Par Admin (Admin) le samedi 12 avril 2003 - 03h04:

Par Wnes (Wnes) le vendredi 11 avril 2003 - 01h33:

La Douda ( Agence de presse alternative )

Petites erreurs relevées sur Adra :

Pour fabriquer du plutonium 238, il faut de l’uranium enrichi à plus de 3,5% d’uranium 235, tenter d’en fabriquer avec de l’uranium naturel, contenant 0,7% d’uranium 235 relève de la pure utopie.

A moins que l’on ait la capacité d’enrichire de l’uranium naturel, mais pour cela il faut disposer de technique d’ultra centrifugation, ou d’ultra vide, ce qu’à bien tenté l’Iraq sans le moindre succès. Le combustible caramel constitué d’uranium enrichi à 7,5 %, l’enrichire relève du même défi technologique que de traiter de l’uranium naturel.

On peut fabriquer du plutonium 238, par fission du caramel, mais pour l’extraire il faut posséder une technologie métallurgique, qui n’est heureusement pas, à la portée du premier venu.

La Douda

Par Wnes (Wnes) le vendredi 11 avril 2003 - 01h44:

La Douda (Agence de presse alternative)

Propos recueillis ce jour.

- Il est normal de laisser le soin de reconstruire, à ceux qui ont détruit, cela se fera sans doute avec les deniers de leurs propres contribuables.

- La Suisse aurait gelé tous les avoirs Iraquiens ( personnes morales et physiques), et aurait annoncé qu'ils ne seront restitués que sur décision des Nations Unies.

No comments

La Douda

Par Odigo (Odigo) le jeudi 10 avril 2003 - 21h06:

D’ Edmond FLEG

Pour moi, qui ai si longtemps cherché la preuve de l'existence de D.ieu, je l'ai trouvée dans l'existence d'Israël.

Je suis juif, parce que, né d'Israël, et l'ayant perdu, je l'ai senti revivre en moi, plus vivant que moi-même.

Je suis juif, parce que, né d'Israël, et l'ayant retrouvé, je veux qu'il vive après moi, plus vivant qu`en moi-même.

Je suis juif, parce que la foi d'Israël réclame, de mon cœur, toutes les abnégations.

Je suis juif, parce qu'en tous lieux où pleure une souffrance, le Juif pleure.

Je suis juif, parce qu'en tous temps où crie une désespérance, le Juif espère.

Je suis juif, parce que la parole d'Israël est la plus ancienne et la plus nouvelle.

Je suis juif, parce que la promesse d'Israël est la promesse universelle.

Je suis juif, parce que, pour Israël, le monde n'est pas achevé : les hommes l'achèvent.

Je suis juif, parce que, pour Israël, l'Homme n'est pas créé : les hommes le créent.

Je suis juif, parce qu'au-dessus des nations et d'Israël, Israël place l'Homme et son Unité.

Je suis juif, parce qu'au-dessus de l'Homme, image de la divine Unité, Israël place l'Unité divine, et sa divinité.

par Edmond FLEG

Par Slim (Slim) le jeudi 10 avril 2003 - 21h57:

Ya Breitou:

Je comprends que les USA et l'Angleterre ne doivent pas a eux seuls etres les pays qui profiteront des deals avec l'Iraq (au fait s'il y a vraiment une democratie la bas, ce sera le marche qui desidera, pas les gouvernements), mais la France n'a qu'a attendre son tour, et je ne veux pas qu'elle soit la premiere (ca place est au fond de la classe pas devant, elle a flanque ce test). En tant qu'Americain, je trouve que la France se comporte avec lachete et sans conviction. Plus d'une centaine d'Americains ont perdus la vie dans cette compagne de liberation (la majorite n'ont jamais mis les pieds hors des USA auparavant pour te dire qu'ils n'ont aucune intention de rester en iraq, l'Amerique n'est pas un pays colonisateur). La France, elle, non seulement n'a pas participe a cette initiative, mais elle a essaye a tout prix de l'arreter, peut-etre de peur que l'on decouvre l'empleur de la collaboration Franco-Saddamiste.

Personellement, je suis sur que le "Free Market" decidera a lui seul qui aura les contrats et qui ne les aura pas. Les Iraqiens auront d'ici peu la possibilite de choisir leurs partenaires. Je doute fort qu'ils oubliront que la France les a laisse tomber, tout comme les pays arabes d'ailleurs. Ce que les pays arabes et la majorite des Europeens oublient c'est que l'on n'est jamais avec un peuple si on le laisse creuver sous une dictature sanglante, meurtriere, comme celle de Saddam. Saddam n'a jamais aime son peuple ni son pays. Il n'a cherche qu'a remplir ses coffres et ceux de ses proches au prix fort: celui de la mort de centaines de milliers d'Iraqiens et plus d'un million d'Iraniens.

Cette guerre va apprendre une bonne lecon a tout le monde. Je ne pouvais pas m'empecher de sourir et de penser combien les commentateurs Francais et Arabes etaient dans l'erreur dans leur soit-disant analyses a la con de la situation et de la reaction du peuple Iraqien avant l'entree a Baghdad. Les Americains eux, etaient persuades que des que le regime de Saddam disparaitrait, les Iraqiens sortiraient en masse pour les accueillir et ils avaient bien raison.

Maintenant, il reste a voir si une reconciliation nationale aura lieux dans ce pays.

Vous allez voir, le Kuwait est devenu la Persona non Grata au sein du peuple arabe par ce qu'il a soutenu les USA dans cette compagne. Maintenant, l'Iraq va rejoindre la liste des pays detestes alors qu'hier, ils (les Iraqiens) etaient la fierte du monde Arabe. Quelle honte. Personellement, je ne veux rien savoir de ces experts, de ces intellectuels Franco-Arabes qui se disent amis des libertes et des valeurs humaines. Ils veulent les appliquer aux autres mais jamais a eux memes. Ils sont champions de la theories et des nuls dans la pratique. Personellement, j'ai pris cette decision bien avant de voir la reaction du monde arabe par rapport a l'invasion/liberation de l'Iraq. J'ai su ne plus faire confiance a ces experts quand j'ai vu leur silence inexplicable face a la souffrance du peuple Algerien, un peuple qui a perdu presque 100000 personnes dans une guerre civile qui dure depuis plus de 10 ans. Mais bon Dieu c'est quoi cette hypocrisie, ces Algeriens, ne sont-ils pas des etres humains eux????? Pourquoi sont-ils toujours dans l'oublie, et si on les mentionne, c'est toujours de passage. Cela veut dire que si un jour un malheur venait a se produire et que le peuple Tunisien se trouve dans situation semblable, le monde, et en particulier le monde arabe, nous regardera avec un air d'indifference et nous laissera creuver sans venir a notre aide. Au Diable avec cette soit-disant solidarite Arabe, cette Amitie Franco-Arabe, et surtout a cette "Fierte Arabe" qui nous etrangle, nous dechire, et nous rend aveugles, meme devant le fait accompli. Personnellement, les autres pays arabes ne me concernes pas, mais la Tunisie est mon pays, et je l'adore avec toute mon ame. J'espere que le Tunisien moyen realisera les erreurs des choix qu'il a fait, et apprendra a mieux naviguer les chemins de la solidarite internationale et de la diplomatie Arabe. La Tunisie elle, ne doit plus etre concerne par ce que pensent les autres Arabes. On ne leur doit rien du tout, cette association aveugle avec eux ne nous a cree que des problemes. Nous avons le devoir de faire uniquement ce qui est dans le meilleur interet de notre pays.

Au fait nous n'avons que nous-memes a blamer, mais quand une personne aime son pays, il ne lui souhaite que du bien, et c'est la seule chose que je veux pour ce pays qui m'a vu naitre et qui m'inspire tous les jours.

Par Albert (Albert) le jeudi 10 avril 2003 - 20h55:

JPC, la blatta c'est le culot.Ou ne pas avoir froid aux yeux. Dans cette période avant la crise, les pays europèens enfin les deux pays qui se sont démarquès de la coalition ont, sans doute afin de ne pas fruster les arabes, prèferè suivre la voie de la sagesse telle que Chirac l'a définie.

Il fallait bien qu'une grande puissance amie des pays arabes modère tant soit peu cette campagne dont ils connaissaient certainement l'issue. Oui on peut reprocher à la troisième puissance mondiale sa timiditè, sa passivitè mais on ne peut pas laisser cette troisième force, même si on la taxait de pacifisme, d'être en marge de la nouvelle reconstruction de la nouvelle Irak.

La laisser ce cantonner à un rôle dans des aides humanitaires.
Les brouilles entre états ne servent personne. Voilà pourquoi la diplomatie est là.

On peut m'insulter sobrement...

Albert..

Par Albert (Albert) le jeudi 10 avril 2003 - 20h31:

ALBERTOUALLAH sur le terrain.

J'ai vu les frustrations dévoilées de tout un peuple. Anciennement soumis. Le délire populaire s'est emparé de toute une ville, des villes par une population déboussolée. Il y a encore quelques semaines le rais tant glorifié
par un peuple qui voulait lui donner son âme et son sang. Les dictateurs ont de beaux discours, adulés tant qu'ils sont vivants et debout, une fois déboulonnés de leur piédestal, ils deviennent que bronze rouillé sur lesquels ces sujets pissent et chient. Un symbole à terre a libère les esprits camisoles de toute une population qui n'aspirait qu'à un minimum de liberté. Ceux qui prétendaient que Bagdad ressemblerait à Stalingrad seront déçus. Le pouvoir déliquescent à fui, laissant derrière lui le néant, le chaos et le pillage. On ne freine pas l'instinct de toute une gente mal dans sa peau. Les couards, tels des capitaines fuyant le navire, n'ont pas eu le courage d'affronter la mort ni la justice. Tant ils sont valeureux. Leur force résidait en fait dans leur faiblesse de ne pas assumer leur patriotisme. Un égoïsme dont on devinait leurs allants.

Ils pourront, après avoir profité de la manne, accumulée pendant dans des décennies sur le dos de leurs citoyens bronzer au soleil de leur nouvelle fortune. Une chance. Pour eux, l'Irak, leur pays est déjà loin..
(La suite dans le tménik.)

Agence Breitouna.

Par Nao (Nao) le jeudi 10 avril 2003 - 19h39:

D'accord avec JPC. Plus blata que la France, y a pas sur le marche. Elle a tot fait de retourner sa veste!

La France "a toujours été dans le camp des démocraties", affirme Jean-Pierre Raffarin

PARIS (AP) - La France "a toujours été dans le camp des démocraties" et elle "se réjouit de la chute du régime de Saddam Hussein", a affirmé jeudi le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

Paris "partage les espoirs du peuple irakien pour plus de justice et de démocratie", a-t-il déclaré lors des Questions au gouvernement au Sénat. "Nous avons toujours été dans le camp des démocraties contre celui des dictateurs" et "dès que cette guerre a été engagée, la France a dit clairement qu'elle souhaitait qu'elle se termine le plus rapidement possible".

"Nous sommes aux côtés du peuple irakien et nous partageons aujourd'hui son espoir de liberté, de démocratie, de développement", a-t-il insisté.

Néanmoins, "cette victoire de la démocratie s'est faite dans la violence", a constaté M. Raffarin. "Nous devons respecter la mémoire de tous ceux qui ont payé de leur vie cette victoire de la démocratie".

Sur ce sujet, "les polémiques sont inutiles", a estimé le Premier ministre français, qui préfère se tourner "vers l'avenir", c'est-à-dire "la paix dans la région".

"C'est à l'ONU que doivent se définir les stratégies d'avenir qui assureront au peuple irakien son devenir", a réaffirmé Jean-Pierre Raffarin. "Nous nous engageons pour faire en sorte que le plus rapidement possible, l'Irak puisse bénéficier d'une stabilisation et que le peuple irakien puisse avoir des institutions que lui-même contrôle".

La France souhaite donc que, "dès que la situation a été sécurisée", il y ait "à l'ONU une délibération qui puisse faire en sorte qu'un avenir soit construit" pour l'Irak.

Le gouvernement français, quant à lui, "s'impliquera avec détermination dans toutes les actions pour être auprès des populations civiles qui ont souffert", a-t-il assuré.

Par ailleurs, Jean-Pierre Raffarin a souhaité qu'une "sagesse internationale" puisse "s'affirmer pour régler le conflit israélo-palestinien".

Le chef du gouvernement a plaidé une nouvelle fois pour un "monde multipolaire" et contre une "vision unipolaire qui peut être à terme une vision de déséquilibre". Cette conception française est "très largement partagée par l'ensemble des membres du Conseil de sécurité" des Nations unies, a-t-il souligné. AP

Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 10 avril 2003 - 19h31:

Par Charlotte (Charlotte) le jeudi 10 avril 2003 - 19h05:

Objet: Lessons for Journalists

Open letter to journalists following the Iraq war.

Dear Mr./Ms. Journalist,

Being that you are all so busy these days, and it might be hard to summarize all
the many lessons that were forthcoming from the war to free Iraq, I thought I'd
give you a hand and summarize them for you:

1. Arab sources lie spectacularly. As the now unavailable Iraqi Minister of
Information proved, reality and Arab information are only coincidentally
connected. So, the next time you cover the Israel-Palestinian conflict, please
don't report stories based only on Palestinian sources. This might put into
perspective the Jenin 'massacre', etc.

2. Arab tactics make it impossible to avoid collateral civilian damage. The
next time you are tempted to cite "excessive force" by Israeli forces, or bemoan
the long wait at Israeli checkpoints, remember this: the Arabs use ambulances
to carry weapons. They put suicide belts into cars with pregnant women then
have her cry for help at checkpoints. They put bomb factories in schools and
private homes. They use children as human shields. They fire from apartment
houses, encouraging forces to fire back.

