Par Maurice (Maurice) le jeudi 12 janvier 2006 - 17h53: |
Lellouche : « Hitler s'est réincarné sous les traits d'un obscur terroriste iranien » - 12/01/06
« A l'aube de la 6e année du nouveau millénaire, Adolf Hitler (…) s'est réincarné, après sa mort dans les ruines de Berlin, sous les traits d'un obscur terroriste iranien, petit et chétif comme lui, mais propulsé à la présidence de la République islamique d'Iran. » Dans une tribune au Figaro, Pierre Lellouche, Député et conseiller de Paris et président de l'Assemblée parlementaire de l'Otan, met en garde contre les dérives nucléaires du régime iranien. Il s’insurge...
[lire la suite]
Debré : « On ne tergiverse pas avec la réalité, la plus brutale » - 12/01/06
« Quand Hitler a écrit Mein Kampf, tout était annoncé, aussi bien sa politique raciale immonde que sa volonté hégémonique sur l'Europe ; personne n'a voulu y prêter attention, par aveuglement, par lâcheté. (…) L'histoire est-elle un éternel recommencement ? », s’interroge ainsi Bernard Debré, Député de Paris, ancien ministre, dans une tribune du Figaro.
« Voici un pays, l'Iran, victime d'un groupe d'ayatollahs sanguinaire, totalitaire et dangereux dont le chef...
Par Maurice (Maurice) le jeudi 12 janvier 2006 - 17h28: |
Massacres de Sabra et Chatila : quel fut le rôle exact d’Ariel Sharon dans cette tragédie ?
Mis en ligne le 12 janvier 2006
Du 16 au 18 septembre 1982, les camps palestiniens de Sabra et Chatila subissaient des massacres qui allaient s’inscrire dans l’histoire récente comme une des plus grandes tragédies du Proche-Orient.
Depuis qu’Ariel Sharon a subi sa deuxième attaque cérébrale, de nombreux médias retracent sa vie et sa carrière, et insistent sur son rôle lors de ces massacres.
Compte tenu des différentes versions présentées, des chiffres fantaisistes et des récits parfois inexacts, nous avons souhaité livrer des informations précises sur ces événements dramatiques.
Le contexte
Avant et après les massacres de Sabra et Chatila, d’autres massacres moins médiatisés eurent lieu au Proche-Orient, notamment :
- celui perpétré, en mars 1988, par l’armée de l’ancien président irakien, Saddam Hussein, contre les Kurdes de Halabja qui furent gazés (plus de 5 000 morts),
- celui commis, entre le 17 et le 27 septembre 1970, par l’armée du roi Hussein de Jordanie, et connu sous le nom de « Septembre noir » (entre 5 000 et 10 000 victimes palestiniennes),
- celui exécuté en février 1982, par l’armée de l’ancien président syrien, Hafez el Assad, contre le village syrien de Hama (entre 10 000 et 20 000 morts),
- celui perpétré, en janvier 1976 au Liban, par les miliciens de Yasser Arafat contre les chrétiens de Damour (600 morts).
Au début des années 80, l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine) occupait et contrôlait le sud du Liban qui lui servait de base pour ses raids contre l’Etat d’Israël.
Pour se prémunir des attaques palestiniennes, l’armée israélienne est intervenue au Liban en 1982 et a pris le contrôle du sud du pays pour arriver jusqu’à la capitale, Beyrouth.
Le 14 septembre 1982, le président chrétien libanais, Bechir Gemayel, était tué dans un attentat.
Les massacres de Sabra et Chatila
Le 16 septembre 1982, les camps de réfugiés de Sabra et Chatila, où se trouvaient aussi des miliciens palestiniens armés, étaient encerclés par l’armée israélienne. Cette dernière y laissa pénétrer ses alliés, les Forces Libanaises dirigées par Eli Hobeika, qui, furieuses de la mort du président Gemayel, s’y livrèrent à un massacre à l’arme blanche.
Entre 700 et 800 palestiniens y furent assassinés. Ce chiffre est considérable mais beaucoup plus faible que ceux avancés aujourd’hui par de nombreux médias, notamment Le Figaro, Le Monde, L’Humanité, Politis France-Info ou encore Arte, et qui ne sont que des chiffres gonflés par la mythologie, et sans aucun rapport avec la réalité rapportée à l’époque.
Toutefois, on ne dispose, à ce jour, d'aucune certitude sur le nombre précis de Palestiniens assassinés. Les chiffres avancés par la plupart des medias sont dépourvus de preuves matérielles. Inutile de s'appesantir sur les raisons idéologiques qui incitent ces mêmes medias à gonfler artificiellement le nombre de morts comme ce fut le cas plus récemment avec les prétendus « massacres de Djenine ». Ainsi, le rapport de l’ONU sur les événements de Djenine que nous mettons ici en lien montre bien l’écart qui existait entre « les allégations faites par les responsables de l’Autorité palestinienne… plus de 500 morts », reprises par la quasi totalité des médias français, et la réalité des chiffres : « au moins 52 Palestiniens, dont la moitié étaient peut-être des civils, et 23 soldats israéliens » avaient été tués.
Les réactions aux massacres
C’est l’opinion israélienne qui, la première, s’est mobilisée contre son armée qui avait laissé perpétrer un tel massacre.
Une manifestation de 400 000 personnes, conspuant Ariel Sharon, a eu lieu à Tel-Aviv le 28 septembre 1982.
Par la suite, le gouvernement israélien constitua une Commission d’enquête, dirigée par le président de la Cour Suprême israélienne, Ytzhak Kahane, qui rendit ses conclusions le 8 février 1983.
Les responsabilités directes des phalangistes chrétiens et de leur chef, Eli Hobeika, furent réaffirmées.
Au regard du droit international, l’armée israélienne, en tant que puissance occupante au Liban, aurait dû assurer la protection physique de la population contrôlée. Elle a donc enfreint la 4ème Convention de Genève.
Des responsabilités indirectes furent attribuées aux parties suivantes :
- à l’armée israélienne pour avoir laissé pénétrer les Forces Libanaises dans les camps palestiniens,
- au ministre de la Défense israélien, Ariel Sharon,
- aux autorités libanaises, pour avoir refusé de patrouiller dans les camps,
- à la force multinationale - composée de militaires américains, français et italiens - qui s’était retirée sans s’être assurée de la stabilisation de la situation.
L’OLP institua une commission d’enquête qui parvint, en 1984, à des conclusions similaires qui furent censurées par les autorités libanaises.
Suite à ces événements, Ariel Sharon a perdu son poste de ministre de la Défense et la commission Kahane a préconisé de lui interdire toute fonction officielle.
De leur côté, Eli Hobeika et son adjoint, Samir Geagea, ne furent jamais inquiétés, au Liban ou ailleurs.
Eli Hobeika fut assassiné en 2002 après avoir été député au parlement libanais. Son adjoint, Samir Geagea, a été condamné à mort, peine qui fut commuée en détention à perpétuité, mais pour d’autres crimes.
Ainsi, il apparaît que de nombreux médias français, parmi lesquels Le Monde, Le Figaro, L’Humanité, Politis, France-Info et Arte, ont souvent mal rapporté les faits en attribuant ces massacres à Ariel Sharon alors qu’il ne se trouvait pas sur place au moment des massacres, mais à Jérusalem, et que seule sa responsabilité indirecte a été reconnue.
En omettant les responsabilités des autres forces en présence (les autorités libanaises et la force multinationale), mais aussi et surtout, en occultant la responsabilité directe et criminelle des Forces Libanaises d’Eli Hobeika et de Samir Geagea, ces médias ne nous ont pas donné la possibilité de bien appréhender le sujet et ont enfreint le critère d’Exhaustivité - l'occultation volontaire de certaines informations - du PHILTRE.
Signalons toutefois la retenue et la qualité des articles du Parisien/Aujourd’hui en France, de même que ceux de Libération, qui ont évité tout dérapage de ce type.
Enfin, puisque les médias français semblent intéressés par la recherche de culpabilités dans des dossiers de complicité de crimes contre l’humanité, pourquoi ne s’intéressent-ils pas aux responsabilités des hommes politiques français qui étaient aux commandes lorsque le génocide rwandais eu lieu, génocide qui a fait, selon le chiffre le plus souvent retenu, plus de 800 000 morts entre avril et juillet 1994.
A l’époque, le président de la république française s’appelait François Mitterrand, son principal conseiller était Hubert Védrine, tandis que le ministre des Affaires étrangères était Alain Juppé et son directeur de cabinet Dominique de Villepin.
5VOIR LA PHOTO DU MONDE ET SON EXPLICATION DE SABRA ET CHATILLA UNE HONTE POUR CE MEDIA
Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 12 janvier 2006 - 15h14: |
http:
//www.liberation.fr/page.php?Article=350490
Ci-dessus l'adresse URL où vous pourrez lire les confidences de la prof d'Étampes poignardée par un voyou.
Je donne ci-dessous un extrait significatif, caché par les médias qui ont donné un compte rendu des déclarations de la victime.
La preuve qu'il ne s'agit pas d'un acte de simple crapulerie.
Il pourrait, toute proportions gardées, être comparé à l'assassinat de Théo Van Gogh par un islamiste
Mon agresseur avait été exclu une semaine, à ma demande, en tant que prof principale. Trois rapports concernaient son comportement.
L'UN, PARCE QU'IL AVAIT REFUSÉ D'ENLEVER SON BONNET, ESTIMANT QU'IL NE LE FERAIT PAS TANT QUE LES VACANCES DE PÂQUES EXISTERAIENT, PARCE QU'IL N'ÉTAIT PAS CHRÉTIEN
Il faut répéter à ces illuminés,rétrogrades,intolérants, dominateurs, qu'ils n'ont rien à faire en France.
S'ils veulent vivre leur foi au mépris des lois de la République, l'Arabie Séoudite, ou le Pakistan les attendent.
Mais gare là-bas on coupe les mains.
Par Tun (Tun) le jeudi 12 janvier 2006 - 15h05: |
Cher Emile j´ai toujours vecu a tunis,je suis ne a mutuelleville et j´y suis reste jusqu´a ma premiere anne universitaire ce qui veut dire l´an dernier pour apres venir en allemagne pour terminer mes etudes,mais malheureusement quand j´etais nee ces techniniques medicales etaient deja du passe
Par Mena (Mena) le jeudi 12 janvier 2006 - 07h18: |
Un Golan, des Druzes (1ère partie) (info # 011101/6) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Par un samedi ensoleillé d'octobre 1973, Hamza revient de ses vergers de pommes sur son tracteur, lorsque, déchirant le calme agreste de l'éther, des Mig surgissent de partout, arrosant à la mitrailleuse les champs et son village de Majdal Shams, sur les hauteurs du Golan.
La Guerre de Kippour vient de commencer, et elle a autant surpris les paysans druzes comme Hamza que les soldats d'Israël. En cette seule première journée de conflit, Majdal Shams perdra six des siens, dont trois frères de la famille Shaams, criblés par les balles de Hafez Al-Assad dans leur verger.
Mais l'histoire peu connue des 20'000 Druzes du Golan ne débute pas en mille neuf cent soixante-treize loin s'en faut. Ils sont arrivés sur cette montagne il y a 600 ans, fondant leur premier village, Ein Kenya. Petite minorité, émulation incontrôlée de l'islam, les Druzes ont fui les contrées inhospitalières du Proche-Orient, pensant trouver sur cette montagne élevée, aux accès escarpés, un refuge dans lequel on leur ficherait la paix.
Sans s'en rendre compte, ils construisirent leurs maisons sur un champ de mines, sorte de barrière naturelle entre la Méditerranée et l'Orient, qui, depuis les tréfonds de l'antiquité, ne cessa d'attiser les convoitises. Déjà à l'époque biblique, puis sous les Romains, les peuples ne cessèrent de se disputer cette chaîne basaltique qui fait, par sa forme et ses proportions, immanquablement penser au Jura.
Par là passait la route de la soie et des épices, qu'empruntaient les marchands pour se rendre en Perse et dans les Indes lointaines. Les imposants vestiges de la citadelle de Nimrod, littéralement accrochée à la paroi, témoignent de l'importance intemporelle qu'il y a à dominer cette veine stratégique. Les croisés et les Arabes se la disputèrent sans relâche, et il n'est pas rare dans le Golan, notamment dans la cité-relais de Banias, de voir des ruines qui servirent successivement ou alternativement de lieu de culte aux païens, aux Juifs, aux chrétiens et aux musulmans.
Par manque de choix, deux cents ans après Ein Kenya, les Druzes fondèrent Majdal Shams (l'étoile du soleil en arabe), qui reste, à ce jour, leur bourg le plus important. Plus tard, des habitants issus de Majdal bâtirent Bukata et Massadé. Quatre implantations en tout, qui parvinrent, bon an mal an, à traverser les siècles sans jamais oublier de songer à prospérer.
En principe, les Druzes, de par leur petit nombre et la nature introvertie de leurs croyances, préfèrent ne pas participer aux conflits à moins qu'on ne les agresse directement sur leurs terres. Dans ces occurrences, ils se muent en guerriers féroces et courageux, qui ont déjà infligé des pertes extraordinaires dans les rangs de leurs agresseurs.
Ainsi, ils s'accommodèrent très difficilement de la prédominance turque au Moyen-Orient. Hamza, comme beaucoup de membres de son peuple, cultive une mémoire lointaine et précise. Comme lui, les Druzes se souviennent que les Ottomans ont déboisé leur montagne pour construire un chemin de fer. A l'orée de Majdal Shams, Hamza me montre des jeunes pousses de chênes d'environ un mètre de haut et m'explique que ce sont les arbres qui remplacent ceux coupés par les Turcs, insistant sur le fait qu'il faut presque un siècle pour que renaisse une forêt mutilée.
Des Turcs qui payèrent chèrement l'hostilité des Druzes, puisque, en marge de leur conflit régional avec les Anglais, en 1918, les Ottomans ne perdirent pas moins de 70'000 soldats faces aux Druzes unis de toute la Syrie.
Au milieu des années 20, ce sont les Français qui allaient faire connaissance avec les combattants rustiques de ce peuple sans patrie. Au niveau national syrien, c'est le sultan Atrach, natif du Jebel druze, la "Montagne des Druzes", une autre chaîne de reliefs trouvant leur origine à 100 kilomètres au sud de Damas, qui prit le commandement de tous les composants indigènes pour affronter les troupes envoyées par Paris. La statue du sultan trône aujourd'hui dans Majdal Shams, l'épée levée sur sa monture. Atrach est décédé de sa belle mort en 1982.
Puis la guerre s'approcha du Golan et de Majdal Shams, à l'époque un village d'environ 4'000 âmes. Les Druzes du lieu formèrent une milice qu'ils placèrent sous le commandement d'Assad Kenish Abou Saleh, dont l'un des descendants, un ami, est propriétaire du bowling de Kiriat-Shmona.
Majdal Shams tint tête aux avions, à l'artillerie et aux blindés français durant pas moins de six mois. Sur les trois cents miliciens, armés uniquement de fusils, qui soutinrent le siège, plus de la moitié y firent le sacrifice de leur vie. Leurs noms figurent tous sur la seconde statue de Majdal Shams, celle dédiée à Abou Saleh, qui s'éteignit en 1963 et dont le fils devint député à Damas, au parlement des Al Assad.
Parmi les noms gravés sur la stèle figure celui d'un certain Youssef Al Masha. Masha, blessé aux jambes durant les combats, se trouva dans l'incapacité de suivre ses compagnons dans leur fuite ; on le laissa, à sa demande, face à deux fenêtres d'où il abattit deux douzaines de soldats. Finalement, c'est en lançant une grenade dans le conduit de cheminée de sa maison qu'on eut raison de sa résistance.
Les Français, excédés par l'opposition qu'ils avaient rencontrée et par le nombre de leurs tués, brûlèrent les maisons de bois de tout le village jusqu'aux fondations. Les survivants prirent le chemin de l'exil, certains vers la Syrie, par les chemins pentus du mont Hermon qui domine Majdal Shams, d'autres vers Israël ou en direction du Liban.
Lentement, au fil des ans, des exilés revinrent chez eux et entreprirent de reconstruire le village. Mais les relations entre Druzes et Français ne furent jamais marquées par le sceau de la cordialité, et l'indépendance, toujours fêtée de nos jours, obtenue le 7 avril 1946 demeure la célébration principale des Druzes du Golan.
Mais ces derniers allaient bientôt se retrouver au centre de la tourmente israélo-arabe. Une tourmente qui allait les déchirer.
A suivre…
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 12 janvier 2006 - 01h13: |
COMMUNIQUE DE PRESSE
LE CONSISTOIRE DE PARIS CONDAMNE L’AGRESSION ANTISEMITE DANS UNE SYNAGOGUE DE MOSCOU
Le Consistoire Israélite de Paris (ACIP) apprend avec effroi l’agression au couteau dont été victimes de nombreux fidèles de la synagogue Polyakova dans le centre de Moscou. L’agresseur, neutralisé sur place, a été interpellé par la police.
L’ACIP condamne sans appel cet acte criminel, lâche et barbare. Elle exprime ses plus vives inquiétudes face à une recrudescence des actes et agressions antisémites enregistrés en Russie ces derniers mois, et en appelle aux autorités russes pour prendre avec fermeté les mesures qui s’imposent pour endiguer au plus vite cette dangereuse dérive.
Consistoire Israélite de Paris
17 rue Saint-Georges. 75009 Paris.
Tel: 01 40 82 26 26, Fax: 01 42 81 92 46
contact@consistoire.org
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 12 janvier 2006 - 00h33: |
Le Président
Sammy GHOZLAN
Membre du Bureau LICRA
0609677005 DRANCY LE 10 JANVIER 2006
COMMUNIQUE
Le Bureau National denonce et condamne avec force, la nouvelle agression violente antisémite commise le 9 Janvier 2006 à 18 heures, devant la station RER CRETEIL PREFECTURE ;
Lévy A. et Joel A., âgés de 11 ans qui portent une kippa sur la tête,sortent de la station RER pour attendre le bus qui devait les ramener à leur domicile de BONNEUIL,lorsque 4 ou 5 individus, dont 1 français de couleur d'origine africaine et 3 français d'origine arabomusulmane,s'approchent d'eux, les insultent, les traitent de : SALE JUIF, JUIF DE MERDE ; PUTE DE JUIF....etc. Puis le jeune homme de couleur frappe Yoel à la tête et le fait tomber à terre pendant que les autres s'en prennent à Lévy ;
La scène se passe devant des témoins impassibles.
Seul, Itamar,un jeune homme juif de 22 ans, auquel les victimes demandent protection, essaie de s'interposer, lorsqu'il est aussi pris à partie, mis à terre, violemment frappé au visage et à la poitrine,le souffle coupé,laissant craindre un traumatisme thoracique.
La police prévenue par l'un des témoins intervient,le SAMU conduit les victimes à l'hôpital alors que les agresseurs s'enfuient dans un autobus.
Nous saluons l'action efficace des policiers qui ont interpellé les 4 agresseurs antisémites, dans un temps très proche de l'infraction.
Les blessures des victimes juives ont occasionné des ITT allant de 6 à 12 jours pour traumatismes.
Les auteurs ont été reconnus par leurs victimes qui ont déposé plainte.
Nous demandons que des sanctions sévères, exemplaires et dissuasives ,soient prises à l'encontre des 4 délinquants antijuifs ,en dépit de leur minorité pénale. Nous considérons qu'aucune circonstance atténuante ne devra être prise en compte .
Sammy GHOZLAN
Par Suggest1 (Suggest1) le mercredi 11 janvier 2006 - 23h21: |
L’Iran va pendre une jeune fille de 18 ans agressée par des violeurs > 8.01.2006
Iran Focus, Téhéran, 8 janvier – Un tribunal iranien a condamné une jeune fille victime d’un viol à la peine de mort après qu’elle ait affirmé en larmes qu’elle n’avait pas eu l’intention de tuer un homme qui essayait de la violer elle et sa nièce.
Le journal gouvernemental Etemad rapportait samedi que Nazanine, âgée de 18 ans, avait reconnu avoir poignardé un des trois hommes qui avaient attaqué leur groupe, elle, une amie et les garçons qui les accompagnaient. Ils se promenaient dans un parc de l’ouest de Téhéran, en mars 2005.
Nazanine, qui avait 17 ans à l’époque, a expliqué que lorsque les trois hommes se sont mis à leur lancer des pierres, les deux garçons se sont rapidement enfuis sur leurs motos, laissant les deux jeunes filles sans défense.
Elle a décrit comment les trois hommes les ont jetées à terre, elle et sa nièce de 16 ans, Somayeh, et ont essayée de les violer. Elle a alors sorti un couteau de sa poche et a poignardé un homme à la main.
Alors qu’elles essayaient de s’enfuir, les hommes les ont à nouveau agressées. A ce moment, a dit Nazanine, elle a poignardé un homme à la poitrine. La jeune fille a alors fondu en larmes, plaidant devant la cour qu’elle n’avait pas eu l’intention de le tuer, mais qu’elle tentait tout simplement de se défendre, elle et sa jeune nièce, contre des violeurs.
Le tribunal l’a condamnée à la peine de mort.
http://www.iranfocus.com/french/modules/news/print.php?storyid=2446 >
suggest.1
Par Douda (Douda) le mercredi 11 janvier 2006 - 23h17: |
Douda,
Cher Emile,
C'est bien vrai que les sangsues faisaient partie de la pharmacopée de tous les barbiers de Tunisie, et pas seuleument dans le Bled,,, mais chez pratiquement tout ceux qui officiaient, même dans la capitale Tunis.
Enfants, on se régalaient d'assister à la pose des sangsues, histoire de rigoler du pauvre patient crédule,,, au fait il est remarquable de constater que le clavier de notre ami Tun, est anglo saxon car il n'y a pas d'accents dans ses textes, ce qui en dit long sur son lieu de non résidence,,,
,,, Et même pas l'accent Tune, bien de chez nous,,,
Bien à Toi,
Douda du PTB
Par Albert (Albert) le mercredi 11 janvier 2006 - 22h38: |
CHANSON JUDEO ARABE.
Paris le 11/1/2006.
AâdeEEEr..///
Elli mââ yandouch flouUUUUUch
Fél déniè hedi yeb’qa mah’koOOOOur.§§§§§§
Plaint…
Celui qui n’a pas d’argent..
Dans ce bas monde il est méprisé…
AâderRRRRR…///
El za’oua’li rassou dime ouaAAAAAti.
Plaint ..
L’indigent il a souvent la tête courbée.
Ebqi ââla elli mé yand’ouUUUUUch méEEEEEl.
Cha’rou bïad meghir amOOOOOOr…
Pleure sur celui qui n’a pas de fortune
Ses cheveux blanchissent avant l’age.
I Qou’lou élli él flouch i re’dou cha’ïeb arroussSSSSSSS...
Ouch’tes’lah el flouch qbe’lèt sahet leb’den...
Ner’da aïayech taht joue’neh debenà, machouq
Oulle fi kssar mne’di, mrid ou mah’bouch..
Ehnè elli qent za’oua’li fi zogh’re’ti ré’ouè snin…
Yadit che’be’bi fél jew meghir naqss…
On dit souvent que l’argent rajeunit le vieux.
Mais a quoi sert l’argent si la santé ne suit pas..
Je préfère vivre sous l’aile d’une mouche, amoureux
Que dans un château humide, malade et enferme.
Moi, qui était indigent dans mon enfance durant des années
J’ai passe ma jeunesse dans l’opulence sans manquer de rien.
Ah ye nari…Ah ye nari…
El lioum en ham’doullaAAAAAh…§§§§§§§§§§§§§§§§
Flou’chi mkh’o’biyèn taht mech’ne’di…
Kol youm nââd’fièm khir melli
Mghét’rin fél banca oulle mlou’hin
Fel qmar….
Noss’ro fom béch en ta’ou’el z…
Oh mes jours…
Aujourd’hui grâce à D ieu..
Mon fric est caché sous mon oreiller..
Chaque jour je le compte c’est beaucoup mieux
Que de le garder en banque.
Je le dépense pour faire grandir mon…z….
Albert du PTB.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 11 janvier 2006 - 22h48: |
Cher Tun, puisque vous n’êtes influencé par personne comme vous le dites, je vous suggère à titre amical de lire l’article posté par Claudia le mercredi 11 janvier 2006 - 18h04: sur Le conflit israélo-palestinien.
Cet article élabore en général le côté historique du conflit sans rentrer dans les détails, qui à mon avis sont aussi importants mais prolongeraient l’article.
Les pays arabes sans exception se sont alignés avec les formules et les slogans illogiques que la ligue Arabe avait adoptés comme: des mensonges répétés pour qu’ils donnent l’aspect de vérité, comme le disait Joseph Göbbels le ministre de propagande Nazi.
Vous dites à Braham qu’il doit aller chez des coiffeurs plus décents ? Ya sidi avec tout mes respects, toute la Tunisie usait des Sangsues pour guérir la tension, le mal de tête, la bronchite etc.
Ne niez pas les faits dont vous n’avez pas eu l’expérience ou la connaissance. Il n’est jamais tard d’apprendre des autres et pour cela les tunes juifs sont plus proches de vous. Je ne sais pas ou vous vivez, certainement pas en Tunisie. Pour l’amour de vos parents renseignez-vous chez des Tunisiens musulmans si vous le voulez, ils vous diront la même chose