Par Admin (Admin) le mardi 03 septembre 2002 - 17h53: |
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 02 septembre 2002 - 11h55: |
Pour Alain LAHMI (2/09 - 7h43):
Veuillez publier une adresse e-mail afin que je puisse vous envoyer des renseignements sur votre etymologie patronymique.
A plus.
Par Meyer (Meyer) le lundi 02 septembre 2002 - 11h06: |
REPONSE A LEA (adra du jeudi 29 août 2002 - 18h41).
Tout d’abord je pense que les harissiens auront apprecie ta facon de traiter de « troupeau » l’ensemble des utilisateurs du cafe des Dattes. Nous serions ainsi tous du meme avis, en meme temps, sur tous les sujets, (tele)guides sans doute par un ou plusieurs mauvais bergers. C’est une facon banale de trouver des boucs emissaires. Tu manifestes ainsi ton mepris et ton manque de respect a l’egard d’un groupe de personnes que tu ne connais pas.
C’est vrai que le cafe a beaucoup evolue depuis ses debuts. Plusieurs personnes sont arrivees, puis sont parties, de leur plein gre. D’autres sont toujours la, presentes plus ou moins souvent. Tout cela est le propre de la liberte de chacun d’entre nous, d’aimer ou de ne pas aimer se trouver en compagnie d’autres harissiens, selon son humeur, selon les harissiens presents et selon les sujets en cours de discussion.
Pour definir ma conception d’un chat, j’emprunterai le titre d’un film recent, L’Auberge Espagnole. L’ambiance depend de chacun des presents, et il ne faut pas se plaindre si parfois il n’y a pas d’animation, ou si les sujets ne semblent pas interessants a certains. Dans ce cas on quitte et on revient plus tard.
Ton commentaire traite plus particulierement des « bannis », en melangeant le cas de ceux qui, VOLONTAIREMENT, decident de quitter le chat ou adra, ou les deux, pour diverses raisons. Ceux-ci ont le droit de le faire sans que cela doive apparaitre comme le resultat de brimades concertees.
A ma connaissance les deux seules raisons de vrai bannissement du chat, provisoire ou definitif, sont :
- grossieretes, insultes, denigrements ou acharnements systematiques, personnels ou collectifs
- propos ou insultes racistes, antisemites ou antiarabes : on ne peut pas transiger avec ces idees
Les cas les plus frequents relevent du racisme et le bannissement a lieu alors immediatement si un moderateur est present..
Dans d’autres cas il s’agit d’un comportement systematique, repetitif et prolonge d’une personne qui se croit persecutee ou ignoree et qui, a chaque entree dans le chat, le fait savoir en s’adressant a une ou plusieurs personnes presentes, sans se rendre compte de la mauvaise ambiance qu’elle cree.
Personne n’a jamais ete banni a causes de ses opinions. J’ai assiste a des discussions tres animees avec des oppositions tres tranchees, sans aucune exclusion de participants. Je citerai en particulier comme sujets : le conflit israelo-palestinien, l’homosexualite dans le judaisme, le machisme.
Je pense que c’est le droit du fondateur du site, et des personnes qu’il a désignees, responsables du chat en son absence, de decider qui peut ou ne peut pas continuer de frequenter le chat.
Tu m’as accuse de me « terrer » parce que je n’intervenais pas en faveur des bannis. C’est bien mal me connaitre. Je suis toujours intervenu en direct quand les propos de certains derapaient. De plus tu veux me cantonner dans un simple role de « memoire » du chat. Je n’ai jamais eu a repondre a tes questions : tu ne m’en as jamais posees. Ceux du chat que j’ai eu le plaisir de rencontrer (une vingtaine) savent bien que je n’ai pas la mentalite d’un planque ni celle d’un nostalgique du passe, et que j’ai beaucoup d’autres centres d’interets des plus reels et actuels. Je garde mon libre arbitre et je defendrai ceux qui me semblent dignes d’etre defendus et je critiquerai ceux avec qui je suis en desaccord, selon mes propres criteres, en refusant qu’on essaye de m’en imposer d’autres. Non, ma realite ne correspond pas du tout a ta virtualite.
Je continuerai de venir au chat pour retrouver mes amis, echanger des nouvelles, des plaisanteries (pas toujours bonnes), des photos, des souvenirs, des recettes, parler des enfants et des petits-enfants, et, a l’occasion, donner rendez-vous, a Paris ou ailleurs.
Meyer
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 septembre 2002 - 07h43: |
GENEALOGIE
J'aimerais énormément connaître l'étymologie de mon nom de famille.
Je m'appelle LAHMI Alain.
Je suis né à Tunis(Tunisie).
J'ai entendu dire que ce nom était peut-être une
déformation du nom de la ville de BETHLEEM(Maison du pain).
D'où serai issue la tribu du roi David BEN ICHAY BETH ALAHMI.
D'avance milles mercis!!!
Alain Lahmi
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 septembre 2002 - 07h33: |
AJOUTER UN NOM JUIF TUNISIEN
Metoudi avec un seul "t". Vous avez deja Mettoudi
Merci
Annie Metoudi
Anne Metoudi-Oved
Hummelstown, PA 17036
Par Admin (Admin) le lundi 02 septembre 2002 - 06h14: |
Cher(e)s ami(e)s,
Harissa est heureux de vous recevoir sur son nouveau serveur flambant neuf et vous demande de l'excuser des retards et problemes rencontres lors de la mise en route.
Merci de nous signaler toutes anomalies.
Admin
webmaster@harissa.com
Par Mena (Mena) le lundi 02 septembre 2002 - 04h08: |
Vers la brisure du Rêve brisé ? (info # 010109/2)
Par Gérard Huber © Metula News Agency
Dans son livre Le Rêve Brisé, Histoire de l’échec du processus de paix au Proche-Orient 1995-2002 (Paris, Fayard), Charles Enderlin, correspondant permanent de France 2 à Jérusalem, décrit le tournant du 30 septembre 2001, en quoi a consisté la mort de Mohamed Al Dura en ces termes : « Selon tous les témoins de la scène, les balles qui vont bientôt blesser l’enfant mortellement proviennent de la position israélienne » (p.291).
Quels sont ces témoins ?
Le terme de « témoins » exclut qu’il s’agisse de combattants palestiniens ou de soldats israéliens (ceux-là sont partis, pas témoins Ndlr.). S’agit-il alors de journalistes, et Enderlin peut-il s’engager sur leur impartialité ? A moins qu’il ne s’agisse de « spectateurs », si tant est qu’il y en eut ; mais alors, il les a sûrement enregistrés, lui qui ne cesse de faire état, dans son livre, de vidéos témoignant de la véracité des propos des leaders israéliens, palestiniens, américains etc. qu’il relate ?
Malheureusement, le livre n’apporte aucune réponse à toutes ces questions. En effet, ces témoins ne sont pas nommés. Du coup, ce sont autant de questions supplémentaires qui viennent densifier l’ombre déjà jetée sur les commentaires du journaliste et sur les conclusions de l’auteur.
A la place de cette démonstration, Enderlin préfère prendre parti dans la « véritable bataille médiatique » (p. 319) qui accompagne le conflit et jeter de l’huile sur le feu « entre les nations » (p.354). Ce qui ne l’empêchera pas de s’arroger le droit de faire la morale à l’administration Clinton sur ce thème (p.354), en exploitant un autre doute, celui de l’armée israélienne, qui, dans un effort d’honnêteté, accepte d’étudier l’hypothèse que l’origine des balles tueuses fût israélienne, pour conclure, après enquête, « qu’il est plus que probable que l’enfant ait été la victime de tirs palestiniens que de tirs israéliens ». Enfin, Enderlin, qui sait que le reportage de la journaliste allemande Esther Schapira (ARD) parvient à des conclusions opposées aux siennes, omet délibérément de le mentionner.
Le moins que l’on puisse dire est donc que Charles Enderlin n’aide pas ses lecteurs à connaître la vérité sur un sujet très sensible qui passionne les foules et qui exige une clarification des plus sérieuses.
Ce passage du Rêve Brisé ne peut que renforcer la détermination du spectateur impartial (voir mon interpellation de France 2 sur ce sujet dans un article précédent publié par La Ména "Mohamed Al Dura et FR2 : les questions en souffrance ! (info # 011806/2))" qui s’étonne, voire s’indigne, de ce que ce journaliste ait pu laisser croire qu’il avait été le témoin direct du drame et que c’était en toute connaissance de causes qu’il pouvait affirmer au monde entier que c’était bien les balles israéliennes qui avaient tué le petit Mohamed Al Dura.
« Nobody is perfect », comme dit l’autre, et Enderlin a le droit d’avoir commis l’erreur professionnelle de tirer des conclusions hâtives. Mais, lorsque, par son livre, il confirme cette erreur, alors le doute n’est plus permis : que ce soit les balles israéliennes ou les balles palestiniennes qui ont tué l’enfant - le saura-t-on jamais ? -, Charles Enderlin commet de toute manière une faute en confirmant son erreur, du fait que, plus que jamais, de nombreux doutes planent sur ses conclusions.
Désormais, il n’existe qu’une manière, et une seule, pour qu’il prouve qu’il ne s’agit ni d’une erreur, ni, a fortiori, d’une faute : citer ses sources.
Cette exigence est d’autant plus importante que France 2 prépare la programmation d’un reportage à visée pédagogique, réalisé par Enderlin et déjà diffusé sur PBS, sur le conflit israélo-palestinien.
Lors d’un récent entretien avec Jean-Claude Allanic, Médiateur de France 2, j’ai rappelé que je devais aux lecteurs de La Ména des réponses aux nombreuses questions que j’avais posées, à la suite d’un visionnage du reportage de Esther Schapira et que France 2 ne m’avait ni de près ni de loin aidé à les trouver, malgré mes demandes réitérées.
En conséquence, j’ai fait une nouvelle proposition : qu’un débat de fond soit engagé entre France 2 et la Metula News Agency autour du visionnage des « rushs », du reportage d’Enderlin et du reportage d’Esther Schapira (dont France 2 s’obstine à dire qu’il n’apporte rien de nouveau, ce qui est faux, puisqu’il met en question les conclusions de son journaliste).
Le Médiateur s’est engagé à défendre cette idée auprès du Directeur de la Rédaction (Olivier Mazerolle) et du Directeur de l’International (Thierry Thuillier). Questionné à ce sujet, l’ancien médiateur et rédacteur de la Charte de France 2, Didier Epelbaum, a également trouvé cette idée excellente.
Wait and see ! La Ména racontera fidèlement la suite de ce feuilleton à ses lecteurs.
Par Email (Email) le jeudi 29 août 2002 - 18h51: |
HENRI FITOUSSI
JE VOUDRAIS AVOIR DES NOUVELLES DE HENRI FITOUSSI S'IL VOUS PLAIT.
JE SUIS UN COPAIN DE LA GOULETTE
ROGER SUIED
ACURA12@aol.com
Par Admin (Admin) le lundi 02 septembre 2002 - 05h40: |