivie entre Anita et le monarque, puisque de cette union seraient nés les deux petits princes. Une version Mille et une nuits de la double vie de François Mitterrand avec Anne Pingeot ? Possible, mais avec en prime des implications infiniment plus cocasses et complexes que celles de la variante française.
On aurait pu être fixé facilement sur l’authenticité des faits, si Jacky, le frère aîné, ne refusait obstinément de faire la moindre déclaration à la presse ; fait troublant, il a brûlé toutes les archives familiales, y compris les photos, après le décès de leur mère.
On pourrait toutefois vérifier la véracité de cette affiliation surprenante en procédant à un test ADN de recherche de paternité, devenu procédure courante de nos jours. Certes, mais les autorités marocaines se refusent elles aussi à tout commentaire et à tout concours, semblant tout sauf pressées de découvrir une sœur et un frère israéliens au monarque régnant Mohamed VI.
De fait, si les Marocains voulaient bien collaborer, vu la durée présumée de la romance entre Hassan et Anita, et les traces qu’elle n’aurait pas manqué d’avoir laissées, il n’y aurait nul besoin d’avoir recours à la science pour vérifier les faits. Si cette histoire est véridique, on le sait déjà à Rabat et le roi est au courant.
Ce qui n’arrange pas les choses, c’est que Mohamed VI a hérité de son père la présidence du "Comité de Jérusalem". Instance qui avait été créée sous l’égide de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) en 1979 et dont le rôle officiel est de "protéger l’identité arabe et musulmane de Jérusalem" ainsi que de "rejeter toute mesure à même de modifier le statut légal de la Ville Sainte".
Etrange façon d’exercer cette doctrine, penseront les esprits aiguisés, en envoyant en Palestine des soldats juifs de sang royal arabe. A moins qu’il ne s’agisse d’une ruse de guerre et que l’exemple donné par Hassan II serait destiné à se généraliser. On pourrait ainsi, diraient les pitres, infiltrer des milliers de bâtards chérifiens dans ce pays que, par les moyens conventionnels, les Croyants ont tant de mal à conquérir. Heureusement pour Israël que la population juive du Maroc ne s’élève plus qu’à 0.2% de la population totale. Pas sûr, dans ces conditions, de trouver suffisamment d’Anita Benzaquen qui soient au goût des princes. Surtout que le souverain actuel est dûment marié et que, pour le surplus, je me suis laissé dire qu’il ne courrait pas les porte-jarretelles…
Les Israéliens poussent un ouf de soulagement !
Ce n’est en tous cas pas dans cet article que nous allons trancher, ni ouvrir un nouveau différend international arabo-juif, –– on a largement assez à faire avec le suivi de la Controverse de Nétzarim –– sur la base de cette rumeur. Disons seulement que, compte tenu des recoupements familiaux troublants sur lesquels s’appuie le récit de Son Altesse la princesse Hedva-de-l’Hôtel-d’Eilat, son aventure est plausible.
D’autant plus plausible que selon Yedioth, Anita Benzaquen n’était pas une manante élevée dans un bled saharien, mais la nièce d’un familier de la cour, figure connue et respectée de la communauté juive du Maroc, répondant au nom de Léon Benzaquen. M. Benzaquen fut ensuite choisi par le roi pour occuper la fonction enviable de ministre des PTT, et ça, c’est historique. Précisons toutefois au sujet de cette information que la famille du défunt Léon Benzaquen a depuis rédigé une lettre très circonstanciée à l’attention du journal de Tel-Aviv, dans laquelle elle nie résolument tout lien de parenté avec Anita Benzaquen.
Dans cette histoire, comme dans la plupart des liens de paternité contestés impliquant des hommes célèbres, il sera bien difficile de faire la part des choses.
Par Lalla (Lalla) le vendredi 21 octobre 2005 - 16h29: |
bien cher Meyer
quelle joie, quelle emotion, toutes ces photos; merci de nous faire partager ce plaisir; ces vitraux sont de Chagall, n'est-ce pas?
toda raba me kol a lev.
