Par Admin (Admin) le lundi 07 octobre 2002 - 05h14: |
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 06 octobre 2002 - 07h48: |
PILAR RAHOLA, ex-députée de la Gauche républicaine espagnole : « La judéophobie explique l'hystérie pro-palestinienne de la gauche européenne »
Par Marc Tobiass contact@proche-orient.info
Vous pouvez lire l'article complet au:
http://www.proche-orient.info/xjournal_racism_int.php3?id_article=5283
Voici quelques phrases extraites de l'article:
(La législation sur les droits d'auteur ne nous autorise pas de diffuser l'article entier.)
Depuis le début de la seconde Intifada, la presse espagnole, de droite comme de gauche, tient un discours particulièrement agressif à l'égard d'Israël. Un discours qui fait l'impasse sur la motivation des actions israéliennes et qui tend à ignorer les victimes israéliennes dans ce conflit.
...il y a aujourd'hui un retour virulent de ce sentiment barbare au point que l'on peut trouver des expressions authentiquement antisémites dans la presse espagnole.
...plus les juifs sont représentés comme étant les méchants et les mauvais, moins la faute et la culpabilité sont lourdes à porter.
La majorité, l'inconscient collectif européen, lui, ne comprend pas, n'assimile pas, n'accepte pas le phénomène juif. Et c'est là que se situe la rencontre fondamentale entre l'Européen et le Palestinien. L'identité palestinienne n'est pas seulement un phénomène récent, elle s'est surtout construite sur la haine d'Israël, sur la haine du juif.
Or, la France est fondamentalement anti-américaine… D'où notre anti-américanisme qui frise parfois le pathologique, un anti-américanisme qui est aussi antisémite. Ce qui explique dans une certaine mesure que la gauche espagnole soit antisémite.
si l'Europe avait été plus critique avec les Palestiniens, nous serions aujourd'hui plus près d'une solution.
Par Mena (Mena) le dimanche 06 octobre 2002 - 07h25: |
Au-delà de Marwan Barghouti (3) ! (info # 010510/2)
Par Salomon Pardess © Metula News Agency
Troisième partie
La question posée par la troisième journée du procès de Marwan Barghouti (le 3 octobre 2002) est la suivante : l’enjeu est-il Barghouti ou l’autodestruction ? S’agit-il seulement de juger un homme accusé de crimes odieux ou de rendre conscient l’ordre mental politique mondial qui exige que, dans le conflit israélo-palestinien, il n’y ait aucune voix, ni à l’intérieur des sociétés israélienne et palestinienne, ni à l’extérieur, pour appeler à inverser le cours de l’autodestruction psychique et physique.
Toutes les victimes ou familles de victimes des attentats commis par les suicides de jeunes palestiniens savent ce qu’elles attendent de ce procès : pouvoir élever la voix, afin de nommer, dénoncer et détruire le système d’anéantissement d’eux-mêmes, de leurs enfants et de leurs proches. Mais, comme l’a prouvé la première journée d’audience, il y a tout lieu de craindre que ce système soit recouvert d’un épais manteau par d’autres voix que les leurs, d’autant que celles-ci s’élèvent au nom de leurs sentiments indignés.
Car, ce qui rend la vie si désespérée dans les sociétés israélienne et palestinienne, c’est que ceux qui ont voulu, et veulent encore, trouver une réponse positive à la question posée par le conflit israélo-palestinien, une réponse qui ne soit pas seulement la négation de l’autodestruction mais tout autre que la destruction, ne peuvent demander conseil à personne.
Ni, à l’intérieur de ces sociétés, comme cela aurait dû se faire, pour les Palestiniens qui auraient dû pouvoir s’appuyer sur l’autorité du Chef du Fatah en Palestine qu’est Barghouti, ou pour les Israéliens qui auraient dû pouvoir s’appuyer sur celle d’un homme de loi comme, Shamai Leibowitz. Ni à l’extérieur, comme cela aurait pu être attendu de l’autorité des intellectuels occidentaux.
En fait, les uns et les autres se situent à l’intérieur d’un univers dont les pulsions autodestructrices sont le seul horizon. Et s’ils en accusent, chacun à leur manière, leurs adversaires, ce que font d’ailleurs nombre d’hommes politiques, en Israël, dans les Territoires palestiniens ou dans le reste du monde, ce n’est pas parce qu’ils sont conscients de leur puissance effective, mais, au contraire, parce qu’ils refusent obstinément de constater le ravage qu’elles font en chacun d’eux.
Un nouveau totalitarisme intérieur a fait son apparition. L’autodestruction a remplacé le totalitarisme extérieur. Voilà l’idée qui n’a pas encore fait son chemin dans la conscience de ceux qui veulent aujourd’hui refonder le politique. Le procès Barghouti révèle que notre pensée doit aller loin, très loin, au-delà de celle de Hannah Arendt, si elle veut désormais comprendre et dépasser le monde dans lequel nous vivons.
Ce totalitarisme intérieur est un des effets, sans doute l’effet majeur, des échecs de la transmission de l’enseignement sur la Shoah. Ce qui le démontre le mieux, c’est la conviction avec laquelle un avocat juif, et qui plus est petit-fils de Yeshayahou Leibowitz, peut comparer sans sourciller Barghouti à Moïse.
Ceux qui connaissent bien la pensée de l’auteur de Histoire et Valeurs n’auront pas assez des années à venir pour comprendre comment celui qui, au lendemain de la guerre des Six Jours, prônait tout à la fois « le retrait des territoires habités par un million et demi d’Arabes » et de « nous consolider dans notre Etat juif » a pu devenir l’autorité morale au nom de laquelle Barghouti est devenu Moïse. Je leur laisse l’exclusivité de ce passionnant travail.
Mais, je voudrais montrer comment, au-delà de l’obscure accusation de « juif honteux » qui lui est adressée avec l’aisance de ceux qui n’ont rien à dire, la comparaison de Barghouti avec Moïse révèle en profondeur le totalitarisme intérieur.
Shamaï Leibowitz constate l’autodestruction, lorsqu’il dit : « comme le disait mon grand-père, l'occupation va détruire Israël ». Pour lui, Israël s’autodétruit par occupation interposée ; il pense donc, comme beaucoup d’acteurs, d’intellectuels ou de journalistes, que c’est « l’occupation », c’est-à-dire le projet politique d’Israël d’annexer tous les territoires palestiniens, qui détruit Israël.
On pourrait donc croire qu’il dit la même chose que les propagandistes palestiniens qui ont tourné le dos à toute négociation de fond pouvant conduire à la fin de l’occupation. Mais ne nous y trompons pas ! Ce n’est pas au nom des mêmes arguments et pas dans le même but. Leibowitz n’est pas un juif ni un sioniste honteux. Leibowitz ne ment pas. Il ne dit pas que le sionisme joue contre Israël. Il dit ce qu’il pense en toute sincérité, sans imaginer que sa référence à l’occupation puisse être étendue à ce que les propagandistes palestiniens appellent la Palestine historique (c’est-à-dire à ce pays tel qu’il était sous mandat britannique). Il pense même que c’est au nom d’une juste politique de retrait des territoires occupés depuis 1967 qu’Israël va consolider l’Etat juif dans des frontières reconnues.
Les immenses stratèges qui s’agitent dans toutes les capitales du monde et qui le mènent au désastre auront vite fait d’encenser ou de condamner ses propos, bref de les instrumentaliser.
Mais, l’essentiel est que son approche de l’autodestruction demeure extérieure. C’est un système qu’il perçoit dans les termes politiques classiques (au sens où « la politique, c’est la continuation de la guerre par d’autres moyens »).
Pour lui, si Israël se retirait des territoires, alors, il n’y aurait pas d’autodestruction. Cette affirmation qui était valable au lendemain de la guerre des Six Jours signifiait, à l’époque, que l’essence du geste d’Israël ne pouvait que toucher à l’ordre symbolique, et pas seulement à l’ordre politique des choses.
Trente-cinq longues années plus tard, c’est toujours dans l’ordre symbolique que les choses se passent, et c’est bien pour cette raison qu’une décision politique comme celle du retrait ne répondrait en rien à l’actuelle question posée par le conflit. Le retrait unilatéral sans condition d’Israël du Sud-Liban suffit à le montrer par l’exemple.
Pour juste que soit la position politique du retrait des troupes israéliennes des Territoires palestiniens, puisqu’elle est une condition pour que les Palestiniens démontrent ce qu’ils sont capables de faire comme peuple, elle ne répond absolument pas à la question posée. Ce qui veut dire que pour que ce retrait ait lieu, il faut nécessairement qu’il soit préparé par l’ordre symbolique qui sous-tend les relations entre les deux peuples actuellement ennemis, les Israéliens et les Palestiniens.
