Par Admin (Admin) le lundi 23 décembre 2002 - 04h23: |
Par Mena (Mena) le samedi 21 décembre 2002 - 01h40: |
Tiens tiens, ma soeur ! (info # 012012/2)
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Météo
Je viens de poser mon barda très (très Ndlr.) sale, d’embrasser Vahé avant qu’elle ne parte à l’école, devant les yeux jaloux de son père, de prendre une douche chaude et me voici déjà devant mon écran lumineux à vous entretenir. Dehors, la tempête fait rage sur le Liban et sur la Galilée, au point que les hommes préfèrent rester au coin de leurs cheminées plutôt que de se battre. Le vent engueule la maison de la Ména, en lui mettant des baffes pouvant aller jusqu’à 100 kilomètres à l’heure. Contre la vitre immense, derrière laquelle Kfar Kileh a pris des airs d’aquarelle, des flocons blancs commencent à se mêler à la pluie.
Le paysage est roux, fait des vergers déplumés de Metula, puis beige, lorsque les arbustes juifs s’effacent à même les pieds des maisons de trois et quatre étages de nos voisins libanais. Et puis, les grosses gifles du vent et de la bourrasque qui crépitent contre la grande fenêtre donnent de tout cela une image animée, avec l’eau qui descend lentement sur le verre, exactement comme l’alcool transparent s’agrippe aux parois des verres à vin.
Veillée de guerre et risque d’apocalypse
Je vous parlerais bien encore de cette région qui est si mienne, que mon regard peut s’y évanouir au point que je devienne moi aussi un arbre, une maison ou même la pluie mais en cette veille de Noël, les nuages qui menacent l’hiver oriental sont autrement plus inquiétants que les hurlements du vent. Dans divers endroits d’Israël, si on regarde bien, on peut voir des GIs’ à l’entraînement. Par petites unités, ils mettent à profit les similitudes du paysage, afin de se préparer à l’Irak. Et dans le bus, qui m’amenait à Métula, ce matin, le journal faisait ses gros titres sur l’arrivée prochaine de 1000 autres soldats U.S, appelés à servir des missiles anti-missiles, espèce de doublure des Khetz, dans le cas où ces derniers laisseraient passer des Scuds.
Il y a maintenant 80.000 boys dans la région, auxquels viendront bientôt s’ajouter 50.000 autres, juste avant le début de la bagarre. A ce moment, il y aura aussi à leurs côtés 30.000 hommes dépêchés par Sa gracieuse Majesté.
Tout prend des allures de préparatifs guerriers, et Faycal me confirme, depuis Aman, que l’Est du royaume Hachémite est devenu une sorte de grand camp fortifié. C’est là que les alliés vont porter le premier coup – qui se voudra décisif – en essayant de débusquer d’abord et de détruire, ensuite, les lanceurs de Scuds situés dans la zone dite H, juste derrière la ligne frontière jordanienne. De l’efficacité et de la rapidité de cette manœuvre initiale dépendra la sécurité des habitants de Tel Aviv. Si des lanceurs échappaient aux commandos occidentaux, ils tireront leurs missiles balistiques en direction de notre territoire et ceux-ci seront chargés d’armes effrayantes, de microbes et de gaz toxiques. Notre sort dépendrait alors des fusées anti-Scuds. Si ce verrou technologique venait à sauter à son tour, on ramassera malheureusement les dépouilles des Israéliens et des Palestiniens, unis pour une fois dans une même catastrophe, par centaines ou par milliers. Et si on en arrivait là, Israël entrerait dans la confrontation directe avec Saddam Hussein et répliquerait en employant, à son tour, des moyens non conventionnels afin de précipiter l’écroulement de son régime et surtout, d’éradiquer instantanément la source des attaques chimiques et bactériologiques contre ses citoyens. Contre nous.
Comme vous le voyez, on se prépare à un hiver sportif… durant lequel nos existences seront suspendues à ces cascades de "si", si théoriques pour l’instant, que les peuples du Moyen Orient ne peuvent pas encore imaginer ce qui les attend, mais si tangibles pourtant, qu’à la bourse de la vie, leurs actions se cassent la figure.
Au Nord de l’Irak, les mouvances kurdes, alliées pour l’occasion par l’espoir d’établir leur Etat sur une partie de la peau de l’ours qu’on s’apprête à dépecer, se sont emparées de positions stratégiques à l’issue de combats acharnés menés contre l’armée de Saddam et contre ses supplétifs. Les Kurdes étaient encadrés par des agents américains et par des conseillers israéliens. Nous disposons désormais de suffisamment de témoignages directs au sujet de ces combats, avant-coureurs de la guerre totale, pour être en mesure d’en faire état.
