Par Suggest1 (Suggest1) le jeudi 19 janvier 2006 - 12h05: |
STATISTIQUES
http://suggest1.free.fr/THEJEW~1.pdf
suggest.1
Par Breitou (Breitou) le mercredi 18 janvier 2006 - 23h16: |
Paris le 18/01/2006.
Passe au PTB et sur ADRA.
Chanson…LE REVE…
Le rêve, mon voyage gratuit me poursuit depuis toujours.
Je me voiIIIIIs …
Enfant…
Chevalier chevauchant, sans armure, une très belle jument de fer
Une moto…. !
Slalomer entre les passants, sur les caniveaux et d’entres les voitures…
Prendre des virages qui ne sont pas mirages et sentir l’air frais
Fouetter mon jeune visage vierge et imberbe…..
C’était mon kif virtuel….
De rouler sur ma monture
En compagnie d’une jeune lolita qui serrait le nœud de mon gros ceinturon….. !
Je rêvais aussi de voler au dessus des villes, des campagnes et des clochers…
Comme ces personnAAAAAAAages de la BEDEEEEEEE….§§§§§§§§§§§§§§
Et les passants qui me regardaiIIIIent, ébahiIIIIIIII’iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis…...
Je voulais …///…Ressembler à tous ces oiseaux, des moineeeeeeeaux
A un TarzaAAAAn ou à un ZorOOOOOOo, à un quelconque célèbre UN héroOOOs…§§§§
Je projetais souveEEEEnt….. Sur le plafoOOOOOnd de ma chambre le soir des corps
Aux très beaux postérieurs d’actrices nues qui me parlaiIIIIIIIIIIent de faire l’amour
En secrEEEEEEEEEEEEEEet……….§§§§§§§§§§§§§§§§
C’était l’époque de mon adolescence…Celle de mon imbécilitèEEEEEE…§§§§§
Aujourd’huIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi, §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
je rêeEEEEEEEEEEEEve encore, de creux touffues, de vallons rasés, de crevasses et gorges profondes, …..D’un paysage…Du Vercors….…..
Elever mes brebis qui ne soient pas galeuses, mes vaches aux pies chargées de lait….
De cochonnets…D’un enclos sur mon île de BEAUTEEEEEEEE…..qui n’a pas de banlieues dépravées…§§§§§§….
Je porte un nom qui finit PAR I , j’en ai marre de ParIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIis….
Et si ma chaAAAAAnce est grande, je rencontrerai une voisine amie
A qui je ferai des coucous au soleil levant
Et des salut au crépuscule couchant…
Lorsque je fermerai mes jalousies…Au petit vent… !!!!!!!§§§§§§§
Ca fait toujours du bien de rêver en adulte….
Breitou du PTB
Par Tun (Tun) le mercredi 18 janvier 2006 - 19h16: |
Bravo Mounia tres sage analyse...
Par Claudia (Claudia) le mercredi 18 janvier 2006 - 19h06: |
Finkielkraut fustige « l’horrible parler banlieue »
« J’ai traversé un moment de turbulence très désagréable. Je suis devenu le navrant pitre juif. » C’est ainsi qu’Alain Finkielkraut, philosophe et normalien, a ouvert avant-hier soir la conférence-débat organisée en son honneur à Paris par la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) sur le thème « Vivre ensemble en France ». Revenant sur les accusations dont il a fait l’objet après l’interview accordée au journal israélien Haaretz, et reprise dans Le Monde du 24 novembre, il nie avoir parlé de l’origine « ethnico- religieuse » des émeutes, et évoque sa « blague pas très fine » à propos de l’expression « black-black-black » utilisée pour désigner l’équipe de France de football.
Brossant pendant plus d’une heure le portrait d’une France où l’incivilité et l’idéologie antiraciste sont reines, Alain Finkielkraut a dénoncé « le conformisme de l’échec scolaire » en vigueur dans les ZEP. « Il faut absolument recréer l’émulation républicaine » dans les banlieues, a-t-il estimé. D’après son analyse, « c’est la première fois que notre pays est confronté à une immigration haineuse ». Pour lui, « l’Europe est devenue une terre d’asile, sans y être préparée ». Interrogé sur le traitement médiatique des émeutes urbaines, il a répondu que « ce n’était pas tendre la main aux jeunes que d’en faire des héros. Au contraire. Ce qui les handicape, ce n’est pas leur couleur de peau, c’est leur arrogance, leur agressivité, et leur horrible “parler banlieue” », estime-t-il. Finkielkraut se désole que « notre humanisme ne se batte plus pour les écoles incendiées, mais pour les incendiaires de l’école ». Et de conclure : « C’est grave. »
Longuement applaudi, le philosophe semble avoir ce soir-là remporté son pari : être réhabilité. Laure de Charette
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 18 janvier 2006 - 19h02: |
nao,pour une fois,je suis d'accord avec toi.
bisous aux enfants.
Par Mena (Mena) le mercredi 18 janvier 2006 - 18h07: |
Le dernier chantage des Al-Assad (info # 011801/06) [analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
Le Liban et son avenir sont à nouveau les otages d’intérêts étrangers qui nous concernent tout en nous dépassant. Ces jours, c’est ce qu’on appelle ici le Courant du 8 mars qui bloque le fonctionnement du gouvernement d’union nationale et qui fomente des désordres dans les rues de Beyrouth. Ce courant, dont les constituantes principales sont les organisations chiites Amal et Hezbollah, doit son surnom à la manifestation de soutien à l’occupation syrienne qu’il avait réunie le huit mars de l’année dernière.
Peu concerné par l’assassinat de l’ex-premier ministre Hariri, un sunnite, par l’enquête de l’ONU qui pointe un doigt accusateur en direction de Damas, pas plus que par les assassinats de journalistes libanais qui se multiplient, le 8 mars continue à user de toute son influence afin de porter secours au régime de Béchar Al-Assad en fort fâcheuse posture.
La recette habituelle du Hezbollah afin de saboter la stabilisation du Liban consistait jusqu’à maintenant à occuper militairement le sud du pays, à en interdire l’accès à l’armée régulière et à provoquer militairement les Israéliens, chaque fois qu’il en reçoit l’ordre de ses mentors à Damas et à Téhéran.
A ces jeux dangereux, les mouvements chiites ont récemment ajouté deux registres supplémentaires : premièrement, ils neutralisent les prises de décisions pourtant urgentes du gouvernement en commandant à leurs ministres de ne pas participer aux conseils des ministres tout en s’abstenant de démissionner du cabinet. Deuxièmement, ils viennent d’organiser quatre jours de manifestations violentes dans le centre de la capitale, officiellement pour protester contre les visites au Liban de David Welsh, le chargé de mission de George Bush pour les affaires du Proche-Orient, et contre les ingérences de l’ambassadeur américain Feltman.
Bien sûr, le courant opposé à celui du 8 mars, l’Alliance du 14 mars (date de sa formation à l’Hôtel Bristol), majoritaire, regroupant les sunnites, les chrétiens et les Druzes, pourrait passer outre et former un gouvernement excluant Amal et le Hezbollah. Certes, mais cela signifierait du même coup l’exclusion de la plus importante minorité nationale, les chiites, représentant 1,2 millions d’habitants sur les 3,7 millions que compte le pays, du processus de reconstruction nationale. Et à évincer les chiites des affaires, on prend le risque de planter les graines d’une nouvelle guerre civile. Tous les responsables libanais sont conscients de ces considérants et c’est pour cela qu’ils agissent avec précaution : le Liban aurait du mal à se refaire une santé sans ses chiites ou contre eux.
Ces derniers jours, donc, jouant sur ces rapports de forces, les chiites ont jeté leurs hooligans dans les rues, hurlant des slogans en faveur des Iraniens et glorifiant le régime syrien. Et puis, entre deux jets de bouteilles contre les policiers, ils ont qualifié de traîtres les leaders de la Rencontre du Bristol et, plus particulièrement, le chef du parti druze PSP, le cheikh Walid Joumblatt. Il faut préciser que Joumblatt a à nouveau surpris son monde, en se déclarant récemment favorable au déploiement de l’armée au sud, à la confiscation des armes du Hezbollah, puis, quelques jours plus tard, en affirmant que les milices palestiniennes devaient également remettre leurs armes aux autorités.
Une tempête dans un verre d’eau ? - Non, c’est plus sérieux. Au plan intérieur, les chiites œuvrent à la réhabilitation de nos récents occupants, presque en faveur de leur retour. Ils lancent un message selon lequel les Libanais sont incapables de se diriger par eux-mêmes, qu’ils sont immatures et qu’ils ont besoin de la tutelle arabe pour subsister. Au moment où toutes les autres forces politiques du pays serrent les coudes pour démontrer le contraire, l’initiative chiite ressemble à un travail de sape.
Puis il y a l’enjeu international de cette crise en tous points artificielle. Béchar Al-Assad se sert de ses séides libanais pour appuyer un nouveau chantage du type dont il a le secret. Pendant qu’on se castagnait à Beyrouth, le dictateur-oculiste énonçait ses conditions au Caire et à Riyad : laisser le Liban panser ses plaies contre le double engagement international de ne pas toucher à son régime et de stopper l’enquête au sujet de l’assassinat de Rafic Hariri au niveau de Rustom Ghazalé, son ancien chef des renseignements chez nous, et tortionnaire en chef au nom des Al-Assad.
Stopper l’enquête à ce niveau signifie obliger la commission Brammertz à ne pas inquiéter Béchar, sa famille, et son entourage immédiat.
Le despote joue gros. Les termes de ce chantage éclairent soudain les raisons des récents assassinats à la bombe qui ont fait trembler Beyrouth. En langage mafieux, c’était une preuve de capacité de nuire.
Habile ? – Non. Les équations des Alaouites omettent chaque fois d’intégrer certains composants connus. D’abord, la communauté internationale n’apprécie pas ces manières de voyous, et ce chantage l’encourage à marquer d’un X rouge le régime des Al-Assad. Ensuite, s’il est effectivement très gênant pour nous de perdre, lors d’assassinats, certains de nos meilleurs éléments, nous sommes capables de tenir. Nous sommes capables d’assumer une stagnation politique le temps que le monde trouve un remplaçant à Béchar et à sa clique.
A entendre comment Paris se fait soudain le porte-voix des multiples accusations de l’ancien numéro deux syrien, Abdel Halim Khaddam, contre son ex-patron, on constate que le processus de remplacement a débuté.
Pendant ce temps on souffre un peu. Question d’habitude…
Par Tun (Tun) le mercredi 18 janvier 2006 - 17h29: |
J´ai vu le site israel-music.com et ca fait vraiement plaisir de trouver des chansons orientales et tunisiennes...et surtout du Om kalthoum!!!
Vraiment yaatihom essaha!!
Par Mounia (Mounia) le mercredi 18 janvier 2006 - 17h54: |
La controverse de « Munich »
ETATS-UNIS - 15 janvier 2006 - par RENAUD DE ROCHEBRUNE
Avec sa dernière réalisation autour de l’affaire des J.O. de 1972, Steven Spielberg, lui-même juif, est accusé de donner une mauvaise image d’Israël...
« Je ne peux rien vous dire... sinon ils vont me briser les jambes ! » L'individu qui prononçait cette phrase il y a six mois à Budapest n'était pas un membre de la mafia repenti recherché par ses anciens complices, mais tout simplement un acteur britannique répondant à l'invite d'un journaliste qui voulait l'interviewer sur le tournage auquel il participait. Il ne faisait qu'obéir à des consignes de discrétion totale du producteur et du réalisateur. Des consignes qui avaient déjà conduit ces derniers à faire confisquer tous les portables des figurants de peur qu'ils ne prennent clandestinement des photos sur le plateau.
Ce film n'était autre que le dernier Spielberg, Munich. Celui-ci, qui vient de sortir aux États-Unis et sera bientôt projeté dans le monde entier, raconte l'histoire d'une vengeance meurtrière opérée par un commando israélien après la plus célèbre des opérations terroristes palestiniennes. Le Mossad, sur instruction du Premier ministre Golda Meir, avait en effet décidé en 1972 de faire supprimer physiquement un à un, à n'importe quel coût, tous les Palestiniens qui avaient participé de près ou de loin à la prise en otages puis au massacre de onze sportifs israéliens lors des jeux Olympiques qui s'étaient déroulés cette année-là dans la capitale de la Bavière. Et c'est la traque de ces hommes inscrits hâtivement sur une liste noire de douze noms - au Liban, dans divers pays européens et même aux États-Unis - et le meurtre de beaucoup d'entre eux qui constituent la matière du long-métrage, réalisé un peu à la manière d'un thriller.
Pourquoi fallait-il maintenir à ce point le secret autour du film, inspiré du livre intitulé Vengeance d'un journaliste canadien, George Jonas, qui avait prétendu dévoiler toute la vérité sur cette opération ? Peut-être en partie pour des raisons de marketing : un film entouré de mystère est forcément très attendu et bénéficiera par là même d'une publicité gratuite lors de sa sortie. Mais aussi parce que les producteurs du film n'ignoraient pas qu'il y a des sujets qui se prêtent particulièrement à la polémique. Si on laisse les critiques fuser avant même qu'on puisse montrer le résultat du tournage sur l'écran, la controverse peut parfois non seulement décourager le grand public, mais surtout ruiner la réputation du film en décrédibilisant son scénario.
De fait, malgré la stratégie du secret mise en oeuvre, ou précisément à cause d'elle, la polémique a fait rage plusieurs mois avant le jour où l'on a procédé au final cut à Hollywood, fin novembre. Et elle a rebondi dans la presse, avec une certaine violence, après la sortie du film sur les écrans américains. Mais, contrairement à ce qui s'est passé lors des premières projections d'autres films controversés ces derniers temps, comme La Passion du Christ de Mel Gibson, le débat n'a guère pris d'ampleur ni au niveau des intellectuels ni à celui du grand public.
Seuls se sont exprimés avec vigueur, sauf rare exception, des adversaires du film, tous particulièrement pro-israéliens quand ils n'étaient pas des représentants officiels de l'État hébreu, qui ont adressé au réalisateur deux reproches complémentaires. Le premier : le film donne une mauvaise image d'Israël et des Israéliens, dirigeants et agents du Mossad en tête, en les présentant comme des commanditaires ou des exécutants de meurtres accomplis de sang froid par pure vengeance, ce qui est difficilement justifiable sur le plan moral. Le second : le film, en donnant quelquefois la parole à des Palestiniens qui expliquent au passage le sens de leur combat patriotique, place en quelque sorte sur le même plan, comme des « équivalents moraux », selon la formule employée par plusieurs chroniqueurs, les terroristes de Septembre noir et leurs victimes.
Ce qui est vrai, c'est que Spielberg et son scénariste, le détenteur d'un prix Pulitzer Tony Kushner, n'ont pas voulu réaliser un film totalement manichéen à la gloire d'Israël et de ses services secrets. En montrant par exemple des scènes de meurtre comme celles où sont exécutés froidement un écrivain et enseignant spécialiste des Mille et Une Nuits ou un diplomate débonnaire et père d'une petite fille qui n'ont certes pas l'air de dangereux terroristes, ils ne cachent pas leur réticence - le mot est faible - devant les méthodes expéditives du Mossad. Et en consacrant toute la fin du film à raconter les états d'âme du chef du commando qui, après la fin de sa mission, se réfugie avec sa famille aux États-Unis, l'esprit tourmenté jour et nuit par ces meurtres qui lui paraissent finalement immoraux, persuadé que le Mossad entend désormais se débarrasser du témoin encombrant qu'il est devenu, ils ne légitiment assurément pas le principe même du contre-terrorisme.
Partisan depuis toujours d'une politique de négociations pouvant conduire à la paix, Spielberg a d'ailleurs répondu que « les adversaires du film qui l'attaquent en évoquant la prétendue théorie des "équivalents moraux" sont ceux qui pensent que l'exercice de la diplomatie suppose aussi d'accepter cette théorie et qu'il n'y a donc pas d'autre voie que la guerre pour résoudre le conflit israélo-palestinien ».
Il n'en reste pas moins, pour qui en douterait, que l'auteur de La Liste de Schindler, lui-même juif tout comme son scénariste d'ailleurs, n'a bien entendu aucun parti-pris anti-israélien. Tout son film, par construction, est d'ailleurs vu strictement du point de vue israélien, même quand il ne l'épouse pas. Les personnages les plus « élaborés », donc les plus susceptibles de faire éprouver au spectateur une certaine empathie, sont les cinq membres des commandos du Mossad et certains de leurs « complices » européens qui les aident à « loger » leurs cibles, tous les Palestiniens apparaissant plutôt comme des figurants, au mieux comme de petits seconds rôles. Et aucun des nombreux conseillers qui se sont penchés sur le scénario ne venait du côté palestinien, comme l'a fait remarquer un témoin pour le moins informé de toute l'affaire puisqu'il s'agit... d'Abou Daoud, le principal organisateur de la prise d'otages, toujours vivant.
Voilà pourquoi les critiques les plus sérieuses qu'on peut adresser au film sont en réalité d'un autre ordre. La principale est que ce film, certes présenté comme une fiction, se veut - c'est écrit sur l'écran - « inspiré de faits réels ». Or si l'opération décrite a effectivement eu lieu, il semble bien qu'elle ne s'est pas du tout déroulée comme Munich, inspiré d'un ouvrage que beaucoup disent « bidonné » en grande partie, le laisse supposer. Non seulement elle a conduit à plusieurs « bavures » tragiques, ce que le film montre à peine, mais elle a pour l'essentiel échoué si elle avait bien pour objectif d'éliminer tous les protagonistes de la prise d'otages : les quelques Palestiniens présents sur les lieux et restés vivants après le dénouement n'ont pas tous disparu, c'est certain, et la plupart des responsables qui ont conçu ce qui se voulait « une action d'éclat » sont restés indemnes, ou sont morts sans que le commando vengeur ait joué un rôle à cet égard.
Par ailleurs, et ce n'est pas un détail vu la suite des événements, il paraît établi que la majorité des sportifs israéliens tués lors de l'opération ont péri lors de la fusillade qui a éclaté à l'aéroport de Munich où ils avaient été conduits avec les Palestiniens. Ils auraient succombé sous des rafales tirées non pas par ces derniers, mais par les policiers allemands, qui, en accord avec les autorités israéliennes, avaient décidé de ne pas laisser décoller l'avion qui devait emporter dans un pays arabe les otages et leurs ravisseurs.
Mais on peut aussi faire état de réserves devant Munich tout simplement pour des raisons cinématographiques. Il ne s'agit pas, loin de là, d'un des meilleurs Spielberg. Voulant peut-être trop prévenir les éventuelles critiques de tous bords, ou étaler son credo humaniste, le réalisateur propose un film qui, bien que souvent efficace, est émaillé de scènes peu convaincantes. Et il impose une interminable scène finale très moralisante qui laisse le spectateur sur une impression mitigée. Les bons sentiments, on le sait, font rarement les bons films.
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 18 janvier 2006 - 16h32: |
Pas de site lisible en Anglais ou en Francais sue Eyal Barkan, seulement des sites en Hebreu.
Vous pouvez voir sa discographie et entendre un echantillon sur:
http://fr.israel-music.com/eyal_barkan/
Par Nao (Nao) le mercredi 18 janvier 2006 - 15h45: |
Malgre son cursus scolaire, je trouve que notre Albert National a la plume plutot bien enlevée non?
Par Tun (Tun) le mercredi 18 janvier 2006 - 10h42: |
SVP quelqu´un pourrait me renseigner sur le chanteur Eyal Barkan,merci.