Archive jusqu'au 04/juillet/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Juillet 2007: Archive jusqu'au 04/juillet/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 04 juillet 2007 - 09h52:

Hajkloufette c'est quoi le mouvement Siona ?
J'habite Nes-Tsiona,mais je ne connais pas Siona.
Qqun pourait-il donner des informations, merci

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 03 juillet 2007 - 17h51:

Non, tout le monde ne pourra pas entrer a l’interieure de la synagogue, parce qu’il y aura trop de monde ; enfin, nous l’esperons.

Oui, il risque de pleuvoir, mais nous tous en region parisienne possedons parapluie ou impermeable, et nous resterons dehors.


Le Mouvement Siona

Le Consistoire de Paris

Les familles de Guilad SHALIT, Oudi GOLDWASSER, et Eldad REGEV


Vous invitent a participer nombreux a l’office solennel pour la liberation des trois jeunes soldats israeliens, detenus en otage par des organisations terroristes,


Le dimanche 8 juillet 2007, a 18 heures,

A la synagogue, 44 rue de la Victoire, 75009 PARIS

Metro LE PELETIER ou NOTRE-DAME DE LORETTE

Les familles SHALIT, GOLDWASSER, et REGEV participeront a cet office, en presence de

Joseph SITRUK, grand rabbin de France,

David MESSAS, grand rabbin de Paris,

Daniel SHEK, ambassadeur d’Israel en France,

Jean KAHN president du Consistoire central,

Joel MERGUI, president du consistoire de Paris,

Richard PRASQUIER président du CRIF (Conseil representatif des instituions juives de France)

ROGER PINTO, president de Siona.

Faites suivre a votre carnet d’adresses, merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le mardi 03 juillet 2007 - 17h18:

Torah, Gainsbourg et marijuana au Woodstock juif religieux en Cisjordanie
Par Michael BLUM AFP

BAT AYIN (Cisjordanie) (AFP) - Un groupe joue du reggae devant une grande étoile de David, un chanteur entonne un hymne à Israël de Serge Gainsbourg avant qu'un rabbin ne prêche un retour à la foi dans un nuage de fumée: bienvenue au Woodstock religieux dans une colonie de Cisjordanie.

Un millier de personnes participe à la 8ème édition du "Festival de la Fin des temps" dans une forêt de pins du bloc de colonies de Goush Etzion, envahi le temps d'une nuit d'été par une foule bigarrée de jeunes religieux portant des kippas et de hippies aux ponchos multicolores.

"Ce festival me donne des forces spirituelles" explique Elisheva, une jeune fille de 16 ans, venue de Jérusalem. "Il y a des étincelles de sainteté dans l'air", raconte-t-elle d'un air extatique. Près d'elle, des adolescents fument des narguilés assis sur des tapis en balançant la tête au son de la musique.

Un rideau est censé séparer les danses des filles et des garçons mais à la faveur de l'obscurité, les groupes oublient les interdits religieux et se mélangent rapidement.

"Remercie Dieu toute la journée", scande, telle une litanie, le chanteur Yeouda Leuchter.

Le festival, présenté comme un "rassemblement spirituel unique", se veut le lieu de rencontre entre les colons radicaux campant dans des avant-postes illégaux parsemés en Cisjordanie et des juifs laïcs, fraîchement rentrés d'un voyage spirituel en Inde après leur service militaire.

Dans les stands installés dans la forêt, on peut aussi acheter des tissus indiens, des bijoux et des disques des formations présentes.

Un peu plus loin, un couple fabrique son pain, dans un four rudimentaire et propose des salades et du fromage maison pour un prix modeste.

Les organisateurs, les Leuchter, ont créé ce Festival de musique juive à la mémoire de leur père, un musicien décédé en 1994.

"Notre message est un message d'union entre les différentes parties du peuple juif, tous ensemble, nous pouvons hâter la rédemption", lance angélique Raphaël Barkatz, 25 ans, saxophoniste d'origine parisienne.

Moshé Karo, 57 ans, un immigré de La Réunion, monte alors sur scène pour chanter un morceau peu connu de l'artiste français Serge Gainsbourg, "Le sable et les soldats", dont les droits ont été offerts en 1967 à l'Etat d'Israël.

"Oui, je défendrai le sable d'Israël, la terre d'Israël, les enfants d'Israël, quitte à mourir pour le sable d'Israël", entonne-t-il en français avant de traduire en hébreu. "La musique est une forme de prière vers Dieu", souffle le chanteur.

A la faveur de la nuit, après le départ des familles et des rares adultes, des couples se forment et une odeur de marijuana se répand dans l'air.

Pour Yocheved, 25 ans, venue de Jérusalem avec un groupe d'amis, cette soirée est l'occasion de faire des rencontres.

