Par Suggest1 (Suggest1) le vendredi 20 juillet 2007 - 10h19: |
CE QU'ILS DIFFUSENT....!!! De l’autre coté !
http://serveur1.archive-host.com/membres/up/2022272012/Paradise.ppt (klic klic)
suggest.1
Par Lapid (Lapid) le vendredi 20 juillet 2007 - 10h29: |
Affaire a suivre
Christine Boutin, actuelle Ministre du Logement et de la Ville du gouvernement Fillon, avait-t-elle deja rejoint le clan de Dieudonne, des Negationnistes et des Revisionnistes
Alors qu'elle était conseillère de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, Christine Boutin a exprimé publiquement son accord avec l'hypothèse que le président Bush « peut être à l'origine » des attentats du 11 septembre. Suite à la victoire de M. Sarkozy, Christine Boutin est devenue ministre du logement et de la ville et autant que nous en savons , elle n'a pas renié ses affirmations depuis.
Christine Boutin soutient la thèse conspirationniste dans les attentats du 11 septembre 2001. Selon ces théories, admises dans les cercles arabes et extrémistes, le Pentagone et le Mossad auraient perpétré les attaques contre les Tours jumelles. Dans une vidéo diffusée dans une émission de Karl Zéro sur AOL en 2006, l'actuelle ministre de la Ville a exprimé ses doutes sur l'origine des attentats contre le World Trade Center. (Guysen.International.News)
''Je pense que c'est possible. Je le pense d'autant plus que je sais que les sites qui parlent de ce problème sont des sites qui ont le plus haut taux de visite. (...) Je me dis que cette expression de la masse du peuple ne peut pas être sans vérité'', a-t-elle notamment affirmé.
Rappelons aussi que Christine Boutin est consultante pour le Vatican auprès du ministère de la Famille dirigé par le Cardinal Lopez Trujillo et qu'une bataille oppose fortement des factions du Saint Siège à l'administration américaine.
En France on vérifie actuellement les relations de Mme Boutin avec les milieux antisémites, et on ne lui prédit pas un long avenir dans l'actuel gouvernement.
Pour en savoir plus :
http://blog.mendes-france.com/2007/07/02/christine-boutin-conspirationniste-quid-de-fadela-amara/
christine boutin conspirationniste
http://carignano.blog.20minutes.fr/archive/2007/07/10/carton-rouge-%C3%A0-christine-boutin-r%C3%A9visionniste.html
Carton rouge pour christine boutin
http://www.novaplanet.com/forums/viewtopic.php?id=30309
christine boutin rattrapee pr ses propos controverses
http://blog.edouard-fillias.fr/2007/07/05/157-christine-boutin-demission
une faute de gout politique
Par Albert (Albert) le jeudi 19 juillet 2007 - 19h31: |
Que voulez-vous Monsieur Lapid, les fantomes juifs ne sont pas étudiès en Tunisie.
Dans le plat pays de la CHORBA.
Par Kfir (Kfir) le jeudi 19 juillet 2007 - 18h55: |
ALYA: La scolarité en Israël
Par Marc Haviv pour Guysen Intenational News
Jeudi 12 juillet 2007 à 15:32
Dans quelques jours une nouvelle vague importante ''d'Olims'' (émigrants) de France va rejoindre la Terre Sainte.
600 d'entre eux sont attendus le 25 Juillet.
Un des points les plus importants pour une Alya réussie est bien évidemment le devenir des enfants.
Généralement en ce qui concerne les petits, maternelle et primaire, il n'y a pas trop de soucis à se faire, les enfants apprennent très vite l'hébreu, se font des amis et en moins d'une année l'intégration est parfaite.
Pour les adolescents, à partir de 14 ans cela est un peu plus compliqué d'abord parce que nous avons à faire à des ados ou pré ados, ils se forgent leur caractère, ils ont eu le temps de se faire des amis qu'ils fréquentent depuis plusieurs années. On parle alors d'un véritable déracinement. Pour eux il faudra probablement plus qu'une année pour s'acclimater.
Par contre c'est avec eux qu'il faut faire le bon choix, même si ce que ce choix est difficile.
Généralement les parents préfèrent mettre leurs enfants dans une école "Mamlahti Dati" c'est-à-dire religieuse d'Etat, un peu comme les écoles juives que nous connaissons en France, de façon à ne pas être trop dépaysé.
Dans ces écoles et de plus en plus depuis l'arrivée significative des olims de France, des structures d'accueil sont mises en place. Ces structures au sein de l'école proposent des cours de soutien, des Oulpanims, des aides par des "Bat Shérout" jeunes filles francophones qui effectuent leur service civil qui aident les jeunes et donnent également aussi des cours de soutien.
Cependant et surtout la première année, les parents pensent que leurs enfants sont pris en main et également par le fait qu'ils sont eux-mêmes débordés par leurs difficultés d'intégration, ils suivent moins l'évolution de leurs enfants.
De l'autre côté, les jeunes qui vivent une année transitoire un peu "cool" sortent rapidement du cadre rigoureux "parents-école" et peuvent décrocher au niveau scolarité.
De plus, en Israël l'école ne fonctionne que le matin et en début d'après midi pour les plus grands. Le reste du temps ils se retrouvent plus libres qu'ils ne l'ont jamais été en France.
C'est la raison pour laquelle les parents se doivent être exceptionnellement vigilants la première année.
Une des solutions serait éventuellement de mettre les jeunes qui se rapprochent de l'âge du bac, dans des structures où l'encadrement est complet comme certains internats qui ont des programmes adapté aux Olims de France.
Il existe des structures de qualité et adaptés, des programmes qui ont fait leurs preuves tel que NAALE . La plupart sont dans la région de Jérusalem mais aussi dans d'autres régions du pays.
Il y a des écoles spécifiques pour jeunes filles comme le lycée Amalia de Jérusalem, pour garçons comme Naalé Tsion; ou encore mixte comme la Hava , le Lycée français. (il en existe bien d'autres, il faut se renseigner auprès de l'agence juive ou AMI)
A mon sens et ce malgré le sacrifice des parents qui doivent se séparer de leur enfant, ces structures conviennent parfaitement aux jeunes pour qu'ils puissent rapidement se maintenir "sur les rails", s'intégrer parfaitement, apprendre vite l'hébreu, ne pas perdre son temps en faisant de la première année une année de vacances et surtout obtenir un bon baccalauréat.
A ce propos la question se pose, quel Baccalauréat choisir en Israël? En effet, nous avons le privilège de choisir entre un bac israélien et Français que certains lycées proposent (Givat Washington, la Hava..).
C'est là le choix de chacun. En ce qui me concerne, j'estime que quelqu'un qui fait son Alya doit chercher par tous les moyens à s'intégrer au pays le mieux possible afin d'accéder aux meilleures universités. Le bac israélien, ses résultats et sa valeur est connu et reconnu par tous.
De plus passer un bac Français est pour moi, une façon de se donner, inconsciemment une voie de repli vers la France en cas d'échec de l'Alya. Cette façon de penser ou de "sub penser" chacun vous le dira, est la pire chose afin ne pas s'intégrer DEFINITIVEMENT "Has vé Shalom" (D… nous en préserve) comme le disent les" pur et dur".
Faire son Alya passe obligatoirement par des difficultés pour chacun des membres de la famille et chacun à son niveau. Analyser et cerner les problèmes c'est en fait les résoudre.
Un dernier conseil si vous souhaitez que vos enfants s'intègrent le plus rapidement possible. Ne prenez pas de Satellite qui capte toutes les chaînes françaises au moins les deux premières années et tant pis pour vous qui ne comprenez pas l'hébreu. Si vous ne me croyez pas, je vous mettrai en contact avec des amis qui n'ont pas voulu nous écouter!!!!!!
Par Kfir (Kfir) le jeudi 19 juillet 2007 - 18h50: |
Marige civil autorisé !
2007-07-19 12:37:00
Après de longs débats, le grand rabbin d'Israël, Schlomo Amar et le ministre de la Justice, Daniel Friedmann sont finalement parvenus à un accord portant sur le mariage civil entre homme et femme non juif.
Jusqu'ici seuls le mariage et le divorce religieux (entre juifs) étaient reconnus par la législation israélienne.
Désormais, une sorte d'arrangement marital établi en vertu des lois Nohaïde (7 lois de Noah applicables aux non juifs) permettra aux non juifs d'officialiser leur union.
Le rabbin Amar a précisé qu'il avait donné son accord pour l'institution de ce nouveau cadre législatif après avoir consulté le mentor du parti Shas, le rabbin Ovadia Yosseph.
Cette solution devrait permettre aux 300 000 (chiffres communiqués par le ministère de l'Intégration) non juifs originaires de l'ancienne union soviétique -- et détenteurs d'une carte d'identité israélienne en vertu de la Loi du Retour -- de pouvoir officialiser leur union.
Par Email (Email) le jeudi 19 juillet 2007 - 19h53: |
Qui connait les airs de tichâ béav ?
Les plus anciens des h'azanim avouent volontiers ne pas savoir chanter les kinote !
On ne peut pas laisser ces airs se perdre, quand même !
Qui prie dans un office Tune à tichâ béav ?
Si c'est votre cas, demandez la permission d' enregistrer le h'azane lundi soir avec un lecteur MP3 ou autre et faites donc partager les enregistrements !
En attendant, on a enregistré un piyout qui se situe à la page 155 du siddour Ich Maçliah' de tichâ béav (qu' il vous faut absolument d'ailleurs).
Pour l' écouter, voici le lien :
http://www.dailymotion.com/piyoutunes
Bonnes vacances à tous !
Par Lapid (Lapid) le jeudi 19 juillet 2007 - 19h27: |
Tunisie: mise au jour d'un monument sacré du judaïsme
Quelle decouverte sensationnelle :I Il y avait des juifs en Tunisie !
De qui se moque-t-on ? Pour s'en rendre compte allez au Musee du Bardo voir quelle place est accordee a la presence juive en Tunisie!
"Quoi de plus triste que de visiter, au musée du Bardo, une vitrine réservée aux juifs de Tunisie dont il ne reste, dans le pays, que moins de mille neuf cents âmes. (2004)"
Les nouvelles generations de tunisiens ignorent depuis pres de 50 ans presque tout de la presence juive en Tunisie puisque les autorites tunisiennes s'efforcent d'en effacer volontairement toute trace. On n'en parle meme pas dans les livres scolaires quand il s'agit de raconter l'histoire de la Tunisie. La "cour" aux juifs n'est faite que lorsqu'il s'agit d'encourager le Tourisme en Tunisie. Alors la, les autorites tunisiennes se font la "douce violence" de s'enorgueillir et de rappeler qu'il y avait effectivement "trace de juifs" en Tunisie. Interet oblige !
Il est toujours temps et d'actualite de leur faire un bref rappel de la Presence juive en Tunisie depuis plus de 2000 ans bien avant que les Arabes n'envahissent la Tunisie et tout le Maghreb :
Population générale 9 156 000 Population juive : 1900 personnes [2004], vivant surtout à Tunis et à Djerba. 200 personnes vivent encore dans la région de Sousse-Monastir.
Colonisée par les Phéniciens au neuvième siècle avant l'ère civile, elle donna naissance à une grande puissance, Carthage, longtemps rivale de Rome qui la vainquit en 146.
Lorsque les Romains occupèrent et détruisirent la ville, des juifs habitaient déjà le pays. Une légende veut que l'île de Djerba ait abrité des Juifs envoyés par le roi Salomon, au dixième siècle avant l'ère civile. Une autre tradition raconte que des Cohanim, des prêtres, seraient venus dans l'île en 70 avec une des portes du Temple; celle-ci serait emmurée dans la synagogue de la Ghriba, la Merveilleuse. Cette synagogue serait ainsi en activité depuis 1900 ans.
L'actuelle Tunisie devient partie intégrante de l'empire romain en 146. Toute la région, de la Cyrénaïque au Maroc est dénommée provincia Africa ou Africa pro pria mais sera mieux connue sous le nom d'Africa. Plusieurs communautés juives y sont implantées et les Romains déportent, après la guerre de 70, des esclaves d'Israël. Des vestiges sont régulièrement mis à jour: lampes à huile, pierres tombales revêtues d'une menora, (chandelier à sept branches), prouvent, si besoin était, l'existence d'une kehila importante, tellement éminente que l'empereur Septime Sévère (berbère, selon Camps) n'hésitèrent pas, en 200, à signer un traité spécial avec les juifs de Gamarta.
Plusieurs sages mentionnés dans le Talmud vivaient dans cette région aux 2e-4e siècles
Plus tard, des auteurs chrétiens dont le Berbère saint Augustin n 'hésiteront pas à dénigrer cette communauté et les tribus judaïsantes. Les byzantins émettront des édits excluant les juifs des services publics, prohibant les rites juifs et transformant les synagogues en églises. Les juifs, réfugiés dans les montagnes et les tribus berbères, durent ensuite s’adapter lors la conquête arabe de la Tunisie, au 7e siècle. Puis, à la suite de l’expulsion des juifs d’Espagne, et sous l’Empire ottoman, la communauté se divisa entre juifs natifs (Touransa) et ceux d’origine espagnole ou italienne (les Ghrana), avec de fortes différences culturelles.
Ce ne fut que sous le protectorat français que la condition des juifs s’améliora,, tendant vers une émancipation. A la suite de la mise à mort du Juif Bato Sfez, accusé faussement de blasphème et brûlé vif, les troupes de Napoléon III occupèrent la Goulette et obligèrent le bey Mohamed à signer, en 1857, le Pacte Fondamental accordant à tous les Tunisiens les mêmes droits. A la suite de ces mesures, mécontentes de l'égalité octroyée aux juifs, des tribus se révoltèrent et attaquèrent ceux de Djerba et de Sfax. La présence au large de navires de guerre européens empêcha les massacres.
Le protectorat français de 1881 n'entraîna pas de changement majeur dans la situation des juifs même si ceux-ci jouissaient de plus de sécurité. En 1910 les juifs purent devenir citoyens de l 'hexagone mais seuls sept mille trois cent onze Juifs en firent la demande jusqu'en 1956, date de l'indépendance du pays. Au début du vingtième siècle la population juive était estimée à près de cent mille personnes.
Si les Juifs s'engagèrent dans l'armée française lors de la Première Guerre mondiale, des troupes tunisiennes se mutinèrent en 1917. Elles attaquèrent et pillèrent les quartiers juifs de Tunis, Bizerte, Sfax, Sousse et Kairouan. En 1932 de nouvelles agressions eurent lieu contre les juifs de Sfax et en 1934 contre ceux de l' Ariana, un quartier de Tunis.
Le pays fut occupé par les Allemands de novembre 1942 à mai 1943. les lois raciales en vigueur depuis Vichy furent renforcées. Tous les hommes entre dix-huit et vingt-huit ans, furent astreints à des travaux forcés. Quatre mille furent expédiés dans des camps situés sur le front, ou déportés vers les camps de la mort avec leur lot d'exécutions sommaires. Parmi les juifs tunisiens suppliciés, signalons Young Perez, le champion du monde de boxe de poids mouche dénoncé à Paris en 1943, abattu au cours de la marche de la mort, en janvier 1945 (André Nahum,« Quatre boules de cuir », éditions Bibliophane, Paris, 2002).
La Tunisie se préparait à la liberté. La situation des juifs devint précaire. En 1954 l'autonomie fut accordée à la Tunisie. Albert Bessis, un avocat, fut nommé ministre. A l'indépendance le 20 mars 1956, Habib Bourguiba le remplaça par un homme d'affaires, André Barouch, qui avait aidé substantiellement financièrement le Destour, le parti qui oeuvra pour l'indépendance du pays. Barouch démissionna quelques mois plus tard.
Bourguiba voulait arabiser le pays. La tunisification était en marche. Le 17 septembre 1957 il abolit le Beth Din, le tribunal rabbinique et dissout, le II juillet 1958, le conseil de la communauté.
Sous le prétexte d'insalubrité, la hara de Tunis fut rasée, comme le fut également le plus ancien quartier de la ville, celui de la synagogue. Se passant de l'accord de la communauté et sans indemnisation, le vieux cimetière de Tunis fut exproprié et transformé en jardin public. C'était le début de la fin pour cette communauté datant de l'antique Carthage. Alignée sur les thèses arabes, la Tunisie suspendit toutes les subventions en faveur de la communauté juive amenant une inquiétude profonde. Les années soixante ouvrirent une période de crise économique. Pour dévier l'attention, les autorités cherchaient le bouc émissaire: il était tout trouvé. Des Juifs furent arrêtés et jugés. Le pouvoir voulait humilier l'ensemble de la communauté. La crise de Bizerte de 1961 augmenta l'exode (les juifs furent accusés de ne pas être patriotes) qui culmina avec la guerre des Six Jours. La grande synagogue de Tunis fut incendiée, les Sifrei Torah, lacérés, la fabrique de matzot, de pains azymes, fut également brûlée.
Les Juifs pouvaient quitter le pays mais ne pouvaient emporter qu'un dinar par personne, un euro et demi.
Après la guerre du Liban et l'accueil par la Tunisie d'Arafat et de ses séides, le sentiment anti-juif se renforça.
Alya vers Israel : depuis 1948, 53 068 juifs de Tunisie ont émigré vers Israël.
L 'histoire des juifs de Tunisie s'achève. [Source : FIROJPAM]
D'autre part, on a largement developpe le sujet de l'Histoire des juifs en Tunisie dans les colonnes de Harissa.com et aussi sur le Net en general ou il suffira, par exemple, de rechercher sur Google:"juifs Tunisie" pour avoir un flot d'informations sur ce sujet que la Tunisie d'Aujourd'hui s'efforce encore de dissimuler a ses propres habitants.
Pour en savoir plus:
De Carthage à Jérusalem : la communauté juive de Tunis par Robert Attal et Claude Sitbon
Par Lapid (Lapid) le jeudi 19 juillet 2007 - 18h30: |
Lindenstrauss : la préparation de la défense civile, un échec total [Suite]
Malgré l'avertissement de la présidente de la Knesset, Dahlia Itzik, de ne pas transformer en une vengeance personnelle la publication mercredi 18 juillet du rapport du contrôleur d'Etat sur les dysfonctionnements du gouvernement dans la préparation et la protection de la défense civile lors de la seconde guerre du Liban, c'est précisement ce que s'est empressé de faire le Premier ministre Ehoud Olmert.
Le rapport du contrôleur d'Etat, Micha Lindenstrauss, critique vivement les performances du gouvernement dans la protection de la défense civile, ce à quoi les services d'Ehoud Olmert ont répondu en affirmant que le contrôleur d'Etat "tire dans toutes les directions pour faire les grands titres de la presse".
Dans son rapport de 582 pages, Lindenstrauss écrit : "Les faits montrent que le Premier ministre Ehoud Olmert, l'ancien ministre de la Défense Amir Peretz, l'ancien chef d'état-major le général Dan Haloutz et le chef de la défense civile le général Itzhak Gershon, chacun dans le cadre de ses fonctions, ont gravement échoué dans le processus de prise de décisions, dans leur appréciation de la situation et dans leurs agissements concernant la protection de la défense civile durant la guerre."
Le rapport souligne trois dysfonctionnements principaux :
une législation problématique qui ne détermine pas une répartition claire des responsabilités entre les différentes autorités gouvernementales ;
le manque de préparation à une éventuelle attaque de la défense civile dans le Nord ;
le manque de responsabilité des différentes autorités qui ont mis du temps à réaliser la gravité de la situation.
Parmi les erreurs citées par le contrôleur : le gouvernement a attendu jusqu'au 30 juillet, 19e jour du conflit, pour se réunir afin d'évaluer la situation de la défense civile.
La publication du rapport final de la commission Winograd reportée au mois d¹octobre
La commission gouvernementale Winograd, chargée d¹enquêter sur les dysfonctionnements de la seconde guerre du Liban préviendra à l¹avance ceux qui risqueront d¹être concernés par les conclusions de son rapport final, afin de leur permettre de réagir aux accusations portées contre eux, annonce le Haaretz jeudi 19 juillet.
Cette décision aura pour conséquence le report de la publication du rapport au mois d¹octobre.
Sur la scène politique, ce report a de fortes implications : le Premier ministre Ehoud Olmert, censé être lourdement critiqué dans le rapport final, a tout intérêt à ce que soit reportée sa publication. Le ministre de la Défense, Ehoud Barak, qui s¹est engagé lors de sa victoire aux primaires du parti travailliste, à quitter la coalition dès la publication du rapport, sera satisfait de rester quelques mois de plus à son poste.
Par Citron (Citron) le jeudi 19 juillet 2007 - 17h12: |
TUNIS, 19 juil 2007 (AFP) - Tunisie: mise au jour d'un monument sacré du judaïsme
Une mosaïque évoquant un lieu sacré du judaïsme remontant à la fin de l'antiquité, a été mise au jour à Kélibia, ville de Tunisie, a-t-on appris jeudi à l'Institut national du Patrimoine (INP).
Ces vestiges, sans doute une synagogue antique, "en tout cas un lieu sacré", ont été découverts lors de travaux de voirie menés au pied de la forteresse surplombant le port de Kélibia, à 110 km au sud de Tunis, sur le littoral nord-est de la Méditerranée.
Cette découverte a été présentée par l'archéologue Mounir Fantar lors d'une journée scientifique à l'INP, qui en a fait état dans son dernier bulletin interne. Il s'agirait d'une première, les vestiges constituant la première preuve d'une présence antique du judaïsme dans cette région du Cap Bon.
La représentation de chandeliers à sept branches, symboles du judaïsme, ne laisse aucun doute sur la présence d'un lieu sacré juif. Le monument, daté a priori du 5e siècle avant JC, est constitué d'une mosaïque "en parfaite conservation" et dont les motifs dessinent douze chandeliers à sept branches.
Cette oeuvre célèbre l'accomplissement du voeu d'un mécène du nom d'Ivdantis (Judas).
Dès sa découverte, un périmètre de sécurité a été installé autour du site en attendant des fouilles dirigées par Mounir Fantar, responsable des monuments de la province de Nabeul.
L'histoire de Kélibia (Clupea) remonte à l'époque punique comme en témoigne la découverte d'une nécropole et de vestiges du 5e au 2e siècle avant JC.
Cette ville est dominée par une forteresse byzantine (6e siècle) perchée au-dessous d'une falaise de 150 mètres, qui assurait la défense du port.
Le sud de la Tunisie abrite la plus ancienne synagogue d'Afrique, "La Ghriba", située sur l'île de Djerba et qui accueille chaque année des milliers de pèlerins juifs d'Europe et d'Israël. Ces derniers sont originaires de Tunisie pour la plupart.
La communauté juive, forte de cent mille personnes il y a cinquante ans, se limite actuellement à un millier de personnes, la plupart ayant quitté le pays pour s'établir surtout en France et en Israël.
www.la-croix.com
Par Kfir (Kfir) le jeudi 19 juillet 2007 - 12h39: |
Le scandale occidental !
Par Albert Bellaïche pour Guysen International News
Mercredi 18 juillet 2007 à 22:52
Peu importe que la décision sur cette ténébreuse affaire de revenir sur les condamnations à mort des six infirmières bulgares et de leur collègue médecin palestinien soit prise aujourd’hui, demain ou plus tard par le Conseil supérieur des instances judiciaires libyennes, ce qui est sûr c’est qu’elles seront prises en tout état de cause, puisqu’un accord est intervenu entre les familles et la Fondation Kadhafi présidée par Seif al-Islam, le propre fils du Colonel, sur la base d’un dédommagement d’un million de dollars par famille d’enfant « contaminé » soit au total une enveloppe d’environ 400 millions de dollars.
Des acomptes ont déjà été distribués en espèces aux familles concernées qui ont accepté de retirer leur demande de maintien des peines de mort prononcées.
Qui va donc payer cette somme importante qui constitue une sorte de règlement bâtard d’un chantage qui ne dit pas son nom ? Telle est la question des questions !
Ce serait l’Union Européenne qui prendrait cette charge à son compte.
Elle a bon dos l’Union Européenne !
Autrefois sous les régimes des « démocraties populaires » ou des dictatures fascistes ou fascisantes, lorsque l’on souhaitait se débarrasser d’un quidam d’opposition, d’un rebelle actif voire tout simplement d’un citoyen encombrant pour le pouvoir en place, on l’accusait d’espionnage, d’atteinte à la sûreté de l’Etat voire de complot au profit de pays étrangers.
Des pseudo- preuves étaient alors orchestrées, de grosses ficelles étaient inventées et le « fauteur de troubles » était condamné à la prison à vie ou la peine capitale.
Et l’Occident hésitant et craintif, assistait sans état d’âme au scénario auquel personne ne croyait mais que tout le monde feignait d’ignorer…
C’était l’indéniable scandale occidental qui reposait sur l’axiome erroné, débile et hypocrite qui faisait que l’on s’ingéniait davantage à ménager les gros pourvoyeurs de pétrole et les régimes à fort débit populaire, qu’à porter secours à des hommes et des femmes en détresse dont l’innocence ne faisait de doute pour personne.
Du coup, deux injustices étaient commises en même temps, l’une qui faisait l’impasse sur la souffrance des victimes et l’autre qui tenait très peu compte de l’éthique démocratique qui dans ces pays-là avait autant d’importance que la boue qui se dépose au fond des eaux …ou de l’eau sale qui coule dans les ruisseaux.
Aujourd’hui, l’Occident s’intéresse et essaye de pourvoir la justice d’une certaine équité en participant activement à la libération des condamnés bulgares accusés d’avoir inoculé volontairement le virus du sida à 436 enfants libyens dont 56 sont morts après des soins à l’hôpital Al-Fatih de Benghazi, une ville du nord du pays.
C’est donc non sans une certaine hypocrisie qui s’instaure en gabegie légale et étatique qui fait que certaines sentences sont prononcées contre des innocents au motif qu’ils auraient commis des actes criminels contre des autochtones chauffés à blanc et qui ont exigé du pouvoir en place des verdicts exemplaires…
Et c’est donc la vox populi qui a fait force de Loi et qui a servi d’alibi pour condamner des innocents aux mains vides…
Et c’est ainsi que les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien, depuis naturalisé bulgare, ont vécu huit ans d’enfer dans les geôles libyennes où leurs souffrances ont pendant ce temps-là suscité peu de compassion ou de pitié, pour enfin retrouver quelque espoir de survie et peut-être de libération…
Huit ans perdus dans l’indécision et le risque, dans l’injustice et le chantage et qui ont finalement vu le Conseil supérieur des instances judiciaires libyennes décider de commuer les peines capitales en prison à vie…
Une sorte de consentement non-dit d’élargissement vers leur pays d’origine de six innocents contre la « modique » somme de 400 millions de dollars.
Selon leur avocat français Me Stéphane Zerbib « les condamnés pourraient être rapatriés dans un délai très bref et purger leur peine dans une prison bulgare. »
Ce qui s’est passé en Libye finalement, c’est que de faux accusés pour de fausses contaminations ont vécu sous la vraie menace d’une possible exécution alors que le professeur français Luc Montagnier qui s’était rendu à deux reprises en Libye, avait établi des rapports selon lesquels « les conditions d’hygiène déplorables de l’hôpital sont responsables de la contamination des enfants… »
En vérité, l’Occident en vertu d’un laxisme incompréhensible ou d’une incapacité à décider de façon forte, péremptoire et commune, a laissé une situation pourrir et se détériorer pour finalement accepter de transiger sur l’intransigeance…
D’ailleurs, deux conditions s’ajoutent à l’accord définitif de dédommagement pécuniaire :
Une demande de pardon et de clémence des condamnés et leur engagement formel de renoncer à toutes actions ou poursuites ultérieures contre la Libye…
Une capitulation sans condition devant un gouvernement, une justice et un Colonel exigeants, impitoyables et faisant abstraction de toutes formes d’usages diplomatiques en vigueur dans toutes les démocraties dignes de ce nom !
C’est à ce stade-là aussi que l’Occident pèche en se situant – par retard accumulé- sur cette plate-forme discutable d’un pur scandale international, qui s’insinue dans les coursives diplomatiques les plus faibles.
Par Lapid (Lapid) le jeudi 19 juillet 2007 - 14h04: |
Le gouvernement a échoué à protéger ses civils pendant la guerre. [ISRAELINFOS.NET]
Le contrôleur de l’Etat a rendu un rapport accablant sur la gestion de l’arrière-front, avant et pendant la deuxième guerre du Liban. Principal accusé, le chef du gouvernement affirme que Micha Lindenstrauss a lancé une croisade personnelle contre lui.
Dans l’un des plus volumineux mais aussi des plus sévères rapports jamais établis par les services de contrôle de l’Etat, tous les échelons politiques et militaires qui détenaient une part de responsabilité dans la gestion du conflit et dans la prise de décision, sont mis en cause pour avoir failli à remplir leur mission. Le contrôleur reproche plus particulièrement au Premier ministre de n’avoir pas pris au sérieux les avertissements formulés dès le début de la guerre par les services de renseignements sur les risques d’attaque contre la population civile. Le premier débat du gouvernement sur la situation de l’arrière n’a eu lieu que le 30 juillet 2006, soit 18 jours après l’éruption du conflit, alors que tout le nord du pays était déjà sous le feu constant des missiles du Hezbollah, et le commandement de l’unité de Tsahal spécialement affectée à la défense passive n’a mobilisé ses réservistes que fort tardivement et insuffisamment.
Par ailleurs, les abris collectifs n’étaient pas adaptés à un séjour prolongé et plusieurs d'entre eux étaient même totalement inutilisables. Certains dispositifs d’alerte n’étaient pas entretenus, et d’autres n’ont pas du tout fonctionné, notamment dans les localités arabes. Les malades et les handicapés ont été livrés à eux-mêmes, aucun service n’ayant été organisé pour leur évacuation lors des alertes. De nombreuses localités ont souffert de difficultés d’approvisionnement en vivres et en médicaments. Rien n’a été prévu pour l’évacuation des populations civiles, alors qu’un million d’Israéliens se sont retrouvés sous les bombardements durant 34 jours, et que 300.000 d’entre eux ont dû s’organiser seuls pour trouver refuge vers le centre du pays. La plupart des hôpitaux du nord n’étaient pas protégés contre les missiles, de même que les dépôts de produits toxiques qui sont restés relativement exposés pendant toute la durée du conflit.
Selon ce rapport, «le gouvernement a investi l’essentiel de ses efforts dans la conduite des combats, au lieu de se consacrer à la protection de l’arrière», qui précise toutefois que les carences constatées au cours du conflit sont aussi le résultat des négligences des gouvernements précédents. Micha Lindenstrauss a recommandé la mise en place d’une autorité chargée de centraliser tous les services publics, qui puisse coordonner et superviser leur fonctionnement en situation d’urgence.
La présidence du conseil a réagi aux accusations du contrôleur de l’Etat en indiquant que le gouvernement avait entrepris dès la fin de la guerre, de corriger les erreurs et les insuffisances constatées durant les hostilités. Mais dans l’entourage d’Ehud Olmert, on accuse aussi Micha Lindenstrauss d’avoir exploité le contenu du rapport pour poursuivre son attaque personnelle contre le Premier ministre. Dans l’opposition, on réclame à nouveau la démission du chef du gouvernement. Une exigence rejetée par la ministre des Affaires étrangères. Pour Tsipi Livni, c’est à l’actuel gouvernement qu’il incombe de poursuivre la mission de réforme entamée après la deuxième guerre du Liban, qui a fait 160 tués dont 41 civils, et des milliers de blessés.
=======================================================================================================================================================================================
La Securisation des abris du nord du pays n'est toujours pas achevée, un an après la Seconde guerre du Liban. Les maires des communes concernées s'en sont plaints auprès du commandant de la défense passive Itzhak Gershon.
13 Juillet 2007 - Guysen Israel News
A Hatzor Haglilit, il manque 4,5 millions de shekels pour terminer les travaux de protection des abris, et à Kiryat Bialik un demi-million de shekels. A Haïfa, on affirme que des mesures ont été prises pour améliorer la préparation de l'arrière à une nouvelle guerre, mais le travail est loin d'être terminé. Pour le général Geshon, l'ennemi a compris que l'arrière constitue le talon d'Achille d'Israël.
======================================================================
Personnellement, je peux temoigner que le vaad de notre immeuble a envoye a deux reprises aux autorites competentes(!!!,), il y a plus d'un mois. les demandes d'amelioration et de verification des abris de l'immeuble apres avoir rempli et renvoye les formulaires qui nous ont ete adresses. A ce jour, nous n'avons recu aucune reponse. De quelle reforme a poursuivre s'agit-il ? A-t-elle vraiment debutee ?
Effectivement, le travail est bien loin d'etre termine ! Pour le moment : "Parole... Parole"