Par Admin (Admin) le mercredi 09 avril 2003 - 02h38:

Par Wnes (Wnes) le mardi 08 avril 2003 - 00h44:

Yéh Bébert,

Ton présage, rappelle le titre d'un fameux film d'épouvante : " Crime au Musée des Horreurs ", au fait, est-il passé au Rex ?

Ciao,

Berdah

Par Albert (Albert) le lundi 07 avril 2003 - 22h50:

Printania,

Les découvertes ne vont pas s'arreter là....C'est bien plus qu'un musèe qu'il faut ouvrir..

Par Printania (Printania) le lundi 07 avril 2003 - 22h36:

Découverte d'une «annexe» du FLP à Bagdad-est
AFP[07 avril 2003]

Des Marines américains en Irak ont découvert un site utilisé pour fabriquer des bombes et servant de camp d'entraînement à une faction palestinienne le Front de libération palestinien (FLP), a affirmé lundi un porte-parole militaire.
Des produits chimiques, des mortiers, des masques à gaz et des AK-47 ont été trouvés à l'intérieur d'un complexe formé de 20 bâtiments à l'est de Bagdad, a déclaré le caporal John Hoellwarth.
Des photos du président irakien Saddam Hussein et du chef du FLP Abou Abbas ainsi que le drapeau de cette organisation ont été trouvés à l'intérieur du complexe, a ajouté l'officier.
D'autres photos dont celle d'Abou Abbas posant avec un général de brigade de la Garde républicaine de Saddam Hussein et des boîtes de documents portant l'entête du FLP ont également été saisis.
Des stocks de vivres, dont des tomates fraîches et des pommes de terre ont été trouvés, semblant indiquer que le complexe a été récemment évacué.
L'organisation d'Abou Abbas s'est rendue tristement célèbre à la suite du détournement en 1985 du paquebot italien Achille Lauro, au cours duquel un juif américain a été tué.
Abou Abbas, condamné par contumace à cinq ans de prison en Italie pour cette prise d'otages, était auparavant basé en Tunisie. Il se serait installé ces dernières années à Bagdad. Créé en 1976, le FLP est une formation pro-irakienne membre de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).

Par Nao (Nao) le lundi 07 avril 2003 - 20h16:

C'est quoi ce binz? personne n'a compris que la particule "ex" etait pr de France et non pr juif?
quel remue-meninges!

Par Nao (Nao) le lundi 07 avril 2003 - 20h38:

Lui c'est mon prefere! Le bouffon de sa Majeste. Mr "We will crush them" (comme je l'ai surnomme) qui se tient debout devant une feuille de papier kraft peinte en blanc toute branlante et que l'on veut nous faire passer pr le Ministere de l(a) (des)'Information irakien! Il faut bien rouler les rrrr qd on dit "crush them"!

Dommage que le ridicule ne tue pas!

Par Albert (Albert) le lundi 07 avril 2003 - 20h25:

Wnes voila ma tronche,

Après la découverte 'archèologique' des amerlocs ( la fournitures d'armes prohibès ) par la France aux Irakiens, notre pays veut participer à la reconstruction de la 'maison potamie' sans sang versè après la campagne amèricano/ anglo/canadienne.Juste raisonnment.Une amie correspondante qui a ses entrèes dans les arcanes majeures du pouvoir me dit...' Albert et bien Chirac aura des néfles ( boussa) qui suivront son oesophage pour terminer coincè dans son rectal mineur...!' Une réflèxion certe pertinante mais qui a du goût. Certainement au plus une constipation.
-Les goulettois dont la plupart avaient des commerces en 67, ont aussi subi les affres de cette période.Printania, mon ami goulettois, parlait de l'esprit qui prévalait.Sans ironie et que sans vouloir le défendre, ce monsieur a aussi eu quelques déboires sans jamais se plaindre. Je me devais de remettre 'LA MONDRE' à l'heure.

