Commentaires du 1er Mars 2003

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires de Mars 2003: Commentaires du 1er Mars 2003
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le dimanche 02 mars 2003 - 09h16:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le samedi 01 mars 2003 - 00h27:

La Douda ( Agence de presse alternative )

A nos Frères : Les Maltais de Tunisie, Français malgré eux

Episode peu connu de l'histoire de la nationalité française, le décret du 8 novembre 1921 accordait la nationalité française aux sujets britanniques de la troisième génération nés en Tunisie, aux "Anglo-"Maltais donc (Malte était une colonie britannique), fort nombreux dans ce protectorat français. Les bénéficiaires involontaires de cette mesure furent appelés, dans leur communauté, "Français du 8 novembre".

Par suite d'une intervention d'une délégation de Maltais auprès de l'Ambassade de Grande-Bretagne à Tunis, la loi du 23 décembre 1923 vint modifier la précédente afin de permettre à ceux qui le souhaitaient de rejeter cette "naturalisation d'office", à l'exception des enfants de la troisième génération nés en Tunisie après le 8 novembre 1921. La majorité des Maltais concernés acceptèrent la nationalité française, mais une importante minorité la refusa, de crainte d'être enrôlés dans l'armée française. Après l'indépendance de la Tunisie, la quasi totalité de la communauté maltaise émigra vers la France, où les rejoignirent leurs compatriotes d'Algérie quelques années plus tard. (source : Rose Anne ABELA et Anna Maria ZAMMIT, Les Français de souche maltaise, Msida, University of Malta (mémoire en français), mai 1995, pp. 80-82)

Une loi adoptée en 1948 à Malte empêchait en effet les Maltais nés à l'étranger de venir s'établir dans cette île surpeuplée, en raison des craintes de voir revenir des milliers de Maltais d'Egypte, de Libye et des Balkans qui souhaitaient quitter leurs pays d'accueil en raison de la situation politique. (source : John DARROCH CRAWFORD, The Maltese diaspora : the historical development of migration from Malta, Victoria (Australia), University of Victoria (mémoire), 1990 , pp. 35-36)

Parmi les Français d'ascendance maltaise, on compte notamment le (défunt) philosophe Jacques Ellul, le (défunt) ethnologue Carmel Camilleri, le politologue Hugues Portelli, et des hommes politiques comme Edgard Pisani (ancien ministre), Roger Fenech (ancien député de Lyon), Antoine Micallef (conseiller régional du Var) ou Isabelle Mifsud (conseillère régionale de l'Oise). Il existe plusieurs associations de Français d'ascendance maltaise, dans la mouvance des associations de Pieds-Noirs.

La diaspora maltaise de Méditerranée aura occupé une place privilégiée en Tunisie.

Des rapports contradictoires basés sur la course en mer, d'abord, puis sur une immigration importante ont fait de l'histoire des Maltais de Tunisie un riche épisode de l'histoire de ce pays.

Dès le début du XIXème siècle, Maltais et Gozitans ont cargué les voiles vers cette terre d'Islam, bien avant de s'installer en Algérie, ouverte à l'Occident après 1830 où ils seront un peu plus nombreux.


Le dynamisme des premiers arrivés dans la Régence a continué d'alimenter et à accroître le commerce entre l'Afrique et le reste du monde via l'archipel.

A partir des documents d'archives, de témoignages et des études sociologiques menées précédemment sur le groupe, Marc Donato fait revivre ces humbles personnages de l'Histoire qui ont marqué fortement de leur empreinte la saga des exilés en Tunisie.

Contrebandiers, artisans, pêcheurs, éleveurs puis fonctionnaires et de haut rang, Résistants, pendant le deuxième conflit mondial, tels furent les Maltais de Tunisie.

Pourquoi ont?ils choisi cette terre ? Le livre : " Rue des Maltais " nous révèle les raisons d'un choix, qui ne sont pas seulement celles de la proximité.

Quels rapports ont?ils entretenus avec leur archipel de départ ces Maltais coupés de leur archipel mais toujours attachés à leurs traditions ?

Comment ont?ils vécu l'intégration dans la population française et dans cette France qui pour la majorité va les assimiler et leur construire un avenir original.

