Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 13 janvier 2006 - 16h38:

Un tres beau document de tolerance et d espoir ... un interview de Roger Bismuth a Jerusalem . Chabbat Chalom

http://www.guysen.com/videos.php?vid=199

Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 13 janvier 2006 - 15h56:

Il n'y a qu'à Yéroushalaïm que l'on peut voir un spectacle aussi parfait

Shabbat Chalom

Par Braham (Braham) le vendredi 13 janvier 2006 - 13h43:

Par Braham (Braham) le vendredi 13 janvier 2006 - 10h10:

Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 13 janvier 2006 - 08h46:

La menace mystique de Mahmoud Ahmadinejad
par Daniel Pipes- New York Sun - 10 janvier 2006

Version originale anglaise: The Mystical Menace of Mahmoud Ahmadinejad

Adaptation française: Alain Jean-Mairet



Grâce au président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, un nouveau terme est apparu dans le vocabulaire politique: mahdaviat.

Il s'agit, comme on pouvait s'y attendre, d'un terme technique religieux. Mahdaviat est un dérivé de mahdi, un terme arabe signifiant «le bien guidé» et désignant un personnage central de l'eschatologie islamique. Comme l'explique l'Encyclopedia of Islam, il est «le restaurateur de la religion et de la justice, celui qui régnera avant la fin des temps». Ce concept trouve son origine dans les premières années de l'Islam et, avec le temps, a été plus particulièrement associé à sa branche chiite. Alors qu'«elle n'atteignit jamais le rang d'élément essentiel dans la doctrine religieuse sunnite», poursuite l'encyclopédie, «la croyance en un mahdi de la famille du prophète devint un aspect central de la foi chiite radicale», où elle est également connue sous l'appellation de «retour du douzième imam».

Le mahdaviat désigne donc la foi en la venue du mahdi et les efforts pour préparer son retour.

Dans un reportage d'une grande qualité, Scott Peterson, de Christian Science Monitor, expose toute l'importance du mahdaviat dans les ambitions d'Ahmadinejad et explore les incidences de cette foi dans sa politique.

Par exemple, en 2004, alors qu'il était maire de Téhéran, Ahmadinejad semble avoir discrètement incité le Conseil municipal à construire une grande avenue en guise de préparation à la venue du mahdi. Une année plus tard, en tant que président, il alloua 17 millions de dollars à l'érection d'une mosquée en carrelage bleu, intimement associée au mahdaviat, à Jamkaran, au sud de la capitale. Il initia également la construction d'une ligne ferroviaire directe entre Téhéran et Jamkaran. Il aurait plongé une liste des membres de son cabinet dans un puits adjacent à la mosquée de Jamkaran pour bénéficier d'une supposée influence divine.

Il aborde fréquemment le sujet, et pas uniquement avec des Musulmans. À l'occasion de son discours aux Nations unies de septembre dernier, Ahmadinejad déconcerta les dirigeants mondiaux composant son auditoire en concluant son exposé par une prière pour la venue du mahdi: «Ô Seigneur tout-puissant, je te prie de hâter la venue du dernier dépositaire de tes secrets, le Promis, cet être humain parfait et pur qui remplira ce monde de justice et de paix.»

À son retour en Iran depuis New York, Ahmadinejad évoqua en ces termes l'effet de son discours:

Un membre de notre groupe me dit que lorsque je commençai à dire «Au nom de Dieu, le tout-puissant, le miséricordieux», il distingua une lueur autour de moi et j'étais dés lors placé à l'intérieur de cette aura. Je l'ai senti moi aussi. J'ai senti l'atmosphère changer tout à coup et, durant ces 27 à 28 minutes, les leaders mondiaux ne clignèrent plus des yeux. (…) Et ils étaient captivés. C'était comme si une main s'étaient emparés d'eux et maintenait leurs yeux ouverts pour recevoir le message de la République islamique.

Ce que Peterson appelle l'«obsession présidentielle» du mahdaviat inspire à Ahmadinejad «une certitude qui ne laisse que peu de place au compromis. Le comblement du fossé entre riches et pauvres en Iran, le défi lancé à l'Amérique et à Israël et la création d'un programme d'armement nucléaire – toutes ses initiatives s'inscrivent dans la préparation du retour du mahdi.»

«Le mahdaviat est un code désignant la révolution [islamique iranienne], c'est l'esprit même de la révolution», indique le directeur d'un institut dédié à l'étude et à l'accélération de la venue du mahdi. «Ce type de mentalité vous rend très fort», relève Amir Mohebian, le responsable de la rubrique politique du quotidien Resalat. «Si je crois que le mahdi va arriver d'ici deux, trois, quatre ans, pourquoi agirais-je avec ménagement? C'est le moment de se montrer fort, pur et dur.» PBS relate que certains Iraniens «s'inquiètent de ce que leur nouveau président n'a aucune crainte de l'effervescence internationale, qu'il peut simplement la considérer comme un signe de Dieu».

Le mahdaviat a des implications directes et préoccupantes pour la confrontation entre l'Amérique et l'Iran, comme le déclara Hamidreza Taraghi, un supporter d'Ahmadinejad et membre de la Coalition islamique, un groupe partisan d'une ligne dure. Cela suppose en effet de considérer Washington comme le rival de Téhéran, voire comme un faux mahdi. Pour Ahmadinejad, la première priorité consiste à défier l'Amérique, et plus spécifiquement à lui opposer un modèle puissant créé sur la base de la «démocratie islamique». Hamidreza Taragui prévoit de graves problèmes, à moins que les Américains ne changent fondamentalement leur approche.

Je préfère la formulation inverse. Les plus dangereux dirigeants de l'histoire moderne sont ceux qui (comme Hitler) disposaient d'une idéologie totalitaire et d'une foi mystique en leur propre mission. Ahmadinejad remplit ces deux critères, comme le révèlent ses commentaires sur son discours aux Nations unies. Cette combinaison, ajoutée à un projet d'arsenal nucléaire, en fait un adversaire qu'il faut absolument stopper. De toute urgence.



Iran's Messianic Menace
By Daniel Pipes
FrontPageMagazine.com | January 10, 2006

Thanks to Mahmoud Ahmadinejad, the president of Iran, a new word has entered the political vocabulary: mahdaviat.

Not surprisingly, it’s a technical religious term. Mahdaviat derives from mahdi, Arabic for “rightly-guided one,” a major figure in Islamic eschatology. He is, explains the Encyclopaedia of Islam, “the restorer of religion and justice who will rule before the end of the world.” The concept originated in the earliest years of Islam and, over time, became particularly identified with the Shi‘ite branch. Whereas “it never became an essential part of Sunni religious doctrine,” continues the encyclopedia, “Belief in the coming of the Mahdi of the Family of the Prophet became a central aspect of the faith in radical Shi‘ism,” where it is also known as the return of the Twelfth Imam.

Mahdaviat means “belief in and efforts to prepare for the Mahdi.”

In a fine piece of reporting, Scott Peterson of the Christian Science Monitor shows the centrality of mahdaviat in Ahmadinejad’s outlook and explores its implications for his policies.

When he was still mayor of Tehran in 2004, for example, Ahmadinejad appears to have secretly instructed the city council to build a grand avenue to prepare for the Mahdi. A year later, as president, he allocated US$17 million for a blue-tiled mosque closely associated with mahdaviat in Jamkaran, south of the capital. He has instigated the building of a direct Tehran-Jamkaran railroad line. He had a list of his proposed cabinet members dropped into a well adjacent to the Jamkaran mosque, it is said, to benefit from its purported divine connection.

He often raises the topic, and not just to Muslims. When addressing the United Nations in September, Ahmadinejad flummoxed his audience of world political leaders by concluding his address with a prayer for the Mahdi’s appearance: “O mighty Lord, I pray to you to hasten the emergence of your last repository, the Promised One, that perfect and pure human being, the one that will fill this world with justice and peace.”

On returning to Iran from New York, Ahmadinejad recalled the effect of his U.N. speech:

one of our group told me that when I started to say “In the name of God the almighty and merciful,” he saw a light around me, and I was placed inside this aura. I felt it myself. I felt the atmosphere suddenly change, and for those 27 or 28 minutes, the leaders of the world did not blink. … And they were rapt. It seemed as if a hand was holding them there and had opened their eyes to receive the message from the Islamic republic.

What Peterson calls the “presidential obsession” with mahdaviat leads Ahmadinejad to “a certitude that leaves little room for compromise. From redressing the gulf between rich and poor in Iran, to challenging the United States and Israel and enhancing Iran’s power with nuclear programs, every issue is designed to lay the foundation for the Mahdi’s return.”

“Mahdaviat is a code for [Iran’s Islamic] revolution, and is the spirit of the revolution,” says the head of an institute dedicated to studying and speeding the Mahdi’s appearance. “This kind of mentality makes you very strong,” observes the political editor of Resalat newspaper, Amir Mohebian. “If I think the Mahdi will come in two, three, or four years, why should I be soft? Now is the time to stand strong, to be hard.” Some Iranians, reports PBS, “worry that their new president has no fear of international turmoil, may think it's just a sign from God.”

Mahdaviat has direct and ominous implications for the U.S.-Iran confrontation, says an Ahmadinejad supporter, Hamidreza Taraghi of Iran’s hard-line Islamic Coalition Society. It implies seeing Washington as the rival to Tehran and even as a false Mahdi. For Ahmadinejad, the top priority is to challenge America, and specifically to create a powerful model state based on “Islamic democracy” by which to oppose it. Taraghi predicts trouble ahead unless Americans fundamentally change their ways.

I’d reverse that formulation. The most dangerous leaders in modern history are those (like Hitler) equipped with a totalitarian ideology and a mystical belief in their own mission. Mahmoud Ahmadinejad fulfills both these criteria, as revealed by his U.N. comments. That combined with his expected nuclear arsenal make him an adversary who must be stopped, and urgently



Iran leader: Islam to 'rule the world'
Urges Muslims to get readyfor coming of 'messiah'
Posted: January 10, 2006- 2006 WorldNetDaily.com

Islam must prepare to rule the world, Iranian President Mahmoud Ahmadinejad told a crowd of theological students in Iran's holy city of Qom, according to a report.

"We must believe in the fact that Islam is not confined to geographical borders, ethnic groups and nations. It's a universal ideology that leads the world to justice," Ahmadinejad said Jan. 5, according to Mehran Riazaty, a former Iran analyst for the Central Command of the Coalition Forces in Baghdad.

Ahmadinejad, who has drawn global attention recently for his contention the Holocaust was a "myth," said: "We don't shy away from declaring that Islam is ready to rule the world."

Riazaty, in a post on the website Regime Change Iran, said the Iranian president emphasized his current theme that the return of the Shiite messiah, the Mahdi, is not far away, and Muslims must prepare for it.



According to Shiites, the 12th imam disappeared as a child in the year 941. When he returns, they believe, he will reign on earth for seven years, before bringing about a final judgment and the end of the world.

Ahmadinejad is urging Iranians to prepare for the coming of the Mahdi by turning the country into a mighty and advanced Islamic society and by avoiding the corruption and excesses of the West.

"We must prepare ourselves to rule the world and the only way to do that is to put forth views on the basis of the Expectation of the Return," Ahmadinejad said. "If we work on the basis of the Expectation of the Return [of the Mahdi], all the affairs of our nation will be streamlined and the administration of the country will become easier."



Riazaty pointed out that Iran's speaker of parliament, Mehdi Kahrubi, said Saturday that some people working closely with Ahmadinejad believe the Mahdi probably will return in the next two years, which means Iran needs to start building more hotels.

Par Mena (Mena) le vendredi 13 janvier 2006 - 08h32:

Alliances, mésalliances et conclusions mal aisées (info # 011201/6) [analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency



Cette nuit, l’armée israélienne a arrêté 23 membres d’organisations terroristes en Cisjordanie. 18 d’entre eux font partie du Hamas. En fait, ces arrestations nocturnes sont devenues routinières et, à de rares exceptions près, les personnes recherchées se laissent arrêter sans opposer la moindre résistance. Il faut dire que les militaires de Tsahal sont parfaitement renseignés sur les domiciles, les cachettes, mais aussi les habitudes et l’armement dont disposent les individus qu’ils recherchent.



L’un des chefs du Hamas, que j’ai rencontré très récemment, m’a confié, un sourire tendu aux lèvres, que les listes de ses membres en possession des Israéliens étaient plus à jour que les siennes. A noter que les terroristes, une fois aux mains des services spécialisés dans les interrogatoires, transmettent aux enquêteurs des informations concernant leurs camarades. Les investigateurs n’ont pas même besoin d’avoir recours à la manière forte, car, avec les renseignements fournis lors des milliers de séances de questionnement précédentes, ils savent immédiatement, par recoupement, si leur nouveau prisonnier leur dit la vérité.



Devant la quantité et la qualité des informations présentées par les enquêteurs, les individus fraîchement arrêtés comprennent qu’il ne leur sert à rien de jouer les fortes têtes. On assiste donc à un effet boule de neige : plus il y a de membres des organisations terroristes appréhendés, plus il est facile pour les militaires hébreux d’en arrêter d’autres.



Et les Israéliens ne se gênent pas : des centaines d’actifs du Hamas, mais aussi du Djihad islamique, des Tanzim, du FPLP et des dissidents du Fatah tombent ainsi chaque semaine dans les mailles de leurs filets. Sans que personne n’en parle officiellement du côté de l’Autorité Palestinienne, ces arrestations arrangent bien les affaires de Mahmoud Abbas et de son cabinet. Non seulement sont-ils incapables de faire le travail des Israéliens mais encore, ces derniers ratissant de plus en plus large, c’est autant d’opposants qui disparaissent de la circulation. Certes, toutes les personnes interpellées font effectivement partie des organisations terroristes, et toutes ont trempé, à un degré ou un autre, dans la préparation d’un mauvais coup, mais Tsahal arrête maintenant aussi les petites mains du terrorisme.



Et ces petites mains non seulement participent aux actes armés, mais aussi constituent l’ossature des activités politiques du Hamas et des opposants intérieurs du Fatah, tendance Barghouti. A treize jours des élections générales, test difficile pour Abbas et son équipe, l’affaiblissement du système électoral de leurs adversaires est une bénédiction qui tombe à pic. Disons, sans prendre aucun risque, que les arrestations israéliennes ont réduit de plus de moitié les forces de propagande électorale du Hamas en Cisjordanie. Et puisque du même coup, à l’occasion de chaque interpellation, les militaires démantèlent un maillon de la chaîne terroriste – communications, commandement, convoyage et préparation d’armes et de munitions, entraînement et opérations –, ils font d’une pierre deux coups.



Car ce qui leur serait politiquement insupportable serait que, le 25 janvier, le Hamas recueille suffisamment de suffrages pour obliger l’Autorité Palestinienne à le faire participer au prochain gouvernement. Leur ministre de la Défense, Shaoul Mofaz, l’a encore rappelé mardi à l’envoyé de Bush dans la région, David Welch, "si le Hamas rejoignait le gouvernement palestinien après les élections, il ne resterait aucun espace pour toute espèce de dialogue" ; mais Mofaz d’ajouter une apostille apparemment sibylline à sa déclaration… "aussi longtemps que le Hamas resterait une organisation terroriste".



La nuance n’aura pas échappé à ceux qui suivent de près l’actualité régionale et qui savent très bien qu’elle ne doit rien au hasard. Certes, la charte du Hamas appelle à la destruction physique d’Israël et des Israéliens, mais j’ai lu et relu attentivement le programme électoral des extrémistes religieux, je n’y ai trouvé qu’un appel à la poursuite de la lutte contre l’ennemi sioniste et pas, curieusement, à son éradication.



Certes aussi, les soldats de l’Etat hébreu me semblent détenir la légitimité nécessaire pour appréhender les membres d’une organisation appelant statutairement au génocide de leurs concitoyens mais on notera avec intérêt que les dernières frappes de Tsahal ont épargné les intérêts du Hamas et que cette organisation n’a pas participé récemment aux tirs de Qassam sur le Néguev occidental et la région d’Ashkelon.



Ces étranges échanges de politesses ont un but bien précis : soutenir l’aile non terroriste du Hamas qui a tendance à émerger. Au Caire, à Amman, mais surtout à Washington et à Jérusalem, on a compris, quoiqu’à contre cœur, que la composante islamiste dans la population palestinienne n’allait pas, un beau jour, s’évaporer dans les airs. D’où la conclusion, activement soutenue par les Européens, de favoriser la métamorphose du Hamas d’organisation terroriste en composante uniquement politique de notre société. Conclusion de la conclusion : soutenir les leaders du Hamas prêts à envisager cette solution et montrer aux autres qu’il n’existe pas d’alternative armée à cette option.



Et le message fait son chemin en face également. De plus en plus de dirigeants islamistes ont compris qu’on ne pouvait pas à la fois briguer un rôle politique et poursuivre dans la voie terroriste. D’autres encore rappellent qu’il est permis de flouer les infidèles en toutes occasions et préconisent d’abandonner temporairement l’usage des bombes et des shahyds, soulignant qu’il sera toujours temps de reprendre la lutte lorsqu’ils participeront au gouvernement.



Signe d’une certaine ouverture, j’ai été invité à m’exprimer devant un parterre de responsables du Hamas la semaine dernière. Je leur ai bien entendu strictement tenu le même discours que celui que je présente régulièrement aux lecteurs de la Ména, ne leur dissimulant ni ma laïcité, ni mon opposition absolue au terrorisme et à l’islamisation de notre société. Il y a un an à peine, une rencontre de ce genre aurait été impensable. De plus, avec les propos que j’ai tenus, je me serais fait lyncher au bout de cinq minutes d’intervention, nonobstant le caractère sacré du sens de l’hospitalité chez les Arabes.



Mon impression ? Un tiers des leaders est disposé à déposer les armes et à les troquer contre un siège de député ou de ministre, un tiers se tâte, et le dernier tiers m’aurait volontiers aligné devant un mur pour haute trahison. Il faut préciser que je leur avais dit, préalablement, que les Juifs avaient également un lien légitime avec la Palestine, leur ai rappelé que la plupart des Palestiniens étaient arrivés dans le pays cinquante ans avant l’émigration massive des Israélites d’Europe de l’Est et que notre ascendance du côté du Royaume philistin procédait d’un mythe puéril et indéfendable.



L’intégration du Hamas dans la sphère politique n’est pas pour demain, mais le monde entier vient démontrer à ses leaders que semer la mort sans plan réalisable participe d’un suicide et du sacrifice de notre peuple.



La nouveauté ? Ils en discutent !

Par Soleil (Soleil) le vendredi 13 janvier 2006 - 05h09:

CONFERENCE DU GRAND RABBIN DE FRANCE JH
SITRUK - LUNDI 16 Janvier 2006 à 20H30:
L'association Mayane vous invite à ne pas manquer la
Conférence de M. le Grand Rabbin de France Joseph
Haïm Sitruk,
qu'il donnera avec l'aide de D'., le lundi 16 Janvier
2006 à 20h30
Thème : "Nature et Miracles"
en la Synagogue "Ekhal Abraham" - 15, rue ND de
Nazareth - Paris 3è.
Métro : Temple ou République.
Comptant sur votre présence et sur votre fidélité.
Entrée libre. Info 06 15 10 30 16.(Message à diffuser
très largement. Merci)
PS : Douze CD de cours du Grand Rabbin gravés.
Possibilité de se les procurer au cours de cette soirée.
N° 1 « Une alliance éternelle ». N° 2 « Israël : sa
spiritualité ». N° 3 « Faut-il faire son aliya ». N° 4
« Hommage au Rav Shakh : Un siècle de Torah ». N° 5
« Israël et ses voisins ». N° 6 « Le beau et le vrai ». N°
7 « La reconnaissance ». (1ère Conf. du Grand Rabbin
après son séjour à l'hôpital). N° 8 « Hespedim du mois
du Rav Rabibo ». N° 9 « Roch Hachana ». N°10 « La
prividence divine / Thora et Ski. ». N°11 « ISRAEL et
ISHMAEL : Comment résoudre le conflit. ». N°12
«Hanouka : le sens de la lumière».
------------------------------------------------------------------------

Par Edmond (Edmond) le vendredi 13 janvier 2006 - 07h09:

Cheikh Palazzi de/of Rome

Le Cheikh Palazzi, grand mufti de Rome et l'une des autorités musulmanes les plus respectées d'Europe, s'est rendu le 10 janvier à Hébron. Il a déclaré aux Juifs de la cité des Patriarches "n'abandonnez pas Hébron" et il a ajouté "Je suis sioniste".


Un document de Ugo Rankl



The Sheik Palazzi, the great mufti of Rome and one of Moslem authorities the most respected in Europe, went on January 10 to Hébron. He declared to the Jews of the town of the Patriarches "do not abandon Hébron" and he added “ I am Zionist ".





Ugo Rankl's document




http://www.guysen.com/annexe.php?title=palazzi





Le site de Hebron

http://www.hebron.com/ http://www.hebron.org.il/

Par Breitou (Breitou) le jeudi 12 janvier 2006 - 23h25:

CHANSON…

Paris le 12/11/2006.
Passe sur ADRA ET PTB.

UN MONDE DE REVE…

J’imagiIIIIIIIIIIIIne…///MMMMmmm…..§§§§§§
Un grand moOOOOOOOOOOnde…
En fOOOOOOorme deEEEEEEE grand cOOOOOOœur
Habités par des femmes aux jolis corps
Et des hommes parfaits sans rondeurs…
Pleins de charme, de vraies splendeurs.

J’imagiIIIIIIne…./// IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..ne..§§§§§§
Cette terre immEEEEEEense ou tout un chacun
Appréciera son voisiiiiiin ..///…S’en aimer soOOOOn prochain…
Cultiver son jaAAAAAArdin
Sans se soucier des lendemains..

Un grand paAAAAArc..///
GigantesSSSSSSque ..////..§§§§§§§
Où tous les enfants sur cette teEEEEErre
GrandiIIIIIIIssent loin des conflits…
Heureux et pépèEEEEEEEEEEres ….§§§§§§§§§§

Musique..§§§§§§§§§§§§§§….

Il y auraAAAA ..////…. des matins chaAAAAAntaAAAAAAAnts..§§§§
Des soirées dansAAAAAantes…..§§§§§§
Des sérieux Emile en nombre
Des farfelus Breitou en hécaAAAAAAAAAtombes
Des Tawfiq végétaAAAAAriens
Des Michka aux doigts d’ arRRRRRRtistes……
Autour de feux de joiIIIIIIIIe
Dans notre Patrie CœEEEEEEur………

………….§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§…

HélaAAAAAAAAs .//// HELASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS.§§§§§§§
J’ai les idées..///// Bien en l’aiIIIIIIIIr..§§§§§
A cheval sur mes étriers à l’enverRRRRRs….
Le regard bien accroché suUUUUr ma teEEEEEErre
Il suffit que j’observe sA triste réalité..EEEEE..§§§§§
Pour conclure que je rêEEEEEEEve d’ambléEEEE..§§§§

D’aAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAmbléEEEEEEEEEEEEEEEEEEE….Je rêve de ce moOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOnde…eeeee.§§§§§
Sans futur SANS mêEEEEme un avenIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIir
Alors pas la peine d’investiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIr dans mon songe…..§§§§§§
Toutes vos actions dans cette aventuUUUUUre
Souffrons de ce que nous SOMMES iciIIIII..§§§§§§§
Puisque ce que je vous propose n’est………….. Qu’utopie….

MES…A….M…IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…………IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS….////.

Breitou du PTB..

Par Albert (Albert) le jeudi 12 janvier 2006 - 21h36:

Par Maurice (Maurice) le jeudi 12 janvier 2006 - 18h10:

Dans le monde actuel je sais que l'Intelligentsia
Arabe en realité est tetanisé par l'Isla misme car comme au temps de la nazification de l'Allemagne les familles Musulmanes sont devisées dechirees par l'extremime que des membres de leur famille suivent ou un melange de religion et d'inadaption se concretise par de l'extremisme
car il y a un socle de richesse debordande par exemple en Egypte et de misere ,de plus l'Etat est incapable de trouver des solutions surtout que la demographie absorbe le peu de croissanceDonc c'est en leur sein que la contadiction est la plus forte et pendant longtemps les secousses vont deborder chez nous et tous les pays riverains