Par Email (Email) le dimanche 15 janvier 2006 - 04h51: |
LACHKAR
Cher Monsieur,
Merci pour ce que vous faites.
Pourriez-vous me dire l'origine de mon nom de famille ?
Bonne année 2006 à toute votre équipe.
Cordialement.
Dan Lachkar
Par Email (Email) le dimanche 15 janvier 2006 - 04h47: |
TUNES CELEBRES EN ISRAEL
Un autre nom tres important a ajouter : Professeur Alain Berrebi, directeur du service d'hematologie a l'hopital Kaplan
a Rehovot.
Linda
Par Meyer (Meyer) le dimanche 15 janvier 2006 - 01h11: |
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 14 janvier 2006 - 20h18: |
La deuxieme image me provient d'un ami qui viens de s'installer au Montenegro ou il a creer une immense ferme de culture de piments et une usine sur site pour la fabrication d'Harissa. la photo represente le sechage naturel des piments sous le soleil.
D'ailleurs la marque de son harissa en bouteille en boite et en tube est "HARISSA.COM"
Victor Cohen.
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 14 janvier 2006 - 20h15: |
LES DIFFERENTES VARIETES DE PIMENTS EXISTANT DANS LE MONDE.
Je vous presente les differentes variétés de piments existants dans le monde, toutes ces differentes variétés on des particularitées differente mais tous peuvent etre transformés en HARISSA.
Donc ne soyez pas surpris de trouver sur notre site HARISSA.COM une multitude et une grande variétés d'intervenants ayant chacun une particularité differente, mais tous ensemble servent a creer la particularité trés speciale du site "HARISSA.COM"
La deuxieme image me provient d'un ami qui viens de s'installer au Montenegro ou il a creer une immense ferme de culture de piments et une usine sur site pour la fabrication d'Harissa. la photo represente le sechage naturel des piments sous le soleil.
D'ailleurs la marque de son harissa en bouteille en boite et en tube est "HARISSA.COM"
Victor Cohen.
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 14 janvier 2006 - 19h50: |
LA GOULETTE EN CARTE POSTALE DATANT D'OCTOBRE 1904
C'est trés rare de trouver des CPA de la Goulette, et pour faire plaisir aux goulettois j'ai cherché dans mes albums et !Enfin j'en ai trouvé une qui en dit long sur la Goulette.
A vous de déchiffrer le message ecrit le 13 octobre 1904.
Victor Cohen.
Par Maurice (Maurice) le samedi 14 janvier 2006 - 09h01: |
Selection primo : Interview | Jérôme Rivière répond à Primo-Europe
Jean-Pierre Chemla
Jérôme Rivière répond à Primo-Europe
Primo-Europe : Jérôme Rivière, bonjour. Vous êtes député UMP des Alpes-Maritimes et l’auteur d’un article publié le 30 décembre 2005 dans Le Figaro, reproduit sur Primo-Europe, intitulé "Le multiculturalisme des imbéciles". Je l’ai lu attentivement : "colonisation à l’envers", "nation en état de coma culturel dépassé"…, vous n’y allez pas de main morte ! N’est-ce pas là une vision paranoïde ?
Jérôme Rivière : Non, ma vision est hélas lucide et proche de la réalité. Elle est, de plus, très largement partagée si j’en crois les échos et réactions depuis la publication de cet article. De très nombreuses personnes se sont retrouvées à travers ces quelques lignes. Face à la crise que nous traversons, le pire est de se taire, de laisser faire et de renoncer à penser. En être conscient, cela revient, aujourd’hui, à entrer en résistance ; on n’y est jamais très nombreux au départ.
PE : C’est un état des lieux vraiment inquiétant que vous dressez là. Pensez-vous qu'il existe, pour la France, un réel danger de basculement vers une société islamisée. Si oui, dans quel délai?
JR : Ce qui est important, lorsqu’on fait un état des lieux, c’est qu’il soit correct. Il n’y a pas de remède possible si on ne se donne pas les moyens d’un diagnostic juste. Le travail des politiques consiste, avant tout, à proposer des évolutions pour notre société. Pour la faire évoluer, il faut savoir où elle en est véritablement. Cela implique de retirer le bandeau qu’on nous met sur les yeux. C’est une des raisons pour lesquelles je regrette que dans un certain nombre de questions qu’on pose à nos concitoyens, on se prive, du fait d’attitudes déplorables pendant la seconde guerre mondiale, d’informations indispensables. Ce sont celles ayant trait au sentiment d’appartenance à une religion ou à une communauté. Et ce n’est pas négligeable. Il nous faut en effet disposer des outils qui nous permettraient de bien connaître notre population pour définir et orienter demain nos politiques. Ce n’est pas neutre : des générations passées d’immigrés ont cherché à s’intégrer par amour de la France. On n’avait pas besoin de parler de politique d’immigration. Est-ce vraiment le cas aujourd’hui ?
Mais je vois, en tant que parlementaire élu à Nice, un certain nombre de personnes venir exprimer quotidiennement leur inquiétude quant à la place de plus en plus importante de l’Islam dans la vie de tous les jours. Cette place, visiblement, les dérange et même, disons-le, les effraie. Ils me demandent ce qu’il faut faire pour que la société française qu’ils aiment retrouve le caractère laïc qu’elle connaissait précédemment
Par Maurice (Maurice) le samedi 14 janvier 2006 - 08h50: |
Le bloc-notes d'Ivan Rioufol
[13 janvier 2006]
Une glasnost extrait les Français du prêt-à-penser, comme elle a sorti jadis les Soviétiques de l'anesthésie. La parole libérée réhabilite, au passage, des infréquentables. Ariel Sharon, par exemple. Prendre la défense du premier ministre israélien brouillait des amis, tant le dressage antisioniste avait convaincu de la dangerosité du personnage. «Sharon égale Le Pen», disaient les manifestations. Mais le pilonnage résiste mal aux yeux qui s'ouvrent.
La brute décriée dissimulait, au moins depuis 2003, un homme de paix. Une mutation inconcevable pour ses plus farouches contempteurs : ils récusent encore ses bonnes intentions, malgré le démantèlement unilatéral des colonies israéliennes de Gaza, en août. Cependant, le bilan de l'homme d'Etat, retiré depuis son accident cérébral du 4 janvier, est à comparer à l'obstacle que fut Yasser Arafat dans le rapprochement des deux peuples.
Et pourtant : c'est le chef palestinien qui eut les faveurs du quai d'Orsay et des funérailles tricolores en novembre 2004. C'est ce symbole de la cause tiers-mondiste qui fut soutenu par la gauche et l'extrême gauche, unies dans un même tropisme pro-arabe comblant d'aise antisémites, négationnistes et excités des cités. C'est le leader au double discours qui fit passer les fanatiques bombes humaines pour d'honorables résistants.
Israël, malgré ses fautes, ne méritait pas tant de mépris. Présenté comme un Etat autiste par des «humanistes» insensibles au nihilisme des «Fous de Dieu», cet îlot occidental offre d'ailleurs, chaque jour, une leçon d'ouverture, en dévoilant l'état de santé de Sharon. En comparaison, la communication sur l'accident vasculaire de Jacques Chirac, en septembre, se rapproche de l'opacité sur l'hospitalisation d'Abdelaziz Bouteflika.
Ce qui se laisse voir est une démocratie refusant de se soumettre à un totalitarisme qui, attisant la compréhensible désespérance palestinienne, exige la disparition de l'Etat hébreu. Et la voie prémonitoire ouverte par Sharon invite à poursuivre malgré tout le pari d'une cohabitation avec un islam modéré, dans le cadre d'un Etat palestinien ayant recouvré ses territoires. Cet enjeu mérite mieux que les slogans anti-impérialistes repris par les héritiers de la défunte URSS.
Par Primo (Primo) le samedi 14 janvier 2006 - 02h02: |
Israël-Palestine : un éternel recommencement ?
V’là autre chose !
De nombreux commentaires fleurissent depuis quelques jours à l’approche d’élections législatives palestiniennes au cours desquelles le Hamas semble devoir se tailler une part si respectable qu’il croit, à juste titre, pouvoir constituer une minorité de blocage. Quoi qu’il en soit, c’est une organisation qui fait d’ores et déjà partie du futur paysage politique palestinien.
Pour le plus grand malheur des Israéliens mais aussi des Palestiniens.
Mais il est fort surprenant pour ne pas dire sidérant de voir acteurs et commentateurs de la vie proche-orientale devancer le cours de l’Histoire et faire un procès d’intention à l’envers en prêtant au Hamas des velléités autres qu’éradicatrices d’Israël.
Shaul Mofaz, ministre israélien de la Défense n’exclut le dialogue avec le Hamas que tant que celui-ci resterait une organisation terroriste (1).
Philippe Douste-Blazy, ministre français des Affaires Étrangères, s’inquiète de la percée électorale du Hamas mais garde l’espoir de le voir glisser progressivement vers une activité purement politique (2).
Sami El Soudi, journaliste palestinien de la Mena, connu pour sa détestation du système arafatien et du terrorisme palestinien, croit déceler des fissures dans la détermination du Hamas à "jeter les Juifs à la mer" (3).
Il est à craindre que le flou entretenu par cette organisation terroriste, soufflant depuis peu le tiède et le froid, ne parvienne à duper pas mal de monde comme avait réussi à le faire sa sœur aînée, l’OLP.
Les années 1970/1980 ont vu la consécration de l’OLP comme championne du terrorisme. On semble oublier que le futur prix Nobel de la Paix, Yasser Arafat, a été responsable au cours de cette période d’actions terroristes rivalisant entre elles dans l’ignominie, allant du massacre d’athlètes israéliens aux JO de Munich à l’assassinat de civils handicapés sur des bateaux de croisières.
Par une stratégie cousue de fil blanc mais tellement attendue par une communauté internationale dont le pacifisme se conjugue à la cécité, le Raïs palestinien parvint en un laps de temps relativement court à :
• Se refaire une virginité aux yeux des occidentaux et d’un grand nombre d’Israéliens.
• Contraindre Israël à accepter le terrain des négociations avec lui.
• Réintégrer des territoires qui lui étaient interdits.
• Y instiller une idéologie préalablement absente, le fameux "esprit de Tunis".
• Pourrir de l’intérieur la société palestinienne afin qu’elle haïsse "le Juif" pendant dix générations au moins.
Et voilà que la leçon ne semble pas comprise : l’OLP vieillissante passe le flambeau à un Hamas tout pimpant prêt à nous perdre dans des sables mouvants et des marais que les premiers sionistes avaient pourtant su assécher. Le cycle initié avant Oslo peut tranquillement redémarrer pour une joyeuse période au cours de laquelle les Palestiniens réclameront à cor et à cri la création d’un État sans, au fond, vraiment la souhaiter puisque "Dieu, que la guerre est jolie".
Que veut-on ? Perdre encore des décennies dans les méandres auxquelles les Palestiniens nous ont désormais habitués ? Avoir affaire, dans 20 ans, à un chef palestinien, issu du Hamas, condamnant hypocritement l’attentat de la veille, perpétré par un jeune "désespéré" du "Hamas Canal Historique", un attentat regrettable parce qu’il "desservirait la cause palestinienne"?
Entre le Hamas, le Hezbollah, le Djihad islamique, les Brigades des Martyrs El Aqsa, les Brigades Ezzedine El-Kassam etc., il y a largement de quoi alimenter un discours alternatif de "paix" et de guerre pendant de longues années, tout ce petit monde se répartissant le rôle de "gentil" ou de "méchant" au gré des impératifs stratégiques. Mais le but ultime serait toujours le même : Palestine judenreïn…
Non, merci !
Jean-Pierre Chemla © Primo-Europe 13 janvier 2006
(1) Source Arouts 7 http://www.a7fr.org/news.php?id=68395
(2) France Europe Express. France 3. Émission du 11 janvier 2006.
(3) "Alliances, mésalliances et conclusions mal aisées", article paru sur le site de la Mena le 12 janvier 2006 http://www.menapress.com/
Par A_Soued (A_Soued) le samedi 14 janvier 2006 - 01h27: |
POURQUOI IL EST URGENT DE RÉPONDRE AU DÉFI IRANIEN
Par Pierre Lellouche, député et conseiller de Paris, président de l'Assemblée parlementaire de l'Otan.
Paru dans le Figaro du 12 janvier 2006
A l'aube de la 6e année du nouveau millénaire, Adolf Hitler est ressuscité. Plus exactement, il s'est réincarné, après sa mort dans les ruines de Berlin, sous les traits d'un obscur terroriste iranien, petit et chétif comme lui, mais propulsé à la présidence de la République islamique d'Iran pour d'interminables répliques d'un séisme khomeynique qui n'en finit pas de tuer, vingt-six ans après. Le président Ahmadinejad a lu le Führer. Au demeurant, Les Protocoles des sages de Sion, le brulôt antisémite dont on connaît les ravages, n'ont-il pas été réédités à Téhéran dès 1985 par l'Organisation pour la propagande islamique afin de servir à l'édification des masses ? La filiation «intellectuelle», si l'on ose dire, saute aux yeux pour qui veut bien comparer le discours du leader iranien à la version originale de Mein Kampf.
Mais la différence entre Hitler et Ahmadinejad est que le premier a échoué, là où le second est en train de réussir : accéder à la bombe atomique. Selon les rapports de l'AIEA et de son directeur, le prix Nobel de la paix Mohammed El Baradei, l'Iran se rapproche aujourd'hui dangereusement du «seuil» nucléaire. Et l'acquisition de l'arme nucléaire, qui constitue depuis des décennies l'objectif du programme clandestin iranien, en complète violation de ses engagements internationaux, transformerait cet Etat, qui s'est depuis longtemps affranchi des règles du monde civilisé – que l'on songe à la prise d'otages à l'ambassade américaine de Téhéran en 1979 ou à l'épisode du «diplomate» iranien Wahid Gordji en 1986, qui n'était qu'une illustration de sa pratique ordinaire du terrorisme, y compris sur notre sol –, en une menace autrement plus sérieuse pour la paix et la sécurité internationales.
Ainsi parle aujourd'hui le dirigeant d'un grand pays musulman. Et que dit le reste du monde musulman, un milliard d'hommes, lesquels ne sont pour l'essentiel ni chiites, ni persans ? Réponse : rien. Aucun président, aucun ministre des Affaires étrangères, aucun média arabe, y compris dans les Etats modérés amis de l'Occident, ne s'est élevé pour dénoncer cet appel au génocide des Juifs. Mieux, il s'est même trouvé quelques thuriféraires de la foi islamique pour se féliciter de la force de conviction du président iranien. Deuxième question : si le monde arabo-musulman ne réagit pas, que fait l'Occident et surtout que fait l'Europe, qui a vu naître la folie hitlérienne et sa conclusion : la Shoah. Réponse : les démocraties occidentales «condamnent» et «s'indignent» de propos «scandaleux» et naturellement «inacceptables»... mais au-delà des mots, elles ne font rien.
L'inexistence de l'Europe sur un sujet aussi fondamental n'a d'égale que son échec, aujourd'hui patent, dans le bras de fer qui oppose l'Iran et la Communauté internationale sur ses ambitions nucléaires. Il est clair aujourd'hui que les négociations conduites par les trois Européens avec l'Iran ont fait long feu. Des solutions de compromis raisonnables avaient pourtant été proposées, en vain, aux Iraniens. Ceux-ci viennent d'annoncer, il y a deux jours, la reprise de leurs activités de recherche et d'enrichissement.
Au train où vont les choses, l'Iran d'Ahmadinejad aura la bombe d'ici un an ou deux, tout au plus. Les équilibres régionaux s'en trouveront bouleversés. Outre Israël, les pays arabes modérés, mais aussi la Turquie, qui est notre alliée au sein de l'Otan, risquent de se voir directement soumis à son chantage. Nous-mêmes pourrons a contrario nous féliciter d'avoir eu la sagesse de conserver une force de dissuasion en cours de modernisation. Mais compte tenu des liens étroits entretenus par l'Iran et en particulier par les pasdarans – que M. Ahmadinejad dirigeait encore récemment – avec plusieurs mouvements terroristes djihadistes, dont le Hezbollah, le pire serait à craindre – c'est-à-dire l'emploi de l'arme nucléaire au coeur de nos villes par une nébuleuse d'acteurs terroristes non étatiques –, alors que le territoire iranien serait «sanctuarisé».
On objectera que le président iranien n'est pas aujourd'hui détenteur de la totalité du pouvoir et qu'il demeure soumis en théorie à l'autorité du guide de la révolution Ali Khamenei, sorte de Hindenburg en turban. Mais pour combien de temps encore ? On assurera aussi que ses positions seraient affaiblies par ses propres outrances et plus encore par l'alliance réalisée de facto entre Américains et chiites en Irak. Cela est peut-être vrai. Mais la fuite en avant qu'il a déclenchée est une sorte de quitte-ou-double : soit nous laissons Ahmadinejad poursuivre sur sa lancée programmatique, et c'est l'assurance d'un nouveau conflit majeur au Proche-Orient, dans lequel nous risquerions d'être impliqués ; soit il en est empêché, ce qu'il faut évidemment souhaiter. L'idéal serait qu'il le soit de l'intérieur, à la faveur d'un changement de régime en Iran. On peut malheureusement douter que les circonstances s'y prêtent.
A défaut, il conviendrait, avant que la situation échappe à tout contrôle, que le Conseil de sécurité soit saisi de cette affaire, en espérant qu'il ne fasse pas une nouvelle fois la preuve de son incapacité à agir. Car il ne faut pas se voiler la face : l'un des dommages collatéraux du débat sur les armes de destruction massive en Irak – alors que l'intervention de la coalition aurait très bien pu être justifiée, à mon sens, par la seule nécessité d'écarter un dictateur particulièrement sanguinaire – aura été d'affaiblir durablement toute capacité de mobilisation des opinions publiques occidentales sur les questions de prolifération, qui sont aujourd'hui pourtant le danger le plus pressant. Ahmadinejad le sait : aussi pousse-t-il ses feux. A nous de savoir relever ce défi, sans faiblesse. Plus nous attendrons, plus le coût sera élevé.
Cette tribune est cosignée par les députés UMP Alfred Almont, Richard Dell'Agnola, Bernard Depierre, Claude Goasguen, Arlette Grosskost, Jean-Yves Hugon, Jean-Marc Lefranc, Pierre Lellouche, Lionnel Luca, Richard Mallié, Pierre Micaux, Marc Reymann, Jean-Marc Roubaud et Philippe Vitel.
Par Braham (Braham) le vendredi 13 janvier 2006 - 17h07: |