Par Admin (Admin) le jeudi 12 décembre 2002 - 23h47:

Par Albert (Albert) le jeudi 12 décembre 2002 - 08h12:

L' Amour n'est pas que rentrèe et sortie arrosèe
de miel pur, c'est parfois jeter un regard ou envoyer une pensée vers son prochain qui souffre.
ALBERT

Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 11 décembre 2002 - 08h22:

Une majorité d'Israéliens et de Palestiniens favorables à la création d'un Etat palestinien, selon un sondage

JERUSALEM (AP) - Un large majorité des Palestiniens et des Israéliens approuvent la création d'un Etat palestinien sur tout ou partie de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza mais n'ont aucune confiance dans les intentions pacifiques affichées par les uns et les autres, selon un sondage publié lundi.

L'étude, commandée par le groupe "Search for a Common Ground", basé à Washington et Bruxelles, a été menée par deux instituts différents en Israël et dans les territoires palestiniens.

La principale question était: accepteriez-vous un Etat palestinien constitué à partir des frontières de 1967, c'est à dire des limites fixées entre le territoire israélien, la Cisjordanie et Gaza avant la Guerre des Six jours.

En réponse, 72% des Palestiniens ont répondu qu'ils étaient prêts à renoncer à la violence si Israël acceptait la création d'un Etat selon des termes acceptables. Une part similaire d'Israéliens se dit prête à favoriser la constitution d'un Etat suivant les frontières de 1967 s'ils ont l'assurance que les Palestiniens renonceront véritablement aux actes de violence.

Cependant, sur les 72% d'Israéliens exprimant cet avis, 21% doutent que les Palestiniens cessent vraiment leurs attaques et 30% des Palestiniens se pensent pas que le gouvernement israélien leur proposera un Etat acceptable.

"L'étude montre clairement que le fossé entre Israéliens et Palestiniens n'est pas idéologique," a déclaré Susan Collin, vice-présidente de Common Ground. "Le manque de confiance bloque une volonté basique sous-jacente de cesser les violences et d'avancer vers un accord".

D'autres chiffres appuient ce point-de-vue plutôt optimiste. Environ 80% des Palestiniens interrogés soutiennent ainsi l'idée de manifestations non-violentes et près de 65% des Israéliens interrogés estiment que le recours à la force armée contre les civils palestiniens ne fait que mener à davantage de violence.

La partie palestinienne de l'étude a été conduite par le Jerusalem Media and Communications Center, institut de sondage palestinien, au cours de 599 interrogatoires en vis-à-vis entre les 17 et 21 novembre. Un institut lié à l'Université de Tel Aviv a de son côté interrogé 508 juifs israéliens entre les 24 et 26 novembre. AP

Par Mena (Mena) le mercredi 11 décembre 2002 - 06h28:

Noir, impair et manque ! (info # 011012/2)

Par Albert Capino © Metula News Agency



Marie-France Garaud et Alexandre de Marrenches, éminences grises de Giscard, considéraient que l’Irak, laïc et baasiste, représentait le seul rempart, dans un Moyen-Orient chiite, contre l’islamisme déjà envahissant. Ils n’avaient peut-être pas tort dans l’absolu, mais il y avait loin de la théorie à la pratique.



1973 : On était au lendemain de la guerre du Kippour

Craignant pour son approvisionnement en pétrole, la France propose à l’Irak l’installation d’une centrale nucléaire « civile », réplique d’Osiris à Saclay, contre la fourniture régulière, préférentielle et à bas prix, d’hydrocarbures.



1974 : Visite des sites, préparation technique et administrative, la France forme des scientifiques irakiens jusqu’en 1975, date du contrat Osirak.



Septembre 1975 : Jacques Chirac, à l’époque 1er Ministre et Michel d’Ornano, Ministre de l’Industrie, organisent une petite fiesta à l’Elysée pour fêter l’événement, sauterie qui se termine par une déclaration surprenante de Saddam (trop de champ peut-être ?) : « L’accord qui vient d’être conclu avec la France est le premier pas concret vers la fabrication de l’arme atomique arabe » (ouch ! le point-presse en a encore des sueurs froides...)



Ajoutez à cela que, puisque l’Irak (2ème réserve de pétrole derrière l’Arabie saoudite) n’avait nul besoin d’énergie nucléaire, ceux qui étaient restés sobres pendant la surprise-party et ceux qui n’étaient pas atteints d’accès de surdité épisodique ne nourrissaient déjà aucun doute quant à la finalité du plan de Saddam.



Silence radio gêné – on venait de perdre aussi la voix - pendant 7 mois, avant d’entériner le deal, en catimini, le 18 juin 1976.



Menahem Begin, le Président du Conseil israélien de l’époque, n’appréciait que modérément l’irresponsabilité affairiste de Paris et préparait déjà, ce qui allait être connu plus tard sous le nom d’opération Sphinx, le 7 juin 1981, et qui réduirait temporairement à néant le projet d’arme atomique irakienne.



1982 : C’est la guerre Iran-Irak.



Mitterrand est aux commandes et Mauroy à Matignon.

Saddam réclame des avions équipés de missiles pour couler les pétroliers iraniens. C’est un plan dément mais qu’à cela ne tienne : la France lui prête ses « Étendard » de l’aéronavale équipés d’Exocet !



1985 : Saddam gaze des villages kurdes en mars et envoie Tarek Aziz à Paris pour y rencontrer Roland « Elf » Dumas. Pas de problème, Paris n’a pas d’intérêt chez les Kurdes ! La France fournira sans interruption armes, pièces détachées et formation : Giat industries et Dassault Aviation sont notamment dans le coup. Les contrats pleuvent, vedettes, hélicos, missiles, chars, entraînement des pilotes sur la base de Landivisiau mais aussi recherche et matériel chimique, bactériologique et nucléaire. Ouf !



Et l’ardoise s’alourdit, car, en plus, le tyran de Bagdad est mauvais payeur, mais qu’importe, on fait bosser l’industrie française d’armement et c’est le contribuable français qui raque !



On rase gratis l’abominable dictateur, mais on fait tourner les tourelles des AMX, et les élevages de poulets bretons exportent à qui mieux mieux. Dans ces conditions, pas facile de résister au sourire de Saddam, n’est-ce pas ?



Puis c’est 1991 et la guerre du Golfe. Je saute l’épisode, vous connaissez…



Je m’attarde toutefois sur un fait intéressant et peu connu du grand public : en juillet 1990 a lieu la signature d'un accord sur le rééchelonnement de la dette irakienne. Quelques semaines avant l'invasion du Koweït par Saddam Hussein, le despote obtient qu’on lui remette les compteurs à zéro !



Malheureusement pour lui, Saddam perd la bataille du désert. La « campagne d’annexion de la province du Koweït, partie indivisible du Grand Irak » se solde en fin de compte par un échec cuisant.



La dette extérieure de 104 milliards de Dollars « effacée » avant la guerre est remplacée par une nouvelle ardoise de 95 milliards envers le Koweït, auxquels s’ajoutent 66 milliards envers les institutions et particuliers victimes de l’agression des Babyloniens. On comprend alors mieux pourquoi Saddam a adressé la semaine écoulée ses « excuses » au Koweït, et pourquoi le Koweït les a refusées...



11 ans plus tard, l'Irak a accumulé une dette extérieure de 161 milliards de Dollars qu’il n’a pas servie depuis guerre du Golfe.



La France n’a semble-t-il toujours pas compris la nature du commerce avec les despotes, puisqu’elle plaide sans relâche pour la levée de l'embargo sur le pétrole irakien (à moins qu’elle ne nourrisse le fol espoir de se refaire sur ces ventes d’or noir) !



La France qui, quel que soit le résultat de la crise actuelle – que Saddam reste en place ou qu’il soit renversé -, va s’employer à affirmer son indépendance vis-à-vis des Etats-Unis, en entretenant ainsi ses liens privilégiés avec les pays arabes.



Les ministères de l’Industrie, des Affaires étrangères, du Développement Durable, préparent déjà « l’après embargo ». Les Français (qui s’octroyaient presque 15 % du marché avant la crise), espèrent bien ainsi damer le pion aux Allemands, Autrichiens, Suisses, Japonais, qui s’alignent déjà sur les rangs, et comptent, à la faveur des événements qui se préparent, supplanter les fournisseurs traditionnels de l’Irak, que sont les Chinois, Russes, Hongrois, Italiens, Espagnols,Ukrainiens, Bulgares, Serbes, et Indiens.



A Paris, on n’oublie pas l’exemple des adversaires d’hier devenus partenaires commerciaux d’aujourd’hui, comme la Jordanie, l’Egypte, mais aussi la Syrie avec laquelle on a justement signé des accords de libre-échange.



Fort des 4 milliards de Dollars qu’il a obtenus lors de la conférence « Liban II » à Paris, Hariri ne veut pas non plus être en reste et envisage de se relancer de plus belle dans la course au business. Le système ressemble à s’y méprendre au don des poulets bretons en 85. Beyrouth achète des infrastructures qu’elle n’a pas les moyens de s’offrir, sur la base de prêts garantis par des institutions européennes. Le Liban s’enfonce sur ce modèle dans une dette monumentale – il paraît que chaque bébé libanais naît avec une dette de 30.000 Dollars sur son couffin – qu’il ne pourra jamais rembourser. Liban II va ainsi permettre à Hariri et à ses partenaires – dont les patrons de TF1 – de continuer à s’enrichir extraordinairement aux dépends d’un pays otage de la Syrie et de ses citoyens, condamnés ainsi à crever la dalle !



En Irak, ce sont les cadres et la main d’œuvre qualifiée qui font cruellement défaut, plaçant le régime dans une dynamique de fuite en avant. Que choisir : la guerre ou le départ (Saddam Hussein a dores et déjà pris des contacts en vue d’un exil définitif pour lui et sa famille) ?



On connaît les résultats brouillardeux des fins de dictatures, comme en Iran après la révolution de Khomeiny ou en Roumanie après l’exécution de Ceausescu. Aussi, le « plan Bush » est loin d’être aussi absurde que certains s’offrent à le prétendre.



L'expulsion de Saddam Hussein fournirait une excellente occasion aux Irakiens de rebâtir leur économie. L'ouverture des marchés et la privatisation du secteur pétrolier en seraient les moteurs. Mais sans la présence d’une force de maintien de l’ordre efficace et la mise en place d’un nouveau plan Marshall, le pays plongerait inévitablement dans le chaos.



Au grand Casino « France », on reste confiant, c’est une affaire d’expérience. À tous les coups on gagne : qu’on joue avec l’argent des clients ou avec celui de ses propres contribuables, qu’on vende des poulets ou des bombes atomiques, on est certain d’empocher la mise maximale !

Par Biscuit (Biscuit) le mardi 10 décembre 2002 - 23h08:

Je soutiens Israël, Je soutiens les Juifs

par Oriana Fallaci
Corriere della Sera | 2 Décembre 2002
(Traduction Norbert Lipszyc, à partir de l'Anglais)

http://moise.sefarad.org/belsef.php/id/958/

Par Biscuit (Biscuit) le mardi 10 décembre 2002 - 22h49:

http://www.lexpress.presse.fr/Express/Info/Societe/Dossier/juifs/dossier.asp

voici une page qui dérange .où il est question de Lustiger

Par Albert (Albert) le mardi 10 décembre 2002 - 22h44:

MON KIF

Yé lili ou méhlè zinkôm fél balcoun
(' O ma nuit comme vous êtes tous beaux au balcon')
Maxime goulettoise

Par Axelle (Axelle) le mardi 10 décembre 2002 - 22h41:

Merci Emma de nous avoir permis de lire la lettre que Monsieur G. Fruhinsholz a envoyé au premier
Ministre J.P Raffarin concernant le livre "rêver la Palestine". Cette lettre est très bien faite, il n'y a rien à y redire. Tout a été dit. Surtout, ce qu'il fallait dire. Mais sera-t-elle lue et comprise ? Est-ce que le livre sera -t-il retiré de la vente ? Il y a pour les Editions Flammarion un enjeu financier trop important. Ils vont dire que nous sommes dans un pays démocratique avec la liberté d'expression !! ils sauront retournerla chose à leur avantage,comme d'habitude ! il ne faut pas se leurrer. Mais, si c'était le contraire qui s'était produit, alors là, je n'ose penser au tollé général que cela aurait fait ! C'est à chacun de nous à faire la part des choses et à tout faire pour essayer d'empêcher qu'autour de nous puisse s'acheter ce livre. ah ! si les imprimeries pouvaient tomber en panne... Moi, en tout cas, je rêve un jour de voir Israël et ce jour là sera le plus beau de ma vie. A chacun ses rêves...

Par Albert (Albert) le mardi 10 décembre 2002 - 22h40:

Le Hdid mtâ èl tahdid ' Le fer à repasser…le premier que j'ai connu était à charbon. Le couvercle se relevait et nos mémés ou mamans introduisaient des braises. Elles versaient de temps à temps qq gouttes d'eau sur la chemise ou le pantalon à repasser.

-Ma grand-mère avait une façon bien personnelle pour repasser. Elle pliait le petit linge séc pris de par-dessus le sèkhèn et elle s'asseyait dessus un bon quart d'heure et le résultat ne se faisait pas attendre grâce à son embonpoint. Un linge surtout bien odorant lorsque on sait ma Meiha vantait toutes les deux minutes, elle était sujette au gaz, la pauvre. A chacun sa lavande. Pour nous impressionner, elle nous menaçait de vouloir prendre nos têtes et les mettre sous ses 'ailles' ( ses grosses fesses ) ce qui nous effrayait et faisait fuir sous les lits.

-La machine à coudre de ma mère était de marque Singer. Ma mère était grande couturière. Elle ne coud plus aujourd'hui, elle coud des critiques sur nous tous. Je lui souhaite encore mille années de couture critiques..

-Le 'Primus' en arabe 'Brimous', plus grand 'El babour' ….A pétrole, on versait le pétrole dans un petit réservoir. Puis le pétrole, une fois pompé à l'aide d'une 'soufflette', arrivait par un conduit vers la tête. Une fois cette dernière imbibée par un ou deux coups de pompe on allumait le 'Ras' (tête) ( pour avoir une idée, se reporter à une pompe à bicyclette mais vraiment très réduite et soudée à la base du primus) Le pétrole commençait à s'enflammer et s'enfumer. On laissait un peu chauffer le 'Chef' ,puis on ré-actionner la pompe et là tous les petits trous s'enflammaient. Pour donner une belle lueur chauffante, de couleur bleu clair et un peu jaune, à mesure que l'on 'energiser' l'appareil. Quand le conduit se 'crassait' , on avait un petit fer avec au bout un filament fer, qui servait de 'déboucheur'. Et ainsi la flamme repartait de plus belle.
Ma grand-mère….' Yè Biber….! Ijjè sérahli âï'ân èl brimousss…' ( 'Et Bébert…! Viens me déboucher l'œil du primus..!' ..ici l'œil c'est le petit conduit au centre de la tête, protégé par trois branches.
Quelques explosions, très rares, ont causé des séquelles et des dégâts dans certains foyers.
Le 'Babour ' c'est un primus beaucoup plus grand que l'on trouvait dans les cuisines des restos ou alors chez
Le 'Breikèji', le confectionneur de brikhs à la main. Son aiguille s'appelle le 'Cheffeut' et une personne qui a des boutons sur le visage ou des petits anciens 'volcans séchés acnéiques' , on dit de lui 'Médroub ou médrouba bèl chéffout..' ( Une méchanceté) cela veut dire qu'il ou qu'elle a eu la variole.

-Cheffout longue aiguille en fer, plus grande qu'une aiguille à tricoter avec un bout pointu et l'autre retourné ou protégé par un bouchon à liège.

-'Ibra' ..Aiguille à coudre. .'.El âïne ta èl ibra ..'Le chas de l'aiguille..'
('Ma grand-mère…' Yè Biber…! Ijjè dékhèli èl ftilè khâit fèl âïan èl ibra…!'
-'Viens m'enfiler le fil dans le chas de l'aiguille…!)

-'Makhièt'…Aiguille à matelas…Yéd Mèrèj…le pilon….Gharbèl…Tamis….Kassria…Le pot à pipi, à caca..

Beït él ftour…La salle à manger…Beït èl nyach…La chambre à coucher…Béïtt èl raha ou khnif ou àbanda ( cher à mon ami Fernand) les toilettes….Coujinè ..La cuisine…El chèdèh….La remise..petite réserve…..El balcoune….Le balcon……El stah….La terrasse…
BONNE SOIRE LLES AMIS


ALBERT LE PETIT LITTRE

Par Bingo (Bingo) le mardi 10 décembre 2002 - 22h16:

HARISSA et les TUNES.


Beaucoup de tunes tiennent sur le site Harissa tribune,
La plupart de ces tunes, on une passion commune,
Ne se souciant pas du tout, de faire de leurs écrits fortune
Ils écrivent leurs mémoires, leurs souvenirs, et aussi des remarques opportunes.


Le Webmaster, souvent remet en place et ce, sans aucune rancune
Certains esprits ayants souvent, pour le respect d’autrui des lacunes.
Ces derniers en général rentrent dans les rangs, et radoucissent leurs plumes.
Faisant en sorte chers Tunes, que chaque Harissien, fasse en public bonne fortune.

BINGO.

Par Slim (Slim) le mardi 10 décembre 2002 - 21h47:

Illian:

Tu parles de Maurice comme s'il n'est plus parmis nous. La Caravelle est toujours la au plus grand plaisir de tout le monde a Sfax, et Illian est absolument correcte d'avoir inclus Maurice Zarka sur cette liste des Tunes Celebres en Tunisie (et pas un tune parmis tant d'autres!!! Qu;est ce que cela veut dire!!!!). Je me rapelle que pendant les annees 80, quand les livres etrangers (En Francais ou autres langues) se fesaient rares, Maurice trouvait toujours un moyen pour s'en procurer et les vendre. La Francophonie a Sfax vit en partie grace a lui.

Par Ilian (Ilian) le mardi 10 décembre 2002 - 21h21:

TUNES CELEBRES

Cher monsieur Halfon,

Je voudrais de la part des vieux enfants de Sfax que sur la liste soit ajoute monsieur MAURICE ZARKA proprietaire de la celebre librairie "LA CARAVELLE" depuit deja 40 ans.
Dans les annees 60 et 70s c'etait l'idole de tous les enfants de Sfax et moi parmi eux.
Toujours souriant, gentil et pret a aider tout le monde, monsieur Maurice, comme l'apellait tout le monde est reste grave dans notre memoire a jamais.
Et aujourd'hui encore quand une tristesse envahit mon coeur je ressors les livres que j'ai achete de lui [et oui, je les garde toujours]je les regarde avec des yeux mouilles et je me souviens du temps passe.
Que HaShem benisse monsieur Maurice et toute ca famille.

L'enfant de Sfax Ilian Tsenov

Par Yossi (Yossi) le mardi 10 décembre 2002 - 20h53:

Omega, votre vision n'etait pas realiste, vous en avez la triste preuve.
Les Israeliens ont compris qu'avec cet ennemi, la paix telle que vous la voyez, n'est pas realisable.
Vous y avez cru, vous vous etes trompes.

Par Omega (Omega) le mardi 10 décembre 2002 - 20h24:

Pour mes amis et amies de Chalom Akhshav et pour tous ceux et celles qui ont milite pour le camp de la paix, je crois que les dernieres elections primaires du parti travailliste Israelien nous ont donne le dernier coup de grace.
Tous nos candidats ont ete desavoues et seuls seront elus ceux qui sont prets a entrer dans le prochain gouvernement Sharon.
Nous sommes souvent condamnes, traites de traitres et vilipendies partout et meme dans ce forum ou on nous met sur la tete la responsabilite des 1000 victimes de l'intifada.
Mais un jour viendra, pas trop lointain, j'espere, ou notre vision d'une paix juste sera la seule solution qui s'imposera.
Un jour viendra ou les propositions que nous avons faites et que vous nous reprochez seront vues comme des ilots de lumiere.
Un jour viendra ou, malheureusement le monde imposera une solution qui sera bien pire que celle que vous avez tous rejete.

OMEGA

Par Yossi (Yossi) le mardi 10 décembre 2002 - 19h32:

J’ai la triste impression que l’Occident, avec comme chef de file l’Amerique, est en passe de se transformer en Dindon, pour ne pas dire en COCU.
Je m’explique.
Avant la date qui lui a ete imposee par l’ONU, Saddam a fait porter par avion special, un nombre considerable de pages ou il essaie de demontrer qu’il est blanc comme neige.
Que tout ce que Monsieur Bush junior lui reproche n’est que mensonges et elucubrations.
Ces documents qui ont ete remis aux nations unies, sont ecrits en arabe et je crois en anglais (je n'en suis pas sur), ils vont donc etre traduits dans la langue des autres membres permanents du conseil de securite. Chinois, russe et français.
Bonjour les degats, les differentes interpretations des mots.
Rappelez-vous la resolution qui demandait a Israel, a la fin de la guerre des 6 jours, d’evacuer (LES territoires, traduction française), (DES territoires, traduction anglaise.)
On en est encore la, a chercher la bonne traduction.
Egalement, si on en croit les premieres indiscretions (probablement volontaires), un certain nombre de pays, marchands d’armes, sont impliques dans la fourniture de materiel suspect.
Que va faire Monsieur Bush Junior ?
Punir Saddam pour avoir achete ce materiel ?
Punir certains de ses allies pour l’avoir vendu ?
Dire que des « optimistes » prevoient le debut de l’invasion de l’Irak pour la mi-janvier.

Par Lapid (Lapid) le mardi 10 décembre 2002 - 19h01:

Je ne sais pas ce qui fait courir certains Tunes pour avancer leurs candidatures ou celles de leurs proches ou amis pour figurer sur cette liste des "Tunes celebres".

De toutes facons, ne serait-il pas plus judicieux de trouver un nom plus humble a cette liste qui, a mon avis, s'est donnee le titre un peu trop pompeux de "Tunes celebres" ?
Je ne rejette pas pour autant l'idee d'une liste de "Tunes celebres" mais je crois que le choix des noms doit etre fait plus serieusement.

On pourrait en parallele a cette liste et pour tous ceux qui desireraient y figurer, creer une liste (annuaire ou Botin) des "Tunes parmi tant d'autres", ceci bien entendu sous le controle du webmaster qui devra, evidemment, y fixer certaines regles.

Par Admin (Admin) le mercredi 11 décembre 2002 - 04h07: