Par Admin (Admin) le dimanche 23 février 2003 - 05h54: |
Par Mexico (Mexico) le vendredi 21 février 2003 - 21h34: |
Berdah,
Si vraiment Jesus a dit sur la croix: "Pere, pardonne-leur; ils (les Juifs) ne savent pas ce qu'ils font" (Luc 23,33), pourquoi trouve-t-on des Chretiens qui s'obstinent a persecuter les Juifs alors que Jesus lui-meme a demande qu'ils soient pardonnes?
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 21 février 2003 - 21h27: |
Cher omega
Les reunions pressentes de ses dernieres 24h entre Mitsna et Sharon , Lapid et le parti du Mavdal (seuls religieux avec qui ils seraient prets a s asseoir )sembleraient indiquer que d etre autour de la table du gouvernement attire plus , que d etre dans l opposition . La politique d Israel est faite depuis l independance de coalitions plus ou moins fragiles ... Et elles n ont pas toujours ete fructueuses mais il semble qu aujourdhui plus que jamais peut etre Israel ait besoin d une union et je compte sur nos politiciens pour pouvoir trouver un accord , une solution , un interet commun pour essayer de depasser les clivages pour le bien de tous et surtout pour faire face a une periode difficile ...ALORS JE SUIS CERTAINE QUE L ON PROMETTRA BEAUCOUP (ANNULATION DE LA LOI TAL , ENROLEMENT D UNE PARTIE DES RELIGIEUX EXEMPTES , DIMANCHE FERIE... ETC ETC ... ON DONNERA QUELQUES POSTES CLES ET TOUT SEMBLERA SE CALMER JUSQU A LA PROCHAINE CRISE )
Comme vous le dites justement nous sommes dans une democratie , et le systeme electoral etant ce qu il est notre gouvernement est toujours sur le fil du rasoir , mais il serait de l interet de tout le monde que ce gouvernement dure au moins jusqu aux prochaines elections legales .
Chabbat chalom
Par Printania (Printania) le vendredi 21 février 2003 - 20h24: |
Darmon ya Darmon! Je te donne mon avis, c'est le mien propre.
Comme tu as raison!
Chirac ne peut pas avoir le prix Nobel de la paix.
Celui qui l'obtient, doit avoir les mains propres.
C'est vrai qu'en côte d'Ivoire le sang a coulé, et paradoxalement, les médias français nomment les combattants de l'opposition ivoirienne "Rebelles" alors qu’ils attribuent le nom de "combattants" aux terroristes palestiniens.
Ouras Khouya, c’est le monde à l’envers.
Tous les prix Nobel sont « blanc-bleu »
Yasser Arafat, Mikhaïl Gorbatchev, Willy Brandt, Austen Chamberlain, Le Duc Tho, j’en passe et des meilleurs.
A propos Shimon Pérès l'a toujours, ou on le lui a retiré?
Tu vois Darmon, tu m'as contrarié et mon couscous-boulettes ne passe plus.
Par Wnes (Wnes) le vendredi 21 février 2003 - 20h04: |
La Douda ( Agence de presse alternative )
LES TRAITES ENTRE CARTHAGE ET ROME
Vers le milieu du VI° siècle avant Jésus-Christ, les Carthaginois s'étaient alliés aux Étrusques pour chasser les Grecs de Corse. En 348 av.J.C., ils signent un premier accord avec Rome, renouant ainsi avec l'héritière de l'Étrurie. (Certains prétendent même qu'un précédent avait eu lieu, en 509). Ce traité était rédigé comme suit:
"Entre les Romains et leurs alliés, d'une part, les Carthaginois, les habitants de Tyr, d'Utique, et leurs alliés d'autre part, il y aura paix et amitié aux conditions suivantes:
Les Romains s'abstiendront de faire du butin, de trafiquer ou de fonder une ville au-delà du Cap Beau (au sud du Cap Farina).
Si les Carthaginois s'emparent dans le Latium d'une place qui ne soit pas sujette de Rome, ils garderont l'argent et les prisonniers, mais remettront la place aux Romains.
Si les Carthaginois prennent quelque citoyen d'un peuple qui soit en paix avec Rome, de par un traité formel, mais sans lui être soumis, ils ne le débarqueront pas dans un port romain; s'il y est débarqué, et qu'un Romain mette la main sur lui, il sera remis en liberté. Les Romains, de leur côté, observeront les mêmes réserves.
Si un Romain prend de l'eau ou des vivres dans une contrée soumise aux Carthaginois, il ne s'en servira pas pour porter tort à aucun ami ou allié de Carthage. Si cette clause est transgressée, on ne devra pas se faire justice soi-même; si quelqu'un le fait, la nation entière sera rendue responsable de ses actes.
Les Romains ne pourront ni trafiquer, ni fonder une ville en Sardaigne ou en Afrique. Ils n'y aborderont que pour prendre des vivres ou radouber leurs navires. Si une tempête les y pousse, ils en repartiront dans les cinq jours.
Dans la Sicile carthaginoise, et à Carthage même, les Romains pourront se livrer au négoce et aux autres activités dans les mêmes conditions que les citoyens eux-mêmes. Les Carthaginois jouiront des mêmes droits.
Ce premier traité semble avoir favorisé Carthage, Rome étant soumise à ses décisions. En effet, si les Romains sont libres de naviguer et de trafiquer dans tout le bassin occidental de la Méditerranée, de nombreuses restrictions leur sont appliquées en Sardaigne et sur les côtes d'Afrique. En échange, les Carthaginois acceptent seulement de renoncer à toute ambition sur le Latium.
Cet accord, vraisemblablement signé pour une vingtaine d'années, semble avoir été reconduit aux environs de 326. Les clauses restent les mêmes, mais sont exprimées de telle sorte que les intérêts romains soient mieux préservés, en détaillant quelques mesures sans doute apparues nécessaires au fil des ans. Le rapport de forces entre Carthage et Rome paraît évoluer vers une meilleure parité.
De nouveau, en 306, un troisième traité est signé. Il entérine les mêmes dispositions.
La Douda
Par Omega (Omega) le vendredi 21 février 2003 - 20h01: |
Chere Hajkloufette
Vous ecrivez : "Comment peut on arriver a un gouvernement d union nationale lorsque le principal partenaire malgre une defaite cuisante, refuse de signer ...."
Votre question sous-entend que ce principal partenaire (en l'occurence la gauche Israelienne) DEVRAIT participer a un gouvernement d'union nationale.
Or je ne suis pas d'accord avec vous car dans une democratie, quand un parti perd les elections, il est de son droit (et de son devoir meme) de rester dans l'opposition. Pourquoi d'apres vous faire partie d'un gouvernement qui fait une politique a laquelle on est oppose ?
Ou alors, si Sharon a besoin des travaillistes pour gouverner, il doit leur faire de la place dans sa politique.
Bien a vous et chabbat chalom
OMEGA
Par Wnes (Wnes) le vendredi 21 février 2003 - 19h52: |
A notre frangin Yossi
Votre questionnement est parfaitement légitime, et il faudrait rappeler que selon les témoins de la dernière heure, les dernières paroles de Jésus furent « Eloi, Eloi, Lama shabaktani… « le début du célèbre psaume 22 à Elie et non pas à la divinité dont le nom est imprononçable, surtout pas par Jésus qui était bien trop religieux pour cela. Ce psaume est en fait une lamentation du Peuple Hébreux, issue de la déportation vers Babylone, suite à la destruction du Temple de Salomon.
Selon les Chrétiens, les dernières paroles auraient été « Pardonnes leur car ils ne savent pas ce qu’ils font « , qui croire ?
En fait il n’a converti personne au christianisme, car les fondement du christianisme sont venu bien des décénies après qu’il ne fût crucifié, et en matière de religion, il a enseigné surtout celle de ses ancêtre.
Bien à vous
Berdah
Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 21 février 2003 - 19h43: |
Toute l'histoire concernant la destruction du reacteur de Tammuz en Irak en 1981:
http://www.alisrael.com/tamuz/
Par Wnes (Wnes) le vendredi 21 février 2003 - 19h49: |
A Doña - Mexico
Vos écrits font penser à ceux d’une mère, qui veut protéger ses enfants que nous sommes, en leur épargnant les errances de la pensée spéculative, motivée par un fort besoin de sécurité, qui découle souvent de la crainte d’ incertitude et de l’inconnu.
Souvenez vous que les livres n’obligent pas, ils invitent ! Cela veut dire que comme le disait si bien un de nos célèbre ancêtre, « Pour marcher les hommes n’ont pas besoin de cerveau, mais seulement d’une moelle épinière ! «Il disait cela au sujet du militarisme allemand de l’époque, ce qui vaut également aujourd’hui, mais ce qui vaut surtout pour les chemins de traverse de la lecture, que les textes soient sanctifiés ou non.
Or ce qui importe dans la lecture, c’est surtout de faire la part des choses, entre légende et réalité, ou entre vérité et manipulation. En résumé, savoir lire entre les lignes, et bien comprendre les messages indirects, sans quoi l’être humain ne disposerait plus de son libre arbitre, ce qui va à l’encontre même de la philosophie, de l’intelligence, et de toutes les doctrines religieuses.
Hasta luego
Berdah
Par Darmon (Darmon) le vendredi 21 février 2003 - 18h19: |
Yossi: merci pour ton info! mais comment Jacques Chirac pourrait briguer le Prix Nobel de la paix?, d'accord il négocie la non attaque de l'Irak (ou du moins le retardement des attaques) mais que faisons-nous de la Côte d'Ivoire? Et du pacte de Marcoussis où nous avons vu notre ministre des affaires étrangères négocier avec des rebelles qui sont, permettez moi des sauvages!
N'y voyez en rien de quelquechose de raciste mais quand on sait les horreurs produites (vols; viols, meutres...).
Et qu'un dictateur n'ayant pas l'autorisation d'entrer sur le territoire français a reçu une dérogation pour assister au sommet France-Afrique, c'est la melleure!
Non, je suis contre cette idée qui va a l'encontre
des prix Nobel!
Autant je suis assez d'accord avec Chirac sur l'Ideé de l'Irak mais de là a lui decerner un prix!
Noublions pas que si Chirac est contre la guerre, c'est pas par amour pour la paix, mais c'est que c'est parceque mener une guerre va a l'encontre des intérêts français!
C'est une assez bonne transition, car je suis venu demander de l'aide a tous les Harissiens,je ne sais que penser, mon avis est mitigé, que pensez-vous du conflit actuel? Nécessité ou non?
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 21 février 2003 - 19h35: |
Vous l'avez compris!
Le pamphlet Lieberman est un "faux" qui circule sur le web, mais il correspond à ce que ressentent beaucoup d'américains
albert soued
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 21 février 2003 - 19h34: |
TUNES CELEBRES
Mr Hervé GIAOUI : Fondateur et Président de l'Union des Patrons et des Professionnels juifs de France.
UPPJF
Par Mena (Mena) le vendredi 21 février 2003 - 19h29: |
La rébellion glorieuse du système des 10% ! (info # 012102/3)
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Vendredi dernier, je n’ai pas bien dormi. Vers cinq heures du mat, brouillé définitivement avec Morphée, j’ai décidé d’allumer mon poste de télévision. En transit de zapping vers Fashion TV, sur laquelle j’entendais tuer le temps en me rinçant l’œil sur les courbes des créatures de rêve, mon attention fut happée par un documentaire en voie de diffusion sur France 2.
C’était sur l’Irak. De vrais journalistes avaient introduit une caméra insidieuse dans l’enceinte du palais des expositions de Bagdad. Cela se passait à l’automne dernier, en plein débat sur l’à-propos d’entreprendre une action armée contre le régime de Saddam Hussein.
On y voyait, entre autres et sans complaisances, des commerciaux français en train de vendre leurs produits aux généraux de Bagdad. L’une des transactions tournait autour de la vente par la Régie Renault de 5.000 camions à la dictature en place.
Les entremetteurs tricolores, qui semblaient ignorer que l’Irak était soumise à un embargo par l’ONU, expliquaient qu’ils réservaient systématiquement une commission de 10%, sur chaque transaction, qui était directement virée sur le compte de Saddam. Ils expliquaient encore, que leur but consistait à faire marcher leurs usines et à coiffer les nombreux concurrents étrangers, à l’exception de toute autre espèce de considération.
Le reste du reportage était de la même veine – du genre devenu rare où le téléspectateur peut vraiment comprendre ce qui se passe au Bagdad bazar –, sobre et sans effets de foire. Pas étonnant que cette émission ait été programmée au petit matin, à l’heure où personne ne regarde la télé !
Vous imaginez l’effet dévastateur sur le moral des troupes, lorsqu’à peine quelques heures plus tard, de Villepin bassinait le Conseil de Sécurité avec la France des valeurs, avec l’éthique de la France. 10% pour le gazeur des bébés kurdes, pour le lanceur de Scudds, pour l’homme à la Winchester, sur les camions de la régie publique… elles n’auraient pas eu fière allure, les valeurs de la France !
Le service public avait bien fait son œuvre, au contraire, qui avait réuni pour commenter le discours de de Villepin des plateaux entiers de cireurs de pompes. On se serait cru revenus au bon temps du gaullisme, avec des figurants aux titres redondants, qui crachaient tour à tour sur les Ricains. A voir ces misérables mises en scènes, il semble bien que les médias français ont décidé de faire l’impasse sur une caractéristique habituelle des débats modernes : la contradiction !
Et à quoi pourrait-elle bien servir, la contradiction, puisque tous les partis politiques français, dans un élan unanime qui ne les étonne pas, pas plus qu’il ne les fait marrer, sont unis dans une même compréhension des choses. Non à la guerre contre l’Irak ! De Le Pen à Olivier Besancenot, en passant par Strauss-Kahn et Fabius, par la Maison bleue, les Verts, les autres Verts, les Bruns, les Rouges et les Arcs-en-ciel, tous derrière le visionnaire Chirac, convoient exactement le même message. Cette fois, ça n’est pas 80% des suffrages que Jacquot recueillerait, c’est 100%. Un nouveau grand pas vers la démocratie et la fraternité a été franchi sur cette vieille terre de France : l’unanimité ! Et dire qu’ils ne sont même pas forcés de suivre Chirac, comme les Irakiens durant les dernières élections présidentielles…
Ce qui m’inquiète, en plus du fait que je trouve un immense danger à vivre dans un pays où tout le monde et tous les médias font la même analyse baroque des choses, c’est que cette unanimité, en plus, a pour objet d’essayer de sauver la culotte de l’un des plus sanglants personnages de notre époque. Je ne vais pas me transmuer soudainement en moraliste, car je ne suis pas plus à l’aise dans cette discipline que dans mes chroniques spatiales, mais il me semble que la couche d’intellectualité qui enduit cette mobilisation nationale contre la guerre en Irak est superficielle et friable. Elle démontre que le tremblement de terre qui a secoué France durant ses dernières élections présidentielles n’était pas une sismique éphémère mais que cette mobilisation confirme, au contraire, l’existence d’une affection largement métastasée dans le fondement politique de la République. Merci à Chirac pour sa conduite égocentrique des affaires de l’Etat, merci au nombrilisme uniformisant et lobotomisant des acteurs politiques de l’hexagone et merci aux médias, qui ont lentement sombré dans une servilité intellectuelle, subjective et raciste, au service des présidents en place. Je n’avais pas tout pigé, lorsque Juffa avait tiré la sonnette d’alarme, il y a longtemps déjà, en s’inquiétant de ce que la profession toute entière avait contribué à cacher, des années durant, la double vie et la maladie du président Mitterrand. Une presse qui agit ainsi est capable, globalement, des plus extrêmes compromissions, écrivait-il, des cabales les plus épouvantables. J’avais pas pigé ! Je refusais d’imaginer que la pensée unique, aidée en cela par les barbouzes au service de l’Elysée, avait pu pousser l’écrivain anarchiste – mais pas plus idiot qu’enferré dans la Compromission nationale de l’esprit – Jean-Edern-Hallier à faire une chute mortelle… à bicyclette.
C’est parce que l’enduit minuscule d’intellectualité pacifiste qui sert de mouchoir à la rébellion nationale française est aussi dénué de moralité et même de réflexion authentique, qu’il n’y a d’attrait érotique dans la culotte de la reine d’Angleterre ! La levée de boucliers unanime à laquelle on assiste ces jours a pour objet de cacher aux Français le prurit qui ronge la République par les pieds. Elle a, par exemple et pour effet immédiat, de condamner la population irakienne à continuer de subir une dictature de oufs, dans laquelle on teste les armes chimiques et bactériologiques sur les prisonniers politiques et sur les débiles mentaux. L’idéologie chiraquienne – il s’agit encore d’un euphémisme cynique de ma part – procède en fait d’une application affairiste de la pire espèce. D’une compromission abyssale ! Elle s’appuie simplement sur le fait qu’il est plus aisé – et surtout plus économique - de fourguer 5.000 camions à un tyran, moyennant un bakchich servant à maltraiter son peuple, que de vendre cent voitures dans un système démocratique soumis à la concurrence du marché. Il n’y a encore que les couillons qui manifestent avec trois petits banderoles et les partisans du tout à l’Islam, unis dans une démarche infernale dont ils ignorent la portée, pour se plaindre de la malnutrition et du manque de soins hospitaliers dont souffre si durement la population irakienne. Il n’y a que lesdits couillons pour ignorer, ou pour feindre d’ignorer, qu’avec la dîme reversée à l’expo de Bagdad, tous les Irakiens mangeraient largement à leur faim et qu’aucun bébé de Mésopotamie ne décéderait par manque de soins. Et qu’est-ce Bush a-t-il à voir, je vous le demande bien, dans ce détournement de moyens, alimenté, entre autres, par le système chiraquien ?
Demandez ce qu’ils en pensent aux Libanais, victimes de la même martingale ? Hariri, avec le soutien instrumental des industriels français et de leur président, a tué le Liban. Ils l’ont endetté en le gavant d’infrastructures bien au-dessus de ses moyens et souvent, dont il n’a même pas l’utilité ! Le Liban est un canard au foie énorme, qui ne peut plus marcher et dont les habitants ont financé l’engraissage à leur corps défendant. Un canard rongé par toutes les vermines, qui n’a plus la force de veiller sur ses intérêts.
Le rendez-vous des présidents africains et de France, ouvrant sur une déclaration unanime de soutien à la rébellion chiraquienne, qu’est-elle, sinon l’extension méridionale du même système, de la même dynamique. Depuis le temps que dure la collaboration franco-africaine, a-t-on vu un seul Etat d’Afrique sortir du paupérisme endémique, de la corruption, du sous-développement et de l’autocratie ?
Le titre de la réunion est rigoureusement précis, pour une fois, s’agissant de la rencontre de ceux qui construisent leur fortune par la force, en pillant les Africains de toutes leurs ressources, avec la reconnaissance et le soutien de l’Elysée. Et qu’importe, si Robert Mugabe est un autre tyran, auquel on a interdit de fouler le sol européen ? Chirac lui garantit, lui, l’impunité et les honneurs, dans un geste de défiance public qui marque bien le sens de sa politique : Dans la tradition gaullienne, on traite avec les régimes en place !
Et dans cette dialectique, la France d’en haut, celle qui est toujours soumise aux interprétations d’un monarque, même s’il est élu démocratiquement tous les cinq ans, cette France, disais-je, marque son dédain pour le sort des peuples asservis par ses partenaires autocrates.
Tant pis pour l’humanisme, tant pis pour le droit du peuple irakien a vivre dans les mêmes conditions que celui de France ! On n’a que faire, à l’Elysée, de l’entrechoc des civilisations, de l’incompatibilité des valeurs entre le panarabisme et l’occident, ni même de la volonté affichée du premier à supplanter le second. Dans cette logique, le terrorisme est affaire de relativité, puisqu’on peut même se permettre de classer le Hezbollah parmi les composants sociaux importants de la communauté libanaise et convier son leader aux fêtes de la Francophonie…
Et pour servir ce système, on a besoin de médias serviles. Comment vendre des camions aux généraux de Bagdad, si vos journaux décrivent sans arrêt les crimes qu’ils commettent ? Comment construire une cité commerciale aussi gigantesque qu’inutile au cœur de Beyrouth, si vos télés montrent la répression quotidienne infligée aux Libanais et aux défenseurs des droits de l’homme par l’occupant syrien ?
Alors on leur a appris la bidouille, l’art des nuances, l’embrouille, le silence, la cécité et la désinformation. Alors, on a favorisé l’avènement d’une génération de plumitifs pas très fut-fut et surtout autocensurés, qui croient, sans réfléchir, que les soldats israéliens sont entraînés à tuer les petits Mohamed A-Dura – c’est vrai qu’on ne leur achètera jamais 5000 camions d’un coup ! - et qui font semblant d’être outrés lorsqu’on leur montre qu’ils ont tort. C’est à la place de montrer aux Français les vrais Mohamed A-Dura, qui meurent vraiment et par milliers, à Bassora, à Tripoli, à Sidon, aux Somalies, à Harare, à Braza, à Alger, à Abidjan ou à Bouja. On est même arrivé au point où ces déviances on généré l’enduit minuscule d’intellectualité dont je parlais plus haut et qui est un symptôme du naufrage corps et biens d’une élite entière ! Un naufrage dont l’entièreté est la réplique de son unanimité.
L’intelligence de la France est à vendre. Il y a même une remise de 10% pour ceux qui savent fermer leur gueule !
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 21 février 2003 - 18h34: |
Salut à tous !
Question:
Ma femme, Marocaine, ne sait pas la recette de l'AKKODE, est-ce que quelqu'un connaît la vraie recette de l'AKKODE ?!
Merci à tous de me la donner, afin de lui démontrer que nous savions (bien) vivre en Tunisie, surtout à Sfax !
Donc : recette de l'AKKODE et je pourrai enfin Kiffer au maxx !
Chalom à tous [;-)]
parientyl@noos.fr
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 21 février 2003 - 17h18: |
Je me fais toujours un plaisir de lire les poésies de chaque personne car celles-ci reflètent le doux état d'âme de l'être humain. En principe les personnes qui écrivent des belles choses ont un bon coeur. BRAVO HAJKLOUFETTE continue d'enrichir les sphères de l' Internet et de l'harissa.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 21 février 2003 - 15h16: |
Prends du temps pour travailler
Ca te menera au succes
Prends du temps pour penser
Tu pourras te renforcer
Prends du temps pour jouer
Ce sera le secret de ta vitalite
Prends du temps pour lire
Ce sera ta banque de donnees
Prends du temps pour te reposer
Cela nettoiera la poussiere de tes yeux
Prends du temps pour l amitie
Ce sera la source de ton bonheur
Prends du temps pour aider ton semblable
Tu en retireras une force incroyable
Prends du temps pour rever
Et ton ame sera telle un ciel etoile
Prends du temps pour t amuser et rire
Le poids de la vie te paraitra plus leger
Prends du temps pour planifier
Et alors seulement tu auras le temps de tout accomplir
Chabbat chalom ve chaket le koulam !!!
Par Admin (Admin) le samedi 22 février 2003 - 02h33: |