Par Admin (Admin) le mercredi 01 janvier 2003 - 06h29:

Par Albert (Albert) le mardi 31 décembre 2002 - 11h39:

Emma, Mr Djachem,

Expliquez moi l'impact que peut avoir cette discrimination envers les chercheurs israeliens..?
Est ce une grande perte pour leurs échanges d'information..? Et pourquoi serait t elle orchestrè pas le Quay d'Orsay...? Merci..
ALBERT

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 31 décembre 2002 - 07h37:

Je ne pense pas que le mot KANDIL vient de la langue hebraique.

Kandil en judeo-arabe designe les veilleuse que nos parents faisait dans un verre rempli au trois quart d'eau et d'environ deux centimetres d'huile d'olive, et une petite meche en coton.

Ces KANDILS etait allumes les vendredi soir en faisant une benediction. Ils sont remplaces aujourdhui par les bougies du SHABAT.

Ils etait aussi allumes lors des veilles de fetes, pour les memoires des defunts, des rabbins, et lors des pelerinages.

Ces Kandils en grands formats reposants sur des socles verticaux ou etait marques sur plaque d'argent les noms des defunts ainsi que la date de deces, ornaient pratiquement tous les murs des synaguogues de Tunisie.

Ces pratiques sont presques revolus de nos jours.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 31 décembre 2002 - 06h08:

Monsieur Citron c'est grâce aux valeurs au paysage, à la langue, aux coutumes, aux airs de musique et à la cuisine que j'ai pu aussi saisir la profondeur de ce que m'avaient transmis mes aînés. Merci pour votre aimable invitation et croyez-moi si un jour ma santé me le permet c'est avec plaisir que je vous rendrais visite et "Na'amlou Keyfia be thay be naouar ouel A'terchia. Ya sidi Barakala fik.

Dans le monde actuel je pense qu'il faudrait nous accrocher tous aux beaux souvenirs qui nous parviennent de loin, et qui alimentent encore nos âmes assoiffées de tout ce qui est innocent et pur. Ces douces mémoires nous aident souvent à braver les durs moments qui viennent nous surprendre comme une tempête en pleine campagne, ces souvenirs nous abritent encore comme un préau lors d'une pluie torrentielle.. Ah, si les hommes du Moyen Orient pouvaient avoir un peu du savoir de nos ancêtres que nous portons avec nous là ou nous allons comme des bourses pleines de Louis d'or et de Diamants.

Le mode de vie paisible et simple des habitants de nos villes étaient le cachet de nos aînés. Lorsque je me suis mis à écrire ces quelques lignes, des milliers de pensées s'alignèrent dans ma tête, chacune voulait attirer mon attention et s'emparer de mon commentaire. Comme je ne pouvais pas les insérer toutes, je me suis contenté de faire abstraction pour le moment.

Maman n'avait jamais mis ses pieds dans une école. Peu importe, car ce qu'elle m'avait enseigné dépassait de loin tout ce que j'avais appris dans les hautes écoles. Ma maman m'avait appris dès mon jeune âge le vrai sens de "l'amour" et de "la charité". Elle me disait toujours:
- "Ma Yenfaa Càn El Qalb Ouel Faal." (Il n'y a que le coeur et les actes qui comptent.) En effet ces deux principes faisaient partie de ma croyance et .de mes pensés
J'étais aussi gratifié d'avoir eu un père, qui a su me transmettre beaucoup de leçons à travers toutes les histoires qu'il nous racontait et les proverbes qu'il employait. Il me disait souvent:
- "LaKram Ta'ati Eteber Ouela Ghla, L'Armaz Charba Ma Mel Guerba Tkidha." (Les généreux offrent les pierres précieuses quelle que soit leur valeur et les mesquins n'offrent même pas une goutte d'eau de leurs outres). Ce n'est qu'aujourd'hui que je découvre le sens de ces sagesses voilées. Aussi il me disait:
- " Eli Ya'mel el Kher Ma Y Chaour." (Celui qui veut faire du bien ne demande pas conseil.) Je commence à peine à discerner et à saisir le vrai sens de ces paroles. Encore une fois Barakalah Fik Ourabi Ikhalik.

Par Email (Email) le mardi 31 décembre 2002 - 05h35:

"Restons des bons Tunisiens et laissons les problèmes du Moyen Orient au Moyen Orient. Et essayons de tracer l'avenir dans une lumière positive. Nous devons cela à nos enfants. Nous sommes les seuls qui avons vécu ensemble en bons termes pendant des milliers d'années et donc nous sommes les seuls à disposer d'un trésor d'expériences qui méritent d'êtres propagées parmi les diverses religions, à titre d'exemple. Je dis merci à notre terre qui est la Tunisie pour toutes les bonnes choses qu'elle nous a données. "
aléluia
aléluia

cher monsieur Tubiana
je serais ravi de vous accueillir chez moi si vous visitez la tunisie.

Vu qu'une fracture existe de nos jours entre les jeunes des deux communautées je propose que harissa serve de liaison et de trait d'union entre tous ceux qui veulent se connaitre pour cela je vous demande de m'informer de tous programmes d'échange entre les jeunes, des programmes d'études de culture juive et de l'hebreux en israel....
il faut noter enfin que les classes de langue hébraique a l'université de tunis sont overbooké! c'est pour vous dire cette soif de connaissance de l'autre.

je pense qu'au lieu de se lancer dans des programmes d'armements destructeurs, il faudrait plutot lancer des ponts constructeurs.
Enfin pour vous répondre; c vrai je m'emporte parfois contre ceux qui refusent a la tunisie de revendiquer ses valeurs alors qu'ils permettent a d'autres pays de faire plus que ca allusion claire aux drapeaux tunisiens et israeliens qui refletent les valeures des 2 etats)
je parle pour moi meme et je veux juste donner mon point de vue et cela ne m'engage que moi.

encore une chose
je suis fiér d'avoir entrepris avec l'aide de HARISSA de lancer des ponts entre ce journal et plusieurs tunes qui ecrivent et défendent leurs point de vue sur
http://www.realites.com.tn

citron
nouveau mail ; god.1@laposte.net

bonne année a tous

Par Emma (Emma) le mardi 31 décembre 2002 - 05h29:

Monsieur le Président de l'Université de Paris VI,



Chaque citoyen a une conscience et il appartient à chacun de se manifester quand celle-ci est maltraitée, choquée, blessée. C'est un PRINCIPE DEMOCRATIQUE que nous avons encore la chance de pouvoir exercer en France.



J'ai lu avec stupéfaction le texte de la motion que votre Conseil d'administration a voté le 16 décembre 2002 pour clore cette année dans l’indignité.



J'ai particulièrement apprécié les motifs avancés : "Les relations entre les parties .....se fondent sur le RESPECT DES DROITS DE L'HOMME ET DES PRINCIPES DEMOCRATIQUES qui inspirent leurs politiques internes et internationales et qui constitue UN ELEMENT ESSENTIEL du présent accord".



Effectivement, une université qui permet à ses étudiants de "caillasser" le Premier Ministre de la République française en visite chez elle fait preuve, sans conteste, de RESPECT DES DROITS DE L'HOMME. C'est une façon tout à fait démocratique de s'exprimer, votre conseil d'administration ne démentira pas.



Envoyer de jeunes illuminés fanatisés croyant atteindre le Paradis en se faisant exploser au milieu d'une foule de civils afin d'en tuer et d'en estropier le plus grand nombre, c'est un PRINCIPE DEMOCRATIQUE comme tout démocrate sait et soutient.



Développer dans la presse et dans les livres scolaires un antisémitisme repris des années sombres du nazisme et instiller la haine des Juifs qu'il est recommandé de tuer par tous les moyens, c'est encore une fois un PRINCIPE DEMOCRATIQUE et surtout c'est faire preuve incontestable du RESPECT DES DROITS DE L'HOMME.



Refuser des réformes démocratiques demandées par la communauté internationale comme préliminaire à la création d'un Etat "démocratique" comme le fait le grand ami des Droits de l'Homme et le parfait DEMOCRATE qu’est Yasser Arafat, est certainement à vos yeux une preuve éclatante de courage politique. Prôner le terrorisme plutôt que la discussion est une attitude digne de soutien et d'admiration de la part d'intellectuels français tels que vous et vos acolytes. Ces 2 éléments vont certainement vous permettre de renforcer votre coopération bilatérale Paris VI avec les universités palestiniennes.



Mais de tous cela, point dans votre motion.



Monsieur le Président, depuis quand un accord d'association entre scientifiques fait référence à la politique du pays associé ? Depuis quand les scientifiques sont-ils responsables de la ligne politique de leur gouvernement ?

Les scientifiques sont des citoyens au même titre que vous et les membres de votre conseil d'administration.



Ainsi il serait tout à fait risible et ridicule de vous imputer en quelque façon que ce soit la ligne politique de notre gouvernement et vous rendre responsables de l'ingérence de l'armée française dans la guerre civile qui déchire la Cote d'Ivoire. Y a t-il eu un imbécile pour imputer cet acte politique au corps scientifique ?



Monsieur le Président, où est la voix outrée, choquée, indignée de votre conseil d'administration devant la condamnation à mort d' un intellectuel iranien qui ne plait pas aux intégristes au pouvoir ? Cette condamnation serait-elle conforme, selon vos critères, au RESPECT DES DROITS DE L'HOMME ? et aux PRINCIPES DEMOCRATIQUES ? De même que signifie votre silence assourdissant concernant les mises à mort sans procès des opposants politiques au grand DEMOCRATE Arafat ?



Monsieur le Président, vous ai-je entendu dénoncer le détournement des fonds de l’UE offerts à l’AP justement pour développer les écoles et universités palestiniennes ? Est-ce cela le soutien que vous vous apportez à « la politique actuelle » de l’AP ? Est-ce aussi au nom des Droits de l’Homme que vous vous taisez si habilement ?



Monsieur le Président, quand votre université devient le champ de bataille idéologique de mouvements islamiques intégristes qui étendent leur emprise sur tout le campus et empêchent d'autres voix de se faire entendre, vous laissez faire au nom du respect de la DEMOCRATIE où tous les courants devraient pouvoir s'exprimer en toute LIBERTE ?



Monsieur le Président, quand les juntes militaires asservissaient les peuples argentins et chiliens, n'était-ce pas le rôle des universitaires français de soutenir leurs collègues ? Fallait-il mettre les scientifiques argentins et chiliens dans le même panier que les tortionnaires et les mettre au ban de la communauté universitaire ? A l'époque, vos collègues ne l'ont pas fait.



Monsieur le Président, quand la France torturait en Algérie, contre qui avez-vous protesté ? contre les tortionnaires ou contre les hommes de sciences qui, tout à leur recherche, faisaient avancer l'Humanité n'ayant aucune responsabilité dans ces comportements indignes de notre armée ? Est-ce que la communauté universitaire et les instances scientifiques des autres pays ont boycotté nos universitaires et les centres de recherches avec lesquels ils avaient des liens d’association ? Et pourtant … la gégène tournait à fond.



Monsieur le Président, quand la France se vautrait dans la Collaboration et que certains membres de l'Université française faisaient acte d'allégeance envers le "Sauveur de la France" où était l'écho des voix des présidents de nos universités contre la mise à mort de nos principes de Liberté, D'Égalité et de Fraternité ?



Monsieur le Président, quand vos collègues juifs français ont été chassés de l'université par les lois de Vichy, vos collègues sont restés MUETS probablement au nom du RESPECT DES DROITS DE L'HOMME.



L'histoire de l'université française n'a pas toujours était digne ni exempte de lâcheté et la motion que vous et votre conseil d'Administration viennent de signer conforte cette ligne de conduite qui entache l'image de nos universités.



Ayant moi-même enseigné dans une IUT, j'en suis encore plus choquée car nous avons une responsabilité morale et intellectuelle face à nos étudiants. Nous n'avons pas le droit d’etre l'exemple d'une MALHONNETETE INTELLECTUELLE, d’UNE SCANDALEUSE DESINFORMATION et d’UN PARTI PRIS IGNOBLE qui flaire un tantinet un antisémitisme déguisé en pensée politique dont vous et vos collègues ont été les acteurs indignes.



Monsieur le Président, ne vous étonnez pas, désormais, qu'à travers le monde, on se rit de nos universités qui sont capables de faire preuve d'une telle monstruosité. Et pendant que vous signez sottement une motion qui n’a rien à voir avec les fonctions que vous devez assumer et qui finalement vous pénalise peut-etre, les Etats-Unis, eux, continuent à attirer dans leurs universités les plus illustres et talentueux scientifiques, même s’ils sont Israéliens et qui leur offrent, de surcroît des prix Nobel. Dois-je vous rappeler que c’est un chercheur israélo-américain qui a reçu le Prix Nobel d’Economie ? Mais peut-etre que l’université de Paris VI préfère une piètre notoriété plutôt que d’accueillir en son sein des universitaires israéliens. Dommage pour vos étudiants, dommage pour vous, dommage pour la France.



Cependant il existe encore, fort heureusement, dans notre pays, des scientifiques, des intellectuels, des universitaires prets à se désolidariser de votre attitude partisane et pathologiquement anti-isrélienne. Ceux-là sauront se dresser contre vous et contre vos sbires, inspirateurs de honte et de dégoût.



Je vous présente, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs du conseil d'administration, mes sentiments chagrinés et quelques peu écoeurés.



Gisèle NINIO-GRYNBERG

Journaliste

Ancienne Enseignante à

l'Université de Nice-Sophia Antipolis

Département InfoCom/Tech de Co

Par Mailroom (Mailroom) le mardi 31 décembre 2002 - 05h27:

bonjour,

Permettez moi de prendre quelques minutes de votre temps pour vous faire part de mes ressentiments "à chaud" suite à la visite de votre site.
En premier lieu, j'étais méfiant. méfiant de ces gens qui déclarent partager avec moi une partie de moi. de mon identité. car en fait, je n'ai jamais appris à la partager. et vous l'avez fait sans me demander mon avis.
Après j'étais stupéfait. stupéfait de découvrir ces noms célèbres - dont certains ne me sont pas étrangers -. ces hommes et femmes qui ont pu se tailler des places d'honneurs dans les sociétés qui les ont adopté ou dans lesquelles ils ont grandi. stupéfait du fait qu'une grande part d'entre eux ait continué à revendiquer cette part d'identité (à travers les associations qu'ils présidaient, les groupes qu'ils animaient)... qui réclamaient même de rendre à Tunis son zouave!! c'est que cette partie d'eux doit leur être vraiment chère?!
Et puis la méfiance s'est tout doucement estompée. et j'ai feuilleté votre site comme si je feuilletais mon propre album de souvenir. Tunis sous la neige, les cafés de Tunis... et les premiers émois...
Et je me suis dis que finalement que vous aviez plus que le droit de la revendiquer cette part d'identité. elle est commune à tous les fils et filles de cette terre.
j'ai sentis en moi une certaine fierté de voire des tunisiens -comme moi - qui montrent tant d'amour et de passion à cette terre. et j'ai fini par me dire que quelque part je regrette de ne pas avoir connu et vécu les années de la belle Goulette, de la grouillante Tunis. de ces cafés tenu par les Aldo et Roberto, de ses musiques chantées par Afrit et Msika...
Et j'imaginais la tristesse de notre terre de voire cette harmonie brisée.
Mais je me consolais en me disant qu'elle doit retrouver le sourire à chaque fois que ses enfants se retrouvent se connaissent et s'acceptent.

salam
chalom

Sinene Hajsalem

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 31 décembre 2002 - 04h11:

Je donnerai un dix sur dix pour Le pro-fetes. Que chacun puisse se reveiller a temps et trouver son chemin vers lui meme. Amen

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 31 décembre 2002 - 04h02:

Bekhor j'ai bien saisi l'allusion, mais cela m'avait donne l'occasion de marquer un point pour la Tunisie. Merci de m'avoir considerer.

Par Djlachem (Djlachem) le mardi 31 décembre 2002 - 00h47:

Par Mexico (Mexico) le lundi 30 décembre 2002 - 22h29:

Cher Albert,
Je n'ai jamais vu de ma vie une personne qui s'exprime comme toi d'une facon si emouvante. Ton recit m'a faite pleurer.
Je voudrais profiter de ce message pour envoyer tous mes meilleurs voeux a Janet que j'embrasse bien tendrement.
Yael

Par Albert (Albert) le lundi 30 décembre 2002 - 20h55:

Kél'mè'ti fèl tili'foun èl li'oum JANET, mèl New York…! Thab nah'kilè ââ'la ômi ya'jij'ti….! Ekèl nâr èlli mchèt fi guén'yèy! 'dèl…..
Elle m'a parlé aujourd'hui au téléphone Janet de New York….Elle a voulu que je lui re- raconte la fin de ma grand-mère qui est parti au Paradis…

Janet……! Eh'nè élli chmat ho'chèk él'ioum kô'tli mèt bèd'èlch és'mèk ..! Okiod bès'mèk ALBERT…
'Janet……! Moi qui ai entendu ta voix aujourd'hui, tu m'as dis de ne pas changer mon nom de rester avec Albert…Si telle est ta volonté, je m'y soumets. Alors…..! Mes chers amis, respectez son choix et pas le mien.Je reste Albert…...Monsieur Le Web-master.

Voilà pour toi JANET, bien que j'ai déjà raconté, cet épisode sur le théâtre je récidive pour toi …!
Je te souhaite un bon rétablissement en cette fin d'année…..! A l'an prochain Janet..

'…..Eye…..! Nét'fèk'ar èk'èl lilè èh'dik él'li kâ'dè'tli fi mô'khi hâ'tè èl youm…..Kent rakôd fi kh'ièr èl nâ'chè 2dik él lilè mtâ 24 Juillet 1974 wak'tli chm'at tènid jèh'yi mèl bit mtâ Meihe….! Ken yââ'ndi èl kôl' wakt édèk ta'krib tès'yâ ou yach'rin yam, mé'zèlt ââ'zèb…..! Kô'mt mè'guir en kââ'yèm omi ou baba…! Habit nèb'ka mââ'ya oué'hdi…! Habit en sém ri'hètè….! Habit nââ'wèn'nè…! Nâa'wènè fèl la'kher tki'ka élli mèzèl'tèla…….! Chéf'ta mes'ki'nè thab tk'oum, méllè mè néj'métch tôk'yâd ââ'la termé'he…..! Awéntè…!.Ou tlate ou'ra'ha ou ktèf'ta bsa'ka'ya….!.Rassa alla séd'ri…!Ou hâtit yè'dè'yè déy'rin âân'ka….! Ou kââd'né ékè iyè ou hénè bra'chitou , yé'nèyè meh'louline tch'ouf lèl smè…! Ou'hènnè yè'nè'yè én chouff fiè…! Kôt'la…

'Yè mémè éch'nouè kâa'dè thè'ch….?'
Mé wè'jbèt'nitch, fèmt élli four'setta kââ'dè trih. Mélècht'èllè sarra ou khdit yédi ou ha'tita fouk yè'dèh mè'zèlèt srkhou'nè…! Daw'rèt rââ'ssa bèch thab tchouf'ni…! Ou fémt élli Meihè bé'ch tarabli….! Hâ'ssit yèdé ta'hat mèl yèdi ou ra'ssa tah âa'la jnèb….! Omi Meih'hè jéw yèkh'douè él mlè'kin èl chèrim….! Jéw ââ'la karoussé'tèm bya'rba hassa'in mchèn'chlin kô'lom déb…! Még'ir hass ou mé'guir klak élli rabatni 29 ans mchèt mén séd'ri…! Kif él na'wara…! Kif él warda èlli hâ'lèt ou'raka bèch yè' dékh'lou fiè él mlèi'kèt mta ra'bi….'

'…….Oui……! Je me souviens de cette nuit là qui est restée gravée dans ma mémoire….Jusqu'à aujourd'hui…! J'étais endormi, ce soir là du 24 juillet 1974, dans un sommeil profond quand j'ai entendu des râles dans la chambre de ma grand-mère…! J'avais à cette époque 29 ans, célibataire…..Je me suis levé sans déranger mes parents..! J'ai voulu être seul avec elle..!Sentir son odeur….! J'ai voulu l'aider ..! L'aider dans son dernier moment…! Je l'ai vu la pauvre, essayer de se lever mais en vain…! Je l'ai aidé…et suis monté derrière elle et l'enlaçais avec mes jambes…! Sa tête sur ma poitrine…..Et j'ai enlacé son cou …Nous sommes restés comme ça, ses yeux dirigés vers le ciel et les miens sur elle….! Je lui ai dis…' Mémé qu'est ce que tu ressens…?' Elle ne m'a pas répondu et j'ai compris que ses forces l'abandonnées dans l'air..! J'ai caressé ses cheveux et pris sa main chaude que j'ai posé sur la mienne.

Elle a retourné son visage pour me voir…! En silence…! Alors j'ai compris que ma Mémé allait s'en aller….!
J'ai senti sa main tomber et sa tête s'inclinait sur le cotè…! Ils sont la prendre les anges dans leurs carrosses aux chevaux harnachés d 'or….Sans bruit et sans souci, ils sont venus m'enlever celle qui m'a élevé durant 29 ans…Elle est partie de sur ma poitrine….! Comme une fleur……Comme une rose qui a ouvert ses pétales pour que les petits anges de D ieu rentrent et emporter son âme…..!

Au petit matin, ma maman nous a retrouvé les deux enlacés. Elle sans vie et moi surveillant sa mort..!

Si je me suis permis de ré-èditer ce passage retouchè c 'est pour des raisons que seules moi et Janet connaissons. Il y a entre elle et moi, malgré tout ce qu'elle a pu dire envers vous tous, y compris moi-même, une affinité d'esprit qui existe entre 'ma critiqueuse ' et la grand-mère Janet dont je garde précieusement sa photo et son violon….!
HARISSA est une grande famille, même virtuellement et nous avons appris à nous connaître avec nos hauts nos bas, nos querelles, nos fâcheries et nos avis si différents des uns et des autres, nos joies et nos peines. C'est la vie qui veut ça…Vous avez compris ma démarche, j'espère.

Et il me vient soudain à l'esprit cette chanson de Brel …'Ne nous quitte pas ..§§§§§….Janet…!'

Le silence parfois s'impose ….

Albert l'Enfant de la Goulette.

Par Mena (Mena) le lundi 30 décembre 2002 - 20h09:

Ca va mal finir ! (info # 012812/2)

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



La peste antijuive est de retour à l’université française

Loin de faire machine arrière, les élites et la presse françaises amplifient leur campagne de ségrégation active et de désinformation crapuleuse contre les intérêts du peuple d’Israël. La peste raciste a désormais fait son entrée à l’Université, avec le vote du conseil d’administration de l’Uni Pierre et Marie Curie, demandant à l'Union européenne de ne pas renouveler l'accord de coopération universitaire avec Israël.



L’adoption de cette motion n’est pas un acte isolé, puisque Paris VII devrait suivre les traces de Paris VI en janvier prochain et appuyer la même demande. La peste, comme dans le livre de Camus, pourra ensuite prendre toute la ville. Mais surtout, la décision de Paris VI fait partie d’une initiative télécommandée par le Quai d’Orsay, qui vient d’envoyer le président de cette université, Gilbert Béréziat, en voyage de soutien dans les facultés palestiniennes.



C’est au cours de ce périple, que Béréziat a notamment rencontré les responsables de l’université Al-Najah de Naplouse. Ceci nous amenant à observer, que l’initiative de boycott de l’académie israélienne est synchronisée avec l’établissement d’un soutien actif en faveur de son homologue arabe.



La France soutient les usines de crimes contre l’humanité

Là s’arrête cependant toute comparaison objective entre ces institutions, car si les étudiants de l’Etat hébreu s’occupent des sciences, ceux d’Al-Najah s’emploient à prôner et à exécuter des crimes de guerre visant les civils israéliens. Pour être encore plus argentin, l’université Al-Najah de Naplouse est bien plus une usine à organiser des assassinats collectifs de civils qu’un établissement académique. Jugez-en sur pièces [lireet voir]en consultant ce document édifiant de l’IDF sur les activités menées dans le cadre d’Al-Najah. Vous pourrez y apprendre comment faire sauter un bus plein de citoyens israéliens ou participer à la confection des ceintures d’explosifs, utilisées par les terroristes-kamikazes afin de se faire sauter au milieu des villes juives.



Béréziat, s’il avait les yeux ouverts, aurait pu assister à la sélection des mêmes kamikazes, ou encore, à la commémoration de la mémoire des étudiants martyrs d’Al-Najah, auteurs justement de ce que la loi internationale définit comme des crimes contre l’humanité. Courant 2001, le Hamas, largement majoritaire au conseil des étudiants, a même reproduit sur le campus les scènes de l’assassinat collectif perpétré par le terroriste fondamentaliste Iz Adin al-Masricontre la pizzeria Sbarro, en plein cœur de Jérusalem-ouest. Cet assassinat, célébré par les nouveaux amis des universitaires français, avait coûté la vie à des dizaines de personnes, dont des citoyens français.


Al-Najah, qui va maintenant bénéficier des faveurs du Quai d’Orsay et de Paris VI, a notamment fourni les assassins islamistes suivants, tous issus de ses bancs :

- Qays Adwan - surnommé "l'ingénieur". Il a préparé des terroristes kamikazes et les a armés de ceintures explosives. Responsable de la coordination de dizaines d’attaques contre des civils, à Jérusalem, Haïfa, Nahariya, etc.

- Ali Hadairy - membre de la Faculté des Sciences - Un des responsables du bras militaire du Hamas à Naplouse et à Tul Karem.

- Taher Jarara - membre de la Faculté des Sciences - responsable du bras armé du Hamas à Naplouse.

- Yusuf Surkajo - titulaire d'une maîtrise de l'Université - il est l'un des principaux membres des infrastructures opérationnelles du Hamas à Naplouse et est responsable de l'envoi d’assassins kamikazes ayant perpétrés des crimes contre l’humanité en Israël entre 1997 et 2002.

- Karim Mafarja - membre de la Faculté de Droit islamique - Assistant de Yusuf Surkaju.

- Jasser Samaro - membre de la Faculté de Droit islamique - Responsable de la fabrication d'explosifs servant aux terroristes kamikazes.


- Hashem Najar - membre de la Faculté de Média et Communication et assassin kamikaze - Responsable de l'attaque terroriste contre le village de Mekhola, le 22 décembre 2000.

- Hamed Abu Hijla - membre de la Faculté du Génie civil et assassin kamikaze - Responsable de l'attaque terroriste à Netanya, le 1er janvier 2001.

- Jamal Nasser - étudiant en génie civil et assassin kamikaze - Responsable de l'attaque terroriste contre un bus israélien, le 29 avril 2001.

- Muayad Salah - étudiant en génie civil et assassin kamikaze - Responsable de l'attaque terroriste à Baka al Sharkiya, le 8 novembre 2001.

- Asam Reihan - membre de la Faculté d'Economie et assassin kamikaze - A participé à l'attaque contre des passagers d'un autobus israélien le 12 décembre 2001.

- Darin Abu Aisha - (femme) assassin kamikaze - s'est faite exploser au carrefour Makabim, le 27 février 2002.

- Muhamad Alrul - membre de la Faculté de Droit islamique et assassin kamikaze - Responsable de l'attaque terroriste contre un bus à Jérusalem, le l8 juin 2002.



Les Israéliens et les juifs français au pied du mur

L’appui qu’ont décidé d’apporter Paris VI et le Quai d’Orsay à une institution comme Al-Najah a ceci de pernicieux qu’il place autant les Israéliens que les juifs français dans une situation impossible. Les Israéliens d’abord, parce que la France officielle et son intelligentsia – s’agissant du conseil d’administration et du président d’une grande université, on ne peut plus considérer cet épanchement de judéophobie comme l’expression d’un antisémitisme spontané, populaire, inconscient, récurent ou traditionnel mais au contraire, nous avons ici affaire à un antisémitisme raisonné et construit, l’expression d’un racisme élitaire – ne déclarent plus seulement leur soutien au concept du droit légitime du peuple palestinien à accéder à son indépendance (ce qui peut se comprendre), ils se fendent d’actions concrètes aux côtés de ceux d’entre nos ennemis qui oeuvrent à visage découvert pour notre éradication physique, au nom de l’interprétation la plus extrême des textes coraniques. Pour les Israéliens, cette double initiative est irrecevable et elle constitue une déclaration de guerre froide – qui contient tous les ingrédients d’une guerre sauf le conflit armé - contre notre droit existentiel individuel autant que contre notre droit à l’autodétermination politique.



Parlons clair, comme nous avons, à la Ména, coutume de le faire. Tout soutien technique ou toute manifestation de sympathie d’une institution officielle française – qui plus est d’un ministère - en faveur d’organisations et ou de personnes qui commettent contre nos concitoyens des crimes contre l’humanité, prenant la forme d’assassinats collectifs, n’est pas envisageable. De tels actes nécessitent de la part des intellectuels israéliens, toutes tendances confondues et de nos autorités politiques, une réflexion distincte, devant mener à une redéfinition de nos rapports avec Paris. Redéfinition, dans laquelle la coexistence entre ces actes et des rapports amicaux normaux, tels qu’ils prévalaient depuis la naissance d’Israël, seront exclus.



Pour les israélites français, et particulièrement pour les titulaires de diplômes des universités, pour les professeurs qui y enseignent et pour les étudiants, la situation générée par ce mouvement d’empathie envers nos assassins, couplée à l’appel à boycotter nos universitaires, pose des problèmes encore plus insurmontables. Les juifs de France, même les plus intégrés socialement, ne peuvent plus rester indifférents face à ces mesures. D’une part, parce que provenant des institutions d’un Etat qui a déjà exclu les juifs de ses universités lors d’une précédente épidémie de peste, l’idée qu’une université française prétende à nouveau sanctionner des israélites dans leur globalité, en fonction de leur appartenance à l’Etat juif, cette fois, n’est pas supportable. Pour tous les juifs de France, cette double affaire présente des relents nauséabonds, qui rappellent forcément les lois d’exception de Pétain, même – et peut-être surtout – lorsque les Français essaient d’expliquer le contraire.



Un malaise qui ne rappelle pas les vacances au Maroc

Je sais que de grands chirurgiens, de grands généticiens et d’éminents chercheurs juifs se voient aujourd’hui confrontés, par ces mesures iniques, à un sentiment d’inconfort et de rejet par leurs pairs. Sentiment qu’ils n’auraient jamais imaginé possible. Le peuple juif de France goutte à la sensation d’exclusion, d’indifférence et d’incompréhension, de la part de ses concitoyens, de la même manière que ses grands-parents en avaient fait l’amère expérience avant eux. Car il faudrait bien que Béréziat, de Villepin, Delfeil de Ton et Jacques Chirac réalisent, qu’en soutenant les assassins des enfants de Netanya de la sorte, ils ont désormais touché au domaine de l’existentialité juive, si compliquée à définir hors des crises de délire antijuif, et si évidente pendant elles. Car il n’est pas de Juif français, de celui qui se fait appeler Morin ou Roche, au plus convaincu des activistes de Shalom Akhshav France, qui n’ait de parent en Israël, dont l’existence n’ait été menacée par ces assassins de l’Islam déferlant, du seul fait de son identité nationale et sub-ethnique. Or tout juif français comprend, sans réfléchir, que cette identité est aussi et précisément la sienne et que, s’il se trouvait par hasard à Netanya ou à Jérusalem, il servirait de cible aux amis de Paris VI, sans que l’expression de ses convictions intimes n’y change quelque chose et sans qu’elles n’intéressent les assassins.



Si ces mesures de boycott s’étendent, s’il suffit, comme le dit Finkielkraut, d’être aujourd’hui juif en France pour être traité comme un chien, les citoyens français israélites, réalisant qu’on ne les aime pas, vont bientôt quitter leur pays par milliers, laissant derrière eux des trous béants de savoir et d’amour, dans cette société qu’ils ont si largement contribué à protéger et à construire.



Oui mais auparavant, cette séparation va mal se passer, parce qu’à nouveau, la haine d’Israël cache d’autres pourrissements inavouables et parce qu’il n’est pas sensé de haïr les juifs à tel point, qu’on veuille boycotter leurs universités, préférant coopérer avec celles de Syrie, d’Arabie saoudite et même d’Irak, tout comme il n’est pas sain de crier, jour après jour, au massacre du peuple palestinien alors que ce massacre n’a pas lieu !

Par Bekhor (Bekhor) le lundi 30 décembre 2002 - 16h28:

Cher Baba Emile,

Je plaisante quand je dit "copyright", car je me souviens, que Jacko, avait mis sur harissa, "la feuille de miel de harissa.com".

Une personne croyant s'etre appropriee le terme " LA FEUILLE DE MIEL" de roch achana, a fait a l'epoque des menaces au site harissa, sous pretexte que son pere l'avait imprime en France avant tout le monde.

D'ailleurs il y a eu quelques raillerie de la part de certains harissiens.

l'affaire fut sans suite.

Bien sur que ces proverbes appartiennent au patrimoine judeo-tune dans son ensemble, tout comme la feuille de miel.

Bonne fin d'annee a vous et a toute votre famille.
Victor Cohen.

Par Lapid (Lapid) le lundi 30 décembre 2002 - 09h56:

Lettre adressée à Nicolas Sarkozy le 30 décembre 2002.

Monsieur le Ministre de l’intérieur,

Je voudrais vous présenter en mon nom et celui de ma famille tous mes voeux à l’occasion du Nouvel An 2003.

Face à tous les dangers qui nous menacent, j’espère que votre Ministère , avec le soutien du Gouvernement et du Président de la République, saura les écarter et, entre autres, saura éradiquer des universités et des établissements scolaires tous les extrémismes qui semblent, aujourd’hui, sortir de leur léthargie .
Je prendrais comme exemple l’atmosphère détestable régnant, actuellement, dans certaines universités françaises qui, malheureusement, cèdent trop facilement à ces extrémismes.
Ainsi, la prise de position du conseil d’administration de l’Université Pierre et Marie Curie Paris VI votée le 16 décembre 2002, appelant à ne pas renouveler l’accord d’association qui lie Israel à l’Union Europeenne et par conséquent à boycotter les universités israéliennes, les chercheurs israéliens et les hopitaux israéliens, provoque une vague de réprobations aussi bien parmi les milieux universitaires que parmi les autres couches de la société française. Aussi, avant que cette gangrène ne s’étende à d’autres universités, par exemple Paris VII le 7 janvier 2003, il serait souhaitable, avec le soutien du Gouvernement et du Président de la République Française, que vous condamniez énergiquement de telles pratiques indignes de la France qui nous rappellent celles de certaines époques sombres de son histoire et que nous espérions révolues à jamais. Nous savons qu’il suffirait à la justice française de mettre en application les lois existantes afin de faire avorter toutes ces tentatives de boycott dans différents domaines que certains extrémistes essayent de mettre en pratique. Si cela était fait, les valeurs universelles dont la France est le symbole s’en trouveraient renforcées.
D’autre part, suite à ma lettre du 16 décembre 2002, qui, à ce jour, est restée sans réponse, j’aimerais savoir comment vous avez réagi , en tant que Ministre de l’intérieur qui sait prendre ses responsabilités, à la lecture des témoignages rapportés dans le livre écrit par Emmanuel Brenner
¨ Les Territoires perdus de la République ¨ dont celui concernant l’incident antisémite anti-juif qui s’est déroulé dans un collège parisien, en mars 2002 décrit par l’auteur :

Quarante minutes d'insultes ("Chiennes de juives", "Youpines", "T'es une pute, en plus t'es juive") et de violences physiques, quarante minutes d'"enfer" vécues par deux élèves, entourées par une douzaine d'autres qui exigent d'elles qu'elles demandent "pardon d'être juive"

Les lignes précédentes ont été reproduites dans l’ article suivant :

http://www.reinfo-israel.com/documents/showthread.php?threadid=3308

Vous comprendrez notre émotion devant de telles dérives qui , malheureusement, ont tendance à se multiplier et qui méritent d’être sanctionnées avec la plus grande sévérité par la Police et la Justice française.

Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mes sentiments les plus respectueux.
Hector Chemla

PS : Afin de vous rendre compte de la vague de réprobations contre l’appel au boycott voté par le conseil d’administration de Paris VI, il suffit d’aller visiter le site suivant sur Internet :

http://contreleboycott.free.fr/signataires.php3

Par Le_Pro_Fetes (Le_Pro_Fetes) le lundi 30 décembre 2002 - 08h29:

A propos du REVEILLON

Un grand nombre de personnes que je rencontre me demande si je connais des soirees pour le "reveillon" ou je pourrais les inviter.
Je leur dis : "Savez vous quelle est la plus belle chose au monde?"
"Non", disent-ils pour la plupart.
"La plus belle chose au monde est d'etre CONSCIENT du moment present, du moment vecu, d'etre reveille pendant les instants de vie qui se deroulent".

Aussi je vous dis pour ce reveillon :

"REVEILLONS NOUS!!!!"

Le Pro_Fetes

Par Mailroom (Mailroom) le lundi 30 décembre 2002 - 07h40:

Bonjour,

Originaire d'Algérie, je souhaiterai savoir quelle est l'origine et la signification de Kandil en hébreux

Merci

Dalila

bendjelid.d@libertysurf.fr

Par Emma (Emma) le lundi 30 décembre 2002 - 07h17:

Le ministre de la Santé préfère les juifs religieux en diaspora

Nissim Dahan, ministre de la santé de l’Etat d’Israël, a déclaré qu’il valait mieux rester en diaspora plutôt que de monter en Israël et de s’assimiler.
Il a fait cette déclaration lors d’un congrès de juifs orthodoxes à Jerusalem.
Selon lui, la seule chose qui intéresse l’Agence Juive, c’est le nombre de personnes qui font leur Alya et pas le fait qu’ils soient juifs ou non. Sa conclusion est que les orthodoxes devraient rester en diaspora de peur qu’ils ne puissent vivre en tant que juifs en Israël.
Le leader du parti Shass, Eli Ichay, a pris la défense de son confrère en expliquant que si les magasins sont ouverts le shabbat, que les autobus fonctionnent, etc., nous ne serons plus qu’un peuple parmi les autres. « Nos parents auraient préféré rester en Tunisie ou au Maroc s’ils avaient su que l’Etat d’Israël ne serait pas un état juif » a-t-il déclaré.
Les ministres ont débattu de ces propos lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement.
Le ministre de la Construction et du Logement, Nathan Sharansky (Israël Bealiya), et celui du Tourisme, Itshak Lévy (Parti national religieux) ont condamné fermement les affirmations de Nissim Dahan.
Ariel Sharon, quant à lui, a souligné que la Aliya était pour lui l’objectif national prioritaire et a estimé qu’il fallait accélérer le processus de conversion des nouveaux immigrants.

Par Mexico (Mexico) le lundi 30 décembre 2002 - 06h34:

a faattiimaa@yahoo.fr
Avant tout je tiens a vous souhaiter la bienvenue. Votre message est interessant puisque qu'il incite a la reflexion.
L'hypocrisie existe partout et depuis tous les temps. Les membres d'une meme famille, pour ne citer qu'un seul exemple, arrivent a cet etat par pure diplomatie.
Il y a un proverbe qui dit: "Mon D.ieu preserve moi de mes amis, mes ennemis je les connais".
Yael

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 30 décembre 2002 - 04h11:

Par Admin (Admin) le mardi 31 décembre 2002 - 05h24: