Par Admin (Admin) le vendredi 27 décembre 2002 - 04h41:

Par Biscuit (Biscuit) le mercredi 25 décembre 2002 - 23h27:

Djlachem

L'article de Yashiko Samagori prend d'autant plus de valeur qu'il n'est ni juif ni musulman. Simplement un japonais qui c'est penché sur le problème israelo-palest. et qui donne sa position et ses deductions.

Par Djlachem (Djlachem) le mercredi 25 décembre 2002 - 22h55:

Yashiko Samagori ?
C'est juif, ce nom?
Non?
Eh ben, Sayonara sur Adra, Yashiko.

Par Djlachem (Djlachem) le mercredi 25 décembre 2002 - 22h53:

mon cher Albert,

Il n'est pas question pour nous de pleurnicher, ni de quémander quoi que ce soit aux pays arabes. Vous savez bien que ce n'est pas notre genre.
En revanche, il est incontestable que les 30 milliars de $ que nous doivent ces pays (cf l'article de Maurice Konopnicki http://www.reinfo-israel.com/documents/showthread.php?threadid=3233 )peuvent avantageusement servir de monnaie d'échange quand les négociations reprendront et que l'Autorité Palestinienne nous sortira encore de son Keffieh, leur sempiternel "droit au retour".
A ce moment, on demandera nos sous aux "pays frères" de la cause palestinienne qui déguerpiront aussi sec à la vue de la facture.
Ca nous fera gagner 2 ou 3 quartiers de Jérusalem-Est, ce qui ne sera pas si mal.
Les 30 milliards de $? Pff..., on les leur laisse.
C'est bien connu, les feujs, c'est blindé aux as!!

Par Biscuit (Biscuit) le mercredi 25 décembre 2002 - 22h39:

Qui sont les palestiniens ? par Yashiko Samagori

Si vous êtes sûr que la "Palestine a des origines historiques reconnues" Je suppose que vous serez capables de répondre à ces questions au sujet de la "Palestine" :

1. Quand a-t-elle été fondée et par qui ?
2. Quelles étaient ses frontières ?
3. Quelle était sa capitale ?
4. Quelles étaient ses cités majeures ?
5. Qu'est-ce qui constituait la base de son économie ?
6. Quelle était la forme de son gouvernement ?
7. Pouvez vous nommer un chef palestinien avant Arafat ?
8. La Palestine a-t-elle jamais été reconnue par un pays dont l'existence, maintenant, ne laisse pas de doute sur l'interprétation ?
9. Quel est la langue de la Palestine ?
10. Quelle est la religion dominante en Palestine ?
11. Quel est le nom de sa monnaie ? Choisissez une date dans l'histoire et essayez de trouver un taux de change de la monnaie palestinienne avec le dollar US, le mark allemand, la livre britanique, le yen japonais, le yuan chinois à cette date.
12. Quels objets archéologiques les palestiniens ont ils laissés ?
13. Connaissez vos une librairie où on peut trouver une oeuvre littéraire produite avant 1967 ?
14. Et, enfin, puisque il n'y a plus un tel pays aujourd'hui, quelle a été la cause de sa disparition et quand a-t-il disparu ?

Si vous vous lamentez sur le "lent naufrage" de cette "fière" nation, alors s'il vous plaît dites moi, quand exactement cette "nation" a été fière, et de quoi était elle fière ?

Et maintenant, la moins sarcastique de toutes les questions : si le peuple que vous appelez par erreur "palestinien" n'est pas seulement constitué d'arabes génériques mais collectés - et extrait - du monde arabe alentour, si il a vraiment une identité ethnique véritable qui lui donne droit à l'autodétermination, pourquoi n'a-t-il jamais essayé de devenir indépendant avant que les arabes n'ait souffert cette défaite dévastatrice par Israël dans la guerre des 6 jours ?

J'espère que vous éviterez la tentation de relier les jours modernes des "palestiniens" avec les philistins bibliques : substituer l'étymologie pour l'histoire ne marche pas ici.

La vérité devrait être évidente pour qui veux la connaître. Les arabes n'ont jamais abandonné le rêve de détruire Israël ; ils continuent à le chérir aujourd'hui. N'ayant pu détruire Israël par la force militaire ils essayent aujourd'hui par procuration. A ce propos, ils créent une organisation terroriste, cyniquement appelé "peuple palestinien" et l'installe à Gaza, Judée et Samarie. Comment expliquez vous le refus par la Jordanie et l'Egypte d'accepter inconditionnellement la Cisjordanie et Gaza respectivement, à la suite de la guerre des 6 jours ?

Le fait est là, la population arabe de Gaza, Judée et Samarie ont beaucoup moins le droit à un statut national que la tribu d'indiens américains qui a émergée avec succès dans le Connecticut avec le but de créer un Casino détaxé.

Par Albert (Albert) le mercredi 25 décembre 2002 - 21h27:

REFLEXION.

Du gémissement et du 'Tnergh'nigh'…

Nous avons pris l'habitude de gémir et à nous plaindre. Cela fait partie de nos gênes. Un juif stoïque est un juif rare, il y en a cependant. Beaucoup aussi sont des 'Tnergh'nigheur'. D'où parfois la réflexion de certains non juifs qui nous traitent de 'De juif pleureur ' de ' Quémandeur éternel '.Sans doute que D ieu nous a à un tel point gâté, , que nous voulons aussi recevoir des gâteries de tout le monde alors que l'on obtient tout le contraire, ce qui fait de nous un peuple comme tous les autres avec notre générosité et notre mesquinerie. Une étiquette malheureusement qui nous est pas fort louable.

Défendre son bon droit et espérer l'obtenir coûte que coûte n'est pas chose acquise parfois. Certaines justices
ne reconnaissent pas des fois leurs errements ou leur verdict qui va à l'encontre du vrai droit. Car si une justice se trompe, elle ne peut les l'avouer sans perdre la face. La justice des hommes est ainsi faite. Faite par des hommes et non par D ieu.

Réclamer un dommage de quelque nature qui soit après des années de silence est une juste cause cependant si la justice qui prévaut dans certains pays reste aveugle, muette et sourde cela ne veut pas dire qu'elle le restera indéfiniment. Comme elle peut faire table rase, avec mauvaise foi, sur les doléances que réclament quelques ressortissants qui n'admettent pas le fait d'être spolié.

Certains pays ont mis leur justice aux profits des leurs; spoliations, réquisitions etc… sans contre partie aucune. Il y a là abus d'autorité et détournement de biens d'autrui. C'est que nous dit un ami d'ici. Du moins
c 'est ce que je crois comprendre. Je lui dis que D ieu l'aide dans sa tache mais aussi de ne pas rêver.
Je n'ai pas entendu un seul pays arabe dédommager un juif après son départ. Sic.
Me trompais-je…?
Ne vous inquièter^pas, je laisse un peu pour demain.Bonne nuit les petits..
ALBERT L' ENFANT DE LA GOULETTE.

Par Albert (Albert) le mercredi 25 décembre 2002 - 20h54:

La pensée juive a t'elle droit de cité dans l'imaginaire….??? Serait t'elle bien accueil…lie…?

'Quel homme n'a jamais transgressé Ta loi, dis?
Une vie sans péché, quel goût a t 'elle, dis ?
Si Tu punis le mal que j'ai fait par le mal
Quelle est la différence entre Toi et moi, dis?

Omar Khayam

Lire le premier chapitre des Voyages imaginaires..

Par Albert (Albert) le mercredi 25 décembre 2002 - 20h50:

Mon cher ami HENRI,

Celà n'est pas convenable de dire ici de pareilles choses, si je me réfère à ton idée, les mamans juives religieuses ne devraient pas accoucher entre le 24 ET LE 25 decembre, puisque ce jour là est mauvais pour toi.Je respecte ton avis et opinion mais vis à vis de ceux qui lisent et qui sont là, car nous avons des chrètiens qui nous lisent, pense tu que celà soit décent..?
Mexico a dit que ce jour là est comme un autre.
Pour moi aussi, comme la naissance de Mahomet ou celle de Boudha ou celle de Sidi El Griki de HALFAOUINE. Un peu de retenue n'enlève rien à notre amour du prochain que nous avons les uns envers les autres, qu'ils soient non juifs ou les impies.
Raby i foujouk ou i aalik yè baba HENRI

Par Lapid (Lapid) le mercredi 25 décembre 2002 - 18h49:

Lettre ouverte à M. Roger Cukierman Président du CRIF.


Monsieur,

J’ai lu avec beaucoup d’attention votre réponse à l’éditorial de Madame Elisabeth Schemla sur l’affaire Flammarion.
Je prends acte des différentes prises de position du CRIF mais j’avoue être gêné par vos positions quelque peu frileuses lorsqu’il s’agit d’appeler à participer à certaines manifestations que vous considérez pourtant comme <<positives>> ou de vouloir utiliser la <<voie judiciaire>> même quand cela semble justifié. Peut-être qu’en agissant ainsi, vous désirez rester dans ce que certains appellent le Cadre Républicain .
En relisant la présentation générale du CRIF, principalement les grands axes prioritaires du CRIF, il me semble que le CRIF , malgré ses nombreuses actions dans différents domaines, se contente de représenter les institutions juives de France et la communauté juive de France. Certains iront jusqu’à vous trouver très présents dans les réceptions mondaines pour tenir des propos lénifiants avec les ministres et les représentants de la République.
En fait, il ne suffit pas <<d’écrire à différents Ministères, d’établir des contacts avec leurs directeurs de cabinets , de saisir différentes organisations et d’envoyer des dossiers de presse à différents médias>>.
Il est vrai que la loi Pierre Lellouche a récemment été votée à l’Assemblée Nationale.
Espérons qu’elle sera appliquée et non pas rejetée aux oubliettes comme l’ont été tant d’autres lois.
Il est vrai qu’une charte des journalistes existe depuis 1971. Qui la respecte aujourd’hui ?
Comme malheureusement nous pouvons tous le constater, ces actions, quoique nécessaires, s’avèrent insuffisantes devant l’incompréhension de certains pouvoirs publics et politiques et celles de trop nombreux médias, où la pratique de la désinformation est reine surtout quand il s’agit d’Israël.
Mais aujourd’hui, l’heure est grave. Certaines pratiques et décisions nous rappellent celles de certaines époques sombres de la France qui nous semblaient révolues.
Aujourd’hui il faudra nous unir en faisant appel à toutes les forces de bonne volonté pour faire face aux dérives de ces milices vichystes de l’esprit telles qu’on peut le constater après les prises de positions à l’Université Pierre et Marie Curie Paris VI qui seront peut-être, le 7 janvier 2003, celles de Paris VII. Il ne nous restera plus qu’à nous mobiliser comme nous avons su le faire le 7 avril 2002 en faisant appel à tous ceux que vous êtes censés représenter ainsi qu’à tous ceux qui ont gardé certaines valeurs de cette France qui nous est si chère.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président à l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

Hector Chemla


Ci-après certaines références :

1/ Présentation générale du CRIF :

http://www.crif.org/index.php?menu=6&sm2=presgen

2/ Editorial de Madame Elisabeth Schemla sur la Manifestation Flammarion :

http://www.proche-orient.info/xjournal_edito.php3

3/ Réponse de M. Cukierman à Elisabeth Schemla :

http://www.proche-orient.info/xjour...id_article=7849

4/ Motion adoptée par Paris VI appelant l’Union Européenne au boycott des universités israéliennes, des Hôpitaux et des chercheurs israéliens :

http://www.proche-orient.info/xjour...id_article=8089

5/ Droits et devoirs des journalistes ( Charte de Munich 1971) :

http://www.acmedias.org/R53.asp

Par Mena (Mena) le mercredi 25 décembre 2002 - 18h08:

Accepter le sens de l’Histoire ! (info # 012412/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency



La victoire de la coalition internationale, à l’issue de la « Guerre du Golfe » avait précédé « Oslo ». La prochaine guerre contre l’Irak que prépare la coalition américano-britannique (avec ou sans le soutien de l’ONU) se soldera-t-elle par une victoire, et si oui, celle-ci ouvrira-t-elle la voie à un nouveau « Taba » ? C’est en ces termes que se pose la nouvelle question israélo-palestinienne face à la guerre qui s’annonce au Moyen-Orient.



En effet, l’histoire de la « real politik » que pratiquent les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, celle qui, au-delà des sentiments et des intérêts partisans, fait que le monde avance comme il avance, montre qu’aucun Etat du monde arabo-musulman régional ne pourra disposer de l’arme nucléaire ni entrer au Conseil de sécurité pour y disposer d’un droit de veto, si cette exigence est reconnue un jour, tant que ce monde n’aura pas créé les conditions d’émergence d’un Etat palestinien démocratique.



Inversement, le jour où le monde arabo-musulman intègrera le cours de l’histoire occidentale, ce qui ne veut pas dire « vivre à l’occidentale » et qui se reconnaîtra au fait qu’il desserra son emprise sur le peuple palestinien et le laissera choisir cette voie respectueuse de cette même histoire, alors un nouveau « deal » s’ouvrira devant lui.



Pour l’heure, ce monde n’a aucune envie d’aller dans cette direction. Comme il n’est pas, pour autant, en mesure de s’opposer aux forces vives occidentales, il se résigne à la guerre contre l’Irak.



L’Autorité Palestinienne déchirée entre son numéro 1 qui repousse les élections aux calendes grecques, c’est-à-dire après la guerre contre l’Irak (on ne sait jamais) et destitue Nusseibeh de ses fonctions, d’une part, et les numéros 2 et 3 qui ne cessent d’appeler à l’arrêt de l’Intifada armée, de l’autre, n’est elle-même pas décidée à franchir le pas. Si elle ne s’exprime pas publiquement sur la prochaine guerre contre l’Irak, elle n’en pense pas moins. Elle espère que l’Irak affaiblira très sérieusement l’Etat d’Israël et créera ainsi les conditions d’un exercice de sa souveraineté sur sa dépouille.



Mais ces Etats arabo-musulmans ne se contentent pas de tourner le dos à la seule voie de salut qui se présente devant eux, s’ils ne veulent pas prochainement céder sous l’emprise des fondamentalistes islamistes de tout poil, ils jettent de l’huile sur le feu. En rêvant de la « libération de Jérusalem » comme dénominateur commun de leur cause, par-delà leurs profonds déchirements, ces Etats racialisent leur résistance à l’Occident, comme le montre également la diffusion télévisuelle mondiale, à partir de l’Egypte, d’une saga fondée sur le Protocole des Sages de Sion.



Leur ultime tentative sera de faire de l’Occident une invention juive, comme, naguère, les socialistes utopiques, puis les marxistes, les fascistes et les nazis occidentaux le firent du Capitalisme, dans l’espoir que les peuples occidentaux réussiront l’épuration ethnique contre les Juifs qui avait commencé sous le 3ème Reich, jusqu’à faire table rase de l’Occident.



Or ce que ces Etats arabo-musulmans ne veulent pas voir, c’est que l’Occident sait que son existence présente et future dépend essentiellement de sa capacité à rompre définitivement avec son antijudaïsme.



Ce n’est, certes, pas de gaieté de cœur que l’Allemagne a reconnu son entière responsabilité dans la Shoah, que les Etats-Unis ont reconnu avoir longtemps ignoré ce crime contre l’humanité, que la France de Vichy et d’autres pays d’Europe ont reconnu y avoir pris une part déterminante. Ce n’est pas non plus de gaieté de cœur que l’ONU admet les conséquences de sa décision de 1948.



Mais, si des forces politiques existent qui veulent revenir progressivement sur tout ce qui a été acquis (et le spectre de ces forces est très large, puisqu’il traverse les clivages habituels), jusqu’à délégitimer Israël qui résulte de cette prise de conscience de l’Occident, et recomposer les autorités politiques de la région en un Etat palestinien binational, les décideurs occidentaux sont conscients que cette annulation rétroactive consisterait de facto à revenir localement à une politique raciale qui, projetée sur la globalité de l’Occident, équivaudrait purement et simplement au début de son autodestruction.



De la proclamation à la nation juive, le 1er floréal, an VII de la République française (20 avril 1799), par laquelle Bonaparte, commandant en chef des armées en Afrique et en Asie, s’adressait aux Israélites, « héritiers légitimes de la Palestine », pour les inciter à exercer « le droit à une existence politique en tant que nation parmi les nations » jusqu’à l’ONU qui, en 1948, reconnaît l’existence de l’Etat d’Israël, l’histoire de l’Occident exige que celui-ci demeure ferme sur ses principes.



La paix du monde dépend aujourd’hui de l’acceptation du sens de l’histoire par toutes les nations qui le composent. Une fois ce sens intégré, la question de l’égalité pourra alors apparaître comme la question première qu’elle est et non comme la question secondaire qu’elle semble être aujourd’hui.



Car la responsabilité d’Israël en sera (et en est) d’autant plus grande vis-à-vis de l’état du monde en général, de son voisin palestinien, en particulier.



Récemment, le juriste Georges Hansel a très bien montré que « la subordination de l’Etat à ses promesses sociales articule la signification religieuse de la résurrection d'Israël comme, aux temps anciens, la pratique de la justice justifiait la présence sur une terre. C’est par là que l’événement politique est déjà débordé. Et c’est par là enfin que l’on peut distinguer les Juifs religieux de ceux qui ne le sont pas. L'opposition est entre ceux qui cherchent l’Etat pour la justice et ceux qui cherchent la justice pour assurer la subsistance de l’Etat ».



Autrement dit, qu’il soit religieux ou pas, le citoyen israélien n’aura aucune chance d’échapper à la question de l’égalité intéressant les populations vivant en Israël et dans la future Palestine. De l’issue apportée au problème de sa réalisation dépendra alors la survie de l’Etat d’Israël comme Etat juif.



En fait, c’est sur ce point que les Israéliens peuvent s’appuyer pour décider de leur prochain Premier ministre.



Sharon ou Mitzna : la lutte contre le terrorisme sera, en effet, la même. Quoiqu’il se passe avec l’Irak, Sharon s’est engagé à construire l’avenir d’Israël en tenant compte d’un futur Etat palestinien. D’autre part, la real politik imposera à Mitzna, s’il est élu, de ne retirer les troupes de Gaza qu’à la condition que le Hamas et le Djihad n’en verront pas leurs opérations terroristes facilitées.



Quant aux choix de l’Autorité palestinienne, chacun sait qu’Israël ne peut en aucune manière user de quelque droit d’ingérence. C’est à elle de s’auto transformer en structure étatique responsable.



Alors « Taba » pourra revenir à l’horizon.



Mais il en ira différemment des inégalités qui se multiplient dans la société israélienne ou vis-à-vis des Palestiniens. Sharon ou Mitzna, si l’on en croit les programmes et les orientations budgétaires : ce ne sera pas pareil.



C’est pourquoi, ce serait une erreur de l’électorat que de croire qu’il pourra dénoncer le gouffre social qui se creuse en Israël ou entre Israéliens et Palestiniens, par le biais de la seule abstention.

Par Mexico (Mexico) le mercredi 25 décembre 2002 - 18h08:

Personnellement cette date pour moi ne signifie ni joie ni deuil, puisque mon D.ieu n'est pas un homme mortel, ni une statue, ni une image.
Yael Deitz

Par Henri (Henri) le mercredi 25 décembre 2002 - 10h03:

Mon ami Bebert
Pour appuyer ce qu'a dit le "pro fete" certains ont utilise le nom de ce juif, nee d'apres la tradition le 24 decembre, pour faire beaucoups de mal au peuple juif.
Libre a chacun de faire ce qu'il veut ce jour la.
Pour moi ce jour est un jour de deuil comme ticha-be av pour le peuple juif.
Que D.. eclaire nos esprits.
Rabi maak ya houia

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 25 décembre 2002 - 04h40:

Monsieur Citron, Je ne suis nullement d'accord avec ce qu'Eden écrit, je sais qu'il ne fait qu'écrire sur le mal que lui et sa famille avaient subi. Vous ne pouvez pas ni le juger ni le nier. En tant que bon Tunisien je pense qu'il faut lui montrer une certaine compassion. Vous lui répondez avec le même language, sans considération pour lui et pour les personnes qui écrivent des bonnes choses sur la Tunisie. Donc vous mettez tous dans le même pot "BOU A'LA KHOU"

Par contre, d'après votre réponse à Eden vous montrez justement que vous n'êtes pas bien informé des dessous politiques de l'histoire. Les deux attaques qu'Israël avait fait contre les chefs du PLO étaient, paraît-il faites avec l'accord tacite de certains éléments officiels tunisiens.

Quant à la spoliation des Juifs de Tunisie, oui il y a eu ceux qui ont été spoliés et ceux qui n'ont pas été touchés; tout dépend de la place, des circonstances et des personnes avec qui ils avaient à faire. C'est un sujet litigieux et je pense qu'il est plus sage de laisser cette histoire de côté car en tunisien on dit "ELA A'MLET TAQ LAMA FAHA CHAQ" se référant à la gargoulette, si celle- ci fait un son "Taq" c'est qu'elle a une fissure. Ni moi ni vous allons rendre la gargoulette nouvelle. J'éspère que le temps et les conditions contribueront à souder.ces fissures.

Quant au sujet de l'Islam, j'éspère que Mr Eden se référait à l'Islamisme (les extrémistes musulmans) que les tunisiens avaient justement exclus depuis le début de l'indépendance.

A mon tour je voudrais vous poser une question: Au nom de qui écrivez-vous?

Restons des bons Tunisiens et laissons les problèmes du Moyen Orient au Moyen Orient. Et essayons de tracer l'avenir dans une lumière positive. Nous devons cela à nos enfants. Nous sommes les seuls qui avons vécu ensemble en bons termes pendant des milliers d'années et donc nous sommes les seuls à disposer d'un trésor d'expériences qui méritent d'êtres propagées parmi les diverses religions, à titre d'exemple. Je dis merci à notre terre qui est la Tunisie pour toutes les bonnes choses qu'elle nous données.

Par Mexico (Mexico) le mercredi 25 décembre 2002 - 04h39:

Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, je recommande fortement le livre de Aryeh Kaplan:
"LE VRAI MESSIE"
Editions Emounah
Page 114:

Il arrivera, a la fin des temps,
Que la montagne de la maison de Dieu
Sera affermie sur la cime des montagnes
Et se dressera au-dessus des collines,
Et toutes les nations y afflueront.
Et des peuples nombreux iront en disant:
"Allons gravir la montagne de Dieu,
Pour gagner la maison du Dieu de Jacob,
Afin qu'Il (le Messie) nous enseigne Ses voies
Et que nous puissions suivre Ses sentiers,
Car c'est de Sion que sort la Torah
Et de Jerusalem la parole de Dieu."
Il sera un arbitre entre les nations
Et le guide de peuples nombreux;
Ceux-ci alors de leurs glaives forgeront des socs de charrue
Et leurs lances des serpettes;
Un peuple ne tirera plus l'epee contre un autre peuple;
Et on n'apprendra plus l'art des combats.
(Isaie 2,2-4)

Par Admin (Admin) le jeudi 26 décembre 2002 - 04h22: