Par Albert (Albert) le mardi 29 novembre 2005 - 21h47: |
Mon grain der sel…
Chers Harrisiens,
Ne soyez pas impatiIIIents.///.
Juste…… Deux corrections.
Soyez donc indulgents…////..
Je vous vois tous assiIIIs derrière vos écrans.§§§§§
Tawfiq sur des charbons aRRRRdents..§§§§
‘…Fais attention l’ami… ! Ca laisse des traces sur les fessOOOOOns.. !§§§§
Je vois M. Halfon….///…Décontracte comme un présideEEEEnt.§§§§§
Présent à un grand soir importaAAAnt…Il doit se dire en ce momeEEEEnt
‘…Qu’est ce qui nous prépare notre Breitou…Comme invention… !’
‘..Ne t’inquiètes pas…. Rien de déshonorant.. !’
Et la NaoOOOOOOoooooooooooooooooooo…OHHHHHHHHHHHHHH , entre deux couches d’enfant, la productrice perchée sur ses hauts talons doit avoir les chevilles gonflants
au point de s’entendre dire par son mari..
‘…Va falloir élargir la porte chériIIIe… !’..
Et PuiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIs…§§§§§§..
Y’à la MichkAAAAAAAAAAAAAAAAAAA….§§§§§ Qui a laisse poussée
Des ailEEEErONNSSSS…§§§§…Assise bien SagemeNNNNt…§§§§
Pour se voir pro’je’er sur un écran..§§§§§…..Maxiton connaît le ChanSSSSSSSSSSSS
Onnnnnnnnnnnnnnn..§§§§… La Douda dans ses chaussoNNNNNNNs…§§§§
Nos deux amis bien charmants..§§§§§ …. Girelle , mon enfaAAAAAAAAAAAAAAnt…..§§§§§§…..Y’a le Meyer elli yeq’ross yeddou
Tahtou ( le pince sans rire ) aux cent milles sourires.///. Qui attENNDDDDDDDDDDDDDD..§§§§§….
Nous allons le voir ce film ensemble….
Je ne l’ai pas vu il me seEEEmble..///
Je suis parmi vous ce soir..////
Et puis……Je….Voudrais…TANT ET TAAAAAAAT…..que l’on se tienne par la main..§§§§§…Pour que notre amitié soit plus forte demain..§§§§..
Je ne fais pas dans l’émotIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIon…§§§
Mais souhaite ardemment ….////….Vous serrez dans mes bras
Et si je mouilles vos joues propres bien maquillées de surcroît…§§§
Je m’en excuse humblement…///§§§§§
Ce soir.///..j’ai ouvert trois fenêtres alors que j’en ai 8 au salon…§§§
Mais celle qui est largement béante c’est celle de mon cœur…§§§
Alors Rentrez YYYYYYYYYYYYYYYYYYY …§§§§…Pour regarder
Par Mena (Mena) le mardi 29 novembre 2005 - 18h12: |
Le Premier ministre et les quarante racailles (info # 012811/5) [scoop]
Par Sébastien Castellion © Metula News Agency
un gentlemen’s agreement, en quelque sorte…
Finalement, il n’y aura pas eu d’Intifada dans les banlieues françaises. Il aura suffi que le gouvernement montre, le 8 novembre, qu’il ne cèderait pas aux voyous, pour que la violence décroisse immédiatement et retrouve, en une semaine, son niveau normal des jours paisibles. Pourtant, les mesures annoncées par Dominique de Villepin n’avaient rien de terrible : un couvre-feu qui n’a jamais été appliqué ; un état d’urgence dont personne ne voit l’effet pratique et qui a pour seul intérêt d’inscrire l’action du Premier ministre dans le roman-photo des références historiques où il aime toujours à se mouvoir ; et surtout, la confirmation par Nicolas Sarkozy que les policiers n’allaient pas quitter les quartiers et y renforceraient leur présence. Bref, l’équivalent approximatif de froncer les sourcils et faire la grosse voix. Mais cela a suffi pour que les oisillons qui s’étaient pris pour de grands rapaces décident en quelques jours de rentrer au nid. Il suffisait de les écouter : dans leur haine généralisée de tout ce qui les entoure, les voyous sont avant tout des enfants gâtés. Ils veulent tout et tout de suite, ils cassent leurs jouets s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent et ils refusent absolument tout effort durable. On ne fait pas une guerre avec ce genre de gens. Aussi la menace d’une Intifada à la française – Juffa en témoignera – ne m’avait jamais parue crédible. En tout cas pas cette fois-ci, pas avec ces voyous-là.
Finalement, il n’y aura pas eu de Jihad. Les casseurs aiment crier le mot devant les caméras, et cela est assez efficace pour faire peur « aux Français ». Mais ils dorment à l’heure des trois premières prières musulmanes et ce serait un trop gros effort pour eux que d’apprendre à faire les deux autres. L’islam est un élément d’identité, un héritage familial qu’ils n’ont jamais approfondi, une manière parmi d’autres de couvrir leur haine de la France : mais l’islam ne tient pas, pour eux, lieu de programme politique. Quant à en accepter les contraintes – refuser l’alcool, être équitable en affaires, maîtriser sa vie sexuelle… – j’arrête là, pour vous laisser le temps de cesser de rire.
Il y a bien, dans les quartiers, une population contrôlée par les imams – et s’il arrive un jour que cette population-là se soulève, il pourra y avoir des raisons de s’inquiéter. Mais ce n’est, à aucun moment, ce qui s’est produit en France pendant les émeutes de novembre. Ce ne sont pas les jeunes barbus disciplinés qui brûlaient, mais les « racailles », pour prendre le mot technique dont ils s’affublent eux-mêmes (et qu’il est donc inepte de présenter comme une provocation quand il est repris par d’autres). C’est une autre sous culture qui n’a rien à voir avec celle de l’islam politique, et dont les valeurs ne sont pas religieuses mais avant tout criminelles : le culte de la force, de l’argent facile des trafics, l’intimidation des faibles, les filles qu’on prend et qu’on jette.
La plus fondamentaliste des organisations musulmanes officielles en France, l’UOIF, a cru qu’elle s’imposerait comme un interlocuteur de l’Etat si elle parvenait à calmer la population. Elle a donc édicté, le dimanche 6 novembre, une fatwa exigeant le retour à l’ordre. Résultat : les deux nuits qui ont suivi ont été les plus violentes de toutes ; les islamistes se sont ridiculisés et ont prouvé qu’ils ne contrôlaient rien.
Finalement, il ne s’est rien passé de bien étonnant. Toute la France savait que cette population dévoyée et violente existait ; ses destructions sont un bruit de fond permanent, terrible pour les quartiers qui en sont victimes mais sans importance pour la France dans son ensemble. Ils ne menacent ni l’économie, ni le tourisme, ni le système éducatif, ni la culture, ni aucun des avantages que compte encore mon pays. Ils n’aggravent ni la bureaucratie tatillonne, ni la pauvreté du débat des idées, ni les pertes de parts de marché international, ni aucune des faiblesses françaises. En plein cœur des émeutes, comme des millions d’autres Français, je sortais la nuit dans des bars et des cinémas tout aussi pleins que d’habitude. Après deux semaines de destruction, les assureurs français ont annoncé que le coût de l’assurance automobile allait, non pas augmenter, mais baisser. Tous les efforts des racailles ne parviendront jamais à laisser une trace sur les indicateurs généraux de plus ou moins bonne santé de la France. En revanche, les voyous des banlieues sont un fléau tragique à l’échelle de leurs propres quartiers, qu’ils terrorisent et détruisent et dans lesquels ils empêchent le succès de ceux qui, eux, seraient prêts à travailler et à s’intégrer.
Si la violence des banlieues françaises s’est enflammée début novembre, ce n’est pas, comme a voulu le faire croire la gauche française, que le sort des racailles fut soudain devenu intolérable ou que la reprise de leurs propres termes par Nicolas Sarkozy ait été une provocation insoutenable. Ce n’est pas non plus, comme l’a cru Fox News et une partie de la presse internationale, qu’un conflit de civilisations avait gagné l’Europe. L’explosion de la violence a été le résultat d’une série d’événements de nature politique que la Ména est fière d’éclairer pour vous ici pour la première fois.
Après la mort par électrocution de deux adolescents de Clichy-sous-Bois le 27 octobre, il était parfaitement normal et prévisible que la ville de Clichy, et peut-être quelques villes alentour, connaissent deux ou trois nuits de destruction. C’est toujours comme cela que ça se passe quand un jeune meurt d’une manière qui, de près ou de loin, peut être présentée comme due à la police. Peu importe, qu’en l’espèce, aucun policier n’ait été présent : les victimes avaient cru, semble-t-il, être poursuivies et s’étaient maladroitement réfugiées dans un transformateur, naturellement agrémenté d’énormes panneaux qui signalent tous les dommages que quelques millions de volts peuvent infliger à la santé. Peu importe, du moment que les trafiquants qui font la loi dans les quartiers peuvent profiter de l’émotion pour inciter les canailles à la violence et rappeler ainsi à la police qu’ils n’apprécient pas sa présence.
Le 29 octobre, il est devenu clair que le mouvement serait plus organisé cette fois-là qu’à l’accoutumée. Une manifestation fut organisée pour les caméras, avec plusieurs centaines de personnes portant le même tee-shirt, imprimé pour l’occasion, et posant remarquablement devant les objectifs dans des attitudes manifestement préparées. Il était apparent que, cette fois-ci, la manipulation de l’émotion serait poussée plus loin que d’habitude – et qu’on pouvait donc s’attendre à des violences plus durables.
Il y a à cela une raison bien simple. D’une part, les trafiquants n’aiment pas, mais pas du tout, Nicolas Sarkozy, qui a renforcé la présence policière dans les quartiers qu’ils considèrent comme leur territoire. De mémoire de crapule, on n’avait jamais vu pire empêcheur de dealer et d’intimider en rond, que l’actuel ministre de l’Intérieur de la France. D’autre part, ils savent – comme tout le monde en France – que le ministre n’est pas exceptionnellement bien vu du Premier ministre Villepin, qui voit en lui un rival à ses ambitions présidentielles, ni du Président Chirac, pour des raisons que la Ména a déjà eu l’occasion d’analyser [lire].
Pour les trafiquants, la mort des malheureux adolescents était l’occasion d’affaiblir Sarkozy grâce à quelques nuits chaudes, et, avec de la chance, de profiter de la rivalité entre Villepin et Sarko pour pousser le premier à virer le second. De cette manière, Villepin aurait la peau de Sarko et les truands obtiendraient un retrait de la police de leur territoire : un gentlemen’s agreement, en quelque sorte, dans lequel chacun trouverait son intérêt. Au cas où les choses n’auraient pas été assez claires, les trafiquants firent répandre dans la racaille le mot d’ordre « on continue jusqu’à ce que Sarkozy démissionne ».
Raisonnements de fripouilles, qui montrent bien que les chefs des voyous ne comprennent rien au sens de l’Etat du Premier ministre ? Au contraire ! La Ména est en mesure de vous démontrer aujourd’hui que le calcul politique des mafias des banlieues a été, au cours de la semaine du 30 octobre au 6 novembre, à deux doigts de réussir. Voilà quelles en furent les principales étapes :
Dès les premières nuits de violence, l’idée de profiter de la situation pour dénoncer l’échec de Sarkozy s’est répandue dans la Chiraquie ; plus vite que la flamme d’un cocktail Molotov dans un bus scolaire. Sur France Télévisions, un entretien de Sarkozy avec une habitante d’Argenteuil, le 25 octobre, au cours duquel la dame avait demandé au ministre de "débarrasser la cité de la racaille", le ministre lui ayant répondu en reprenant le même terme, fut dûment caviardé. Chirac-Télévisions fit disparaître la dame, ne laissant plus que l’image de Sarko prononçant le mot « racaille ». Puis, cette image fut passée en boucle, généralement accompagnée de commentaires graves des journalistes sur la « provocation » et la « responsabilité » du ministre. Pour les truands les voyous, le message était clair : la télévision nationale lâche Sarkozy, le gouvernement suivra bientôt si vous continuez, par vos destructions, à prouver que le ministre de l’Intérieur à échoué. Et pour que le message soit encore plus scintillant, un obscur sous-ministre, M. Azouz Begag, fut chargé d’attaquer publiquement Sarkozy de l’intérieur même du gouvernement. Le pauvre Begag obtint grâce à cela quelques jours de gloire, avant de retomber aussi vite fait dans l’oubli.
En même temps, Villepin envoyait des messages de conciliation indirects, mais très clairs, à l’intention des trafiquants. En recevant le 1er novembre les familles des adolescents électrocutés, il se montra plus que compréhensif envers l’idée que « la police faisait de la provocation » et qu’il fallait donc la retirer des quartiers si l’on voulait revenir au calme.
Le lendemain, mercredi 2 novembre, en marge d’une vaste réunion interministérielle à Matignon, Villepin a un entretien en petit comité avec Sarko et un nombre restreint de conseillers. Le Premier ministre affirme que les « Robocop » des quartiers « jouent des mécaniques et sont responsables de la détérioration de la situation ». Il se déclare donc prêt à retirer les CRS des quartiers sensibles. Sarkozy, évidemment, proteste vigoureusement. Pour la première fois, sans prononcer le mot, il fait allusion à sa démission possible. Et le même jour, il annonce à la presse, sans dire que l’idée qu’il critique est celle du Premier ministre : « On pourrait retirer la police des quartiers. Ce serait le calme, mais ce serait le calme des bandes et des imams ».
La coalition d’intérêts entre la Chiraquie et les mafias des banlieues contre Sarkozy s’est délitée dans les quatre jours qui ont suivi (3-6 novembre), grâce à la combinaison de plusieurs mécanismes démocratiques, qui ont convaincu Villepin qu’il aurait plus à perdre qu’à gagner à choisir les bandes contre son ministre de l’Intérieur. Le 3, les élus locaux des quartiers concernés sont reçus par Villepin. Il leur annonce qu’il veut « nouer un dialogue » avec les populations – et, à sa grande surprise –, est extrêmement mal reçu. Manifestement, ceux qui connaissent les populations locales, et qui comptent sur leurs voix pour leur réélection, ne souhaitent pas du tout que le gouvernement joue l’apaisement.
Au cours du week-end, les responsables de l’UMP, le parti de Sarkozy et de Villepin, transmettent au Premier ministre les milliers de messages qu’ils reçoivent du terrain. Le ton est, presque unanimement, le même : le peuple demande de la fermeté et ne pardonnerait pas au gouvernement de se montrer faible. Des sondages confidentiels demandés d’urgence par Matignon donnent le même résultat. Un résultat qui semble surprendre le Premier ministre : la demande de fermeté est exactement aussi forte dans les quartiers que partout ailleurs. Ce n’est pas étonnant en soi, personne n’aime avoir sa vie menacée en permanence par des sauvages et son quartier contrôlé par des trafiquants. Sarkozy le sait, qui va régulièrement dans les quartiers et y entend les plaintes des habitants terrorisés. Mais Villepin, coupé du monde, tombe des nues quand il apprend que les habitants des quartiers, eux aussi, lui demandent d’être ferme.
Le dimanche 6 novembre, la partie est finie et Sarkozy a gagné. Lors du conseil de sécurité intérieure présidé par le Président de la République, il est acté que le gouvernement donnera la priorité au retour à l’ordre, que la police restera dans les quartiers… et donc, même si cela n’est pas évoqué, que Sarkozy restera au gouvernement. Chirac, dont la santé ne paraît pas ce jour-là très brillante, ne fait pas durer le Conseil et n’entre pas dans le détail des mesures. Celles-ci sont précisées et annoncées par Villepin le lendemain. Les trafiquants comprennent qu’ils ont perdu. Les violences commencent à décroître. La France revient à son existence normale. Elle espère seulement que la prochaine tentative de la Chiraquie pour abattre Sarkozy n’aura pas, pour victimes collatérales, 9’000 voitures, 120 commerces, 35 écoles, une synagogue et une église…
Par Bekhor (Bekhor) le mardi 29 novembre 2005 - 14h40: |
je voudrais remercier du fond du coeur mon ami d'enfance Yossef mazouz, que j'ai retrouvé grace au site "HARISSA" aprés 43 ans de perte de vue, et qui m'a fait connaitre ce site de "PIYUTIM" (chants liturgiques).
Si vous voulez faire un grand, grand, grand, kif, ecoutez "BAR YOHAI" interprété par "Nathan Cohen" qui est encore vivant et qui doit avoir plus de quatre vingt ans; que Dieu lui prete une trés longue vie.
Ce PIYUT de BAR YOHAI a bercer toute une generation, dont j'en fait partie, dans notre Tunisie natale.
Bien entendu dans ce site il y une floppée de Piyutim de toutes les communautés juives du monde.
Meme celles de l'Inde et du Yemen.
Le site est en hebreu, mais vous pouvez chercher a l'aveuglette et cliquer quand apparait une icone en forme d'oreille.
En tout cas voici la page de "BAR YOHAI" de Nathan Cohen.
http://www.piyut.org.il/tradition/358.html?currPerformance=411
Par Bekhor (Bekhor) le mardi 29 novembre 2005 - 10h57: |
Consistoire de Paris : la majorité remise en cause
JUDAÏSME Son futur président devra régler la question, très disputée, du marché lucratif de la viande casher.
Cécilia Gabizon
[29 novembre 2005]
LE CONSISTOIRE de Paris est en crise, paralysé depuis des années par les querelles de personnes et les soucis financiers. Les fidèles ont, semble-t-il, émis le souhait de voir la gestion et la direction évoluer en préférant, dimanche, au cours des élections qui ont renouvelé la moitié du conseil d'administration, les opposants à l'actuel président, Moïse Cohen. Quelque 6 000 personnes, sur environ 34 000 électeurs potentiels, se sont déplacées, «essentiellement venues des quartiers aisés, précise le politologue Jean-Yves Camus, qui a examiné le scrutin. Les communautés populaires de banlieue se sont moins exprimées».
Le vote a porté sur des individus plus que sur des programmes, idéologiquement proches et peu débattus. Deux fois candidats malheureux par le passé, Joël Mergui, président du Conseil des communautés des Hauts-de-Seine, est cette fois arrivé en tête. Ce dermatologue de 47 ans, fils de rabbin, est considéré comme un juif plus politique que religieux.
En janvier, le nouveau conseil d'administration devra désigner un président et résoudre rapidement la question du financement de l'institution. Car les recettes de la viande casher, qui financent pour moitié les 1 000 fonctionnaires, dont les rabbins, sont menacées. Des viandes plus économiques venues de l'étranger ont déjà conquis une part du marché, tout comme les cacheroutes spéciales (Loubavitch, ultraorthodoxe, ou même du consistoire de Strasbourg). Et c'est maintenant le grand rabbin de France qui envisage de lancer une viande casher concurrente.
«Le vieux modèle du consistoire centralisé est en train d'imploser», tranche Jean-Yves Camus. Son magistère religieux est également mis à mal par les mouvements orthodoxes, ainsi que les initiatives du grand rabbin Sitruk, qui joue une carte personnelle. Ce dernier prépare son propre tribunal rabbinique avec un rabbin israélien à sa tête et prétend relancer une justice communautaire en exigeant des fidèles qu'ils y règlent en priorité leurs litiges !
Souvent cité en exemple, créé par Napoléon, le consistoire, qui des siècles durant avait incarné le judaïsme français, peine aujourd'hui à conserver l'unité.
Par Bekhor (Bekhor) le mardi 29 novembre 2005 - 10h55: |
CONSISTOIRE DE PARIS.
A quand le démantèlement honteux de cet état dans l'état?
Une équipe d’incapables, dirigés par des incapables mercantiles et assoiffés d’argent se gavant en se payant sur la bête de la "CASHROUT".
Malheureusement tout le monde sait que tous les produits « CASHER » sont deux fois plus chers que les autres produits, et pour cause !!!!!!!!!
Le honteux scandale de la Cashrout est contagieux, l'année dernière à Pessah c'était au Canada que le scandale avait éclaté, aujourd’hui c'est en France, et ce n'est pas la première fois.
Cet article du « FIGARO » en dit assez long sur le sujet, malgré qu'il soit écrit très modérément.
http:/www.lefigaro.fr/societe/20051129.FIG0120.html?090855
Par Viviane (Viviane) le mardi 29 novembre 2005 - 08h22: |
De l'humour, rien que de l'humour!!!
Bravo Claudia pour ce message :"L'ordre des lettres".
Il fera le tour de la planète.
Je l'ai déjà adressé aux futurs paticipants de l'atelier d'écriture que j'animerai à la section francophone de la WIZO de Netanya en Israël, à partir du mardi 10 janvier 2006 de 15 heures à 17 heures.
J'invite les personnes qui ont le besoin de s'exprimer par l'écriture, de développer en quelques lignes ou quelques pages, sans jugement aucun de l'animateur ou des participants, ce qu'ils ressentent et qu'ils liront et partageront avec les autres participants et ce, sans limite d'âge ce qui rend plus riche les échanges. Un moment priviligié à ne pas manquer.
Si vous êtes intéressés, répondez-moi par retour d'E-mail. A très bientôt, Viviane.
mon E-mail pour les réponses:
vivianelesselbaum@yahoo.fr
Par Soleil (Soleil) le mardi 29 novembre 2005 - 05h19: |
Hebron/Arutz 7 Commentary
V'Shavu Banim l'Gvulam
by David Wilder
The Jewish Community of Hebron
November 24, 2005
This morning, while eating breakfast, my eye caught an
article in a local paper. Submitted by Kiryat Arba
resident Yeshovev Friedberg, it relates a true story
which I don't recall having heard before. By the time I'd
finished reading, it had caught not only my eye, but also
my heart. I like to relate it to you.
This coming Shabbat, as we read "Parshat Chaye
Sarah,", reading how Abraham purchased a small cave
and the field around, here in Hebron, almost 4,000
years ago, you might want to keep this story in mind.
Thank G-d, we have been privileged to fulfill the
prophecy: V'Shavu Banim l'Gvulam.
Dr. Max Nordau, one of the founders of the World
Zionist Organization, was named at birth Meir-Simcha.
However, he was known as Max, a children's doctor in
Paris. The following story was told by Avraham Shmuel
Yehuda, a Jerusalem Orientalist professor, in his book,
"Ezer HaRav," describing how Nordau became
interested in Zionism.
On the second night of First Zionist Congress in Basel,
Nordau spoke in German, giving a long speech. He
mentioned several times, as a motto, three words from
Jeremiah, in Hebrew, "v"Shavu Banim l'Gvulam," – "Our
Children Have Returned to their Borders." When asked
by a young representative at the congress how he
found this verse, and especially in Hebrew, for this did
not fit Nordau's educational background, Nordau
replied: "I know these words from the person to whom I
am obliged all my Judaism and Zionism. A person
whose name I don't even know. A person who was, in
essence, only a little boy of eight or ten. And this is what
happened:
"I have a children's clinic in Paris. A woman, an
immigrant from Poland, her hair covered with a scarf,
came in with a pale boy, 8 or 10, sick for three weeks.
Someone recommended that she bring him to me. I
took out a form for a new patient and tried to speak to
him in our local language, but he could hardly
understand French. I asked his mother, who was also
very poor at French, and she said, 'no he doesn't go to
a regular school, he goes to a "Heder," a Jewish
religious school.'
I scolded her harshly. 'This only causes anti-Semitism.
We have opened the door for you, the gates to the
country, to refugees from Poland. Why doesn't your
child learn the national language here?'
She apologized and said that he is still young and that
her husband is from the 'old generation,' but that he will
grow and study in the 'gymnasium' (modern school),
and will learn the language.
In anger I asked the child, 'in Heder, what did you
learn?' His eyes lit up, and in Yiddish, which I
understood because of my German, told me what he
had last studied in Heder.
"Ya'akov," he said, "was dying and he invited Yosef and
commanded him, swearing him, pleaded before him,
please, don't bury me in Egypt. There is Ma'arat
HaMachpela, Avraham, Yitzhak, Ya'akov, Sarah, Rivka,
and there I buried Lea. Take me from Egypt and bury
me with them. And when I came from Padan , Rachel
died in Eretz Canaan, on the way to Efrat, and I buried
her there, on the way, in Beit Lechem.
"Why, in the middle of Ya'akov's request, does he tell
the story of Kever Rachel?" "Rashi says," – and this is
all the child talks about, 8 or 10 years old, speaking
about the 'Sages' – that Ya'akov felt a necessity to
apologize to Yosef and say, I bother you like this, to
take me from Egypt to Hebron, and I, mysef, didn’t
bother to take your mother Rachel. And despite that I
was very close. Next to Beit Lechem, Even into the city I
didn't take her, I buried her on the way.
But I'm not guilty and didn't act wrongly. G-d wanted it
this way. He knew: the murderer Nebuchadnezzar
would, in the future, exile the sons of Rachel, her sons,
during the first destruction, and then she would leave
her grave and weep and wail and her voice would be
heard: Rachel weeps for her children. But the L-rd
responds to her: "Stop your voice from weeping, and
your eyes from tears, because there is a reward for you
actions, and a hope for the future, and the children will
return to their borders – v'Shavu Banim l'Gvulam."
"And I," says Dr. Max Nordau, "I didn't know what to do
with myself. I turned to the window so that the mother
and child wouldn't see the tears rolling down my
cheeks, and I said to myself, 'Max, aren't you ashamed
of yourself? You are an educated man, known as an
intellectual, with a Doctor's degree, but you don't know
anything about the history of your people. From all of
the holy scriptures, nothing? And here, this sick child,
weak, an immigrant, a refugee. And he speaks of
Ya'akov and Yosef and Jeremiah, and Rachel, as if it
was yesterday, it all lives in front of his eyes?'"
"I wiped the tears from my cheeks and turned to them
and said, in my heart, 'a people, with children like this,
that actually live their past, they will have a sparkling
future."
"In the weekend newspaper I saw an advertisement,
"Whoever believes that the fate of the Jewish people is
important to them, please call to help find an answer.
Dr. Theodore Hertzl." I called immediately.
When we founded the Zionist Congress, at the first one,
when I was honored to speak and give a speech, the
figure of that little boy, whose name I don't even
remember, stood in front of my eyes. But those words I
will never forget, because they are the foundation of
Zionism, they are the pillars of Judaism, V'Shavu Banim
l'Gvulam – and the children will return to their borders."
You can comment on this article at:
www.davidwilder.blogspot.com
The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron
90100 \
mail{hebron@hebron.org.il,hebron@hebron.org.il}
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 29 novembre 2005 - 06h05: |
Quelle gentillesse à mon égard! Ya SI Tun Ya Si Citron je suis très touché, et encore à lire les éloges de Breitou d’un style exquis, digne d’un écrivain de notre siècle. Je me sens dans un rêve. La vérité je me réjouis pour chaque enfant qui naît, car son arrivée dans ce monde nous démontre que les miracles se déroulent tous les jours.
Ils sont là devant nous, il nous suffit d’ouvrir les yeux pour être conscients. A voir ces petits anges entièrement complets, le nez, la bouche et chaque partie du corps humain est là.
A l'hôpital j'étais resté cloué devant la fenêtre où tous les bébés arrivaient. De voir les soins minutieux de l'infirmière renforçaient ma foi en l'humanité. Comme c’est beau de voir ces bébés.
Que chacun de nous ressente la joie et l’amour qui me traverse. Que Dieu vous bénisse tous qui lisent ces lignes.
Par Email (Email) le mardi 29 novembre 2005 - 01h34: |
Le Professeur Daniel COHEN serait honoré de votre présence lors du concert qu'il donnera au bénéfice du Téléthon
Samedi 3 Décembre 2005
à 20h30
à l'Auditorium Bordeaux
- Palais des Congrès – Paris -
L'Orchestre Symphonique Universitaire de Grenoble jouera sous la direction de
Daniel COHEN
quelques-unes des plus célèbres valses viennoises.
Avec la participation exceptionnelle de Youssou N'DOUR chanteur
de Alan GAMPEL pianiste et Manfred STILZ violoncelliste
Visitez le site www.concerthon.com
Participation 10 euros au profit du Téléthon
Réservation sans frais
Par Email à l’adresse reservation@concerthon.com
Et à l’entrée du concert des 19 H 30
Réservation avec frais
FNAC, Virgin ,Carrefour, Auchan, Leclerc
Sur le site www.palaisdescongres-paris.com
Daniel Cohen est d'origine tunisienne, ancien du Lycée Carnot, généticien, découvreur de la carte du génome humain, et également musicien. Professeur de Génétique Médicale, fondateur du Centre d'Etudes du Polymorphisme Humain (CEPH) et du Généthon, où a été élaborée la première carte du génome humain. Directeur scientifique de Genset et de Serono Genetic Institute, il est connu comme un pionner en génétique humaine pour ses travaux sur de nombreuses maladies incluant la schizophrénie. Il fut récompensé par de nombreux prix, comme scientifique, écrivain et musicien.
Par Albert (Albert) le lundi 28 novembre 2005 - 22h05: |
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Pour la première fois de son histoire, Harissa par l'intermèdiaire de son PTB vous invite demain Mardi 29/11.2005 à sa grande première du film
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 28 novembre 2005 - 22h20: |
mreci cdauila