Par Mexico (Mexico) le lundi 07 avril 2003 - 19h49:

Berdah,
Je suis d'accord avec vous. Cependant, je tiens a vous preciser que le mot "ex-Juif" ne represente pour moi, dans AUCUN DES CAS que j'ai cite, un terme pejoratif, puisque nous avons tous ete doues du libre arbitre.
Helas, ce n'en fut pas le cas, comme vous le dites, des pauvres malheureux qui ont du abjurer leur confession sous peine de mort. Ils appartiennent malgre tout, a la liste enumeree des "ex-Juifs", qu'on le veuille ou pas.
Plus de 5 siecles se sont ecoules depuis l'Inquisition. C'est un fait extraordinaire et admirable de constater qu'apres tant de temps, il existe encore dans cette generation, des descendants de conversos, qui connaissent et pratiquent la confession de leurs ancetres. Quant aux autres, ils ignorent certainement leurs origines. Comment pourrais-je me permettre de les blamer?
Au fil de ma vie, j'ai decouvert beaucoup de bien et de bon la ou je ne m'y attendais le moins, et vice-versa et malgre tout, je m'accroche a accorder encore a ces derniers le benefice du repentir.
Mi sincera amistad

Yael

Par Mena (Mena) le lundi 07 avril 2003 - 18h35:

Breaking : Missiles à têtes chimiques découverts à Bagdad ! (info # 030704/3)

18h 20, heure de Jérusalem © Metula News Agency



Selon la radio publique américaine, citant ses correspondants sur le terrain, les soldats US ont découvert, dans les environs de Bagdad, un entrepôt de missiles dont les têtes étaient chargées de gaz moutarde et de gaz sarin.



D’après les reporters de la radio en question, les missiles étaient "prêts à l’emploi".

Par Mailroom (Mailroom) le lundi 07 avril 2003 - 19h50:

TUNES CELEBRES

HOZE Maurice
Grand Champion de natation des jeux interalliés à ROME en 1944 + plusiers records de natation en nage libre.

SHAFFER Heny
Ancien champion de natation Hongrois a formé les plus grands nageurs juifs en tunisie dans les annéés(35 -44) avec son compatriote VAYDA Ladislas ( Ancien champion du monde de plongeon Haut Vol )

Les freres TAIEB (loulou-zizi-gilbert-freddo et monette ) en NATATION

Claude Lussatto

Par Claudia (Claudia) le lundi 07 avril 2003 - 17h38:

Une question, et des réponses.

Ou pourquoi les Irakiens ne se précipitent pas pour acclamer ceux qui les libèrent



Par Bernard Lewis, historien, écrivain, spécialiste de l'Islam et des Arabes, professeur "emeritus" des études du Moyen Orient de l'Université Princeton. A récemment publié

"What Went Wrong? Western Impact and Middle Eastern Response" (Oxford, 2002).



Paru le 6 avril 2003, dans le New York Times

Traduit par Albert Soued, écrivain, www.chez.com/soued (1)

Voir aussi www.nuitdorient.com



"Où sont ces foules en liesse dont on nous a dit qu'elles sortiraient pour nous acclamer?"

Cette question a été posée avec de plus en plus d'insistance, par la plupart des observateurs, perplexes et par certains, inquiets et par d'autres, ironiques, selon leur tempérament ou leur appartenance politique. Question judicieuse qui mérite une réponse. Différentes réponses ont été proposées, elles aussi variant selon le tempérament ou l'appartenance politique, ou d'autres critères encore. Mais quelle que soit la réponse, il y a 3 points très importants.



Le premier point concerne le soulèvement de 1991 et sa répression. Au début de la Guerre du Golfe de 1991, le gouvernement américain à appeler le peuple irakien à se rebeller contre le tyran qui l'a opprimé pendant longtemps, et à le renverser. Le peuple a répondu promptement et s'est soulevé dans de nombreuses régions du pays. Pendant ce temps, l'armée américaine victorieuse a accordé un cessez-le-feu au dictateur irakien défait. Dans les jours qui suivirent, utilisant les quelques hélicoptères que l'accord lui laissait ostensiblement à des fins de transport, Saddam Hussein a écrasé la rébellion, région par région, groupe par groupe. Il a systématiquement anéanti les Shiites au Sud, les Kurdes au Nord, tuant des dizaines de milliers de gens de la façon la plus brutale, incluant des armes chimiques.



De nombreuses explications ont été offertes sur les raisons pour lesquelles le gouvernement américain a accordé un cessez-le-feu au moment où il était victorieux, et il y en a même encore qui justifient cette décision. Mais il n'y a aucune justification –bien que certains l'aient fait – à l'abandon de populations que nous avons incitées à se rebeller. Nos amis Irakiens – et je dis bien nos amis – ont perçu cette attitude comme une trahison; celle-ci laissa derrière elle des réflexes de prudence et de suspicion, pour le moins. Cette prudence et cette suspicion ont été ravivées et renforcées par deux nouvelles préoccupations, l'une provenant du déroulement de la guerre, l'autre de la controverse autour de cette guerre.



En termes purement militaires, la décision d'aller directement à Bagdad, sans se préoccuper des villes du Sud était sans doute sage. Mais cette tactique laissait les populations à dominante Shii'te sous le contrôle de Saddam Hussein et de ses sbires. En effet, celui-ci n'avait pas suffisamment de troupes régulières pour contenir l'assaut de la coalition, mais son monstrueux appareil de contrôle et de répression était encore intact. Et la population shii'te méridionale savait ce qui l'attendait, si elle montrait trop tôt vers qui allait sa sympathie.



Cette prudence compréhensible a été renforcée par la violente levée de boucliers occidentale contre la guerre, particulièrement aux Etats-Unis. Cette opposition s'est manifestée de différentes manières sous leurs propres yeux, par la critique du conflit faite par les compte rendus des médias à leurs portes. Pour nous Occidentaux cela paraît un débat normal, dans une société libre. Qu'ils soient gouvernants ou gouvernés, les Irakiens ne sont pas préparés à une telle liberté de parole, depuis qu'ils ont remplacé leur régime parlementaire par une dictature, il y a près de 50 ans! Et ce qu'ils ont cru voir et entendre, c'est l'hésitation, l'indécision, même la faiblesse et la peur de l'Occident.

Et cela a renforcé leur crainte de se voir une fois encore trahis, les États-Unis ne terminant pas ce qu'ils ont commencé de faire, trouvant un nouvel accommodement avec Saddam Hussein lui-même, ou avec un successeur de son entourage, un peu plus conciliant. Il y eut en effet des voix qu'on a entendues qui étaient en faveur d'un telle solution du conflit.



Le débat occidental et la campagne contre la guerre ont certainement encouragé Saddam Hussein dans la voie de la guerre et ont découragé les Shiites pour nous acclamer. Le débat occidental et la campagne contre la guerre ne mettront pas fin à celle-ci. Mais s'il se trouve, ils l'auront rendue plus longue et plus dure.



(1) note du traducteur: on peut se demander comment les médias arabes et occidentaux vont continuer à désinformer leurs populations respectives, maintenant qu'on découvre dans les entrepôtes, les palais et les souterrains les preuves horribles d'une dictature protégée et encouragée par ce même occident...

Par Mailroom (Mailroom) le lundi 07 avril 2003 - 19h43:

L'AMOUR

L'Amour commence par soi-meme.
Faire des concessions a l'Autre, etre son serviteur.
Le servir dans chaque instant.
Encore faut il que celui-ci ou celle-la, sache l'accepter, le recevoir et le faire fruitifier. Quand l'un(e) et l'autre s'unissent dans l'action il n'y a plus de dualite.

naty_1

Par Maxiton (Maxiton) le lundi 07 avril 2003 - 13h38:

vu ce matin sur la chaine tunisienne sur le cable a paris ( noos ) Ben Ali assistant a une ceremonie a l'occasion du 3 ieme anniversaire de la mort de Habib Bourguiba
Il n'avait pas l'air mourant

Par Michka (Michka) le lundi 07 avril 2003 - 15h04:

La France a perdu la tête

Shaoul Tsedaka (Maariv)
6 Avril 2003


La semaine dernière, j’ai assisté à une conférence de presse donnée à l’Institut International des Etudes Stratégiques de Londres par le ministre des affaires étrangères français. Dominique De Villepin exprimait son espoir de «voir la Guerre d’Irak se terminer rapidement et avec le moins de morts possibles» Un ancien reporter du Daily Telegraph en Israël sauta de sa chaise et demanda s'il souhaitait la victoire des Américains ou celle des Irakiens. De Villepin refusa de répondre et lui rétorqua : «Je n’ai pas l’intention de vous répondre…» Le public fut abasourdi.

Comment interpréter la réaction de De Villepin ? Il exprimait tout simplement le sentiment de l’Elysée, de la presse française et de la rue parisienne. Les sondages effectués auprès du public ont démontré qu’entre 33 et 42% des Français souhaitent que l’Irak gagne la guerre. Incroyable ? Pas quand on lit les journaux et que l’on constate qu’ils se réjouissent des malheurs de l’armée américaine, chaque fois qu’un hélicoptère Apache est abattu, qu’un soldat est capturé ou que les feux «amis» font des victimes auprès des soldats britanniques.

Repoussant ? Pas suffisamment. Prenez le journal le Monde. Dans une caricature qui y fut publiée, on peut voir un soldat américain foulant les corps de femmes et d’enfants irakiens, regardant autour de lui et se plaignant de la tempête de sable. Dans un de ses éditoriaux, ce journal a déjà fait l’éloge funèbre des Etats-Unis, assurant qu’ils seront incapables de destituer le tyran par la force, et ce, à cause de quelques soldats tués sur le champ de bataille. La télévision n’est pas très différente. Elle prend un tel soin à relater les souffrances de la population irakienne sous les bombardements de la coalition, qu’on pourrait la prendre pour la télévision officielle de Bagdad.

L’espoir de l’échec américain est tellement flagrant, que le rédacteur en chef de l’hebdomadaire Paris-Match ressent le besoin d’écrire que cette guerre est affreuse. Mais il faut faire état de la joie qui caractérise les Français, à la vue des difficultés que connaissent ceux qui ont engagé l’invasion, comme si ces difficultés donnaient la preuve que l’opposition à Bush était justifiée.
Pierre Lelouch, membre de l’Assemblée Nationale, fut outré et s’exclama : «Comment pouvez-vous vous réjouir quand le sang des Britanniques et des Américains est versé»

Lelouch est une des quatre uniques personnes à déclarer ouvertement dans la presse française, qu’ils approuvent la guerre.
Lui et deux autres, sont Juifs. A part eux, seul l’hebdomadaire «Le Point» s’efforce d’être objectif. Un article isolé soutenant Bush, qui a été publié dans le quotidien «Libération», lui a fait mériter des lettres d’intimidation et des menaces de mort. Une journaliste française de mes amies m’a raconté que ses collègues ne lui adressent plus la parole depuis qu’ils savent qu’elle se déclare en faveur de Bush.

Cette haine qui sent la culture anglo-saxonne, s’exprime par la profanation des cimetières militaires au Nord du pays, où sont enterrés 11 000 soldats britanniques qui ont été tués durant la deuxième guerre mondiale sur la terre de France. Sur ces tombes les inscriptions suivantes avaient été marquées à la peinture rouge: «On a sorti vos ordures de cette terre car elles l’infectent» ou encore, «Saddam Hussein vaincra et versera votre sang»

L’entité francophone aurait-elle déraisonné ? Non. Elle a toujours été comme ça. Une espèce de dictature, avec une presse engagée. Dans la France d’aujourd’hui, il n’y a aucun débat public sur la guerre. Le soutien à Chirac atteint les 92%, y compris auprès des médias. Ce pourcentage se rapproche de celui portant sur le soutien à Saddam ou à Assad. Chirac est le Président de la rue et c’est lui qui fixe l’humeur des habitants. Si un vulgaire petit citoyen lui accordait demain la majorité pour la destruction d’Israël, il approuverait l’envoi des avions de l’OTAN sur Jérusalem. Chirac est bien le dernier des dirigeants qui soit prêt à perdre sa popularité auprès de la population qui est composée, comme chacun sait, de six millions d’Arabes.

La France ne craignait pas les Kasbas du Moyen-Orient à cause du seul intérêt financier. Chirac, Mitterrand, Giscard, Pompidou et De Gaule ont toujours soutenu les despotes d’Afrique et du Monde arabe. Ils ont également profité de «pots de vin» personnels et nationaux Ces cadeaux ne visaient qu’à obtenir par exemple, une base nucléaire…Ils ont pris plaisir à flirter avec toutes sortes de Saddam, Khadafi et autres, avec lesquels ils ont entretenu des idylles qui ont toujours été défendues par les journalistes de la Cour des dirigeants en question … Après tout, ils ont beaucoup de choses en commun avec les républiques bananières comme la corruption institutionnelle, le non-sens, le nationalisme obscurantiste, l’état policier, une société mobilisée, une presse inconditionnelle et pas d’opposition. On comprend comment certaines notions sont totalement étrangères à la France : le débat public, la loyauté politique, la haine du mal et l’amour du bien. C’est ainsi que l’hostilité aux Etats-Unis et à la Grande Bretagne a pu se développer au cours des années.

Je voudrais conclure par une mise en garde : veillons à ne pas tomber aussi bas que la France. Nous nous rappelons que la France présente d’autres aspects et nous lui souhaitons un prompt rétablissement. De plus, nous espérons qu’elle sortira rapidement de la vague aveugle dans laquelle elle s’est enlisée.

Par Admin (Admin) le mardi 08 avril 2003 - 03h56: