Par Admin (Admin) le mercredi 05 mars 2003 - 19h21: |
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 04 mars 2003 - 01h32: |
LES JUIFS ET LES BNAI BRITH SONT ATTAQUÉS
Après la diffusion du feuilleton « Cavalier sans monture », inspiré du « protocole des Sages de Sion », l'Égypte autorise la publication de « Kahila, les dessous des massacres perpétrés par les sionistes », livre écrit par un célèbre écrivain/journaliste égyptien, Fathi el Ibyari. Cet ouvrage, dont nous avons pris connaissance à travers le compte-rendu non signé que publie le journal à très grand tirage « Akher Saha », et édité par la non moins célèbre maison d'édition « Al-Akhbar », prétend révéler l'histoire secrète des juifs et est présenté comme étant « une des études les plus profondes, précises, et surtout révélatrices sur les juifs à travers le monde et l'Histoire ».Le livre commence par une série de questions que pose son auteur, Fathi El Ibyari : « Qui a tué les Prophètes….qui a attisé les guerre ? », « Qui répand larmes et sang ? », « Qui sont les ennemis de l'humanité ? ». Réponse : « N'est-ce pas les juifs, les sionistes et leurs sympathisants ? »… Selon l'hebdomadaire, El Ibyari dévoile toute la vérité sur les juifs et leur organisation secrète, « Kahila » ou le cerveau diabolique - composée de 300 démons dont l'objectif est d'amasser tout l'or du monde afin d'acquérir la puissance nécessaire à l'exécution de ses plans pervers. « Kahila » est présente depuis que Dieu a créé cette race, instrument d'anéantissement de l'univers. Le Talmud dont elle s'inspire n'est que la charte du terrorisme.
Kahila a trois devises : Tout être peut être espion ; tout juif doit être espion ; il n'existe pas de secret qui ne puisse être sondé. Ses 300 membres représentent les diverses organisations juives dont les plus importantes sont Banay Brit, Brit Shalom, le Conseil central des Rabbins américains, l'Union des Sionistes américains, l'Organisation des Juifs révolutionnaires libres etc.. Le sionisme mondial vise à s'emparer du territoire compris entre le Nil et l'Euphrate. Quant au judaïsme mondiaI, il a pour objectif la réalisation de la Promesse falsifiée de la Torah pour assujettir et dominer le monde. Le sionisme cherche à écraser les musulmans, le judaïsme mondial cherche à assujettir des chrétiens et autres goyims.
Al Ibyari appelle la Oumma à combattre ce cancer. Il explique la terminologie hébraïque du mot « Kahila », qui vient de « Kahal » et signifie gouvernement secret - lequel organise la vie des juifs à travers le monde et leur permet ainsi de dominer tous les centres d'influence. El Ibyari remonte au temps de Mahomet et raconte les trahisons et ruses des juifs qui combattaient sournoisement le prophète et la propagation de l'Islam. Les juifs, ajoute-t-il, n'hésitent pas à assassiner leurs propres chefs et alliés qui osent sortir de la ligne tracée par Kahila, tels le président américain Kennedy ou Rabin. L'organisation, affirme encore El Ibyari, est responsable de l'effondrement de l'Union Soviétique, des tentatives visant à déstabiliser les États- Unis et du sentiment de haine que l'Amérique soulève. C'est Kahila qui a jeté Monika Levinski dans les bras de Bill Clinton. C'est elle qui est à l'origine du crash du vol d'Egypt Air qui transportait, entre autres, 30 officiers égyptiens rentrant au pays après une mission de formation aux États-Unis sur l'utilisation d'armes de pointe. C'est Kahila qui a destabilisé la Oumma arabe et musulmane afin d'assurer la suprématie et l'hégémonie d'Israël, qui a fait assassiner des experts nucléaires, qui est responsable de l'effondrement de l'économie mondiale, du déclenchement de toutes les guerres en Afrique, en Asie et ailleurs… Et bien sûr, toujours selon Ibyari, les dirigeants israéliens ne font qu'appliquer à la lettre les instructions de Kahila dont la branche principale se trouve en Israël.
L'auteur explique aussi comment les juifs ont réussi à maîtriser les centres vitaux américains à travers deux organisations juives qui agissent dans l'ombre : Kahila New York et le Conseil juif américain. La première, un gouvernement dans le gouvernement, est la plus secrète et la plus puissante car elle infiltre la vie politique américaine jusqu'au sommet de la pyramide.
Kahila s'occupe de l'avenir des juifs aux quatre coins du monde conformément aux textes déformés de la Torah, du Talmud et du « Protocole des Sages de Sion ». Elle opère à travers les cercles maçonniques et autres sociétés secrètes. C'est elle qui, en Israël, a mis en place le Bnai Brith, son poumon et son cerveau. La WIZO, à laquelle un chapitre entier est consacré, est elle aussi décrite comme jouant un rôle primordial au sein de Kahila, ce qui explique la place de la femme au sein de l'armée et les missions ultra-secrètes qui lui sont confiées.
Pour ce qui est de la Maison Blanche, El Ebyari raconte comment Harry Truman est passé, grâce à Kahila, de petit épicier, à la tête des État-Unis. Et Truman n'a pas déçu l'organisation. N'a-t-il pas fait Hiroshima et Nagasaki selon ses instructions ? N'a-t-il pas autorisé l'émigration de 100 OOO juifs en Palestine pour s'emparer de la prétendue Terre Promise ? Quant au Président Johnson, ne lui a-t-il pas permis d'infiltrer la C.I.A, le Pentagone, le F.B.I et la N.S.A ?(la National Security Agency)
Dans le chapitre intitulé « Le Talmud bizarre », El Ibyari écrit que le Talmud existe en deux versions : le Talmud de Jérusalem et celui de Babylone. Le Talmud de Babylone, écrit par les docteurs juifs à la fin du Ve siècle, est le plus courant et dit que « l'âme d'un juif est une partie de Dieu… le sperme des non-juifs est un sperme animal… le Paradis accueille uniquement les juifs… l'enfer est pour les musulmans car ils ne se lavent que les pieds et les mains, et pour les chrétiens car ils ne sont pas circoncis… les juifs sont la crème de l'humanité, ils sont supérieurs aux anges… les autres sont moins que des chiens… il est interdit au juif de voler un juif, mais il peut voler et violer un non-juif en toute impunité… il est interdit pour un juif de sauver un non-juif…
Albert Soued
Par Wnes (Wnes) le mardi 04 mars 2003 - 01h02: |
La Douda ( Agence de presse alternative )
Journal d'un Bidasse en Tunisie :
Mes jeunes années dans l'Armée de l'Air.
En Tunisie 1946 - 1949
Nous avions le choix de notre affectation en fonction de notre classement. Quand vint mon tour, j'avais entre autres, la possibilité de choisir la Tunisie (Base d'El-Aouina, près de Tunis). Rêvant de partir outre-mer, et pensant que l'exotisme me ferait oublier la frustration de cette spécialité bien loin de mes ambitions, c'est pour cette destination que j'optais. Après une courte permission d'adieu à ma famille, je rejoignais le Centre de transit de Marseille (Camp Ste-Marthe), en attente d'embarquement par bateau pour Tunis. Quelques jours d'attente et me voilà montant à bord du G. G. Chanzy, pour une traversée de la Méditerranée, deux journées et une nuit. Première découverte de la mer, et du mal de mer, mais je n'en étais pas trop affecté !
Le lendemain donc, nous entrions dans le canal de la Goulette conduisant au port de Tunis . C'était le 11 Avril 1946, exactement un an après mon engagement ! Je pouvais alors réaliser le chemin parcouru pendant cette première année, chemin qui m'avait conduit vers une autre destinée que celle envisagée. Bien avisé aurait été celui qui aurait pu me prédire ce que seraient les suivantes . J'aurais pu comme beaucoup d'autres accomplir encore une année sous les drapeaux et résilier ce contrat dont les clauses initiales ne s'étaient pas réalisées. Ou bien continuer cette carrière dans le Service Général, à assurer ces taches obscures et ingrates mais nécessaires de la bureaucratie (on appelait cela " la paille), sous les lazzis des autres spécialistes tels que mécaniciens ou navigants. L'avenir en décidera autrement, mais nous n'en sommes encore pas là !
Aussitôt débarqué, je fus donc acheminé avec d'autres militaires vers la Base d'El-Aouina, située à 6 kilomètres environ de Tunis.
Les études de comptabilité que nous avions suivies nous permettaient d'assurer des postes différents…administration du personnel, gestion financière, gestion du matériel technique, habillement ou autre. Les besoins de l'administration m'aiguillèrent vers la branche " alimentation ", c'est à dire la comptabilité des mess (popotes) officiers et sous-officiers. Sous la responsabilité du gérant des mess (un adjudant-chef), j'avais en charge la comptabilisation des finances , des matériels de toutes sortes et des denrées alimentaires.
Le personnel que je côtoyais là, en dehors de mon chef, était un sergent chargé du ravitaillement, des soldats engagés volontaires affectés aux taches de service à table et au bar, et des prisonniers de guerre allemands chargés de la cuisine. Il y avait parmi ces P.G. un ancien chef-cuisinier sur le Normandie, c'est dire qu'il pouvait réaliser de bons menus quand le ravitaillement le permettait. Il est à noter que si en Métropole on subissait toujours des restrictions alimentaires, en Tunisie, ce n'était pas le cas. La seule restriction était celle du budget .
Les tâches de comptabilité ne me mobilisant pas trop, bien vite je fus amené à me joindre aux soldats et familiariser avec eux. J'étais plus jeune qu'eux, et mon galon de caporal-chef, puis de sergent dès le 1er juin ne constituait aucune barrière entre nous. Cela engendra un climat légèrement équivoque, où j'étais aussi bien comptable que serveur ou client au bar avec ces nouveaux copains. L'ami Aimé Bornarel que je revois de temps à autre dans son Bugey est encore là pour en témoigner avec grande nostalgie.
Je gardais cet emploi jusqu'en Décembre 46. Puis je me fus envoyé en détachement temporaire à Sidi-Ahmed, une autre base aérienne près de Bizerte, port au nord de la Tunisie. Peut-être le Commandement de la Base avait-il pensé qu'un peu d'éloignement me serait salutaire ? La mobilité des militaires a toujours été chose courante, il est vrai.
La vie en Tunisie était différente de la Métropole. En été, nous faisions " journée continue ", c'est à dire de 6 heures à 13 heures, avec pause casse-croûte vers 9 heures. L'après-midi c'était repos, avec possibilité de se rendre aux plages proches. Des camions nous emmenaient principalement à la plage d'Amilcar (près de Carthage), réservée à l'Armée de l'Air. Les autres sorties de " quartier libre " se faisaient les samedis après-midi et les dimanches.
L'agglomération de Tunis était desservie par une sorte de tramway appelé le TGM (Tunis/la Goulette/la Marsa), un circuit faisant le tour des plages, puis El-Aouina en circuit fermé. Mais il n'était pas très pratique et ses horaires s'arrêtaient tôt le soir. Bien souvent, après une séance de cinéma ou autre sortie, nous étions presque obligés de rentrer à la base en calèche. Pas très onéreux comme taxi, mais pas rapide non plus, sur 6 kms !
Nous fréquentions l'avenue principale de Tunis où se trouvaient cinéma, cafés-restaurants, et cathédrale. Il était bien vu de se rendre à la messe le dimanche matin, c'était aussi l'occasion de voir les jeunes filles de familles françaises établies là-bas. La Tunisie comptait des communautés importantes de Juifs, de Siciliens et Maltais.
Les sorties dans les Souks (quartier marchand arabe) étaient fréquentes pour les militaires. Il fallait y pratiquer le marchandage traditionnel, sachant que le premier prix offert ou affiché était à diviser par deux ou trois, sinon plus ! Sans compter les malfaçons adroitement dissimulées. Comme tous les quartiers arabes des villes d'Afrique du Nord, ils avaient un attrait irrésistible.
Les Souks comportaient aussi un quartier réservé avec maisons spéciales que ne pouvaient fréquenter que les adultes (de plus de 21 ans). Comme je n'avais pas cette majorité leur accès m'était en principe interdit, tolérance admise cependant aux militaires en tenue et donc émancipés ! Tous ceux qui ont vécu à Tunis en cette période se souviennent de la rue Abdallah-Gueche ou autres noms évocateurs !
Après mon détachement de quelques semaines à Sidi-Ahmed/Bizerte, je réintégrais El-Aouina en Mars 47, mais pour une nouvelle affectation : la Compagnie Territoriale de Réparation et Ravitaillement Technique. Cette fois, finie la comptabilité des bouteilles et denrées alimentaires de la popote, je passais à celle des voitures, moteurs, matériels aéronautiques, outillages, etc… guère plus exaltant , mais ambiance plus sérieuse.
Bien que voyant toujours mes anciens copains, je fis de nouvelles fréquentations, des nouveaux brevetés mécaniciens arrivant de la Base Ecole de Rochefort . La plupart étaient brevetés mécaniciens sur avion ou sur moteur d'avion, mais se retrouvaient là à travailler sur des véhicules ou en chaudronnerie. La seule unité navigante de El-Aouina était une petite escadrille de liaison au parc avions plus que modeste et ne nécessitant pas un personnel mécanicien très important.
C'est à cette période que je pris envie de me lancer dans la moto. Plusieurs de ces mécaniciens en avaient une, ce qui m'incita à en chercher une. N'ayant pas des finances bien importantes, je trouvais une ancienne moto militaire Allemande (provenant des récupérations de guerre). C'était une 250 cc. de marque TWN (Triumph Werke Nuremberg) ; moto 2 temps à 2 pistons avec chambre de combustion unique ; un engin assez nerveux, mais ayant la fâcheuse tendance au rétro-allumage. D'ailleurs, un soir de sortie, après le cinéma, lors de la mise en route de la machine, elle prit feu au carburateur, provoquant un attroupement et l'arrivée de policiers. Le feu s'éteignit de lui-même, mais comme je n'avais pas de permis de conduire, je fus conduit au poste de police pour y être présenté au Commissaire Principal(Français).
Grosse surprise de celui-ci lorsqu'il vérifia mes papiers… il était lui-même originaire de Chateaurenaud ! de la famille des Vincent, au hameau des Gruyères. Si bien que l'aventure se termina au bar du Commissariat où trinquèrent les deux compatriotes bressans… J'en ressortis avec une invitation à passer le permis au plus tôt et un conseil de changer de moto si possible !
A la suite de cette aventure, je me mis donc à la recherche d'une autre bécane. Je réussis a refourguer la première et trouvais une moto (Anglaise, cette fois, issue des surplus militaires alliés) 500 cc. BSA avec un side-car. Je n'étais pas peu fier avec cette " grosse " moto… et je passais sans difficulté le permis " avec side-car ".
Cet engin devint alors un moyen de transport commode pour les sorties avec les copains. Mais lors de l'une de ces sorties, (sans doute un peu arrosée), nous nous retrouvions au retour à sept entassés sur l'engin. Bien que le trajet n'était pas important, il arriva cependant que la moto et son équipage culbutent au fossé dans un virage. Nous nous en sortîmes tant bien que mal et rentrions à la base en poussant la machine. Au passage au poste de police à l'entrée de la base, nous fumes repérés et devant l'état inquiétant de quatre d'entre nous blessés (dont moi), une ambulance nous emmena à l'hôpital militaire de Tunis.
Heureusement, les blessures n'étaient pas graves, et au bout de quinze jours nous étions de retour à la base. L'histoire ne se termina pas là, car je fus gratifié d'une punition de 15 jours d'arrêts simples (c'est-à-dire travail normal la journée, mais les nuits dans une chambre spéciale sous surveillance). Je me souviens du motif de la punition… " A entraîné ses camarades dans une sortie à motocyclette et, par son imprudence, a provoqué un accident motivant l'indisponibilité de 4 personnes pendant 15 jours".
Les mois, les années passaient dans l'insouciance de la jeunesse. La famille était bien loin, nous ne rentrions qu'une fois par an en France pour les congés, mais la nostalgie du pays était une maladie inconnue pour moi.
Nous avions droit, à cette occasion annuelle des congés à un passage gratuit, par bateau ou avion militaire . C'est ainsi que j'eus le plaisir de prendre mon baptême de l'air. En l'occurrence, c'était sur un bombardier quadrimoteur anglais " Halifax " très impressionnant. Une soute (à bombes) se trouvait au milieu de la cabine fuselage, et il y avait un passage très étroit et des banquettes rudimentaires de chaque coté. Aucune insonorisation ni climatisation, bien sûr, une ambiance bien différente des avions de ligne civils que je connus plus tard.
Mon Unité change de nom et s'appelle " Parc de la Base Aérienne N° 157 "
Evénement exceptionnel aussi pour moi, je fus désigné pour une mission spéciale consistant en un voyage en camion, seul avec un soldat chauffeur, de Tunis à Alger et retour. Le but de cette mission était un transport de moteurs de camions à déposer ou échanger successivement à Constantine et Alger (Hussein-dey). C'était pour moi une étrange aventure pleine d'inconnues et une grosse responsabilité . Il faut dire qu'à cette époque, les risques se limitaient plus à d'éventuelles pannes techniques qu'à des questions de sécurité, comme ce fut le cas plus tard . Jusqu'à Constantine (Est Algérien), tout se passa bien. Mais à l'Etablissement militaire ou je devais faire des échanges de moteurs, ceux-ci n'étaient pas prêts, et je dus attendre plusieurs jours, logeant à l'hôtel. Là, petite aventure s'ensuivit, si bien que j'y serais bien resté plus longtemps…
La suite du parcours se déroula sans autre incident notable et nous rentrâmes à Tunis une dizaine de jours plus tard que prévu, mais sans griefs à mon encontre. Je repris mon travail de magasinier-comptable technique jusqu'à Juin 1949.
La Douda
Par Bingo (Bingo) le lundi 03 mars 2003 - 22h23: |
MONSIEUR LA DOUDA ALIAS WNES ALIAS BERDAH.
Ayez s'il vous plait l'honnetetee d'indiquer l'origine de vos sources quand vous faites des copie/colle.
Un exemple flagrant"l'origine des DARMON"
copie sur le site.
http://www.ifrance.com/darmon/origine.htm
Je pense qu'Harissa a besoin de textes inedits et originaux, et non pas des copie/colle comme vous le faite souvent.
Par Anonyme (Anonyme) le lundi 03 mars 2003 - 17h48: |
Sept juifs français déposent plainte à Paris contre Arafat
PARIS (Reuters) - Sept juifs français ont déposé plainte lundi à Paris contre le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat pour "génocide, crimes contre l'humanité, assassinats et association de malfaiteurs", a-t-on appris de source judiciaire.
Les plaignants, qui résident en Israël et ont souhaité garder l'anonymat, sont parents ou conjoints de victimes d'attentats commis en Israël depuis 2000 ou d'une personne grièvement blessée dans une action similaire.
Cette plainte pénale avec constitution de partie civile entraînera automatiquement la désignation d'un juge d'instruction qui devra déterminer s'il est possible juridiquement d'ouvrir une procédure.
Les avocats des plaignants, Mes Pascal Besnier et Michel Calvo, avancent que Yasser Arafat n'a pas la qualité juridique d'un chef d'Etat et ne peut donc bénéficier d'une immunité.
Leurs clients estiment que leurs proches ont été victimes, en tant que juifs, "d'un plan concerté tendant à la destruction partielle d'un groupe racial ou religieux, ce qui constitue un génocide".
Ils imputent ce plan à l'Autorité palestinienne, à l'OLP, au Fatah et à des groupes soupçonnés d'être liés au parti de Yasser Arafat, comme les Brigades des martyrs d'Al Aqsa.
Même si les actions en question étaient des attentats aveugles commis dans des lieux publics, les plaignants estiment qu'elles visaient des juifs "puisqu'aucun attentat n'a eu lieu à Hum El Fahm et Nazareth, villes arabes israéliennes".
Par Maxiton (Maxiton) le lundi 03 mars 2003 - 16h30: |
Saddam joue aux echecs et Bush croit jouer au football
1/ Saddam fait la sourde oreille, et continue ses programmes d'armement
2/ ""Dableiou s'enerve et envoie 210000 boys, 5 porte-avions, etc...
3/ Saddam laisse ou fait decouvrir, quelques babioles. des fusees a bout de souffle, ou quelques litres de bacille du charbon ou si vous voulez de l'anthrax
4/ l'Europe saute comme un cabri " vous voyez il est de bonne foi, hou! hou! sur les ugglies amerlocs! ca marche ca marche!!"
5/ Et le tour est joue: ou Bush attaque c'est un affreux colonialiste, ou il rembarque et il ne lui reste plus qu'a boire du mecca-cola
Par Sibylle (Sibylle) le lundi 03 mars 2003 - 15h30: |
Bonjour,
Hajkloufette, le terminator, des PC vient d’avoir la peau de son dernier ordinateur. Après une lutte sans merci au corps à corps où tous les coups étaient permis, il a rendu l’âme clic clic clic psssiiiiiii !
Pour information, sachez qu’elle en est à son troisième combat victorieux en 9 mois. Kajkloufette est bien le seul élément bionique de ce site. Aucun PC ne lui résiste. Sa soif du combat la mène toujours vers la victoire. Mais le plus grave, c’est que cet être destructeur cherche maintenant un nouvelle victime. Alors si elle vient sonner à votre porte, planquez votre PC, passez le vite chez le voisin, sinon ce sera lui la prochaine victime.
Deuxième solution, toute aussi efficace pour sauver la vie de votre ordi, LES CHOCOLATS !
Car notre serial killer informatique n’y résiste pas.
Cela dit, suite à notre communication téléphonique de ce matin, nous allons être obligés de constater son absence des ondes d’harissa pour une période que j’espère inférieure à 10 jours.
Connaissant le tempérament de mon amie, je doute franchement que notre réparateur tienne 10 jours sous les coups de fils menaçant de hajkloufette. D’ailleurs, sachez le, j’ai une pensée compatissante pour ce pauvre homme à qui j’espère beaucoup de courage.
En toute hypothèse, je vous transmettrai ses textes, si bien sûr elle ne casse pas non plus le fax.
Bien à vous.
PS : je lui transmets régulièrement votre correspondances.
Par Yossi (Yossi) le lundi 03 mars 2003 - 13h16: |
Arafat utilise une voiture volée, pour ses besoins personnels.
Arouts7
Que voulez-vous? Il n'a pas les moyens de s'en payer.
Cotisons-nous!
Par Bebel (Bebel) le lundi 03 mars 2003 - 09h56: |
LA VERITE ET L'HISTOIRE
Declaration de Napoleon Bonaparte:
Proclamation a la nation Juive Quartier general Jerusalem, 1er floreal, an VII de la Republique Francaise (20 avril 1799)
"Bonaparte, commandant en chef des armees de la Republique Francaise en Afrique et en Asie, aux heritiers legitimes de la Palestine :
Israelites, nation unique que les conquetes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d'annees, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale !
Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, meme s'ils n'ont pas les dons prophetiques d'Israel et de Joel, se sont rendus compte de la justesse des predictions des grands prophetes qui, a la veille de la destruction de Sion, ont predit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s'enfuiraient a jamais. (Isaie 35.10)
Debout dans la joie, les exiles ! Cette guerre sans exemple dans toute l'histoire, a ete engagee pour sa propre defense par une nation, de qui les terres hereditaires etaient considerees par ses ennemis comme une proie offerte a depecer. Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d'ignominie. Bien que l'epoque et les circonstances semblent peu favorables a l'affirmation ou meme a l'expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd'hui, contrairement a toute attente, le patrimoine israelien.
La Providence m'a envoye ici avec une jeune armee, guidee par la justice et accompagnee par la victoire. Mon quartier general est a Jerusalem et dans quelques jours je serais a Damas, dont la proximite n'est plus a craindre pour la ville de David.
Heritiers legitimes de la Palestine !
La Grande Nation qui ne trafique pas les hommes et les pays selon la facon de ceux qui ont vendu vos ancetres a tous les peuples (Joel 4.6) ne vous appelle pas a conquerir votre patrimoine. Non, elle vous demande de prendre seulement ce qu'elle a deja conquis avec son appui et son autorisation de rester maitre de cette terre et de la garder malgre tous les adversaires.
Levez-vous ! Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n'a pu aneantir le courage des descendants de ces heros qui auraient fait honneur a Sparte et a Rome (Maccabee 12.15). Montrez que deux mille ans d'esclavage n'ont pas reussi a etouffer ce courage.
Hatez vous! C'est le moment qui ne reviendra peut-etre pas d'ici mille ans, de reclamer la restauration de vos droits civils, de votre place parmi les peuples du monde. Vous avez le droit a une existence politique en tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d'adorer librement le Seigneur selon votre religion. (Joel 4.20)
Signé : Général BONAPARTE, Commandant en Chef des Armées de la République Française.
Par Mena (Mena) le lundi 03 mars 2003 - 07h24: |
Ci après, article transmis par Achel et S.Pilzcer
COMMENT expliquer que l'Eglise catholique resta si longtemps sourde à une lettre aussi prophétique et mit soixante-dix ans avant de la sortir de ses archives ? Le 12 avril 1933, quelques semaines seulement après l'arrivée de Hitler à la chancellerie, une philosophe catholique allemande, d'origine juive, ose écrire à Rome pour demander au pape Pie XI et à son secrétaire d'Etat, le cardinal Pacelli, ancien nonce en Allemagne et futur Pie XII, de ne plus se taire et de dénoncer les premières persécutions contre les juifs. Cette voix est celle d'Edith Stein, née en 1891 à Breslau, convertie en 1922.
Elle sera chassée de l'université en 1934, avant d'entrer au carmel de Cologne. En août 1942, dans un couvent des Pays-Bas où ses supérieures la croyaient à l'abri, elle est arrêtée et déportée, avec sa soeur Rosa, à Auschwitz. Elles sont gazées dès leur arrivée. Edith Stein sera canonisée par Jean Paul II le 11 octobre 1998.
Les historiens du Vatican connaissaient l'existence de cette lettre de 1933 au pape, mais pas son contenu. C'est chose faite depuis l'ouverture récente des archives du Vatican consacrées au règne de Pie XI (1922-1939). La clairvoyance dont témoigne Edith Stein sur la cruauté du régime nazi n'a d'égale que le courage de son intervention : "Il s'agit d'un phénomène qui provoquera beaucoup de victimes. On peut penser que les malheureux n'auront pas assez de force morale pour supporter leur destin. Mais si la responsabilité retombe en premier lieu sur ceux qui les poussent à ce désespoir, elle retombe aussi sur ceux qui se taisent. Non seulement les juifs, mais aussi les fidèles catholiques attendent, depuis des semaines, et espèrent que l'Eglise fasse entendre sa voix contre un tel abus du nom de Christ par un régime qui se dit chrétien."
Elle ajoute : "L'idolâtrie de la race, avec laquelle la radio martèle les masses, n'est-elle pas une hérésie ouverte ? (...) Nous craignons le pire pour l'image mondiale de l'Eglise si le silence se prolonge ultérieurement."
La notoriété d'Edith Stein n'était pas alors ce qu'elle est devenue, mais ce document prouve, s'il en était besoin, combien l'Eglise, au plus haut niveau, était informée des exactions nazies - et s'est tue.
Henri Tincq (Le Monde du 01.03.03)
Par Richard_S (Richard_S) le lundi 03 mars 2003 - 02h19: |
Hadjkloufette
J'ai eu le meme sentiment que toi face a Amnon Itzhak quand je suis alle au pelerinage de Baba Sale a Netivot ou ils vendent de l'eau et de l'huile benite "par lui" alors que Baba Sale est mort depuis 18 ans.
Eh bien, figure toi que que ces gens qui vont utiliser cette eau ou cette huile, s'ils y croient, ils vont pouvoir en tirer des miracles dans leur vie.
Les medecins et les psys te le diront : La foi est capable de creer une force qui peut faire des miracles. Mais il faut avoir une foi aveugle dans l'objet de la foi ou dans le messager.
Ni toi ni moi, qui sommes trop analytiques, ne pouvons accepter ce genre de choses car nous avons un esprit critique qui nous empeche de mettre toute notre foi dans des choses pareilles.
Mais je pense parfois que nous nous privons d'un merveilleux outil qui est a notre disposition.
RICHARD S.
Par Henri (Henri) le lundi 03 mars 2003 - 07h04: |
Francis Chalom,
Te souviens tu de Mr Tandi de Mr Hario et de Mr Boza qui avais une petite buvette.
On etait peut-etre dans la meme classe
Cette ecole etait dans la petite rue Elbechtaoui.
Amicalement Henri
Par Email (Email) le lundi 03 mars 2003 - 00h32: |
Par Admin (Admin) le mardi 04 mars 2003 - 06h31: |