Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 08 décembre 2005 - 15h34: |
POUR Braham et sa famille.
"SIMANE TOB OU BINE BOURAT OUCHIF" pour la naissance du petit garcon Yahel Fraji David.
Inchallah bel AHYEE OU ELEAMOR TOUIL.
Par Benzarti (Benzarti) le jeudi 08 décembre 2005 - 15h02: |
Emile,
J'ai jms dit que la l'Afrique du nord était d'origine arabe elle est d'origine berbère.J'ai dit qu'elle s'était arabisée comme l'a dit Tun
bref sinon vs connaissez tous ce proverbe "chkoun yoshkor fel laaroussa, om'ha ou khalet'ha"
Par Douda (Douda) le jeudi 08 décembre 2005 - 11h58: |
Douda :
Cher Ami Meyer,
Merci de ton dernier commentaire sur ADRA, concernant la rafle des Juifs de Tunis par les S.S. (9 décembre 1942).
Tu trouveras ci-dessous la réponse faite par l’OIM aux survivants d’un Homme qui fut pris dans cette rafle, et qui sous la menace des armes fut conduit à Bizerte, par la “gestapo” dans le camp de la “wehrmacht” afin d’y effectuer des taches d’esclavage.
Ce qui signifie que pour le Deutch Reich actuel qui a concocté cette loi scélérate, l’ Homme cité ci-dessus, n’est pas considéré comme un esclave de l’Allemagne ?
Il semble donc que la SOCIETE d’HISTOIRE DES JUIFS DE TUNISIE, devrait avoir du pain sur la planche, et se porter partie civile auprés de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, au nom de toutes les victimes de la barbarie allemande.
Voici le Texte :
“
OIM Organisation Internationale pour les Migrations
Numéro de
adressée à
17 octobre 2005
Date de réception de la demande: 27-12-2001
NOTIFICATION DE REJET D'UNE DEMANDE DE DEDOMMAGEMENT POUR TRAVAIL FORCE SOUS LE REOIME NAZI
Par la présente, nous vous informons que l'OIM a terminé son examen de la demande de dédommagement ci-dessus en réparation du travail forcé ou exercé en situation d’esclavage,faisant suite à la Loi allemande relative à la Fondation "Mémoire, responsabilité et avenir" ("la Loi Portant création de la Fondation allemande">.
L’OIM a le regret de vous informer que cette demande ne pourra donner lieu à une recommandation de paiement au titre de ta Loi portant création de la Fondation allemande.
Tout en vous faisant part de cette décision, l'OIM tient à manifester sa sympathie et son respect à chacune des victimes du régime nazi, qu’elles remplissent ou non les critères pour bénéficier des dispositions de cette loi.
Critères définis par la Loi portant création de la Fondation allemande la condition à remplir pour qu'une victime soit considérée comme relevant de la catégorie des travailleurs réduits en esclavage est la détention dans un camp de concentration, un ghetto ou tout autre lieu d'internement reconnu par la Loi portant création de la Fondation allemande.
Pour la catégorie du travail forcé, les conditions à remplir sont d'avoir été déporté sur le territoire du Reich Allemand ou dans une région occupée par l'Allemagne dans les frontières de 1937, d'avoir été contraint au travail forcé et soumis à des conditions de vie extrêmement éprouvantes, comparables à un emprisonnement, ou à d'autres conditions pareillement éprouvantes.
Les prisonniers de guerre, c'est-à-dire les membres d'une force armée capturés au cours de la deuxième guerre mondiale, ne peuvent prétendre à réparation que s'ils ont été détenus dans un camp de concentration reconnu comme tel par la Loi portant création de la Fondation allemande.
Les détenus militaires italiens (IMI) qui ont été capturés durant la deuxième guerre mondiale sont eux aussi écartés des dispositions de la Loi, à moins d'avoir été détenus dans un camp de concentration reconnu comme tel par la Loi portant création de la Fondation allemande.
Le conjoint survivant et les enfants peuvent soumettre une demande de dédommagement à parts égales dans le cas où la victime elle-même selon la définition donnée ci avant - qui remplissait les conditions pour recevoir un dédommagement - est décédée le 16 février 1999 ou après cette date.
Selon la loi portant création de la Fondation allemande, les héritiers des personnes décédées avant le 16 février 1999 ne peuvent pas prétendre à un dédommagement à ce titre.
Si une victime est décédée sans laisser derrière elle ni conjoint ni enfant survivant, les petits-enfants sont habilités à soumettre une demande de dédommagement. S'il n'y en a pas, les frères et soeurs de la personne décédée peuvent eux-mêmes soumettre une telle demande.
Si la victime décédée n’a laissé ni conjoint, ni enfants, ni petits-enfants, ni frères et soeurs, les héritiers cités nommément dans un testament peuvent prétendre à un dédommagement. Les héritiers disposent d'un délai de six mois à partir du décès de la vidime pour se manifester auprès de l'OIM.
Raison du rejet de la demande :
La demande est rejetée pour la raison suivante:
Cette demande ne satisfait pas aux critères déterminés pour la catégorie des travailleurs réduits en esclavage, telle que précisée ci-dessus et elle ne satisfait pas davantage aux critères fixés pour la catégorie du travail forcé, dans la mesure où il n’existe pas suffisamment d'indications d'une déportation forcée vers le Reich allemand ou vers une région occupée par l'Allemagne selon les frontières de 1937.
Veuillez noter que les personnes déplacées de force à l’intérieur de leur propre pays ne sont pas habilitées à demander réparation au titre de ce programme. Les personnes qui ont été déportées de force vers des pays qui n'ont jamais été occupés par l'Allemagne ou qui ont été déportées de force vers des pays qui, à cette époque, n'étaient pas encore sous l'occupation allemande ne peuvent pas non plus prétendre à réparation au titre de ce programme.
Droit de recours :
Si vous jugez cette décision incorrecte et pouvez apporter la preuve que la demande de dédommagement satisfait aux critères permettant de la classer dans la catégorie du travail exercé en situation d'esclavage ou du travail forcé, comme indiqué plus haut, vous êtes en droit d'interjeter appel par écrit auprès de l'instance de recours de l'OIM à Genève. Cette procédure est gratuite.
Toutefois, les frais d'avocat et autres dépenses encourues par le demandeur ne seront pas remboursés, Le recours devra contenir une déclaration détaillée précisant les raisons pour lesquelles il a été formé et comporter tout renseignement ou document additionnel à l'appui de la demande qui n'aurait pas déjà été soumis avec le dossier original.
Si la demande concerne une personne qui est décédée après le 15 février 1999, on voudra bien s'assurer qu'un certificat de décès et la preuve du lien de parenté entre le défunt et tous les héritiers autorisés sont joints au recours, à moins que ces documents n'aient déjà été fournis antérieurement.
Il importe que le numéro de demande de l'OIM indiqué plus haut soit joint à votre demande. Celle-ci devra avoir été postée au plus tard le 25janvier 2006 à l'adresse:
Instance de recours de l'OlM (FL) C.P. 174 CH-1211 Genève 19 Suisse.
Toute demande soumise au titre de perte de biens sera traitée séparément,
Avec nos salutations les plus distinguées,
Organisation internationale pour les migrations.
Programme allemand de dédommagement du travail forcé
Téléphone: 0041.22.592.82.30
Courrier électronique: compensation@iom.int
Internet: http://wwwww.compensation-for-forced-labour.org
“
Bien à Toi Meyer, et à bientôt,,,
Douda du PTB
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 08 décembre 2005 - 12h18: |
... Et puisqu'un bonheur n'arrive jamais seul, MAZAL TOV aussi a Braham (si le petit s'appelle Fraji, c'est de bonne augure car mon mari aussi !)
Louloulouloulouloulouloulouloulou ! ......
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 08 décembre 2005 - 12h08: |
Bonjour a tous,
Un grand MAZAL TOV a Emile (avec mes excuses pour le retard), pour qui a n'en pas douter, l'Art d'etre Grand-Pere n'a aucun secrets !
Emile, quoi de mieux pour illustrer votre propos que le document visible sur ce lien:
http://tinyurl.com/dq2yr
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 08 décembre 2005 - 06h53: |
Citron, j'ai lu attentivement l'aticle apparu dans Jeune Afrique "Tunisie" que vous avez affiché dans les commentaires d'Harissa.com. Je me joins a Monsieur André Nahum pour dire que les Musulmans d'avant guerre n'ont pas fait de mal aux Juifs et du reste l'histoire le témoigne.
J'avais toujours dit que les Musulmans arabes d'aujourd'hui avaient devié de leur grand héritage bien reconnu dans le monde et evidemment parmi les Européens. Sinon comment expliquer que les Juifs d'alors étaient de bons alliés aux Arabes en Espagne? C'était bien l'âge d'or, tant pour les Juifs que pour les Arabes, jusqu'à la défaite arabe. "Pendant des siècles et des siècles, l'Espagne des Chrétiens, des Arabes, et des Juifs, a développé une des cultures les plus brillantes que le monde ait connu"(Juan Goytisolo)
Je le répète encore, il est regrettable que les Arabes aient démontré une faiblesse et un manque de noblesse vis-à-vis de leurs frères juifs quand ceux-ci, après la souffrance de la deuxième guerre mondiale avait enfin retrouvé leur terre historique. Ils s'acharnent toujours sans réfléchir, contre un état minuscule, alors qu'il n'avaient pas levé un doigt lorsque les Anglais avait envahi de nombreuses terres arabes. Durant les cinquante années de son existence, Israël s'était bien développé et aurait pu faire bénéficier tout le Moyen Orient si celui-ci avait tenu la parole que le roi Feisal avait donné à Haim Weitzman à Paris le 1er mars 1919.
Hélas la Tunisie, malgré certains gestes de compréhension et d'appaisement qu'elle avait démontrés ces derniers temps, elle craint que ces gestes soient remarqués par les pays arabes. A se demander, si notre Tunisie est encore indépendante? Je l'ai dit et je le repète, ce n'est pas en invitant Sharon, le Grand Rabin de France ou Sylvain Shalom, ou bien en faisant de la publicité pour la Ghriba de Djerba que la Tunisie deviendra digne et acceptable aux yeux des Juifs tunisiens. On me dira que la Tunisie s'en moque de ces Juifs mais il n'empêche que leur influence n'est pas à sous-estimer dans le monde. Jusqu'à présent la Tunisie n'a pas admis ses erreurs envers mon peuple, ni reconnu sa responsabilité. De ma part, j'aimerais revoir l'entente qui existait avant que la Tunisie s'est jointe à la Ligue Arabe.
J'ai beaucoup écrit sur cette entente et sur le bon voisinage judéo-musulman. Je ne sais pas si le temps qui me reste sur cette terre me réservera le plaisir de revoir la coopération que nos parents et moi-même avons connue. Connaissant plusieurs de mes compatriotes tunisiens musulman je ne perds pas l'espoir de revoir surgir un jour l'amitié judéo-arabe.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 08 décembre 2005 - 01h23: |
Benzarti, soyons clairs, l'Afrique du Nord n'est pas arabe d'origine mais comme je l'avais autrefois dit peut-etre 5% sont Arabes et le reste musulmanises et arabises. Mais quand le jour du reveil arrivera chacun retrouvera ses origines qu'on le veuille ou pas.
Donc pas necessaire d'argumenter "Chai Ma Yenfaa"
Par Meyer (Meyer) le mercredi 07 décembre 2005 - 22h33: |
Transmis par Claude NATAF, président de la S.H.J.T. :
SOCIETE d’HISTOIRE DES JUIFS DE TUNISIE
(S.H.J.T.)
45, rue La Bruyère
75009 PARIS
(Association régie par la Loi du 1er Juillet 1901)
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Paris, le 28 novembre 2005
C O M M U N I Q U E
A l’occasion de l’anniversaire de la rafle des Juifs de Tunis par les S.S. (9 décembre 1942), la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie organise une cérémonie commémorative qui aura lieu le dimanche 11 décembre à 10 heures 45, au Mémorial du Martyr Juif Inconnu 17 rue Geoffroy l’Asnier 75004 Paris, au cours de laquelle il sera donné lecture de la liste des Juifs de Tunisie déportés et non revenus des camps d’Europe et des décédés dans les camps de travail en Tunisie victimes de la barbarie nazie .
Cette lecture sera suivie de la récitation des prières d’usage.
Les familles des victimes, tous les originaires de Tunisie et l’ensemble des membres de la communauté juive de Paris sont invités à s’associer à cette manifestation du souvenir qui éclaire la dimension du projet nazi d’anéantissement global du judaïsme.
Par Maurice (Maurice) le mercredi 07 décembre 2005 - 20h53: |
Comprendre la nature des conflits qui tiraillent le monde islamique de l'intérieur pour tenter de prévoir son évo lution, notamment à l'égard de l'Occident : tel était le thème de l'intervention d'Alexandre Adler dans le cadre des Grandes Conférences du Figaro, lundi 14 novembre, au Théâtre de la Madeleine.
Avec ironie, Alexandre Adler n'a pas caché la difficulté inhérente à son projet de compréhension du monde musulman dans le contexte actuel où l'islam prend, trop souvent, la figure répulsive que lui donnent les islamistes. S'il conteste le point de vue que développe Samuel Huntington dans Le Choc des civilisations, à savoir l'idée d'un «protectionnisme» nécessaire de l'Occident à l'égard de la civilisation islamique, Alexandre Adler n'élude pas la complexité du défi. «Le monde musulman est traversé aujourd'hui par la pulsion de mort, comme le fut l'Europe à l'époque du fascisme, mais l'islamisme, comme le fascisme hier, suscite ses contre-poisons.»
Pour Adler, la guerre annoncée entre l'Occident et l'islam n'est pas fatale, dès lors que nous sommes capables d'aider ceux qui font le pari d'une certaine modernité contre l'intégrisme. Pari qui n'a rien à voir avec un quelconque angélisme. Contrairement à ceux qui réduisent les violences actuelles à des problèmes sociaux, Adler y décèle aussi l'influence de ceux qui sont parvenus à diffuser, chez des jeunes en rupture de ban, une conception du territoire propre à l'islam. «La difficulté d'imposer la loi républicaine dans certains quartiers n'est certainement pas étrangère à cette logique du territoire qui fait partie de l'héritage musulman», affirme-t-il. Et de citer ces propos d'un imam d'une banlieue de Lille qui, recevant le maire de la ville, Martine Aubry, voici quelques années, lui lança un «bienvenue chez nous !» qui la laissa sans voix. Pour enrayer cette logique de la confrontation avec l'islam, Alexandre Adler croit en deux principes : d'abord celui de la fermeté qui passe par la «non-compromission avec les sirènes de l'islamisme soi-disant progressiste qui nous fait croire que Tarek Ramadan est un rousseauiste inoffensif.»
Ensuite celui du soutien actif aux forces positives qui travaillent le monde musulman. Si elles existent partout, du Maroc à la Malaisie, Adler les voit se déployer, en particulier en Turquie et en Iran. La Turquie d'abord, «authentique démocratie», affirme l'expert en géopolitique qui croit en la solidité de l'héritage laïc kémaliste. En Iran ensuite, où les diatribes haineuses du nouveau président iranien Ahmadinejad ne doivent pas cacher le renouveau du chiisme, cette branche de l'islam dont les valeurs messianiques sont proches de la chrétienté et du judaïsme. «Ce n'est pas un hasard si le terroriste Zarqaoui s'en est pris aux chiites qu'il a comparés aux juifs», explique Adler. Un chiisme qui profite de la décomposition du nationalisme arabe, notamment en Irak, pour se déployer. «Il n'y a pas en Irak un seul chiite qui souhaite la défaite des Etats-Unis», assure le conférencier. Selon lui, une logique de séparation du spirituel et du temporel est en marche dans le monde musulman. Il faut donc l'aider à se démocratiser et à se pacifier. Une note d'espoir fortement applaudie, inséparable de la volonté de résister à l'intégrisme.
Paul-François Paoli
Dernier ouvrage paru : Rendez-vous avec l'islam, Grasset.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 07 décembre 2005 - 19h41: |
Mazal Tov Braham ha yakar
Ocher ve ocher le orim ve arbe nahat
Que cet enfant soit aime , choye et vive dans la paix et l amour
beaucoup de bonheur pour toute la famille
Merci de nous annoncer de si belles nouvelles .
Que D benisse protege tous nos enfants ! Amen
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 07 décembre 2005 - 19h02: |
Au nom de mes collegues Harissiens et de moi-même, je suis très heureux d'annoncer la naissance et le Brit Mila de