Par Admin (Admin) le samedi 09 novembre 2002 - 00h13:

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 08 novembre 2002 - 03h58:

Bravo Alik Ya Slim, La parole est la force Suprême. Elle est en elle même Lumimière.

En tunisien on dit:"KELMA ESBAH OU KELMA LA"ACHIAS
TROD MESELMA IHOUDIA" (un mot le matin et un mot le soir rend une musulmane une juive)

Et aussi: "Kelam Ma'a Elli Ma Yefhemek, Inaqess Mel La'mor" (Les paroles avec celui qui ne comprend pas lui racourcissent la vie)

Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 07 novembre 2002 - 23h21:

SUPPLIQUE A....... DIEU

Coupables des souffrances et des grondements de tonnerre !
Modérez vos démentes fureurs et vos absurdes chimères
Guerre d’usure, plans funestes sont vos principales manières
Pas une trêve n’ajourne la férocité de vos sombres bréviaires
Ayez pitié de vos peuples qui égarent de plus en plus leurs repères
Vos populations sont en train d’avaler un poison trop amer
Associez-vous pour protéger ce même bout de terre
La noble gloire est dans la paix et non pas dans la guerre
Sachez qu’en chacun de vos morts, pleure une mère.


Folles escalade de terreur d’hommes pédants
Répressions, destructions, douleurs et ravages indécents
Est-ce le malheur des gens qui fait la vertu des grands gouvernants ?
Quel monstre de carnage vorace, s’est emparé de ce pays sanglant
Une illusion de paradis vous est assurée par les émissaires de Satan.
L’amour, la paix et non pas la haine clame le reste des vivants.
Char, avion, canon, fantassin en action arrête le feu et le sang.
Deux peuples cousins si proches et pourtant tout à fait différents
Quel instinct vous conduit et quelle raison vous égare pour vivre ce tourment ?
Ce deuil n’a que trop duré, arrêtez ce massacre qui afflige vos habitants.


Ces monstres impurs qui vous cèdent leurs armements
Pour vous les vendre, ils usent de tous leurs boniments
Ils arbitrent vos conflits sanglants pleins de désastres et d’enterrements
Ils distillent la haine réciproque de vos deux peuples innocents
Rien ne les arrête, Shoah, pillage colonial, ce sont eux vos réels tyrans ;
Il serait grand temps que vous en tiriez enseignement.
L’effort d’une vertu commune et ca suffit, plus de conquérants.
Celui qui dompte ses instincts, mérite seul le nom de grand
Deux peuples attendent la paix, votre futur instrument !
Soyez, humains, généreux, équitables ; plus d’aveuglement.


Jusqu’à quand Seigneur, souffrirez vous l’ivresse
De ces indélicats, par qui vos divines lois se transgressent.
Ces hommes aveugles qui mélangent gloire et bassesse
Proclamant gloire et guerre sainte sans un brin de faiblesse
Tuant en votre nom, vos propres enfants avec armes diverses
Ces enfants qui conservent leur foi, dans ces moments de détresse
Pardonnez, Dieu puissant, leurs forfaits odieux et rendez leur l’allégresse.
Oh ! Dieu montrez-nous du haut de vos cieux, votre généreuse richesse
Pardonnez leur orgueil, ces peuples innocents d’une temporaire maladresse ;
Remplacez la conscience de ces accablés, eclairez-les par votre illustre sagesse.


VICTOR COHEN.

Par Mena (Mena) le vendredi 08 novembre 2002 - 06h15:

Dis-moi, miroir, miroir magique… (info # 010611/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency



L’idéologie du miroir, qui a fait tant de dégâts au sein des peuples israélien et palestinien, va-t-elle l’emporter une nouvelle fois dans les représentations politiques, à un moment où l’Etat d’Israël et l’Autorité palestinienne préparent de nouvelles échéances électorales intérieures qui décideront de l’avenir des deux peuples pour de nombreuses années ?



Il est de bon ton d’affirmer que Israéliens et Palestiniens vivent en miroir, que les uns n’existent que sous le regard des autres et inversement, et que, quoi qu’ils en disent, leur destin est commun. C’est un postulat politique qui n’est plus discuté par personne.



Il fait le bonheur de la gauche israélienne et de l’opposition démocratique palestinienne qui le reconnaissent (et leur dépit, puisque çà ne marche pas) et le malheur de la droite israélienne et de la majorité despotique palestinienne qui ne veut plus en entendre parler (et leur phobie, puisque son horizon est toujours-là).



Alors, admettons, un instant, la vérité du postulat. Admettons qu’il détermine nombre de comportements des forces politiques et militaires en présence. Admettons que, même si ce miroir est un mythe et son idéologie une mystification, l’idéologie du miroir est un facteur de la « Real Politik » qui se joue au Proche-Orient !



On pourrait espérer que le mythe apparaisse comme brisé. Que nenni !



Voici la gauche israélienne, qui n’a de cesse de tenter de le reconstituer, et la droite qui s’acharne à le concasser en un maximum de débris. Voici la majorité palestinienne, qui en piétine les restes et l’opposition qui le brandit envers et contre tout.



La mystification n’est toujours pas démasquée. Long et difficile sera le chemin pour accepter d’en faire le deuil.



Côté israélien, il y a ceux pour qui ce mythe était un rêve. Prenez Charles Enderlin. Il nous intéresse ici, non pour le journaliste qui se comporte comme un acteur de la guerre des images qui fait rage entre Israéliens et Palestiniens, cette fameuse guerre, que le défaitiste Barnavi déclare perdue, mais pour le doux rêveur qui après Mai-68, voulait changer de vie, a vécu au Kibboutz, puis est demeuré, mais à la ville, en Israël. Comme de nombreux Juifs de France ou d’ailleurs, il a fait son alya en s’imaginant que Israéliens et Palestiniens, Juifs et Arabes, faisaient, au fond de leur cœur, une seul entité. Et puis, patatras ! Le rêve s’est brisé.



Il y a ceux, pour qui ce mythe est devenu un cauchemar. Prenez Gavri Barguil, secrétaire général du mouvement kibboutzique, qui, lorsqu’il enterre Tamir Massad, décrit son pays comme « un pays perdu, sans âme, qui dévore ses habitants et ne sait plus depuis longtemps où il va ni comment ».



Il y a ceux, comme Aryeh Barnéa, qui préfèrent démystifier l’exemple de Massada, dont ils pensent qu’il ravage le pays, au point de légitimer l’assassinat politique de Juifs et le meurtre de ses propres enfants, sous le prétexte du combat contre l’ennemi.



Il y a ceux qui, comme Ilan Greislamer, font dépendre la reconstruction du « camp de la paix » israélien des Palestiniens de bonne volonté.



Il y a aussi ceux, comme Sharon ou Netannyahou, qui rêvent de faire comme s’ils n’avaient jamais rêvé et qui croient s’en tirer en construisant un mur de protection et en mettant Arafat définitivement hors-jeu.



Mais, côté palestinien, le mythe n’est pas déconstruit non plus. Il ne s’agit pas de « rêve », cette fois, mais de calcul.



Il y a ceux qui, comme Arafat, maintiennent l’Intifada et tolèrent ou encouragent les attentats suicides, sachant qu’ils appuient là où cela fait mal. Le rêve du destin commun ne les a pas ébranlés un seul instant, si ce n’est celui d’un « porte-avions » qui ferait des Territoires autonomes le point avancé et démultiplié de la reconquête de ce qu’en découpant l’histoire là où cela les arrange, ils appellent la « Palestine historique ». Ceux-là savaient que les attentats – suicides toucheraient les Israéliens comme Juifs avant tout, c’est-à-dire comme ceux qui n’ont jamais vu clair sur la signification historique de Massada. Les discours qui se répandent dans la presse israélienne leur prouvent, aujourd’hui, même s’ils se trompent sur leur ultime signification, qu’ils n’ont pas agi en vain.



Il y a ceux qui, comme Nusseibeh, acceptent l’idée d’une barrière de séparation entre Israéliens et Palestiniens, si c’est le prix à payer pour devenir le futur interlocuteur des Israéliens, mais qui préparent une nouvelle bombe à retardement, dans l’hypothèse de négociations à venir.



L’idée que les Israéliens et les Palestiniens vivent dans une relation de miroir est une idéologie, non une réalité.



J’ai eu plusieurs fois l’occasion de rappeler qu’un miroir est une archéologie d’images toutes différentes les unes des autres et que ce n’est que par esprit pusillanime et simplificateur, qu’on le réduit à un face-à-face entre deux images.



La guerre israélo-palestinienne révèle que les deux peuples qui se rencontrent sur cette terre depuis quelques décennies ne peuvent envisager un avenir commun qu’à la condition de reconnaître leurs différences historiques, religieuses, culturelles et politiques qui, elles, remontent à des siècles et des siècles.



Les représentations politiques, les décideurs militaires et les représentants des sociétés civiles ont montré leurs limites, toutes leurs limites, en Israël, dans les Territoires autonomes palestiniens, aux USA et en Europe. La démystification de l’idéologie du miroir et l’évitement du pire comme sa conséquence, ne peuvent résulter que d’une initiative mondiale de grands et honnêtes esprits qui aideront ces deux peuples à repenser leurs relations à l’intérieur du grand chantier de la connaissance, qui s’annonce comme seul capable d’expliquer au monde pourquoi la culture juive et la culture musulmane s’affrontent en cette région du monde, sous l’œil, machiavélique, de la culture catholique.

Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 07 novembre 2002 - 23h05:

Suite

Outre la peine à mort, le tribunal l'a condamné à huit ans de prison, à purger dans plusieurs villes de province, 74 coups de fouet et dix années de privation du droit d'enseigner, a-t-on appris de sources proches des réformateurs. Selon ces sources, l'écrivain peut faire appel.
(SDA-ATS\/ro ac/c8ira jus kulr)
© ATS

L'intéressé s'interroge sur l'opportunité d'un appel......C'est vrai que le verdict aurait pu être pire..

Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 07 novembre 2002 - 22h28:

Hachem Aghajari, membre de l'Organisation des moudjahidine de la révolution islamique (OMRI, réformatrice), a été arrêté en août à la suite d'un discours prononcé le 19 juin à Hamédan dans lequel il avait plaidé pour un "renouveau" de l'islam et estimé que les musulmans "n'avaient pas à suivre aveuglément un chef religieux".. Outre la peine à mort, le tribunal l'a condamné à huit ans de prison, à purger dans plusieurs villes de province, 74 coups de fouet et dix années de privation du droit d'enseigner, a-t-on appris de sources proches des réformateurs.

AFP

Le communiqué n'indique pas dans quel ordre les peines seront infligées. La prison et les coups de fouet, c'est après ou avant la mort, ya OMRI?

Décidément, on se marre vraiment sur Adra!

Par Slim (Slim) le jeudi 07 novembre 2002 - 20h55:

Ya Breitou:

Iqaoui Saadek, je suis par terre tellement ta piece d'Ommi Traki ma fait rire. Quelle cadeau magnifique.

Est ce qu'il est possible de se procurer les video des Pieces d'Ommi Traki en France? Meme question pour la piece "El Marechal Ammar".

Par Lapid (Lapid) le jeudi 07 novembre 2002 - 20h34:

Pour Bazooka :

Au sujet de votre blague israelienne !!

Pourquoi faut-il deux flics pour mettre un PV ?

1/penaliser les----------------Proces d'intention
2/ penaliser le derapage-------Verbal

Shabbat Chalom

Par Albert (Albert) le jeudi 07 novembre 2002 - 19h47:

MON SECOND KIF HENRI

C'est de vous inviter tous à la elloulla de BABA SALE dans 15 MINUTES...Au thêatre.

Par Albert (Albert) le jeudi 07 novembre 2002 - 19h40:

Je crois que presque tous les internautes ici me connaissent sur le site mais pas dans la vie.
Certains ont eu la chance de me rencontrer et ont trouvé un monsieur plein d 'entrain et d'humour
Un 'fedlagji' comme il en existait ailleurs. Autrefois. Une race qui tend à disparaître tant l'humour de rue ne fait plus fortune aujourd'hui.

Si j'interviens ici ce soir, alors que mon rôle est de faire du 'théâtre dans le virtuel' c'est parce que je me révolte parfois sur des expressions qui ne collent pas avec certains de mes amis et ies que j'ai appris à connaître soit par correspondance soit de vives voix soit encore parce qu'ils sont venus me voir.

