Par Admin (Admin) le lundi 30 décembre 2002 - 07h09: |
Par Mexico (Mexico) le dimanche 29 décembre 2002 - 11h35: |
Cher Breitou,
Je ne vois pas pourquoi et comment tu pourrais gener en disant ce que tu penses.
Ce sont justement les divergences d'opinions qui enrichissent les discussions qui ne doivent pas pour autant en arriver a des querelles.
Ce n'est pas le cas.
A tres bientot
Yael
Par Albert (Albert) le dimanche 29 décembre 2002 - 11h14: |
Mes chers amis,
Si mes réflexions de toutes sortes vous gênent ou vous ennuient dites le moi, je me ferai un plaisir de ne plus les interner ici ...Merci et sans rancune.
Breitou.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 29 décembre 2002 - 05h56: |
Mes chers amis, depuis que j'avais quitté la Tunisie il y a de ça 56 ans je me suis toujours senti comme Juif tunisien. Les autres m'ont toujours regardé comme tel jusqu'à ce jour. Pas d'illusion, que l'on oublie, que l'on veuille oublier ou nier nos origines ne sert à rien. A part cela je n'ai rien contre la Tunisie et je serais prêt à y retourner et à vivre là-bas lorsque la Tunisie deviendra un jour un pays LAÏC comme la Turquie. La population majoritaire musulmane ne me dérange pas, puisque nous nous connaissons depuis des siècles.
Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 29 décembre 2002 - 05h54: |
29 decembre fete nationale harissaland.
HAPPY BIRTHDAY JACO !
Par Mena (Mena) le dimanche 29 décembre 2002 - 04h12: |
Des causes et des effets ! (info # 012712/2)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Lorsqu’un journaliste ou un intellectuel entend s’exprimer au sujet d’un conflit de manière professionnelle, il se doit, entre autres questions fondamentales, d’établir une distinction sans failles entre les événements causals d’une confrontation armée et ceux qui leur sont subséquents.
Dans certains cas, apparaissant surtout lors des guerres conventionnelles, on assiste à de véritables engrenages de violence, durant lesquels les opérations punitives succèdent aux initiatives offensives et il devient alors impossible d’établir avec certitude les responsabilités des protagonistes. Dans ces conditions de conflits ouverts, il n’est plus possible de déterminer le camp qui est à l’origine des violences et celui qui s’en défend. Le reporter s’attellera alors à faire le récit équilibré des faits d’armes ainsi que des tentatives diplomatiques visant à y mettre un terme.
Dans l’observation du conflit israélo-palestinien cependant, tel qu’il se poursuit en cette fin d’année 2002, ceux qui auront fait l’effort méritoire de rechercher l’origine de la violence, se seront aperçus qu’elle émanait systématiquement du même protagoniste. Si, dans un premier temps et pour clarifier les choses, on veut bien se limiter à n’envisager que l’aspect militaire de ce différend, force est alors de constater que toute l’activité armée s’articule autour d’un seul axe. Avec, d’un côté des organisations palestiniennes armées, qui toutes se livrent systématiquement à l’assassinat de civils israéliens et de l’autre, l’armée israélienne, qui agit uniquement dans le dessein de détruire l’arsenal à disposition de ces organisations et d’appréhender, voire d’éliminer, les commandants de ces groupes.
Ce tableau, que nous avons obtenu de l’armée israélienne et que nous avons dûment vérifié au cas par cas avant de le publier, nous apprend que les activités conjuguées du Hamas, du Jihad islamique, des organisations palestiniennes non islamistes et des branches armées du Fatah, ont procédé, en décembre, à 145 initiatives d’assassinats collectifs, dont une seule a abouti. D’autre part, toutes ces tentatives sauf 3 – qui étaient dirigées contre des soldats et d’autres objectifs militaires et qui, sémiologiquement, méritent ainsi le qualificatif d’actes de guérilla ou d’opérations militaires – avaient pour objectif l’éradication physique de personnes civiles en raison uniquement de leur appartenance nationale. Et, parce qu’aucun de ces actes n’était spontané – perpétré sans préparation -, tous valent, selon les principes de la loi internationales, judicieusement relevés à ce propos par Amnesty International, les qualifications de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Nous notons encore, bien que l’attaque de civils demeurant dans des implantations, légales ou illégales, ne déroge aucunement de ces mêmes principes, que seules 21 agressions étaient dirigées contre des objectifs situés dans des territoires disputés et que les 124 autres visaient des civils évoluant sur territoire israélien.
L’armée israélienne a par ailleurs réussi à déjouer – c’est-à-dire à empêcher la mise en place de - 10 de ces tentatives, soit par l’arrestation des terroristes, soit par leur neutralisation avant la mise en chantier de leurs actes. Dans 134 cas, l’opération était déjà engagée lorsque les forces israéliennes sont parvenues à l’interrompre avant qu’elle ne puisse être menée à terme.
Nous assistons ces jours à une vaste opération militaire menée par l’armée israélienne. Cette opération a pour but de décapiter les organisations armées palestiniennes se livrant à ces crimes de guerre, en procédant à l’arrestation de leurs commandants ou à leur élimination. Tout journaliste et tout intellectuel soucieux de leurs fonctions publiques s’attacheront à relever la consécution de l’action de l’armée israélienne ainsi que le fait remarquable, que celle-ci ne s’en prend qu’à des hommes et à des structures directement impliqués dans la perpétration de ces crimes de guerre.
Comme dans tout acte de guerre, il advient que des innocents soient atteints durant les opérations israéliennes mais ces cas sont rares, relativement à l’ampleur des opérations en cours et, contrairement à ce que laissent entendre maladroitement nombre de nos confrères, les civils palestiniens ne sont jamais pris volontairement pour cibles par les soldats de l’Etat hébreu.
Si on entend procéder à une analyse raisonnable des éléments sécuritaires de ce conflit, on procédera à six conclusions partielles prépondérantes, issues de l’observation de ce conflit :
a. Les actes armés de toutes les organisations palestiniennes ne participent pas d’une guerre territoriale et ne peuvent conséquemment être considérées comme étant de nature à faire prévaloir un argument territorial.
b. Toutes lesdites organisations prônent dans leurs statuts l’éradication de l’Etat d’Israël et de ses habitants et inscrivent leurs actions armées dans le cadre de cette finalité.
c. En observant la nature du déploiement de l’armée israélienne, ses cibles, ainsi que le caractère provisoire de ses relations aux autorités municipales des territoires palestiniens qu’elle réoccupe, on accède forcément à la conclusion qu’elle prend part à une lutte contre les terroristes et qu’elle ne vise en aucune manière la reconquête permanente desdits territoires.
d. La lutte sans concessions contre toute organisation perpétrant et prônant des crimes de guerre contre des civils pacifiques entre dans le cadre des obligations de la force armée d’un Etat démocratique.
e. La non intervention de Tsahal contre ces organisations aurait résulté, en décembre 2002 uniquement, en la réalisation d’au moins 145 assassinats collectifs de civils israéliens, provoquant le décès estimé de 1500 personnes innocentes et la blessure et l'infirmité d’au moins 8000 autres.
f. La détermination des organisations palestiniennes armées à perpétrer des crimes de guerre contre les civils israéliens est indépendante de toute évolution dans le domaine politique, puisqu’elles faisaient déjà appel au terrorisme avant et durant le processus d’Oslo. Qui plus est, selon les chartes du Jihad et du Hamas, toute solution négociée du conflit israélo-arabe est mutans mutandis irrecevable.
A l’axiome qui dit qu’aucune solution militaire ne peut remplacer de solution politique, il faut bien, si on ne veut pas perdre le contact de la réalité, ajouter aujourd’hui la vérité supplémentaire qui prétend que l’attente d’une nouvelle fenêtre d’opportunité politique, après celle gâchée de Camp David, ne peut être considérée sans le pan d’un combat acharné contre les organisations qui procèdent à l’assassinat collectif de civils israéliens.
C’est en considération de ces statistiques qu’il faut intégrer les tentatives faites par Amr Moussa en Egypte afin d’aboutir à une hunda (trêve) respectée par toutes les organisations palestiniennes armées ET AUSSI par l’Etat d’Israël. Moussa, fervent adversaire de l’Etat hébreu, ayant bien saisi, qu’au rythme où vont les choses, ces organisations pourraient cesser d’être opérationnelles dans les semaines à venir.
Mêmes considérations, derrière le nouveau discours d’Abou Mazen, déclarant l’échec de l’Intifada et la nécessité d’y mettre un terme, étant bien entendu, que si la courbe des attentats palestiniens continue de chuter, Yasser Arafat, qui est l’architecte de l’Intifada, aurait tout perdu. Perdus les avantages d’une paix de consensus, que lui proposait Clinton à Camp David avec un Etat indépendant à la clé et perdu l’arme de chantage du terrorisme, pour lequel il avait opté.
On constate que l’accès de Realpolitik des dirigeants de l’Autorité est probablement dicté par les nécessités de terrain et par les succès des commandos de mistaravim, ces unités d’élite habillées en vêtements arabes, qui viennent, nuit après nuit, faire leurs comptes avec les assassins de civils israéliens et priver les membres du Jihad, du Hamas et des Brigades d’Al Aksa de leurs cerveaux.
On distinguera de ce revirement machiavélique la poignée de Palestiniens lucides et courageux, tels le professeur Nusseibeh et notre ami El-Soudi, qui n’ont pas attendu l’essoufflement du terrorisme, pour affirmer la nécessité d’une solution négociée entre nos deux peuple, solution basée sur le principe des deux Etats indépendants pour deux peuples différents !
Au plan politique, ceux qui entendent justifier, quand même et à rebours des évidences, l’usage de la terreur par les souffrances du peuple palestinien, prendront le risque d’un terrible amalgame : Celui qui permettrait l’usage de toutes les violences, y compris le meurtre raciste de civils, comme solution d’un différend politique. Surtout qu’avec les témoignages d’Ehud Barak et de Bill Clinton, nous disposons de raisons en acier trempé pour affirmer que tous les aspects du conflit israélo-palestinien avaient été résolus à Camp David et que le déclenchement de l’Intifada n’était plus qu’un prétexte creux pour enterrer la paix.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 29 décembre 2002 - 03h58: |
COMMUNIQUE DU B'NAI B'RITH FRANCE
Sujet: Appel à signer la pétition contre la motion de Paris VI
Chères Soeurs, chers Frères,
En réponse à la motion votée par le Conseil d'Administration de l'Université Marie et Pierre Curie (Paris VI) demandant à l'UE de mettre fin à l'accord cadre de coopération avec Israël, nous vous invitons à signer la pétition lancée par les Universitaires en réaction à cette infâmie sur:
http://contreleboycott.free.fr
Salutations fraternelles,
le Bureau du B'nai B'rith France
Par Chantal (Chantal) le dimanche 29 décembre 2002 - 01h09: |
Happy birthhhhhhhhhday to you Monsieur le Webmaster!!!!!
Par Lapid (Lapid) le samedi 28 décembre 2002 - 22h38: |
Lettre de voeux au Président de la République
Les mêmes voeux ont ete adresses au Premier Ministre, Jean-Pierre Raffarin,au Ministre de l'Education Nationale, Luc Ferry et au Garde des Sceaux Ministre de la justice, Dominique Perben.
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Monsieur le Président de la République Française,
Je voudrais vous présenter en mon nom et celui de ma famille tous mes voeux à l’occasion du Nouvel An 2003.
Face à tous les dangers qui nous menacent, j’espère que, sous votre direction, la France saura les surmonter et surtout éradiquer de son territoire tous les extrémismes qui semblent, aujourd’hui, sortir de leur léthargie .
Je prendrais comme exemple l’atmosphère détestable régnant, actuellement, dans certaines universités françaises qui, malheureusement, cèdent trop facilement à ces extrémismes.
Ainsi, la prise de position du conseil d’administration de l’Université Pierre et Marie Curie Paris VI votée le 16 décembre 2002, appelant à ne pas renouveler l’accord d’association qui lie Israel à l’Union Europeenne et par conséquent à boycotter les universités israéliennes, les chercheurs israéliens et les hopitaux israéliens, provoque une vague de réprobations aussi bien parmi les milieux universitaires que parmi les autres couches de la société française. Aussi, avant que cette gangrène ne s’étende à d’autres universités, par exemple Paris VII le 7 janvier 2003, il serait souhaitable que le Président de la République Française et le gouvernement francais condamnent énergiquement de telles pratiques indignes de la France qui nous rappelent celles de certaines époques sombres de son histoire et que nous espérions révolues à jamais. Nous savons qu’il suffirait à la justice française de mettre en application les lois existantes afin de faire avorter toutes ces tentatives de boycott dans différents domaines que certains extrémistes essayent de mettre en pratique. Si cela était fait, les valeurs universelles dont la France est le symbole s’en trouveraient renforcées.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sentiments les plus respectueux.
C.H.
PS : Afin de vous rendre compte de cette vague de réprobations il suffit d’aller visiter le site suivant sur Internet :
http://contreleboycott.free.fr/signataires.php3
Par Albert (Albert) le samedi 28 décembre 2002 - 21h08: |
Au sujet du 'clonage '
'Ou élli i hab ââmèl èl mlèy'kè ââmel èl eï'chè.
Et celui qui veut faire l'ange fait la bête'.
Breitou
Par Albert (Albert) le samedi 28 décembre 2002 - 09h07: |
REFLEXION SABATIQUE
De la fatalité et de son acceptation…
' Rabi hab ékè…' ou bien 'Mektoub'
Dans la première énonciation, nous reportons la faute à D ieu, comme s'il était responsable de nos déboires, de nos infirmités, de nos tares etc…. Et même de nos problèmes personnels. Alors que dans la plupart des cas c'est, soit la nature qui est fautive soit le personnage qui s'est mis, lui même, dans des situations impossibles.
Sa conscience trouvera donc le nom du Seigneur pour lui faire porter le chapeau. A cela on oppose l'autre expression connue 'Elli ââmèl bidou mè kiddou ' ( Celui qui fait soit même la chose ne doit pas le regretter )donc ici la notion de faute divine est écartée pour se reprocher personnellement l'erreur.
Dans le 'Mektoub' c'est la notion de destinée qui est en jeu. Ce n'est plus D ieu ni soi même mais la destinée à qui on lui reproche sa situation empirique. 'Ouhè él mektoub élli hab'( c 'est la destinée qui a voulu ça) qui m 'a mis dans le mauvais chemin ou alors qui a tué 'mon mari ou ma femme'. Cela s'applique aussi à des enfants qui ont raté quelque chose. Ou même qui sont tombés malade gravement.
Ces expressions ont énormément nourri au quotidien, nos vieilles mamans afin d'apaiser leur angoisse et leur crainte. Je pense qu'elles ont perdu un peu de leur consistance ces 'maximes'. Nous sommes devenus plus réalistes aujourd'hui dans nos vies modernes. Et rien n'est allouer à D ieu qui lui crée sans qu'il lui soit reproché quoique ce soit.
Voilà succinctement deux réflexions jetées ici pour votre grand savoir.
D ieu n'a plus sa part dans la fatalité ou dans le mektoub. Il faut en vouloir à soi même dans tous les cas.
Mon cher Biscuit, nous avons déjà décroché depuis longtemps déjà de la Tunisie, il nous reste encore un petit rien qui va se dissoudre …quelques souvenirs et quelques mots en judèo-arabe qu'un quarteron d'irréductibles s 'acharnent encore à rappeler que nous sommes encore des juifs tunisiens. A toute à l'heure au cafè. Sans moi. Breitou vous salue et sourit bien…
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 28 décembre 2002 - 02h19: |
cher Monsieur Emile HAZAK,
Allah yerakhmou, mon pere disait:
CHEY MIDOUM, MEDEYEM KEN ROBBI.
rien ne dure, ne dure que le tout puissant.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 27 décembre 2002 - 21h48: |
Enfin David Eden exprime les mêmes choses que la plupart de nos harissiens affichent sur ce site.
La seule différence est le mal qu'il ressent et qu'il projette à chaque occasion. Pour moi la Tunisie restera ma terre sans conditions. Voyez vous-mêmes quelle est la différence.
Il ne faut surtout pas oublier que: "CHAY MIDOUM" Rien ne dure. Chabbat Chalom
Par Mexico (Mexico) le vendredi 27 décembre 2002 - 21h34: |
Je suis juive nee a Tlemcen, Algerie. Je voudrais faire un recensement des Juifs qui vivent encore en Algerie. Si vous comptez parmi eux, veuillez je vous prie me contacter.
Chabat Chalom
Yael
meirbaalhaness@hotmail.com
Par Marc (Marc) le vendredi 27 décembre 2002 - 21h29: |
SLIM DEMANDE A TES AMIS QUI SE DISENT PALESTINIENS QUE SIGNIFIE CELA
http://www.frontpagemag.com/media/slideshowimages/slide1.html
When the Palestinians say "End of occupation",What do they mean?
Par Davideden (Davideden) le vendredi 27 décembre 2002 - 20h03: |
Je suis fiert d'etre Juif et je suis fiert de mes origines juives de la terre de Tunisie.
J'ai de bons souvenirs de ma terre natale et j'aime mon identite Juive de Tunisie.
Quand je dis Juif de Tunisie, le mot "Tunisie" represente ma terre natale et celle de generations de mes ancetres bien avant la creation du pays raciste du meme nom cree en 1956 sur cette terre.
Le fait est que ma nostalgie n'est pas pour le regime dictatorial, ou le drapeau rouge au croissant. Ma nostalgie n'est pas pour l'oppression de l'expression libre ou la politique de pression qui a ammenee au depart des Juifs dont certain vivaienet sur cette "terre d'Islam" avant la naissance de Mohamed.
Ma nostalgie est pour la terre, les couleurs, les parfums. Mes regrets vont pour cette communautee detruite et exilee.
Les 1500 (plus ou moins) de Juifs qui y sont toleres aujourd'hui ne representent pas une population de plus de 200.000 refugies et descendants.
Alors pour repondre a cetaines critiques je dirais que je suis fiert, voir tres fiert de mon origine Tunisienne et je suis navre de ce que le pays du meme nom a fait a mon peuple.
Par Biscuit (Biscuit) le vendredi 27 décembre 2002 - 19h42: |
une page pleine d'enfants photographiés en tenus de kamikazes .
ET VOUS CROYEZ QU'AVEC CA UNE PAIX SERA POSSIBLE ?
si c'était de petits animaux nuisibles j'aurais dit qu'on les tue , mais ce sont des enfants ..quelle lâcheté de la part des parents
http://www.idf.il/newsite/french/1226-2.stm
Par Axelle (Axelle) le vendredi 27 décembre 2002 - 19h07: |
Biscuit,
Il ne faut rien oublier de votre passé de Tunisien, ni que vous êtes juif. Soyez fier de l'être. On ne doit jamais renier ce que l'on est.
Vous avez sans doute en vous des valeurs que vous avez reçues dans votre enfance, alors il faut les garder. Et puis, je vais vous faire un aveu, quand je lis Mr TUBIANA ou Mr Albert, vous et bien d'autres, et bien j'aime l'humour tunisien.
Continuez d'écrire. Je prends beaucoup de plaisir à vous lire. Moi, qui ne suis jamais sortie de ma France natale. Enfin, j'espère que la première sortie sera la bonne : Israël !! Cordialement.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 27 décembre 2002 - 18h54: |
Cher Biscuit, tu ne me choques pas du tout. Tu as exprimé une pensée, j'ai exprimé une autre, Il n'y a rien de mal. Le site est fait justement pour ça. C'est en exprimant des pensées que nous avançons dans la vie. Continue à écrire c'est le meilleur moyen d'échanger des idées. Rabi Ma'ak Ya Oueldi et Chabbat Chalom.
Par Benzarti (Benzarti) le vendredi 27 décembre 2002 - 18h03: |
bonjour je suis tunisien ms musulman et s'il ya des tunisiens juifs qui vivent en tunisie merci de m'ecrire pr me dire comment ils vivent parmi les musulmans et si la vie en tunisie ne vou spose pa de pb!mercie t ecrivez moi a tounsi51@caramail.com
Par Snoussi (Snoussi) le vendredi 27 décembre 2002 - 11h05: |
Annonce de la parution fin décembre-début janvier à Tunis d'un ouvrage sur "La presse judéo-arabe dans la Tunisie coloniale (1884-1896)", écrit par M. Larbi snoussi. Cet ouvrage comporte un panorama détaillé sur cette presse pendant cette période, ainsi que la vie de la communauté juive surtout à Tunis, des illustrations, des traductions de certains articles. Cet ouvrage qui sera publié par MédiaCom est estimé à 10 Euros+ 2 Euros pour frais postaux pour ceux qui veulent en faire la commande. Pour cela écrire à l'auteur larbi_snoussi@yahoo.fr
Par Biscuit (Biscuit) le vendredi 27 décembre 2002 - 11h05: |
Jpc
simplement que juif , vous le serez toujours ( je l'espère ) et que tune nous ne le sommes plus vraiment depuis longtemps .Je n'ai pas dit d'occulter le fait que nous soyons nés en Tunisie , mais d'en garder un doux et beau souvenir sans continuer a en faire un plat .
je regrette que vous mettiez sur un même pied d' égalité notre judaïsme et notre nostalgie tunisienne
cordialement
Par Jpc (Jpc) le vendredi 27 décembre 2002 - 08h34: |
Biscuit
Dans le meme ordre d'idees que oublier notre passe de Tunisiens, pourquoi dans la foulee ne pas essayer d'oublier aussi que nous sommes "Juifs"?
Et si vraiment on arrivait a "decrocher" comme vous dites et oublier toutes nos composantes, que serions-nous au bout du compte?
Jean-Pierre
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 27 décembre 2002 - 05h26: |
L'AMOUR
On se rend compte que l'amour est vital lorsqu'on sent que l'être aimé nous échappe....
L'avez-vous vécu ?
Iona
Par Admin (Admin) le samedi 28 décembre 2002 - 01h53: |