Par Admin (Admin) le vendredi 27 septembre 2002 - 08h16: |
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 26 septembre 2002 - 06h33: |
A David Eden. Vous savez bien qu'en principe je ne me mêle pas des histoires de la Tunisie. Mais cette fois ci je trouve que Citron va un peu loin en voulant démontrer que la Tunisie est plus démocratique qu'Israël. Je trouve que c’est de la bêtise de faire des comparaisons entre deux pays de différent caractère et de différent régime politique. D'abord Israël n'a pas besoin de constitution, puisqu'elle a les lois et ils sont appliquées à la lettre.
Je respecte mon pays de naissance qui est la Tunisie et le peuple qui l'habite et particulièrement mes amis musulmans, mais rendons à César ce qui est à César. En arabe on dit: " Khali Eriq a la Jneb, Ou Sali A'anabi" Je suis très déçu du manque de générosité arabe et du manque de leur courage civique. David, quant à Israël, de ma part, il se fait des illusions pour se qui concerne les députés Arabes, car tôt ou tard ils se joindrons à leur frère de la Ci-Jordanie, de Gaza, de la Syrie ou de l’Egypte.
Israël ne peut pas être comme l'amérique, car c'est un petit peuple. Je dirais aux Israéliens gardez votre identité et caractère Juifs même si vous avez un petit pays vous seriez plus heureux, car de nature les Juifs voient les choses autrement que les Arabes et un à l’envers. C’est une question de mode de vie, de culture et de croyance. Je respecte la liberté de perception de chacun. Mais je ne peu respecter l’emploi de la terreur pour obtenir de meilleures conditions dans les négociations. Israël a le droit de se défendre surtout quand elle a faire avec des personnes qui aiment plus la mort que la vie. Les Juifs qui viennent des camps de la mort et des camps de la persécutions aspirent évidemment à la vie.
Par Mena (Mena) le jeudi 26 septembre 2002 - 03h09: |
Esprit Métula ! (info # 012509/2)
Par Gérard Huber, correspondent permanent © Metula News Agency
Il y a vingt-cinq ans, un de mes maîtres, le philosophe Jean Lacroix, cofondateur de la revue Esprit avec Emmanuel Mounier et chroniqueur philosophique au journal Le Monde (de sa création à 1980), m’avait demandé de lire le manuscrit qu’il devait livrer bientôt (en 1977) à la publication, sous le titre Philosophie de la culpabilité[1].
L’idée qui l’obsédait était de penser la nécessaire limite qu’il fallait opposer à la destruction des certitudes résultant de l’œuvre de ceux qu’avec Paul Ricœur, il appelait« les philosophes du soupçon » (Marx, Nietzsche et Freud).
Avec le temps, ce sujet est devenu plus actuel que jamais. En effet, une fois que les déterminations économiques, religieuses, morales et pulsionnelles ont eu été mises jour, la question de la synthèse de nouvelles certitudes s’est trouvée posée avec acuité. Elle se formulait ainsi : fallait-il en finir avec le dogmatisme ou fallait-il aller plus loin et mettre un terme non seulement aux certitudes qui n’étaient pas des dogmes, mais à la recherche même de nouvelles certitudes ?
Le politique allait se charger de répondre à l’alternative. Tandis que la scène du monde se couvrit peu à peu de crimes contre l’humanité (Cambodge, Biafra, Rwanda, terrorisme anti-juif…), de nombreux intellectuels allaient remettre en question des certitudes non dogmatiques au nom de l’esprit d’incertitude et de la lutte contre le dogmatisme et installer un nouveau dogmatisme qu’ils habilleraient d’un prétendu doute fondateur.
La rumeur se répandit alors au nom de l’innocence. Des biologistes n’hésitèrent pas à massacrer la génétique naissante, en déclarant leur foi en un Lyssenko soviétique. Des écrivains opposèrent la libéralité capitaliste au despotisme communiste qu’ils choisirent contre la liberté.
Lorsque Mai 68 éclata en France, l’alternative avait vécu. Le dogmatisme s’institutionnalisa dans son oubli. Partout, les enfants de Mai 68 imposèrent, peu à peu, le mythe de l’hérétique consacré, c’est-à-dire du « meneur de foules » qui soupçonne l’esprit créateur d’être la voie royale du doute, pour mieux l’étouffer dans la sérénité. L’imposture affective généra la norme. Le délire interprétatif fut justifié au nom du rejet de la psychanalyse. L’esprit délétère fut confondu avec l’esprit pamphlétaire. Et peu à peu, Céline passa.
Désormais, les savoirs officiels considèrent tous les résultats qu’ils n’expliquent pas comme autant de dogmes fondés sur une rumeur. Quel que soit le domaine concerné, les sciences, l’art, la philosophie, la psychanalyse ou la politique, le pouvoir institué craint la connaissance. L’invention, l’innovation, mais aussi la découverte sont autant de réalités immédiatement subversives qui déstabilisent les institutions et déroutent les esprits dogmatiques.
Pour prendre un seul exemple, typique de cet état d’esprit : tout récemment, on a cherché à prouver la non-historicité de l’existence biblique du peuple d’Israël par l’historicité (datant au moins du VIIème siècle avant notre ère) de celle du peuple juif que démontre l’ouvrage archéologique La Bible dévoilée de Finkelstein et Silberman. On a seulement « oublié » la mention « Israël » qui se trouve sur la Stèle du pharaon Merneptah (1207 avant notre ère).
« Si le soleil ne brille que pour la bourgeoisie, s’exclama, un jour, Trotski, nous éteindrons le soleil ». Cette parole que j’ai eu l’occasion de critiquer, lors d’un récent séminaire (voir mon dossier « Les Scientifiques et la Paix » sur le site de La Ména), ne cesse d’éclairer l’état d’esprit des temps présents. Elle suppose :
- que l’on adhère à une idée de la connaissance des faits qui plie devant l’idéologie (Trotski se plaçait du point de vue de ce qu’il appelait la mission historique du prolétariat)
- que l’on accepte que l’idéologie conduise à l’ignorance (le soleil ne brille pas que pour la bourgeoisie)
- que l’on se croit tout puissant (le soleil ne peut être éteint par l’homme)
- que l’on soit prêt à détruire le monde (la finalité de l’extinction du soleil n’est pas de détruire la bourgeoisie, mais le monde tout entier).
Aujourd’hui, la notion de « prolétariat » n’a plus bonne presse. Plus personne ne sait exactement ce qu’il faut entendre par là. La notion de « peuple », qui l’a précédée, a repris l’initiative.
Appliqué au conflit israélo-palestinien, le raisonnement de Trotski donnerait l’énoncé suivant : « Si le soleil ne brille que pour Israël, nous éteindrons le soleil ».
Pour le tenir, il faut admettre :
- que le discours de vérité consiste à se placer du point de vue du peuple palestinien
- que les Israéliens ne souffrent pas autant que les Palestiniens
- que les Palestiniens détiennent les moyens de détruire la source de vie des Israéliens
- que les Palestiniens sont prêts à détruire non seulement Israël, mais le monde entier.
Or, c’est exactement le discours que de nombreux militants et intellectuels pro-palestiniens tiennent aujourd’hui, en France.
Chacun de ces pré-requits peut être utilement analysé.
1) Le peuple palestinien détient sa vérité. Mais, comme le peuple israélien, il n’est pas seul à détenir les clés du discours de la vérité en jeu dans ce conflit. Le problème est que, de part et d’autre, on entend désormais que des discours idéologiques à la place de ces deux discours.
2) La souffrance et le partage des traumatismes sont des composantes essentielles de la réalité du conflit depuis que celui-ci a commencé. Il est vain de vouloir en prendre acte, en se plaçant du point de vue d’un seul des deux peuples et en laissant croire que l’autre ne subirait que les conséquences du choix des autorités politiques et militaires qui le représentent.
3) Les attentats – suicides et altruicides ont été pensés (et sont encore pensés) par de nombreux Palestiniens comme le meilleur moyen d’obliger le peuple israélien à fuir ou à se tuer. Cette perception qui a été à l’origine de ces nouveaux crimes contre l’humanité est une monumentale erreur qui montre que les responsables palestiniens que l’étude de l’histoire juive (le soi-disant syndrome de Massada) a conduits à imaginer une telle stratégie, ont été surdéterminés par leurs propres pulsions auto-destructrices.
4) Ces crimes contre l’humanité qui ont été commis au Proche-Orient depuis de nombreuses années ne sauraient être distingués de ceux qui se sont multipliés dans le monde aux Etats-Unis ou au Pakistan, car le fait qu’ils soient perpétrés au nom de la cause d’un peuple ne saurait dissimuler qu’ils portent en eux l’autodestruction du monde.
Lorsque, grâce à mon ami Pierre Bouskila, j’ai pris connaissance de l’existence de l’Agence de presse Metula News Agency, je me suis rendu compte qu’une convergence des discours israéliens et palestiniens pourrait un jour s’amorcer sur la base d’un esprit de vérité. Depuis, de nombreuses personnes, dont le point commun initial était de lire les dépêches de l’Agence, souhaitent se regrouper au sein de l’association « Les Amis de La Ména », afin que l’esprit de vérité de Métula soit relayé çà et là, à travers des conférences, des écrits, des initiatives de toutes sortes.
On pourrait penser que c’est du« politiquement correct » et que cela fait ordre dans notre pays qui compte plus de huit cent mille associations. Je crois que ce serait une erreur. La création prochaine de cette association fait désordre. En effet, elle ne vise pas à institutionnaliser une parole (le fait que l’agence soit basée à Métula ne l’empêche nullement d’être totalement indépendante de l’Etat d’Israël et des politiciens israéliens), mais à pousser dans leurs retranchements ceux qui prétendent en savoir assez pour prendre des décisions sur le conflit israélo-palestinien, quel qu’en soit le niveau (politique, médiatique, judiciaire, scientifique, associatif…) et quelle que soit leur appartenance à tel ou tel peuple impliqué politiquement et militairement (Israéliens, Palestiniens) ou diplomatiquement (Français,Américains etc.) dans le conflit.
Née de la décision d’hommes libres, elle demeurera ouverte à l’esprit, c’est-à-dire à la réflexion, à l’amitié, à l’altérité et à l’hospitalité. Quelque chose de nouveau se passe dans notre bon vieux pays de France. Soyons-en conscients !
[1] P.U.F. (Philosophie d'aujourd'hui).
Par Bingo (Bingo) le jeudi 26 septembre 2002 - 02h30: |
Justement si l'etat d'Israel a choisi de ne pas imposer de constitution c'est pour que personne de ses futurs dirigents ne puissent la modifier au gres de leurs interets personnels.
Par Bingo (Bingo) le jeudi 26 septembre 2002 - 02h24: |
Message adresse a Monsieur Le Citron:
Mettez vous dans la tete que l'etat d'Israel est a ce jour un etat sans constitution.
a sa creation il n'y a eu qu'un decret d'independance: MEGUILAT AATSMAOUT.
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 26 septembre 2002 - 01h59: |
ARTICLE 1 DE LA CONSTITUTION TUNISIENNE
a monsieur davideden qui refuse a la tunisie de se definir comme etat arabo-musulman alors qu'il admet le caractere juif de l'etat d'israel:
maitre ben jemaa parle de l'article1 et 6 de la constitution tunisienne dans un article sur le droit
....Faisant un petit détour en sa compétence de juriste par les articles de la Constitution que certain(e)s de ses collègues ont l'habitude d'opposer, à savoir l'article 1 faisant de la langue arabe et de la religion musulmane les piliers de la République et l'article 6 garantissant l'égalité entre tous les citoyens,- articles sur lesquels on joue pour restreindre ou confirmer les droits des femmes, notamment par des réserves aux conventions internationales- Mme Ben Jemaâ soutient qu'il n'y a pas de contradiction : oui, la Tunisie a pour religion l'Islam et, dans le même temps (et non pas, pourtant) elle garantit la liberté de culte et l'égalité entre les citoyens.
Aussi, Mme ben Jemaâ n'est pas d'accord avec ses collègues qui soutiennent la "schizophrénie" de la Constitution tunisienne ou son ambiguïté. Non, à ses yeux, ce sont les interprétations qui sont ambigües. L'article 1 est un article descriptif et les articles 5 et 6 sont des garanties d'égalité et de liberté de conscience pour tous les citoyens, conformes aux valeurs universelles. Aussi, n'entre-t-il aucune contradiction entre les dispositions de la Loi fondamentale et celles du Code de Statut Personnel....
http://www.tunisieinfo.com/realites/870/index.html
le.citron@laposte.net
Par Rahelina (Rahelina) le jeudi 26 septembre 2002 - 00h42: |
Par Michka (Michka) le mercredi 25 septembre 2002 - 23h40: |
Lu sur AIPJ. Merci à l'auteur pour tant de lucidité. Michka
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Le "peuple palestinien" est une invention
Histoire
Les premières implantations du peuple hébreu sur les terres de ce qui deviendra plus tard l'Etat d'Israël, remontent au XVII° siècle avant notre ère.
Le premier Etat qui y fut constitué fut le royaume de David, de 1004 à 965 avec déjà Jérusalem comme capitale.
La souveraineté de ce premier Etat hébreu prit fin en 586 à la suite de diverses invasions …
Palestine est le nom inventé par l'empereur Hadrien en 135 de notre ère, par analogie avec les Philistins qui ont jadis occupé une partie de cette région.
Après l'occupation par l'empire romain, puis par d'autres peuples dont des Arabes, par les Croisés de 1099 à 1291, des populations musulmanes s'y sont installées ensuite sans toutefois constituer d'Etat souverain, puis l'empire ottoman l'a occupée à partir de 1517.
La Palestine a ensuite été placée sous protectorat du Royaume-Uni à partir de 1918.
L'Etat d'Israël a été créé en 1948 par l'ONU en accord avec la communauté internationale unanime (à l'exception de pays arabes), sur une partie de ce territoire. Le reste devait être dévolu à un Etat arabe qui n'a jamais pu être créé, car après la guerre menée en 1948-49 par les Etats arabes voisins, la Jordanie a occupé la région de Judée Samarie qui est alors devenue la Cisjordanie et l'Egypte, la bande de Gaza.
Contrôlés par Israël après la guerre des six jours en 1967, ces territoires n'ont plus jamais été revendiqués par la Jordanie ni par l'Egypte par la suite.
Peuplement
Les Juifs, toujours présents sur cette terre depuis le XVII° siècle avant notre ère, donc pendant presque quatre millénaires, ont été rejoints par d'autres Juifs venus d'Europe.
Le recensement ottoman de la Palestine en 1822 décompte 141 000 Musulmans, ce qui est très peu, un quasi-désert, et en 1922 celui des Britanniques mentionne 650 000 Arabes alors qu'il y avait un peu moins de 100 000 Juifs.
L'augmentation considérable de cette population s'explique par l'immigration d'Arabes venus des pays voisins, le Liban, la Syrie, la Jordanie et l'Egypte, surtout avant la création d'Israël, principalement dans les années 1920 et 1930.
En effet, l'installation de Juifs dès la fin du XIX° siècle en Palestine a entraîné un décollage économique et la prospérité qui ont attiré une main d'œuvre arabe abondante et disponible.
Les Arabes vivant en Palestine sont natifs pour un tiers de pays arabes voisins, comme par exemple Yasser Arafat, né le 24 août 1929 au Caire.
La Palestine n'est pas une terre sacrée de l'Islam, et Jérusalem n'est pas le lieu saint de l'Islam, mais La Mecque dès l'origine.
Donc, le peuple palestinien n'existe pas en tant que tel.
En effet, il n'y a aucune trace d'identité du peuple palestinien avant 1920. Les Arabes qui vivaient alors en Palestine avaient le sentiment de faire partie de la Grande Syrie et non pas d'un peuple palestinien ayant toujours existé.
C'est seulement après la création de l'Etat d'Israël que les Arabes qui vivaient en Palestine ont manifesté une identité commune pour contrer l'implantation du peuple juif et c'est dans les années 1960, que se sont développées les premières organisations se référant à un peuple palestinien.
Le peuple palestinien est donc une invention de ceux qui se sont autoproclamés les représentants des Arabes vivant en Cisjordanie, territoire dont la souveraineté a été abandonnée par la Jordanie (qui ne veut pas intégrer une population qui pose beaucoup trop de problèmes et qui risque de la déstabiliser), et dans la bande de Gaza, qui n'est plus revendiquée par l'Egypte.
Un peuple palestinien ancestral n'existant pas, la revendication d'un Etat palestinien n'est pas fondée, surtout quand ceux qui se présentent comme ses dirigeants proclament que leur objectif est finalement de détruire Israël et de rejeter les juifs à la mer.
La plupart des médias occidentaux et des hommes politiques ont repris abondamment ce concept de peuple palestinien contraire à la réalité historique.
Il s'agit là d'une monumentale désinformation particulièrement inquiétante, alors que l'information est libre et facilement accessible par tout le monde…
Ce texte a été écrit en particulier grâce aux informations fournies par Alain Michel, historien, qui a publié un ouvrage de référence, Racines d'Israël 1948 : plongée dans 3000 ans d'histoire aux Editions Autrement, 1988.
Jean Pierre Chevalier
Par Slim (Slim) le mercredi 25 septembre 2002 - 22h40: |
Je viens de trouver un site tres interessant cree par une femme juive d'origine maghrebine (je ne sais pas de quel pays, mais je pense qu'elle doit etre ou bien Tunisienne ou Algerienne), elle elabore plusieurs sujets qui sont tres interessants et parles des similarites et des differences entre la religion Juive et la religion musulmane. Je me demande si elle n'a pas pris quelques morceaux d'informations de notre site Harissa:-)Voici l'adresse du site:
http://www.chez.com/rdj/sommaire.htm
Par Mena (Mena) le mercredi 25 septembre 2002 - 18h25: |
Yasu Haïfa, yasu ! (info # 022409/2)
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency à 23h 37 heure de Jérusalem
Ce soir, devant 14.000 chypriotes grecs et 3.000 Israéliens qui avaient fait le déplacement de Nicosie, dans ce que l’UEFA considérait comme son match à domicile, le Maccabi Haïfa a dominé l’Olympiakos du Pirée sur le score de 3 buts à 0.
Dès le début de la partie, les Israéliens ont littéralement pris leurs adversaires à la gorge, en s’installant de façon déterminée dans le camp grec. Le premier goal de Haïfa survenait comme un fruit mûr, à la suite d’une faute sur Walid Badir, qui venait de faire un grand pont à la défense hellène.
Le Nigérien Yagubo Igavili, qui allait devenir l’homme du match, auteur d’un hat trick, vengeait son camarade arabe israélien et transformait le pénalty accordé par l’arbitre italien.
Olympiakos était pris à froid, incapable, durant une longue demi-heure, de la moindre action de football digne de ce nom. Douche froide pour les Olympiens, après leur récente victoire 6-2 sur les Allemands de Leverkusen – finalistes de la compétition européenne l’an dernier -.
En seconde période, les Grecs tentaient en vain d’imposer leur pression sur le but défendu par l’excellent Doudou Awat. C’est au contraire Igavili qui trompait le portier des Athéniens d’une pichenette superbe, qui voyait le ballon mourir, au ralenti, dans le coin droit du but.
En fin de partie, le Nigérien remettait cela, reprenant un long centre de la droite avant les défenseurs et le gardien du Pirée. Le troisième but était réellement superbe, conclu d’un geste technique de très haute facture. Igavili, se contentant de soulever le cuir, sans le contrôler et, une fois ses adversaires affalés dans l’herbe, il n’avait plus qu’à précipiter le ballon au fond des filets.
Autant que le résultat, c’est la manière de Haïfa, son jeu collectif, son fond technique et sa volonté collective qui ont plu. Les Macabéens ont dominé leur sujet de la tête et des épaules, effaçant leur échec d’Old Traford contre Manchester United. Ajoutons encore que le match s’est déroulé dans un très bon esprit et que le meilleur joueur du côté des perdants fut l’ex-international français Christian Karembeu.
Dans la partie parallèle du même groupe, qui se déroulait en Allemagne, Manchester a battu Leverkusen sur le score de 2 à 1, s’emparant du même coup de la tête du groupe, Haïfa et Olympiakos se partageant la seconde place.
La semaine prochaine, Haïfa recevra Leverkusen, dans son stade d’emprunt de Nicosie.
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 25 septembre 2002 - 18h23: |
TUNES CELEBRES
messieurs,
je vous informe par la presente que mon pere et grand-pere et freres de mon pere etaient bouchers et chevillards en tunisie. il s'appelait leon abitbol "dit lioni" la boucherie s'appelait LA ROSE BLANCHE .
Merci de rajouter ceci a votre liste.
Cela me ferait vraiment plaisir et les informations que je vous ai donnees vous pourrez les verifier
ENCORE MERCI ET CHANA TOVA
e-mail grumo95@aol.com
Par Nao (Nao) le mercredi 25 septembre 2002 - 17h18: |
Il faut parfois ecouter nos detracteurs. Voici pele mele des reactions d'internautes a un article condamnant la liberation de Papon et envoyees au site de Pierre Bouskila:
Hmmm Israel est choque par la mise en liberte d'un homme ayant execute des ordres. (Ce que je n'excuse pas) Moi je suis choque partiquement tous les jours par les ordres donnes par Sharon.
jj, Belfast
Ca me fait rigoler ca. Les Israeliens ferait mieux de s'occuper de leurs problemes. Vivement la libération d'Israel (par des modérés) et puis on verra si leur justice est meilleure que la notre quand ils jugeront A.SHARON. Non au genocide Palestinien.
dsf, sdf
Lamentable de libérer un homme qui a conduit d'autres hommes dans les camps de la mort, alors qu'on emprisonne des jeunes pour du Cannabis ou un peu de Teush, ou encore des gens qui vole pour se nourrir. La France a la justice qu'elle mérite. Une justice pourri.
Nordine, Geneve
C'est vrai que l'état Israelien aime bien laisser les gens enfermés. Les palestiniens par exemple....
Didier, Paris
Comment peut on remettre en liberte un tel monstre qui n'a aucun remords par rapport aux crimes qu'il a commit et enfermer une mere de famille qui a vole de la nourriture pour nourrir ses enfant (et qui regrette) pendant des annees?ou est la vraie justice? vit on dans une societe ou les criminels vivent en liberte et les honnetes gens en prison?
sandrine, sarthe
Encore un enfant palestinien tué par un char, messieurs les israeliens allez-vous condamner vos militaires ou préfèrez-vous critiquer les autres pays?
didier, NANCY
Par Victoria (Victoria) le mercredi 25 septembre 2002 - 15h56: |
Premier signe d'un mouvement plus vaste ?
L'avocat Arno Klarsfeld a pris la nationalité Israelienne et s'apprête a faire une tournée aux USA pour convaincre les étudiants americains de la justesse de la cause israelienne. Arno Klarsfeld ne projette pas de s'installer en Israël pour le moment. (Guysen.Israël.News)
Par Admin (Admin) le mercredi 25 septembre 2002 - 07h55: |
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 25 septembre 2002 - 04h28: |
Comme ce sont les fêtes de Soukkot, il est naturel que je relate notre tradition comme on l'a pratiquée à Béja. Notre voisin de l'immeuble, Fraji Chaouat, le père de Rémi, Aimée, Jojo et leur grand frère, se prenait la tâche de construire la soukka sur la terrace de l'appartement de Houaia Fargeon, qui était du même immeuble. Je me souviens de la grande terrasse qui avait des carreaux en céramique brunes-rougeâtres. Tous les enfants nous étions curieux de voir comment la soukka se montait. Une fois finie, venait le tour de Lalou Fargeon, et de son frère Fraji Fargeon de la décorer avec des feuilles de palmier. Ensuite c'était le tour de leur mère Rahel, de leur soeurs Mayssa et Fortunée Fargeon d'étaler des beaux draps en couleur. Quand tout était fini, elles accrochaient deux kandils (lampes à l'huile) à la poutre centrale de la soukka. Quand tout était bien fini, venait le tour de mon père pour mettre une rallonge électrique avec une ampoule de 100W. Maman mettait la table avec une belle nappe et toutes les femmes participaient à garnir cette table avec des bons plats préparés à l'avance. La veille de Soukkot les trois familles se réunissait autour de la table et je me souviens encore du vieux Haim Fargeon avec son pantalon bouffant qui tenait le verre rempli de brakha que l'on faisait avec des raisin secs, et faisait la prière. Toute la fête de Soukkot c'était mon grand plaisir d'amener le plat de Mhamer que maman faisait dans la soukka.
Le soir du premier jour du "hol hamoed", on se préparait pour aller au pèlerinage de Testour.
Le lendemain nous le passions à Testour avec tous les pèlerins venus de chaque ville de la Tunisie et d'Algérie autour de la tombe de Rebbi Fraji Chaouat avec du michoui, de la boukha et aussi certaines nourritures de notre ville que l'on mangeait les jours de Soukkot.
Ma femme qui n'est pas née en Tunisie et n'a pas grandi avec nos traditions, mais qui avait appris de ma mère nos coutumes culinaires, m'avait enjolivé ces jours de fête avec des plats tunisiens et tout particulièrement avec des "Mhamer" (des aubergines farcies) que j'aime beaucoup. J'espère que tous ceux qui me lisent passent aussi de bonnes fêtes de Soukkot et de même je souhaite que nos frères, là où ils se trouvent passent aussi de bonnes fêtes de Soukkot avec nos traditions. Je me ferais le plaisir de lire des histoires de nos compatriotes sur ces jours et évidemment sur les recettes en mémoire de nos parents.(Zikhronam le vrakha)
Par Admin (Admin) le jeudi 26 septembre 2002 - 02h03: |