"Il y a une ambiance géniale, la musique est bonne, c'est le bonheur", dit-elle avant de s'emparer d'un tambourin pour tenter de suivre le rythme des musiciens sur la scène.

Mais, les rabbins veillent: Michi Yossefi, véritable gourou des jeunes colons, s'empare du micro et prêche le respect des valeurs religieuses juives aux jeunes qui boivent ses paroles, les yeux grands ouverts.

Les boucles d'oreilles des garçons et les jupes courtes des filles ne l'effraient pas, il a vécu en Inde et veut tenter de ramener à la foi les brebis égarées.

Le jour pointe. Les musiciens rangent leurs instruments et entament la prière quotidienne du matin alors qu'au loin les collines flamboient au soleil levant.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mardi 03 juillet 2007 - 12h54:

Cacou,
C'est jour de jeune aujourdh'ui, laisse donc la kemia pour demain.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 03 juillet 2007 - 11h46:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mardi 03 juillet 2007 - 07h04:

Retrouvailles MUTU-CARNOT

En présence de son Excellence l’Ambassadeur de France en Tunisie, des Proviseurs du Lycée Pierre Mendès France et Bourguiba, l’Association Générale des Anciens du Lycée de Mutuelleville/PMF (AGALM) et L’Association des Anciens du Lycée Carnot de Tunis (AAELC), organisent Gala Dîner dansant + remise des Prix aux Lauréats + superbe Tombola

Tenue blanche souhaitée

Retrouvailles MUTU-CARNOT le samedi 7 juillet 2007 à 21h à la Closerie, dans le cadre de la RENCONTRE DES CULTURES
* A Tunis vente des billets :
• Dans les librairies «Claire fontaine»
• A la loge du lycée PMF
• Aux téléphones suivants : pour les réservations : 96358852, 23331624 ou 71773052, 22315960, 24 306 815

http://www.anciendemutu.org/modules.php?op=modload&name=News&file=article&sid=243&mode=thread&order=0&thold=0

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 03 juillet 2007 - 06h17:

Les Barbares avancent (info # 012906/7) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency


Ce qui s’est passé ces derniers jours à Gaza a constitué la démonstration concrète de ce que j’affirme, depuis des années, à propos des « Palestiniens ». Le maintien, par le monde arabe, avec la complicité des Nations Unies, de ces gens infortunés dans des « camps de réfugiés » constituait tout à la fois une immonde expérimentation sur l’être humain et une instrumentalisation abjecte d’hommes et de femmes au service d’une haine qui ne dit plus son vrai nom depuis longtemps, mais qui n’a cessé de quêter la destruction d’Israël. La création de l’idée de « peuple palestinien », dans les années soixante, n’a été qu’un pas supplémentaire dans cette expérimentation et cette instrumentalisation.


Les accords d’Oslo, concédés par Israël sous la pression internationale, la création de l’Autorité Palestinienne, confiée à la clique terroriste de Yasser Arafat, puis l’abandon par Israël de Gaza aux mains de cette clique, ont été des actes supplémentaires, encore, de la même inspiration. La prépondérance du Hamas et la façon dont celui-ci l’assure, étaient, en ce contexte, prévisibles. Quand on laisse une population sous la férule de crapules cyniques et corrompues, qui se maintiennent au pouvoir par la violence, l’incitation à la haine et la destruction, et quand la seule alternative, ce sont des crapules moins cyniques, moins corrompues, tout aussi violentes, mais plus intenses dans la haine et l’appétit de destruction, ce sont, en général, les moins corrompus, les plus haineux et les plus destructeurs qui l’emportent. Les « élections », en ce genre de contexte, sont, habituellement, une étape avant la prise du pouvoir absolu et l’instauration d’un totalitarisme absolument meurtrier.


Le gouvernement israélien et la « communauté internationale » vont s’acharner à reconnaître très vite une « légitimité » à Mahmoud Abbas et à ses séides, en feignant de ne pas voir que ceux-ci ont prouvé, à de nombreuses reprises, qu’ils ne sont pas dignes de la moindre confiance. Gouvernement israélien et « communauté internationale » vont continuer, en parallèle, à ne pas reconnaître le Hamas, parce qu’il est cruel et fanatique et, surtout, parce qu’il énonce clairement des intentions négationnistes et génocidaires que le Fatah, lui, dissimule de manière hypocrite tout en les partageant.


J’affirmerai ici que le choix, à moyen terme, ne sera pas entre la peste Abbas et le choléra Hamas. Et ajouterai que, d’ores et déjà et depuis longtemps, le choix ne devrait pas être limité à ces deux maladies. Plus tôt, en effet, on le discernera, et mieux ce sera pour Israël, pour le monde arabe, pour ceux qu’on appelle « les Palestiniens » et, plus largement, pour le monde civilisé.


Il faudra oser souligner, tôt ou tard, qu’il ne peut y avoir d’ « Etat palestinien » en Cisjordanie et à Gaza, parce que le prétexte de cet Etat n’a été qu’une lamentable succession de subterfuges et de manipulations, visant, en réalité, la destruction d’Israël. Et servant de prétexte, successivement, au nationalisme arabe, aux manœuvres soviétiques, aux dictatures régionales et à l’islam radical.


Il faudra oser clamer qu’il ne peut y avoir d’ « Etat palestinien » en Cisjordanie et à Gaza, parce que la manipulation mentale de milliers de gens n’en fait pas un peuple et, surtout, parce que les « forces politiques » palestiniennes reposent toutes, depuis le commencement, sur le mensonge, le terrorisme et la prédation et que rien de fécond ou de stable n’est jamais sorti du mensonge, du terrorisme et de la prédation.


On pourra ajouter, bien sûr, ce qu’on a tendance à oublier : qu’il existe déjà un Etat palestinien qui possède sa capitale à Amman.

Ce qui serait nécessaire à Gaza, présentement, ce serait non pas une reprise en main par Abbas ou je ne sais quel clone triste d’Arafat, ce ne serait pas non plus une force d’interposition : ce serait un nettoyage, en profondeur, qui en extraie les armes, les explosifs, les outils de propagande et qui fasse comprendre aux assassins vociférants, la douleur d’une défaite sans retour. Ce qui serait nécessaire, à Gaza, ce serait aussi, fondamentalement, plusieurs années d’éducation à la paix, au droit et à la démocratie. Le projet peut sembler trop ambitieux, j’en suis conscient, mais si le nettoyage, en termes d’armement, était effectué, ce serait un strict minimum.
On pourrait attendre aussi, bien sûr, que les terroristes « modérés » et les terroristes radicaux s’entretuent jusqu’à l’épuisement ; malheureusement, il y a aussi des victimes civiles prises au milieu du carnage.


On devrait demander à l’Egypte qu’elle prenne ses responsabilités et dire à Moubarak qu’une frontière par laquelle passent des armes est aussi une frontière par laquelle devraient logiquement pouvoir passer la nourriture et les médicaments. On devrait lui dire qu’il est aberrant que ce soit d’Israël qu’on attende les aides humanitaires et que c’est Israël qui doive fournir l’énergie qu’utilisent les criminels des diverses factions. On devrait dire, enfin, qu’au delà d’une aide d’urgence qui devrait passer par l’Egypte, l’aide internationale essentielle, qui devrait parvenir à Gaza, ce serait la cessation totale des aides internationales : on a trop longtemps subventionné les détournements de fonds et le goût du sang.


Ce qui serait nécessaire en Cisjordanie, pour poursuivre, ressemblerait d’assez près aux nécessités à Gaza, et il faudrait rendre public que ce qui a, jusque là, évité que la Cisjordanie ne connaisse le même glissement vers l’abysse que Gaza est la présence israélienne.


Certes, je le sais, l’Egypte ne fera rien, Israël continuera à approvisionner Gaza et à parler avec Abbas. La « communauté internationale » n’interrompra pas ses aides, le nettoyage en profondeur n’aura pas lieu. On continuera à parler de l’ « Etat palestinien » à créer.


Le seul résultat, hélas, sera de prolonger les souffrances des uns et le comportement criminel des autres. Les souffrances des uns empireront, le comportement criminel des autres se fera plus criminel encore. Comme le demande une vieille chanson de John Fogerty : « Who will stop the rain ? ». Qui arrêtera la pluie ? Ou, pour dire les choses autrement, qui arrêtera l’abomination ?


Quoi que prétendent les péroraisons et les circonlocutions diplomatiques, il n’y aura pas d’Etat palestinien en Cisjordanie et à Gaza. Je le note à nouveau ici, et je prends date. Tant qu’on parlera d’Etat palestinien à créer en Cisjordanie et à Gaza et de « peuple palestinien », le monde arabe restera enfermé dans ses pathologies, l’islam radical continuera à semer le malheur, sur fond de cadavres et frénésies de rage.


En une sorte de cercle très vicieux et très vicié, les pathologies du monde arabe, l’islam radical, mais aussi la pusillanimité occidentale font, c’est très triste, qu’on continue et qu’on continuera à parler d’Etat palestinien à créer en Cisjordanie et à Gaza et de « peuple palestinien » pendant des années encore.


Le changement viendra, s’il doit venir, lorsque le monde occidental saisira enfin pleinement qu’il est confronté à une guerre mondiale, menée par le totalitarisme islamique, que face à cette guerre, Israël est l’une des composantes de la civilisation, et que dans une guerre mondiale en laquelle on est confronté à un totalitarisme, il n’y a que deux issues : la victoire du totalitarisme, ou son écrasement.


Le monde occidental n’a, pour le moment, par aveuglement ou par lâcheté, pas décidé d’écraser le totalitarisme. Il est logique, dès lors, que le totalitarisme suive son cours.

Au cœur du chaos meurtrier de Gaza, il y existe une bestialité semblable à celle qui imprègne les auteurs d’attentats en Irak, au Liban, en Afghanistan et ailleurs dans le monde. Il prévaut une bestialité identique à celle de ceux qui, voici peu encore, perpétraient des attentats-suicides en Israël ou détournaient des avions, à l’automne 2001, au dessus de New York et de Washington. Who will stop the rain ? Combien de temps faudra-t-il pour comprendre ? En attendant, les barbares avancent. Et ils tuent.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 03 juillet 2007 - 04h23:

Cacouboulot. Quel apéritif ! Il ne manquerait que la bande à bouboul tune, au bord de la mer et aux sons des vagues et aux caresses des brises.
Saha a tous les tunes la ou ils se trouvent.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 03 juillet 2007 - 01h20:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 03 juillet 2007 - 01h10:

Kek Kc'est K'ça ?

A propos des boulettes, tous sont d'accords pour déclamer que les boulettes de sa MaMan ou de son Epouse, sont les meilleures du Monde, mais,,,

On n'a pas entendu le moindre commentaire féminin, qui aurait pu nous éclairer sur la façon de confectionner les boulettes pour le couscous.

Où sont donc passées, celles qui se sont inscrites aux abonnées absentes ???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mardi 03 juillet 2007 - 00h46:

"Vive Israël. De l'idéologie de la mort à la civilisation de la vie. Mon histoire "

''Viva Israele. Dall'ideologia della morte alla civiltà della vita. La mia storia" par un écrivain italo-égyptien

Le 19/06/07, Magdi Allam est un journaliste italien d’origine égyptienne, de confession musulmane mais non pratiquant, qui est également éditeur adjoint du quotidien Corriere della Sera. Il aurait défrayé la chronique ces dernières semaines en publiant en Italie un livre qualifié de pro-israélien. Les caractères en bleu et en blanc figurant sur la couverture de l’ouvrage et son titre, "Viva Israele", ne laissent planer aucun doute sur les orientations de l’auteur.

D’après le site Maariv, qui lui consacre un article, cela fait trois semaines que le livre est sorti en librairie et on peut dire qu’il a remporté un franc succès. 70 000 exemplaires de la première édition auraient été vendus et il serait déjà question d’un second tirage.

Sous le titre de cette œuvre, est inscrite la phrase suivante : "De l’idéologie de la mort à la culture de la vie : histoire personnelle". Menacé directement par le Hamas, cela fait un moment que l’auteur ne se déplace qu’escorté de gardes du corps. Mais cela n’explique pas un tel engouement pour Israël. Pour faire comprendre ses prises de position surprenantes, il a précisé, dans une interview accordée au quotidien Maariv, que depuis qu’il se sentait en danger, il considérait que son sort était lié à celui d’Israël. Et d’ajouter : "En raison de mon choix personnel, qui s’est porté sur la sainteté de la vie, et de mon destin de musulman laïque, je me suis retrouvé en train de prendre la défense de l’Etat des Juifs".

Le livre raconte le parcours personnel de l’auteur depuis sa jeunesse au Caire où on lui a inculqué toutes sortes de préjugés sur Israël jusqu’au changement radical de ses idées concernant l’Etat des Juifs : "Mon livre cherche, en substance, à transmettre un message clair indiquant qu’en déclarant les droits à l’existence de l’Etat d’Israël, on proclame en même temps notre droit à tous d’exister".

Allam aurait reconnu qu’il était considéré comme un traître dans le monde arabe et que ses positions ne plaisaient pas non plus en Occident, non seulement dans les milieux catholiques laïques mais également chez certains groupes de Juifs qui éprouvaient des difficultés à clamer comme lui haut et fort : "Vive Israël". Et de préciser: "Cela ne veut pas dire que je me prive de critiques à l’encontre de la politique des gouvernements israéliens présents ou passés, mais je tiens simplement à affirmer qu’il est interdit de se demander si Israël a le droit d’exister".

http://www1.alliancefr.com/article-0-1-45-2255.html

Muslim, Italian and Zionist

By Saviona Man

It's not every day that a Muslim intellectual puts his own head on the line to defend Israel's right to exist. But that is exactly what Magdi Allam, an Egyptian-born Italian writer and journalist, has been doing for years. He recently published a book whose name alone is enough to endanger his life: "Long Live Israel - From the Ideology of Death to the Civilization of Life: My Story."

Last update - 22:51 02/07/2007

La suite dans

http://www.haaretz.com/hasen/spages/877090.html

Pour ceux qui comprennent l'italien, un entretien audio avec l'auteur :

http://www.radioradicale.it/scheda/228406