Archive jusqu'au 11/juillet/2007
Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007:
Commentaires Juillet 2007:
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Devine qui vient se faire opérer ce soir ?
Un article d'un journal irlandais relate que les irlandais et britanniques vont enfin pouvoir être soignés... en France. Et ceci grâce à une décision de la Cour de justice des communautés européennes.
En gros, après cet arrêt, il devient plus facile pour les victimes du blairisme et du financement insuffisant du National Health Service britannique de venir se faire soigner ailleurs (en l'occurence en... France)
La libre prestation de service est inviquée à l'appui de cette décision. On y vois un hommage redoutable du vice à la vertu...
Hommage, car après tout démonstration est bien faite que si nous exportons nos jeunes à Londres qui sont contents de ne pas y payer d'impôts, les britanniques vieux sont bien contents de se faire soigner chez nous qui payons tant d'impôts (vous connaissez la cigale et la fourmi ?)...
Redoutable car enfin, si cette mécanique infernale devait durer, il est évident que nous ne pourrions longtemps conserver une qualité des soins supérieure...
Les médecins du Royaume uni préférant s'expatrier, afin de mieux gagner leur vie, il est clair que sans les médecins étrangers (quelque soit leur religion), les Britanniques n'auraient d'autre choix que de venir se faire soigner chez nous, et en grande partie aux frais de nos cotisations sociales.
Etre soigné par un médecin musulman peut être dangereux pour la santé,.
Par Simon Frajdenrajch, analyste
Le réseau "Hippocrate' en Grande Bretagne, qui a ourdi les attentats manqués à Londres et Glasgow, est composé de jeunes médecins de moins de trente ans, le plus souvent en cours de spécialisation, ou d'étudiants en médecine.
C'est évidemment une honte absolue pour notre confrérie.
Outre un "neurochirurgien en herbe", de nationalité jordanienne et d'origine palestinienne, ce réseau de médecins terroristes comprend un médecin indien, d'origine pakistanaise, arrêté à l'aéroport de Brisbane en Australie alors qu'il s'apprêtait à fuir en Malaisie, pays accueillant aux terroristes musulmans ; mais aussi un médecin irakien, et puis l'épouse neurologue du neurochirurgien en herbe, et quatre étudiants en médecine.
Huit jeunes gens de la "fine fleur" de l'intelligence et de la présumée humanité, professant la Religion d'Amour et de Tolérance.
Ils n'ont qu'un seul défaut : ce sont des musulmans radicaux.
Les médecins immigrés originaires de pays arabes et musulmans, sont nombreux sur le territoire français : formés dans des facultés au Maghreb, en Egypte, au Liban, en Syrie, bien moins exigeantes sur la qualité de la formation et la sévérité de la sélection que nos facultés de Médecine, où les petits Français de souche doivent passer sous les fourches caudines d'un numerus clausus impitoyable à la fin de la première année.
Ces jeunes candidats français se voient ainsi substitués par des diplômés qui font les "petites mains au rabais" des hôpitaux de deuxième catégorie en mal d'internes et de médecins adjoints (prescrivant en principe sous la responsabilité du chef de service).
C'est Mme Simone Veil qui la première, commença d'autoriser leur certification pour exercer en médecine libérale, et Bernard Kouchner, quand il fut ministre de la santé, élargit la mesure et renouvela les examens de certification, en principe forclos.
Cette situation bâtarde, enkystée depuis plus de vingt ans, doit bien arranger les autorités de santé françaises, puisque après un certain nombre d'années passées en France, où ils peuvent très légitimement acquérir la nationalité, se marier et fonder une famille, ces médecins à "diplôme non européen", en passant "l'épreuve clinique et thérapeutique de fin d'études", sont autorisés à s'inscrire à l'Ordre des Médecins et à pratiquer comme leurs confrères ayant suivi le parcours d'obstacles des facultés françaises.
Depuis que le système s'est mis en place, ils sont environ 11.000 à avoir bénéficié de ces arrangements.
Soit trois générations de jeunes médecins formés en France quand le numérus clausus était au plus fort, soit 3500 candidats par an et pour toute la France dans les années 1980-1990.
Notons que parmi les médecins provenant de l'ancien "empire français", essentellement l'Afrique, très peu retournent "au pays" pour servir l'Etat qui leur a offert leurs études.
On en arrive ainsi au paradoxe que ce sont des médecins de la communauté internationale - Européens et Américains travaillant dans des ONG médicales - formés dans des pays développés en particulier, qui partent faire de la "médecine humanitaire" dans des pays où les besoins en médecins sont si criants.
L'émigration de ces cerveaux est de nature économique : la vie est certes plus facile en France qu'en Afrique.
Il s'agit d'un pillage consenti de richesses intellectuelles des pays du tiers monde.
Ces explications ne sont évidement pas destinées à défendre un discours raciste.
Elles ne sont que l'illustration de la réalité travestie par nos autorités politiques, qui veulent nous culpabiliser pour les erreurs de prévisions qu'elles ont commises sur les besoins médicaux en France.
Cependant, l'histoire vraie rapportée ci-dessous fait froid dans le dos et doit nous donner à réfléchir.
Quand votre médecin est un musulman :
Le terrorisme médical arrive en Amérique
Par Debbie Schlussel <http://www.debbieschlussel.com/>;
http://www.debbieschlussel.com/archives/002354print.html
Adaptation française de Sentinelle 5767 ©
Parfois - si souvent - la diversité n'est pas ce pas aussi fêlée qu'on le dit.
Demandez le seulement à Joseph Applebaum<http://www.whokilledja.com/>;. Bien : vous pourriez le lui demander. Mais vous n'obtiendrez aucune réponse. Il est mort. Et il est mort parce qu'il était un juif, et son médecin un musulman diplômé de l'Ecole de Médecine " Ayman Al-Zawahiri ".
Mais Applebaum ne s'est pas vu refuser u traitement pour être juif en Egypte. Ou ailleurs dans le monde musulman. Cela est arrivé précisément sur le sol des USA. A Chicago.
Alors que les médecins musulmans continuent d'inonder le pays grâce à des lois d'immigration laxistes, des hôpitaux à travers le pays en ont pris une fraction non négligeable. La plupart des hôpitaux de la région de Détroit sont aujourd'hui dominés par des médecins musulmans, et l'ont été depuis quelque temps.
Le médecin musulman de Joseph Applebaum, Z"L* a refusé de le traiter : laisse le mourir. Mais même dans les hôpitaux où ils ne sont pas prédominants, les médecins musulmans commencent à montrer un comportement envers les patients non musulmans qui est très alarmant.
Le 1er décembre 2003, Joe Applebaum a été admis au " Rush North Shore Medical Center", un grand hôpital de Chicago. Il souffrait d'un abdomen aigu (ou distendu) - un œdème de l'estomac facilement diagnostiqué et traité. Mais il n'a jamais été traité par quiconque à l'hôpital. Pendant 12 heures, Joe Applebaum a été laissé seul - seul jusqu'à la mort, ce qui survint le lendemain.
Homme juif, il fut identifié comme tel sur la page de garde de son dossier médical. Le médecin chef résident assigna pour traiter M. Applebaum, Osama Ahmed Ibrahim, Docteur en Médecine [MD en anglais, Ndt], qui remarqua sûrement la mention religieuse sur le dossier d'Appelbaum. Et il apparaît que c'est la raison pour laquelle il ne contrôla ni n'examina jamais ce patient en urgence, M. Appelbaum, et l'abandonna à la mort. Quand un autre médecin de l'hôpital examina enfin M. Appelbaum - non pas le médecin désigné, le Dr Ibrahim, il dit au fils de M. Appelbaum, Michael, de dire adieu à son père parce qu'il allait mourir.
Le Dr Ibrahim est un musulman de Birmingham, Angleterre - un foyer de radicalisme islamiste et de planification du terrorisme. C'est un bouillon de culture de haine antijuive. Il est diplômé de l'Ecole de Médecine " Ain Shams University " en Egypte. Cette Ecole extrémiste a modelé dans sa faculté le père du cerveau d'al Qaïda et son numéro deux, le Dr. Ayman Al-Zawahiri. Le père Zawahiri était activiste des "Frères Musulmans".
D'autres membres et diplômés de la faculté 'Ain Shams' comprennent :
* L'ancien chef du Hamas, Sheikh Ahmed Yassin;
* Le président des "Frères Musulmans" Mohammed Mahdi Akef;
* Le tireur terroriste relâché Hesham Mohamed Hedayet;
* L'mam extrémiste Canadien, Aly Hindy; et
* Le codirigeant extrémiste du Parti " Yémen Al-Islah ", Abdul Majeed Al-Zindani.
Pourquoi le Dr Ibrahim a-t-il négligé un patient venu avec une affection facilement traitable, et le laissa-t-il mourir, 12 heures plus tard ? Il apparaît que ce ne peut qu'être parce qu'il ne voulait pas traiter un patient juif et le laisser vivre. Il ne peut y avoir d'autre raison.
Le fils de M. Appelbaum, Michael, est à la fois docteur en médecine et avocat. Alors qu'il attendait le Dr Ibrahim pour voir son père, il appela le Dr Ibrahim et l'alerta sur l'affection de plus en plus sévère de son près, et du fait que son père souffrait d'un " abdomen aigu ". Le Dr Ibrahim déclara qu'il avait examiné M. Appelbaum. Mais c'était un mensonge. Il ne l'observa jamais.
Et il le tua avant tout en lui refusant un traitement. C'est un cas d'extrême négligence et de mauvaise pratique médicale dans l'objectif apparent d'un meurtre antijuif.
Le fils de M. Appelbaum Michael poursuit maintenant en justice le Dr Ibrahim, l'hôpital - " Rush North Shore Medical Center ", et d'autres impliqués dans le meurtre de son père. Le dossier est instruit dans l'Illinois, et il recherche un bon avocat pour poursuivre l'affaire qu'il a entamée. Si vous êtes intéressé ou pouvez aider, merci de le contacter sur le site Internet qu'il a monté : http://www.whokilledja.com/
Pour documenter cette tragédie en cours.
Ce n'est pas le seul cas où un médecin musulman a laissé délibérément son patient juif mourir, ce n'est que le seul dont nous ayons connaissance. Et ce ne sera probablement pas le dernier.
Les médecins musulmans - en particulier ceux d'Ecole Médicales étrangères enracinés dans le monde de la haine antijuive et anti-américaine ; mais nombre de ceux d'ici également - ont des antécédents incompatibles avec le niveau fondamental de soin requis et attendu en Amérique. Hélas, personne ne les contrôle dans notre système de santé. Et personne ne le fera.
Mais nous savons qu'il y a beaucoup de docteurs qui ont été en première ligne pour ôter des vies - non pas les sauver - au nom de la " Religion de Paix ".
* Dr. Ayman Al-Zawahiri - cerveau d'Al-Qaïda et numéro deux du groupe, présumé chirurgien et/ou psychiatre ;
* Dr. Mohammad Rabi Al-Zawahiri - Père Ayman's et fanatique des "Frères Musulmans", pharmacologue et professeur à " Ain Shams Medical School "
;* Dr. "Abu Hafiza" - maître planificateur d'Al Qaïda, qui fut le cerveau et le commandant de la cellule marocaine qui fournit la logistique des attaques du 11 septembre, et qui recruta des insurgés d'al Qaïda pour des batailles à Fallujah, psychiatre marocain ;
* Dr. Abdel Aziz Al-Rantisi - dernier chef du Hamas, pédiatre ;
* Dr. Mahmoud Al-Zahar - Co-fondateur et chef du Hamas, chirurgien et conférencier à l'université islamique de Gaza ;
* Dr. Fathi Abd Al-Aziz Shiqaqi - Récent fondateur du jihad Islamique, et actif au Fatah, médecin ;
* Dr. George Habash - Fondateur et chef du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP), pédiatre : intéressant puisqu'il tira à la roquette sur un bus scolaire plein d'enfants à Avivim, en Israël ;
* Dr. Bashar Assad - président de la Syrie, Etat parrain de la terreur, accueillant chez lui tous les groupes islamiques terroristes imaginables, ophtalmologiste.
Et il y a d'autres problèmes, tells que les maladies infectieuses. Nous voyons maintenant des cas en Grande Bretagne dans lesquels des médecins musulmans refusent de laver leurs mains avec un désinfectant à base d'alcool, à cause de la prohibition la consommation d'alcool par les Musulmans.
Dans le New Jersey, le Dr Ahmed Rashed <http://www.debbieschlussel.com/archives/2007/03/religion_of_pea_20html>;,
résident arabe musulman, a mutilé et vole la main d'un cadavre comme cadeau à un strip-teaseur. Ce peu de respect pour la vie de la part d'une religion participant désormais lourdement à une profession qui exige le serment de ne pas faire de mal, et de préserver la vie du patient. Non seulement il n'a pris qu'une tape sur la main - pas d'emprisonnement, pas de casier judiciaire - mais il pratique actuellement une activité en médecine au " Maimonides Medical Center de New York ". Le vrai Maïmonide, médecin et rabbin juif légendaire, brillant, et érudit religieux - se retourne dans sa tombe.
Peut-être que le procès du Dr Appelbaum contre le " Rush North Shore Medical Center " obligera les hôpitaux à y réfléchir à deux fois avant d'engager des médecins musulmans enclins à pratiquer le terrorisme médical contre leurs patients. Aujourd'hui, la victime est un juif, uniquement parce qu'il est juif. Mais demain, ce sera un chrétien, parce que il ou elle est chrétien(ne). Ou quelque autre victime non musulmane, uniquement parce que il ou elle est une victime non musulmane.
Pouvons-nous nous permettre d'avoir en Amérique des docteurs dont l'allégeance à leur patient est bien moindre que leur allégeance à une observance extrémiste d'une religion de haine ? Si ils ne peuvent pas et ne veulent pas donner des soins, ils ne doivent pas avoir de licence pour pratiquer la Médecine aux Etats Unis.
Comme je l'ai dit, Maïmonide se retourne dans sa tombe.
Joseph Applebaum, *Zichrono LiVrachah - Que sa mémoire soit bénie.
Correspondance.
Par Marc Knobel - 9 juillet 2007 -
Un robot israélien qui est au fantassin ce que les drones sont aux avions militaires
Aux États-Unis, Elbit Systems, une firme d'armements israélienne, a présenté un robot d'un nouveau genre. Un robot conçu pour lutter contre les guérillas urbaines, le terrorisme, voire dans des combats plus conventionnels. Son nom ? VIPeR. Qui s'y frotte s'y pique ?
DR)
De petite taille et très agile pour se déplacer sur toutes sortes de terrains, le robot en question se pilote à distance et a, selon Elbit, la vocation de réduire drastiquement le nombre de combattants engagés et tués sur le terrain. Ce qui était il y a peu de la science fiction va bientôt devenir une révolution dans le monde du contre-terrorisme” a rapporté un expert israélien des systèmes anti-terroristes au quotidien Ynet.
Léger et petit (un seul soldat peut le porter sur son dos dans une espèce de sac à dos), simplement animé par un petit moteur électrique, doté d'une caméra vidéo et bardé de centaines de capteurs, il se joue des escaliers, des caves et grottes, des tunnels, etc. Il ne s'agit cependant pas de visiter la planète Mars, mais de lutter contre des hommes et –le cas échéant de les tuer….
Préventif ou tueur-né ?
(DR)
Cela dit, le VIPeR a d'abord des fonctions de prévention avec son système de détection et de désamorçage des explosifs (en Israël, les désactivations de paquets explosifs se font déjà depuis longtemps via des robots ad hoc). Mais le VIPeR va donc plus loin dans l'engagement militaire, sans mettre en périls les soldats de Tsahal (l'armée israélienne). On peut en effet lui faire lancer à grande distance de simples fumigènes ou des grenades incendiaires.
Pire encore : le robot est doté d'un pistolet-mitrailleur UZI 9mm (également de fabrication israélienne, comme on le sait). Arme bien entendu destinée à tuer ou au mieux à blesser un assaillant ou un « ennemi »…
(DR)
Pas encore officiellement commercialisé par Elbit, qui voudrait bien le vendre aux Etats-Unis, empêtrés dans les bourbiers afghan et irakien, le VIPeR t doit encore être soumis à de nombreux tests de finalisation. Et sans surprise, le VIPeR devrait ensuite équiper rapidement Tsahal, engagée au Nord contre le Hezbollah, à l'ouest et à l'est contre les palestiniens du Hamas et de la Djihad Islamique.
Pendant ce temps-là, en Corée du Sud on réfléchit sérieusement à une charte éthique pour les robots...
Drôle de télescopage d'informations. Au moment même où Elbit dévoilait son robot VIPeR, d'éminents scientifiques Sud-Coréens indiquaient qu'ils avaient commencé de travailler sur une «Charte éthique des robots» pour les protéger d'abus humains et vice-versa…
Adoptée sans doute avant fin 2007, selon les dires du ministère du Commerce de l'Industrie et de l'Energie du pays du matin calme, la charte est donc établie par un comité regroupant des experts, des futurologues et même un écrivain de science-fiction…
Il faut dire que la charte en question n'est pas sans faire penser aux trois règles établies dans les années 40 par l'écrivain américain (d'origine juive russe) de science fiction, Isaac Asimov. A savoir:
- les robots ne doivent pas s'en prendre à des humains ou permettre à des humains de faire du mal (le VIPeR ne viendra donc jamais en Corée…)
- les robots doivent obéir aux humains à moins que cela entre en conflit avec la première loi
- les robots doivent assurer leur protection si cela n'entre pas en conflit avec les autres lois
Et si le VIPeR était au contraire utilisé à des fins pacifiques ? Je veux dire « Et si demain on faisait se battre entre eux des robots sur les terrains de conflits, comme sur les terrains de foot de futurs ingénieurs s'affrontent sous l'égide de M6 et de Mac Lesggy ? Ca ne serait pas formidable ? Je sais, je sais, je suis trop naïf… Mais je me soigne !
Gérard CLECH
Correspondance.
Kouchner : La France ne ménagera aucun effort pour la libération de Shalit, Goldwasser et Regev
10/07/07
- - Thème: Solidarité
« Lors de la conférence interlibanaise, qui se tiendra à Paris du 14 au 16 juillet, le minimum ne serait-il pas que la France demande un signe de vie des deux soldats enlevés par le Hezbollah ? ». Roger Pinto, président de Siona et du Comité international pour la libération des soldats israéliens détenus en otages, a posé cette question à Bernard Kouchner, le 9 juillet au Quai d’Orsay.
Le ministre des Affaires étrangères, qui recevait les familles de Gilad Shalit, Ehoud Goldwasser et Eldad Regev, a insisté sur l’obligation de la France d’obtenir la libération des trois otages, de faire pression sur le Hezbollah, et d’insister auprès de tous les interlocuteurs possibles pour que les trois soldats soient rendus à leurs familles.
Roger Pinto a organisé la venue à Paris des familles des soldats enlevés en 2006 par le Hamas et le Hezbollah. Outre le ministre des Affaires étrangères, la délégation israélienne a été reçue par le Président de la République et le Maire de Paris. Le CRIF, qui soutient depuis sa fondation l’action de Roger Pinto à la tête du Comité international pour la libération des soldats israéliens détenus en otage, était représenté par son directeur général Haïm Musicant à la réunion au ministère des Affaires étrangères.
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9237&artyd=2
Delanoë : il faut obtenir des preuves de vie des soldats israéliens enlevés
10/07/07
- - Thème: Solidarité
Bertrand Delanoë a communiqué au CRIF une lettre qu’il vient d’écrire à Bernard Kouchner, quelques jours avant la tenue à Paris de la conférence interlibanaise.
Le Maire de Paris écrit au ministre des Affaires étrangères : « Il m’apparaît indispensable que soit exigés du Hezbollah, avec la plus grande fermeté des preuves de vie et de bonne santé des soldats israéliens enlevés en juillet 2006, et des signes tangibles en vue de leur prochaine libération ».
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9244&artyd=2
Israël GUERRE et PAIX - La météo sur une guerre de l'été en Israël est alimentée par l'américain Dennis Ross Par Y.B. ( pour IsraelValley)
Tous les jours dans la presse israélienne un article annonce une guerre prochaîne. C'est devenu une sorte de météo ; de la guerre d'un goût douteux. Objectif de cette presse : vendre plus de journaux.
Dernier article repris par la presse libanaise :
L'ancien diplomate américain Dennis Ross a mis en garde contre un risque de guerre entre Israël et la Syrie, dans une interview au journal israélien en ligne Ynet news, hier. M. Ross, ancien négociateur pour la paix au Proche-Orient, estime qu'il « existe un risque de guerre » entre Israël et la Syrie cet été. Selon lui, « personne n'a pris la décision (d'aller en guerre), mais les Syriens s'y préparent ». M. Ross a critiqué l'Administration Bush pour avoir été « dure dans ses discours » mais « molle dans ses actes » vis-à-vis de Damas. Selon lui, « nous avons atteint la pire des situations. Les Syriens estiment qu'ils n'ont rien à perdre en ne modifiant pas leur comportement, et ne voient pas ce qu'ils pourraient gagner en changeant d'attitude ». Selon l'ancien diplomate, « la Syrie a armé le Hezbollah jusqu'aux dents, et il existe certainement un prix pour cela », a-t-il insisté, pointant du doigt l'Administration Bush pour avoir échoué à appliquer le Syria Accountability Act. Il a expliqué que les Américains et les Européens devraient avoir pour objectif de « faire plier l'économie syrienne » et de faire usage de la politique « du bâton et de la carotte », dans leurs discussions avec Damas. S'agissant des relations entre l'État hébreu et la Syrie, M. Ross a estimé que Jérusalem a « ses propres canaux de communication » avec Damas, et à cause de l'absence de dialogue avec la Syrie, le risque d'une guerre entre les deux pays a augmenté, alors que si des canaux de dialogue sont ouverts, cela réduirait le risque d'un conflit armé. Enfin, pour M. Ross, le mouvement Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas va perdre le contrôle de la Judée-Samarie s'il ne change pas de comportement.
Le premier Mondial de nano-football
Laurent Suply (lefigaro.fr).
Publié le 09 juillet 2007
Un micro-robot sur une pièce d'un penny.
Des micro-robots vont s’affronter sur un stade de 2.5 millimètres.
La ville américaine d’Atlanta accueille la 11e édition de la RoboCup, équivalent des Jeux Olympiques des robots. Cette année, une nouvelle catégorie est expérimentée, les « NanoSoccer », ou nanofoot. Les règles du jeu sont simples : des micro-robots de moins de 300 micromètres jouent au football sur un terrain de 2.5 mm.
Ce « Mondial » miniature se déroule en quatre épreuves. Le sprint, durant lequel les robots doivent simplement traverser le terrain d’un but à l’autre le plus vite possible. Le slalom, au cours duquel ils doivent effectuer le même trajet mais en évitant des « défenseurs » statiques. Mais surtout la conduite de balle, l’épreuve reine, durant laquelle les micro-robots ont trois minutes pour pousser dans les buts un maximum de « ballons ». A l’issue de cette compétition, les équipes pourront enfin faire la démonstration de leur savoir-faire en menant des phases de jeu avec plusieurs robots et des chorégraphies appelées « robodances ».
L'article avec une vidéo
http://www.lefigaro.fr/sciences/20070709.WWW000000441_le_premier_mondial_de_nano_football.html
Un article relaye par Simon Pilczer :
Sujet : Les amis d'Israël...doivent travailler..., Par Caroline B. Glick
Jewish World Review July 3, 2007 / 17 Tamuz, 5766
Les amis d'Israël au Congrès, l'administration Bush et la communauté politique des USA doivent travailler à contrecarrer la politique en faillite de Rice
Par Caroline B. Glick
http://www.jewishworldreview.com/0707/glick070307.php3
Adaptation française de Sentinelle 5767 ©
Mais l'administration Olmert est-elle capable d'apprécier et d'agir dessus ?
Aujourd'hui, le Hamas consolide son pouvoir à Gaza et prépare ses prochaines avancées en Judée et en Samarie. Le Fatah - son principal concurrent - s'est effondré.
Le Fatah a été plongé en état de choc organisationnel le mois dernier, après que ses milices entraînées par les USA aient cédé le contrôle de Gaza au Hamas et que ses commandants primaires des USA aient fuient la zone.
Bien qu'avec assez d'argent de la corruption pour ses furieux partisans, grâce à Israël et aux USA, le Fatah peut être capable de ressusciter temporairement (au moins jusqu'à ce que ses chefs se sentent suffisamment en sécurité avec leurs comptes en banque suisses pour décamper à Bornéo), la consolidation du contrôle du Hamas sur Gaza a cependant scellé le certificat de décès du Fatah.
Au cours de son putsch jihadiste à Gaza, le Hamas a pris le contrôle non seulement de l'arsenal militaire du Fatah financé par les USA et les Européens, ainsi que l'équipement rassemblant le renseignement du MI-6 et de la CIA, offerts avec prodigalité au Fatah. Il s'est aussi emparé des dossiers de renseignements du Fatah et des dossiers personnels des chefs du Fatah. C'est à dire que le Hamas possède maintenant la preuve documentée complète de la corruption du Fatah ; de son implication dans le terrorisme ; et de son double jeu avec l'Occident, avec les régimes voyous comme l'Iran, et avec les groupes terroristes comme le Hezbollah, le Hamas, le jihad islamique et al Qaïda.
Il n'y a aucun doute que sous la tutelle de la direction des services de renseignements iranien et syrien, le Hamas utilisera son trésor d'informations de manière à bloquer toute tentative du Fatah de renouer ses bases de soutien dans la société palestinienne.
L'aubaine du renseignement tombé aux mains du Hamas empêchera de même le Fatah de résister significativement à la consolidation du contrôle du Hamas sur Gaza, et à l'expansion de la férule du Hamas en Judée et en Samarie.
Deux exemples de l'utilisation de l'information par le Hamas à ce jour suffisent à éclaircir ce point. D'abord, il y a le Palestinien " allant droit au but ", favori d'Israël et des USA, Salam Fayad. Fayad - ancien officiel de haut rang de " l'Arab Bank " liée au terrorisme, et actuel Premier Ministre du gouvernement de Judée et Samarie du Président du Fatah Mahmoud Abbas - a servi volontairement de ministre des finances du gouvernement du Hamas avant la prise de Gaza.
En clamant que Fayad était son ami personnel, la Secrétaire d'Etat Condoleezza Rice a ignoré le boycott de son propre gouvernement à l'encontre du gouvernement par le Hamas, pour rencontrer Fayad lors d'une visite à Washington ce printemps.
Ce dimanche, le terroriste et parlementaire du Hamas Yahya Musa a accusé Fayad de corruption. Le qualifiant de " chef des voleurs ", Musa a révélé que Fayad est soupçonné d'avoir détourné 36 millions de $ de la " Compagnie de Développement de l'Agriculture ".
Musa a aussi suggéré que Fayad a personnellement supervisé le financement du terrorisme en déclarant qu'il " avait pour habitude de transférer des fonds publics au Fatah ".
Le second exemple est l'utilisation par le Hamas de l'information sur le commandant du Fatah Mohammed Dahlan. Le 15 juin, le Hamas s'est emparé de l'immense résidence de Dahlan à Gaza. Le Hamas a déclaré qu'il y a trouvé une valise pleine d'or, de passeports contrefaits pakistanais et américains, et la carte d'identité du garde-frontière israélien assassiné, Nissim Toledano. La dernière découverte est particulièrement révélatrice.
Depuis 1994, les USA et Israël ont ignoré des montagnes de preuves de l'implication de Dahlan dans le terrorisme. Les deux gouvernements se sont cramponnés à leur soutien à Dahlan, malgré ses relations proches avec des terroristes de haut rang du Hamas comme Mohammed Deif, et la participation directe de ses propres forces dans le meurtre d'Israéliens. Le fait que Dahlan fût en possession de la carte d'identité de Toledano ne fait que démontrer combien ce soutien à Dahlan était mal avisé.
Toledano a été kidnappé sur sa route vers sa base de garde-frontière en 1992. Son corps mutilé a été retrouvé près de la Mer Morte quelques jours plus tard.
L'enlèvement et le meurtre de Toledano sont devenus un événement clé dans tout ce qui allait suivre dans la région.
Le Hamas a revendiqué la responsabilité de l'attaque. En réponse, le gouvernement Rabin a expulsé 417 terroristes du Hamas vers le Liban, où ils furent rapidement pris sous l'aile du Hezbollah et des " Gardes de la révolution iraniens ". En 1994, à la suite du processus de paix d'Oslo avec le Fatah, Rabin autorisa le retour des 417 à Gaza, en Judée et en Samarie. Dès leur retour, ils ont tout de suite fomenté une attaque terroriste contre Israël, comme on n'en n'avait jamais vu auparavant. Ce sont ces revenants qui organisèrent la première attaque suicide à la bombe en Avril 1994.
Le fait que Dahlan fût en possession de la carte d'identité soulève la question de l'implication du Fatah dans son enlèvement et son meurtre, et jette un doute sur toute tentative d'Israël et de l'Occident de faire un distinguo entre les terroristes du Fatah et ceux du Hamas.
Il n'y a aucun doute que davantage d'information sur les chefs du Fatah (et leurs activités et autres liens ave des dirigeants politiques israéliens et autres) suivra - à la convenance des intérêts opérationnels du Hamas et de leurs patrons iraniens.
Sous cet éclairage, il est évident que le Fatah ne peut plus davantage être d'aucune utilité à quiconque, plus longtemps. En effet, ceux qui travaillent à renforcer le Fatah peuvent être sensibles au chantage et à l'humiliation publique au moment et sur le lieu où le Hamas le choisira. Aussi, non seulement le Fatah est-il un cheval mort, c'est aussi un cheval mort piégé dans un champ de mines.
Pourtant, malgré tout cela, soutenir le Fatah et Abbas demeure le but central du gouvernement d'Israël. Cette semaine, Israël a remis quelques 120 millions de $ à Abbas et à Fayad. La semaine prochaine, il libèrera 250 terroristes du Fatah de prison. La semaine dernière, le Premier Ministre Ehud Olmert a serré dans les bras Abbas à Sharm el Sheikh, après avoir disserté sur la grandeur d'Abbas avec le Président américain George W. Bush à la Maison Blanche la semaine précédente.
Olmert et ses collègues dépeignent Abbas comme un membre essentiel du camp des " modérés ", comprenant les Saoudiens, le Egyptiens et les Jordaniens. Tous ces soi-disant modérés sont supposés former une coalition avec Israël, les USA et l'UE contre les " extrémistes " du Hamas, l'Iran, le Hezbollah et la Syrie. Hélas, le camp des modérés est une fiction. La Jordanie a si peur d'un coup d'Etat jihadiste que les déclarations de son gouvernement sont à peine différentiables de celles des communiqués de presse des " Frères Musulmans ".
Durant le week-end, à l'invitation de l'Egypte, les forces terroristes du Hamas se sont déployées sur la frontière de Gaza avec l'Egypte. Pour sa part, l'Arabie saoudite a supervisé la formation du gouvernement " d'unité " Hamas - Fatah en mars dernier, qui subordonnait Abbas et le Fatah à Khaled Mashaal et au Hamas. Les Saoudiens ont adopté le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Lors de sa visite inaugurale dans la capitale sunnite islamiste, le shiite génocidaire et messianique, Ahmadinejad a été embrassé, serré dans les bras, et tenu par les mains du roi Abdullah.
Pour sa part, plutôt que de mettre des conditions à tout nouveau soutien des USA au Fatah sur des mesures crédibles pour combattre le Hamas et ses propres réseaux terroristes, Rice redouble ses pressions sur Israël. Rice prévoit d'utiliser 86 millions de $ de fonds des contribuables américains pour que le Lt Général Keith Dayton forme des forces du Fatah en Judée et en Samarie. C'est ce même général Dayton qui a entraîné et armé les forces du Fatah à Gaza, qui ont battu en retraite et se sont enfuies plutôt que de combattre le Hamas le mois dernier, et ont ainsi cédé les armes fournies par les USA au mandataire de l'Iran, sans combattre.
De Plus, Rice fait le forcing sur son projet pour obliger Israël à négocier et à conclure un traité avec Abbas, qui comprendrait une promesse israélienne de restituer la Judée, la Samarie et Jérusalem au Fatah. C'est ce même Fatah dont la participation est répugnante et lâche, et contre lequel les membres du Hamas se révoltent contre Abbas.
De même pour les Européens, le nouvel envoyé désigné par le Quartette, Tony Blair doit commencer à négocier avec le Hamas lors de sa visite prévue la semaine prochaine.
Alors que comme Rice, Blair a déclaré de façon répétée que l'absence d'un Etat palestinien est la cause de tous les troubles dans le monde musulman aujourd'hui, une semaine auparavant, un conseiller de Blair a franchi une étape. Selon les reportages des media, l'officiel a informé le gouvernement israélien pour Blair, Israël est responsable du jihad mondial du fait de son refus de céder au terrorisme palestinien.
La seule explication raisonnable au comportement du gouvernement Olmert aux yeux des Palestiniens, c'est que le gouvernement espère qu'en se conciliant les USA, et le reste du gang sur le problème palestinien, Israël recevra leur coopération pour empêcher l'Iran d'acquérir des armes nucléaires.
Malheureusement, là aussi, l'évidence amène à la conclusion que Israël n'a rien reçu sur le front de l'Iran, de la part d'aucun des acteurs pertinents en échange de leur volonté de laisser le Hamas prendre le contrôle de Gaza et continuer de financer et d'armer les terroristes du Fatah.
Pendant le week-end, le ministre adjoint des affaires étrangères d'Arabie saoudite a rencontré l'ambassadeur d'Iran en Arabie, et a réaffirmé le soutien saoudien à la poursuite par l'Iran de " technologies nucléaires pacifiques ". Les Saoudiens et les Iraniens se sont aussi mis d'accord sur le besoin de solidarité islamique contre les " ennemis de l'Islam ".
De même pour les Egyptiens, ils ont non seulement choisi l'option d'obtenir des capacités nucléaires propres, mais les Egyptiens sont responsables d'avoir permis au Hamas de prendre le contrôle de Gaza. En dépit des supplications répétées des Israéliens, l'Egypte n'a jamais levé le petit doigt pour empêcher le flot d'armes et de terroristes à travers sa frontière. Au contraire, elle a facilité la transformation de Gaza en centre jihadiste. Depuis la guerre de l'été dernier, l'Egypte s'est employée à rétablir des relations diplomatiques au plus haut niveau avec les Iraniens.
Aujourd'hui, aussi bien les USA que les Européens sont prêts à abandonner l'option de l'escalade des sanctions contre l'Iran pour son refus de mettre fin à ses activités d'enrichissement d'uranium. Au cours du week-end, leurs représentants à l'Agence Internationale de l'Energie Atomique ont discuté un plan pour suspendre l'escalade des sanctions si l'Iran accepte de cesser d'augmenter l'enrichissement d'uranium. Cela signifie que les USA envisagent actuellement un plan qui permettrait à l'Iran de continuer l'enrichissement de l'uranium, sans être confrontée à des sanctions internationales efficaces en conséquence.
La tragédie de cette situation est qu'une coalition pourrait être rassemblée, et serait capable de faire face aux menaces contre la sécurité mondiale et celle des Israéliens, aussi bien de la part des Palestiniens que des Iraniens. Les amis d'Israël au Congrès, l'administration Bush et la communauté politique des USA seraient satisfaits de travailler à contrecarrer la politique en faillite de Rice.
Hélas, on ne retrouve aucun des dirigeants israéliens capables d'apprécier et d'agir sur ces faits dans le gouvernement Olmert.
Contribuant à la JWR, Caroline B. Glick est membre senior pour le Moyen Orient du "Center for Security Policy" [Centre pour la Politique de Sécurité ] à Washington, DC et rédacteur en chef adjoint du " Jerusalem Post ".
De mon reporter sans frontières.
Oullit Porte parole mta sahbi.
Je croule sous les infos.
Pas de soucis, soyez satisfaits !?
Par Caroline B. Glick
http://jewishworldreview.com/0707/glick070607.php3
Adaptation française de Sentinelle 5767 ©
Des Informations que vous pourriez avoir manquées
Une région en mal de direction politique qui devrait se réveiller vite
Le moindre doute que le Hamas soit un vassal iranien a été dissipé cette semaine par une bribe sur le blog de MEMRI (Middle East Media Research Institute).
MEMRI rapportait : " Un article de l'hebdomadaire iranien 'Sobh-e Sadeq' en circulation parmi les Gardes de la Révolution, déclare que les documents du Fatah dont s'est emparé le Hamas ont révélé que l'Egypte a joué un rôle dans l'instigation des affrontements qui ont conduit à la prise de Gaza par le Hamas. L'article ajoutait que c'est la deuxième fois que l'Egypte a trahi les Palestiniens, la première étant la trahison au sommet de Camp David du président égyptien Anouar Sadate, tué ensuite ".
Ainsi le Hamas partage avec l'Iran le trésor de renseignements dont il s'est emparé pendant la prise de Gaza. Dans la plus grande victoire du renseignement jamais obtenue par une organisation jihadiste, le Hamas (et l'Iran) possède maintenant les dossiers de tous les appareils de sécurité palestiniens, et les documents personnels des dirigeants du Fatah comme Yasser Arafat, Mahmoud Abbas et Mohammed Dahlan.
Des sources du Hamas déclarent que l'abandon abject de l'information du Fatah ne devrait être une surprise pour personne. Ils se vantent que dans les mois menant à leur putsch, les agents du Fatah étaient heureux de leur vendre toutes les armes et les informations qu'ils demandaient.
L'utilisation par l'Iran des dossiers du Fatah contre l'Egypte démontre que l'émergence du Hamastan à Gaza met en péril non seulement Israël, mais la sécurité régionale dans l'ensemble. L'Egypte, la Jordanie, l'Arabie saoudite, l'Irak, le Liban, les USA et Israël peuvent tous s'attendre à l'émergence de rapports qui, dans le meilleur des cas, leur causeront un profond embarras. Leurs gouvernements peuvent être déstabilisés et leurs opérations de sécurité compromises. Il n'y a pas de doute que cet état de fait a conduit les Egyptiens, les Saoudiens et les Jordaniens à tous déclarer au président de l'Autorité Palestinienne, et chef du Fatah Mahmoud Abbas de ne pas s'affronter avec le Hamas mais d'essayer de forger un nouvel accord avec lui.
Ainsi, la position du Hamas s'améliore de jour en jour. Dimanche dernier, après que Israël ait fait son premier paiement de 120 millions de $ au gouvernement Fatah de Salam Fayad, le Fatah annonça que l'argent servirait à payer les salaires des employés de l'AP à Gaza. Cela nous montre deux choses. Primo, cela brise l'illusion de deux AP séparées - l'une mauvaise et l'autre bonne. En payant les employés de l'AP à Gaza, Fayad a démontré que du point de vue du Fatah, il n'y a qu'une AP, et pas deux.
Ensuite, son option démontre que la déclaration du Premier Ministre Ehud Olmert selon laquelle l'argent ne va qu'au Fatah est mensongère. De fait, elle a démontré qu'Israël finance le Hamas. Après tout, si Fayad n'utilisait pas l'argent israélien pour payer les Gazaouis, le Hamas devrait les payer de sa poche.
La libération du journaliste de la BBC Alan Johnston mercredi dernier a été une autre victoire pour le Hamas. Après sa libération, le nouveau ministre britannique des affaires étrangères David Miliband - dont la mère, rescapée de l'Holocauste, est membre de l'organisation radicale anti-sioniste " Juifs pour la justice pour les Palestiniens ", et dont le beau-père était un communiste - s'extasia sur le Hamas. Milibrand dit que les dirigeants du Hamas " ont dénoncé les preneurs d'otage et exigé la libération d'Alan. Je reconnais pleinement le rôle crucial qu'ils ont joué pour assurer cet heureux dénouement ". Dans des commentaires au Parlement, Miliband a laissé la porte largement ouverte à la possibilité que le gouvernement du Premier Ministre Gordon Brown reconnaisse le gouvernement du Hamas.
Plutôt que de reprocher aux Britanniques leur adoption d'un mouvement motivé par la haine barbare des Juifs, et tourné vers les domination islamique mondiale, le gouvernement israélien s'est répandu en compliments aux Britanniques pour avoir négocié avec succès la libération de Johnston, et tenté de se montrer gentil avec le Hamas. Olmert a suggéré, faussement modeste : " Comme on le sait, les membres du Hamas détenant [le soldat de Tsahal Guilad Shalit] empêchent de fait la libération de prisonniers palestiniens suivant l'accord convenu ".
En dessinant ainsi la question de la libération de Shalit, Olmert a signalé au Hamas qu'Israël souhaite organiser un arrangement, et a déjà accepté le contrôle du vassal iranien à la lisière d'Ashkelon et d'Ashdod.
Le Hamas a d'autres nouveaux amis - al Qaïda par exemple. Alors qu'en mars dernier, al Qaïda condamnait l'organisation terroriste associée " les Frères Musulmans " pour avoir signé à la Mecque l'accord avec le Fatah, dans la vidéo d'al Qaïda disséminée cette semaine, le commandant en second du groupe, Ayman al-Zawahiri a félicité le Hamas et appelé les Musulmans à rejoindre le groupe terroriste.
Selon ses termes : " Nous disons à nos frères, les mujahidin du Hamas, que nous et toute la nation musulmane nous tenons à côté de vous, mais vous devez redresser votre chemin [politique]. Des Musulmans doivent rejoindre les rangs du Hamas, et nous les soutiendrons en facilitant le passage d'armes et de fournitures depuis les pays voisins ".
Le refus du gouvernement Olmert de prendre la menace Hamas - iranienne à Gaza au sérieux, convient parfaitement à son refus global de construire toute stratégie politique cohérente pour traiter chacune des menaces montantes auxquelles Israël fait face.