A Bagdad même, les inspecteurs sont pour l’instant bredouilles, mais paradoxalement, cette conclusion accable le dictateur babylonien. Blix et ses limiers n’ayant trouvé sur le terrain, mais aussi dans la documentation fournie par les Irakiens, aucune trace de la destruction des unités de production des munitions non conventionnelles, des gaz et des microbes de guerre, de l’Anthrax notamment, pas plus que du sort des stocks qu’ils avaient référenciés à l’époque de la guerre du Golfe. Or, le démantèlement de ces usines ainsi que l’anéantissement des produits dangereux auraient nécessité des structures imposantes et visibles, du genre de structures qui laissent des traces sur le sol et des relevés dans les livres.
Ce matin aussi, les Américains ont entrepris un gigantesque exercice, à feu réel, sur le quart de la superficie du Koweït, tout contre le territoire de l’Irak. Les pièces de gros calibres crachent un rouleau de feu ininterrompu, de quoi prévenir la Garde présidentielle de l’(ex ?) ami de Chirac et de Chevènement, de ce qui les attend s’ils se mettaient en tête de résister aux desseins de l’Amérique.
L’Amérique, qui vient de dire à Shaul Mofaz, le ministre israélien de la défense, qu’elle a "décidé" qu’Israël ne participerait pas à la confrontation avec Saddam Hussein et que Washington "prenait toutes les dispositions nécessaires en vue d’assurer la protection de l’Etat hébreu". En Israël, où on est en train de déployer discrètement une petite vingtaine d’unités de réanimation toutes neuves, en prévision du pire et où on s’est mis d’accord avec Georges Bush, qu’on resterait peinard "aussi longtemps que la promesse américaine protégerait efficacement les citoyens de l’arsenal non conventionnel du despote de Babel."
La décision de l’Administration U.S fait suite à une évaluation du Pentagone, rendue publique hier, selon laquelle, justement, Saddam Hussein tentera d’attaquer Israël et le Koweït avec des armes bactériologiques et chimiques, dès le déclenchement de l’opération alliée.
Lupanar politique
Comme pour passer le temps, en attendant l’évolution des choses dans le Golfe, le microcosme politique israélien, déjà médiocre, s’enferre dans les tricheries et les exactions.
Ce qui marque les attentions, en cette fin de semaine, c’est l’arrestation de militants en vue du Likoud, soupçonnés d’avoir bidouillé les élections primaires de la semaine dernière et ce, sur une grande échelle.
Le parti du Premier ministre Sharon, qui semblait assuré d’un triomphe aux prochaines élections générales prévues pour janvier, multiplie les bourdes et les indélicatesses. Ce furent d’abord les images de la Foire du trône ayant entouré les primaires, qui ont sérieusement refroidi le corps électoral israélien. On a pu voir sur les écrans de nos télévisions le cirque, que menaient les candidats désireux de figurer en bonne place sur la liste des investitures du grand parti de la droite israélienne.
C’était au Parc des Expositions de Tel Aviv, chacun d’entre eux avait délaissé toute forme de d’explication politique au profit d’artifices de campagnes ultra cheap. Pour les téléspectateurs, se débattant dans la crise économique générée par l’Intifada, l’orgie de danseurs arborant des tee-shirts à l’effigie des candidats, des hot-dogs et des porte-clés qu’ils distribuaient gracieusement aux membres du comité central venus voter, le disputait à l’indécence et au mépris de leur précarité.
Déjà, lorsqu’on avait entendu que chacun des candidats avait déboursé entre 100.000 et 1.000.000 de Shekels (entre 20 et 200.000 Euros) pour les artifices de la seule journée de ces primaires, on avait senti que quelque chose sentait le rance au royaume du Danemark. Alors, lorsque les Israéliens ont appris que des enveloppes contenant des bulletins de votes avaient été introduites dans les urnes, avec la collaboration du personnel de contrôle – dans un pays où la tradition démocratique fait l’objet d’une véritable vénération – ils ont commencé à réviser leurs intentions de vote.
Les journaux de fin de semaine rendent compte de ce que de nombreuses personnalités, figurant parmi les vainqueurs de cette consultation, auraient participé à la supercherie et sont désormais soumis aux interrogatoires de la police. Les soupçons n’épargnent pas le propre fils d’Ariel Sharon, Omri, qui aurait participé à la cognée, ainsi que le ministre Tsakhi Anegbi, le fils de l’égérie légendaire de la droite Géoula Cohen.
Ce tourbillon juridique va donc peut-être remettre en doute le résultat des élections générales. Surtout qu’en face, Amram Mitzna – qui nous fait décidément de plus en plus penser à Lionel Jospin – vient de publier son programme électoral. Sur un ton terne, contrastant avec les excentricités de ses adversaires, Mitzna propose l’édification immédiate d’un mur de séparation entre Israël et les territoires palestiniens, de Bet Shéan à Arad – c’est à dire sur toute la longueur de la frontière – lequel mur de séparation est appelé des voeux de l’immense majorité des électeurs. Le programme travailliste prévoit aussi le rapatriement de 35.000 habitants d’implantations indéfendables, avant même l’ouverture de pourparlers avec les Palestiniens.
A propos de ces pourparlers, justement, les travaillistes entendent négocier avec le leadership palestinien en place durant un an et si les actes de terrorisme se perpétuaient durant ces négociations, ou si les négociateurs israéliens se persuadaient que leurs interlocuteurs discutaient de mauvaise foi, Israël procéderait à une séparation de fait et unilatérale d’avec l’entité palestinienne, sur des bases géographiques et sécuritaires qu’elle serait la seule à choisir.
Au sujet de Jérusalem, le plan travailliste présume que tous les quartiers juifs de la capitale demeureront sous souveraineté israélienne et envisage une internationalisation des lieux saints et des zones sujettes à dispute.
Dans la tourmente des maladresses du Likoud, le parti de Mitzna gagne des points dans les derniers sondages et les semaines à venir diront s’il s’agit d’une réplique éphémère du scandale ou bien d’un changement de dynamique fondamental. Ces cahots intervenant au moment où, devant l’imminence de l’intervention en Irak, des voix s’élèvent pour reporter les élections générales au printemps.
Le prophète Sami
Le 24 novembre dernier, notre éminent collègue palestinien écrivait pour la Ména :
Si nous avions un leader raisonnable, à la place de se contenter de discours insignifiants, il annoncerait la suspension – même provisoire – de l’Intifada, afin d’encourager les Israéliens à élire Mitzna. Et qu’importerait alors, si certains éléments incontrôlables continuaient le terrorisme, au moins nos forces de sécurités et notre population sauraient que nous avons une option de paix ! Et croyez-moi bien, ce changement serait radical.
Et cette semaine, Abou Mazen (Muhamad Abbas, le numéro deux de l’Autorité palestinienne) déclarait publiquement à Gaza :
Toutes les composantes palestiniennes doivent accepter la suspension de l’Intifada, la "hunda" !
C’est le devoir du nouveau gouvernement de choisir la suspension, de l’annoncer au peuple et de le persuader de la nécessité de ce choix. Il restera des opposants à l’intérêt palestinien. Nous les engagerons à placer l’intérêt palestinien supérieur au-dessus de leurs intérêts restreints, en utilisant la force si c’était nécessaire.
El-Soudi :
L’assassinat d’innocents du camp adverse m’anéantit, d’abord parce que la constatation de cet échange de mort-contre-mort lors des assassinats de juifs est terriblement désespérant, à plus forte raison lorsque qu’il est à l’initiative de mes semblables, mais surtout, parce qu’il marque l’abandon de toute approche rationnelle par notre côté et parce qu’il entérine ainsi quasi définitivement notre choix du suicide.
Abou Mazen :
Aujourd’hui, nous devons, au nom de nos intérêts, cesser et nous donner une chance. Puissions-nous gagner ! Tuer n’est pas notre passe-temps favori. Nous avons un but à atteindre…
El-Soudi :
Qu’on me comprenne bien et qu’on ne m’attribue pas indûment d’empathie exceptionnelle pour le camp adverse, car ma compréhension n’appartient qu’au domaine du raisonnement. En théorie, je ne rejette même pas l’idée de faire la guerre, comme moyen possiblement légitime d’obtenir ou de récupérer des avantages. Mais là, ça n’est pas d’une guerre qu’il s’agit, c’est d’un choix déraisonnable – hors de toute raison - pour le sacrifice de deux génos, qui est bien plus grave encore que la provocation systématique, l’invitation faite aux Israéliens de poursuivre leur répression auxquelles nous assistons.
Abou-Mazen :
Ce qui est arrivé ces deux dernières année se résume à la destruction totale de tout ce que nous avions accompli. (…) Ces activités s’apparentent à une bataille militaire, non à un soulèvement populaire exprimant la colère du peuple, et contre lequel nul ne peut rien. Comme vous pouvez le constater, chaque jour, les villes de la rive Ouest sont soumises à des tentatives de destruction dues à l’exploitation par les Israéliens d’opérations qui à mon avis ne sont ni nécessaires, ni efficaces.
Comme quoi, lorsque certains journalistes français prétendaient que Samy devance l’information palestinienne de quinze jours, ils se trompaient. Dans le cas que j’illustre ici, alors qu’aucun dirigeant palestinien n’avait jusqu’alors appelé publiquement à la suspension de l’Intifada, ni critiqué son inutilité, lui attribuant directement les destructions provoquées par les ripostes israéliennes, notre collègue avait cette fois un mois d’avance !
Ceci écrit, je vais me faire un gros steak et, avec votre permission, je vais récupérer mes nuits de sommeil sur un vrai matelas propre. La semaine prochaine, je repars faire du ski à Courche… meuuuh non, ma sœur, patauger dans la boue de Ramallah !
Par Mailroom (Mailroom) le samedi 21 décembre 2002 - 01h38: |
Histoire de jeha parmi les centaines que je connais.
Il y a le riche du village qui est malade, tout le monde lui rend visite et Parmi la foule il y avait jeha et tout le monde etait la autour de son lit lui souhaite bone santé avec un prompt rétablissement et quelqu'un parmi la foule dit mais ou est passé jeha?
Il était avec nous alors le malade se lève avec sa canne et descend du lit pour voir s'il était dans la chambre d'à coté
Effectivement il était là à regarder le coffre fort en tapotant dessus en lui disant comment vas tu? la santé est bonne?
vivement que tu sois rétabli
Alors le riche dit à jeha:! mais jeha tu es fou tu parles à mon coffre?
Alors jeha lui répond : mais tous ceux qui sont venus là ils ont aussi venus pour ton coffre
Alors moi j'y vais directement.
Camus Chelly Coiffeur
Par Axelle (Axelle) le vendredi 20 décembre 2002 - 23h42: |
Mr Albert,
Merci pour ces mots gentils qui m'ont beaucoup touchée. Je resterais comme je suis. Avec mes qualités et mes défauts, comme tous d'ailleurs.
Mes opinions ne changeront jamais en ce qui concerne Israël et son peuple. Quand une chose ou quelqu'un me tient à coeur, je ne le lâche pas.
Je vous remercie de m'avoir acceptée parmi vous.
Mais, c'est certain que dès fois, nous ne serons pas toujours d'accord sur certaines discussions, mais si l'amitié est là et reste, alors, la suite fera son chemin.
Bravo à tous les deux : Toufiq et Mr Albert pour
vos fleurs, le bouquet est magnifique !
Pour EMAIL :
Vous dites, tout le monde parle d'amour et soyez réaliste. Pourquoi,il y a tant de guerres et de conflits, c'est parceque, justement, il n'y a pas d'amour là où il devrait en avoir. Et, comment peut-on avoir de la compréhension et une entente mutuelle si il n'y a pas, quelque part un peu d'amour de l'autre... Cela ne veut pas dire qu'il faut aimer n'importe qui et n'importe comment. Mais, avouez tout de même, que les conflits, les disputes etc... ça gâche un peu la vie ! le principal c'est de se respecter et alors on peut respecter les autres. Ne pas juger et on ne sera pas jugé. Il faut essayer de se mettre au diapason de la personne qui est en face de vous.
La prendre telle qu'elle est. Mais, bien entendu, c'est relatif, car comme en toute chose, il y a des limites en tout. Bien cordialement.
Par Albert (Albert) le vendredi 20 décembre 2002 - 22h04: |
Ceci est la traduction du zoulou que mon ami BEN DEBBA SLIM a interné là où nous sommes fiers d'y être. Nous la hara de quatre juifs hommes et arabes et femmes .
Rabbi Ibaaedna min libla ou al marj, khallih b'aeed alina ou aala waldina ou yunsor ennas illi niyit'hom safiya ou qloubhom h'rir. El 3echra illi ma binetna ya si Breitou, la Muslim ou la Ihoudi, ou la zammara ou baba sidi inajmou inah'hiouha. Qad ma izidou min bledith'hom, qad ma rassi iziz yitsah'hah. Manich bechi enkhallihom inassiouni 3chret layamet: Illi 3andou Asl, ma yunkrouch ou ma Yunkorch s'habou, jiranou, ou inness illi waklouh:
'…..Que D ieu nous éloigne du diable et des problèmes, et qu'il laisse loin de nous ( en parlant du diable) cela de nos parents et la plupart des gens à la naïveté pur et le cœur de soie ( pur comme la soie). L'entente qui existe entre nous Breitou, entre arabes et juifs ou bien tartempion et papa le trépassé ( d'antan) personne ne peut nous l'ôter. Plus ils sont antipathiques et plus je me forcerai à être entêté. Je ne vais pas leur laisser oublier les heureuses années d'avant. Celui qui a un nom, ne doit pas mépriser son ami ou ses amis; ses voisins et les gens qui l' ont nourri.
Ena kifik, ama mich'cheera lokhra, fi America Illihoud houma illi hallouli el biben, houma illi 3ataouni khidma, ou houma illi dima bah'deya waqtilli hajti b'haja: Qoddam rabbi ken nunkor el 3ichra ou nubzoq 3ala el yid illi waklitni, khalli rabbi yakhodhni Tawwika 3andou. Manich Nakkar 3ichra. Il behi wil mchoum fi kol boq3a ou fi kol zmen. Ou enness, tifhemhom ou ta3rif nyit'hom fi waqt ech'chidda
Chabbat Shalom
Moi je suis comme toi, mais de l'autre côté, ( de l'Atlantique), en Amérique les juifs m'ont aidé, m'ont ouvert les portes. C'est eux qui m'ont donné du travail quand j'avais besoin de travailler. Devant D IEU
Jamais je n'ai renié cette amitié et craché sur la main qui m 'a été tendue; laisse D IEU me compter le jour venu. Je ne renie pas cette confraternité. Le bon et le mauvais est partout et en tout temps .
Et les gens tu les comprends et tu connais la pureté de cœur ( ou leur naïveté) dans des moments compliqués…!( Je pense)
RABY MYAK
ALBERT L UN DES QUATRES MOUSQUETAIRES...
Par Albert (Albert) le vendredi 20 décembre 2002 - 21h33: |
RELFEXION..FINALE...
On ne m'a jamais inculqué de différence entre l'Arabe et le Chrétien, j'ai appris seulement qu'ils étaient des humains comme moi et surtout qu'ils sont source de connaissance. Aujourd'hui encore. Et l'indépendance de l'esprit, qui forge le caractère, ne doit en aucun cas être tributaire d'une personne d'un groupe de pression, nonobstant les honnêtes de gens, qui s'attachent à propager toutes sortes d'idéologie obscure, médiévales et matérielles qui risquent de dénaturer le sens profond des valeurs religieuses dans lesquelles notre civilisation arabo/judéo/chrétienne nous donne comme exemple pour notre éducation. Le respect et la tolérance d'autrui font partie de ces attributs.
Tawfick tu m'attendais pour le bouquet….?
Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 20 décembre 2002 - 20h57: |
et si on vous fait une fleur et que vous n'etes pas emballe,alors la c'est le bouquet!
Par Albert (Albert) le vendredi 20 décembre 2002 - 20h21: |
REFLEXION.
'Ce n'est pas l'emballage qui fait le bouquet final mais la fleur qui est dedans...!'
ALBERT
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 20 décembre 2002 - 17h47: |
Oups ! Ma fourche a langue, revoici l'URL :
http://www.memri.org/bin/latestnews.cgi?ID=SD44902
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 20 décembre 2002 - 17h44: |
Un discours capital de Abou Mazen, n°2 de l'Autorite palestinienne, a Gaza :
« Cessez les operations armees, notre methode a echoue; le temps de la treve est venu. Sharon est le plus grand leader sioniste depuis Herzl. Les Arabes israeliens peuvent nous aider a faire chuter ou mettre en place des gouvernements israeliens, mais sans participer a l'Intifada. »
Par Memri memri@erols.com
Voir l'interview complete :
http://www.memri.org/bin/latestnews.cgi?
Par Biscuit (Biscuit) le vendredi 20 décembre 2002 - 12h01: |
Email ou Céline
expliquez mieux votre message concernant l'amour
merci
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 20 décembre 2002 - 09h07: |
Pour Emma :
Le Canada ajoute le Hezbollah sur sa liste des organisations terroristes
(Source : Haaretz 12/12/02)
Le Gouvernement Canadien vient d'ajouter le Hezbollah sur sa liste noire des organisations terroristes. Les actifs de l'organisation ont ete geles et il lui a ete interdit de ramasser des fonds dans le pays.
Pour Biscuit :
L'Academie de Grande-Bretagne s'oppose au boycott academique d'Israel
(Source : Haaretz 13/12/02)
« La majorite des membres de l'Academie en Grande Bretagne s'oppose au boycott academique d'Israel, car ses motifs sont errones et contestes ». C'est ainsi que s'est exprimee cette semaine la baronne Suzan Greenfield, scientifique de premier rang qui est a la tete de « l'Institut Royal » de Grande Bretagne. Mme Greenfield a vivement attaque les initiateurs de la petition pour la mise en place d'un boycott scientifique et culturel d'Israel. Elle a par ailleurs annonce qu'elle se rendra bientot en Israel a la tete d'une delegation scientifique et commerciale.
Et pour ceux/celles qui veulent se detendre un peu :
Le 3eme Festival du cinema israelien de Paris se tiendra du 14 au 21 janvier 2003
Le 3eme Festival du cinema israelien de Paris se tiendra du 14 au 21 janvier 2003 au Cinema des Cineastes. Apres la deuxieme edition, qui a connu un grand succes, le Festival sera l'occasion de promouvoir le cinema israelien, de souligner sa diversite et de favoriser les rencontres entre comediens, realisateurs, producteurs et responsables de chaines de television, francais et israeliens.
Pour plus d'informations : http://www.isratim2003.com/index.php
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 20 décembre 2002 - 08h50: |
Yossi,
Je ne vois rien de sterile dans cette conversation qui concerne le patrimoine historique que nous ont legues nos parents, et comme le dit si bien Emile : "il est temps d'exposer ces temoignages de facon factuelle".
Par ailleurs, il eut fallut etre aveugle et sourd pour ne pas etre au courant de la crise irakienne, et D. merci ce n'est pas mon cas,mais nous nous egarons, ce n'est pas la notre sujet initial ...
En toute sympathie Yossi, vous avez tendance a faire des "hors sujets", comme Slim !
Par Albert (Albert) le vendredi 20 décembre 2002 - 08h08: |
Madame Axelle,
Mon propos était de vous dire de rester telle que vous êtes aimante, chaleureuse et avec nous.Et surtout d'avoir les opinions que vous estimez être bonnes pour notre cause.Ici, on vous a adoptè depuis le premier jour où vous avez écrit un article quelque part qui vous a attirè quelques remarques aigries.
Baroukh abba
Raby myak
Par Email (Email) le vendredi 20 décembre 2002 - 07h22: |
L'AMOUR
Soyez realistes!!!
Tout le monde parle de l'amour, mais enfin, reveillez-vous, dans la vie ce qui est important ce n'est pas l'amour mais la comprehension et l'entente mutuelle! il faut arreter de rever les enfants
celine ( liline)
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 20 décembre 2002 - 06h51: |
Communiqué de presse
Patrice ABBOU
Dans “Les uns sur les autres“
One-man-show – Mise en scène : Pascal Elbé
Textes de Patrice Abbou et Pascal Elbé
AUX BLANCS-MANTEAUX
15, rue des Blancs Manteaux 75004 Paris
Loc : 01 48 87 15 84 – tarif : 14/11 euros
Du mercredi au samedi à 20h
Prolongations jusqu’à fin mars 2003
Le spectacle …
Dans un one-man-show autobiographique, Patrice Abbou évoque son envahissante smala : quinze frères et sœurs…Il nous en parle comme d’un roman d’amour, drôle et attendrissant. Cet excellent comédien interprète à lui seul, tour à tour tous les membres de cette incroyable famille. Il y a du véritable bonheur, de la parodie, de la dérision, de la tendresse, des débordements affectifs dans lesquels vit le héros, ne pouvant vivre ni avec sa famille ni sans elle.
La presse …
“ Une touche d’humour, une touche de tendresse, une touche de dérision, Abbou fait moins dans la caricature que dans l’aquarelle. Soixante minutes d’un rire chaleureux“ Télérama
“ La réalité et la fiction se mêlent allègrement. Le petit monde de Patrice Abbou
est d’une irrésistible drôlerie…“ Pariscope
“ Il y a du Keaton, du Charlot mâtiné de de Funès dans ce personnage qui se multiplie à souhait, jusqu’à donner le tournis…“ Actualité juive
Renseignements auprès de :
TALENT PLUS / Véronique Guimard
Tel : 01 42 64 49 40 - Fax : 01 42 64 30 53 – talentplus@noos.fr
Par Admin (Admin) le samedi 21 décembre 2002 - 01h28: |