Par Braham (Braham) le samedi 31 décembre 2005 - 21h08:

H'anouka, 7eme lumiere, Shavouaa'Tov



A demain pour la derniere lumiere.

Par Lalla (Lalla) le samedi 31 décembre 2005 - 20h15:

Ya Breitou,ya khouya,tu nous fais bien rire avec tes affabulations!

Bonne annee a tous les harissiens et bravo pour leur bonne humeur et leur solidarite. yad 120 chana

Par Bekhor (Bekhor) le samedi 31 décembre 2005 - 14h48:

Suite a la demande express d'un Harissien bien connu, j'editerais certaines "C P A" (cartes postales anciennes) pour lui faire plaisir.

Pour cette fin d'année 2005 il y deux de SFAX et deux de TUNIS.

Sur Sfax je peux vous dire que de ces deux quartiers il n'existent presque plus les memes batisses, bien entendu ces CPA datent de plus d'un siecle.

Par Maxiton (Maxiton) le samedi 31 décembre 2005 - 12h36:

Albert,

Tu as oublié le KHRAH BIBÈCHE MEKLI BEL TKIK OU L'ÂÂDAME
essentiel dans les potions destinées à favoriser ( ? ) une très très
mauvaise digestion

Bonne année à tous !

En tout cas meilleure que celle qui s'achève, et ça, ça ne sera pas
très difficile

Par Breitou (Breitou) le vendredi 30 décembre 2005 - 22h34:

Mon grain de FIN D ANNEE.


La magie demande certains ingrédients difficiles à trouver.

On me commande des fois des ailes de chauve-souris …

Brobi brass dine mais où voulez vous que j’aille couper ces deux membranes ??

Me voyez -vous suspendu à une gouttière par ce froid de canard à la limite du polaire
Pour trifouiller un trou dans une gorgone et dénicher ce volatile nocturne sans laisser des plumes… ?

Croyez vous qu’il va se laisser tailler les ailerons sans demander compensation ou bien alors pour mes yeux verts ????

Passe encore pour celle là mais si je vous parlais de crottes de lézard ???
Là encore croyez vous que ce reptile va me téléphoner ou m’avertir par fax…


‘…Albert tu peux venir, je vais couler des bronzes… !’

Et à supposer que cela soit vrai, me voyez-vous agrippé à un mur à la verticale comme SPIDERMAN attendant notre rampant, fort honnête au demeurant se laisser prendre son bien, sa merdouille… ? Sans broncher et sans compensation financière.

Heureusement y ‘ a plus facile…
Avez-vous entendu parler de l’EAU MAUDITE…. ???

Et pourtant elle existe….C’est juste un peu d’eau courante mise dans une bouteille que l’on maledictionne….

‘ YE KAHABA…SALOPE….IN YADIN BOUQ…YE NAYAQA… ! YATIC AAMAA...!

4 € 30 la petite fiole magique chez les chinois.

On ne joue pas avec ces choses là.
Le sérieux est de rigueur.

Bonne année avec de l’EAU BENITE ..EVIAN…E VLAN PETIT TATAPLAN…

JANO DANS SON ONE CHAT MAN…. !

Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 30 décembre 2005 - 20h33:

LE VIOL DES FEMMES NON MUSULMANES PAR DES MUSULMANS EN OCCIDENT



By Sharon Lapkin - FrontPageMagazine.com | December 27, 2005

Un article de Frontpage magazine qui revient sur un sujet souvent occulté par les médias, les intellectuels et les politiques parce qu’islamiquement incorrect.

http://www.frontpagemag.com/Articles/ReadArticle.asp?ID=20646

Traduit par Marianne pour www.occidentalis.com le 28 décembre 2005


Les motivations des criminels sont claires : comme ils l’expliquent eux-mêmes, le choix de leurs victimes relève de raisons ethniques. En Australie, en Norvège, en Suède et d'autres nations occidentales ces viols racistes sont en progression et soutenus par des hautes autorités islamiques: le cheik libanais Faiz Mohammed excuse le viol des Australiennes provocatrices habillées de façon « indécente », tandis que le mufti et le disciple islamique, Shahid Mehdi expliquait que les femmes danoises violées l’avaient cherché puisqu’elles ne portaient pas le foulard islamique !

Pour le cheik égyptien Al-Qaradawi , les femmes violées « provocatrices parce que non habillées « décemment » devraient être punies. Il a ajouté, "pour qu'elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite."

En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d'une épidémie de viol. Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80 pour cent des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Suède, selon Ali Dashti, "Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals." Il y a quelques semaines cinq Kurdes ont brutalement violé une suédoise de 13 ans".

En France, Samira Bellil est sortie de son silence - après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans - et a écrit un livre, "dans l'enfer des tournantes". Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues , elle a expliqué au Temps que, "n'importe quelle fille de voisinage qui fume, emploie le maquillage ou porte les vêtements attrayants est une putain."

Malheureusement, les femmes occidentales ne sont pas les seules victimes de cette épidémie. En Indonésie, en 1998, les groupes de droits de l'homme ont rapporté le témoignage de plus de 100 femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du Président Suharto. Bon nombre des violeurs ont dit : "vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et des non-Musulmanes."

En avril 2005, une fillette pakistanaise de neuf ans a été violemment violée par ses voisins musulmans ; elle était infidèle et chrétienne et devait payer pour l’intervention des Américains en Irak…

Au Soudan - où les musulmans arabes abattent les musulmans noirs et les Soudanais chrétiens dans un génocide continu - l'ancien esclave soudanais et maintenant activiste des droits de l'homme Simon Deng* explique qu'il était témoin des filles et des femmes violées et que le régime arabe de Khartoum envoie ses soldats pour commettre ces crimes. Dans d'autres rapports, des femmes qui sont capturées par des forces gouvernementales sont interrogées : "êtes vous chrétienne ou musulmanes?" et celles qui répondent chrétiennes, sont violées, leurs seins coupés.

Ce phénomène de violences sexuelles islamiques contre des femmes non-musulmanes occidentales devrait être traité comme une épidémie pressante, violente, répressive. Au lieu de cela, les journalistes, les intellectuels, et les politiciens l'ignorent, le rationalisent, ou diabolisent ceux qui osent en parler.



En Australie, quand le journaliste Paul Sheehan a rendu compte honnêtement des viols collectifs de Sydney, il a été traité de raciste et a été accusé d’entretenir la haine contre les musulmans. Keysar Trad, vice-président de l'association musulmane libanaise australienne a indiqué que les viols collectifs étaient un crime "honteux" mais se plaignait que l'appartenance ethnique des violeurs avait été rapportée. D’ailleurs pendant le jugement l’appartenance ethnique des violeurs n’a pas été évoquée… Les policiers responsables des enquêtes ont été violemment menacés par les libanais musulmans : menaces de mort à leur encontre et menaces de viols envers leurs petites amies…La police a fini par laisser tomber leurs poursuites contre des violeurs libanais…

En France, dans les banlieues, le viol collectif est maintenant connu simplement comme tournantes où les victimes savent que la police ne les protégera pas. S'ils se plaignent, Samir Bellil dit, ils savent qu'eux et leurs familles seront menacés. Dans la plupart des poursuites françaises, les violeurs musulmans déclarent qu'ils ne croient pas qu'ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l’accuse d'être une"salope" ou une "putain."

Selon le Guardian , pendant les émeutes françaises récentes, un prince saoudien avec des parts à News Corporation a revendiqué à une conférence à Dubaï qu'il avait téléphoné à Rupert Murdoch et s'était plaint au sujet des nouvelles de Fox News décrivant les perturbations en tant qu "émeutes musulmanes." Dans la demi-heure qui a suivie, le terme a été changé en "émeutes civiles."

À Malmö, la troisième plus grande ville en Suède, la police a admis qu'elle ne commande plus la ville. "Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes des immigrés musulmans." Le personnel d'ambulance est régulièrement attaqué et refuse maintenant d'aider jusqu'à ce qu'une escorte de police arrive. La police a trop peur pour investir des parties de la ville sans protection.

Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu'Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de cas de viols en douze mois précédents. Cependant, Fjordman explique que les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant "la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols", et les médias demeurent étrangement silencieux. Le professeur d'Oslo d'anthropologie, Unni Wikan, a dit que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s’habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol, les femmes doivent s'adapter à la société multiculturelle ! [NDRL : Au lieu d’agir, de punir sévèrement les criminels, de prévenir les femmes non musulmane du danger, on demande tout simplement aux femmes occidentales d’avoir une attitude de dhimmi ! Lamentable !]

La BBC a fait un documentaire programmé en 2004, avant que la police en Grande-Bretagne ait averti qu'il pourrait augmenter la tension raciale. "Dans ces circonstances exceptionnelles... A Channel 4, l'animateur responsable a accédé à la demande de la police... " Le documentaire devait montrer comment les Pakistanais et d'autres hommes musulmans ont sexuellement maltraité des jeunes filles anglaises blanches aussi jeunes que 11 ans.

Le nombre de viols commis par des hommes musulmans contre des femmes dans la dernière décennie est tellement incroyablement haut qu'il ne peut pas être regardé autrement qu’un comportement culturellement implicite. Il est manifestement renforcé et encouragé par les chefs religieux musulmans qui blâment les victimes et excusent les violeurs.



En trois décennies d'immigration dans les pays occidentaux, l'Islam a causé des bouleversements et des ravages sociaux dans chacun de ses pays d'accueil. Aucun autre programme d'immigration n'a rencontré les problèmes de non-assimilation et d'ambiguïté religieuse.



Ainsi donc les musulmans n’hésitent plus à utiliser l’arme de guerre qu’est le viol en Occident. Parce que nous sommes en guerre et c’est l’islam qui nous l’a déclarée. Ne pas l’admettre, claironner à droite et à gauche le contraire ne retire pas la réalité des faits. Et cette horrible réalité qui prend forme par le viol des femmes occidentales non-musulmanes est une réalité qui s’amplifie et devant laquelle les lâches censés nous alerter et nous protéger se cachent derrière une inacceptable dhimmitude !

Pourtant cet autre élément barbare du djihad qu’est le viol est d’une extrême gravité et d’une grande importance : les femmes ainsi traitées, souillées, insultées et torturées auront du mal à vivre dans la société et à fonder une famille. Et c’est exactement ce que veulent les musulmans : on prend la femme de l’ennemi légalement ou on la détruit par le viol. Et c’est ainsi que l’ennemi finira à la longue par être diminué parce que moins nombreux !

Le pire dans tout cela c’est la complicité abjecte de tous ces salopards qui ne veulent surtout pas entendre parler de la vérité ni la voir éclater au grand jour (ce qui nous permettrait de nous protéger!), pour qui ces faits sont insignifiants en fin de compte : on ne va pas sacrifier "la paix" pour si peu ! Et c’est ainsi que les fils d’Allah tissent leur toile partout en Occident, et de faits "insignifiants" en faits "insignifiants", appliquent leur projet qui est d’islamiser le monde.


Western Muslims' Racist Rape Spree
By Sharon Lapkin
FrontPageMagazine.com | December 27, 2005



In Australia, Norway, Sweden and other Western nations, there is a distinct race-based crime in motion being ignored by the diversity police: Islamic men are raping Western women for ethnic reasons. We know this because the rapists have openly declared their sectarian motivations.
When a number of teenage Australian girls were subjected to hours of sexual degradation during a spate of gang rapes in Sydney that occurred between 1998 and 2002, the perpetrators of these assaults framed their rationale in ethnic terms. The young victims were informed that they were “sluts” and “Aussie pigs” while they were being hunted down and abused.
In Australia's New South Wales Supreme Court in December 2005, a visiting Pakistani rapist testified that his victims had no right to say no, because they were not wearing a headscarf.
And earlier this year Australians were outraged when Lebanese Sheik Faiz Mohammed gave a lecture in Sydney where he informed his audience that rape victims had no one to blame but themselves. Women, he said, who wore skimpy clothing, invited men to rape them.

A few months earlier, in Copenhagen, Islamic mufti and scholar, Shahid Mehdi created uproar when – like his peer in Australia – he stated that women who did not wear a headscarf were asking to be raped.
And with haunting synchronicity in 2004, the London Telegraph reported that visiting Egyptian scholar Sheik Yusaf al-Qaradawi claimed female rape victims should be punished if they were dressed immodestly when they were raped. He added, “For her to be absolved from guilt, a raped woman must have shown good conduct.”

In Norway and Sweden, journalist Fjordman warns of a rape epidemic. Police Inspector Gunnar Larsen stated that the steady increase of rape-cases and the link to ethnicity are clear, unmistakable trends. Two out of three persecutions for rape in Oslo are immigrants with a non-Western background and 80 percent of the victims are Norwegian women.
In Sweden, according to translator for Jihad Watch, Ali Dashti, “Gang rapes, usually involving Muslim immigrant males and native Swedish girls, have become commonplace.” A few weeks ago she said, “Five Kurds brutally raped a 13-year-old Swedish girl.”

In France, Samira Bellil broke her silence – after enduring years of repeated gang rapes in one of the Muslim populated public housing projects – and wrote a book, In the hell of the tournantes, that shocked France. Describing how gang rape is rampant in the banlieues, she explained to Time that, “any neighborhood girl who smokes, uses makeup or wears attractive clothes is a whore.”

Unfortunately, Western women are not the only victims in this epidemic. In Indonesia, in 1998, human rights groups documented the testimony of over 100 Chinese women who were gang raped during the riots that preceded the fall of President Suharto. Many of them were told: “You must be raped, because you are Chinese and non-Muslim.”

Christian Solidarity Worldwide reported that in April 2005, a 9-year-old Pakistani girl was raped, beaten with a cricket bat, hanged upside down from the ceiling, had spoonfuls of chillies poured into her mouth, and repeatedly bashed while handcuffed. Her Muslim neighbours told her they were taking revenge for the American bombing of Iraqi children and informed her they were doing it because she was an “infidel and a Christian.”

In Sudan – where Arab Muslims slaughter black Muslim and Christian Sudanese in an ongoing genocide – former Sudanese slave and now a human rights’ activist Simon Deng says he witnessed girls and women being raped and that the Arab regime of Khartoum sends its soldiers to the field to rape and murder. In other reports, women who are captured by government forces are asked; “Are you Christian or Muslim?” and those who answer Christian, are gang raped before having their breasts cut off.

This phenomenon of Islamic sexual violence against women should be treated as the urgent, violent, repressive epidemic it is. Instead, journalists, academics, and politicians ignore it, rationalize it, or ostracize those who dare discuss it.

In Australia, when journalist Paul Sheehan reported honestly on the Sydney gang rapes, he was called a racist and accused of stirring up anti-Muslim hatred. And when he reported in his Sydney Morning Herald column that there was a high incidence of crime amongst Sydney’s Lebanese community, fellow journalist, David Marr sent him an e-mail stating, “That is a disgraceful column that reflects poorly on us all at the Herald.”

Keysar Trad, vice-president of the Australian Lebanese Muslim Association said the gang rapes were a “heinous” crime but complained it was “rather unfair” that the ethnicity of the rapists had been reported.
Journalist Miranda Devine reported during the same rape trials that all reference to ethnicity had been deleted from the victim impact statement because the prosecutors wanted to negotiate a plea bargain.
So when Judge Megan Latham declared, “There is no evidence before me of any racial element in the commission of these offences,” everyone believed her. And the court, the politicians and most of the press may as well have raped the girls again.
Retired Australian detective Tim Priest warned in 2004 that the Lebanese gangs, which emerged in Sydney in the 1990s – when the police were asleep – had morphed out of control. “The Lebanese groups,” he said, “ were ruthless, extremely violent, and they intimidated not only innocent witnesses, but even the police that attempted to arrest them.”
Priest describes how in 2001, in a Muslim dominated area of Sydney two policemen stopped a car containing three well-known Middle Eastern men to search for stolen property. As the police carried out their search they were physically threatened and the three men claimed they were going to track them down, kill them and then rape their girlfriends.
According to Priest, it didn’t end there. As the Sydney police called for backup the three men used their mobile phones to call their associates, and within minutes, 20 Middle Eastern men arrived on the scene. They punched and pushed the police and damaged state vehicles. The police retreated and the gang followed them to the police station where they intimidated staff, damaged property and held the police station hostage.
Eventually the gang left, the police licked their wounds, and not one of them took action against the Middle Eastern men. Priest claims, “In the minds of the local population, the police are cowards and the message was, 'Lebanese [Muslim gangs] rule the streets.'”

In France, in the banlieues, where gang rape is now known simply as tournantes or ‘pass-around,’ victims know the police will not protect them. If they complain, Samir Bellil said, they know that they and their families will be threatened.
However, Muslim women in the French ghettos are finally fighting back against gang rape and police non-action. They have begun a movement called, “We’re neither whores nor doormats.” They are struggling against the intrinsic violence that plagues their neighbourhoods and the culture that condones it.
In most French prosecutions, the Muslim rapists state that they do not believe they have committed a crime. And in a frightening parallel with the gang rapists in Australia, they claim the victim herself is to blame and accuse her of being a “slut” or a “whore.”
According to The Guardian, during the recent French riots, a Saudi Prince with shares in News Corporation boasted to a conference in Dubai that he had phoned Rupert Murdoch and complained about Fox News describing the disturbances as “Muslim riots.” Within half an hour he said, it was changed to “civil riots.”
Swedish translator, Ali Dashti, stated that in Sweden when three men raped a 22-year-old woman recently, they said one word to her. “Whore.” Such stories, according to Dashti, are in the Swedish newspapers every week. And, the politically correct “take great care not to mention the ethnic background of the perpetrators.”
Sweden’s English newspaper The Local reported in July that Malmo police commander Bengt Lindström had been charged with inciting racial hatred. He sent e-mails from his home computer to two city officials. To the head of healthcare, he wrote: “You...treat old Swedes who have worked hard building up the fatherland like parasites and would rather give my taxes to criminals called Mohammed from Rosengärd.”
In Malmo, the third largest city in Sweden, the police have admitted, Dashti says, that they no longer control the city. “It is effectively ruled by violent gangs of Muslim immigrants.” Ambulance personnel are regularly attacked and spat upon and are now refusing to help until a police escort arrives. The police are too afraid to enter parts of the city without backup.
In early 2005, Norwegian newspapers reported that Oslo had recorded the highest ever number of rape cases in the previous twelve months. However, Fjordman explained, the official statistics contained no data regarding “how immigrants were grossly over represented in rape cases”, and the media remain so strangely silent.
Oslo Professor of Anthropology, Unni Wikan, said Norwegian women must take responsibility for the fact that Muslim men find their manner of dress provocative. And since these men believe women are responsible for rape, she stated, the women must adapt to the multicultural society around them.
The BBC pulled a documentary scheduled for screening in 2004, after police in Britain warned it could increase racial tension. “In these exceptional circumstances... Channel 4 as a responsible broadcaster has agreed to the police’s request...” The documentary was to show how Pakistani and other Muslim men sexually abused young, white English girls as young as 11.
The number of rapes committed by Muslim men against women in the last decade is so incredibly high that it cannot be viewed as anything other than culturally implicit behaviour. It is overtly reinforced and sanctioned by Islamic religious leaders who blame the victims and excuse the rapists.
In three decades of immigration into Western countries, Islam has caused social upheaval and havoc in every one of its host countries. No other immigration program has encountered the problems of non-assimilation and religious ambiguity.
Everywhere in the world, Muslims are in conflict with their neighbours. And as Mark Steyn recently said, every conflict appears to have originated by someone with the name of Mohammed.
In July 2005, Melbourne Sheik Mohammad Omran told Sixty Minutes that “...we believe we have more rights than you because we choose Australia to be our home and you didn’t. “
In the same interview visiting Sheik Khalid Yasin warned “There’s no such thing as a Muslim having a non-Muslim friend, so a non-Muslim could be your associate but they can't be a friend. They're not your friend because they don't understand your religious principles and they cannot because they don't understand your faith.”
Despite being told over and over by Islamic scholars, and witnessing massive influxes of Islamic crime, Western countries continue to believe in the reality of assimilation and moral relativism.
In Australia, Lebanese Christians have assimilated and become a respected part of our community. The Premier of Victoria is a Lebanese Christian as is the Governor Of New South Wales. However, Lebanese Muslims have encountered serious problems because of their refusal to accept our right to live our way of life. Nothing so clearly demonstrates that it is not an issue of race — but of culture.

Par Braham (Braham) le vendredi 30 décembre 2005 - 16h19:

Hanouka

6eme lumiere avant le Kiddoush... "Yom hashishi..."




A demain soir...

Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 30 décembre 2005 - 15h24:

On n'explique plus aux enfants qu'avant d'avoir des droits ils ont d'abord des devoirs.

Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 30 décembre 2005 - 13h11:

À lire absolument

Curieusement Le Figaro en ligne a supprimé le nom de l'auteur.
Il s'agit de Jérôme Rivière député UMP des Alpes Maritimes

http://www.lefigaro.fr/debats/20051230.FIG0251.html?081211

Par Douda (Douda) le vendredi 30 décembre 2005 - 13h04:

Douda,

Salut Emile,

Si les enfants sont à plaindre aujourd'hui, c'est du au fait que la moitié sont sous PSY, dans une société qui plutot que de prendre ses responsabilités, préfère ouvrir le parachute,,,

Bonnes fètes,

Douda du PTB

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 30 décembre 2005 - 06h11:

Suggest 1 Je suis bien d'accord avec votre derniere phrase " Ils sont bien à plaindre les enfants d’aujourd’hui :" Il me semble comprendre de votre reponse que vous n'aviez pas eu une enfance agreable,si c'est le cas, je suis desole pour vous et j'espere que vos enfants aurons une enfance plus agreable.
Amicalemnent votre