Par Meyer (Meyer) le mercredi 04 janvier 2006 - 01h11: |
Il faut faire attention aux fichiers du type .wmf.
Les PC sous environnement Windows menacés
LEMONDE.FR | 03.01.06 | 18h19 • Mis à jour le 03.01.06 | 19h55
Des centaines de millions d'ordinateurs équipés d'un environnement Windows menacés par une attaque virale" : la mise en garde semble sérieuse, elle est le fait de la compagnie spécialisée en sécurité informatique, F-Secure.
En effet, une faille de sécurité concernant la plupart des systèmes d'exploitation informatiques distribués par la compagnie américaine a été découverte et rendue publique. Dans un avertissement publié sur son site Internet le 28 décembre 2005, Microsoft reconnaît l'existence d'un risque important d'intrusion, par le biais d'images au format des fichiers "Windows Metafile"(WMF). Toujours selon la firme de Richmond, virus et logiciel espion pourraient s'introduire dans le système de tout utilisateur, par un simple clic sur une image contenue sur une page Web ou un courriel.
Les ingénieurs de Microsoft se livrent donc à une course contre la montre. L'objectif est de mettre en place une mise à jour qui colmatera cette nouvelle brèche. "Nous savons que cette faille est activement exploitée" avertit l'éditeur.
"LE RISQUE EST SÉRIEUX"
Selon Mikko Hyppönen, directeur du laboratoire de recherche anti-virus de F-Secure, cité dans un article du site Internet du Financial Times "toutes les versions de Windows sont actuellement vulnérables".
"Le risque est sérieux" confirme Michel Lanaspèze, directeur marketing de Sophos, entreprise spécialisée dans la protection des entreprises contre les virus. "Le code concernant cette faille ayant été publié par des hackers, Microsoft a été contraint d'avertir les utilisateurs du risque qu'ils courent" analyse le spécialiste.
Une publicité dont se serait probablement passé Microsoft, régulièrement attaqué sur ses failles de sécurité. Par ailleurs, pas un mot de l'avertissement publié sur le site américain n'est présent sur le site français de la compagnie. Les utilisateurs francophones, pourtant, font face aux mêmes risques.
"Un correctif devrait bientôt être disponible" affirmait-on mardi soir du côté de Microsoft-France, sans toutefois pouvoir s'avancer sur une date.
Le Monde.fr
Par Albert (Albert) le mardi 03 janvier 2006 - 21h56: |
Par Claudia (Claudia) le mardi 03 janvier 2006 - 18h32: |
La locution fourre-tout stigmatise et pénalise tout intellectuel hors des sentiers politiquement corrects.
Le nouveau réac, un «ennemi» qui vous veut du mal
par Pierre-André TAGUIEFF
Si l'époque a un parfum dominant, c'est celui des incendies purificateurs. Lancée en octobre-novembre 2002, la catégorie d'amalgame «nouveaux réactionnaires», étiquette conceptuellement vide mais aux fortes connotations négatives, est destinée à un unique usage : marquer, disqualifier, couvrir d'infamie l'individu auquel on l'applique. Elle sert à fabriquer des suspects, des «infréquentables». Pour fonctionner correctement, elle doit jouer sur une idée reçue en héritage : la localisation à gauche, comme par nature, des «intellectuels», censés former une communauté d'appartenance définie par un ensemble de convictions idéologico-politiques.
Le «nouveau réac» est à la fois un traître en tant qu'intellectuel (il est censé trahir sa communauté d'appartenance : les «intellectuels») et, en tant que citoyen, un individu suspect, douteux, voire dangereux. Tout «intellectuel» suspecté de «glisser vers la droite» ou d'avoir des «idées de droite», voire d'éprouver de la sympathie pour telle ou telle personnalité de droite, peut faire figure de «nouveau réac». Mais les usages polémiques de l'étiquette ne se réduisent pas à la dénonciation de la droitisation des analyses ou des sympathies : peut être qualifié de «nouveau réac» tout citoyen affirmant la valeur des principes républicains à la française, défendant la loi sur les signes religieux à l'école, se montrant dubitatif sur la construction européenne (telle qu'elle se fait) ou condamnant sans complaisance les actes de vandalisme commis par de «jeunes émeutiers» dans certaines banlieues françaises. En outre, toute critique de l'islamisme (comme littéralisme fondamentaliste ou comme idéologie jihadiste) étant assimilée à une manifestation d'islamophobie, il va de soi que le «nouveau réac» est nécessairement islamophobe. Une gauche sans projet a besoin d'ennemis haïssables, aussi fantasmatiques soient-ils. L'acte de les dénoncer lui permet de se donner une contenance, à défaut d'une consistance. Telle est la principale fonction de l'étiquette illégitimante, dans un contexte où les identités politiques sont floues : fixer une ligne imaginaire séparant la gauche de la droite. De quoi intimider les intellectuels en leur lançant le message : «Attention, ne pas franchir la ligne jaune !» En servant d'anathème, l'expression infamante présente en outre l'avantage de renforcer la croyance dont vit la gauche «divine» : se croire moralement supérieure.
La locution «nouveaux réacs» aura servi d'abord d'instrument privilégié d'une courte mais intense chasse aux sorcières, durant l'hiver 2002-2003, dans le seul milieu des «intellectuels» (romanciers et philosophes, pour l'essentiel), comme si la catégorisation stigmatisante ne valait que pour eux. Elle fut une tentative de mise à l'index, à travers la fabrication laborieuse d'une liste noire, où figurait déjà Alain Finkielkraut, à côté de penseurs tels que Pierre Manent, Marcel Gauchet, Alain Besançon, Jean-Claude Milner, Shmuel Trigano, etc. Une liste établie par Daniel Lindenberg, dans son libelle le Rappel à l'ordre. Enquête sur les nouveaux réactionnaires, édité dans la collection «la République des idées» du Seuil par l'historien Pierre Rosanvallon, professeur au Collège de France. Un an plus tard, une autre liste noire, établie par un islamiste de charme, mentionnait les «sionistes» les plus dangereux parmi les «intellectuels juifs», où l'on retrouvait Finkielkraut, à côté d'autres «intellectuels» jugés infréquentables (Alexandre Adler, André Glucksmann, etc.)
Dans l'espace politique tel qu'il pouvait s'observer en 2002-2003, on pouvait identifier aisément les «vieux» ou les «anciens réactionnaires» (de Le Pen à Villiers), mais les «nouveaux réacs» demeuraient invisibles, ou étaient jugés négligeables. D'où la concentration exclusive des attaques contre des hommes de pensée ou d'écriture (ces derniers se limitant à Houellebecq, Dantec, Muray). La campagne contre les intellectuels «néoréacs» a duré quelques semaines et les feux polémiques se sont provisoirement éteints, faute de combattants motivés. Sa relance contre une cible redéfinie, les «intellectuels sionistes», s'est heurtée à de fortes résistances dans l'espace culturel comme dans l'espace politique. Mais l'apparition d'un ministre populaire et atypique, Nicolas Sarkozy, nouvelle cible des bien-pensants de tous bords, a été une aubaine : un nouveau «néoréac» était né dans la classe politique traditionnelle. Il ne s'agissait pas de soumettre ses propositions, ses déclarations ou ses actes à un examen critique rigoureux, d'en discuter le bien-fondé, de mettre en évidence leurs effets pervers, mais de construire un personnage-repoussoir de droite : Le Pen occupant le poste «extrême droite» et Villiers le poste «droite extrême», seul restait libre d'accès le poste «nouveau réac». La montée de la popularité du ministre de l'Intérieur, dans le contexte des émeutes, ne pouvait que le transformer en cible principale de la nouvelle chasse aux sorcières, lancée au nom du «politiquement correct» le plus caricatural («il a dit "racailles" !»). Le cliché stigmatisant n'a pas tardé à fuser : «Ils roulent pour Sarko !» La chimère des «nouveaux réacs» semblait enfin prendre consistance politique, avec un Sarkozy érigé en chef de tribu et un Finkielkraut imaginé en conseiller du chef.
Le terrorisme intellectuel s'est forgé un nouveau langage en quelques années. Il va de pair avec la «communautarisation» croissante des approches des faits culturels et/ou historiques. Les lobbies associatifs font régner la terreur judiciaire dans l'espace public, où les universitaires et les chercheurs sont surveillés, menacés et diffamés. Des «collectifs» ont pour programme d'interdire les recherches sur des domaines «politiquement incorrects» (par exemple la traite interne à l'Afrique noire ou la traite vers le monde arabo-musulman), d'imposer des jugements globalement criminalisants sur certaines périodes (l'histoire de la colonisation, par exemple) et, plus généralement, de substituer un point de vue hypermoral au travail de l'historien, du sociologue ou de l'anthropologue. Qu'un chercheur du niveau d'Olivier Pétré-Grenouilleau puisse être poursuivi devant les tribunaux pour ses travaux sur les formes d'esclavage autres que la traite atlantique (seule prise en compte par la loi Taubira de 2001), voilà qui suffit à montrer les inquiétants progrès de la soviétisation des esprits en France.
Les diabolisateurs se sont remis au travail, après les trois semaines d'émeutes qui ont vandalisé certaines banlieues françaises (du 27 octobre à la mi-novembre 2005), dont les principaux acteurs furent des «jeunes des banlieues», le plus souvent de nationalité française. Des discours empathiques et complaisants ont érigé ces derniers en «victimes» (des «discriminations», dont la France «néocoloniale» est supposée friande), acculées à s'exprimer par une «révolte» destructrice, sans revendications. Ces discours de dénonciation, prétendument «antiracistes», ont fortement contribué à mettre l'accent sur les origines ethniques ou les identités religieuses supposées des jeunes émeutiers aux motivations floues. Plus généralement, il fallait trouver les véritables responsables de l'aggravation de la «fracture sociale» : pourquoi pas les intellectuels «lepénisés» ou «sarkozysés» ? Remède illusoire, simple mécanisme de défense contre une impuissance ressentie durement par les dénonciateurs bien-pensants, lesquels tentent aussi de se protéger de leurs propres pulsions sécuritaires, que révèlent de très répandues pratiques d'évitement scolaire et résidentiel.
«La mise à l'index est la mise en joue des temps de trêves», notait Jules Vallès. Dans les années 50, Raymond Aron était traité de «fasciste» par ses ennemis installés dans le bon camp d'alors, celui du prolétariat, figure héroïque aujourd'hui effacée. Les staliniens de l'époque dénonçaient de façon prophétique les «sionistes réactionnaires». Les ennemis du général de Gaulle n'ont pas hésité à utiliser contre l'incarnation de la France libre l'injure suprême : «Fasciste !» En 1936, André Suarès, l'un des premiers «intellectuels» à avoir discerné la commune nature du communisme et du nazisme, notait avec lucidité et sagesse : «En beaucoup, la bêtise tient lieu de l'honnêteté.» Si le développement durable n'est qu'une utopie sympathique, la bêtise durable est une réalité transhistorique. Il n'y a rien à attendre de la bêtise, ni rien à faire contre elle. Oublions-la. L'indifférence, à condition d'être sélective, est la vertu d'une époque où les individus anxieux s'étouffent de rumeurs et de soupçons.
Dernier ouvrage paru : «La Foire aux illuminés», Mille et Une Nuits, 2005.
Par Meyer (Meyer) le mardi 03 janvier 2006 - 18h05: |
Lettre d'Information du CRIF - 03 janvier 2006
Commentaires
Polémique Klarsfeld : René Rémond et les « solidarités communautaires » 03/01/06
- - Thème: Politique
Nicolas Sarkozy, a chargé Arno Klarsfled d’une mission de « réflexion » ayant pour objectif d’apaiser la polémique suscitée par le vote d’une loi sur les effets de la colonisation.