Et c’est là que la comparaison de Barghouti avec Moïse est totalement inadaptée. Leibowitz est conscient que sa comparaison choque, mais il « la trouve très pertinente. Dans le livre de l'Exode, il est dit plusieurs fois que Moïse se bat pour libérer son peuple. On y lit aussi que Moïse a exercé la violence contre les Egyptiens. Et pourtant nous le considérons comme un héros. »
Voilà soudain un homme de loi (au sens juridique et talmudiste) qui réduit le personnage historique, pour les uns, la figure scripturaire, pour les autres, de Moïse à celle d’un combattant dont la violence fut au service de la libération de son peuple. Nous sommes donc loin, très loin de la perception de la dimension symbolique des choses, nous sommes dans l’image d’Epinal, version « damnés de la terre » de Franz Fanon.
L’avocat ne sombre pas dans la honte, mais dans le simpliste, lorsqu’il tente de nous faire croire que là où il y a « libération d’un peuple », il y a nécessairement invention ou actualisation de la Loi morale, et en particulier de la sixième parole, le sixième commandement : « tu n’assassineras pas ! ».
Cette nouvelle version de la théologie juive de la libération laisse totalement dans l’ombre le puissant mouvement par lequel le Moïse biblique, s’arrachant à Mitzraïm de son enfance, s’auto affirme, lui et son peuple, dans un mouvement auquel son adversaire ne sait répondre que par…l’autodestruction.
Car la violence de Moïse ne s’exerce pas contre Mitzraïm, mais ce sont les dieux de Miztraïm qui s’autodétruisent.
Mutatis mutandis, ce sont les mêmes dieux intérieurs de l’autodestruction qui se déchaînent chez les Palestiniens (mais aussi chez nombre d’amis des Juifs qui ont accepté leur histoire ou se sont réconciliés avec elle, tant que cette histoire suivait les mêmes règles qu’avant 1948), en réponse à l’auto affirmation israélienne.
Ce qui ne veut pas dire qu’Israël ne soit pas menacé par ses propres dieux intérieurs autodestructeurs également. Mais ceci est un autre sujet qui mérite d’être analysé sereinement, et surtout pas dans la confusion, à un moment où c’est l’autodestruction palestinienne qui est en question.
Car, le jour où il conviendra d’analyser ce phénomène – et ce jour n’est pas à venir, il a déjà commencé -, le retour de Moïse devra s’imposer de manière adéquate.
Par Mexico (Mexico) le dimanche 06 octobre 2002 - 06h43: |
Chere Isabelle,
Je suis tres heureuse d'apprendre la naissance de ton bebe.
J'espere que tout s'est bien passe.
Mes vives felicitations a toi, a ton mari, a la petite soeur ainee, et aux grand-parents.
Je souhaite a cette petite creature une bonne sante et une longue vie de bonheur.
MAZAL TOV!!!
Yael Deitz
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 06 octobre 2002 - 04h17: |
"Les Mots" de Raja Chebbi sont plus que touchants. Ils sont profonds et expriment des vérités incontestables. Permettez moi Ya Si Raja de vous dire:
Barakallah Fik, Ya Rajel (Que D' Vous benisse, homme)
Klam El Hob Ou Esalam (Parole d'amour et de paix)
Ya Oueld Enass Elahlal (Fils de personne pure)
Ibn El Gamra Ouel Lahlal (Fils de la lune et de sa couronne)
Je dirais, la parole est sacrée.
Elle est en nous bien ancrée.
Depuis notre naissance
Et pour toute l'existence.
Si nous restons calmes et patients
Nous serons un jour conscients
Nous la sentons à tout moment
Car elle porte en elle l'aimant
De l'étincelle et de son fin fil
Qui nous sauve de tout péril
Elle nous guide vers le lendemain
Nous dirige vers le bon chemin
Que nous soyons d'une religion
Ou enfants d'une même région
Les hommes d'une autre face
Ou ceux d'une autre race
L'essentiel est de rester humain
Pour saisir la grâce sur le chemin.
