Par Breitou (Breitou) le jeudi 05 juillet 2007 - 15h48: |
Par Meyer (Meyer) le jeudi 05 juillet 2007 - 15h17: |
Photo du robot sanguin décrit par
Albert (Albert) le jeudi 05 juillet 2007 - 10h49
Par Albert (Albert) le jeudi 05 juillet 2007 - 14h53: |
Par Albert (Albert) le jeudi 05 juillet 2007 - 12h50: |
ISRAEL-INNOVATION de la semaine : Orsense invente un moyen révolutionnaire pour soigner le diabète
Par Lionel Amsellem (Israevalley) 5 juillet 2007
Orsense invente un moyen révolutionnaire pour soigner le diabète. Israël va, grâce Orsense, réellement révolutionner la vie des diabétiques.
Lorsque leur diabète est trop important, les patients sont obligés de vérifier plusieurs fois par jour leur taux de glucose dans le sang. Le dosage permet d’ajuster la dose d’insuline à injecter.
Cependant ce dosage est loin d’être facile et agréable. Il nécessite un geste invasif douloureux.
Chaque patient possède des lancettes (grandes aiguilles) qui sont utilisées pour traverser généralement la pulpe du doigt, ce qui permet de faire couler une goutte de sang qui sera ensuite dosée.
Ce geste invasif s’avère très désagréable d’autant plus qu’il doit, dans certain cas, être fait plus de 3 fois par jours. C’est une des raisons de la mauvaise observance du traitement par certains diabétiques.
Une société israélienne Orsense a alors inventé le NBM-200G. Cet appareil est une petite révolution dans le monde médical. Il permet de doser le glucose grâce à des rayons envoyés à travers le doigt. Le dosage est précis et rapide. Il est très simple d’utilisation et surtout totalement indolore…
Il y a plus de 200 millions de diabétique à travers le monde.
Ci-dessous le lien :
http://www.israelvalley.com/news/2007/07/05/11237/israel-innovation-de-la-semaine-orsense-invente-un-moyen-rnnvolutionnaire-pour-soigner-le-diabnnte
De grand reporter en Israël.
Par Breitou (Breitou) le jeudi 05 juillet 2007 - 12h22: |
LE POINT BOURSE PAR
Mr_Germain de la BANQUE FILLES DES WARNING.
Après une longue absence, me revoilà mes chers amis de la BOURSE DE MES ATTRIBUTS.
Lapid. Toujours au sommet bien qu’absent, son ombre plane sur vous tous comme l’œil de Caen. Sa côte ne se dévalorise pas et sa valeur toujours au sommet. Elle se négocie sous le manteau à 125 €.
Emile. Après sa bévue involontaire, nette remontée dans l’échelle des valeurs. Toujours à l’affût, il a su redorer son blason après que 820 000 israéliens, les meilleurs ont fui le miel.
112 € L’action.
Hai Victor notre grand chef a mis les petits plats dans les grands. Grosse colère sur MA BOULETTE. L’effusion de sang n’a pas eu lieu, nous attendons le grand concours avec ce J.C. Valeur de HAI 108 € au cake 40.
Michka, la reine du PTB adepte et grand fan de la Corse nous émerveille au Petit Théâtre de Breitou avec ses photos prises sur place. La Corse pays de rêve mérite bien sa Beauté.
Quelques jalouses en prennent plein la gueule. Valeur Michka 158 €. Achetez, la tendance est à la hausse.
Breitou, le meilleur navigue comme un petit poisson dans les eaux calmes et bleues de la Corse. Il compte installer son chapiteau à Calvi. Valeur 115 €.
Albert s’est fait traiter de radin par celle d’en dessous. Ces dessins sont bas de gamme.
Une poire comme elle, une haqna comme elle, une seringue comme elle, elle devrait faire un toucher rectale pour contrôler ses hémos. Je peux lui conseiller un bon praticien qui le lui fera gratuitement. Valeur en chute libre 0,03 €.
Le groupe M…G…C….pas besoin de vous faire un dessin en petite forme.
La première est revenu de ses vacances mesquines de Juan, la seconde s’est faite lamentablement oubliée et quant à l’autre, il se cherche avec une lampe à pétrole.
Valeur 0 €.
Messaoud le Corse, avec un nom comme celui là on s’interroge sur son délire. Interventions
Disparates. Valeur 1 € 25 au second marché.
Henri bien dans sa peau, celui par qui le scandale est arrivé. Son perroquet au PTB lui a valu qd même quelques échanges amusants avec le Maître des lieux. Continue, c’est bien.
