Par Nao (Nao) le lundi 09 janvier 2006 - 16h14: |
Non seulement les institutions israeliennes ont reagi avec une decence, un calme parfaits et un esprit fidele a la Democratie, mais l' institution medicale a aussi demontre son immense talent!
Je ne sais pas si c'est la combinaison de nos ferventes prieres et du professionalisme de Hadassah mais il est miraculeux que Sharon ait survecu aux tres lourdes operations qu'il a subi! Je pensais qu il ne passerait pas le WE.
ODOU LADONAI KITOV KI LEOLAM HASSDO!
Par Maxiton (Maxiton) le lundi 09 janvier 2006 - 14h58: |
Benoit XVI un des chefs de La Reconquista ?
Par Maurice (Maurice) le lundi 09 janvier 2006 - 14h58: |
L’Europe & le Proche Orient
11 janvier 2006
Conférence organisée en partenariat avec
> Begin Sadate Center for Strategic Studies
9:30 - 11:15 - Panel 1
Médiateur: Prof. Ephraim Inbar, BESA
Ramiro Cibrian – Ambassadeur de l’Union Européenne en Israël
La relation Europe – Israel
Dr. Emanuele Ottolenghi, The Oxford Center for Hebrew and Jewish Studies and The Middle East Centre, St. Antony’s College, Oxford
Israël, les Etats-Unis et L’Europe, quelles relations ?
Dr Jonathan Rhynhold, BESA
La Grande Bretagne et le Proche Orient
M. Rafael Bardají, Directeur des affaires internationales à la « Fundacion para el Analisis y los Estudios Sociales », Madrid
Pourquoi Israël devrait être membre de l’OTAN ?
11:30 - 13:15 - Panel 2
Médiateur: Fabrice Chiche, Le Cercle
M. Daniel Sibony, écrivain et psychanalyste
Les aspects inconscients de la position européenne vis à vis du Proche Orient.
Dr. Tsilla Hershco, BESA
La relation France-Israël
Dr. Amikam Nachmani, BESA
L’Europe et la Turquie
Harry Kneital – Directeur du Centre de Recherche Politique au Ministère des Affaires Etrangères
Israël et l’Europe.
Par Maurice (Maurice) le lundi 09 janvier 2006 - 14h36: |
Benoît XVI dénonce le terrorisme qui se "pare du bouclier d'une religion"
AFP 09.01.06 | 12h53
e pape Benoît XVI a dénoncé avec force lundi le "terrorisme organisé qui s'étend désormais au niveau planétaire", cette "activité criminelle (...) d'autant plus blâmable qu'elle se pare du bouclier d'une religion".
Evoquant le risque d'un "choc des civilisations", Benoît XVI a jugé que "ce danger est rendu plus aigu par le terrorisme organisé qui s'étend désormais au niveau planétaire", en recevant au Vatican les voeux du corps diplomatique accrédité auprès du Saint-Siège.
"Aucune circonstance ne peut justifier cette activité criminelle, qui couvre d'infamie celui qui l'accomplit et qui est d'autant plus blâmable qu'elle se pare du bouclier d'une religion", a poursuivi le pape.
Recevant au Vatican les voeux du corps diplomatique accrédité auprès du Saint-Siège, le pape a estimé qu'au cours des siècles les échanges culturels entre monde arabe et monde européen "ont fécondé la culture et favorisé les sciences et les civilisations". "Il devrait en être de nouveau ainsi aujourd'hui", a-t-il estimé dans son discours consacré essentiellement à la paix.
"Ma pensée se tourne spontanément vers la terre où est né Jésus, le Prince de la Paix (...) vers le Liban, dont la population doit retrouver sa vocation historique en faveur de la collaboration sincère et fructueuse entre les communautés de foi différente, vers tout le Moyen-Orient, en particulier vers l'Irak endeuillé quotidiennement par des actes terroristes sanglants", a déclaré Benoît XVI.
"L'Etat d'Israël doit pouvoir y exister pacifiquement (..) et le peuple palestinien doit également pouvoir y développer sereinement ses institutions démocratiques pour un avenir libre et prospère", a-t-il affirmé.
Par Meyer (Meyer) le lundi 09 janvier 2006 - 13h07: |
Depuis sa création, le Festival, dont l'objectif est de faire connaître et promouvoir la culture cinématographique israélienne auprès du grand public et des professionnels, a contribué à l'expansion de ce cinéma devenu aujourd'hui incontournable et a déjà suscité des collaborations entre les deux pays.
Conçu et initié par l'association ISRATIM, ce Festival, avec le soutien des services culturels de l'Ambassade d'Israël en France, la Mairie de Paris et le CNC, a su séduire d'année en année un public de plus en plus large. En février 2005, lors de sa 5ème édition, il a réuni plus de 7000 spectateurs.
Entre rétrospectives et nouveautés, ce Festival vous invite à mieux connaître le paysage audiovisuel israélien avec la projection de longs métrages, documentaires, courts métrages, etc, suivit de débats entre les artistes et le public.
Le Festival 2006 est présidé par l'actrice-réalisatrice Ronit Elkabetz.
http://www.isratim.co.il/index.php
Par Maxiton (Maxiton) le lundi 09 janvier 2006 - 12h38: |
C'est la raison pour laquelle je lui avait conseillé de mettre son casque
Par Braham (Braham) le lundi 09 janvier 2006 - 11h39: |
La tete, le sang, j'ai deja passe ca en 73
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 09 janvier 2006 - 10h47: |
Pour ceux qui veulent suivre les infos en direct sur Harissa au sujet de l hopitalisation d Arik et son reveil ...
http://harissa.com/forums/read.php?15,32933
Ce matin le Professeur Mor Yossef , a annonce ce matin , qu il respirait spontanement .
BAROUKH HACHEM !!! CONTINUONS A PRIER ... KADIMA ARIK !!!
Par Maurice (Maurice) le lundi 09 janvier 2006 - 09h49: |
L accident neurologique d'Ariel Sharon a aussi révélé la bonne santé des institutions israéliennes. Au-delà du choc émotionnel, il n'y a pas eu de vide politique ni de crise institutionnelle. Le vice-premier ministre, Ehud Olmert, le dauphin non désigné d'Ariel Sharon, mais son successeur le plus naturel, assure l'intérim du pouvoir. Sans contestation. Laissant symboliquement le siège du premier ministre vacant, il préside néanmoins les réunions du cabinet israélien. Et le gouvernement continue de fonctionner. Même s'il survit à l'attaque cérébrale dont il a ete victime et s'il recouvre ses capacités intellectuelles, il est peu probable qu'Ariel Sharon sera rétabli à temps pour faire campagne en vue des législatives et qu'il retrouvera une santé suffisamment solide pour diriger de nouveau le pays. L'ère Sharon semble donc bel et bien être arrivée à son terme. Mais, si Kadima remporte le scrutin du 28 mars, comme le prédisent les sondages, sa vision d'un désengagement avec les Palestiniens et sa méthode de retraits unilatéraux, pour y parvenir pourraient continuer .
* Correspondant du Figaro à Jérusalem
Par Maurice (Maurice) le lundi 09 janvier 2006 - 09h34: |
L'esclavage musulman
A l’heure où les tentatives de culpabilisation de l’Occident se font délirantes, Louis Chagnon ouvre le dossier de l’esclavage musulman.
L’histoire de l’esclavage est à l’actualité, utilisée comme outil pour soutenir des revendications communautaristes, elle est falsifiée pour introduire la seule critique de l’Occident. Ne pouvant pas reprendre toute l’histoire de l’esclavage, je rappellerai rapidement quelques données élémentaires.
L’esclavage se perd dans la nuit des temps et les noirs n’en ont pas été les seules victimes, comme les Occidentaux n’ont pas été les seuls esclavagistes. Le mot «esclave» vient du mot «Slave», les Slaves païens ont en effet fourni les contingents les plus nombreux d’esclaves pendant le haut Moyen-âge, vendus par les Vénitiens aux arabo-musulmans. Si esclavage et colonisation se sont rejoints aux XVIIe et XVIIIe dans le commerce triangulaire pratiqué par des commerçants, et non par des colons, l’esclavage n’est pas inhérent à la colonisation occidentale, il existait des millénaires avant et exista après. Bien au contraire, la colonisation entraîna la disparition de l’esclavage dans les colonies. Avant même la colonisation de l’Afrique, les Européens avaient agi pour faire supprimer l’esclavage en Tunisie: «Après les trois mois de règne de son frère Othman, le fils de Mohammed bey, Mahmoud bey (1914-1824), se vit contraint par les puissances européennes à supprimer l’esclavage, malgré la perturbation économique que devait entraîner cette brusque mesure (1819).» . Lorsque les Français sont arrivés en Afrique du Nord et en Afrique noire au XIXe siècle, ils ont trouvé des esclaves. L’esclavage était pratiqué par les Arabes et les noirs depuis des siècles. Les ethnies noires se réduisaient en esclavage entre elles et ce sont des chefs noirs qui par des razzias alimentaient les négriers occidentaux aux XVIIe et XVIIIe siècles, ce qu’on oublie trop souvent de rappeler. On estime que fin XVIIIe et au début du XIXe en Afrique noire, un quart des hommes avaient un statut d'esclave ou de travailleur forcé. C'étaient des prisonniers de guerre ou des prisonniers pour dettes. La guerre et les dettes étaient les sources traditionnelles où s’approvisionnaient les marchands d’esclaves. Mais, si les Occidentaux supprimèrent l’esclavage, ils laissèrent le travail forcé.
Les Arabes réduisirent en esclavage pendant des siècles, non seulement des noirs, mais aussi des chrétiens par des razzias sur les côtes occidentales et la piraterie barbaresque: «Plus que des marchandises pillées, les Barbaresques tiraient profit des captifs. Le Chrétien cessait d’être un infidèle qu’on arrachait à son pays pour devenir un objet de négoce, dont on essayait de se débarrasser le plus vite et le plus cher possible.» . L’église catholique les racheta pendant des siècles. C’est cette piraterie qui fut un le motif essentiel de la colonisation de l’Algérie.
Par Maurice (Maurice) le lundi 09 janvier 2006 - 09h18: |
Le credo antisémite de Hugo Chávez
par Jean-Hébert ARMENGAUD
QUOTIDIEN : lundi 09 janvier 2006
Antinéolibéral, anti-impérialiste... et antisémite ? Le président vénézuélien Hugo Chávez, héros de la gauche radicale latino-américaine, a identifié les «maîtres du monde» : «Les descendants de ceux qui ont crucifié le Christ.» Cette «minorité s'est emparée des richesses du monde». Des déclarations tenues le 24 décembre, passées d'abord inaperçues et qui inquiètent la petite communauté juive vénézuélienne, 0,1 % de la population, d'autant que d'autres soupçons visaient déjà depuis longtemps le président vénézuélien. La veille de Noël, Hugo Chávez visite un centre d'hébergement et de réinsertion de personnes sans domicile fixe à Miranda, dans l'Etat de Zulia. Il discute avec la directrice et les personnes qui vivent là, se lance dans des diatribes habituelles contre «l'impérialisme» et célèbre «Jésus, le commandant des commandants des peuples, Jésus le justicier (...), le Christ révolutionnaire, le Christ socialiste». «Plus que jamais, le Christ nous manque (...), mais il se trouve qu'une minorité, les descendants de ceux qui ont crucifié le Christ (...) s'est emparée des richesses du monde [...] et a concentré ces richesses entre quelques mains.»
«Dans ses mots convergent deux arguments centraux de l'antisémitisme, a réagi la délégation du centre Simon Wiesenthal pour l'Amérique latine, en Argentine, celle qui accuse les juifs d'avoir tué Jésus, et celle qui les associe avec les richesses.» «Il est particulièrement paradoxal, poursuit ce communiqué, que le président d'un pays qui dans quelques jours va être hôte d'un des rassemblements de la pensée progressiste, le Forum social mondial, utilise une rhétorique réactionnaire et moyenâgeuse.»
Le centre Simon Wiesenthal réclame des «excuses publiques» : «Le silence pourra seulement être interprété comme une réaffirmation d'une pensée raciste.» Excuses publiques qui ne viendront jamais. Le texte intégral de la «soirée de Noël» de Hugo Chávez était toujours en ligne hier sur le site officiel du ministère de la Communication et de l'Information vénézuélien.