Il y a des gens ici qu'on appelle engagés, et d'autres qui le sont moins, moi, par exemple. Donc je ne risque pas d 'être attaqué sur ma politique que je n'ai pas et ne tends pas à faire.

Par contre, si la langue de certains engagés peut par moment soulever quelques opprobres la question est de savoir si ces personnes pensent vraiment ce qu'elles écrivent. A cela, je réponds que très souvent cela ne correspond pas à leur vraie pensée. Je connais quelques personnes ici 'dites engages' qui écrivent d'une certaine façon qui prête parfois à confusion mais qui ne méritent nullement d 'être traités de 'Jiffè' ou autre mot peu compatible avec le sérénité du site dans un moment de colère. Tout est dans la forme de la réplique car il faut savoir mesurer sa réponse et prouver par- là que l'on peut tout dire sans excès. Des internautes comme Slim, Tawfik etc…Sont des personnes dont nous avons besoin ici car sans eux nous n'auront eu aucun débat. Instructif.

Je voudrais revenir sur ce mot de 'Jiffè', renseignement pris auprès de gens compétents juifs qui m'ont assuré que ce mot n'appartient pas au coran donc Michka, voilà pour ton éclaircissement. Qui n'était pas une certitude. Je peux aussi affirmer sans me tromper que cette dame est au-dessus de tout soupçon au même titre que n'importe lequel d'entre nous.

Comme on dit Adra khèiwè ' ( paroles vides) fèl awè….Nous sommes tous des amis sans aucune mauvaise pensée. Et je suis bien placé pour le savoir. Pour connaître la mentalité des juifs et musulmans, tous tunes. La rancune ne fait partie de notre panoplie. Le fils insulte bien son père et le même le bey se faisait insulter en son absence.

Monsieur Levis Strauss, allez, je vous invite dans mon théâtre, c 'est moi qui vous offre la place, première loge. Que la paix soit avec nous. Ce soir, ici afin de détendre l'atmosphère EL HAJ KLHOUF en un acte…
RABY MYAK.
Soyez patient, ça vient...OMI TRAKI NESS MNEHHH
AHAHAHAHAHA....

Par Albert (Albert) le jeudi 07 novembre 2002 - 19h32:

MON KIF

C'est de vous envoyer au thêatre une pièce, dans 5 minutes, pour le second soir de RAMADAN...
EL HAJ KHLOUF dans 'LES BRACELETS'.Avec
dans les principaux rôles...Ahhhhhhhh

Par Email (Email) le jeudi 07 novembre 2002 - 19h12:

Le Fatah: "nous n'avons pas reçu l'ordre de cesser le feu"

Le journal officiel de l'Autorité palestinienne, Al-Hayat Al-Jadedah, a publié l'annonce suivante le 6 novembre 2002:

"Le chef des services de sécurité préventive en Judée-Samarie, Zuhir Munsara, a démenti que le Fatah avait reçu l'ordre de cesser le feu. Il a démenti l'éditorial publié dans le journal 'Haaretz' selon lequel le bureau de Munsara aurait clairement ordonné à tous les membres du Fatah, y compris aux échelons politiques et militaires, ainsi qu'aux activistes sur le terrain, de ne pas prendre pour cible des Israéliens, au vu des circonstances.

Munsara affirme: "je ne suis au courant d'aucun communiqué émis par mon bureau à ce sujet. Ce n'est pas le travail d'un chef de la sécurité préventive de publier un communiqué au sujet d'un cessez-le-feu…De plus, le chef de la sécurité préventive reçoit ses ordres des autorités politiques et ne les inventent pas."

L'article original:
http://www.alhayat-j.com/today/front/news8.htm

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 07 novembre 2002 - 16h07:

A Lapid :

Oui on sait se marrer sur Harissa :
Blague israelienne :
Pourquoi faut-il deux flics pour mettre un PV ?

A Pignouf :

Merci pour vos excuses.

Bon shabbath a tous.

Par William_Jexpire (William_Jexpire) le jeudi 07 novembre 2002 - 15h39:

Henri ! LE JEXPIRE EST ENCORE LA !! salutations

Par Admin (Admin) le vendredi 08 novembre 2002 - 06h00: