Par Rd (Rd) le lundi 23 juillet 2007 - 20h19: |
qui peut m'aider?
je voudrais voir le clip video de la soirée baraka sur youtube
mais ça marque "connexion" puis "pret", puis rien ne vient
les autres videos sont visibles
kékcékça?
Par Mena (Mena) le lundi 23 juillet 2007 - 19h30: |
On négocie actuellement la paix (info # 012007/7) [Analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Sami El Soudi et Stéphane Juffa l’ont clairement expliqué dans leurs articles de cette semaine ([lire] et [lire]), il se passe, ces jours, quelque chose de fondamental au Proche-Orient. Des indiscrétions dirigées, en provenance de l’Autorité Palestinienne, l’ont confirmé : Ehoud Olmert et Mahmoud Abbas, lors de leur rencontre de lundi, ne se sont pas limités à aborder des questions techniques à connotation sécuritaire, loin s’en faut.
En fait, la négociation sur le statut final des relations entre Israël et la Palestine bat son plein et elle occupe toutes les parties intéressées de la région. Il ne s’agit pas de supputation ou de simples prises de contact, mais bien de discussions portant sur le vif du sujet, dont on observe, à l’œil nu, les implications pratiques.
Ca discute entre les rois de Jordanie et d’Arabie Saoudite, des négociations directes ont lieu, à Londres, entre des représentants de Riad, de Ramallah et de Jérusalem, et le boulevard entre le bureau d’Olmert et celui d’Abbas est grand ouvert et il déborde d’activité. A cela, il faut, bien entendu, ajouter la perspective de la conférence de septembre, qui se tiendra probablement à New York, entre l’Etat hébreu et "des pays arabes modérés qui soutiennent le processus de paix", selon les termes du porte-parole du président du conseil israélien, madame Miriam Eisin. On y abordera les questions concrètes liées à un accord de paix, non seulement entre Israéliens et Palestiniens, mais également entre Israël et la quasi-totalité du monde arabe.
Ces initiatives trouvent déjà leur expression sur le terrain, avec la libération, ce matin, de 255 prisonniers palestiniens, qui purgeaient leurs peines dans les geôles de l’Etat hébreu. Il faut ajouter à ces mesures de rapprochement, non seulement le dégel de l’aide économique à l’AP, en provenance de Jérusalem et de l’ensemble du monde occidental, mais également l’annonce surprise du transfert prochain à l’AP du contrôle des villes de Jéricho et Qualqilya. Si tout se passe bien, les autres villes suivront.
L’acte-choc de ces derniers jours - insuffisamment commenté -, reste cependant le dépôt volontaire des armes par les miliciens et terroristes liés, d’une façon ou d’une autre, au Fatah. Dans l’état de faiblesse de l’Autorité Palestinienne, un quelconque engagement de Mahmoud Abbas en vue de désarmer ces éléments violents, n’aurait pesé d’aucun poids. Mais lorsqu’il s’agit d’un accord individuel, avec la bénédiction de Ramallah, entre Tsahal et chacun des individus concernés, et que, de plus, l’opération s’est déroulée en un clin d’œil, au-delà de tous les résultats escomptés, on peut l’intégrer dans un calcul stratégique de la plus haute importance.
Ce, pour constater que l’Autorité Palestinienne, pour la première fois depuis sa création, demeure sans capacité de nuisance vis-à-vis de l’Etat hébreu. Le mur de sécurité aidant, les terroristes "démobilisés", le risque d’attentats en provenance de Cisjordanie n’a jamais été moindre depuis la Guerre des Six jours.
Il s’agit là d’un changement considérable, puisque la stratégie initiée par Yasser Arafat, et perpétuée ensuite, visait à obtenir des concessions politiques de l’Etat hébreu par l’application de la pression terroriste contre nos agglomérations civiles. Pour ce faire, Arafat avait instrumentalisé les groupes terroristes qui viennent de déposer les armes ; et, lorsqu’on demandait aux dirigeants palestiniens d’affronter ces individus et de les déposséder de leurs moyens de nuisance, on se voyait sempiternellement opposer le prétexte que l’AP ne possédait pas la capacité policière de désarmer les terroristes. C’était l’assurance du cercle vicieux de la violence et de l’exigence, inacceptable par Israël, de négocier sous la menace.
C’est cette stratégie qui avait été dénoncée par Sami El Soudi comme suicidaire et par Laurent Murawiec, en termes de dynamique exclusivement destructrice et conflictuelle.
Désormais, il faut constater, à moins de risquer de produire des analyses ringardes, que cette stratégie a quasiment disparu, qu’en l’espace de quelques jours seulement, ses exécutants ont cessé de représenter un élément dont il faut tenir compte dans l’équation globale. Mais pas avant de remarquer que c’est la construction du mur – qui a plongé les terroristes dans le désespoir -, les raids quotidiens de Tsahal, la montée en puissance des intégristes et le putsch de Gaza, qui ont mis les terroristes hors jeu.
Qui ont forcé Mahmoud Abbas et le reste du leadership du Fath’, à reconnaître que la cohabitation avec le Hamas était contre-nature et à définir la Résistance Islamique comme l’ennemie du Fatah et de l’émancipation de la Palestine. De plus, après le putsch sanglant, personne ne peut imputer à Abou Mazen d’être à l’origine du schisme inter-palestinien ; il aura tout fait – sans doute même trop fait – pour exploiter toutes les possibilités d’éviter la confrontation fratricide. Au bout du compte, déçu, trahi par les islamistes, Abbas a été contraint de réaliser ce qu’à la Mena nous n’avons de cesse de clamer : la construction d’un Etat palestinien, voulue par la tête du Fatah, et la Djihad globale, poursuivie par les fondamentalistes, sont antinomiques et inconciliables.
Qu’exigeaient Israël et le Quartette pour avancer sur la Carte Routière ? Le renoncement à la violence ? Le désarmement des terroristes ? Le respect de tous les accords antérieurs passés entre l’Autonomie et Israël ? Quels que soient les chemins qui ont été empruntés pour y parvenir, on peut maintenant faire un petit X devant toutes ces pré-conditions.
On peut même ajouter la condition supplémentaire incontournable requise par Israël : l’abandon de l’exigence du "droit au retour" des Palestiniens résidant à l’étranger. Abbas l’a confirmé aux oreilles d’Olmert, d’autres officiels de l’AP l’ont répercuté publiquement : "le droit au retour ne sera pas l’obstacle qui fera trébucher la conclusion d’un accord de paix définitif".
Objectivement, il ne reste plus aucune raison de ne pas entamer la négociation de fond. A part une, peut-être : Gaza se trouve sous le contrôle des islamistes et il est illusoire de vouloir bâtir un Etat palestinien amputé de sa partie méridionale. A ce propos, il se pourrait que les parties en négociation aient convenu d’une solution commune pour contourner cet autre barrage : d’après Sami El Soudi, avec lequel j’ai parlé ce vendredi matin, les Israéliens auraient promis à Mahmoud Abbas que "si tout ce qui restait à faire pour créer un Etat palestinien sur la base d’un accord de paix tenait à la récupération de Gaza, vous pourriez compter sur notre assistance". Et El Soudi de préciser encore, qu’Abbas prophétise, depuis quelques jours, la reprise de Gaza dans un laps de quelques semaines à quelques mois, refusant de se montrer plus disert quant à la méthode qu’il entend employer.
D’après ce que nous avons compris, les parties se seraient ainsi mises d’accord pour avancer dans la discussion de fond sans se préoccuper du sort de Gaza.
Quant à Ehoud Olmert, il vient d’être sauvé par le gong, lorsque la Commission Winograd a fait savoir, toujours en cette semaine chargée, que, pour des raisons techniques, elle ne serait en mesure de remettre son rapport définitif relatif aux responsabilités de la Guerre du Liban, que début 2008 au plus tôt. Tout le monde, en Israël, attendait les conclusions de ce rapport en août prochain, et était persuadé qu’au lendemain de leur remise, Olmert perdrait sa coalition et serait forcé d’annoncer sa démission.
Olmert reste cependant un 1er ministre faible et médiocre. Les Américains et les Arabes en sont bien conscients évidemment. Il pourrait toutefois regagner sa popularité en présentant à son peuple le brouillon d’un accord de paix acceptable. En tout cas, il y travaille, et il jouit de l’avis expérimenté et acquis à l’idée que la paix est nécessaire et urgente, de son ministre de la Défense Ehoud Barak.
Israël a effectivement besoin de la paix avec les Palestiniens de bonne composition afin de se concentrer sur sa préparation contre les menaces non conventionnelles en provenance d’Iran. Au plan civil, les Israéliens sont aussi las des guerres que les Palestiniens et sont prêts à faire des concessions en échange d’un accord solide et durable. Lorsqu’ils apprendront que la direction de l’Autorité Palestinienne semble avoir abandonné sa vocation destructrice pour tenter de construire un avenir à ses ressortissants, ils ne pourront que se sentir encouragés.
Par Kfir (Kfir) le lundi 23 juillet 2007 - 11h23: |
En finir avec la bêtise épaisse…
Dans la lutte contre le terrorisme islamiste.
Par Simon Frajdenrajch
Dimanche 22 juillet 2007 à 23:59
De retour d’un voyage en Suède, passant par le principal aéroport de Stockholm, j’ai « bénéficié » hier soir des mêmes mesures de « protection » que lors d’un autre voyage effectué fin 2006 à Londres, dans un aéroport desservant une compagnie à bas prix.
Un panneau informe les passagers que les produits de toilette doivent être rangés dans un sac plastique transparent ; les formats plus grands que ceux prescrits par l’Union Européenne, après l’exemple de l’administration de l’aviation civile américaine, sont rejetés.
Décision administrative que le Père Ubu n’aurait pas reniée : la quantité de shampooing d’un grand flacon aux trois-quarts vide étant évidemment aussi dangereuse qu’un petit flacon de TNT bien fermé. Le scanner des bagages à main ayant détecté la présence d’un flacon de shampooing, et un récipient de mousse à raser, l’employé de la société privée chargé d’inspecter mon bagage à main préleva ces deux innocents flacons.
Comme j’étais un peu outré devant cette manifestation de bêtise indiscriminée, je décidai de vider les deux flacons dans le bac en plastique passé sous le scanner.
Ce geste d’impatience n’eut pas l’heur de plaire au présumé supérieur hiérarchique du détecteur humain de base, qui me déclara avec colère que « j’avais à bien me tenir » (« You must behave » !) Sans me restituer mon sac, il me pria sans ménagement de m’adresser au poste de police, me refusant l’accès vers l’embarquement, et menaçant ainsi de me faire manquer l’avion.
Or dans les aéroports européens, ces actes de police sont délégués à des sociétés privées, qui n’ont précisément aucun pouvoir de police, mais agissent avec une arrogance inversement proportionnelle à l’ignorance du public face à l’uniforme de fantaisie dont leurs employés sont dotés.
J’exigeai donc la restitution de mon sac, et sans craindre le moins du monde l’intervention de la police, je demandai au contraire à y être accompagné. Un officier de police finit par intervenir, écouta les explications de l’employé zélé, puis les miennes, et me proposa de me faire passer par une autre porte. Je profitai de son intervention pour lui expliquer l’origine de ma révolte.
Pourquoi toute cette narration ?
Parce qu’il faut rappeler un certain nombre de vérités concernant la lutte contre le terrorisme, essentiellement d’origine islamiste :
1 - Tout d’abord, le terrorisme des transports aériens internationaux fut « inventé » à la fin des années 1960 par l’OLP de Yasser Arafat : ce fut son apport essentiel à la civilisation humaine. Arafat entama une longue carrière de terroriste international, qui devait le conduire à une fortune personnelle rondelette extorquée à ses généreux donateurs, en particulier aux contribuables de l’UE, à qui on ne demanda jamais leur consentement ; il finit ainsi ses jours avec une fortune estimée à 1,3 milliards de dollars, dispersés sur différents comptes, dont le « Peuple palestinien » ne profitera jamais.
Sans négliger un Prix Nobel de la Paix, attribué un peu vite en 1994 après les « Accords d’Oslo », par un jury qui prenait ses désirs de paix pour des réalités, et pratiquait ce « wishful thinking » - qu’on pourrait traduire par « pensée magique en politique » – tant pratiquée par les pacifistes munichois depuis Chamberlain et Daladier.
2 - Daniel Pipes, directeur d’un « Think Tank » américain, islamologue de renom international, parfait arabisant, auteur de plusieurs livres et de milliers d’articles sur la lutte contre l’islamisme radical ;
Charles Krauthammer d’autre part, psychiatre de formation et analyste politique de grand renom, éditorialiste respecté donnant chaque semaine sa contribution dans le fameux « Washington Post », ont fait remarquer à l’occasion de la décision de l’administration de l’aviation civile qu’elle relevait d’une forme de bêtise administrative. Pourquoi ?
Ce ne sont pas essentiellement les flacons de shampooing des honnêtes passagers qui font sauter les avions en plein vol, mais les esprits malades de gens souvent fort éduqués : l’affaire toute récente du réseau « Hippocrate » de jeunes médecins travaillant en Grande Bretagne, issus de l’immigration de pays musulmans (un Jordanien, un Pakistanais, un Indien musulman arrêté à Brisbane en Australie pour contribution à la préparation de cet attentat et leurs acolytes étudiants en médecine à Glasgow et Londres) viennent nous le rappeler ; après les musulmans nés sur le sol britannique et d’origine pakistanaise, apparemment fort bien « intégrés », renforcés par un Jamaïcain converti à l’Islam, auteurs des attentats dans le métro de Londres, ainsi que dans un autobus, qui organisèrent et provoquèrent le carnage du 7 Juillet 2005 encore présent dans les mémoires.
3- Ces attentats, ainsi que ceux du 7 mars 2003 dans la gare centrale d’Atocha à Madrid, qui provoquèrent la mort de près de 200 personnes, deux milliers de blessés, dont certains estropiés à vie, le retrait de l’Espagne d’Irak et la non réélection du gouvernement de José Maria Aznar, pourtant donné gagnant par tous les sondages précédant ces élections législatives espagnoles, viennent s’ajouter au record absolu du 11 septembre 2001 que les islamistes radicaux ont à leur actif.
4 – L’installation de portiques de détection métalliques dans tous les aéroports du monde – depuis l’invention du terrorisme aérien international par l’OLP à partir de 1967, apport indiscutable ( ?!?) au progrès de l’humanité souffrante - qui ne cesse depuis de jurer sa dévotion à la « cause palestinienne » - constitue déjà un premier triomphe du terrorisme islamiste.
Les islamistes radicaux peuvent ainsi se vanter d’avoir remporté au minimum une victoire : ils ont rendu notre monde moins sûr, assurément plus laid, introduit la peur dans tous les esprits contemporains, fait régresser l’esprit de liberté, en imposant un sentiment de culpabilité à ceux qui en sont les victimes.
Les contrôles dans les aéroports sont aujourd’hui devenus une routine, mais nul ne s’interroge plus sur leur fondement et leur efficience, et l’on pourrait ainsi continuer de multiplier des mesures de contrôles vexatoires à l’encontre des passagers : fouille au corps, détecteur, vidage des poches… auxquels il faut se prêter de bonne grâce.
D’ailleurs, après les attentats de Madrid et du Métro de Londres, on en vient à se demander s’il ne faudrait pas un contrôle d’accès dans ces transports en commun terrestres également ?!
Il vient un moment où il faut savoir dire : STOP !
M. Pasqua, lorsqu’il était ministre de l’intérieur du gouvernement Balladur, proposa de « terroriser les terroristes ». La formule était intéressante mais vide, car dénuée de volonté politique.
La peur doit effectivement changer de camp, et les coupables sentir le vent du boulet près des oreilles.
5 – En édictant des règles de contrôle des passagers toujours en retard d’un attentat, les autorités de l’aviation civile internationale font preuve d’aveuglement et d’imprévoyance.
Ainsi, après que Christian Reid, britannique converti à l’Islam, eût essayé de faire sauter un avion transatlantique entre Londres et Washington, il fut décidé de faire déchausser TOUS les passagers traversant l’Atlantique. Y compris les grands-mères de 85 ans et plus !
Nous sommes ainsi confrontés à une manifestation assez déroutante de la bêtise des autorités chargées de nous protéger, qui imposent des contrôles totalement improductifs, sous prétexte de ne vouloir surtout vexer personne, en refusant le bénéfice évident du « profilage », pourtant préconisé par les meilleurs experts – D. Pipes, Ch. Krauthammer, M. Steyn - pour n’en citer que quelques uns.
Ainsi, pour s’épargner l’accusation d’être « racistes », nos autorités refusent de faire de la « discrimination productive » à défaut d’être positive, à l’encontre de sujets originaires de pays à risques. La mise en place de fichiers informatiques intergouvernementaux croisés doit pourtant élever la garantie de sûreté anti-terroriste due aux passagers, en élevant le niveau de recherche à l’encontre des sujets potentiellement dangereux.
Certes, il est politiquement incorrect d’affirmer qu’un islamiste radical détecté par tous moyens du renseignement doit faire l’objet d’une surveillance spécifique : c’est pourtant la triste réalité.
Certes, vu le nombre croissant de sujets « d’origine européenne » convertis à l’Islam radical, le problème du dépistage du risque se complique : C’est vrai, et bien entendu le réseau serré des services de renseignements nationaux en Europe et aux USA, doit apporter son lot d’informations utiles.
6 - Des mesures de plus en plus humiliantes pour l’ensemble des passagers honnêtes – fouille au corps, inspection des bagages de cabine personnels, voire interrogatoire serré sur le contenu d’une boite de médicaments, portant atteinte au secret médical - à l’égard des voyageurs qui ne demandent qu’à être transportés dans des conditions sûres, en évitant les pièges d’une météo et/ou d’une géographie déjà suffisamment dangereuses, comme la récente catastrophe aérienne de l’Airbus au Brésil vient malheureusement de nous le rappeler.
Tout cela doit nous ramener à une saine vision des réalités : le terrorisme aérien est essentiellement d’origine islamiste, n’en déplaise aux agneaux pacifistes bien pensants persuadés que le terrorisme ne concerne que les autres.
Le terrorisme islamiste n’est certes qu’une méthode de déstabilisation de l’Occident au sens large, et la « Guerre contre le terrorisme islamiste », qui sera longue, est essentiellement idéologique.
Ce constat doit conduire à la mise en place spécifique d’un « profilage » des voyageurs réputés à risque. Les mesures de détection actuelles – portiques détecteurs de métaux et fouilles de bagages, ne sont que les compléments d’une attitude globale de sécurité qui doit s’adresser davantage aux personnes, aux terroristes potentiels, plutôt qu’aux innocents objets transportés en cabine. Sans oublier d’ailleurs les risques indirects - introduction d’explosifs dans les bagages de soute (attentat de Lockerbie au-dessus de l’Ecosse), réseaux islamistes infiltrés dans les principaux aéroports européens.
Des condamnations à des peines de prison plus ou moins lourdes ont été prononcées pour vols en bande organisée, avec licenciement d’employés indélicats, recrutés dans la même région de l’est de l’Algérie. Les mesures de sécurité instituées aujourd’hui demeurent donc nécessaires, de façon DISCRIMINEE et INTELLIGENTE.
Si l’on compare le niveau de sécurité des compagnies aériennes à travers le monde, c’est la compagnie israélienne El Al qui emporte indiscutablement la première place. Pourquoi ?
La qualité de ses pilotes ? Bien sûr, généralement issus des Forces Aériennes d’Israël, leurs commandants de bord sont des pilotes chevronnés.
La qualité des appareils, bénéficiant de la technologie de sécurité aérienne dernier cri ? Bien sûr : rappelons par exemple la tentative d’attentat contre un avion de la compagnie « ARKIA », filiale à prix légers d’El Al, qui disposait dès ses débuts de systèmes de leurres anti-missiles.
Mais surtout, par-dessus tout, le facteur humain ! Prenez l’avion à destination d’Israël, et vous comprendrez pourquoi vous êtes convoqué(e) au minimum deux heures avant l’embarquement.
Tous les passagers, TOUS sans exception, font l’objet d’un interrogatoire atypique par de charmantes jeunes femmes observatrices et psychologues. Les questions anodines succèdent aux questions personnelles : pourquoi allez-vous en Israël, où, voir qui, pour faire quoi… Si une réponse leur paraît incohérente, elles la reformulent, et vont voir leur supérieur(e) pour avis si nécessaire.
C’est de cette manière que la sécurité des passagers peut être assurée, et pas en écartant un innocent flacon de shampooing !
Par Kfir (Kfir) le lundi 23 juillet 2007 - 00h34: |
L'axe du mal fait sa 'Une'
Par Ambre Grayman
Dimanche 22 juillet 2007 à 12:46
Jeudi 19 juillet, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s’est rendu en Syrie pour y rencontrer, deux jours après le début de son second septennat, son homologue, Bachar al-Assad, ainsi que le chef du Hamas en exil Khaled Mechaal.
Lors d’une rencontre avec une délégation du Djihad islamique palestinien et des chefs de divers mouvements palestiniens installés à Damas, M. Ahmadinejad a rappelé "l’importance de l’unité palestinienne pour contrer l’occupation" israélienne ainsi que "l’appui de l’Iran à la cause juste des Palestiniens".
Il s’agissait de la seconde visite de Ahmadinejad à Damas depuis son élection en 2005.
Si les étroites relations qu’entretiennent Téhéran et Damas ne sont plus un secret pour personne, les révélations faites par le journal Asharq al-Awsat sur le contenu des discussions entre les leaders iranien et syrien ont provoqué de vives inquiétudes en Israël.
Dans ses colonnes, le journal, citant un responsable iranien anonyme, a fait en effet allusion à un accord passé entre Mahmoud Ahmadinejad et Bachar al-Assad portant sur le financement, à hauteur d’un milliard de dollars, d’armes russes et nord-coréennes à la Syrie.
Toujours selon Asharq al-Awsat, Téhéran se serait engagé à implanter des industries militaires sur le sol syrien et à accorder un important soutien politique concernant le dossier libanais.
En contrepartie, le président syrien aurait promis à son homologue iranien de cesser toute tentative de pourparlers de paix avec l’État hébreu.
Aussitôt rendues publiques ces révélations ont fait l’effet d’une bombe en Israël.
Le ministre des Affaires stratégiques, Avigdor Lieberman, a immédiatement exhorté Ehoud Olmert et le chef de l’opposition Binyamin Netanyahou à considérer sérieusement ces propos, afin de ''préparer Israël politiquement et militairement'' face aux nouvelles menaces de l’axe du Mal.
Le député national-religieux Arieh Eldad a, quand à lui, souligné l’analogie avec les alliances conclues à la veille de la guerre des Six jours et celle de Kippour.
Au Likoud, on a fait allusion à la duplicité du président syrien qui ''parle de paix comme une colombe mais se prépare à mordre comme un serpent''.
''L’Iran menace non seulement Israël, mais la stabilité de toute la région, ainsi que les régimes arabes pragmatiques et l’hégémonie occidentale réaliste et modérée'', a affirmé Tsahi Hanegbi.
''L’alliance de la Syrie à l’Iran révèle la nature hâtive et aventureuse du président syrien Bachar al-Assad. Contrairement à son père Hafez, Bachar prend des risques exagérés qui mettent en danger son régime'', a ajouté le président de la commission parlementaire des Affaires Etrangères et de la Défense.
Mais du côté, du cabinet du Premier ministre, on a adopté un profil plus prudent.
Dans l’entourage d’Ehoud Olmert, on affirme en effet qu’Israël possède d’autres moyens de vérifier l’authenticité de l’information avancée par les médias arabes, concernant une nouvelle alliance d’armes conclue entre Mahmoud Ahmadinejad et Bachar al-Assad.
Mettant en doute les informations publiées par Asharq al-Awsat, le gouvernement a tout de même déclaré que la rencontre entre les deux présidents à Damas révélait à elle seule le niveau d’implication de la Syrie dans l’axe du Mal.
Ce dimanche 22 juillet, l’Iran a finalement mis fin à la polémique suscitée par la rencontre Assad/Ahmadinejad.
Dans sa conférence de presse hebdomadaire, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Mohamed Ali Husseini a en effet affirmé que les informations publiées dans les médias arabes visaient à nuire aux bonnes relations entre Damas et Téhéran.
Qualifiant de jeu médiatique le supposé accord conclu entre les deux dirigeants, Husseini a refusé de confirmer les 'fuites' tout en se demandant publiquement 'comment les médias pourraient être informés de discussions aussi confidentielles'
Par Kfir (Kfir) le lundi 23 juillet 2007 - 00h59: |
JOURNALISTE A PARIS-MATCH, LA MAÎTRESSE DE FRANÇOIS HOLLANDE ATTAQUE EN JUSTICE LE SITE LE POLITIQUE.COM
[Lu sur alt.fr.politique - Le politique.com - Communiqué du 1er juin 2007 ]
L’article « Ségolène Royal obtient l’éviction d’une journaliste, la maîtresse de François Hollande », daté du 16 mai 2007, fait l’objet d’une polémique.
Il était publié dans Les Confidentiels Politiques de mai 2007 du site LePolitique.com. Il fait aujourd’hui l’objet d’un contentieux entre le site et l’avocat de la compagne de François Hollande, également en charge du suivi de la campagne du PS au journal Paris-Match.
“Vous voudrez bien, et sans délai, supprimer de votre site toute mention identifiant ma cliente, ainsi que toute représentation de son image… La présente ne saurait en aucun cas être interprétée comme confirmant le contenu de cette chronique, les dispositions légales et conventionnelles précitées étant applicables sans considération du caractère fondé ou non des allégations litigieuses. A défaut de réaction appropriée, j’ai reçu pour mandat de prendre toutes mesures, y compris contentieuses, de nature à garantir les droits de Madame XXXXXXX.”
Alors que l’article soulève un problème inédit et d’une gravité exceptionnelle sur la collusion entre médias et politiques, les protagonistes choisissent de ne pas remettre en question le contenu mais de tenter de le censurer. Devons-nous le retirer du site dans les prochaines 72 heures ou poursuivre sur une ligne destinée à briser l’omerta française sur la collusion des fonctions et pouvoirs ?
(…)Ariane Chemin et Raphaëlle Baquet, journalistes au Monde, estiment que l’un des ressorts, si ce n’est le principal ressort de la candidature Royal, provient d’une blessure d’orgueil de la compagne de François Hollande. Une jalousie amoureuse.
L’objet de cette jalousie est une journaliste d’un hebdomadaire français. Quand Ségolène Royal apprend qu’il y a une autre femme en 2005, elle demande à ses amis et sa famille de choisir entre François et elle. A partir de ce moment là, les amis politiques se divisent. Des proches de François Hollande, comme Julien Dray et François Rebsamen, choisissent celle qui deviendra candidate.
La future candidate fait pression sur la direction de l’hebdomadaire en question pour que la journaliste, maîtresse de François Hollande, soit écartée. «Elle va d’abord envoyer son fils aîné, Thomas Hollande, qui va téléphoner aux supérieurs hiérarchiques de cette journaliste pour leur demander qu’elle ne suive plus François Hollande, car elle est affectée à la couverture du Parti socialiste», explique Raphaëlle Baquet.
«Cela n’a aucun effet, d’abord. Donc elle va faire appel à son frère, Gérard Royal, un ancien des Services secrets. Lui va à nouveau téléphoner à la direction du magazine pour demander que cette journaliste soit déplacée. Il le dit avec ses mots d’ancien militaire : ‘Il faut que vous mettiez un terme à cette histoire sinon notre opération va échouer’. Par opération, il parle du lancement de la candidate socialiste». Et effectivement, la journaliste sera déplacée.
Valérie Trierweiler : La presse française taît aujourd’hui le nom de cette journaliste. En exclusivité, nous décidons de vous le révéler en raison des problèmes éthiques posés depuis plusieurs années par ce non- dit journalistique.
Valérie Trierweiler, puisqu’il s’agit d’elle, est en charge du suivi du Parti Socialiste depuis 2004 dans l’hebdomadaire Paris-Match. Valérie Trierweiler est également l’auteur de plusieurs portraits sur François Hollande lui-même, dans plusieurs journaux français.
Un manque d’indépendance criant, et une confusion des intérêts probablement unique dans la presse occidentale à ce niveau. Ces éléments devront, nous l’espérons, contribuer à lancer la réflexion sur l’indépendance journalistique en France, incontestablement en retard sur nos voisins européens.
Source : www.lepolitique.com
Et le mot de la fin appartient à Cabu, pas trop mauvais pour une fois - ça date de l’époque ou notre leader vénéré se consolait de l’escapade de sa Cécilia, dans les bras d’une journaliste (encore !!!!!) du Figaro, Anne Fulda. La manoeuvre avait marché, Cécilia, verte de jalousie, était revenue au foyer. Comme quoi, chez nos politiques, la vie ressemble souvent à un feuilleton de “Desperate Housewives”…. :-))
Par Breitou (Breitou) le dimanche 22 juillet 2007 - 20h25: |
Mes’qine ââli mé yaref qar él baba ââ’jij oulle ome ââjija... ! Allah gha’lèb men tah’ri’mom ehdi... ! Yem’qon jded mé’ghir oua’héd oulla oue’hda me’nem oua’llah el zouz.
El mout ghd’étem ââla gho’fla fi zgho’rom.
Aâla qol... ! Hénè mél nech elli mé ara’ftch baba ââ’jiji Choua. I koullou elli qen ra’jel taeib, ââ’qol, za’ouali méllè khe’dem. Toue’ffa bââd char mélli jdet, nar fe’qen cou’hin. Rebi yeq’rââ tée’ilim fél beith él ftour , baba ââjiji méchboul, ou rebi a’khor fél sqi’fa lé’yi fél bïe oul chré mta’yi mââ hara hbei’bét.
E’d’iqiye el dé’niè.
El youd i qou’llou ‘....Qlalou rassou... !’ Il lui a bouffé la tête... !
Pauvre de lui celui ou celle qui n’a pas connu son grand-père ou sa grand-mère. Tant pis pour cette absence. ! Il se peut qu’il soit né sans l’un des deux ou les deux à la fois. La mort les a surpris bien avant qu’il naisse.
Enfin, perso de ceux qui n’a pas connu mon grand-père Choua, un homme affable, gentil, bon, modeste mais travailleur. Il est décédé un mois, jour pour jour le 9 Mars 1945, après ma vente aux enchères alors qu’un rabbin procédait aux prières des téhilims dans la salle à manger, qu’il était allongé au milieu de cette pièce, un autre faisait la vente aux enchères entouré par quelques proches.
Vie et mort. C’est le vie. Mektoub.
Les juifs sous- entendent que cette naissance a pris la vie du vieux.
Par Albert (Albert) le dimanche 22 juillet 2007 - 19h39: |
Madame de la Fontaine,
Pas besoin de perdre une communication, en pure perte de temps, LA BAIE DES SINGES est devenue l'hOTEL ABOU NAWAS, un grand ensemble trés luxueux qui domine la baie de Gammarth.
Mr Albert Racine Bevelaqua dit Breitou
Par Maurice (Maurice) le dimanche 22 juillet 2007 - 17h18: |
TV5 Monde, programme FBS (France, Belgique, Suisse,) diffuse ce documentaire mercredi 25 à 17:02
LES BEYS DE TUNIS, UNE MONARCHIE DANS LA TOURMENTE COLONIALE Documentaire histoire.
De Hussein 1er, le fondateur, à Lamine Bey « le monarque démocratique », en passant par Ahmed Pacha corriger ;;; l'horaire 12h38
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Par Kfir (Kfir) le dimanche 22 juillet 2007 - 13h37: |
Le Hezbollah à Paris
Par Ambre Grayman
Mercredi 11 juillet 2007 à 08:38
Bien qu'affirmant que "le Hezbollah est une organisation terroriste", Nicolas Sarkozy a estimé, que l'on ne pourrait pas avancer dans la recherche d’une solution (sur la libération des trois soldats israéliens N.D.L.R) si elle était absente de la réunion de Paris".
David Martinon, le porte-parole du président français Nicolas Sarkozy a indiqué mardi soir 11 juillet que le Hezbollah n’est "pas inscrit sur la liste européenne des organisations terroristes" et que la France n’a pas l’intention de demander son inscription sur cette liste.
" Le Hezbollah est un acteur politique important au Liban. Il est l’une des composantes du dialogue national. À ce titre, il est invité aux rencontres des factions libanaises à Paris", a-t-il affirmé, précisant que "Nicolas Sarkozy souhaite que le Hezbollah redevienne un parti libanais qui joue le jeu de la démocratie parlementaire libanaise ".
Une déclaration qui va à l’encontre des propos tenus par le chef de l’Etat français, lors de son entretien le 9 juillet avec les familles des trois soldats israéliens enlevés, de passage à Paris. Le président français avait en effet défini le Hezbollah comme une organisation terroriste.
Alors la France considère t-elle, oui ou non, le Hezbollah comme une organisation terroriste ?
Selon le président du CRIF, cela ne fait aucune ambiguïté : "Le Hezbollah est une organisation terroriste. C’est une expression que Nicolas Sarkozy a utilisée, et qu’il continue d’utiliser", a déclaré Richard Prasquier sur les ondes de Radio J, mardi 10 juillet.
Sur l’initiative de Roger Pinto, Président du Comité international pour la libération des soldats israéliens détenus en otages, Richard Prasquier a accompagné à l’Élysée les familles des otages israéliens qui se sont entretenus avec Nicolas Sarkozy.
Évoquant le sommet interlibanais de Paris qui se tiendra du 14 au 16 juillet prochain, ce dernier a précisé qu’il ne recevrait pas les représentants du Hezbollah et que cette conférence ne donnerait pas " le moindre soupçon de légitimité " à cette organisation.
Une attitude pas suffisamment clair aux yeux de R.Prasquier selon lequel "voir le Hezbollah à Paris, n’est pas acceptable".
"Mais" a t-il cependant indiqué "nous sommes dans l’espoir que la présence du Hezbollah à Paris permettra une issue heureuse à la situation des deux otages qu’il détient".
S’adressant au ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, le Maire de Paris, Bertrand Delanoé, a indiqué dans une lettre dont la copie a été remise au CRIF qu’il lui apparaissait " indispensable que soit exigés du Hezbollah, avec la plus grande fermeté des preuves de vie et de bonne santé des soldats israéliens enlevés en juillet 2006, et des signes tangibles en vue de leur prochaine libération".
"Lors de la conférence interlibanaise, qui se tiendra à Paris du 14 au 16 juillet, le minimum ne serait-il pas que la France demande un signe de vie des deux soldats enlevés par le Hezbollah ? " a par ailleurs suggéré Roger Pinto à Bernard Kouchner, le 9 juillet au Quai d’Orsay.
Une suggestion poliment refusée par la porte-parole du Quai D’Orsay, Mme Pascale Andréani qui, dans un point de presse du 10 juillet expliquait :
"La rencontre de la Celle Saint-Cloud ne sera pas subordonnée à la réalisation de cette condition (conditionner la participation du Hezbollah à la rencontre de la Celle Saint-Cloud à l’obtention de preuves de vie des soldats N.D.L.R).
En revanche, le ministre, qui a marqué tout son soutien et sa profonde solidarité avec les familles, s’est engagé à saisir l’occasion de cette rencontre pour évoquer ce dossier.
Dernière minute
Selon Avraham Benhaïm, le président de l’Union des Français de l’Étranger, personnellement invité par l’Élysée à l’occasion de la venue des trois familles des soldats israéliens kidnappés, la position diplomatique de la France est légitime.
"Le président de la République, Nicolas Sarkozy a répété qu’il ne s’entretiendrait pas directement avec les représentants du Hezbollah, tant que l’organisation ne renoncera pas à ses activités terroristes. Mais, nous a-t-il demandé, "comment voulez-vous que ce dossier (concernant la libération des soldats israéliens N.D.L.R.) avance si nous n’entamons aucun dialogue avec le Hezbollah ?".
Pour Avraham Benhaïm, il ne fait aucun doute que l'équipe de N.Sarkozy est fermement impliquée dans le dossier, via l'Egypte, notamment.
"Nicolas Sarkozy nous a affirmé s’être personnellement engagé pour la libération des soldats. Pour cela, il a aujourd'hui besoin d’ouvrir le jeu diplomatique et faire en sorte que tous les interlocuteurs concernés participent à cette conférence interlibanaise".
Par Kfir (Kfir) le dimanche 22 juillet 2007 - 13h35: |
La communauté francophone d’Israël se mobilise en faveur des enfants de Sdérot.
Par Caroll Azoulay
Mercredi 18 juillet 2007 à 11:47
Victimes des tirs incessants de Qassam, les enfants de Sderot sont exposés à une guerre d'usure qui ne cesse de se prolonger. C'est pour leur permettre de retrouver un peu d'insouciance, le temps d'une éphémère semaine de vacance, que les francophones ont décidé de se mobiliser.
À l’initiative de l’ICB (Israeli Club for Business) de Raanana, réseau francophone consacré aux affaires, et sous le parrainage du consulat général de France à Tel Aviv, une soirée musicale exceptionnelle aura lieu le mardi 31 juillet 2007 à partir de 20 h 00 à l’auditorium de Ramat Aviv (Bet Rozin Dresner aleph, Ramat Aviv), pour soutenir la communauté de Sdérot.
Les fonds récoltés lors de cette soirée seront intégralement versés aux habitants de Sdérot par le biais de l’ABTAR (association de bienfaisance de Tel Aviv et de sa région, sous la tutelle du consulat général).
Selon Philip Lumbroso, un des organisateurs de la soirée, et membre actif de l’ICB, ce projet est le fruit d’une "rencontre et d’une émotion".
"Nous avons eu le plaisir de convier Mme Le Baron, consule générale de France à Tel Aviv à l’une de nos réunions.
Cette dernière a été agréablement surprise de constater que les francophones d’Israël s’organisaient à travers des réseaux visant à leur intégration professionnelle en Israël.
Quelques mois plus tard, Mme Le Baron s’est rendue à Sdérot. Sur place, elle a pu mesurer leur détresse et les difficultés auxquelles étaient confrontés les habitants de cette ville bombardée quasi quotidiennement par des roquettes Qassam.
Elle nous a aussitôt appelés en nous faisant part de son émotion, et surtout de sa volonté d’agir en faveur de la population.
Nous avons été très touchés par sa sensibilité et son implication pour cette cause, et c’est ainsi que nous lui avons soumis l’idée d’un grand événement au bénéfice des enfants de Sdérot".
Arrivé en Israël depuis un an, l’ancien directeur administratif et financier, met alors toutes ses compétences au service de ce projet généreux.
"Grâce au réseau ICB, Daniel Kazado et moi-même avons immédiatement mobilisé les personnes de bonnes volontés souhaitant participer à la soirée. De nombreux artistes professionnels ont immédiatement répondu présents, parmi lesquels, Orlika, Shmooulik, Ouaks, David Sellem, Amir Haddad, ou encore Laurent et Nathalie Nakache" explique Philip Lumbroso.
À l’issue de la soirée, les organisateurs espèrent collecter suffisamment de fonds pour pouvoir offrir une semaine de vacances en Israël à 250 enfants de Sdérot, et compléter l’action d’œuvres caritatives déjà sur le terrain.
Outre le prix des billets, qui seront intégralement reversés à l’ABTAR, une tombola sera organisée pendant la soirée (1er prix : aller-retour en France offert par Air France), ainsi qu’une vente aux enchères des œuvres du peintre Yoël Benharrouche.
Par Suggest1 (Suggest1) le dimanche 22 juillet 2007 - 12h52: |
(SUITE) To day !
La cérémonie à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux Justes de France aura lieu le dimanche 22 juillet à 11h au Square de la Place des Martyrs Juifs du Vélodrome d’Hiver dans le 15e arrondissement de Paris.
Le Premier ministre François Fillon prendra la parole à cette occasion. Des responsables politiques, communautaires et d’anciens déportés déposeront des gerbes de fleurs et prononceront également une allocution :
Tant que nous nous souviendrons de leurs noms ils seront toujours vivants ;
Peintures
http://serveur1.archive-host.com/membres/up/2022272012/yaacov_barzilai_Ner.pps (klic klic)
suggest.1