Cette nomination a provoqué une levée de bouclier en raison – semble-t-il - de la personnalité hors norme d’Arno Klarsfeld : Le jeune avocat aime autant les prétoires que le showbiz. Il mène sa carrière de manière inattendue. Il y a trois ans, il est parti effectuer son service militaire en Israël. Ses amis et ses supporters le trouvent courageux et brillant. Ses détracteurs lui reprochent son dilettantisme, son manque de rigueur. Le personnage en tous cas ne laisse pas indifférent.
A-t-on le droit de critiquer la nomination d’Arno Klarsfeld ? Oui, bien sûr. Il n’est ni le premier, ni le dernier à se retrouver à la tête d’une commission de réflexion qui avec les « comités Théodule » constituent l’une des activités favorites des intellectuels et des hommes politiques français.
Parmi les critiques formulées contre Arno Klarsfeld, est-il besoin de relever celles venant du MRAP dont on connaît l’obsession anti-israélienne ? Je pense que cela n’en vaut même pas la peine.
Plus préoccupantes en revanche sont les déclarations de l’historien René Rémond qui sur France Info s’est étonné de la nomination d’Arno Klarsfeld. « Je suis favorable à cette mission de réflexion» a expliqué l’historien mais: « il fallait nommer quelqu’un qui soit détaché de toute solidarité communautaire ».
Qu’en termes fort bien choisis ces choses là sont dites. René Rémond est académicien. Il sait utiliser la langue française pour exprimer avec élégance des idées assez détestables.
Cette mise en cause des « solidarités communautaires » ne manque pas de surprendre de la part de René Rémond. Rappelons que l’historien fut lui-même avant guerre et pendant l’occupation un militant catholique actifet responsable de plusieurs associations chrétiennes. En 1989 René Rémond fut nommé par Mgr de Courtray à la tête de la commission d’historiens chargée d’enquêter sur la responsabilité de l’Eglise dans la cavale du milicien Paul Touvier.
Les conclusions de cette commission furent très modérées. La hiérarchie catholique très satisfaite.
Et personne à l’époque ne songea ni à mettre en cause l’impartialité de René Rémond ni à le suspecter de la moindre solidarité communautaire.
Clément Weill-Raynal
Par Breitou (Breitou) le mardi 03 janvier 2006 - 17h01: |
Chanson..
Paris le 3 Janvier 2006.
Le calice brisè…
Par un récipiIIIIIIent cassEEEEEe..§§§§§
Qui ne ressemblait guère au vase Soisson..
J’en ai pris pour peEEEEErpétuitéEEEEE..§§§§§
Selon le rite de mes anciens.
Je me suis mariè…§§§§…..
J’en ai pris pour perpétuité…
Par une presSSSSsion du pied..
J’ai enfoncé le bord du calice argenté..
CouchéEEEE sur le parquet d’un lieu sacré
La tradition me l’IIIIII….IIIIMMMMMMMMmposait..
Par un joli coup de talon..////..§§§§§§
J’ai enterré ma vie d’étalon
Ma vie de garçoOOOOOn..
Il y a 28 ans déjà sous des bénédictions…
Et depuis, j’en ai brisé des verres
Pas tous blancs…§§§§…..
Par accident sur les carreaux
C’est de bonne augure
D’après la superRRRRR….ERRRRR……stitioOOOOOn…§§§§§§
BREITOU DU PTB...
Par Albert (Albert) le mardi 03 janvier 2006 - 16h19: |
Le judéo/franc.
'...Alors louqen net qellem en judéo franc pour me faire plaisir, noq yad à votre disposition béch te fèmouni sans que vous fassiez pareil.
Noqra fél journal qu'une langue le franspanich
moujouda.
Mélè ââlaish je ne peux pas neh'qi kiffém...?
Qol oua'hed appréciera el laghouè ici et je vous interdis béch tna'qlou ââliyè....
Par Maurice (Maurice) le mardi 03 janvier 2006 - 15h06: |
merci Bekhor j'en connais 3 le 3° etant Azria
Dana est mon oncle et Krief sa femme ,est ma tante Azria pendant les Allemands a été proche de mon pere Merci
Par Bekhor (Bekhor) le mardi 03 janvier 2006 - 15h01: |
Monsieur Maurice,
A votre demande je donne les détails de la CPA envoyée hier representant la vente aux enchères des éponges.
De gauche à droite :
1er : le commissaire priseur (Dellél) Monsieur Mansour le kerkenien, d’origine des îles de Kerkennah.
2eme, tête découverte : Monsieur Ramos.
3éme portant un casque colonial : Monsieur Tartaris.
4éme portant un casque colonial : Monsieur Nicosia.
5éme portant un chapeau feutre : Monsieur Albert cohen.
6éme portant la chéchia : Non reconnu
7éme au casque colonial : monsieur Uzan
8éme tête découverte : Monsieur Krief
9éme téte découverte : Monsieur Elie Azria
10éme portant des lunettes de soleil : Monsieur Nataf
11éme portant dans chacune de ses main une éponge et un casque : Monsieur Ramos fils ;
12éme portant un feutre et des lunettes fumée : Monsieur Dana ou Monsieur Berrebi, il y a confusion, les deux se ressemblent et les deux travaillaient dans les éponges.
13éme habillé en Djebba et portant un chapeau de paille : Monsieur Bouricha.
Les autres personnages n'ont pas été reconnus.
Victor Cohen
Par Albert (Albert) le mardi 03 janvier 2006 - 14h26: |
Par Braham (Braham) le mardi 03 janvier 2006 - 11h54: |
Fêtes, tradition et Histoire.
Plus une communauté est nombreuse et plus elle arrive à instaurer ses traditions aux autres. En Israël, la communauté Ashkénaze qui était très majoritaire dans les années 50 a réussi à passer, à travers les medias et l'école, une grande partie de ses traditions, qui enrichissent aujourd'hui le patrimoine général.
Par ignorance ou par assimilation nous oublions des fois de transmettre nos traditions à nos enfants. Alors n'essayons pas de détruire les piliers de ces traditions, qu'elles soient basées sur un événement biblique ou folklorique.
Même les légendes prennent corps au cours des années. Et pourquoi pas ??
Comme dans chaque communauté il y a des traditions qui lui sont specifiques et dont l'histoire reste confuse. Notre communauté possède, au courant de l'année, quelques événements très spécifiques que nous devons préserver et transmettre. Et tout fondement historique ne fait que les consolider.
Pour la fête des filles, l'histoire de Judith et Holopherne, celle de Yael et Sisra ou celle de Dévora la prophétesse ou de Myriam, seront les bienvenues.
Pour le garçon nous fêtons la Bilada et la Talett leyla qui couronnent sa circoncision et la Seoudat Ytro qui entre autres célèbre sa première rencontre avec la lecture des 10 Commandements, dans la Parashat hashavouaa', l'année de sa Bar-Mitsva.
Les bases historiques pour la Bsissa et les autres, ont été racontées sur ce site à plusieurs reprises.
Et qui a dit que l'Histoire Officielle est complètement dépourvue de légendes?
On se demande pourquoi ces fêtes ne sont pas respectées par les autres communautés? Peut être par misogynie, oubli, ignorance; isolement ou conservatisme? C'est leur affaire!
Ce qui nous importe c'est que nous célébrons nos traditions dans la joie.
Alors "SHEYIRBOU SMAH'OTT BE-ISRAEL" (que les joies se multiplient parmi Israël).
Par Maurice (Maurice) le mardi 03 janvier 2006 - 11h42: |
Bekhor y a t il un KRIEF dans cette CP et un DANA