La semaine dernière, les Syriens ont célébré le 33ème anniversaire de la " libération " de Quneitra sur les Hauteurs du Golan, qu'Israël a cédé à la Syrie dans l'accord de cessez-le-feu qui a mis fin à la guerre de Yom Kippour. Lors des cérémonies gouvernementales, les ministres de Bashar Assad ont souligné l'engagement du dictateur dans la " libération " des Hauteurs du Golan.
On a aussi rapporté que, en l'honneur de l'anniversaire, les Syriens ont ouvert la route Damas - Quneitra au trafic civil pour la première fois depuis 1967. Si c'est vrai, il apparaît que les Syriens posent les conditions pour une infiltration terroriste des Hauteurs du Golan.
Radio Damas a rapporté mercredi dernier que le régime syrien considère les exercices de Tsahal dans le Nord comme une menace. Cette annonce ne peut être vue que comme une enchère syrienne pour développer un prétexte pour entamer une guerre contre Israël.
Et quel type de guerre nous attend ? Une guerre de missiles.
Pendant que le gouvernement Olmert discourt sur les mérites relatifs de restructurer et faire progresser le Conseil National de Sécurité, et renforce notre sécurité nationale en nommant au cabinet Ruhama Avraham - la femme aux cheveux multicolores et aux costumes stylés, la principale leçon de la Seconde Guerre du Liban est systématiquement ignorée.
La guerre a montré que le principal objectif des ennemis d'Israël est le front intérieur. Cette compréhension était supposée engager le gouvernement à sécuriser des centres de population civile à travers le pays, puisque les missiles syriens peuvent frapper chaque centimètre carré du pays. Mais un an plus tard, même Sderot n'a pas été renforcé, et les abris anti - bombes dans le nord restent négligés. Il a fallu onze mois au ministère des finances pour libérer des fonds pour acheter des masques à gaz pour le public, même s'il est parfaitement connu que le Syrie détient des armes chimiques.
Bien qu'Olmert ait dit que pour lui la précédente guerre est tout sauf un " lointain souvenir ", au Liban c'est de l'histoire vivante. Le Hezbollah se réarme si massivement que même l'ONU l'a remarqué. La semaine dernière, le Secrétaire Général de l'ONU Ban Ki-Moon a rapporté au conseil de Sécurité que la frontière syro-libanaise est totalement violée et que des expéditions d'armes syriennes et iraniennes traversent le pays sans la moindre difficulté.
Lundi dernier, l'ancien ministre adjoint à la défense Ephraim Sneh a déclaré en effet sur Radio Israël que le gouvernement néglige les besoins de sécurité d'Israël, en affamant Tsahal des fonds nécessaires pour l'équipement adéquat de ses forces et la sécurité du front intérieur, avant une guerre possible avec le Hezbollah, la Syrie et le Hamas. Il a aussi accusé le gouvernement de mal prendre en compte la menace nucléaire iranienne.
Olmert, la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni, et les ministres Avigdor Lieberman et Shaul Mofaz trompent tous le public avec une assurance excessive, en déclarant que les sanctions du Conseil de Sécurité de l'ONU contre l'Iran sont efficaces, que Israël et les USA coordonnent étroitement leurs politiques pour traiter le programme d'armes nucléaires iraniennes. Dans cet entretien, Sneh a qualifié cela de bluff.
Sneh a mis en avant que les sanctions n'ont pas empêché l'Iran de faire avancer son programme nucléaire, et déclaré catégoriquement qu' " il n'y a pas de coordination au niveau opérationnel entre les armées israélienne et américaine sur l'Iran ". Sneh a ajouté que le manque de financement gouvernemental a laissé l'armée dépourvue des bonnes options pour attaquer les installations nucléaires par elle-même.
D'un autre côté, Téhéran mobilise toutes ses ressources pour une guerre contre les USA et Israël. En risquant sa propre déstabilisation, le régime a institué la semaine dernière un rationnement de l'essence. Et cette semaine, le président Mahmoud Ahmadinejad a annoncé que le gouvernement allait bientôt rationner l'électricité.
Dans l'intention d'ignorer les dangers, le gouvernement a choisi d'attaquer ceux qui les en ont avertis. Un exemple de ce traitement, l'ancien ambassadeur des USA à l'ONU John Bolton. Cette semaine, Bolton a déclaré au Jerusalem Post que la politique iranienne de l'administration Bush est un échec.
Selon ses termes : " L'approche actuelle des Européens et des Américains n'est pas seulement condamnée à l'échec, mais dangereuse. La diplomatie et les sanctions ont échoué…[aussi nous devons veiller à 1 : renverser le régime et aboutir à un nouveau qui ne cherchera pas à obtenir des armes nucléaires ; 2 : une utilisation de la force en dernier ressort ". Bolton a ajouté qu'il pourrait bien ne pas rester assez de temps pour renverser le régime avant que les Iraniens n'acquièrent des armes nucléaires.
Des officiels israéliens, douillettement dans leur bulle, ont réagi à l'entretien en attaquant Bolton. Un officiel a rejeté Bolton en le qualifiant de "Avigdor Lieberman" de l'Amérique. Un autre l'a pris avec condescendance : " Il est possible que ses commentaires aient voulu accélérer le processus. Nous voudrions tous voir une diplomatie plus agressive ".
Mais comme Sneh l'a clairement établi, non seulement les remarques de Bolton étaient exactes, mais grâce au gouvernement Olmert, Israël manque des moyens de répondre indépendamment à la menace de sa propre annihilation, et n'a pas de coordination militaire sur cette affaire avec les USA.
A leur crédit, les ministres en charge traiter avec l'Iran sont très occupés à des questions pressantes. La semaine dernière, Lieberman a fait un voyage en Europe où il a essayé de faire progresser son idée de l'entrée d'Israël dans l'UE anti-israélienne Et à la lumière des remarquables réalisations des forces de la FINUL pour empêcher le Hezbollah de se réarmer, le ministre des " affaires stratégiques " a aussi fait usage de son temps pour faire avancer son idée de déployer des forces de l'OTAN à Gaza.
Mercredi dernier, la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni a rencontré son homologue marocain. Livni a félicité le Maroc pour sa participation au plan de paix saoudien, désavoué par les Saoudiens.
Olmert, l'artisan de paix, a conclu un accord de paix cette semaine avec ses copains Roni Bar-On et Haim Ramon. Il a aussi négocié un cessez-le-feu provisoire avec son rival politique Meir Sheetrit. Plus critique encore, Olmert a assuré la sécurité à long terme d'Israël en nommant Ruhama Avraham à un ministère sans portefeuille dans son gouvernement lilliputien.
Les organes des media locaux, dont tous ignorent de façon débile les menaces émergentes, continuent de promettre au public que le gouvernement Olmert va bientôt tomber quand la Commission Winograd publiera son rapport final sur la Seconde Guerre de Liban, qui sait et quand dans les mois à venir. Mais il n'y a pas de garantie que cela soit vrai.
Dans le meilleur des scénarios, le rapport nous dira seulement ce qui était clair dès l'an passé : avec ou sans Conseil de Sécurité Nationale restructuré, nos dirigeants politiques sont des nigauds incompétents dont le seul souci est leur propre survie politique sans égard aux conséquences pour la sécurité de la nation.
Mais en vérité, pourquoi s'en faire ? Après tout, le Shas [parti religieux séfarade, Ndt] est satisfait. Lieberman est satisfait [chef du parti de droite " Israël Beteinou ", Ndt]. Olmert est solide comme un roc. Et Ruhama est emue aux larmes. Peut-être devrions nous aussi pleurer.
Contribuant à la JWR, Caroline B. Glick est membre senior pour le Moyen Orient du "Center for Security Policy" [Centre pour la Politique de Sécurité ] à Washington, DC et rédacteur en chef adjoint du " Jerusalem Post ".
L e Meilleur.
A Analyste
P our
I Info et
D ésinfomation.
De mon envoyè spécial sur place en Israël.
Merci.
Combats et marchandages (info # 010907/7) [Analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
La trêve conclue entre Israël et le Hamas, au lendemain de la chute de Gaza, et que notre agence fut la seule à rapporter, à vécu. Ce cessez-le-feu, rappelons-le, obtenu à l’aide des bons offices d’un prince du Golfe, impliquait l’arrêt des tirs de Qassam, par le Hamas, sur les agglomérations israéliennes du Néguev, en échange de la cessation des attaques de Tsahal, à Gaza, contre les objectifs du Mouvement de la résistance islamique (Hamas).
A l’origine de la rupture de la trêve se trouve l’opération lancée vendredi par les Israéliens contre divers objectifs dans les régions centre et nord de la bande de Gaza. En fait, les unités militaires de l’Etat hébreu, brigade Givati en tête, ne visaient pas spécifiquement – au début de l’intervention du moins – des cibles du Hamas.
A Bet Hanoun, le village qui fait face à Sdérot, situés à quelques centaines de mètres l’un de l’autre, les soldats ont fouillé les vergers d’où partent les tirs de Qassam. Ils y ont fait bonne pêche, puisque ce n’est pas moins de huit plateformes de lancement qu’ils y ont découvertes. Sur l’une d’elles, ils ont eu la surprise de découvrir deux roquettes, prêtes au tir, connectées à un système de mise à feu automatique, une sorte de minuterie.
Ces Qassam appartenaient au Djihad islamique – qui n’est pas partie prenante au cessez-le-feu – et qui continue d’envoyer régulièrement un petit nombre de roquettes sur le Néguev occidental.
Pendant que se déroulaient les fouilles des orangeraies de Bet Hanoun, une quinzaine de chars, accompagnés par des éléments du génie, pénétraient dans les camps de Al-Muazi et de El-Burej – dans lequel demeure Jamal A-Dura, l’acteur qui interprétait le père blessé lors de la mise en scène de Nétzarim – à la recherche d’autres Qassam ainsi que d’ateliers servant à leur fabrication.
Face à eux, des miliciens du Hamas posaient à la hâte des mines antichars et tiraient des grenades RPG contre les bulldozers et les tanks, blessant légèrement deux de leurs servants. La direction de l’organisation intégriste de Mashal et Hanya a d’ailleurs réprimandé ses troupes dans la région, jugeant que pas assez de miliciens ne s’étaient portés à la rencontre des Israéliens.
Reste que la bataille qui se déroula vendredi à El-Burej fut coûteuse pour le Hamas, puisque, dans un premier temps, il laissa neuf de ses combattants, inanimés, sur l’asphalte poussiéreux. Mais surtout, parmi ces morts, se trouvait Mohamed Siam, le chef du bras armé de l’organisation islamique pour la région centrale de Gaza.
Quelques minutes après l’engagement, l’aviation israélienne effectuait un nouvel assaut, neutralisant deux miliciens supplémentaires. Au total, ce ne sont pas moins de trente et un miliciens qui ont, de plus, été blessés lors de ces combats, ce qui tend à démontrer l’intensité de l’opération de Tsahal.
Pour le Hamas, il importait ensuite de faire montre de sa capacité de riposte, mais sans exagération, afin de ne pas engendrer l’opération de réoccupation de Gaza par les Israéliens, que les intégristes redoutent par-dessus tout. La Résistance islamique se limita donc à tirer quelques obus de mortier sur le point de passage d’Erez, ainsi que deux Qassam qui, selon l’une de mes sources auprès des islamistes, auraient volontairement été dirigés vers une zone non habitée.
Depuis, les uns et les autres n’ont plus commis d’actions contrevenant aux termes de l’accord. Hier matin, dimanche, cinq roquettes sont encore tombées dans la région du Kibboutz de Shaar ha-Neguev, mais elles avaient été lancées par le Djihad et non par le Hamas.
En Cisjordanie, l’armée israélienne s’acharne, nuit après nuit, à débusquer les membres opératifs du Djihad islamique, ayant presque totalement désorganisé ses cellules terroristes.
Sur le plan politique, le dialogue indirect en vue de l’échange du caporal Guilad Shalit contre des prisonniers palestiniens se poursuit, les Israéliens ayant passé au Hamas, par l’entremise des Egyptiens, une liste de 250 noms qu’ils seraient prêts à troquer contre leur soldat. Le Hamas, qui tente de se construire une réputation, après avoir, notamment, relâché le journaliste britannique qu’il détenait lui-même, pourrait être tenté d’accepter l’offre de Jérusalem. Dans tous les cas, il faudra encore plusieurs étapes de marchandage avant qu’un accord soit trouvé, les islamiques désirant montrer qu’ils ont obtenu la contre-valeur maximale pour la libération de leur otage.
Enfin, la discussion autour de la possible remise en liberté de Marouane Barghuti, détenu en Israël après avoir été jugé et condamné à cinq réclusions criminelles à perpétuité, prend du volume. Plusieurs responsables de l’Etat hébreu se sont déclarés favorables à sa relaxe, après que le président Abbas ait, pour la énième fois, annoncé aux Américains, aux Egyptiens et aux Israéliens sa "pressante intention de prendre sa retraite". Tous savent, de plus, que Mahmoud Abbas n’est pas l’homme de la situation, et n’avait d’ailleurs pas l’ambition de l’être. Et que, pour sauver le Fatah et pour empêcher que le Hamas ne devienne la seule force politique crédible au sein des Palestiniens, il faudrait le remplacer rapidement par un leader jeune et populaire.
Michka,
Pour apporter de l'eau a ton moulin, apres que beaucoup d'eau ait du couler sous les ponts, car cela fait deja qq mois que tu nous mettais en garde contre les lacunes et erreurs de Wikipedia.
Te voila aujourd'hui confirmee dans tes dires par une etude menee par des etudiants de Sciences Po:
Wikipedia, un "super outil" qui "peut se tromper"
Le Monde.fr LEMONDE.FR | 09.07.07 | 14h55.Mis a jour le 09.07.07 | 15h08
Pourquoi une telle enquete ?
"Un deficit en terme d'enseignement"
Les intellectuels divises
"N'importe qui peut inserer des erreurs"
Vous pouvez acceder a ce panorama en ligne sur lemonde.fr
http://www.lemonde.fr/web/panorama/0,11-0@2-651865,32-933523,0.html
L'architecture dynamique
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