Par Email (Email) le dimanche 29 juillet 2007 - 07h38: |
Bonjour,
papa et maman cattan de Sousse rentrèrent en France vers 1920 environ, je ne sais pas : secrets de famille puis mon arrière grand père cattan perd toute sa fortune aux jeux dans les hippodromes. Il continue malgré cela à rester avec sa princesse berbère qu'il avait épousé à Sousse. Là bas il était le grand directeur de la banque de France. Donc trés riche, ils rentrent tous en France avec tous leurs enfants : 6 ou 8 au total je ne sais pas exactement. La guerre arrive aprés, injustement, elle s'en prend aux meilleurs. Mon père échappe à la rafle alors qu'on le baptise. Nous sommes donc catholiques, comme lui. Son papa, unique survivant de toute la famille, décède d'une pneumonie. Entre autre. Je ne l'ai vu que deux fois, pour d'autres raisons qui me sont personnelles, toutes ses soeurs et frères sont envoyés dans ces camps de l'enfer. Bonsoir, je suis trés fatiguée. Mes respects pour ce que vous faites pour eux.
Christel
Par Kfir (Kfir) le dimanche 29 juillet 2007 - 01h21: |
Mes souvenirs de Léopold Trepper et Alain Poher
Par le docteur Paul Benaïm
Jeudi 29 mars 2007 à 21:59
Mon métier a été, comme pour la majorité des médecins, l’occasion de rencontrer des patients de tous milieux, des plus humbles aux plus riches, des plus obscurs aux plus célèbres ; il a pu m’arriver d’examiner le même jour un éboueur et une comédienne, une religieuse et un rabbin…
Le hasard a mis sur ma route deux personnalités qui laisseront un nom dans l’Histoire, Léopold Trepper, chef de l’Orchestre rouge, et Alain Poher, président du Sénat. Voici les souvenirs inédits que je garde d’eux et qui, je l’espère, feront sourire.
Gardez-vous, chers amis de Guysen, d’imaginer que l’auteur de ces lignes est un médecin mondain en relation avec des gens hauts placés, introduit dans les milieux huppés ou habitué des cocktails parisiens.
C’est en réalité un concours de circonstances qui m’a permis, au cours d’une carrière de cardiologue à activité mixte, à l’hôpital public le matin et « en ville » le reste du temps, de rencontrer les personnalités éminentes dont il sera question ici .
Il n’y a aucune raison pour que ce témoignage, ou ces anecdotes, cocasses par certains côtés , demeurent confidentiels.
Léopold Trepper (1904-1982)
Nous sommes en 1975. Le docteur Jean Wasniewski, généraliste parisien, est un de mes fidèles correspondants. Dans les cas qu’il estime sérieux, il prend lui-même rendez-vous pour ses malades et les accompagne à mon cabinet.
C’est ainsi qu’en sa présence, j’examine un septuagénaire s’exprimant en français avec un fort accent yiddish. Cet homme n’est autre que le chef du légendaire réseau d’espionnage, l’Orchestre rouge, qui a joué un rôle majeur au cours de la Deuxième Guerre mondiale .
On affirme qu’il avait averti les services secrets soviétiques de l’imminence de l’attaque allemande contre l’URSS de juin 1941, mais Staline n’y avait pas cru. (1)
Au cours de la consultation, je ne peux m’empêcher de demander à mon patient comment il avait pu, à l’époque, passer inaperçu malgré sa prononciation, liée à ses origines de juif polonais ; il m’explique que, séjournant en France depuis 1935, il était, en 1939 au moment de la guerre, dépourvu de tout accent.
Curieusement, sans doute en raison des décennies écoulées sans pratiquer le français, cet accent est réapparu 30 ans après.
Léopold Trepper est alors de passage à Paris, pour le lancement de son livre « Le grand jeu » (2). Son état de santé est préoccupant et je dois faire hospitaliser d’urgence mon illustre patient, bien entendu sous un nom d’emprunt, à l’hôpital Fernand-Widal à Paris, dans le service du professeur Jean-Jacques Welti dont je suis l’assistant.
Des nouvelles de monsieur Domb ?
C’est ainsi que monsieur Domb, alias Léopold Trepper, est admis le jour même à Fernand-Widal.
Dans la soirée, je téléphone au médecin de garde pour avoir des nouvelles de l’entrant, monsieur Domb. « Vous voulez dire Léopold Trepper ? », me répond en riant mon jeune collègue. Coïncidence extraordinaire, entre deux urgences, il lisait le livre de Gilles Perrault « L’orchestre rouge ».
Dans ce livre, il est précisé que Domb était le pseudonyme du maître espion au cours de la guerre 39-45 !
Quelques jours plus tard, Léopold Trepper quittait l’hôpital, regagnait Jérusalem, d’où il m’adressait une carte postale en signe d’amitié.
Alain Poher( 1909-1996 )
En 1980, Alain Poher est président du Sénat. Par deux fois, il a été président de l’Etat par intérim, et c’est comme un chef d’Etat qu’il est accueilli à l’étranger.
En décembre, il fait un voyage officiel au Sénégal. A sa descente d’avion, il n’est pas très en forme , un méchant rhume risque de gâcher son séjour.
Son entourage lui conseille de recourir à des gouttes nasales décongestionnantes très efficaces. En effet, dés les premières instillations, un mieux se fait sentir, ce qui l’incite à renouveler cet « excellent » traitement à plusieurs reprises .
Tant est si bien que dans la nuit survient une vive suffocation en rapport avec une élévation extrême de la pression artérielle. Les gouttes nasales en sont la cause. Elles contiennent en effet un produit générateur d’élévation tensionnelle.
Intervention médicale d’urgence. Transport à l’hôpital militaire français de Dakar. On souhaiterait avoir l’avis d’un cardiologue, mais le seul cardiologue de Dakar est immobilisé par une fracture de jambe après une chute dans un trou d’égout dont la plaque avait été volée !
C‘est ainsi que je suis appelé en consultation, recommandé par un chef de cabinet dont j’avais soigné la sœur.
Paris-Dakar par le Concorde en compagnie de Jean-Yves Artigou, interne du service du professeur J.J. Welti.
L’évolution rapidement favorable permet à Alain Poher de poursuivre sa visite officielle puis de rentrer à Paris avec la délégation qu’il menait et ses deux médecins.
Un secret (d’Etat ?) bien mal gardé
Ce séjour au Sénégal a été suivi de contacts réguliers avec le président, surveillance de routine de la pression artérielle et de l’électrocardiogramme, toujours précédée de longues conversations où il était question de son passé de résistant, de la France et de ses hommes politiques, d’Israël, de Rika Zaraï (dans le livre autobiographique de Rika figure une photo de la chanteuse israélienne avec Alain Poher en 1972)…
Courtois et chaleureux, le deuxième personnage de l’Etat français m’accueillait devant le perron de sa résidence.
Un jour, en février ou en mars 1981, je me suis rendu au Palais du Luxembourg, accompagné de mon plus jeune fils Alexandre, alors âgé de 14 ans. (« Papa, amène-moi au Sénat ! » Comment refuser ?)
Pendant mon entretien avec le président, Alexandre attend dans le cabinet de travail qui fut celui de Napoléon, une pièce magnifique donnant sur les jardins du Luxembourg. Attente trop longue pour un adolescent désœuvré ? Pour tromper l’ennui, il jette un œil sur les documents posés sur le bureau présidentiel. L’un de ces documents porte la mention « Confidentiel. Candidature Giscard ».
Nous étions à quelques mois des élections présidentielles, et Valéry Giscard d’Estaing, Président en titre, n’avait pas encore annoncé sa candidature ; mais dés le lendemain, tout le lycée Chaptal, où était scolarisé Alexandre, était au courant !
Un impardonnable oubli
Il y a quelques jours, dans le cadre des « Archives de la mémoire sépharade », j’ai rapporté le récit de ma vie, celle d’un Parisien natif d’Oran, témoignage pour les générations futures (4).
Au cours d’un entretien filmé de quatre heures, j’ai totalement oublié de raconter mes rencontres privilégiées avec Léopold Trepper et Alain Poher.
Voilà qui est fait.
Références
1- D’après le texte de Catherine Gorski, Léopold Trepper, maître espion. http://mapage.noos.fr/shv2/trepper.htm
2- L. Trepper et P. Rotman. Le grand jeu. 1975
3- Gilles Perrault. L’orchestre rouge. Fayard 1964. Nouvelle édition 1989
4- Hélène Trigano. Archives de la mémoire sépharade. Paris
Illustrations
1-Léopold Trepper. Couverture du livre de Gilles Perrault, l’orchestre rouge
2- Crédit photo de Alain Poher : Sénat.
Par Kfir (Kfir) le dimanche 29 juillet 2007 - 01h09: |
Entre raison et sentiment
Par Caroll Azoulay
Jeudi 19 juillet 2007 à 15:37
Le 22 juillet prochain, le mémorial Yad Vashem se verra offrir les archives tirées des collections privées de la famille du Dr. Israël Kasztner*. Un nom évoquant une affaire trouble qui se déroula dans les années cinquante et dans laquelle les notions de sauvetage de juifs et de collaboration avec le régime nazi furent étrangement mêlées. Rappel :
Correspondance établie pendant la seconde guerre mondiale avec des institutions privées juives et non juives pour les informer du massacre des juifs par les nazis, missives relatant les efforts mis en œuvre par le Comité de Salut des juifs de Budapest — à la tête duquel se trouvait le docteur Dr. Israël (Rezs ő) Kasztner, Joël Brand et Samuel Springmann — pour sauver des juifs, les documents historiques confiés à Yad Vashem par la famille Kasztner sont autant de preuves que le monde (juif et non juif) savait.
Les convois blindés, les massacres, les fours crématoires, les ghettos, aucune des horreurs perpétrées par la machine hitlérienne n’étaient en effet inconnues, au moment même où les cheminées fonctionnaient à plein régime pour réduire en poussière les corps des millions de juifs arrivés de toute l’Europe dans les camps d’extermination.
Et ceci notamment grâce au rapport du Dr Reszö Kasztner.
Né à à Cluj (Transylvanie d’alors) en 1906, Reszö Kasztner est étudiant en droit.
Il adhère ardemment au mouvement sioniste en participant notamment au journal 'Uj Kele', principal organe de presse du mouvement et dont il devient le correspondant politique.
Cette fonction lui permet de développer un large cercle de connaissances liées au monde politique roumain.
Après l’annexion de la Transylvanie par la Hongrie en 1940, R.Kasztner quitte Cluj pour Budapest.
Avec Joël Brand et Samuel Springmann, il crée le Comité de Salut des juifs de Budapest en 1942.
Il devient alors un témoin direct de la persécution des juifs hongrois, qu’il relate dans différents rapports.
En 1943 il a connaissance de l’extermination des juifs dans les chambres à gaz.
Par des services de renseignement annexes qu’il a mis en place, R.Kasztner fait également mention des massacres organisés contre les juifs de Slovaquie, de Bohême-Moravie, de Pologne, de Roumanie et d’Autriche.
Le Comité de Salut des juifs de Budapest entretient par ailleurs d’étroites relations avec des organisations sœurs installées en Slovaquie et à Istanbul.
C’est à travers ces différentes activités d’aide et de sauvetage qu’il rencontre Oskar Schindler en décembre 1942, lors d’un passage de ce dernier en Hongrie.
Mais c’est en mai 1944 que l’histoire se trouble.
A cette époque, probablement influencé par l’action de O.Schindler, et affolé par l’empressement des Allemands à exterminer les juifs, le comité entame des délibérations avec les nazis.
R.Kasztner, Brand et Springmann n’hésitent pas à proposer argent, biens et équipement militaires en échange de la vie de juifs hongrois.
Ces 'négociations' se déroulent alors que des milliers de juifs hongrois sont envoyés à la mort.
En mai 1944, le bras droit de R.Kasztner, Joël Brand, est contacté par Adolph Eichmann qui lui demande de partir pour Istanbul afin de négocier un odieux 'contrat' visant au sauvetage des juifs hongrois.
'Un million de juifs contre 10 000 camions', telle est le montant de la rançon exigée par Eichmann.
De retour à Budapest, Brand laisse la main à Kasztner qui poursuit les négociations avec différents officiels nazis.
En juillet 1944, le représentant d’Himmler, le colonel Kurt Becher est chargé de finaliser la transaction à l’issue de laquelle R.Kasztner est parvenu à assurer l’évacuation de 1 684 juifs de Bergen-Belsen vers la Suisse, ainsi que l’emprisonnement, jusqu’à la fin de la guerre, de 20 000 juifs dans un camp relativement sécurisé situé en Autriche.
À la fin de la guerre, ses relations privilégiées avec l’establishment nazi inciteront les alliés à se tourner vers R.Kasztner afin qu’il identifie les rôles joués par les différents responsables allemands en prévision du procès Nuremberg.
10 ans plus tard, ce sont ces mêmes relations qui plongeront R.Kasztner dans une tragédie dont l’issue s’avérera fatale.
En 1954, confortablement installé au poste de porte-parole du ministère israélien du commerce et de l’Industrie, R.Kasztner se voit soudain accusé de collaboration avec les nazis par un vieux juif hongrois dont la famille (quelque 52 membres) a été assassinée dans les chambres à gaz d’Auschwitz.
Malkiel Gruenwald ne mâche pas ses mots en désignant R.Kasztner comme l’un des responsables de l’assassinat des 500 000 juifs hongrois…
Après une longue enquête, le rescapé publie un rapport qui démontre les étranges concessions de R.Kasztner à l’égard des dirigeants nazis.
M. Gruenwald fait également remarquer que le choix des juifs sauvés a été établi en vertu de liens personnels unissant les rescapés et R.Kasztner.
Ces révélations suscitent un intense émoi dans un pays qui vit encore dans le souvenir de ses 6 millions de morts.
Un procès est ouvert contre R.Kasztner qui nie s’être comporté en traître.
Il prétend avoir tenté de sauver le plus de juifs possible alors que le pire des destins avait déjà été scellé pour eux.
Le gouvernement d’alors, dirigé par Ben-Gurion et Moshe Sharett est particulièrement embarrassé face à ces accusations qui éclaboussent l’un des leurs.
À l’issue d’un procès de 18 mois, le juge Benjamin Halevy considère (en 1955) que la plainte de M. Gruenwald est fondée.
Il affirme que R.Kasztner a "vendu son âme au diable" et s’est comporté en collaborateur des nazis quand il a accepté leur marché.
Plus grave encore, le juge B.Levy précise par ailleurs qu’en cachant la vérité aux autres juifs, R.Kastner a contribué à leur assassinat à Auchwitz.
Cette terrible sentence provoquera la démission de Moshe Sharett et bien entendu celle de Kasztner.
Son parti (Mapaï) l’effacera de la liste des candidats à l’élection, et c’est en homme brisé qu’il quittera la scène politique pour s’enfoncer dans une solitude "plus noire que la nuit, plus sombre que l’enfer".
Plus de 2 ans et demi plus tard, un appel sera cependant formé devant la cour suprême.
En 1958, La haute instance cassera le jugement de B. Halevy et décidera que ce dernier "s’est sérieusement trompé" en affirmant que R.Kastner "a vendu son âme au diable".
M. Gruenwald sera en outre reconnu coupable de fausses allégations.
R.Kasztner n'est malheureusement pas présent à cette audience de réhabilitation. Un an plus tôt, il a en effet été assassiné à Tel Aviv par Ze’ev Eckstein, un survivant juif hongrois.
*En 1981, ces archives furent transmises à l'historien Dov Dinur afin de l'aider dans ces recherches concernant le procès Kasztner.
Ces documents, ainsi que d'autres, spécialement collectés par D.Dinur, seront présentés à Yad Vashem en présence de membres de la famille Kasztner, ainsi que de survivants du 'train Kasztner' et leurs enfants.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 29 juillet 2007 - 06h14: |
La vie (Reflexion)
Si je devais essayer d’expliquer la vie, j’aurais sans doute besoin plus de temps que la vie sur terre.
La vie n’est pas du tout ce que l’on pense : la vie est plutôt un séjour dont une partie on la passe sur terre et l’autre dans d’autres sphères et qui contient la somme totale des éléments, comme : ce que nous voyons, ce que nous sentons, ce que nous endurons, ce que nous faisons, ce que nous entendons, ce que nous lisons, ce que nous écrivons, ce que nous savons, avec qui nous conversons, ce que nous mangeons, les odeurs que nous sentons, ce que nous touchons, ce que nous goûtons, le bonheur, la peine , l’énervement, les regrets, l’imagination, les rires, les pleurs, la jouissance, la souffrance, se débattre, le rêve, et toutes ces capacités concentrées dans une seconde. Peut-être nous comprendrons et nous verrons une partie de la réalité de la vie.
Dans le fond, nous ne savons pas pourquoi nous sommes nés sur cette terre, personne ne nous avait donné la raison, la durée de notre séjour et ce que nous devons accomplir durant ce temps. Nous savons que nous sommes nés avec un certain capital que nous appelons temps mais dont nous ne savons pas la durée. C’est pourquoi nous devons considérer chaque seconde comme la plus précieuse unité sur terre et nous devons faire de notre mieux de ce temps, sans causer un dommage à autrui.
Certaines personnes essayent de nous montrer la vie, chacune de là où elle se trouve, ou de son point de vue et, selon ses capacités et ses connaissances, par la musique, la littérature, les histoires, les poésies, l’art, par son travail, ses actions, son caractère, son amabilité, son amour, son mode de vie. Nous devons respecter chacun selon sa façon, car chaque être humain est inconsciemment guide par sa destinée.
J’aime la vie sans toute condition. Telle qu’elle m’est présentée chaque minute, avec certains inconvénients et avec toutes les merveilles qu’elle contient. Tout ce que je vois, j’entends, je touche, me donne un beau sentiment que personne ne peut expliquer, comprendre, définir, exprimer ou décrire. Chaque jour j’apprends quelque chose de nouveau de chaque rencontre, de chaque situation, de chaque moment, de tout ce qui se passe devant nous.
J’ai passé les guerres, les épidémies, des opérations qui m’ont sauvé la vie, des temps d’abondance et des temps des rations. La vie est si vaste, si grande, si riche, si belle. Comment pourrions-nous avoir des prétentions quelconques à la vie ? Certains moments me plaisent et d’autres non, mais j’aime les sentiments profonds que je ressens. Mes connaissances sont mes propres expériences.
Par La_Bonneverite (La_Bonneverite) le samedi 28 juillet 2007 - 23h01: |
Citron.
Celà fait bcp de traces qu'ils ont omis de tracer dans les manuels scolaires.
L'ambassadeur en question n'est sans doute pas au courant de l'histoire de son pays et de ceux qui y ont vécu avant 2056 de l'an Jesus Christou, enfiIIn....!
Par Bazooka (Bazooka) le samedi 28 juillet 2007 - 21h06: |
Bonsoir et Shavoua tov.
Kfir pourriez-vous SVP indiquer d'ou provient la nouvelle concernant la tablette, votre post d'hier a 17h34.
D'avance un grand merci.
Par Citron (Citron) le vendredi 27 juillet 2007 - 19h34: |
" l’ambassadeur a invité les responsables du CRIF a constater qu’il n’existait nulle trace de révisionnisme ou d’antisémitisme dans les manuels scolaires d’histoire tunisiens, a conclut Jean-Pierre Allali. ''
oui c est vrai il n y a aucune trace, de revisionnisme ou d antisemitisme ou d anti judaisme....tout simplemnt parsequ il n y a aucune trace de la presence juive en Tunisie dans les manuels scolaires tunisiens....aucune trace de l apport de cette communaute, aucune trace sur les raisons de leur departs encore moi les conditions de leurs departs.......
'
Par Kfir (Kfir) le vendredi 27 juillet 2007 - 17h35: |
Russie-Syrie
2007-06-19 21:08:00
La Russie et la Syrie ont conclu une transaction d'armes. Selon les médias russes, Moscou devrait vendre des avions de combat perfectionnés MIG-31 à Damas. Jusqu'à présent, la Syrie ne disposait que d'avions de chasse obsolètes, selon la radio de l'armée Galei Tsahal.
La vente des MIG-31 russes à la Syrie va améliorer significativement la capacité de Damas à mener des combats aériens. C'est ce qu'a indiqué un responsable israélien du centre technologique de Holon au journal Kommersant. Selon Shmouel Gordon, la Syrie pourra désormais abattre des avions israéliens qui survoleront le plateau du Golan ou le Liban.
Ces MIG-31 sont considérés comme les avions d'interception les plus perfectionnés au monde. Ils peuvent voler plus de 700 km dotés de missiles pointant sur des cibles situées à plus de 200 km de portée. Le contrat est évalué à plusieurs milliards de dollars.
Par Kfir (Kfir) le vendredi 27 juillet 2007 - 17h34: |
Restitution :
2007-07-17 11:58:00
Suite à une rencontre entre le maire de Jérusalem, Ouri Lupolianski et l'ambassadeur de Turquie en Israël, Mr. Namik Tan, il semblerait que la Turquie accepte de rendre à Israël une tablette vielle de 2 700 ans, sur laquelle figurent des inscriptions relatives à la construction d'un tunnel construit par le roi Hezekiah à l'époque du premier temple de Jérusalem.
Ce tunnel, connu sous le nom de 'tunnel de Siloam' fut construit afin que les habitants de la capitale assiégée puissent être ravitaillés en eau potable.
Cette relique qui appartient actuellement au musée d'archéologie d'Istanbul est dotée d'une valeur historique et culturelle inestimable pour le peuple juif, selon les experts israéliens.
Découverte en 1 880 par un anglais, elle fut emportée par les dirigeants ottomans quand ils quittèrent la région en 1917.
Depuis de nombreuses années déjà, le gouvernement israélien tente de récupérer la tablette sans succès.
Cet accord de principe donné par l'ambassadeur turc pour rendre ce trésor représente donc une immense victoire pour Israël.
Afin de ne pas être en reste, le maire de Jérusalem s'est engagé à promouvoir un projet visant à la construction d'un monument qui serait érigé à la mémoire des soldats turcs tombés pendant la Première guerre mondiale en Israël.
Par Victor (Victor) le vendredi 27 juillet 2007 - 17h49: |
Le CRIF reçu par l’ambassadeur de Tunisie
27/07/07
- - Thème: Rencontres
Actualité juive revient sur la rencontre du 16 juillet entre Raouf Najar, ambassadeur de Tunisie en France et Richard Prasquier, le président du CRIF qui était accompagné de Jean-Pierre Allali et de Meyer Habib, membres du bureau exécutif. Les représentants du CRIF et l’ambassadeur ont fait un tour d’horizon des problèmes internationaux, évoquant l’état des relations israélo-tuinisiennes, l’antisémitisme, la mémoire, l’interreligieux ou encore, le projet de l’Union Méditerranéenne, rapporte le quotidien.
Interviewé sur la rencontre, Jean-Pierre Allali a déclaré que les interlocuteurs du CRIF ont particulièrement apprécié les positions du diplomate en ce qui concerne la mémoire et la lutte contre l’antisémitisme. Richard Prasquier qui avait suggéré de faire traduire en arabe les livres sur la Shoah afin qu’ils soient diffusés plus largement dans le bassin méditerranéen, a suscité l’intérêt de l’ambassadeur qui s’est dit prêt à encourager les initiatives privées qui pourraient aller dans ce sens. En tant qu’ancien ministre de l’Education en Tunisie, l’ambassadeur a invité les responsables du CRIF a constater qu’il n’existait nulle trace de révisionnisme ou d’antisémitisme dans les manuels scolaires d’histoire tunisiens, a conclut Jean-Pierre Allali.
Ce dernier a également évoqué, en tant que coordinateur en France des actions menées par l’association internationale, Justice pour les juifs des pays arabes, la question du patrimoine juif en Tunisie tel que l’état de la nécropole juive de Gammarth. Meyer Habib a demandé s’il était possible d’accéder aux archives précieuses des synagogues tunisiennes, ce à quoi l’ambassadeur a répondu que ces documents pouvaient être photocopiés et dupliqués sous forme de microfilms.
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9337&artyd=5
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 27 juillet 2007 - 15h44: |
Chers amis,
Ca a été relativement long, mais ça y est, j'ai!!!
Je viens de recevoir mon modem adsl et ainsi, j'espère éviter les silences imposés par le manque de moyen de vous joindre, et surtout de vous lire, pendant mes séjours à Cannes.
J'en suis ravi.
Quant à notre Président, Monsieur Nicolas Sarkozy, je me permets de lui conseiller de ne pas confondre vitesse et précipitation, et que dans sa logique d'encouragement aux bons élèves et de répression aux mauvais, il devrait en faire autant pour les relations avec les pays démocratiques ou voyous.
Certes, le résultat est primordial, mais il ne s'agit tout de même pas de donner à des fous, des bâtons pour recevoir des coups.
Il est cependant vrai qu'il vient de réaliser un exploit fantastique, et que ce qui a été signé, n'est qu'une intention à mettre en oeuvre, sous réserves...
Shabbat Chalom à toutes et à tous et à très bientôt