Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 18 janvier 2006 - 07h31: |
6 IEME FESTIVAL DU CINEMA ISRAELIEN
=================================================
Voici donc la nouvelle représentation du cinéma israélien placé sous la présidence de Ronit Elkabetz (1) ; composé comme chaque année de longs et courts métrages, d’hommages et de rétrospectives. La première est consacrée au réalisateur des années 60- 70 Ephraïm Kishon qui signa des films « Bourékas » (2) comme ceux présentés ci après réalisés respectivement en 1964 et 1970 et présentés dans cette grande salle qu’est le « Cinéma des Cinéastes » ( 3 )
Ephraïm Kishon est moins connu comme écrivain en France malgré ces 50 romans et pièces de théâtre dont le désopilant et très humour anglais « Il est interdit de jouer de la trompette à Jéricho après 22 heures » . Celui qui avoua que « Le nazisme avait fait une erreur en laissant vivre un humoriste » après avoir perdu toute sa famille dans les camps de la mort , mourut à 85 ans après une douzaine de longs métrages de 1963 à 1996 .Les trois proposés cette année sont
« Sallah Sabati » (Id 1964) avec le génial Haïm Topol (4 ) conte l’arrivée d’une famille Sépharade en Israël en 1949. l’auteur dans ce film léger se moque des travers de la société israélienne, de ses politiciens intéressés et de sa bureaucratie délirante ; Il reste un des plus grands succès d’alors ( près d’1 million de spectateurs dans un pays qui en comptait moins du double)
« Ashoter Azulai » (Hashoter azoulai –The policeman 1970 ) est une sorte de « Pinot simple flic » qui expose avec tendresse et bonhomie la vie d’un policier candide maladroit et introverti joué par l’acteur scénariste- réalisateur Shaike Ophir ( 5 ) qui rêve de reconnaissance sociale et amoureuse.
« Téla’at blaumilch » (The big dig 1971) est un film délirant qui voit un fou creuser un canal à Tel Aviv au détriment de l’administration ( 6)
Un autre hommage sera consacré à Joseph Pitchadze avec « Under western eyes » qui raconte la venue d’un homme de Berlin en Israël pour assister à l’enterrement de son père., un espion russe, « Bésame mucho » (2000) rocambolesque histoire de gens du crime qui volent une œuvre d’art appartenant à un parrain . « Year zéro » au sujet plus ambitieux voit : un couple décide de ne pas avoir d’enfant, une mère célibataire et son fils de 10 ans tentent de vivre après le renvoi de leur appartement , un ingénieur du son rend hommage à son père musicien. L’œuvre se veut un kaléidoscope de l’être ordinaire en proie à ses problèmes quotidiens et à ses contradictions difficilement acceptables. D’autres films sont présentés comme Uspizin un des meilleurs films de la semaine de Gidi Dar sur un scénario de Shuli Rand ( 7 ) qui tient avec sa femme le rôle d’un religieux nécessiteux Moshé . La veille de Souccot une somme d’argent leur est secrètement remise et deux prisonniers évadés anciennes relations de Moshé viennent envahir leur demeure. Un des thèmes sous jacent de cette manifestation reste la famille avec 3 films : Joy, Loin des regards et les tragédies de Nina
Joy de Juli Shlez (8 ) parle de famille dissolue au travers la tentatives d’une jeune fille désireuse de réunir ses derniers et leurs amis en vue d’une émission de télévision pour laquelle elle a été sélectionnée . Un film plein de grâce, de compassion et de compréhension qui en font une œuvre rafraîchissante.
« Out of Sight » (Loin des regards ) parle de famille fragile et fragilisée lors du retour de Ya’ara aveugle de naissance venue après le suicide de sa meilleure amie et cousine Rachel. Daniel Sirkin signe une œuvre intimiste, virulente et tendre.
« les tragédies de Nina » de Savi Gabison raconte l’histoire de Nadav un garçon de 14 ans dans sa famille décomposée et immorale (une mère débauchée)et c’est près de Nina sa tante jolie et sexy qu’il est le mieux du moins jusqu’à l’arrivée d’un amoureux de Nina.
Côté documentaire - et c’est là l’aspect le plus contestataire , le moins consensuel et le plus critique- nous avons eu comme chaque année une bonne cuvée – nous avons visionné les films suivants
« The balcony » ( Le balcon ) de Ruth Walk ( 9 ) est du approche de Israël Becker , un acteur réalisateur , scénariste né en 1917 qui a vu sa famille disparaître dans les camps . IL sera d’ailleurs l’auteur et l’acteur d’un des premiers films qui traitait de l ‘holocauste « Longue est la nuit » en 1948 et d’une comédie de la série « Kuni Leml » . IL s’occupera du théâtre Habima et de peinture ces dernières années . Dans sa ville natale son nom sera donné à une rue en souvenir de son passé .
« The garden that floated way” ( Le jardin à la dérive) de Ruth Walk retrace le parcours d’Ida Fink un écrivain polonais agée de 83 ans d’origine vivant en Israël qui a raconté dans ses romans l’horreur de la déportation
« Kibboutz » ( Kibboutz) de Rachel Schwartz souligne la fin d’un kibboutz, la fin d’un idéal économique et idéologique
« The golden cage » ( La cage dorée) de Chana Calderon raconte la vie de 4000 circassiens exilés d’Europe de l’Est et leur combat pour faire perdurer leurs traditions
« Strike » ( La grève) de Asaf Sudri et Amir Tausinger montre les tentatives pour exister socialement et humainement d’un groupe désireux de fonder un syndicat face à un patron dominateur.
Falafel montre la destinée comique d ‘un homme joueur d’échec quelconque qui s’alimente que de ce sandwich traditionnel pour survivre et qui va devenir le champion du monde de Backgammon
« Le nageur de la paix » conte le périple d’un sportif pacifiste qui décide de descendre les rivières tumultueuses dont le Jourdain ; exploit qui réveillera sa mémoire.
« Say amen » (Dis amen) est un émouvant témoignage de l’auteur qui avoue son homosexualité à sa famille empli de préjugés
« Chasseurs d’histoires » est un kaléidoscope de portraits d’histoires et d’êtres humains devant un tribunal de Tel Aviv
( Se sentir chez soi) de sari et Uziel Sari parle des souffrances de l’émigration au travers les changements d’habitat d’une famille française qui vivant en Israël depuis 18 ans décide de se déplacer à nouveau.
« Askénazim » (Les askénazes ) qui voit des jeunes israéliens partir à la recherche de leurs origines et cherchent le moyen de concrétiser cette appartenance.
En somme une sixième année tout aussi dynamique et un des rares festivals en France qui rend hommage au travail cinématographique d’un pays au travers longs moyens et courts métrages, et par le travail de ses écoles de cinéma .Cette manifestation qui attire de plus en plus de monde (7OOO spectateurs en 2005 ) a beaucoup oeuvré pour promouvoir la culture israélienne et faciliter sa diffusion sous différents médias , à voir les films passés sur les écrans et sortis en DVD ( 10 ) et enfin passés sur les chaînes de télévision avares de programmation de films israéliens hormis Arte . Le festival rappellera d’ailleurs la collaboration franco-israélienne de plus en plus fréquente commencée il y plus de 40 ans avec notamment le film de Alex Joffé réalisé en 1965 « Pas question le samedi » ( 11 ) .Ce film nous permet outre de revoir la performance d’acteur de Robert Hirsch , des photos de la capitale israélienne et l’apparition de quelques acteurs israéliens comme Shmuel Rodensky un des premiers acteurs en 1935 Bomba Tzur
NOTES……………….….NOTES………………NOTES………..…
(1) actrice et réalisatrice de « Prendre femme » sortie en DVD ( avec Making of et interview) et qui peint au travers le désarroi d’une femme mal mariée ( Simon Abkarian est l’époux) qui retrouve un ancien amour (Gilbert Melki) , une société patriarcale et une femme oppressée, tétanisée et hystérique.
(2) du nom d’une pâtisserie orientale , synonyme de films légers , sirupeux et populaires , jouant sur l’humour potache et la franche rigolade.
(3) Boulevard Clichy 75017 Paris Métro : Place de Clichy
(4) l’interprète mondialement connu du « Violon sur le toit » qui tournera encore avec Ephraïm Kishon et fut l’une des premières stars israéliennes
(5 ) Vu chez E.Kishon , Ménahem Golan surtout et en tant qu’acteur et scénariste chez Uri Zohar et Zéev Révah
(6 ) Que son auteur qualifiait de Titanic israélien
(7) Acteur de Théâtre qui revient au cinéma après 7 ans d’absence et qui fut inoubliable dans un film religieux de 1990 « Hameyu’ad » - Le prédestiné de Daniel Waschman
(8) dont on avait apprécié le regard amusé de la vie israélienne dans Afula Express film de 1998
( 9 ) Documentariste née en 1965 à Jérusalem à qui on doit plus de 10 documentaires dont le fameux « Les colons »
(10) Le voyage de James à Jérusalem , Or , Prendre Femme, la fiancée syrienne, Et le superbe « Tu marcheras sur l’eau » de Eytan Fox
(11 ) « Description d’un combat » de Chris Maker 1960 « Donnez moi 10 hommes désespérés » de Pierre Zimmer avec Gila Almagor en 1962 « L’ heure de vérité » de Henri Calef en 1965
ROGER CHEMOUNI
Critique de cinéma
http://www.isratim.co.il/
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 17 janvier 2006 - 21h34: |
Le problème avec l'éditorialiste de la Libre elgique,c'est qu'il est parfaitement au courant de la situation.
Il sait ce qui se passe. Il sait qui est, et ce que veut Sharon
Mais c'est comme le scorpion qui, sachant que cela le tuera, pique le buffle lui faisant traverser un fleuve en crue.
C'est plus fort que lui.
Sa haine et se bêtise l'aveuglent.
Ce n'est pas pour rien que je raffolle des histoires belges. ;)
Par Albert (Albert) le mardi 17 janvier 2006 - 20h57: |
Paris le 14/01/2006.
Mon grain de fantaisie.
J’étais un écolier bien distrait à 10 ans.
Je délaissais calculs et dictées pendant mes cours pour m’appliquer par contre à griffonner sur une feuille de dessin, maculée de taches d’huile de marque Canson posée sur mon pupitre
en bois à la surface balafrée, un décor de campagne ; une montagne, le Bou-Korkine, un petit garçon debout sous des arbres légèrement touffus et enfin au loin une rivière qui coulait.
Je l’imaginais gazouiller en harmonie avec une volée d’oiseaux.
Parfois alors, assis, jouant du pipo sur un rocher ; les vagues de ma plage venant lécher mes pensées au son de ma douce musique.
Ou alors dominant mon paysage sur la colline de Carthage, je regardais au loin, cette lettre M bien bleue se détacher sur l’horizon. Son sommet.
Aucun bruit étranger ne venait perturber ce havre de paix naturel.
Tout était bleu.
Tout était clair dans mes jeunes pensées.
Tout était…Tout était…Tout était …Parfait.
Le soleil brillait du moins je le croyais lorsque…
Soudain…( Fej’ya), la voix sans appel de mon maître vient fouetter l’air de ma campagne.
Je sursautais.
‘…Monsieur Albert… ! Vous baillez aux corneilles… !’
Une voix qui m’arrachait brutalement de mon beau paysage pour venir réveiller mon apathie avachie sur mon accoudoir.
Je levais la tête pour la toiser, cette voix sordide, caverneuse sortie des décombres.
Bien navré et craintif.
Je pensais lui répondre sur le champ…
‘…Je suis dans ma campagne.. !…Monsieur… !’
Prévoyant une riposte maladroite de sa part, j’optais pour un mutisme honorable de circonstance qu’à une confrontation hasardeuse et mesquine dont j’entrevoyais l’issue fort désastreuse.
Je me renfrognais.
Bien heureux qu’il ne m’interrogea point sur une quelconque question délictueuse, je restais immobile, réfléchissant au mot Corneille.
J’admis cependant effectivement bailler mais de là aux corneilles…. ! Quand même… !
Crottes rassis de souris… !’
‘Ces corneilles’ me chiffonnaient.
Ces mots savants, pour mon age sonnèrent comme une cloche dans ma petite cervelle creuse et ignorante.
Je compris plus tard, vers mes 17 ans, de quoi il voulait parler puisque je découvris le CID.
Ce flottement passe, je levais la tête, l’air navré et la gorge sèche.
Il rajouta une autre moitié d’estocade avec..
‘….Vous n’aviez rien à dire… ??’
Je sentais mes larmes d’intelligence couler sur mes joues roses.
Elles se transformèrent en grêlons de glace figés, genre boutons de variole, sur ma pelure de chaire, lorsqu’il continua l’autre moitié de son estocade.
‘….Je ne vois pas quel avenir vous auriez plus tard… !’
Le voilà transformé, mon instituteur de français, en mage, en si peu de temps.
Mon avenir dépendait des corneilles. Cela, fichtre, je l’ignorais…!
Un grain de sueur perla sur mon front plissé.
J’attendais dans ce labyrinthe de mes pensées nouées, une étincelle qui aurait pris la forme d’une issue de secours.
Mais en vain, j’admis, que si les corneilles baillaient- pourquoi mettre en doute le savoir de mon instructeur, il a dû passer par là autrefois pour connaître ce bâillement aux Corneilles-
C’est qu’elles devaient s’ennuyer fermes et que peut être je leur ressem……BlâtE.
A cet instant fatidique.
Soudain, le miracle se produisit.
J’y crois depuis mon plus jeune âge aux miracles.
La providence s’en mêla en prenant la forme d’une sonnerie de récréation.
Me délivrant d’une situation critique dont l’issue m’échappait.
Il me toisa de son œil dur pensant sans doute que j’avais de la chance. Et que lui n’en avait pas.
Je laissais tomber à regret mon dessin, ma campagne et ma rivière qui s’en retourna à sa source.
FIN.
Voilà pour ceux qui me découvrent mon cursus d’enfant assidu.
-Elevé dés mon jeune age par trois femmes ; ma tante, ma grand-mère et maman.
D’où ma prédilection à apprécier les femmes. En tout point, même si elles sont laides et grosses. J’ai par contre une préférence pour les tailles mannequins, légèrement enrobées.
-J’ai parle à 4 ans.
-Mon youpa-la n’était qu’une caisse en bois.
Cursus scolaire.
- 7 ans…….Ecole primaire………………….Idiot.
- 8 ans…….Cours élémentaire………………Imbécile.
- 9 ans…….Cours élémentaire……………….Fada.
- 10 ans…..1er classe en cours moyen….……Couillon..
- 11 ans…..2 er classe cours moyen 2……….Amnésique.
- 12 ans…..Sixième………………………… .Cancre.
- 13 ans…..5 ième……………………………Coince.
- 14 ans…..4 ième……………………………Demeuré.
- 15 ans….3 ième……………………………Rêveur.
- 16 ans….Seconde………………………….Honnête.
- 17 ans….Redoublement……………………Chômage technique.
Cursus sportif..
-Omnisports.
-Carrière de volleyeur.
-Internationale de volley. Equipe Nationale. 5 ans.
-Ceinture noire de karatè.10 ans d’activité.
Cursus professionnel.
-A 18 ans premier boulot. Usine de carrelages Boublil Neveux et fils. Dubosville. 3 mois.
-Plus tard, au journal la Presse de Tunisie. Aide Comptable. De 1963 jusqu’au 31/12/1970.
-De 1970 jusqu’au 31/08/1990 patron marbrier à Tunis. La reprise de l’entreprise après la mort de mon papa David z’al.
-A Paris depuis, je suis chef associé d’entreprise avec mon frère d’une unité de cosmétiques, alliant la magie et accessoires de sexe en plastic tout coloris et tout gabarit.
Lobbies..
Ecrire.
Aujourd’hui …Directeur du PTB, Harrissien professeur dans la tménicologie et la baloutologie…Ecrivain scribouillard sans trop grande renommée.
Milliardaire à découvert.
60 ans marié père de 3 filles et grand-père d’une charmante SHARON.
Un cursus que je pense honorable.
Je m’adresse aux jeunes qui pensent réussire avec beaucoup de diplômes en poche.
Je suis l’exemple même d’un sans –diplôme, et les exemples ne manquent pas- mon père était un illettré qui lisait souvent le journal à l’envers mais qui comprenait tout.
J’ai toujours cru en mon avenir sans jamais désespérer. L’important est d’avoir la foi dans ce qu’on entreprend et de ne jamais baisser les bras.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas en avoir mais il ne faut pas en faire une maladie.
On dit chez nous que la chance est dans les talons des hommes.
MEJEL OUAQEF….OUEL RAJEL AMROU ME I TAH QAR.
A bon entendeur salut.
R.M.
Albert du PTB.
Par Meyer (Meyer) le mardi 17 janvier 2006 - 20h12: |
Par Mamili (Mamili) le mardi 17 janvier 2006 - 19h32: |
BRAVO Annie !
Cette réponse à la "LIBRE" belgique est magistrale.
Voilà le raisonnement d'un journal catholique sous l'emprise de la propagande anti -israelienne et bien sur anti juive.
Par Anonyme (Anonyme) le mardi 17 janvier 2006 - 19h36: |
Par Emma (Emma) le mardi 17 janvier 2006 - 18h39: |
Goldenberg dépose le bilan et espère se refaire
Le restaurant Goldenberg, institution de la rue des Rosiers (4e), va déposer son bilan aujourd’hui. La nouvelle était pressentie depuis sa fermeture le 10 novembre pour raisons sanitaires. Gilbert Werndorfer, qui a repris les rênes de cette maison en juin, l’a confirmée hier. L’historique Jo Goldenberg, âgé de 80 ans, ne dirige plus le restaurant qu’il avait fondé dans les années 1950. Les cuisines n’ont jamais été rénovées, les pertes se sont accumulées et le climat social s’est dégradé, selon des salariés. Et « le quartier juif a perdu de sa superbe à cause des aménagements de la Mairie de Paris », estime le nouveau gérant.
Beaucoup de salariés ont fait leur carrière dans le restaurant. Certains ont mêmes été témoins ou victimes de l’attentat de 1982, qui avait fait six morts et vingt-deux blessés.
Gilbert Werndorfer vient de licencier dix salariés sur dix-huit. Il espère raviver la légende Goldenberg, via un étalement de la dette (500 000 e) et une levée de fonds. Et programme la réouverture du restaurant-traiteur pour la fin février. Au menu, toujours les carpes farcies et autres spécialités juives d’Europe centrale, mais cachères cette fois. « Avec des animations musicales, des signatures d’auteurs, on veut montrer que l’esprit de Goldenberg demeure mais qu’on a su s’adapter aux normes », assure-t-il.
Sophie Caillat
Par Girelle (Girelle) le mardi 17 janvier 2006 - 17h34: |
D'accord avec vous, Albert.
On peut se demander si la suppression du service militaire ne finira pas par couter plus cher à la nation.
Par Girelle (Girelle) le mardi 17 janvier 2006 - 17h30: |
[www.lalibre.be]
Voici le message que j'ai adressé à "La Libre Belgique" à la suite de l'éditorial particulièrement stupide paru ce jour (lien ci dessus, si le texte avait disparu, je le tiens à la disposition de qui est interessé)
Votre éditorial de ce jour sur Ariel Sharon est beaucoup plus lourd que Sharon.
Allons, La Libre Belgique, essayez de donner une autre image de "l'humour belge", surtout maintenant que le monde entier peut consultervos éditoriaux sur internet.
Sharon s'est battu jusqu'au bout, et de toutes ses forces pour éliminer le terrorisme qui menace son pays. C'est peut être une vertu qui échappe à de nombreux belges adeptes historiquement de la non participation au combat.
(et là vous noterez que je choisis mes termes pour être délicate)
Son action est aujourd'hui mondialement reconnue, y compris par les palestiniens, qui eux aussi souffrent du terrorisme autant que de la malhonnêteté de leur défunt dirigeant qui les a maintenus dans un état de pauvreté, tout en s'enrichissant considérablement.
Les catholiques auront noté que jamais une synagogue n'a été batie sur une église,
et que le viol des bonnes soeurs n'est jamais le fait des israeliens.
L'évacuation de la bande de Gaza a été une demonstration évidente de la volonté de paix de Sharon et de son peuple. Le monde entier en a été le témoin et même les adversaires les plus virulents ont manifesté leur admiration.
Sharon lutte contre la mort aujourd'hui, votre éditorial est de mauvais gout.
Ce message est bien sûr signé de mon nom et de mes coordonées
Par Meyer (Meyer) le mardi 17 janvier 2006 - 16h30: |
Un document intéressant sur la situation démographique du peuple juif dans le monde durant l'année 2005, avec évolution et projection depuis 1970 jusqu'à 2020.
Publié par THE JEWISH PEOPLE POLICY PLANNING INSTITUTE.
A consulter ou à télécharger (PDF) en anglais sur
http://www.jpppi.org.il/JPPPI/main_projects/project.asp?fid=390&ord=1
Annual Assessment of the Situation and Dynamics of the Jewish People
Annual Assessment No.2: Prof. Sergio DellaPergola, Prof. Yehezkel Dror, Dr. Shalom (Salomon) Wald. Project coordinator: Michael Weil
This project is designed to outline and evaluate the state and dynamics of the world Jewry from multiple perspectives and to assess anticipated changes in the future. Its objective is to prepare a comprehensive and multi-dimensional annual overview that is revised to reflect trends and changes in the situation and dynamics affecting the Jewish people. The second “Annual Estimate” is scheduled for publication in the summer of 2005. This comprehensive qualitative and quantitative review will present indicators and indices illustrating key topics, issues and trends under analysis. These include, inter alia, demography, cohesion of the Jewish people, Jewish education, Jewish culture, the State of Israel, geo-political and socio-economic trends, the media and public opinion and anti-Semitism. Analysis will be conducted through the prism of three primary spheres: the Jewish community throughout the world, Israel and global developments.
NEW!!! Annual Assessment 2005 Executive Report: Facing a Rapidly Changing World
Date:July 2005JUST RELEASED: "The 2005 Annual Assessment Executive Report: Facing a Rapidly Changing World" provides an updated view of the challenges, threats, and opportunities confronting the Jewish People. JPPPI proposes a strategic agenda for Jewish organizations and the Government of Israel for the coming year.
Par Albert (Albert) le mardi 17 janvier 2006 - 14h38: |
Mon premier salaire était en 1960 de 45 Dinars.
J’avais 18 ans et sur cette paye maman prélevait sa dîme soit 25 dinars.
Ce qui fait, que j’avais en poche mensuellement 20 Dinars, juste à peine de payer
deux entrées en boite de nuit fort célèbre à cette époque ‘..L’Olivier Rouge’
Et de payer aussi, si la situation m’était favorable quelques glaces à mes copines.
Je me contentais donc de ce pécule sans pour autant élever la voix et ‘casser’ les meubles.
Axelle, ces jeunes de la cité, les ‘hitistes’ comme on les appelle en Algérie ne ce contenterons pas d’un salaire mensuel qui couvre à peine leurs déboires ; ils s’imaginent gagner le salaire d’un PDG alors qu’ils n’ont rien dans la tête et dans les mains sauf que d’imiter les ‘grands frères’ pour la plupart repris de justice et qui fricotent avec le vice.
La solution se trouve entre les mains des parents bien indolents à plusieurs égards.
Les pouvoirs publics ne peuvent pas tout, malgré les grands efforts qu’ils déploient pour leur assurer un certain avenir.
Nombre de familles maghrébines semblent même être complices des faits et gestes de leurs progénitures car à partir du moment où le rejeton leur ‘sert’ du fric qu’ils savent douteux, ils ne cherchent pas à en connaître la provenance.
Quant à ceux qu’on appelle les ‘ GRANDS FRERES’, souvent de même origine et parlant leur dialecte de voyou, censés éduqués ces cadets promus à la débauche, dans les quartiers dits sensibles, bien souvent des ‘anciens repris de justice’ qui roulent en BMW, reconvertis en éducateur, et bien force est de constater, que, durant les derniers évènements de Clichy et ailleurs, ils ont montré leur limite et incapacités à juguler ces morveux.
Les maires des villes concernés se posent même la question aujourd’hui de savoir si l’utilisation stérile de ces ‘moralistes’ sur le terrain n’a pas mit fin à leur carrière.
La solution la plus radicale est de couper de leurs liens familiaux et surtout de leur environnement ces jeunes ‘dissidents’ sortis du lycée pour diverses raisons.
Ils doivent être déplacés ailleurs, disséminés en provinces, dans des centres d’apprentissage ou foyers d’accueil afin qu’ils apprennent un métier convenable, tout en insistant en parallèle sur l’apprentissage du civisme.
Breitou du PTB.