Par Admin (Admin) le mercredi 18 septembre 2002 - 08h15: |
Par Rahelina (Rahelina) le mardi 17 septembre 2002 - 11h30: |
djlachem,
kol hakavod, bravo!!!!!
ce message pour ce c...de bigard je me leve pour l'applaudir!!!
dites moi ,ca doit faire du bien de se defouler,j'espere qu'il la lu et qu'il l'avalera de travers
bien a vous
rahel21
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 17 septembre 2002 - 11h05: |
Bonjour Slim,
Mon surnom ne faisant pas reference a l’arme mais a une similitude phonetique avec mon nom de famille (et accessoirement au bubble-gum), je n’en ai pas deduit que votre nom fasse allusion a votre eventuelle ligne haricot-vert !
Merci d’avoir pris le temps de me repondre.
Concernant le 1er point, j’ai ete agreablement surprise d’apprendre que le gouvernement Tunisien avait apparemment condamne l’attentat de La Ghriba.
En depit des cables et de la parabole qui me transmettent des chaines francaises, des chaines maghrebines, des chaines americaines et des chaines moyen-orientales, je n’ai eu, a aucun moment, le plaisir de voir relayer cette breve ou meme ces images de condamnation du gouvernement Ben Ali.
Je m’en remets donc a votre bonne foi, et me rejouis de cette demarche utile et positive.
Pour le 2eme point, meme s’il est tout a fait judicieux, ainsi que vous le faites, de faire la part des choses entre l’Islamisme (Afghan/Algerien etc.) et la folie terroriste (Arafat, Gaddafi, Saddam); pour ce qui me concerne, je ne fais plus depuis bien longtemps, la difference entre l’extremisme d’Al Qaida et la “folie” d’un leader totalitaire, car malheureusement, pour les civils, le resultat c’est blanc bonnet et bonnet blanc …
Quant au 3eme point : au sujet de La Kahena, je vous suggere de lire le chapitre qui lui est consacre dans le livre “Histoire des Juifs de Tunisie” editions du Scribe 1991, et de relire le sujet de notre cher Emile Tubiana, dans lequel il explique tres clairement que la frontiere entre la verite historique et la legende romanesque demeure tres opaque la concernant …
Quoi qu’il en soit, dans l’hypothese ou La Kahena se serait convertie au Judaisme, c’est aller un peu vite en besogne que d’affirmer qu’elle l’aurait fait suite au “proselytisme Juif”.
En outre, sans vouloir aborder en details la question de la definition du Juif (Religion ? Ethnie ? Culture ?), sachez qu’une etude scientifique tres serieuse a demontre que les descendants des Cohenim (pretres Juifs) ont tous un gene ADN en commun et ce, qu’ils soient d’origine americaine, nord-africaine ou falacha …
Pour finir, il me semble que vous faites une confusion entre 3 elements pourtant bien distincts, les Tatars, les Khazars et les Juifs Ashkenazes.
Afin de remettre un peu d’ordre dans tout cela, je vous suggere la lecture du ”best-seller” de Yehuda Halevi ”Le Kuzari” (Apologie de la religion meprisee) editions Verdier ou Bibliotheque de l’Ecole des Hautes Etudes (Section des Sciences Religieuses).
Vous y constaterez que les Juifs (y compris Yehuda Halevy) qui ont endosse le role de “convertisseurs” ne l’ont toujours fait que suite a la sollicitation des futurs convertis.
Enfin, m’etant delectee hier soir de cet excellent article, je vous conseille vivement la lecture de l’enquete de Lauren Gelfond publiee dans la derniere edition du Jerusalem Post Magazine, intitulee “The silence after the storm, in the wake of Sept. 11, a small circle of Muslims living in the US are trying to encourage their community to speak out against Islamist extremism”.
Ce papier d'une page 1/2 nous conforte dans l’idee que dans un contexte de reelle democratie, des voix musulmanes osent s’elever pour contester l’extremisme (le Wahabisme) et ses derives.
Alors, plus de democratie dans le monde Arabe, c'est pour quand ?
Par Djlachem (Djlachem) le mardi 17 septembre 2002 - 10h55: |
----- Message d'origine -----
De : Jean-Pierre CHEMLA
À : Jean-Marie BIGARD bigard@bigard.com
Envoyé : mardi 17 septembre 2002 00:10
Objet : J'aime pas les Jean-Marie
A transmettre à JM Bigard: ça le changera des louanges qu'il a l'habitude de recevoir...
J’aime pas les Jean-Marie
J’aime pas les Jean-Marie……….
Le gros borgne pue le fiel quand il parle.
Celui de Vivendi me paraissait trop suffisant.
Restait le comique. J’avais pas d’idée tranchée sur lui : il m’arrivait de le trouver sympa avec son bon sens populaire qui sentait un peu le saucisson à l’ail.
Maintenant, je sais : ce n’est qu’un gros beauf….
En plus pas très poli, puisque l’autre jour, chez Ardisson, après avoir monopolisé la parole pour sortir des inepties sur le conflit israélo-palestinien et surtout pour servir la soupe à son pote Bové, présent sur le plateau, il a à peine dit bonjour à l’invité suivant, Guy Konopnicki, qui était venu instiller quelques nuances à ce débat, jusque là manichéen.
Il n’a pas voulu qu’il en place une, le Konopnicki, et mon Bigard de nous faire une démonstration genre darwino-déterministe sur le comportement des israéliens comparés à des gros singes, affamés et sevrés de sexe, ou quelque chose d’avoisinant.
Bref, personne n’y comprenait rien et notre comique, dont c’est pourtant le métier, ne s’apercevait pas qu’il emmerdait tout le monde et que pendant qu’il ergotait sur le monde simien, plus personne ne rigolait. C’est vrai qu’il aurait du essayer de lancer un pet à ce moment, histoire de relever un peu le niveau de sa démonstration. Résultat : Konopnicki a eu un temps de parole ridicule, insuffisant en tout cas pour exposer son raisonnement sur le fait que les attentats suicide sont le résultat, non d’un quelconque désespoir, mais du financement des familles pour faire de leurs enfants des terroristes, et de la planification calmement établie de ce terrorisme dans un but éminemment politique.
Notre histrion n’écoutait déjà plus, tu parles qu’au fond, il s’en foutait de tout ça : ce qui comptait, c’est qu’il fasse son petit effet face au public de « Tout le Monde en Parle » qui suinte l’intelligence, et face à Ardisson qui est toujours aussi d’accord avec tout le monde, du moment qu’il peut placer ses jingles débiles de temps en temps.
Je me demande pourquoi des types de la valeur de Konopnicki viennent se fourvoyer dans ces émissions de merde. Il est vrai que Finkielkraut, lui, s’en était plutôt bien sorti et avait même réussi à faire pleurer Juliette Binoche. Si Bigard avait été là, ce soir là, sûr qu’il aurait mis son poing dans la figure du philosophe, car on a beau être un gros beauf, on n’aime pas qu’on fasse du mal aux jolies femmes (les moches, à mon avis , il s’en fout).
Gros beauf, oui, mais pas mauvais businessman, car, mine de rien, il calcule bien, comme beaucoup de monde en France, médias et politiques. Il calcule que 7 millions de musulmans contre 600.000 juifs : y’a pas photo ! A-t-on intérêt à caresser le musulman dans le sens de la barbe islamiste, ou le juif dans le sens de la papillote ? C’est qu’il a une tournée à assurer, notre grand artiste, et mettre en colère ces millions de spectateurs potentiels, acheteurs de Cassettes et DVD supposés, c’est pas très commercial.
En tout cas, ça vaut bien une petite vue à court terme, quitte à participer à sa façon à cette entreprise de démolition collective de nos valeurs, où l’on voit, dans nos écoles fleurir le négationnisme effarant d’adolescents qui refusent que l’on y étudie la Shoah sous prétexte que « ce sont des juifs qu’y z’ont inventé tout ça et qu’y z’ont mis çà exprès dans les livres d’Histoire pour qu’on croive tout c’qu’y racontent » ; où l’on voit, pour la première fois de son Histoire, la République et sa fille, la Laïcité qui la symbolisait tant, abdiquer devant une minorité sous prétexte qu’elle peut être violente et effrayer le reste de la population, ou que les pays étrangers dont cette minorité se sent solidaire détiennent pour le moment l’arme énergétique.
En n’ayant pas le courage de se mettre en travers de ce courant néfaste, Bigard se fait le complice objectif d’une litanie de personnages allant de Hitler et Staline à Bin Laden en passant par Saddam Hussein et les assassins de Daniel Pearl. Mais, là aussi, si on le lui faisait remarquer, notre amuseur repartirait en sautillant et en faisant « pouet-pouet » vers son public en délire qui le réclame sur l’air des lampions.
J’aime pas les Jean-Marie, mais spécialement celui-là, parce que je viens juste de commencer à le détester…
Alors, comme dit l’adage : tout nouveau, tout moche !
Jean-Pierre CHEMLA
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 17 septembre 2002 - 07h46: |
TUNES CELEBRES
Dans la section : "tunes célèbres" je m'étonne de ne pas lire le nom d'Elda Piperno ... grande pharmacienne de la rue de la Roquette et épouse d'Emmanuel Louria, célèbre Feng-Shuiste.
Toda.
Emmanuel
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 17 septembre 2002 - 07h42: |
Dear Sir/Madam,
I have just returned to Malta from a holiday in Tunisia where I was introduced to the products "Cafes Bondin". This was a pleasant surprise, first because the products I sampled where of a very good quality and secondly because my wife's family name is Bondin.
Years ago her grandfather, who was born in 1900 and in hil old age looked very much like the old man depicted in your promotion items, used to tell me about the Cafe Bondin of Tunisia where he used to go very often. Incidentally also he used to run a coffee shop with the name of "Caffe Bondin" in Valletta the capital of Malta where he was very poplular.
All this set me thinking and asking why although Malta and Tunisia are so close these products cannot be found here. I am willing to change all this and try to import and sell your products over here.
I would like to hear your views about all this.
If this email is addressed to the wrong person could you forward it to whom it might be of concern.
Thank you.
Yours
George Busuttil
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 17 septembre 2002 - 02h29: |
qui est le jeune homme en chechia et burnous sur la photo envoyee par baba emile?
Par Mena (Mena) le dimanche 15 septembre 2002 - 23h41: |
A propos du boycott des produits et des esprits juifs ! (info # 011409/2)
Par Gérard Huber, correspondant permanent à Paris © Metula News Agency
Avertissement : La lecture de cet article sera utilement complétée par l’étude du dossier « Scientifiques et Paix » que j’ai préparé et qui est consultable sur le site de Metula News Agency. Les minutes du séminaire analysé ci-dessous y seront également disponibles progressivement.
A quelques pas de la statue du Capitaine Dreyfus, que l’on doit à Louis Mitelberg, dit Tim, et qui se trouve sur la place Pierre Lafue à Paris, une cinquantaine de personnes ont tenu à débattre, le 11 septembre 2002, des atteintes à la santé, à la solidarité et à la dignité qui résultent de l’Appel au moratoire pour toute coopération entre l’Europe et Israël, lancé par des scientifiques européens, il y a six mois.
J’avais, en effet, invité Hervé Berkovier, vice-Président pour la recherche de l’Université Hébraïque de Jérusalem, Marc Fellous, généticien de l’INSERM et Ivar Ekeland, professeur des universités françaises et signataire de l’Appel, à confronter leurs points de vue dans le cadre du Club Santé Solidarité (Prospective 2100) dont j’assure la présidence.
Or, ce ne fut pas une simple curiosité que de constater que les paroles du Capitaine « si vous voulez que je vive, rendez-moi mon honneur !» planaient dans l’enceinte où s’affrontaient deux conceptions de l’action au nom de la paix entre les peuples israélien et palestinien : celles de scientifiques qui oeuvraient sans relâche au développement de la coopération concrète entre chercheurs et universités israéliens, palestiniens et européens notamment et celles de scientifiques qui manipulaient le dénigrement, le boycott et l’exclusion d’Israël, dans l’espoir que l’Europe suspende les applications du traité, voire le traité lui-même (mais savent-ils seulement qu’il s’agit d’un traité ? ) qui a été signé il y a déjà de longues années par l’Union Européenne et Israël. Deux conceptions diamétralement opposées donc et pourtant fondées sur le même affect de souffrance et le même sentiment de l’honneur.
Peut-être ces paroles en provenance de l’île du Diable résonneront-elles aux oreilles de toutes les personnes qui étaient présentes et de toutes celles qui me lisent, si celles-ci se souviennent qu’il y a seulement quelque semaines, des antisémites avaient souillé la statue du capitaine et que le maire de Paris, Monsieur Bertrand Delanoë, avait tenu à la laver de ses mains.
Car, par-delà la querelle idéologique et politique, le cœur du débat qui oppose ainsi des personnes de bonne foi et de bonne volonté sur le conflit israélo-palestinien porte sur le rapport de chacun à sa culpabilité devant la souffrance de deux peuples qui se font actuellement la guerre.
Voilà deux peuples qui s’entredéchirent, deux peuples qui souffrent, mais deux autorités politiques et armées dont l’une est plus forte et l’autre plus violente. Et voilà des hommes et des femmes qui se disent : « trop c’est trop, ça ne peut plus durer, il faut faire quelque chose », mais voilà les mêmes, qui se divisent sur les conclusions qu’ils en tirent.
Les uns, ceux qui appellent au moratoire – et le mérite d’Ivar Ekeland ne fut pas mince de risquer un affrontement solitaire à un public qui, par moments, oubliait que ce séminaire n’était pas un meeting politique de soutien à Israël, mais un lieu de réflexion -, ceux-là mêmes dont, pour la plupart, les familles ne sont ni palestiniennes (car, aucun chercheur palestinien ne m’a approché pour prendre part à ce séminaire), ni israéliennes, et donc ne sont pas atteintes dans leur chair, sont indignés, scandalisés par ce qu’ils estiment être des « atteintes au droit de l’homme » qui seraient commises par Israël. Pour autant, ils restent sourds, lorsqu’on leur réplique, comme l’a fait Hervé Berkovier, que les derniers Rapports d’Amnesty International (dont le contenu, comme vous le savez, est soigneusement dissimulé par la presse occidentale) ont non seulement noté une amélioration du respect des droits de l’homme par Israël, mais souligné la nature de « crimes contre l’humanité » que constituent les attentats – suicides palestiniens.
Les autres, ceux qui oeuvrent à la coopération entre Israéliens, Palestiniens, Européens et Américains, et qui, pour la plupart, parce qu’ils sont juifs ont des parents directement menacés par le terrorisme qui sévit en Israël, dans les implantations et dans les territoires sous Autorité palestinienne, sont scandalisés et indignés par l’esprit discriminatoire qui préside à cet Appel. Pour autant, ils n’hésitent pas à reprocher aux signataires de se servir d’Israël comme d’un bouc émissaire et de ne pas appeler au boycott de la Chine ni de l’Irak ni de la Syrie etc., comme si le boycott n’était pas condamnable en lui-même, comme s’il ne l’était que parce qu’il visait Israël, et, au-delà les Juifs (le journaliste de France 2, Jean-Daniel Flaysakier, s’est par exemple récemment insurgé contre le fait qu’à Tours, certains militants pro palestiniens tenaient à justifier le boycott des produits importés d’Israël en les étiquetant « juifs ».
On se rend compte, alors, à quel point les débats sont actuellement idéologiques et passionnels, au lieu d’être rationnels et fondés sur des faits réels et sur des valeurs inaltérables.
Mais, on saisit surtout combien l’appel au boycott est animé par des pulsions meurtrières et soumis aux arrangements personnels que chaque signataire tente, pour les faire reconnaître et accepter par la société. Le boycott vient remplacer le passage à l’acte (violence, agression, destruction) auquel tel ou tel se sent poussé, lorsqu’il est brutalement confronté (je parle des plus sincères d’entre les signataires) à des paroles et à des images qui expriment une profonde souffrance et qui lui font violence. Mais, n’ayant pas la capacité psychologique (qui l’a ?) d’être en empathie avec toutes les souffrances et tous les traumatismes en présence, que, pourtant, chaque peuple adresse à l’autre dans une joute infernale, il trie, il fait un choix. Il n’en peut plus, alors il se presse d’exclure.
Parmi ces arrangements, il y a ceux qui se rapportent à l’information. Il est frappant, mais peu surprenant, si l’on réfléchit un instant, que ceux qui appellent au boycott sélectionnent les données qui sont à leur disposition, au moment de prendre position.
Ainsi Ivar Ekeland ignore-t-il - il le répète à plusieurs reprises - les coopérations réelles qui sont en cours entre chercheurs et mêmes institutions israéliens et palestiniens. Hervé Berkovier a beau lui donner maints détails, il ne sait que dire qu’il ne savait pas. Il ne lui vient pas à l’idée qu’il n’avait pas le droit de prendre une position au nom de son ignorance de la plupart des universités palestiniennes, à l’exception de celle de Bir-Zeit, bien connue pour pratiquer le refus de toute relation avec les universités israéliennes. Il ne lui vient pas à l’esprit que, prenant une responsabilité dans la fragilisation, voire la possible destruction de ces coopérations, la légitimité de sa position s’en trouve anéantie.
De la même manière, notre mathématicien sait s’appuyer sur une réprobation d’Israël qui provient du Parlement européen, réprobation, d’ailleurs, non relayée par l’Union européenne, mais il omet de mentionner la décision de cette même Union de ne poursuivre le financement de l’Autorité Palestinienne que sous surveillance.
Ces arrangements ne sont certes pas plus « excusables » de la part des non scientifiques que des scientifiques mêmes, mais on peut tout de même penser que le rôle et la responsabilité de ceux-ci (je dirais même leur seule responsabilité en tant qu’intellectuels) consistent à veiller à ce que leur prise de position ne rende pas possible la progression d’autres esprits vers des franchissements encore plus destructeurs. Bref, ils doivent anticiper et défaire par avance toute possibilité de solidarité intellectuelle avec des concepts et des actions nihilistes.
C’est ainsi que, loin d’établir une relation causale directe entre la volonté de suspendre, voire d’interrompre l’activité de recherche des universités israéliennes et l’odieux attentat qui, quelques semaines plus tard, a ensanglanté l’Université Hébraïque de Jérusalem, je n’en affirme pas moins que les signataires de l’Appel au moratoire sont moralement responsables de n’avoir, à aucun moment, pris la plume pour condamner les attentats-suicides qui l’ont précédé, comme ils le sont de ne pas recenser ni condamner tous les actes anti-israéliens, voire antijuifs, que leur appel au boycott rend désormais possibles.
Il n’y a pas de mot « à la légère ». A fortiori, ceux de « moratoire sur toute forme de collaboration institutionnelle et de soutien matériel en direction des organismes israéliens » ou de « boycott ». Comme le dit Jean-Paul Sartre, « chaque homme construit l’universel en se choisissant ». L’universel n’est pas préconstruit, comme le pensent les idéalistes qui déplorent l’inexistence d’une méta-éthique. Pour le dire plus trivialement, nous avons l’universel que nous méritons.
Combien de temps encore les signataires de l’Appel au moratoire boycotteront-ils l’universel ?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 15 septembre 2002 - 20h55: |
YA BREITOU ANA HADER OUAHAN, BEL KACHABIA,BETAKROURI,BEL YASMIN OUBEL A'TERCHIA OU ALA RASSI BRAKHET BABA OUECHACHIA.
jIB EMA'K YASIDI, ETHAI, ELBEN, ETMAR, ELFOSTOQ, EZOZ OU ELOZ. OU NA'AMLOU QA'DA BAJIA OUQADA TOUNSIA.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 15 septembre 2002 - 20h45: |
Albert gmar hatima tova et je t'attends avec mon bernous et ma chachia.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 15 septembre 2002 - 20h44: |
Tombeau de Rachel et tombeau de Joseph
Dans son communique http://www.diplomatie.gouv.fr/actu/article.asp?ART=27541 le porte parole adjoint du Quai d'Orsay "desapprouve la decision d'integrer le site du Tombeau de Rachel , qui est aussi un lieu de culte musulman, au sein des limites sécuritaires de Jérusalem alors que ce lieu est situé à Bethléem dans les Territoires palestiniens (zone C *)"
(Rappel: Zone C, territoire sous administration civile et securitaire israelienne selon les "accords passés dans le cadre du processus de paix" )
Ou etait le porte parole adjoint et lorsqu'il y a juste deux ans les Palestiniens -faisant fi des "accords passés dans le cadre du processus de
paix"- ont envahi et detruit le Tombeau de Joseph a Naplouse ? Le libre acces pour les lieux saints doit il etre toujours utilise a sens unique ?
Le Quai d'Orsay a toujours refuse de reconnaitre Jerusalem (y compris les quartiers situes a l'"Ouest") comme faisant partie du territoire israelien, s'abrittant derriere la notion eculee de "Corpus separatum".
Or le "Corpus separatum" comprend egalement la ville de Betlehem. Pour assurer un semblant d'equilibre et de logique , la France devrait s'abstenir de placer Betlehem dans les territoires palestiniens tant qu'elle ne reconnait pas la souverainete israelienne sur Jerusalem.
Et si Jerusalem est une entite extra territoriale, comment se fait il que dans une publicite parue dans la publication "This Week in Palestine", le Consulat de France a Jerusalem place le Centre Culturel Francais de Jerusalem en "Palestine" ?
(Pourquoi d'ailleurs cette revue de propagande palestinienne en langue anglaise est elle systematiquement distribuee dans les Centres Culturels Francais dependant du Consulat de Jerusalem, dans des presentoirs destines aux documents edites par les centres eux-memes?)
Denis Kassel, Jerusalem, Israel
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 15 septembre 2002 - 20h42: |
A la veille de Kipour où la plupart de nos frères prient déja pour un pardon et un renouveau dans le monde, je tiens à remercier tout d'abord Jaco pour avoir entrepris cette noble tâche de créer et de maintenir à son compte et a son temps ce site merveilleux qui a permis à nos frères éparpillés dans le monde de communiquer entre eux et avec nos frères en Israël. Ce site a permis aussi la liaison et le dialogue avec les habitants non fanatiques de notre pays natal la Tunisie.
A l'heure où tout le monde attend les décisions de l'ONU et de notre président George W. Bush je prie notre Seigneur qu'il éloigne les mauvais et les mauvaises intentions et qu'il rapproche les coeurs de tous les êtres et nous donne la paix. Amen.
Par cette occasion j'étends à nos amis harissiens mes voeux pour une Hatima Tova et une bonne année pleine de santé, de prospérité et de paix. Amen.
Par Admin (Admin) le mardi 17 septembre 2002 - 07h38: |