Par Victoria (Victoria) le jeudi 03 novembre 2005 - 14h15: |
Lu sur un forum de france2 :
Pour information sur la première conseillère de Sarkozy...
C'est le journal africain « Le Gri-Gri » qui en dresse le portrait le plus actualisé :
RACHIDA PREMIÈRE BEURETTE DE FRANCE
Ce n'est pas parce qu'on s'appelle Rachida qu'on doit porter une "casquette à l'envers", habiter en banlieue et pointer aux Assédics. Rachida Dati, conseillère de Sarko, préfère les postes en vue et les salons. Si elle suit son mentor jusqu'à La Courneuve, elle l'accompagne aussi dans ses voyages (on l'a vu dans Paris Match) et lui tiendrait bien compagnie jusqu'à l'Élysée. "Elle a beaucoup d'influence auprès du ministre, dans beaucoup de dossiers, et bien au-delà de ses compétences propres", persifle un collègue du ministère. À 39 ans, on peut s'appeler Rachida et briguer le titre de Première Beurette de France. De père marocain et de mère algérienne, Rachida Dati suit sa scolarité dans une école catholique, près de Dijon. Une licence en sciences-éco, un peu d'entrisme auprès de l'ex-Garde des Sceaux Albin Chalandon, et la voilà chez Elf. Ce n'est pas parce qu'on s'appelle Rachida qu'on doit mépriser la compagnie françafricaine. Un passage chez Lagardère, puis, spécialisée en droit commercial, elle entre dans la magistrature, avec l'appui de Simone Veil. Après une apparition au cabinet Bayrou, la consécration : dans l'entourage de Sarko, elle décroche un poste au Conseil général des Hauts-de-Seine, avant d'entrer à l'Intérieur. C'est elle qui conseille à son patron de séduire les Français d'origine africaine en rouvrant le dossier de l'intégration et des quotas. Taclant au passage Hanifa Cherifi, conseillère à l'Éducation qui suivait ce dossier "avec Cécilia". Ensuite, elle fonde avec Hakim El Karoui, conseiller de Villepin, le Club du XXIème siècle. Elle y réunit entrepreneurs, banquiers, consultants et journalistes issus de l'immigration autour de personnalités variées, de PPDA à Jamel, en passant par le baron Seillière. Ce n'est pas parce qu'on s'appelle Rachida qu'on ne peut pas avoir les dents longues et être une femme de réseau.
Par Viviane (Viviane) le jeudi 03 novembre 2005 - 12h58: |
Pour ceux qui ont la nostalgie d'avoir perdu "l'Algérie française" et qui rêvent de péleriner, comme disent les juifs algériens, dans cette colonie qu'ils ont perdue, la première action qu'ils devraient faire, à mon avis, c'est de se recueillir sur la tombe de Ben Bella.
En filigrane, sur sa tombe, ils liront, cette phrase qu'il a dite de son vivant: "Les Juifs sont le cancer du Moyen-Orient". Bon voyage!!!
Par Braham (Braham) le jeudi 03 novembre 2005 - 11h00: |
L'apprenti Sorcier du caporal autrichien
Par Nao (Nao) le jeudi 03 novembre 2005 - 05h58: |
Je jubile..
Les emeutes de Clichy Ss Bois sont une bonne claque a la gueule des Francais qui croyaient que l'intifada ca n'arrivait qu'a Gaza. Comme ca, ils comprennent ce que doivent gerer les Israeliens..
Meme jeunesse haineuse qui jette des projectiles et pierres sur la police et CRS depasses quand ca n'est pas des balles reelles...
Celle la se plaint de la discrimination raciste et du chomage, l'autre qu'on leur a vole leur terre.. Bref ils ont tjrs une raison pour jetter des pierres...
Je jubile aussi car il suffit de lire les commentaires sur les forums de France 2 et TF1 pour comprendre que loin de la langue de bois, le Francais moyen commence a en avoir ras la frange de ce merdier et de ces emmerdeurs..
Par Maurice (Maurice) le mercredi 02 novembre 2005 - 14h53: |
Rassemblement citoyen devant l’ambassade d’Iran à Paris
Date : 02-11-2005
Un grand rassemblement citoyen est organisé par le CRIF ce Mercredi 2 novembre à 19 heures, place Iéna, devant l’ambassade d’Iran, pour protester contre les récentes déclarations du président iranien Mahmoud Ahmadinejad qui a appelé à «rayer Israël de la carte» et à mener une guerre contre le monde démocratique.
Dans une lettre adressée à l’ambassadeur d’Iran à Paris, Sadegh Karrazi, le CRIF a exprimé «ses plus vives protestations» et a demandé «solennellement», au président iranien, de «revenir sur ses déclarations, de cesser d’armer et de soutenir les organisations terroristes, afin de regagner le concert des Nations en faveur de la paix».
Le CRIF ajoute : «Dans le cas contraire, les femmes et les hommes épris de paix que nous sommes, seraient contraints d’appeler à des sanctions à l’encontre de votre pays pour que le droit l’emporte sur la haine».
Ont déjà annoncé leur participation :
L’UMP, l’UDF, le PS, Le Parti Radical, SOS Racisme, la LICRA, l’Amitié Judéo-chrétienne de France, l’Amitié judéo-musulmane (AJMF) le Mouvement des Musulmans laïcs (MML), le Comité Défense Cause Arménienne, le Mouvement pour la Paix et contre le Terrorisme et l’ensemble des organisations juives de France.
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 02 novembre 2005 - 14h31: |
Toufiq,
... ni un I.V.G. (Incident de Visite Gouvernementale)
Par Mena (Mena) le mercredi 02 novembre 2005 - 06h15: |
"Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde" (Albert Camus)
Marre de ces faussaires incitant à la haine raciste (info # 010111/5) [réinformation]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Je ne sais plus comment je dois qualifier l’attitude des media généralistes français qui, suivant à la trace leur agence officielle l’AFP et le quotidien Le Monde, persistent à fouler aux pieds tous les garde-fous de notre profession dans le seul dessein de salir l’image d’Israël. Mon collègue Luc Rosenzweig l’emprunte à l’américain pour nommer cela l’Israel bashing, et c’est une définition générique qui définit bien le phénomène. Germaine, dans son langage instinctif typiquement féminin, appelle cela du fascisme, interrompant fréquemment sa lecture des dépêches concernées par des "Ah les fachos, ah les fachos", qui ont l’inconvénient de sortir toute la rédaction de sa concentration et, à force de répétitions, d’irriter tout le monde, avec pour conséquence d’être priée de ne pas négliger les longues promenades nécessaires de Taz, le boxer de la Ména.
Fascisme ?
- Non. En cela que les convertisseurs professionnels de faits d’actualité au détriment de mon pays n’adhèrent vraisemblablement pas aux idées rassemblées par Benito Mussolini, ses amis et ses successeurs.
Méthodes fascistes d’exploitation de l’actualité afin de promouvoir leur vision obtuse de l’univers ainsi que leurs intérêts politiques et autres ?
Dans cette acception des choses, ma bonne amie n’a sûrement pas tort. D’autant plus que l’Israel bashing partage avec les théories propagandistes du docteur Goebbels au moins deux éléments essentiels, qui sont l’affranchissement total des règles d’éthique au profit du but recherché sur le peuple et la haine d’Israël.
Moi, je finirai avec un immense plaisir d’en parler lorsque ces manifestations de journalisme, disons goebbelsiennes, auront cessé de paraître. Mais pour l’instant et au fur et à mesure qu’à la Ména on les dénonce, les choses ne font qu’empirer, alors, persuadé que cette forme de racisme procède d’une déviance particulièrement néfaste, votre Ilan continue de les dénoncer.
Regardez plutôt ce truc dans le Monde, archétype (je ne vais tout de même pas écrire chef d’œuvre, hé, ho !) de cette manière d’informer dont je vous entretiens : "Israël poursuit sa stratégie d’assassinats ciblés".
Comme souvent, la description du fait d’actualité traité avait initialement été moins mal faite dans une première dépêche de l’AFP du 30 octobre à 23 heures 39. Cela était alors titré : "GAZA (AFP) - Proche-Orient : au moins un Palestinien tué après une pause des violences".
Certes les convertisseurs de faits y tordaient déjà le cou à certaines pratiques qui ont fait leur chemin dans notre métier, comme la bonne habitude de définir la qualité d’un péquin, lorsque c’est elle qui établit la charge informationnelle, plutôt que sa nationalité.
Mais bon… lorsque l’on traverse un gros orage, on est prêt à se féliciter d’une relative accalmie. Alors okay pour "(…) un Palestinien a été tué dimanche lors d'une opération de l'armée israélienne à Kabatiya (…)" et pour "(…) Archad Abou Zeid, 21 ans, a été tué et un autre membre du Jihad islamique a été grièvement blessé lors d'échanges de tirs entre les militaires et des hommes qui s'étaient retranchés dans un bâtiment (…)".
Sachant ce que savent tous les journalistes en poste dans notre région, pour être professionnel et impartial, il aurait néanmoins fallu écrire :
Titre : Arrestation sanglante de l’un des organisateurs présumés de l’assassinat-collectif de Hadéra
Puis : Archad Abou Zeid (son âge est ici secondaire au moment de l’énonciation des circonstances de l’incident), ainsi qu’un autre membre de l’organisation terroriste du Djihad Islamique Palestinien (que d’oublis, ma mère, que d’oublis !), ont été abattus après avoir ouvert le feu sur le commando israélien qui venait les interpeller.
Voilà comment relater les faits d’une façon pro et factuelle, qui ne lèse personne et qui, de plus, est en accord avec les dispositions de l’Union Européenne concernant la nature terroriste de l’organisation appelée Djihad Islamique Palestinien.
Mais voilà, c’est sans compter avec les directives internes de l’agence nationale française de presse. Celle-ci déconseille à ses rédacteurs "l’emploi des termes « terrorisme », « terroristes »" et " « extrémistes »", sur la base de l’explication que je soumets à la perspicacité des lecteurs selon laquelle "qualifier les attentats et attaques perpétrés par les Palestiniens (de terrorisme) sans jamais l’utiliser pour les opérations militaires ou de liquidation menées par l’autre camp israélien pourrait susciter des interrogations quant à la neutralité ou l’impartialité de l’Agence (AFP)".
Ilan ignorait, tout comme les députés européens, que Tsahal figurait en compagnie du Hamas, des Brigades des Martyrs Al-Aqsa et du Djihad, sur la liste de l’UE des organisations terroristes, mais enfin bon, nous sommes tous assurément moins bien renseignés que l’Agence !
Donc, suivant ces directives de neutralité, les auteurs de cette première dépêche s’abstinrent de qualifier les terroristes de terroristes et cela donne un "Palestinien", "membre" du "Jihad islamique" qui "a été tué" lors d’une opération de l’armée israélienne. Difficile de faire un compte rendu journalistique lorsqu’on vous prive de l’usage des mots appropriés pour décrire l’événement qu’on est censé couvrir, me direz-vous avec le bon sens qui caractérise les abonnés de notre agence…
Sauf que, pour les décideurs de l’AFP et du Monde, les premiers revisitant les textes de leurs officines moyen-orientales depuis leur bureau de surveillant général installé à Chypre, le compte-rendu original n’était pas encore assez "trash". Entendez par là qu’on pouvait le lire sans penser obligatoirement que le fait de tenter d’appréhender le commanditaire plus que présumé d’un "attentat-suicide", et de l’abattre alors qu’il se met à tirer sur les forces de sécurité constitue une conduite indiscutablement monstrueuse, à la mesure des soldats de ce peuple qui prend plaisir à humilier ses voisins.
Alors à l’Agence et au journal on a revu la copie à la hausse. Et l’arrestation de l’archi-terroriste Archad Abou Zeid, telle que timidement définie dans le premier télégramme engendre, le lendemain, 31 octobre à 10h 25, le titre suivant dans le Monde (muni de la mention consacrée Avec AFP) : "Israël poursuit sa stratégie d’assassinats ciblés".
Et cela, ça n’aurait pas fait rougir Goebbels, ma Germaine ! Le meurtre prémédité de civils constitutif d’un crime de guerre et d’un crime contre l’humanité selon la législation internationale sur base de sélection des victimes en fonction exclusivement de leur nationalité et de leur foi [1], comme sur la rampe d’Auschwitz, est, dans cette dépêche rectifiée, simplement qualifiée "d’attentat-suicide", tandis que l’échange de coups de feux, à l’initiative du terroriste tué, y justifie l’appellation incontrôlée de "stratégie d’assassinats ciblés".
Bel exemple de neutralité, je suis forcé d’en convenir… Et les deux terroristes passent post-mortem du statut qui prévalait auparavant par sa sobriété de "membres du Jihad islamique" à celui d’"activistes du mouvement radical Djihad islamique".
Activistes c’est pour accréditer l’hénaurme menterie que ces deux sadiques étaient en fait des militants politiques, qui faisaient partie, autre hénaurmité s’il en fut, d’un mouvement (qui n’existe que chez certains journaleux français), en lieu et place de l’organisation terroriste, mondialement reconnue comme telle, du Djihad Islamique Palestinien.
Retour donc à l’orthodoxie événementielle de la pensée unique et antisémite de mise en Chiraquie : l’armée israélienne assassine des militants politiques palestiniens. C’est fort en transformisme, mais c’est la norme à Paris. Ou la vérité interdite qui s’est aplatie en faveur du récit fabuleux autorisé. C’est à mon lecteur de choisir mais il peut accepter les deux propositions, on ne haussera pas le prix de son abonnement pour autant. D’autant plus que les deux propositions sont complémentaires.
Suite de la dépêche, suite de l’appel à la haine de nous désormais parfaitement codifiée : "Huit autres Palestiniens − sûrement des passants qui revenaient paisiblement d’une séance de yoga nocturne − ont été blessés, dont un grièvement, dans des heurts qui ont opposé ensuite des jeunes à des soldats".
Prenez un papier, mes toutes belles, et notez après moi : les Palestiniens sont définis par leur nationalité et leur tranche d’âge, des jeunes. Le fait qu’ils étaient cagoulés, armés jusqu’aux dents et qu’ils font partie d’une organisation terroriste n’intéresse pas les lecteurs du Monde et de l’AFP. Pour ces confrères, il est donc, pour décrire l’incident, plus informatif de stipuler l’âge du capitaine que de raconter qu’il a heurté un iceberg. Mouuuuii, c’est une façon in de faire ce métier.
Bon, pour le renouvellement de la méthode, Ilan ne va tout de même pas jouer les ringards ; oui mais alors pourquoi ces critères dans le vent ne valent plus lorsqu’il s’agit de décrire les soldats. Votre attention, mes chéries : il ne s’est pas agi de heurts entre terroristes palestiniens et militaires israéliens mais entre des jeunes palestiniens et des soldats, probablement apatrides, débarqués à Kabatiya pour faire un carton sur des gamins arabes, parce qu’il n’y avait plus de places libres pour la chasse à l’éléphant au Kenya !
Et, puisque l’Agence et le Monde ne prennent pas la peine d’en parler, ce devaient être de "vieux" soldats, sûrement des vétérans de 14-18, des vicelards décatis.
En réalité, les jeunes palestiniens et les soldats avaient exactement le même âge. Les premiers occupés à tuer le plus d’infidèles possible, dans la ligne éradicatrice fixée par le courant islamiste auquel participe le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Et les seconds, sont les appelés du contingent d’un Etat démocratique, qui s’activent, avec une retenue jamais égalée par aucune autre armée, à prévenir les assassinats-collectifs de leurs concitoyens civils. Des assassinats fièrement revendiqués par les jeunes activistes yogis, palestiniens, de l’association humanitaire du Djihad Islamique, ce qui, comble de cynisme, est également mentionné dans la dépêche leMondeavecAfp.
Lesquels tiennent à préciser que les deux hommes Archad Abou Zeid et son complice "étaient recherchés à la suite de l’attentat-suicide" de Hadéra. LeMondeavecAfp se fourvoie cependant une fois encore, et toujours aussi voluptueusement : ces deux terroristes n’étaient certes pas recherchés à la suite dudit attentat, mais en raison de leur implication dans cet assassinat. Pour les sceptiques obsessionnels des affirmations provenant de journalistes juifs, précisons que Kabatiya est une petite bourgade à deux encablures de la ville de Jénine rayée de la carte par Edgar Morin ; que c’est de Kabatiya qu’est parti le terroriste-suicide qui a tué cinq civils israéliens à Hadéra ; qu’il était membre du Djihad Islamique Palestinien, et qu’Archad Abou Zeid était l’un des chefs principaux de cette organisation à Kabatiya.
En fait, les seuls à partager les visions délirantes des journalistes français sont les responsables du Djihad Islamique Palestinien à Gaza. Pour l’un d’entre eux aussi, Mohamed Harzin, la mort d’Abou Zeid est un assassinat perpétré par les Israéliens.
Sur le Monde, on rapporte encore qu’Israël "est accusé de violer la trêve".
Quelle trêve ? Que trêve ?, alors que le gouvernement de Jérusalem, de même que tous les gouvernements raisonnables du globe, demandent à Abou-Mazen de désarmer par la force les organisations terroristes qui récusent et jusqu’au principe une paix entre les Juifs et les Arabes.
Un président en Iran réclame l’éradication de l’Etat hébreu. Un premier ministre en France explique que, à terme, cette éradication est inéluctable et des journalistes du même pays encouragent de toutes leurs plumes les islamistes à réaliser la prophétie. Ah ! que voilà des gens mal barrés et mal intentionnés.
En début de soirée, les soldats on éliminé les terroristes Hassan Al-Madhoun du Fatah et Faouzi Abou al-Quarea du Hamas. Al-Madhoun avait organisé un assassinat-collectif dans le port d’Ashdod, qui avait coûté la vie à dix civils israéliens. Il avait aussi envoyé une infirme se faire sauter au passage de Karni, qu’empruntent les ouvriers palestiniens pour aller gagner leur vie en Israël. Quatre Israéliens avaient perdu la vie lors de cet assassinat.
Mais le chef d’œuvre de feu Al-Madhoun fut sans conteste d’avoir envoyé une Palestinienne, qui devait la vie à ses médecins israéliens, se suicider à la bombe dans l’hôpital Soroka de Beer-shev’a, où elle avait été soignée. Elle fut interceptée de justesse avant d’exécuter le plan du chef terroriste.
Du fait que j’ai quelque raison de croire que cette péripétie de guerre vous sera contée demain dans vos media sous la forme de l’assassinat-ciblé-extrajudiciaire d’un paisible jeune militant politique palestinien, j’ai choisi de vous prévenir.
Parce qu’informer constitue l’essentiel de mon occupation professionnelle.
Note :
[1] L’intention des terroristes était de massacrer le plus de Juifs possible, cependant, plusieurs Arabes israéliens ont également été tués ou blessés lors de cet assassinat.
Par Email (Email) le mardi 01 novembre 2005 - 18h54: |
Bonjour
aujourdhui, j´ai tombe par hasard sur votre site Harissa et j´ai passe ma soiree devant l´ordinateur en lisant toutes les explications de mot KIF.
Quand j´ai lis cettes lignes, je me suis souvenue de la belle Tunisie et les moment speciales, que j´y ai vecu avec mon copain. Et je peux dire - je comprends toutes les sentiments exprimes et peut etre j´ai aussi compris le sens du mot KIF. Merci a vous!
Mais comme je ne suis ni Juive, ni Tunisienne, j´ai quelque questions a vous poser.
Un Tune, ca veut dire un Juif tunisien?
Le KIF dans ce sens, ca se dit seulement entre les Juifs tunisiens, ou aussi les autres Tunisiens le comprennent de cette facon?
Merci pour votre reponse et en l´attendant je vais kiffer sur votre site ))
Renata Dirnova, Republique Tcheque
Par Email (Email) le mardi 01 novembre 2005 - 18h45: |
Les Fils et Filles des Déportés Juifs de France
F.F.D.J.F. - Militants de la Mémoire -32, RUE LA BOETIE - 75008 PARIS -
Président: Me Serge Klarsfeld - Tél: 01 45 61 18 78 / Fax: 01 45 63 95 58 / E-mail: Klarsfeld.ffdjf@wanadoo.fr
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Indignés par l'appel du président de la République islamique d'Iran à
« rayer Israël de la carte «
LES F.F.D.J.F. S'ASSOCIENT A LA MANIFESTATION A L'INITIATIVE DU CRIF
RASSEMBLEMENT DEVANT L'AMBASSADE D'IRAN
4 AVENUE D'IENA PARIS 16ème
mercredi 2 novembre 2005
A 19h00
VENEZ NOMBREUX
Par Claudia (Claudia) le mardi 01 novembre 2005 - 18h39: |
Israël exposé au risque de grippe aviaire, selon un expert
LATRUN, Israël (AP) - Israël est particulièrement vulnérable à la grippe grippe aviaire car le pays est situé sur le parcours de quelque 500 millions d'oiseaux migrateurs, a averti lundi un éminent ornithologue israélien.
L'Etat hébreu, où aucun cas de la maladie n'a été détecté, est situé au carrefour d'une route empruntée par des oiseaux migrateurs venus d'Asie et d'Europe et allant hiverner en Afrique, souligne Yossi Leshem, directeur du Centre international israélien pour l'étude de la migration des oiseaux.
"Nous savons que nous avons quelque 500 millions d'oiseaux migrateurs qui passent au-dessus d'Israël deux fois par an", explique M. Leshem. Compte tenu de cette situation, les "risques sont élevés" que la grippe aviaire finisse par gagner le pays, ajoute-t-il.
Les oiseaux se regroupent dans des endroits comme la Réserve naturelle de la vallée de Hula (nord), où 320 hectares de zones humides leur offrent un environnement hospitalier. A l'époque des migrations, des milliers de grues, cigognes et d'autres espèces remplissent les marais.
Israël a annoncé qu'il répondrait à la découverte d'un foyer de virus H5N1 en abattant toutes les volailles situées dans un rayon de trois kilomètres et vaccinant les oiseaux dans un rayon de dix kilomètres. AP
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 01 novembre 2005 - 18h36: |
bazooka,esperons que ce ne sera pas une fausse couche.