Par Braham (Braham) le vendredi 21 octobre 2005 - 15h09: |
Par Maurice (Maurice) le vendredi 21 octobre 2005 - 08h33: |
Débats Opinions
L'heure de la Syrie
L'éditorial par Pierre Rousselin LE FIGARO
[21 octobre 2005]
Au moment même où Saddam Hussein doit s'expliquer devant un tribunal à Bagdad, le sort du régime syrien de Bachar el-Assad est suspendu à l'en quête internationale sur l'assassinat de Rafic Hariri.
L'Irak, la Syrie : deux approches très différentes. Mais une même volonté, impulsée par les Etats-Unis, de voir les choses changer radicalement dans cette région du monde.
Il semble que, cette fois, les Américains prennent soin de ne pas répéter les erreurs du passé. Face à Damas, et avec le soutien de la France, la diplo matie a repris tous ses droits, et il est demandé d'emblée au régime syrien de répondre de ses actes.
Tout porte à croire que le rapport de la commission de l'ONU, remis hier à Kofi Annan, met en cause, d'une façon ou d'une autre, la Syrie dans le meurtre de l'ancien premier ministre libanais.
La mort suspecte de Ghazi Kanaan, présentée officiellement comme un suicide, ne fait qu'aggraver les soupçons. Le ministre de l'Intérieur, qui, pendant vingt ans, fut le proconsul syrien au Liban, ne venait-il pas d'être interrogé par le président de la commission de l'ONU, le magistrat allemand Detlev Mehlis ?
Pour mieux dénouer l'imbrication très étroite entre services libanais et syriens, la mission de M. Mehlis sera sans doute prolongée. Ainsi sera maintenue, quelques mois encore, la pression sur un régime syrien, dont on voit mal comment il peut briser son isolement.
Dans cette affaire, Condoleezza Rice, le secrétaire d'Etat américain, s'est assurée du soutien non seulement de Paris, mais aussi de Moscou. Les attentats à répétition qui continuent à faire régner la terreur dans l'opposition libanaise montrent que Damas n'a pas encore compris que les temps avaient changé et qu'il fallait changer de méthode.
Compte tenu de ce climat, le Conseil de sécurité, qui recevra bientôt un autre rapport – sur l'application de la résolution 1 559 appelant au retrait des forces syriennes du Liban –, pourrait décider de sanctions. A condition, souligne-t-on à Paris, qu'elles visent les dirigeants syriens et épargnent la population.
Ainsi, à la différence de ce qui s'était passé avec l'Irak, un dispositif international se met en place, sans heurt et dans le cadre des Nations unies, pour contraindre le régime syrien à modifier son comportement.
Il faut espérer que le président Bachar el-Assad finira par coopérer. Il doit savoir qu'une opposition est en train de s'organiser dans son propre pays et qu'elle bénéficiera d'appuis aux Etats-Unis, même si elle est liée aux Frères musulmans.
Damas a beaucoup d'atouts dans son jeu. Il lui est demandé de cesser ses ingérences au Liban, d'arrêter de servir de base arrière aux djihadistes qui se battent en Irak, de rompre avec l'Iran et avec le Hezbollah, d'expulser les organisations radicales palestiniennes...
Si le régime de Bachar el-Assad veut survivre, il lui faut abattre ses cartes. Son heure est venue.
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 21 octobre 2005 - 08h08: |
Maintenant que l'implication de la Syrie dans l'assassinat d'Afik El Hariri est officielle, va t-on enfin officiellement en France (comme cela est deja le cas aux US depuis belle lurette), denoncer le Hezbollah comme une organisation terroriste (je rappelle ici qu'El Hariri etait un grand ami -- et bailleur de fonds -- personnel de Chirak).
Peut-etre faudra t-il pour cela, G-d forbid, un attentat qui touchera la France encore de plus pres ?
Shabath shalom et Moadim le Simcha.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 21 octobre 2005 - 01h18: |
Par Braham (Braham) le jeudi 20 octobre 2005 - 19h20: |
Encore sur les soi-disant "cineastes documentaires israeliens"
Un Email de "Confluences" avait invite, le lundi 17 octobre 2005, sur Adra, tous nos amis a venir voir le "festival de films documentaires israeliens".
Le meme programme avait ete chaleureusement recommande, auparavent, par le site "europalestine", avec en place d'honneur "un hommage a Avi Mograbi".
...Non !! ces cineastes sont loin de nous representer !!!