Valeur 68 €.
Ma copine Annie Jaoui, que j’ai confondu avec Agnès Jaoui la scénariste, me lit. Une amie de longue date que j’ai perdu de vue.
Si elle peut me joindre cela me fera plaisir. Faites passer le message web, merci.
Valeur encore pas cotée.
La MENA, valeur 255 €.
Pour les autres hnoquettes, il n’y a rien à coter de ce qui les attends.
Ici Mr_Germain de la Banque des Filles Zamara.
Par Albert (Albert) le jeudi 05 juillet 2007 - 10h49: |
Un robot nageant dans le corps humain
Par Mena (Mena) le mercredi 04 juillet 2007 - 22h01: |
Gaza : la fiction envahit la réalité (1ère de 2 parties) (info # 010307/7) [Analyse]
Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency
L’un des aspects les moins bien connus de l’histoire de l’Union soviétique est l’importance primordiale des fonctions confiées par Lénine à son consigliere Joseph Staline, à l’occasion de la Guerre civile de 1918-1921. Pendant que Trotski, le vaniteux, exhibait ses casquettes et manteaux de cuir noir, sans oublier les massacres qu’il ordonnait, Staline, à coup d’innombrables fausses promesses cauteleuses, ralliait aux putschistes bolcheviques l’essentiel des « nationalités » qui composaient la « prison des peuples » des Tsars. Pendant que les forces « blanches », enfoncées dans leur passéisme ethno dominateur, façon Sainte Russie, continuaient à écrabouiller des masses d’êtres inférieurs, plus ou moins sombres de peau, conquises du XVII au XIXème siècle, Staline, bientôt patron du « Commissariat du Peuple aux Nationalités » (Sovnarkom), en recrutant les cadres musulmans attirés par la Révolution, en leur offrant de se défaire des Russes, des Tsars et des Infidèles, gonfla les rangs de l’Armée rouge. Il y intégra plus de 250 000 soldats musulmans, qui jouèrent un rôle essentiel, quoique méconnu, car camouflé par la saga controuvée du bolchevisme triomphant, dans la victoire des « Rouges » sur les « Blancs. » Ce fut l’époque du sultan tatare Galiev, figure de proue de ce qui devint le « national communisme ».
La Russie de l’Ancien Régime avait énormément œuvré à la conquête coloniale, avalant des centaines de tribus, de petits et de grands peuples, comme les Ouzbeks et les Iakoutes, les Tchétchènes et les Bouriates, de la Crimée à la Sibérie, des Toungouzes d’Extrême-Orient aux hordes centrasiatiques descendantes des Mongols. Pour contrôler et asservir ces peuplades, la Russie impériale, puis la Russie communiste, n’utilisaient pas seulement la brutalité traditionnelle de la guerre à la russe, mais aussi des méthodes bien plus habiles, dont certaines étaient basées sur l’ethnologie et l’anthropologie. Bref, sur la connaissance en profondeur des mœurs des « indigènes » : on divisait pour régner, on créait artificiellement de pseudo peuples, on en coupait certains autres en rondelles. C’est ainsi que l’on créa des quasi-peuples en leur donnant généreusement des alphabets : on les coupait de ceux d’en face, qui étaient d’origine latine, ou cyrillique, ou autre. En utilisant des folkloristes, on créa des littératures entières, ce qui avait pour objectif principal de développer des caractères « ethniques » distincts. Sans entrer dans les détails, ce fut l’un des grands outils de la domination soviétique sur les très nombreux peuples musulmans de l’URSS profonde.
L’URSS développa une infrastructure sophistiquée commise aux manipulations ethnoculturelles, ainsi que des institutions – l’Institut d’Orient, l’Institut d’ethnographie de l’Académie des sciences, etc. – qui se spécialisèrent en la matière. Existe-t-il un rapport quelconque entre ces manipulations et la « question palestinienne » ? C’est la question à laquelle j’entends répondre dans cet article.
En 1954, les services de renseignement du Colonel Nasser, soucieux de doter l’Egypte d’un nationalisme arabe (panarabisme) dominant celui de tous ses concurrents arabes - monarchiques comme la Jordanie ou l’Arabie, panarabe « socialiste » comme la Syrie -, recrutèrent un certain nombre de voyous et de nervis aux attaches étroites avec les Frères musulmans égyptiens, parmi lesquels un certain personnage natif du Caire, que le monde découvrira plus tard sous le pseudonyme de Yasser Arafat. Les services en questions organisèrent, financèrent et équipèrent le petit groupe ainsi formé et intitulé al Fatah, pour rivaliser avec le groupuscule violent concurrent, créé par les services de renseignement militaires syriens : l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP), soumis quant à lui à la férule d’un bureaucrate égyptien, corrompu et jouisseur, nommé Ahmad Choukeiry.
Chacun avait ainsi « son groupe palestinien ». Jusqu’alors, dans le mouvement nationaliste arabe, personne n’avait jamais parlé de « Palestine » et de « Palestiniens » mais des « droits des Arabes » sur la « Palestine mandataire ». On se souviendra, à ce propos, que le monde arabe avait, comme un seul homme, rejeté la résolution onusienne de partition de ce territoire, dont il clamait l’arabité indivisible. Les panislamistes et panarabes des années vingt, trente et quarante, n’avaient jamais excipé de la palestinité les territoires déniés aux Juifs, mais ils arguaient uniquement de leur arabité et de leur islamité.
C’est la conjonction entre l’agit-prop arabo-musulman et son pendant soviétique qui créa : premièrement, le mouvement terroriste palestinien ; deuxièmement, le mouvement politique palestinien ; troisièmement, la fiction « palestinienne » et, couronnement de cette méga mystification : le « peuple » palestinien. Ils intitulèrent « peuple palestinien » les populations qui vivaient aux alentours et au sein de l’Etat d’Israël. C’est à un travail continu d’ingénierie sociale et culturelle que l’on doit la construction de l’inexistant « peuple » palestinien. C’est cette industrie qui fit d’immigrants syriens, libanais et bosniaques, du début du XXème siècle, de même que d’Arabes du vilayet turque, qui régissait la région avant 1918, ceux que l’on nommera bien plus tard « les Palestiniens ». Les « Palestiniens » sont, il est essentiel de le comprendre, un objet politique suscité de toutes pièces.
Certes, dans le système ottoman, la construction nationale était difficile : à ce jour, l’ancien empire ottoman n’a d’ailleurs été supplanté par aucun Etat-nation, hors les vraies nations historiques – Turquie, Iran, Egypte. Fait de régions administratives et de tribus, où nul n’accordait sa loyauté à l’Etat ni à la Nation, mais à la famille, au clan, à la tribu, d’un côté, au Calife ou au Sultan, de l’autre, l’empire ottoman était si récalcitrant au fait national, que la langue turque, pas plus que l’arabe, ne possédait aucun vocable susceptible d’exprimer l’idée de nation, encore moins celle d’Etat-nation : la tribu s’y opposait à la nation par en bas, et l’Umma musulmane par le haut.
On a beaucoup glosé sur le fait que les frontières du Moyen-Orient seraient « artificielles », « coloniales » et « dessinées par l’impérialisme ». L’assertion est une foutaise, puisque toutes les frontières, celles créées par les Traités de Versailles, entre autres, par le Congrès de Berlin, de San Stefano – même par les Traités de Westphalie –, et, pour résumer, par tous les traités de l’histoire, sont, en ce sens, des « conventions », ratifiées ou non par l’us et le temps. L’argument de la glose est nul à l’endroit les entités du Moyen Orient.
Traditionnellement, hors l’invention des frontières par l’Europe, c’est le rayon d’action de la puissance et de l’influence du monarque qui déterminait sa sphère d’influence et celle de ses rivaux. Le Grand Turc s’arrêtait où commençait le Shah de Perse… A l’intérieur des sphères politiques elles-mêmes, régnaient les mini-dynasties grâce à l’usage du sceau de l’un ou de l’autre des suzerains. L’Emirat d’Alep et les Maronites du Liban, le Sharif du Hijaz et le Dey d’Alger, le ceci de Damas et le cela de Mossoul, dirigeaient, sous autonomie et avec le soutien du monarque. L’Etat-nation était inexistant, et, même à ce jour, il n’a toujours pas plongé de vraies racines dans les sables du Moyen-Orient.
Comme l’avait montré il y a déjà longtemps le professeur Bernard Lewis, le Moyen-Orient est un agrégat d’entités ethniques, sectaires, tribales et micro nationales. C’est un chaos inconstitué, sans autre relief que celui des buttes-témoins de l’histoire. Dans ce cadre-là, l’Etat-nation est rare, nous venons de le voir. Parler de « peuple » palestinien était une gageure, plus encore, il procédait d’un lancement fictionnel.
Entendons-nous bien : ce n’est pas parce qu’un peuple n’a jamais existé en tant que tel qu’il ne peut surgir comme objet politique. La question n’est pas là. Les Etats-Unis se sont auto créés entre 1763 et 1787 ; la Slovaquie s’est créée dans les années 1990. Israël s’est auto-fondée, mais au terme d’un effort provenu des tréfonds du peuple juif, et non comme un zombie du panarabisme, un ectoplasme soviétique, à l’image du « peuple » palestinien.
Entendons-nous également : un certain nombre d’Arabes croient effectivement être « palestiniens ». Mais leur croyance subjective n’engage pas forcément la réalité. Qu’ont fait les Juifs arrivés en Palestine – ce nom, Palestine, définissant la Palestine juive de 1900 ou de 1920 ! - ? Ils ont bâti des implantations, conçu des institutions, des formes étatiques, des universités et les bases de la vie en société : ils ont construit. Qu’ont fait les Palestiniens ? Ils ont agi comme une machine de guerre contre ce qui était érigé ; sans jamais rien tenter, sans manifester l’intention concrète de développer quoi que ce soit. Ils ont fonctionné tels des machines à détruire, depuis les attentats quotidiens commis contre l’agriculture, l’irrigation et les installations israéliennes en 1955-56. C’est exactement la même dialectique qui s’est poursuivie lors de la dévastation emblématique, par les Palestiniens, des serres chaudes laissées par Israël derrière elle, à Gaza, en 2005.
A suivre…
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 04 juillet 2007 - 19h16: |
Message recu aujourd'hui du Consistoire (Beith Din) de Londres, concernant des produits retires de la liste des produits cashers, car PLUS cashers.
Due to manufacturing changes, the following products previously approved and Parve are now Not Kosher:
CRISPS & SNACKS
McCoys
NK Mexican Chilli Crisps
PEANUT BUTTER
Sun Pat
NK Crunchy
NK Smooth
LIQUEURS
Bols
NK Lindauer Apfel
Par Victor (Victor) le mercredi 04 juillet 2007 - 19h07: |
Pourquoi Israël ?
04/07/07
- Thème: Israël
Dans une interview accordée à Charlie Hebdo, Claude Lanzmann revient sur la réalisation de son film « Pourquoi Israël ? », sorti en 1973. D’après le journaliste, « ‘Pourquoi Israël’ est un portait empathique d’un jeune pays alors âgé de vingt-cinq ans, une mosaïque de visages et de voix, un ballet impressionnant de rencontres qui, par la force des entretiens et la puissance du montage, rend compte d’une spécificité existentielle et historique ».
Le film commence et se termine à Yad Vashem, et les trois heures du documentaire apparaissent comme une longue parenthèse ouverte à l’intérieur d’un même plan tourné dans la salle, qui recueille les noms des six millions de disparus pendant la Shoah, explique l’hebdomadaire. Pour Claude Lanzmann, « la relation de causalité entre la Shoah et l’existence de l’Etat d’Israël » est « une évidence », cependant il est important d’insister sur le fait qu’ « Israël n’est pas la rédemption de la Shoah ». Si Claude Lanzmann a réalisé « Pourquoi Israël » c’est « en partie pour répondre à ses anciens copains des luttes anticoloniales » qui voyaient en Israël « un oppresseur », surtout après la Guerre des Six Jours. Loin d’être un film de propagande, Claude Lanzmann a voulu être juste en mettant en scène la démocratie israélienne marquée par des contradictions. « Les Israéliens ne sont jamais d’accord. Notamment sur la question des Palestiniens et des territoires, qui est évoquée dans la dernière partie du film », explique t-il.
Sortie en DVD de « Pourquoi Israël » (1973) réalisé par Claude Lanzmann (Ed. Why not).
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9213&artyd=5
Par Henri (Henri) le mercredi 04 juillet 2007 - 13h07: |
Hajkloufette chalom,
Ce mouvement (cree en 1969) etait au depart pour encourager les juifs nord-africain de France a monter en Israel.
Et je constate que ses dirigeants sont toujours bien installe en France.Qqun ont fait leur alya ainsi que .......................leur yerida.
Yom tov.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 04 juillet 2007 - 11h41: |
Boker tov Henri
le mouvement SIONA , MOUVEMENT SIONISTE DES ORIGINAIRES D’AFRIQUE DU NORD. N a vraiment rien a voir avec Nes Tsiona c est une association francaise representee je crois au CRIF et qui organise avec les representants dont tu as lu les noms une ceremonie pour demander la liberation de nos soldats ... je pensais que cette info qui ne concerne pas les Israeliens ... mais les Parisiens avait une place sur Adra ... J avoue l avoir copiee et collee comme je l ai recue ...