Emile Tubiana
Par Djlachem (Djlachem) le samedi 05 octobre 2002 - 17h58: |
----- Message d'origine -----
De : Jean-Pierre CHEMLA
À : Axel KAHN
Envoyé : samedi 5 octobre 2002 17:49
Objet : CAPJPO
Paris, le 5 octobre 2002
Monsieur le Professeur, cher confrère,
Pardon de revenir encore sur cette affaire de CAPJPO mais je crois qu’il est de mon devoir que vous soyez informé des méthodes de cette organisation.
En mars dernier, la toute fraîche CAPJPO encore inconnue dans sa composition et ses objectifs, a réussi à réunir sous un mot d’ordre consensuel, à savoir « une paix juste au Proche Orient », la signature de personnalités prestigieuses dont la vôtre. Et pour cause ! Qui n’est pas pour une paix juste dans cette région.
Forte de ces cautions, cette coordination a pu, par la suite se consacrer à ses buts initiaux et cachés : le dénigrement systématique d’Israël et de ceux qui soutiennent ce peuple. Il suffit de parcourir leur site Internet pour se rendre compte de la violence de leurs propos. A titre d’exemple, je vous invite à lire l’interview d’Ahmed Saadat ( http://www.paixjusteauproche-orient.com/article.php?code=282&FormName=articles.php&FormArticles_Page=1&search=Ahmed+Saadat ), pour que vous puissiez vous rendre compte des propos abrités par ce site où l’on est pour une paix juste mais sans juifs dans la région ! On peut y lire, de la part de l’assassin d’un ministre israélien :
"Au FPLP, nous ne pensons pas que la solution de «deux états pour deux peuples» soit une solution viable. Même si nous parvenions à satisfaire cette revendication, le problème serait loin d’être réglé, en premier lieu car l’Etat d’Israël continuerait d’exister tel qu’il est »….
« La solution des deux Etats ne peut être, au mieux, qu’une solution temporaire. Une solution réelle au conflit devrait répondre à trois données fondamentales : la fin de l’occupation, le retour des réfugiés, et l’établissement d’un pouvoir réellement démocratique sur l’ensemble de la Palestine historique. »
Et cela entre un appel au boycott des produits israéliens et certains articles à la limite de l’antisémitisme déclaré !
Il apparaît de plus en plus insupportable à nombre d’entre nous, amis d’Israël, mais aussi combattants pour la paix, de voir ces imposteurs « surfer » sur la notoriété de signataires abusés par une appellation ronflante et continuer à utiliser vos noms, présents sur une des principales pages du site, comme garantie de respectabilité.
Je vous laisse bien entendu le choix de donner une suite ou non à mon courrier, mais je tenais à ce que vous soyez informé de l’utilisation que certains font de votre prestige.
Je vous prie de croire, cher Axel Kahn, en mes sentiments les meilleurs et confraternels.
Docteur Jean-Pierre CHEMLA
Par Michka (Michka) le samedi 05 octobre 2002 - 17h33: |
Chère Isa,
Depuis la " super manif " (expresion de Victoria) de mercredi, je n'ai pas surfé sur internet.
Et voilà qu'aujourd'hui j'apprends l'heureuse nouvelle.
Alors Bébé a poussé son premier cri pendant que nous étions en train de pousser les nôtres à l'encontre des plus grands imposteurs de la désinformation?.....
J'y vois là un signe et cette petite aura les talents de sa maman puissance 5 + 5.
Félicitations à toi, ton mari.
Le peuple d'Israel accueille sa nouvelle Princesse qui défendra en bleu et blanc ses valeurs et sa grandeur...
Par Lucia (Lucia) le samedi 05 octobre 2002 - 05h47: |
Chere Isa, toutes mes felicitations, mazal tov a
la petite nouvelle. Et a toi bonne sante.
Beaucoup de bonheur a toute la famille. Grosses
bises, lucia
Par Mena (Mena) le samedi 05 octobre 2002 - 01h52: |
Par ailleurs, la Ména communique, qu’en raison de l’opposition politique à la conférence de la Ména manifestée par certains membres de l’association dite des Cabarets philosophiques, ainsi que par d’autres associations locales et de leur refus de laisser Stéphane Juffa s’exprimer sereinement dans leur ville, la conférence prévue ce week-end à Poitiers a été annulée. La Ména regrette et condamne cette atteinte grossière à la liberté d’expression à Poitiers.
Par Mena (Mena) le samedi 05 octobre 2002 - 01h52: |
Les éléments concrets d’une autre lecture, dit-il ? (info # 010310/2)
Par Albert Capino © Metula News Agency
J’ai lu avec attention l’intervention d’Olivier MAZEROLLE, directeur de l’information de FR2, sur le site « Proche-Orient Info » hier, au sujet de la polémique autour de la mort du petit Mohammed Al Dura. http://www.proche-orient.info/xjournal_pol_int.php3?id_article=5277
Je note que c’est seulement le jour où une manifestation est prévue sous les fenêtres de la chaîne publique de télévision française, pour y dénoncer la désinformation qu’elle véhicule quotidiennement, qu’il nous est donné d’observer une réaction ; la première, à ma connaissance, officiellement, depuis le 30 octobre 2001 !
M. MAZEROLLE déclare notamment à Proche-Orient :
« Si j'avais trouvé dans le film d'Esther Shapira un élément concret de nature à apporter une autre lecture de l'affaire Al-Dura, je l'aurais évidemment passé »
Pourquoi ne pas diffuser le film et laisser aux téléspectateurs le soin de décider par eux-mêmes s’il contient ou pas un tel élément ? Les juge-t-on, chez FR2, incapables de se faire une opinion au point de s’arroger à la fois le rôle de juge et celui de la partie ?
Bien qu’il contredise les thèses supportées par celui de Charles ENERLIN, M. MAZEROLLE persiste à prétendre que le reportage de la ARD « n’apporte rien de nouveau » et ajoute, de manière assez surprenante, que les chaînes américaines et en particulier celles de la ville de New-York, la « plus grande ville juive du monde » (sic) (cet amalgame ville juive – droit à une télévision de vérité, tksss !) ne s’en sont pas saisies.
Pourquoi l’auraient-elles fait, MAZEROLLE ? C’est la probité professionnelle de FR2 qui est en cause dans cette affaire, pas celle des chaînes américaines !
Par ailleurs, Olivier MAZEROLLE déclare qu’il serait normal de « qualifier par exemple de terroristes palestiniens ceux qui portent la mort en terre d'Israël ». Dont acte. Je constate toutefois que dans tous les journaux télévisés de sa chaîne publique, les journalistes et présentateurs persistent à s’exprimer de façon anormale et à les nommer « activistes », « militants », « combattants », sans jamais les désigner comme des terroristes.
Lorsqu’une petite fille de 5 ans est assassinée dans son lit, de manière délibérée, à l’intérieur d’une implantation dans les « territoires », doit-on vraiment estimer qu’il s’agit d’un épisode légitime d’une « lutte de libération nationale ? »
S’il est un fait que la France ne s’est pas mise « au clair » après la guerre et que cela pose un cas de conscience à M. MAZEROLLE, les médias en supportent une lourde responsabilité. De la même manière, aujourd’hui, leur silence pèse sur les crimes contre l’humanité tels que les assassinats systématiques de civils désarmés.
Se posant la question de savoir ce qui se cache derrière l’absence de réaction de la communauté musulmane devant ses portes, le directeur de l’information de FR2 paraît bien mal informé. A quoi s’attendait-il ? A une manifestation de soutien ? Des satisfecit et des vivats ?
Une fois de plus, le directeur d’un média national public se retranche derrière « l’impossibilité de prêter entièrement l'oreille à ceux qui endossent la politique du gouvernement israélien ». Mais qui le lui demande ?
La seule revendication citoyenne et légitime qu’expriment les démocrates est celle appelant à une information objective, sans commentaires et compromissions partisans.
Par Mailroom (Mailroom) le samedi 05 octobre 2002 - 01h50: |
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 04 octobre 2002 - 19h11: |
A l'appel du Conseil des Communautés Juives de Seine et Marne (CCJ 77) et de la communauté Israélite de Roissy en Brie, nous vous appelons à participer à une manifestation contre la libération de Maurice Papon.
Le dimanche 6 octobre 2002, à 10 h 30 précises devant le domicile de Maurice Papon 75, rue de Paris à Gretz - Armainvilliers en Seine et Marne.
Nous vous devons être nombreux et nombreuses afin d'affirmer notre rejet de cette libération scandaleuse.
Merci de relayer l'info à un maximum de contacts.
Par Admin (Admin) le dimanche 06 octobre 2002 - 07h29: |