" Rue des Maltais est le volet ", pour la Tunisie, de ce qu'est " Elisa, la Maltaise", pour l'Algérie.

Correspondances administratives :

Documents du service Historique de l'Armée de Terre
2H26 – Dossier 4

1)Document page n° 390 / 391

Ministère des Affiares étrangères
Direction politique
Sous-direction du nord
2ème bureau
Paris le 17 mai 1882


Monsieur le général et cher collègue,

Le gérant du consulat de France à Malte m’adresse une dépêche dans laquelle il signale à mon attention, en même temps que l’accroissement de la population de l’île, les projets formés par le gouvernement colonial en vue d’assurer aux émigrants maltais de nouveaux débouchés. Les indications fournies par notre agent empruntent un intérêt particulier à la situation que nous occupons sur certains points de la côte d’Afrique, notamment en Tunisie, où, depuis quelques années un assez grand nombre de maltais ont fixé leur résidence. Son rapport m’a paru mériter à ce titre de vous être communiqué et j’ai l’honneur de vous en envoyer ci-joint une copie.

Agréez, monsieur le général et cher collègue, les assurances de ma haute considération

Pour le ministre de la guerre, monsieur le général Billot et par autorisation
(signature illisible)

2) document page 392 à 395

Mr Marie, gérant du consulat de France à Malte, à mr Freycinet, Président du conseil, miistre des affaires Etrangères, à Paris.

Paris le 8 mai 1882

La nécessité d’une émigration, qui résulte de l’accroissement exceptionnel et continu de la population maltaise, offre, au point de vue de la Tunisie, un intérêt d’actualité qui appelle l’attention.

La densité de cette population relativement à l’étendue des terres cultivables est telle, en effet, que l’administration anglaise, qui d’ailleurs paraît tenir à ne la point céder à des pays étrangers, se préoccupe, depuis longtemps déjà, de lui trouver un débuché dans ses propres colonies plus ou moins éloignées.

Dès l’année 1874, le conseil de Gouvernement de Malte était entré en relation avec le Gouverneur de la Jamaïque, île qu’on s’était plu à représenter comme favorable à l’émigration maltaise.

L’expérience ne tarda pas à dissiper cette illusion.

Un peu plus tard, en 1878, l’annexion de l’île de Chypre à l’Empire Britannique fit naître à Malte de nouvelles espérances, et pendant quelque temps tous les yeux se dirigèrent de ce côté.

Par les motifs que l’on connaît ce fut encore une déception.
Enfin, tout récemment, dans la séance du 15 avril dernier, le Principal secrétaire du Gouvernement a proposé au conseil le vote d’une somme de£ 300, destinée à couvrir les frais du voyage d’un agent chargé d’étudier, en Australie et dans la Nouvelle-Zélande, les ressources que peuvent offrir ces contrées à l’émigration maltaise. C’est M. de Cesare, membre du conseil qui a été choisi pour remplir cette mission.

On ne saurait nier que cette question présente une certaine urgence.

En effet, la superficie de l’île de Malte n’est que de 95 milles carrés avec un chiffre de 1410 habitants par mille carré ; celle des îles Gozo et Comino est de 20 milles carrés avec un chiffre de 900 habitants par mille Carré.

Encore faut-il tenir compte de ce fait que des 95 milles carrés de Malte, 64 seulement sont cultivables, les 31 autres n’offrent que le roc nu. Défalquant enfin la superficie construite, on arrive au chiffre de 2144 habitants par mille carré cultivable.

En d’autres termes, Malte comprend en tout : 340 kilomètres carrés.
Suivant le recensement de 1871, la population totale était de 149 000 habitants, soit : 438 habitants par kilomètre carré. On compte aujourd’hui environ 152 000 habitants, soit 447 par kilomètre carré. C’est en somme la population d’une grande ville industrielle vivant sur un roc relativement improductif et sans grande industrie. Et cette population, dédaigneuse des théories malthusiennes, s’accroît d’année en année, de 1000 personnes environ. Il n’est pas rare d’y voir des familles comprenant huit à dix enfants de sexe masculin pour la plupart.

Quelque pressante que puisse paraître l’utilité d’un débouché pour excès de population, il ne faut assurément pas s’attendre à voir se reproduire de ces émigrations de toutes pièces et d’un seul coup dont le souvenir est encore si vivant dans ces mers de l’Italie et de la Grèce. Mais si M. de Cesare réussit dans la mission, si le Queensland apparaît comme un lieu d’émigration réellement avantageux, il n’est pas impossible que la population maltaise en prenne peu à peu le chemin, le courant d’émigration se développant à mesure que l’expérience en aurait démontré les chances heureuses.
On peut élever cependant quelques doutes sur cette éventualité. Entre autres raisons qui paraissent contraires au résultat dont il s’agit, on peut compter le très grand éloignement qui est certainement un obstacle, et surtout les affinités de race qui rattacheraient la population maltaise aux races latines bien plutôt qu’à la race anglo-saxonne qui a peuplé le Queensland.

Le véritable lieu d’émigration pour les maltais, c’est la Tunisie où ils sont déjà nombreux. L’Angleterre ne les y poussera pas, mais toutes les attractions s’y rencontrent pour eux, et dès que sous l’action civilisatrice du protectorat français, la Régence aura été pacifiée, on peut espérer voir les Maltais y aborder toujours en plus grand nombre.

Ce sont des ouvriers, des artisans, des laboureurs dont le besoin est si grand dans toues ces contrées du nord de l’Afrique. Laborieux, sobre, économe, le Maltais joint à ces qualités essentielles que personnes ne lui conteste, l’avantage d’être naturellement acclimaté.

Il est donc évidemment de l’intérêt de nos possessions africaines de ne pas perdre cet élément de prospérité, c’est pourquoi nous ne pouvons pas exprimer le désir que la mission de M. de Cesare dans le Queensland obtiennent des succès positifs.

La Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le vendredi 28 février 2003 - 23h54:

Pour : christiane.muglioni@education.gouv.fr

Voici trois pistes à explorer, concernant Claude Zarrouk

1. Seminário de Formação: A plataforma Web of Knowledge do ISI - Institute for Scientific Information, Universidade de Aveiro, 15 de Maio de 2002.

Conferência: A investigação no domínio da avaliação em educação - evoluções e perspectivas actuais - Prof. Doutor Gérard Figari (Universidade PMF de Grenoble, França), Universidade do Minho, 8 de Fevereiro de 2002.


Alexandre Ventura - Curriculo
... Acção de Formação subordinada ao título "Qualidade do Serviço" (Agesfal), com
o Professor Claude Zarrouk, que se realizou entre 5 e 6 de Julho de 2001 no ...
www.dce.ua.pt/docentes/ventura/curriculo.asp - 87k - En cache - Pages similaires

2. CRC

Conferência: A avaliação das Competências - Professor Doutor Jean
Acção de Formação subordinada ao título "Qualidade do Serviço" (Agesfal), com o Professor Claude Zarrouk, que se realizou entre 5 e 6 de Julho de 2001 no Complexo Pedagógico da Universidade de Aveiro, e foi promovida conjuntamente pela UNAVE e pela Câmara Municipal de Aveiro.

3. CRC
... LACROIX- SABLAYROLLES Orientation clients, Jacques-Robert MOULINET
Marketing stratégique. Claude ZARROUK Management centré client,
www.hec.fr/hec/fr/exed/crc/crc/reshumai.htm - 10k - En cache - Pages similaires : zarrouk@crc.fr

agenda.html
... Vendredi 13 septembre 2002. « Le management, centré client ». Claude ZARROUK.
Jeudi 17 octobre 2002. « Du déséquilibre à l'équilibre ». Olivier SOULIER. ...
www.strategie-avenir.fr/agenda.html - 18k - En cache - Pages similaires

Meilleures salutations

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le samedi 01 mars 2003 - 00h11:

Quelle terrible image que celle de l'explosion de columbia ! et qu'en je pense qu'ils étaient dedans. Mais, pourquoi sont-ils partis ? pour subir un si terrible destin ... Ils ne méritaient pas cela. Je suis profondément triste... Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 28 février 2003 - 18h36:

D'accord avec Jpc.
A l'epoque des Sages, certains se sont auto-investis d'une autorite decisionnaire!!! et depuis on a plus bouge d'un iota.
Des tas de halakhot en vigueur actuellement et decidees il y a 4 millenaires sont bien poussiereuses et meriteraient d'etre rafraichies pr le bien de tous! N'est-il pas dit que notre religion est censee s'adapter a ttes les epoques?
Mais qui aura le courage parmi nos rabbins actuels de faire bouger les choses??
Shabbat Shalom a tous

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 28 février 2003 - 17h58:

Bonjour,

Nous somme plusieurs de ses anciens camarades ou amis non-tunisiens à rechercher Claude Zarrouck, dit par certains "Moustache" probablement âgé actuellement de 60 ans ou un peu plus, né je crois à la Goulette et ayant fait ses études secondaires à Carnot (?).

Sa famille était installée à Colombes dans les années soixante.

Ingénieur agronome de Nancy, diplômé probablement en 1963 ou 64. Etait lié avec un étudiant chimiste du nom d'Armand Koskas. C'est la période où je l'ai connu.

Animait des colonies de vacances à Verberie dans la Marne

A dû travailler un moment en région parisienne, puis on perd sa trace. Peut-être a-t-il émigré en Israël.

Nous serions particulièrement heureux si quelqu'un pouvait nous aider à retrouver sa trace.

Merci d'avance

Christiane Muglioni
(par ailleurs, et tout à fait par hasard, ancien professeur au Lycée Carnot de Tunis (1970-76) et liée avec pas mal de juifs tunisiens.

christiane.muglioni@education.gouv.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 28 février 2003 - 17h55:

Le coup du Père François ! (info # 012702/3)

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Ariel Sharon, qui a fêté son 75ème anniversaire hier, poursuit son travail de prise en mains du Likoud à l’occasion de la formation du nouveau gouvernement israélien. Il nous avait déjà étonnés lors de la réunion du comité central de son parti, en provocant volontairement sa défaite, à l’issue du vote de confiance qu’il avait lui-même proposé, sur le sujet de l’édification d’un futur Etat palestinien.



Bien entendu, dans la fosse aux lions pro Netanyahu que constituait le Likoud d’alors, au terme d’un débat extrêmement tendu, il avait perdu le vote de la majorité des quelques 2500 délégués présents. Oui mais ce faisant, en mettant à jour les combines de Benjamin Netanyahu, il avait retourné, et les électeurs de base de son parti et surtout, la majorité de l’électorat israélien.



Après avoir remporté largement les élections générales israéliennes, il se retrouvait encore avec un camp Netanyahu à l’affût et loin d’avoir tiré un trait sur ses ambitions. Pour Sharon, deux priorités se détachaient clairement : a) amenuiser l’influence de son rival interne afin de suivre sans encombres le road map du Président Bush et b) s’assurer que la relève du parti se retrouve bien en vue du public, lorsqu’il s’agira de lui succéder et barrer ainsi les appétits de pouvoir de Bibi.



Au-delà de ces deux considérations, se dessinent deux autres préoccupations, qui leur sont liées. L’une tend à faire passer le concept, dans l’opinion israélienne de droite, que tôt ou tard il faudra accepter la création d’un Etat palestinien à côté d’Israël. Pour le moment, et tant que dureront l’Intifada d’Arafat et les problèmes du Golfe, il ne s’agit pour Sharon que de faire passer un principe brut, sans se soucier du détail des termes d’un accord futur ni de l’échéancier et des conditions de son application. La détermination d’Ariel Sharon à ce propos est contenue dans ce que les politiciens israéliens appellent désormais "le discours d’Herzlia", discours dans lequel il s’était prononcé sans ambages en faveur de l’établissement d’un Etat de Palestine à l’issue et selon les termes du plan Bush.



Malgré la très forte opposition à toute idée d’un Etat palestinien du clan Netanyahu, les éléments du discours d’Herzlia figurent comme tels – noir sur blanc - parmi les principes de politique étrangère du nouveau gouvernement. De plus et dans une démarche se situant sur le fil de la science-fiction, les deux formations politiques d’extrême droite, le parti national-religieux et Israël notre Maison, du député Avigdor (Yvette) Libermann, qui ont intégré le nouveau gouvernement, ont dû parapher le document rappelant la création d’un Etat palestinien. Nous, à Métula, d’observer simplement que le rejet total et absolu de toute hypothèse de l’avènement dudit Etat constituait la profession de foi de ces partis, maintes et maintes fois ressassée, durant la campagne électorale.



Quant à l’autre préoccupation, elle consistait à éloigner les amis de Netanyahu des ministères clés. C’est d’ailleurs ce qui fut fait, après que Sharon eut limogé des cadres du Likoud Naomi Blumenthal, à la suite de sa mise en examen par la police pour des pots de vin qu’elle aurait payés à l’occasion des élections primaires du parti. Certes, les soupçons qui pèsent contre Blumenthal semblent conséquents mais personne n’ignore que cette ex-ministre était également une fidèle d’entre les fidèles de Bibi. Personne n’ignore non plus que des charges de même importance pèsent sur plusieurs autres membres du Likoud, sans que ceux-ci ne soient inquiétés par les mesures disciplinaires du premier ministre. Jusqu’au propre fils de Sharon, Omri, qui a récemment été interrogé par la brigade financière…



La première manche consommée, il s’agissait pour Sharon de passer au plat de résistance. Il fallait élégamment asseoir Ehud Olmert, l’ancien maire démissionnaire de Jérusalem, sur le siège des affaires étrangères détenu par Netanyahu et il importait de transférer d’urgence Silvan Shalom – le mari de Judy Nir Mozes, l’une des héritières du journal Yedioth Aharonot – du poste de grand argentier, dans lequel il s’était montré catastrophique, à un autre ministère de poids.



Ariel Sharon a tout d’abord laissé "mariner" les postulants, tout en maintenant un silence radio absolu. Le nom de l’ancien gouverneur de la banque nationale Fraenkel était notamment cité parmi les candidats au poste de ministre des finances, au point que Shalom, qui est d’origine sépharade, se sentant au bord de l’affront public, faisait prématurément sonner les trompettes de la discrimination ethnique, faisant courir la rumeur que Sharon préparait un cabinait de "Blancs" !



C’est alors que le premier ministre choisit de convoquer Bibi Netanyahu et de lui proposer, à la surprise générale, le portefeuille des finances. "La situation économique a besoin de tout votre talent et de tout votre savoir-faire, lui dit Sharon !"



- "Mais je suis très bien aux affaires étrangères", rétorqua Benjamin,

- "Le poste est déjà pourvu"

- "C’est donc cela ou les bancs arrières de la Knesset, si je vous comprends bien", demanda Netanyahu ?

- "Vous me comprenez bien, en effet !"



La première réaction de Netanyahu fut de refuser le poste. Israël, du fait de l’Intifada et de la crise mondiale, se trouve plongée dans une situation économique très préoccupante. Ainsi, le futur grand argentier se verra obligé de procéder à des coupes sombres de plusieurs (dizaines de, précision de la rédaction) milliards de Shekels afin de redresser la barre. Il va devenir l’ennemi public no.1 de tous les autres ministres, ainsi que des salariés et des couches les plus faibles de la population. Le cauchemar de Bibi, quoi, homme de strass et de démagogie ; l’idole des bougres !



Et puis, en y repensant, si Olmert était aux finances et Shalom aux AE, Shaul Mofaz à la défense, il n’y aurait plus aucun membre du clan Bibi pour occuper un ministère de référence. Depuis, et après s’être enfermé une journée entière avec ses proches et ses conseillers, Netanyahu a déclaré qu’il accepterait la patate brûlante, si le poste était accompagné du titre et de la fonction de vice-premier ministre. C’est histoire de ne pas perdre totalement la face, qu’il a formulé cette demande.



Dire qu’il y a 6 mois à peine, Benjamin Netanyahu était le numéro un incontesté du Likoud et Sharon se trouvait à l’orée de la maison de retraite ; il y en a un qui doit se ronger les doigts jusqu’aux métacarpes ! Quant au premier ministre, qu’à Métula nous considérions comme un balourd au niveau stratégique, il nous fait au Likoud un sacré été indien !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 28 février 2003 - 15h09:

Parallellement a la liste des personnes les plus riches du monde ou caracole toujours en tete Bill Gates , le magazine britannique " Forbes " a publie la liste des dirigeants ayant les plus grosses fortunes personelles .... La liste est signifiante car a part l intouchables roi d Arabie Saoudite avec 20 milliards de dollars , vient ensuite le Sultan bolkya avec 11 milliards de dollars, en 3eme place le Prince du Luxembourg avec 2 milliards de dollars , puis arrive notre surprise , Saddam Hussein avec 2 milliards de dollars ,qui pourra meme apres une attaque americaine se rouver un joli petit nid dore , en 5eme place la reine Elisabeth avec 525 millions de dollars , et en 6 eme place la cerise sur le gateau , personne d autre que ce pauvre Yasser Arafat avec 300 millions de dollars.... L Europe n a pas ete assez genereuse avec l autorite palestinienne mais Soua Arafat pourrra continuer a hanter la Jet Set parisienne elle a encore de beaux jours devant elle .

CHABBAT CHALOM OU MEVOURAKH

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Yossi (Yossi) le vendredi 28 février 2003 - 11h39:

Shabbat shalom ou mévourach!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jpc (Jpc) le vendredi 28 février 2003 - 08h31:

Cher Henri

Excuse moi de ne pas etre d'accord avec toi mais il n'y a rien de democratique dans la religion.

Quand tu ecris : "les halakhots sont fixees DEMOCRATIQUEMENT selon la majorite des decisionnaires", j'imagine que tu te referes au Talmud.
D'apres Adin Steinsaltz qui est le traducteur du Talmud, ceux que tu appelles les "decisionnaires" etaient simplement les enseignants dans les academies de Pumbedita en Babylonie.

Ou est la democratie si les decisionnaires sont ceux qui s'arrogent le droit de voter eux seuls?

Tu sais fort bien que ces decisions ont ete prises il y a 15 siecles et comme par hasard, elles ont ete canonisees et on ne peut plus les changer depuis.
Si on etait plus serieux, on devrait les considerer comme de la sagesse a etudier plutot que des lois absolues a suivre.

Et d'ailleurs j'ai une question pour toi sur ce sujet : Comment se fait-il que ceux qu'on appelle les "sages" aint vecu UNIQUEMENT a la periode de redaction du Talmud en Babylonie et que ni avant (2000 ans), ni apres (1500 as) il n'y ait eu encore des sages.

Chabbat Chalom

Jean-Pierre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 28 février 2003 - 08h18:

TUNES CELEBRES

Pour les tunisiens célébres en france, t'as oublié Cyril Hanouna de M6.

A+

ALEX

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 28 février 2003 - 06h45:

c:/

Explosion de Columbia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 28 février 2003 - 05h48:

Des Américains débaptisent les frites, appelées "françaises"

MIAMI (AFP) - Un conseiller municipal de West Palm Beach, en Floride (sud-est), a proposé de débaptiser le nom des frites, appelées "french fries", "pommes françaises" en anglais, en signe de désapprobation de la position française sur la crise irakienne.
Burt Aaronson proposera à la prochaine réunion du conseil municipal, le 11 mars, qu'on les appelle plutôt "freedom fries" ("pommes frites de la liberté"), s'inspirant ainsi de l'exemple d'un restaurant de Beaufort (Caroline du Nord), "Cubbies", qui a pris cette décision cette semaine.

Les gérants de "Cubbies" expliquent sur un panonceau dans leur vitrine qu'ils ont effectué ce changement de nom pour des raisons de patriotisme.

Le conseiller Aaronson a indiqué au quotidien Sun Sentinel qu'il était d'accord avec le gouvernement français pour que les inspections se poursuivent en Irak, mais il ne supporte pas que la France dise aux Etats-Unis ce qu'ils doivent faire.

"Les Etats-Unis ont sacrifié beaucoup de vies en France pendant les deux guerres mondiales. Maintenant il faut dire au gouvernement français: +Réveillez-vous+", a-t-il dit au quotidien.

La résolution, qui n'aura pas de caractère obligatoire, a été qualifiée de ridicule par un restaurateur du comté de Palm Beach. "Je sais qu'il y a une campagne (anti-française), mais changer chaque menu dans chaque restaurant est ridicule", a déclaré Ingrid Paoletti au Sun Sentinel. "Il y a des choses plus importantes que de changer les pommes frites françaises en pommes frites de la liberté", a-t-elle estimé.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le samedi 01 mars 2003 - 02h50:

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