Par Albert (Albert) le mardi 03 janvier 2006 - 11h17: |
Shira,
Il y a toujours cause à fêtes...!
Par Email (Email) le mardi 03 janvier 2006 - 08h02: |
TUNE CELEBRE EN FRANCE
DOCTEUR MARC DJEBALI
President du reseau EZRA ile-de-France
Membre elu au comite directeur du FSJU
Membre du CRIF
President d' honneur de la communaute ACIP de Sarcelles
President de l'association Mondiale des Israelites de TUNISIE en FRANCE
vice-President du service d' action juive a l ' education a la sante
DOCUMENTATION.
FREDDY GALULA
Par Bekhor (Bekhor) le mardi 03 janvier 2006 - 02h38: |
Retrouver son papa après 70 ans.
QUELLE MERVEILLEUSE SURPRISE POUR UN COLLECTIONNEUR DE CARTES POSTALES ANCIENNES.
J'ai reçu à la maison un ancien Sfaxien, très âgé, (que Dieu lui prête longue vie. Amen) a qui j'ai montré un de mes nombreux album de CPA. (Cartes postales anciennes)
Cette CPA que j'édite aujourd’hui date des années 1920/1930.
Elle représente une vente aux enchères publique, (BIYEA BE DELLELAH) d'éponges de mer naturelles, de qualité "KAMAKIS BRUTES" à Sfax.
Ces éponges naturelles des mers, a peine débarquées sur les quais de "SHOTT EL KERKNAH" à Sfax étaient vendues aux enchères.
La pèches se faisait par des pécheurs d’éponges embarqués sur des chalutiers de pèches d'éponges qui pêchaient au scaphandre et au trident.
Il y avait aussi la pèche fait sur des bateaux appelés « GANGAVIERS » c’est une pêche a la traîne, les gangaviers traînait des espèces de gros filets a crochets de métal, appelés « Gangave » qui grattaient le fond des mers pour pêcher les éponges naturelles
Sfax était connue par sa spécialité de pèche et de négoce internationales d'éponges naturelles, qui étaient exportées surtout vers l'Europe. (A l’époque l’éponge synthétique n’existait pas)
Les commerçants d’éponges de Sfax étaient Grecs, musulmans et surtout juifs, mon père ZAL, faisait partie de ces derniers.
Quand aux pécheurs et armateurs c’étaient pour la plupart des Grecs, des siciliens et des musulmans.
A ma grande surprise le fameux visiteur Sfaxien, après m’avoir demandé une loupe, me désigna et nomma un à un, tous les participants de cette vente, sur laquelle figurait aussi et à ma grande surprise feu mon père « cinquième figure portant un chapeau feutre à partir de la gauche » (Feu Albert Cohen dit Kaalo ZAL décédé en 1972)
Je n’en reviens pas, trouver une CPA dans les brocantes ou figure son propre père dans une CPA datant de plus de 70 ans, vaut tous les sacrifices que j’ai fait pendant plus de trente ans pour accumuler une grande collection de CPA, ayant pour « thème » toute l’Afrique du nord.
Victor Cohen.
Par Davideden (Davideden) le mardi 03 janvier 2006 - 02h07: |
Douda,
Il semble que certaines personnes ne comprennent pas le systeme democratique et le confonde avec l'utopisme.
Les USA comme Israel et je l'avouerais meme la France sont des democraties avec pleine de fautes et des corrections necessaires mais aussi plain de bonnes choses.
La Tunisie, la Syrie, l'Iran etc etc sont des dictatures avec RIEN de bon.
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 03 janvier 2006 - 00h31: |
Je pense que Douda aime nous provoquer
Les États-Unis ont des problèmes avec l'Irak mais ce n'est qu'un détail de l'Histoire-comme disait rappelez donc moi son nom ?-
Enron, ça arrive partout. Mais aux États-Unis, les responsables payent : Andersen Consulting qui a trempé dans l'aventure a disparu du paysage, les patrons d'Enron sont en prison.
En France les responsables de tous les scandales financiers sont libres et continuent à nous donner des leçons.
Aux Etats-Unis, la quasi-absence de chômage commence à tirer les salaires vers le haut.
Ici nous travaillons pour les familles polygames touchant 7500 euros par mois pour une famille de 12 enfants un mari et deux épouses SANS AVOIR JAMAIS TRAVAILLÉ NI PAYÉ UN SOU DE COTISATIONS SOCIALES.
Les délocalisations ? Pour chaque dollar " délocalisé " les US engrangent 1 dollar et 15 cents Alors qu'en France nous perdons 15 cents par dollar " délocalisé " .
Les chinetoques nous vendent leurs smatesh à 10 euros, tout en réussissant à faire construire CHEZ EUX les usines d'Airbus réalisant un formidable transfert de technologie à nos frais
Jamais Boeing ne commettrai une ânerie pareille
On pourrait multiplier les exemples.
Ted Stanger a voulu exprimer- en gros - que la France va droit dans le mur.
Ses " élites " - toutes origines politiques confondues - ont réussi par leur lâcheté, leur aveuglement, leur bêtise cosmique, leurs mensonges, leur trouille, leur dogmatisme, et j'en passe à faire de notre pays l'Homme malade de l'Europe,
À avoir transformé la France en un pays de peuplement.
Et, en acceptant les exigences des nouveaux arrivants accéléré la destruction de son identité
À le donner clés en mains à tous ceux qui veulent sa disparition.
Je parle comme Le Pen ? Non je suis simplement lucide.
Et j'ai le triste privilège d'avoir, il y 10 ans, payé mon tribut à ces gens-là
La Douda le sait bien, grâce à l'ISF les banques suisses, américaines, israeliennes, les fonds de pension américains sont en train de s'enrichir à nos frais.
La famille Taittinger a préféré liquider tous ses avoirs
Et nous ne sommes même pas capables de blanchir l'argent de la drogue, celui des roitelets africains, ou celui de la zakat. etc... laissant ce soin aux banques bien planquées, et faisant la fortune des pays qui les abritent
Ce que Teddy a voulu raconter c'est l'hitoire de cet homme tombant du 58° étage de la Tour Maine Montparnasse, et disant devant chaque étage dépassé :
" Pour le moment ça va bien "....
Allons DOUDA, vous êtes trop intelligent pour nous faire croire que vous regardez seulement le doigt montrant le solail et pas le soleil lui même.
Par Richard_S (Richard_S) le mardi 03 janvier 2006 - 00h01: |
Shira sur la fete des filles,
Votre explication est tres jolie, surtout pour les femmes en quete d'heroines bibliques.
Mais si votre explication etait la bonne, je crois que cette fete aurait ete observee egalement dans d'autres communautes juives du monde.
Or, il s'avere que ce n'est pas le cas : les juifs tunisiens sont bien les seuls juifs au monde a celebrer cette fete. Il est clair qu'elle a une origine locale que je ne connais pas.
A mon avis, les juifs tunisiens, qui sont connus pour leurs idees avant-gardistes quand a l'egalite des sexes, ont compris depuis longtemps l'importance de la femme et ont oeuvre pour la celebration de la feminite au travers de cette fete.
Bien a vous
Par Viviane (Viviane) le lundi 02 janvier 2006 - 23h52: |
Chère Chira!
Je crois que tu as raison. Au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme au 71, rue du Temple à Paris il y a une Hanoukia surmontée d'un personnage qui reprsente Judith tenant "haut la main" la tête d'Holopherne.
Par Shira (Shira) le lundi 02 janvier 2006 - 23h08: |
La "Fête des Filles" ou "Rosh Khodesh Leybanot" n'a été soulignée, cette année, que par Albert sur la scène de son PTB. Cependant, pour la première fois, j'ai relevé, une explication possible de l'origine de la fête, dans un article de journal de WE israélien,. Cette article intitulé "Ayid Elbeneyt" – oui,oui, dans cette expression même – racontait la bravoure de Yéhoudite qui, en s'introduisant dans leur camp, avait défié la tête des ennemis en coupant, la nuit venant, celle de leur chef, trop soûl pour l'en empêcher. Donc, la fête de Hanouka ne commémorerait pas seulement la victoire de Yéhouda Hamacabbi, mais aussi celle de Yéhoudite. A prendre ou à laisser… A noter que Yéhouda et Yéhoudite sont les versions maculine et féminine d'un même prénom.
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 02 janvier 2006 - 20h06: |
LE HAMAS ET LES CHRETIENS
PAR MICHEL GURFINKIEL - Diffusé sur RCJ le 1er janvier 2006
La démocratie est un régime politique à risque : il lui arrive de donner le pouvoir à ses pires ennemis. Ce fut autrefois le cas de l'Allemagne, où Hitler, à partir de 1931, bâtit sa légitimité sur des succès électoraux, avant d'instaurer, en 1933, la dictature que l'on sait. C'est aujourd'hui celui des pays islamiques, où la mise en place de processus électoraux plus ou moins équitables semble conduire nécessairement à la victoire de partis religieux plus ou moins extrémistes.
En 1992, les seules élections véritablement libres jamais organisées en Algérie avaient laissé entrevoir une victoire du parti islamiste FIS. Entre 1995 et 2002, la libéralisation d'une Turquie soucieuse d'être admise dans l'Union européenne a permis aux partis islamistes Refah puis AKP d'investir peu à peu le gouvernement. Dans des pays tels que le Maroc, la Jordanie ou l'Egypte, des monarques de droit ou de fait parviennent encore à minimiser par divers artifices la montée des Frères musulmans : mais leur marge de manoeuvre diminue de scrutin en scrutin. Au Liban, le départ des forces d'occupation syriennes a renforcé le poids de l'organisation shiite-fasciste Hezbollah dans l'ensemble du pays. En Iran, la semi-démocratie qui avait naguère porté à la présidence un islamiste modéré et réformateur, Mohamed Khatami, l'a remplacé par un islamiste ultra, Mahmoud Ahmadinejad.
Dans les Territoires palestiniens, enfin, la désintégration du système Arafat et la démocratisation imposée par les Etats-Unis (et l'Europe, à un moindre degré) n'ont eu jusqu'à présent qu'un seul bénéficiaire véritable : le parti islamiste Hamas. Les élections municipales, en 2005, lui ont livré la bande de Gaza et plusieurs grandes agglomérations de Cisjordanie. Les législatives, en 2006, pourraient lui donner la majorité au parlement de Ramallah. Autant dire que ce jour-là, le nouveau processus de paix israélo-arabe connu sous le nom de "feuille de route" aura vécu. Le Hamas se donne ouvertement pour but la destruction de l'Etat d'Israël. Et à cette fin, il préconise ouvertement le recours à la lutte armée et au terrorisme, y compris sous sa forme la plus atroce, les attentats suicide. Mais une victoire du Hamas aura également des conséquences sur les chrétiens palestiniens et plus généralement sur toutes les communautés chrétiennes d'Orient, qu'elles soient catholiques latines, catholiques orientales, orthodoxes, coptes ou protestantes.
Le Hamas se propose en effet d'imposer aux non-musulmans vivant sous son autorité le régime dit "de protection", en arabe dhimma, prescrit par la Charia. Celui-ci implique le paiement d'une taxe de capitation spéciale, la jiziya. Le chef du groupe Hamas au Conseil municipal de Bethléem vient de le confirmer dans une interview accordée au quotidien américain Wall Street Journal : "Nous, militants du Hamas, nous avons effectivement l'intention de rétablir le paiement de cette taxe à un moment ou à un autre. Nous accueillons tout le monde en Palestine, mais à condition de se soumettre à nos lois". D'ores et déjà, si l'on en croit le journaliste catholique italien Sandro Magister, le Hamas est en mesure d'imposer son style de vie à Bethléem. Voir le site www.chiesa.espressonline.it . Le mouvement islamiste est en effet majoritaire au sein de la municipalité (même si le maire, Victor Batarseh, est encore un chrétien) : simple reflet de l'évolution démographique survenue depuis les fatidiques accords d'Oslo de 1993.
Le journaliste français Ugo Rankl écrit dans le dernier numéro de Valeurs Actuelles
(www.valeursactuelles.com): "Les chrétiens formaient au début du XXème siècle la moitié de la population arabe dans la région de Jérusalem et un quart de la population palestinienne arabe. Entre 1949 et 1967, le régime jordanien, puissance occupante en Cisjordanie et dans les secteurs orientaux de la Ville sainte (y compris la Vieille Ville), multiplie les vexations : la population chrétienne de Jérusalem-Est passe alors de 28 000 âmes à 11 000 (moins 61%). Le régime israélien, de 1967 à 1993, favorise au contraire le maintien des chrétiens sur place, mais sans aller jusqu'à rattacher à Jérusalem les localités chrétiennes de la périphérie, comme le souhaitait le maire chrétien de Bethléem, Elias Freij. La mise en place en 1994, dans le cadre des accords d'Oslo, d'une Autorité palestinienne en Cisjordanie et à Gaza dirigée par Yasser Arafat, est une seconde catastrophe. Les persécutions reprenant de plus belle, la population chrétienne passe de 10 % à 1,9 % de la population totale : quatre chrétiens sur cinq quittent le pays. Arafat les remplace par des musulmans venus de toutes les régions de Cisjordanie, y compris des Bédouins".
Selon la même source, la mort d'Arafat, fin 2004, et l'arrivée de Mahmoud Abbas à la tête de l'Autorité palestinienne n'ont rien changé. Rankl mentionne "les événements qui se sont déroulés le 4 septembre dernier à Taïba. Les musulmans du hameau voisin de Deir Jarir avaient découvert qu'une de leur filles avait un amant chez les "infidèles". Les parents "lavent leur honneur": ils empoisonnent la malheureuse et l'enterrent avant même qu'elle n'ait rendu son dernier souffle. Mais pour la communauté musulmane, cela ne suffit pas. Au cri de Allahou Akbar ("Allah est le plus grand !"), quelques cinq cents émeutiers attaquent Taïba. Une statue de la Vierge est abattue et souillée, seize maisons sont pillées et incendiées. Les forces de sécurité de l'Autorité palestinienne, rutilantes dans leurs uniformes impeccablement repassés, n'interviennent pas. Les appels à l'aide envoyé à Mahmoud Abbas restent sans écho".
L'étranglement du christianisme de Terre sainte a été occulté pendant plus de dix ans, notamment en raison de la désinformation systématique pratiquée sous l'égide de Mgr Michel Sabbah, le premier patriarche arabe de l'Eglise latine de Jérusalem, en place depuis 1988. Mgr Sabbah était un militant politique plus qu'un chef spirituel. Et il avait choisi son camp : celui des Palestiniens, des Arabes et d'une alliance avec l'islam, au point, note Rankl, que certains de ses détracteurs le surnommaient "le patriarche islamique de Jérusalem". La limite d'âge le contraint aujourd'hui à s'en aller: le Vatican lui a donné pour successeur un autre Arabe, mais tunisien cette fois, l'archevêque Fouad Toual. Un pur diplomate.
L'instauration ou la restauration, dans les Territoires palestiniens, d'un régime de dhimmitude dirigé contre les chrétiens - ou même le seul fait d'évoquer cette éventualité - pourrait servir de précédent et donc de catalyseur dans d'autres pays musulmans. En ce sens les victoires électorales du Hamas ne font pas seulement peser une menace sur Israël ou le processus de paix israélo-palestinien.
Elle peuvent avoir des conséquences incalculables partout où l'islam et la chrétienté se côtoient et se heurtent comme des plaques tectoniques, de l'Europe occidentale à l'Asie du Sud-Est, en passant par les Balkans, le Moyen-Orient et l'Afrique noire.
© Michel Gurfinkiel, 2006
Par Pauline (Pauline) le lundi 02 janvier 2006 - 18h58: |
Des Israéliens fêtent le Nouvel an malgré la désapprobation du rabbinat
De nombreux Israéliens, surtout des jeunes, fêtaient samedi soir le Nouvel An malgré la désapprobation du rabbinat à célébrer la Saint Sylvestre, considérée comme une fête chrétienne.
Aucun célébration officielle n'a été prévue, et peu d'Israéliens fêtent le réveillon en famille, mais les grands hôtels, particulièrement dans la région de Tel Aviv ont organisé des dîners.
Encore plus que pour d'autres samedi soir des foules de jeunes se pressaient dans les bars qui promettaient de distribuer aux clients du champagne (israélien) gratuitement à minuit.
Le Nouvel An, selon le calendrier grégorien, est de plus en plus célébré en Israël, ces dernières années, notamment du fait de l'afflux de plus d'un millions d'immigrants d'ex URSS depuis 1989, particulièrement attachés à la fête.
A Jérusalem ouest, où le poids des religieux est plus fort que dans la métropole israélienne, la tradition juive est curieusement évoquée par des hôtels ou des discothèques qui annoncent dans leurs publicités une célébration spéciale pour »la fête juive Hanoukkah et le Nouvel an» qui coïncident cette année.
A Jérusalem-est, plusieurs grands hôtels des quartiers arabes, organisent eux aussi des réveillons, assez discrètement, pour des touristes et des Palestiniens.
Le clou des festivités devait consister en une réception monstre organisée dans une grande salle de Tel Aviv par le milliardaire juif israélo-russe Arcadi Gaydamak qui s'est récemment offert le club de football du Beitar-Jérusalem et a quelques démêlés avec la justice.
Il a invité 1.500 personnes pour la Saint-Sylvestre, dont les célébrités célébrités du monde du spectacle, de la classe politique et économique d'Israël.
Vins fins, caviar à la louche, sushis, sashimis, champagne à gogo, débauche de pièces montées de pâtisseries et geysers de chocolat sont au menu.
Des vedettes de la scène israélienne et le groupe pop américain »Temptations» doivent animer cette soirée exceptionnelle.
Ces célébrations se déroulent alors que la police est sur le qui vive samedi de crainte d'attentats palestiniens, particulièrement dans le secteur de Jérusalem.
Les contrôles de police israéliens ont été renforcés le long de la ligne de démarcation avec la Cisjordanie alors que le bouclage strict de la Cisjordanie imposé le 5 décembre après un attentat suicide à Netanya (nord) restait en vigueur.
Par Henri (Henri) le lundi 02 janvier 2006 - 13h53: |
La Douda, Chalom,
Tu as bien raison, on dit chez nous (les tunes) ouhda treffa ou lohkra nebela.
Mais fait nous plaisir, allez va, pour la bonne annee, dit nous qqchose de positif, il doit bien avoir qqchose ou qqun que tu trouves bien, non?.
Je sais, chez nous (les tunes) on exagere toujours un peu, meme un peu trop, prends par exemple Bebert, il n'arrete pas de nous faire rire, ou alors moi par exemple, je critique trop, c'est ma maladie, je dirais meme plus, c'est pas une maladie, c'est une DOUDA.
Et comme je le sais,j'essaye quand meme de me retenir, alors cher ami, fait un petit effort, et raconte nous qqchose de positif pour la bonne annee.
Ciao .