Par Braham (Braham) le vendredi 27 juillet 2007 - 12h04: |
Dimanche TOU BEAV
Par Kfir (Kfir) le vendredi 27 juillet 2007 - 11h45: |
Damoclès où es-tu ?
Par Albert Bellaïche
Lundi 9 juillet 2007 à 21:36
A l’heure où les contingences s’entrechoquent inopinément et que les hommes voguent en dessous de leur valeur réputée, au moment où des axes contre nature se forment non pas dans le dessein d’apporter quelques bonnes choses à la condition humaine inégale, où les drames humains sont plus nombreux que jamais, où les armes tonnent avant même que la conscience n’ait le temps de réagir, pourquoi Damoclès refuse-t-il de suspendre son épée au dessus des têtes qui le méritent ?
Parce que semble-t-il, qu’en sa qualité d’arbitre des justes et des braves, il hésite à porter son estocade au risque de punir des âmes innocentes et naïves, incapables qu’elles sont de feinter ou de louvoyer pour trouver la voie de la malice qui innocente souvent les pires coupables…
Alors gageons qu’à ce prix-là la justice des hommes une fois de plus sillonnera des chemins de traverse et slalomera au milieu des ères improbables.
Par exemple le voyage en Iran du Président du Venezuela Victor Chavez qui rencontre avec une certaine admiration le pompeux et ténébreux président iranien Mahmoud Ahmadinejad auquel il vient vendre du pétrole alors que l’Iran en regorge, au prétexte que ce dernier n’a plus les moyens de le raffiner, n’est-ce pas là une sorte de manœuvre imbuvable ?
Les indices de convergence, annoncés entre les deux présidents, ne se rencontreraient-ils pas par hasard au point X où se croise leur inimitié bien conjuguée à l’égard des Etats Unis et du monde libre ?
L’arrogance et le défi sont-ils devenus la pitance des provocateurs et des flibustiers du 21 unième siècle ?
Bref, ces menaces tous azimuts, verbales ou terroristes qu’elles émanent d’Iran, de Syrie, du Hamas, de El Qaïda, des Brigades d’El Aqsa, du Fatah el Islam, de l’armée de l’Islam, des Fous de D. , du Hezbollah ou des Brigades de Saladin, ouf ! exprimées sous des formes forcément différentes, telles que menaces, chantages ou intimidations, peuvent très vite connaître de graves répercussions au sein des Etats visés et ils sont nombreux…
A ce rythme-là, le réveil risque d’être difficile en Occident..
Témoin cette déclaration édifiante de Mahmoud Zahar, faucon du Hamas qui, à la question de savoir si la victoire de Gaza ne serait-elle pas finalement un piège pour le Hamas ? « Qu’importe a-t-il dit en substance- puisque seul l’Islam peut sauver le Monde de tous ses travers et que de toutes les façons, dans quinze ans, un tiers des habitants de la planète seront musulmans… » Et celle de Ayman Al-Zawahiri numéro deux d’Al-Qaïda qui invite à un « engagement total dans la lutte contre les croisés occidentaux et les juifs. »
Aujourd’hui la cible privilégiée est le Maghreb, d’ailleurs le Maroc est en état d’alerte car les kamikazes se recrutent dans la misère des bidonvilles, dans les prisons du désespoir ou sur le web où les prêches islamistes prolifèrent…
Pour répondre à ces menaces de plus en plus précises, Christophe Chaboud, chef de l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste en France de préciser : « Notre défi c’est de mettre en place une coopération internationale permettant d’identifier les réseaux et leurs membres opérationnels le plus en amont possible. »
Cela dénote un peu du climat psychologique qui prévaut ici et là.
Que même la "Fataw" lancée il y a quelques années contre Salman Rushdie ne vient-elle pas d’être remise à l’ordre du jour par des factions rebelles pakistanaises ?
C’est dire que les positions se durcissent en vertu d’une surenchère en terre terroriste.
Alors, quand est-ce qu’un axe Nord-Nord, Ouest-Ouest ou tout bonnement Nord-Ouest, solide et intransigeant, se mettra-t-il en marche pour faire face à ce défi fringant, forcené, fort et foudroyant d’un extrémisme implacable et impitoyable ?
Pourquoi l’urgence intrinsèque n’est-elle pas à l’ordre du jour, malgré la déclaration de Christophe Chaboud qui semble plus imprécise que vindicative ?
Probablement que les circonstances d’alliances sont indécises, que la pratique démocratique universelle est restreinte et que les mesures prises peu efficaces.
C’est alors que notre démarche auprès de Damoclès, l’illustre défunt d’un lointain passé, prend tout son sens car la vérité voulant que ce qui n’est pas légal est interdit, que ce qui n’est pas démocratique est défendu et que ce qui n’est pas républicain est condamnable, il nous semble que seul Damoclès, avec sa brillante et fine épée, eût pu punir et sanctionner sans état d’âme !
Alors, Damoclès, cher Damoclès où est-tu donc ?
Nous aurions eu besoin de toi pour initier la sentence, purifier les âmes et éliminer la malédiction des forbans et des brigands.
Nous aurions compté sur toi pour mener ce combat et remporter la victoire…
Nous aurions pensé que par la grâce de ton épée, solide lame d’acier affûtée, solide et pointue, tu eusses pu éradiquer le mal et frapper les matois, les malandrins et les assassins..
Aujourd’hui malheureusement ta lame est obsolète, ton épée est dans son fourreau et ton atout est remisé…
Sauf sur les tapis ou les tatamis de la loyale, juste et équitable compétition sportive …
Mais tout de même, nous pensons que quelques dizaines de siècles auparavant, tu eusses pu…
Par Kfir (Kfir) le vendredi 27 juillet 2007 - 11h38: |
Yuli Tamir ou la catastrophe israélienne
Par Guy Senbel
Vendredi 27 juillet 2007 à 00:01
Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur la décision de la Ministre israélienne de l’éducation, Yuli Tamir, d’approuver la publication d’ouvrages scolaires en arabe qui feront désormais référence à la guerre d’Indépendance de 1948 par l’expression palestinienne controversée de « Naqba », qui signifie « catastrophe ».
Ce n’est pas la première fois que Yuli Tamir s’illustre en offrant l’opportunité de muscler discours et positions contre l’Etat juif, servant sur un plateau le refus de reconnaître Israël comme un Etat souverain et indépendant dans ses frontières.
Au mois de décembre 2006, Yuli Tamir avait déjà demandé que le tracé de la « ligne verte », la ligne d’Armistice de 1949, figure désormais sur les cartes proposées dans les manuels scolaires israéliens, comme si elle avait cherché à limiter la souveraineté de l’Etat d’Israël sur ses terres conquises. De plus, la Ministre de l’éducation inscrivait son projet dans le droit fil du discours d’Ehoud Olmert, prononcé le 27 novembre 2006. Devant la tombe de David Ben Gourion à Sdé Boker, le Premier ministre israélien s’était dit favorable à la création d’un Etat palestinien « doté une continuité territoriale ».
Or si la problématique de la ligne verte est bien au cœur d’un débat territorial, et pose effectivement une question d’ordre politique, le débat sur l’emploi du mot catastrophe pour qualifier l’indépendance d’Israël recouvrée après un exil de 2000 ans, comme l’indique l’hymne national israélien, remet en cause la légitimité même d’Israël, à l’égard de ses voisins arabes notamment.
Pourquoi reconnaître un pays qui admet que sa création fut effectivement une catastrophe ? Pourquoi signer un traité de paix avec une nation qui renierait officiellement jusqu’à sa propre raison d’être ? Pourquoi ne pas exploiter une faiblesse, une faute, qui donnerait raison et sens à bientôt soixante ans de refus arabe qu’un Etat juif démocratique existe aux côtés de régimes dictatoriaux ?
Car la « Naqba » des Palestiniens n’exprimait pas tant la guerre déclarée et perdue par les Arabes, avec son lot de conséquences géopolitiques, mais plutôt l’échec d’empêcher le retour des Juifs sur leur terre, et l’obligation de vivre aux côtés d’ « infidèles » souverains. En 1948, le refus arabe de voir naître un Etat juif est une affaire de principe et de religion.
Soixante ans plus tard, alors que le camp des modérés palestiniens est enfin prêt à accepter le fait israélien, et qu’il résiste aux desseins des terroristes du Hamas, l’ancienne Ministre de l’éducation Limor Livnat analyse avec raison qu’une telle version de l’histoire risque de « pousser les jeunes arabes à la conclusion qu’il faut agir contre l’occupation israélienne ».
La rhétorique de la gauche ultra laïque israélienne nous avait habitués à une certaine provocation. Zeev Sternhell par exemple, le fondateur de « La Paix Maintenant », n’hésite pas dans les colonnes du quotidien « Haaretz » à qualifier les « territoires » de « fardeau pesant », disqualifiant toutes les mesures prises par les gouvernements successifs dans leurs relations avec l’Autorité palestinienne notamment. Mais le mot « catastrophe » n’avait jamais été employé par des Israéliens pour qualifier la renaissance de la souveraineté d’Israël en 1948.
Reconnaître qu’il est légitime de parler de catastrophe pour qualifier la naissance d’Israël et demander que le mot soit effectivement employé dans les manuels scolaires participe d’un redoutable phénomène de haine de soi.
Mais il y a plus grave encore. Catastrophe est un terme fortement connoté dans l’histoire juive. C’est la traduction de Shoah, terme hébraïque choisi par le cinéaste Claude Lanzmann, repris par l’historien Raul Hilberg. La catastrophe au 20ème siècle n’est rien d’autre que les six millions de Juifs gazés et brûlés à Auschwitz et Treblinka, dans le silence du monde.
En 1948, avec la « Naqba », les Palestiniens avaient voulu répondre à la Shoah. La catastrophe juive dont ils n’hésitèrent pas à réduire l’importance en se lançant dans l’écriture des travaux révisionnistes et négationnistes, en choisissant aussi de s’identifier « mot pour mot » au vocabulaire de l’univers concentrationnaire nazi, pour falsifier l’histoire et porter aussi le costume des victimes absolues. Ainsi les villages et les bourgades dans lesquelles vivent les Palestiniens sont par magie médiatique devenus des « camps »…
Yuli Tamir est tombée dans le piège de la concurrence des mémoires. En outre, elle invite les jeunes arabes israéliens à s’identifier à une cause qui n’est pas la leur. Et si la naissance d’Israël est une catastrophe reconnue comme telle par l’éducation nationale israélienne, comment alors les inciter à respecter les lois d’Israël, ses choix politiques, son organisation sociale ? Et comment s’identifier aux grandes causes qui soudent un pays ?
Ce soir, nos pensées vont vers Guilad Shalit, Eldad Reguev et Ehoud Goldwasser, kidnappés depuis plus d’un an par les terroristes du Hamas et du Hezbollah. L’ultime catastrophe d’Israël serait d’oublier que leur vie et leur mémoire sont notre premier combat.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 27 juillet 2007 - 11h31: |
Mieux aurait valu de bien réfléchir au moment de passer devant l'urne, que ce soit pour suivre un mot d'ordre, ou l'écoute de promesses d'ivrogne,,, A présent c'est trop tard pour cinq ans !
Par Sarel (Sarel) le vendredi 27 juillet 2007 - 11h01: |
Emma
Vous designez chimon peres `president de lètat hebreu
Le mot HEBREU est ? ? ?
sarel
Par Pauline (Pauline) le vendredi 27 juillet 2007 - 07h05: |
Par Mena (Mena) le vendredi 27 juillet 2007 - 02h53: |
Petit dictionnaire moyen-oriental des idées reçues (2ème et dernière partie) (info # 012507/7) [Pamphlet]
Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency
Mossad : a monté la destruction des Tours Jumelles en manipulant des Musulmans qui n’en étaient pas et étaient d’ailleurs incapables de monter un coup de ce genre, la Gloire d’Allah soit sur eux, puisque aucun vrai Musulman…. De plus, la CIA et Cheney étaient dans le coup.
MRAP : organisation communiste consacrée à la délégitimation d’Israël et à la paix entre les autres peuples.
Mur : à Berlin, servait à empêcher les Allemands de l’Est de fuir la RDA ; en Israël, sert à empêcher les assassins extérieurs de tuer ceux qui sont à l’intérieur. La totale ressemblance saute aux yeux.
Nasrallah (Cheikh) : a instamment émis le vœu qu’un grand nombre de Juifs s’installent en Israël afin qu’un plus grand nombre soit exterminé d’un coup à l’heure du grand règlement de compte. Omettre cette rhétorique de détail, somme toute bien compréhensible de la part des Opprimés. Homme politique qu’il convient d’intégrer au jeu parlementaire et de ne pas isoler (d’après un ancien premier ministre français à la chevelure abondante).
Nazis : amis des Arabes, devenus malheureusement moins efficaces après 1945.
Occupation : la raison pour laquelle ce Palestinien vient de se coincer le doigt dans la porte. Qui ne voit pas la causalité est islamophobe.
ONG : organisation auto-chargée d’avaliser la moindre baliverne émise par les organisations palestiniennes. N’ont jamais rencontré de dictateur arabe dont elles ne croient à la bonne foi, ni de tueur qui n’ait de circonstances atténuantes.
ONU : « machin ». Embryon de Droit international qui justifie à lui seul toutes les campagnes pour l’avortement. Jack l’éventreur y mène l’enquête, Pierrot le Fou y rend la justice, le prêtre y est un assassin récidiviste. Le pot-de-vin n’y est pas accepté à moins d’un hectolitre.
Pacifiste : Agneau qui adore dîner avec le loup, pourvu qu’Israël soit dans l’assiette (voir « idiot utile »).
Papon (Maurice) : Expéditeur spécialisé en futurs morts, et qui leur en veut. Figure moderne de Jean Valjean. N’a jamais rien fait dont son chef de service ait eu à rougir.
Palestine : petit bout de papier collé sur les cartes et atlas arabes pour cacher Israël
Palestinien : (1) bébé phoque de la Gauche européenne et de la Droite bien-pensante. (2) Espèce de victime largement préférée au Tibétain, au Darfourien, à l’Indio et autres. A l’avantage sur les autres d’être corrélatif de la haine du Juif. (3) D’apparition récente, inventé par le Colonel Nasser et fort prisé des régimes arabes et musulmans les jours de sommets diplomatiques. (4) N’est jamais responsable des conséquences de ses actions : c’est toujours la faute des autres.
Pierre (Abbé) : si l’on ne peut même plus chercher la vérité historique auprès des révisionnistes, où va la charité ?
Plan de paix : projet de « règlement » du conflit où la subtilité des détails proposés n’a pour but que de masquer les réalités. Il faut faire semblant d’y croire et s’agiter pour y faire croire. Il est impossible d’être Secrétaire d’Etat américain sans pondre un tel Plan qui portera son nom. Au fil des années l’activité s’est démocratisée : tout un chacun peut désormais y aller de son plan à lui.
Politique arabe (de la France) : reconstitution velléitaire d’empire dissous ; reniement post-daté de la bataille de Poitiers ; lancée au compte du général de Gaulle par le nazi Jacques Benoist-Méchin ; l’art de faire financer par le contribuable français le don de crédits bonifiés, jamais remboursés, à certains pays, dans le but de leur faire soutenir le rôle soi-disant prééminent de la France dans le monde, tout en leur donnant des armes dont ils sont incapables de se servir. Voir aussi : financement des partis politiques français. Voir enfin : Jacques Chirac (financement des campagnes électorales de).
Porte (doigt dans la) : instrument du complot juif – c’est l’endroit où le comploteur voulait introduire le doigt palestinien pour lui faire du mal.
Presse arabe : est à la politique arabe ce que les égouts sont aux cloaques.
Prisonnier : (a) palestinien : a droit à un avocat ; (b) sioniste : à droit à la torture.
Processus de paix : beaucoup de processus, aucune paix. Permet à de nombreux diplomates de voyager en première classe pour y participer, à beaucoup de journalistes de secouer leurs micros, aux experts de pontifier. Il ne s’y passe jamais rien, mais quelle poudre aux yeux !
Production (terme économique) pratique peu usitée et nuisible à la cause palestinienne, qui a, avant tout, besoin d’armes.
Proportionnalité : absence de réaction israélienne à une sanglante attaque arabe.
Protocoles des Sages de Sion : best-seller, source toujours republiée de la Vérité historique. Voir Al-Ahram, et la quasi-totalité de la presse arabe et iranienne. Ne pas faire attention, de toutes façons, c’est juste de la propagande.
Quai d’Orsay : bâtiment de belle allure sis sur les rives de la Seine. Peuplé de personnages à particules qui ne voient que ce qu’ils veulent croire. Rempli de praticiens horizontaux de la politique arabe de la France.
Rage : voir frustration. Terme censé tout expliquer : résultat naturel de la condition victimaire. Accepté comme raison suffisante de l’action terroriste « qui a la rage a tous les droits, en particulier celui d’assassiner ».
Réfugié : s’il est palestinien, caste héréditaire : on est réfugié de père en fils et de mère en fille, comme certains sont cordonniers ou serfs. Exception géopolitique unique : nul ne parle de « réfugiés » allemands (12 millions d’expulsés en 1945) ni de leurs enfants, petits-enfants et arrières petits enfants. Entretenu depuis 1948 par le contribuable occidental (UNWRA), ce qui permet de maudire ce dernier du matin au soir.
Résistance : terme mésusé depuis longtemps pour valoriser l’assassinat des civils en Israël, en excipant d’une parenté avec le mouvement français du même nom qui, de 1940 à 1944, n’assassinait jamais de civils allemands, encore moins de femmes et d’enfants. On voit tout à fait Jean Moulin torturer les enfants de Klaus Barbie (au cas où il n’y arriverait pas, Jacques Vergès accourrait à la rescousse).
Reuters : agence de fabrication et d’usage de faux photographiques et autres. Sa bonne foi a été moult fois surprise depuis 30 ans.
Rice (Condoleezza) : n’en a jamais fini d’apprendre que les roues sont rondes ; c’est qu’elle n’en avait auparavant aucune idée. Grande universitaire spécialiste de la Russie, qui n’a jamais publié le moindre papier sur la question.
Rue arabe : en anglais, rent-a-crowd (« louer une foule ». Ndlr.). Population urbaine oisive, toujours disponible pour accourir où les services de police appropriés lui remettent les slogans du jour (Israël, Etats-Unis). Par miracle, la BBC et CNN sont toujours sur place là où les manifestations spontanées vont avoir lieu (ne pas oublier les banderoles en anglais, SVP).
Rushdie (Salman) : fatwa à exécuter.
Saramago (José) : prix Nobel de littérature, mais très faible en calcul : confond en effet le chiffre 52 avec le chiffre 1,5 millions (voir Jenine-Auschwitz). Prouve que la réalité dépasse la fiction.
Sermon (khutbah) : appel au meurtre pour des raisons que Le Monde et l’AFP trouvent toujours compréhensibles (voir : occupation). Ne jamais en citer, cela pourrait ternir l’ « image » du peuple palestinien.
Sharon (Ariel, dit Arik) : a personnellement égorgé avec sadisme plus de mille Palestiniens dans les « camps » de « réfugiés » de Sabra et Chatila. A également personnellement torturé 879,321 Palestiniens, gazé sept millions d’entre eux, érigé un mur pour empêcher les victimes de ses nombreux crimes de venir légitimement tuer des civils israéliens. A, de plus, écrasé un bon nombre d’armées arabes au combat..
Sioniste (entité) : physiologiquement, le larynx arabe n’est pas apte à prononcer les syllabes is-ra-ël, ce qui est un drame anatomique. Ce mot-substitut, inventé par les phonologistes arabes, permet donc de nommer la chose sans émettre le son approprié. Bel exemple de compensation culturelle d’un défaut physique. Qui a médit de la science des Arabes ?
Sommet arabe : groupe d’individus bedonnants et barbus qui crient très fort sans se soucier du contenu, pourvu qu’à la fin, Israël soit condamné, ainsi que les Etats-Unis. S’embrassent de temps en temps sans se soucier des conséquences épidémiologiques.
Suez : grande victoire panarabe (1956), sous la direction des grands chefs de guerre arabes Eisenhower et Boulganine.
Syrie : pays dont les dirigeants sont des parangons d’honnêteté, d’intégrité et de bonne foi. Les prisons y sont vides, les salles de torture propres, les usines flambant neuves, les policiers sans reproche, et la croissance économique énorme. Favorite du Quai d’Orsay.
Terrorisme : arme du faible contre le fort (300 millions d’Arabes, 1,2 milliards de musulmans, 6,5 millions d’Israéliens).
Tolérance : notion inusitée.
Torture : continuation de la politique arabe par d’autres moyens.
Turc : occupant, exploiteur et tyran pendant neuf siècles environ. N’a pas suscité de résistance à l’impérialisme, au colonialisme et à l’exploitation.
Union soviétique (aussi : Russie poutinienne) : meilleure amie des arabes (jusqu’à 1991). L’extermination des Musulmans chez elle lui est rarement reprochée
Unité arabe : fétiche brandi à tout bout de champs pendant qu’on s’entre-égorge ; ne jamais oublier la crécelle !
Unité palestinienne : (voir : unité arabe). Scander le slogan, si vous êtes un tueur du Hamas, pendant que vous poussez un tueur du Fatah du haut du toit d’un immeuble élevé : ça donne une dignité politique très chic à votre action.
Utérus : arme secrète des « Palestiniens » - voir le slogan « Avec nos utérus, nous libérerons la Palestine » qui se réfère à l’ « arme démographique ». Lieu saint du féminisme arabo-musulman. Curieusement ignoré par les féministes occidentales, qui ne veulent la contraception que pour elles-mêmes, et, à la rigueur, le tiers-monde qui n’a pas pour devoir l’extermination d’Israël.
Verger (voir aussi oliveraie) : lieu sacré du culte journalistique de l’innocence paysanne bafouée par la soldatesque : « Les troupes israéliennes ont coupé les arbres des vergers ».
Victime : état natif, permanent et éternel du Palestinien.
Villepin : postiche qui a eu naguère le désir de devenir perruque. Le fameux auteur de science-fiction Bossuet avait consacré un sermon à l’anticiper : « vanitas vanitatum et omnia vanitas. ».
Violence : « Nous n’avons pas d’autre choix que celui de la violence » : mode d’action glorieux et sacré auquel les autres forcent le Musulman radical dans tous les cas de figure ; le pauvre, comme si ce n’était pas le choix qu’il avait fait au départ.
Virginité : état favori de la femme ; multipliée par 72. Récompense offerte dans l’au-delà. Auto-régénération permanente de certaines parties du corps, dont l’absence ici-bas provoque immanquablement le meurtre de la porteuse d’absence. Preuve du caractère progressiste des révolutionnaires arabes.
Voltaire (Réseau) : groupement opposé au principe de non-contradiction.
Washington : ville qui souffle le chaud et le froid
Z : lettre qui s’applique à peine au monde musulman.
Par Kfir (Kfir) le vendredi 27 juillet 2007 - 01h22: |
Nicolas Sarkozy
Le président français Nicolas Sarkozy a déclaré que l'Occident devait faire confiance aux pays arabes désirant se doter d'un programme nucléaire civil. ''Empêcher ces pays de produire de l'énergie nucléaire les laissera en arrière, et augmentera le risque d'une guerre de civilisations'', a-t-il affirmé.
Damoclès où es-tu ?
A l’heure où les contingences s’entrechoquent inopinément et que les hommes voguent en dessous de leur valeur réputée, au moment où des axes contre nature se forment non pas dans le dessein d’apporter quelques bonnes choses à la condition humaine inégale, où les drames humains sont plus nombreux que jamais, où les armes tonnent avant même que la conscience n’ait le temps de réagir, pourquoi Damoclès refuse-t-il de suspendre son épée au dessus des têtes qui le méritent ?
Par Girelle (Girelle) le vendredi 27 juillet 2007 - 00h04: |
Ce qui est bien avec Nicolas Sarkozy, c'est que c'est un rapide: les démonstrations se font très vite.
Espérons que ce "nucléaire civil" que l'on semble vouloir distribuer, ne soit pas une porte trop ouverte à l'Iran...qui pour sa future force de frappe manque cruellement de plutonium que ce fameux réacteur pourrait lui fournir en sous main.
Khadafi, lui, a parait il 1900 tonnes d'uranium 235 (source france info de ce soir) qu'il se propose de troquer contre le fameux réacteur qui lui permettrait de transformer son uranium 235 en plutonium 238 avec lequel il rèverait de fabriquer des bombes de champ de bataille.
Que pense Israel de tout cela?
Quant à Nicolas Sarkozy, maintenant il faut trouver de l'argent, il y a des promesses électorales, non?
C'est le pauvre Kouchner qui répondra devant l'assemblée de la rançon des infirmières bulgares.
Pourquoi ce n'est pas Cécilia?
Mais nous ne sommes plus à l'heure des mises en garde, n'est ce pas...
Chacun est responsable de son vote, et les mises en garde demandent quelque fois beaucoup de courage et d'obstination, on peut, en effet, recevoir en échange des propos quasi injurieux.
Par Richard_S (Richard_S) le jeudi 26 juillet 2007 - 21h58: |
Les otages liberes de Lybie
Je ne comprends pas du tout l'admiration generale pour Sarkozy (et Cecilia ???) suscitee par cette liberation.
Surtout que nous connaissons tous maintenant les conditions de cette liberation, ce qui equivaut au paiement d'une tres large rancon.
Comment pensez vous que ce deal soit percu par les dirigeants et les organisations terroristes Arabes ?
Pour moi ca a des relents d'"apaisement", ca sent Munich et je donne un zero pointe a Sarko pour s'etre implique dans ces negotiations puantes.
Richard
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 26 juillet 2007 - 19h34: |
P.S:
Pour ceux qui ont des references chez Goscinny et Uderzo, "La femme du Chef" ca doit rappeler des bons souvenirs ....
Elle s'appelle Bonnemine.