3. When the Palestinians speak movingly about how they've suffered, and when
other Arabs talk about the Arab-Israeli conflict in terms of alleviating
injustice and suffering of the Palestinian people, please remember this: The
Arab world, and the Palestinians in particular, were against any attempt to
alleviate the true suffering of the Iraqi people under the mad man Saddam
Hussein. Whatever the Palestinians suffered pales in comparison to the Iraqis.
No one took their children away. No one put them in vats of acid. No one held
them in torture chambers. If the Arab world really did care about their
brethren, why were they against this war to free the Iraqis? And if we draw the
conclusion that they couldn't care less about each other, what is their motive
for hating Israel and trying to destroy her? Can it be less noble? Can it be
that they can't stand the idea of Jews in the neighborhood?

4. Except for a few reporters here and there, you were all totally wrong about
everything. Peter Jennings, New York Times reporters, Washington Post, Los
Angeles Times, you name it. The Wall Street Journal was the only one that got
it consistently right. There was no "quagmire." There was no large number of
civilian casualties, and no huge coalition casualties. It wasn't a war about
oil, but about liberation. The Iraqi's didn't put up a stiff resistance. The
Iraqis danced in the street and shouted: Thank You Mr. Bush. Don't you think
you should try a different profession, or at least practice this one with a
little more caution and humility when reporting from the Middle East?

All the best,

Naomi Ragen

=======================================
Naomi Ragen
Please visit my Web page at:
http://www.NaomiRagen.com

Par Printania (Printania) le jeudi 10 avril 2003 - 18h43:

Charlotte.
Que dire des kamikazes qui se sont fait exploser, dans l’espoir de trouver 70 vierges à leur disposition, pour les choyer et les dorloter ?
Il paraît que le paradis qu’on leur a promis, est en rupture de stocks de vierges.
Il faudra attendre, ils sont actuellement en liste d’attente.
Alors que le chef est parti avec la caisse, la paye et le trésor qu’il a volé à son peuple, la pauvre mère qui a « offert » son enfant au régime est doublement trompée.
Ni prime pour elle, ni paradis pour son fils.
On vit dans un drôle de monde !

Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 10 avril 2003 - 18h21:

Un an après, Djerba se souvient mais veut tourner la page

10/04 08:31 Djerba, l'île touristique du sud de la Tunisie, cible d'un attentat contre sa synagogue qui fit 21 morts le 11 avril 2002, se souvient de ce jour de deuil, mais s'efforce d'oublier en caressant l'espoir d'une relance du tourisme avant l'été.

"Je revenais tout content de Tunis avec des fonds pour la préparation du pélerinage lorsqu'on m'apprend que quelque chose s'est produit à la Ghriba. J'accours et les policiers sur place m'annoncent +une grande catastrophe+", se souvient Perez Trabelsi, chef de la communauté juive et de la Ghriba, la plus ancienne synagogue d'Afrique.

"Avec la fumée et l'horrible odeur de brûlé", il affirme avoir, d'abord, cru à un incendie provoqué par un cierge dans la synagogue, monument incontournable pour les touristes à Djerba.

"A la vue du camion avec le chauffeur brûlant dans la cabine et des pompiers à l'oeuvre, j'ai eu un choc qui m'a conduit à l'hôpital. Radio Israël a été la première à m'appeler au sujet d'un attentat. Sur le coup, je ne pouvais y croire tellement la chose est inhabituelle ici", affirme-t-il, justifiant le fait d'avoir soutenu -comme les autorités tunisiennes- la thèse de l'accident.

"C'était surtout un jour de deuil et de condoléances. j'ai répondu à un millier d'appels de par le monde. Partout, c'était la peur-panique...", raconte-il dans sa maison de la Hara Sghira.

Chaoudi Ellia, 19 ans, se souvient surtout du bruit des hélicoptères militaires tournoyant dans le ciel de Djerba pour l'évacuation des blessés.

La jeune fille juive parlait en compagnie des apprentis orfèvres musulmans travaillant pour son père. Elle souligne "la bonne entente" entre juifs et musulmans et se réjouit de sa vie "tranquille" à Djerba. "J'ai confiance", lâche-t-elle.

Aux quartiers juifs de l'île, comme à la synagogue, le souvenir est dans toutes les têtes, mais c'est plutôt l'odeur de peinture fraîche et l'animation précédant la Pessah (Pâques juive) qui l'emportent sur l'anniversaire de l'attentat.

Ce jour là, un kamikaze tunisien, Nizar Nawar, dont la famille habite en France, avait fait exploser un camion chargé de gaz devant la synagogue.

Vingt-et-une personnes y ont trouvé la mort : 14 Allemands, deux Français dont le guide, et cinq tunisiens tous musulmans, dont un policier.

C'est l'Allemagne qui confirma la thèse de l'attentat et annonça plus tard l'arrestation à Tunis d'un complice, Belgacem Nawar, l'oncle du kamikaze.

D'autres arrestations ont suivi en France et les deux pays collaborent à l'enquête sur l'attaque renvendiquée par Al-Qaïda.

Des officiels tunisiens, allemands et français se recueilleront jeudi et vendredi sur le lieu de l'attentat où ils déposeront des gerbes de fleurs en mémoire des disparus.

Les Allemands, qui formaient le plus gros contingent des cinq millions de touristes visitant annuellement la Tunisie boudent encore Djerba, la baisse frôlant le taux de 50% en 2002.

"Djerba a tourné la page" de l'attentat du 11 avril, affirme malgré tout Perez Trabelsi, qui souhaite "faire oublier" ce sanglant épisode pour regarder l'avenir.

Entre-temps, il s'affaire avec des colis de pain azyme, ces galettes sans levure livrées de France pour la Pessah commençant le 16 avril, avant de préparer le pélèrinage annuel de la Ghriba, les 19 et 20 mai, persuadé d'accueillir plus de visiteurs qu'en 2002.

La raison de son optimisme est dans les nombreux appels et réservations de personnes souhaitant assister à ce pélerinage ou prendre des vancances à Djerba, et qui émanent de Grande Bretagne, d'Israël et de surtout de France, dit-il.

© AFP.

Par Jpc (Jpc) le jeudi 10 avril 2003 - 17h51:

BLATTA, BLATTA ET BLATTA

Ou comment definir l'attitude de la France, l'Allemagne et la Russie, qui, apres avoir tout fait pour s'opposer a la guerre de liberation de l'Irak, demandent maintenant une part du butin (en langage diplomatique, ca s'appelle la reconstruction de l'Irak).
Comment fait Chirac pour avoir le courage de regarder le monde et de pouvoir demander cela ?
Pour ceux qui ne connaissaient pas ce mot de BLATTA, je crois qu'ils ont facilement compris son sens maintenant.

Jean-Pierre

Par Charlotte (Charlotte) le jeudi 10 avril 2003 - 16h37:

les familles des assassins qui se sont fait exploser, et qui attendent toujous les 25000 $ de saddam, vont se constituer en association chargee de reclamer les sous a Bush

Par Printania (Printania) le jeudi 10 avril 2003 - 14h24:

En voyant ces scènes de « liesse populaire », ainsi que ces pillages, dans Bagdad libérée, je me prends à penser et à faire un cauchemar.
Tout d’abord, je voudrais dire à ceux qui comparent l’« occupation » des territoires par Israël, à l’Algérie colonisée, qu’ils font une grave erreur.
Au cours de la guerre d’Algérie, la France qui s’est retirée de ce pays, a perdu certes des soldats, elle a été contrainte d’absorber les Français pieds-noirs, mais jamais la survie de la France n’avait été mise en danger.
La France est toujours là.
Si Israël perd une guerre, une seule, cela en est fini d’Israël. Je crois que tout le monde est d’accord avec moi. Beaucoup d’autres l’ont dit et écrit avant moi.
Donc, quand je vois ces bandes lâchées dans une ville fantôme, quand on nous montre ces pillards emportant tout, même un bouquet de fleurs, quand on voit un quidam soulever sa djellaba et faire mine d’uriner sur le portrait de son président, je n’ose imaginer ce qu’il serait advenu de nos frères et sœurs, si d’aventure les armées arabes étaient entrées dans Tel-Aviv ou Haïfa.
Comment faire confiance à ces fonctionnaires, à ces ambassadeurs, à ces ministres ?
Quelques jours plus tôt, par leurs diatribes et leur propagande éhontée, ils défendaient leur dictateur de président, ils continuaient de promettre la lune à leurs concitoyens, ils soutenaient être prêts à mourir pour Saddam.
A présent qu’ils voient que les carottes sont cuites, ou bien ils prennent la fuite, ou bien ils ont l’impudence de nous dire devant caméra, qu’ils connaissent à peine Saddam, avec lequel ils n’avaient jamais eu de contact.
Je sais d’avance, qu’ils ne respecteront pas la signature qu’ils auront apposée sur un traité de paix avec Israël.

Par Admin (Admin) le vendredi 11 avril 2003 - 05h41: