Par Axelle (Axelle) le dimanche 27 avril 2003 - 21h11: |
La maison BENISTI, st toujours ouverte à l'angle de la rue Ramponeau et du Boulevard de Belleville, malgré la mort de Mireille. Elle est tenue désormais par mon grand ami Joseph COHEN et sa soeur Arlette.
Yves KHAROUBI, le mari d'Axelle
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 27 avril 2003 - 20h55: |
Par Emma (Emma) le dimanche 27 avril 2003 - 18h14: |
La France informait Bagdad de ses discussions avec Washington, selon un journal britannique
LONDRES (AP) - Des documents découverts à l'intérieur du ministère des Affaires étrangères irakien montrent que la France a informé régulièrement le régime de Saddam Hussein du contenu de ses rencontres avec les responsables américains, affirme dimanche un journal britannique.
Le 'Sunday Times' rapporte que ses journalistes ont trouvé des documents prouvant que Paris communiquait à Bagdad le contenu de ses rencontres privées et de ses relations diplomatiques avec les responsables américains.
Un des documents, datés du 25 septembre 2001, et adressé au palais de Saddam Hussein par le ministre des Affaires étrangères Naji Sabri, serait basé sur une discussion du ministre avec l'ambassadeur français à Bagdad et rapporterait le contenu d'un entretien entre le président français Jacques Chirac et son homologue américain George W. Bush. AP
Par Henri (Henri) le dimanche 27 avril 2003 - 10h01: |
"Ou sont ces hommes simples, sinceres et bons, ces rabbins de Tunisie ou ceux de nos ancetres pour qui tout le monde avait du respect?"
Ils ne s'empressaient pas de rapporter des accusations si accablantes sans verifier leur authenticite,surtout que ces accusations sont faite apres des elections.
Et de plus si des juifs se mettent a accuser d'autres juifs comme le font les goims,en generalisant, on finira par croire qu'Israel est un pays ou tous les religieux sont des voleurs, hommosexuels,et que toutes les femmes sont des ...
Je vous invite a venir voir de plus pres la AAVAT HINAM l'entraide, la charite,que la tres grande majorite de TOUS les juifs, sans distinction ,les tres religieux,et les moins religieux font en Israel.Beaucoups sans kipa ni barbe sont plein de mitsvots qu'ils accomplissent en cachette sans que personne ne le sache.
Ne vous laissez pas prendre et ecouter les calomnies,et surtout ne les colporter pas.
Chavoua tov
Par Printania (Printania) le dimanche 27 avril 2003 - 13h51: |
Wnes, sah'a lik la plongée sous-marine!
Ici, à Paris, c'est la plongée sub-marine, il pleut et il pleut encore.
Pour ne pas faire de publicité, je te dirais que la maison en question, est toujours ouverte à Belleville.
Si un jour d'hiver, (c'est à dire en ce moment), l'envie te prenait de manger un lablabi (pois-chiches en soupe, au cumin), je t'y convie volontiers.
Ensuite , direction la pâtisserie voisine, ancienne demeure de Régine, la reine de la nuit, pour un assortiment de friandises légèrement caloriques.
Après cela, tu pourras t'en retourner chez les Helvètes, ces pauvres bougres qui ne connaissent pas ces plaisirs culinaires.
Arrivederci amico. Sei sempre l'accoglienza!
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 27 avril 2003 - 07h34: |
L'AMOUR
la vie ne peut pas etre vécue sans femme,
la femme c'est tout dans la vie.
Docteurlove
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 27 avril 2003 - 07h27: |
Bonjour,
Je suis à la recherche de l'adresse de la Mairie de Gabès, Service de l'Etat Civil, pour faire établir des documents d'extrait de naissance et de filiation pour mes parents, né et mort à Gabès pour mon père, en 1946, née à Gabès et morte à Paris pour ma mère.
Merci de m'indiquer si vous savez comment je puis procéder en répondant à l'adresse de courrier électronique qui suit:
ertv@noos.fr
Israel Seror
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 27 avril 2003 - 06h05: |
A : Radio Canada RDI canal 19 câble Vidéotron à Montréal
Objet : émission «RDI Le journal » vers 19h10 jeudi, 24 avril 2003
Doit-on appeler un « chat » un « chat » ?
« Don’t be shy » il faut appeler un chat « un chat » dans le cas de ceux que vous appelez « activistes », moi je dirais plutôt, qu’une personne qui sciemment tue sans discrimination femmes et enfants, devrait être appelé un lâche, mais ça c’est personnel.
A RDI aux nouvelles de 19h ce jeudi, 24 avril 2003, vers 19h10 la journaliste nous dit, en parlant du prochain premier ministre désigné dans les territoires à forte densité Arabes de Judée et Samarie, que le Hamas aurait lancé un avertissement de surtout, « ne pas faire la guerre aux "activistes" » Ce matin à la radio au FM 95.1, j’ai aussi entendu Marie France Bazzo utiliser le mot « activiste » à plusieurs reprises.
Il me semblait que des gens qui semaient la terreur s’appelaient des terroristes et qu’habituellement l’on employait le mot activiste pour des gens qui s’adonnent à des activités en général plus paisibles que d’aller se faire sauter dans le but évident de faire le plus de morts possible et de semer au maximum la terreur. (Pour faire le plus de victimes et encore plus de terreur, on prend bien soin de truffer la dynamite avec un maximum de clous et de boulons)
Pour en avoir le cœur net je suis allé consulter mon dictionnaire et voici ce que j’ai trouvé.
* activiste adjectif et nom
Relatif à l'activisme ; qui en est partisan.
Le Petit Larousse Copyright © Larousse/HER, 1999 © Havas Interactive, 1999
* activisme nom masculin
1. Attitude politique qui préconise l'action directe.
2. Attitude morale qui insiste sur les nécessités de la vie et de l'action, plus que sur les principes.
Le Petit Larousse Copyright © Larousse/HER, 1999 © Havas Interactive, 1999
* terroriste adjectif et nom
1. Qui organise un acte de terrorisme, y participe.
2. Sous la Révolution française, s'est dit, après la chute de Robespierre, des acteurs de la Terreur.
Le Petit Larousse Copyright © Larousse/HER, 1999 © Havas Interactive, 1999
* terrorisme nom masculin
Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système.
Le Petit Larousse Copyright © Larousse/HER, 1999 © Havas Interactive, 1999
En anglais on dit « don’t be shy » il ne faut surtout pas céder au chantage. Pour nous attendrir et justifier leurs actes de barbaries, les terroristes se donnent une image de persécutés, perpétuent leurs statues de réfugiés et chez vous ils deviennent des « activistes ». Ce n’est pas un problème de désespoir, c’est un problème de religion. N’oubliez pas les 70 vierges « qui les attendraient » au paradis (et en plus la prime de $25.000 que donnait « tonton Saddam » à la famille de la bombe humaine). C’est au nom d’Allah que ces terroristes, terrorisent la population en ce faisant exploser parmi elle.
Mesdames, Messieurs les journalistes, utiliser les mots appropriés pour chaque situation. Quelqu'un qui organise ou participe à un massacre pour semer la terreur, par ses actes de violences veut créer un climat d’insécurité, exerce un chantage pour arriver à ses fins, enseigne la violence dans les écoles, ou pour satisfaire sa haine, prêche le massacre des Juifs, des mécréants et des infidèles dans ses lieux du culte, est, d’après Le Petit Larousse, un TERRORISTE
On n’a pas besoin d’être linguiste pour comprendre cela.
Edmond Silber
Par Wnes (Wnes) le samedi 26 avril 2003 - 23h31: |
Salut Printania,
De retour d'une plongée sous marine, je suis pâssé cette aprés midi à Juan les Pins, devant la gargote Bénisti, elle est bien fermée définitivement, et des travaux de transformation en magasin de meubles, sont en cours...
... encore un symbole qui disparait, qu'en est-il de la maison mêre à Belleville ?
Ciao Bello,
Berdah
Par Wnes (Wnes) le samedi 26 avril 2003 - 23h43: |
La Douda ( Agence de presse alternative )
Le problème ne vient pas seulement de certains cléricaux, le problème c'est le clergé en lui-même, car le vrai croyant n'a nul besoin de clergé, Il est son propre clergé.
La Douda
Par Wnes (Wnes) le samedi 26 avril 2003 - 23h53: |
La Douda ( Agence de presse alternative )
Si vous êtes victime d'un vol sous la menace, par violence, ou par astuce, ce qui arrive tous les jours, dans le monde et même en Suisse pays sécuritaire et policier s'il en est, il est impératif de porter plainte, au besoin contre X.
Cela permet au moins d'activer l'assurance vol.
La Douda
Par Axelle (Axelle) le samedi 26 avril 2003 - 14h37: |
Chère Nao,
Je crois que la crise profonde de votre clergé comme celui de toutes les autres religions, d'ailleurs, vient du fait, que les hommes ne croient plus aux valeurs morales qui nous ont été enseignées voilà, déjà, plusieurs années. Et pourquoi, cela ? parceque déjà et encore, il faudrait que ceux qui donnent des leçons de moral, commencent, eux-mêmes par les paratiquer !
Il y a aussi, à la base, toute une éducation qui ne se fait plus. On a trop laissé faire de choses.
Et puis, il n'y a plus cette sévérité d'antan. A tous les points de vue : moral, respect etc...
La religion doit être un point fondamental de repère pour nous tous, mais dans le monde dans lequel nous vivons, il n'y a déjà plus de repère, puisque ce monde est fondé sur le profit matériel au détriment de toutes autres valeurs.
Il y a qu'à voir tous ces jeunes qui ne savent plus où ils vont, qui ils sont et surtout ce qu'ils vont devenir face à un monde qui ne les écoute pas, ne les entend pas et ne leur laisse aucune chance de sortie.
Dans ce contexte, peut-être, que pour beaucoup, un doute peut s'installer sur l'existence même de Dieu. ( sans pour cela vouloir, en aucun cas blasphémer). Je me souviendrais toujours d'une phrase d'un de mes fils, un jour qui m'a dit ceci : Maman, pourquoi devrions-nous croire en Dieu puisque les hommes ne croient en rien !!
Je pense qu'il faut une très grande force de caractère pour s'en tenir à nos valeurs passées, et surtout pour pouvoir les garder. Cela va être très dur, dans le futur, vu le monde dans lequel nous vivons pour enseigner à nos enfant ces valeurs et pour faire en sorte qu'ils les comprennent, qu'ils les acceptent et en fassent leur principe de vie.
Mais, ne désespérez pas Nao, il restera toujours des irréductibles comme vous, moi, et d'autres pour se charger de ne pas les faire oublier à ceux qui voudraient nous faire croire que " sans nos lunettes, nous ne voyons rien... "
Le défi de l'époque, c'est de pratiquer sans avoir la foi. Si nous ne le relevons pas, l'époque va nous passer sur le corps. ( Régis DEBRAY) A méditer.... Très cordialement. Axelle.
Par Nao (Nao) le vendredi 25 avril 2003 - 22h25: |
Je ne serais pas etonnee de la veracite de cette histoire sur les agissements sexuels au gout douteux du grand rabbin ashkenaze d'Israel.
Certes on devrait laver notre linge sale en famille et pas sur la toile web mais ceci est un sujet qui en tant que juive m'interpelle profondement.
Il est tout a fait deplorable d'entendre des histoires pareilles et j'en suis troublee (bien que je ne me sois jamais faite de grandes illusions a leur sujet).
Car cela ampute grandement non seulement leur credibilite en temps qu'hommes de religion mais aussi la croyance et le respect que nous devrions avoir pour les autorites rabbiniques censes etre nos guides spirituels (et qui ne le sont pas du tout).
Certes cela n'est pas une generalite mais on entends trop souvent des tas d'histoires assez ecoeurantes sur les methodes non scrupuleuses du monde rabbinique;
Comme ces conversions payees non par l'etude mais par le prix fort a des rabbins orthos de Mea Shearim ou Bnai Brak par des convertis pas tres sinceres;
des religieux qui maltraitent ou ignorent leurs vieux parents ou battent leurs femmes et frequentent les prostituees;
des gens comme Arieh Dery avec une longue barbe et des tsitsit qui pendent qui sont incrimines ds des affaires de pot de vin;
Des histoires soigneusement etouffees de pedophilie ou d'homosexualite entre havrei etudiants dans les antichambres des yeshivot (car on leur rabache tellement que il ne faut pas toucher les femmes avant le mariage!-mais toucher des hommes c'est OK???!!!).
Pas de doute que le religieux est mal vu en Israel.
De tout ca, Dieu doit avoir horreur et pleurer!
Ou sont ces hommes simples, sinceres et bons, ces rabbins de Tunisie ou ceux de nos ancetres pour qui tout le monde avait du respect?
Pensez vous comme moi? D'ou vient cette crise profonde de notre "clerge"?
Shabbat Shalom
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 25 avril 2003 - 19h04: |
Music hAll Mondays
Un lundi pour changer le destin
Un nouveau rendez-vous
pour inventer le music hall d’aujourd’hui
Music hAll Mondays : un nouveau tremplin pour les jeunes talents français
S’appuyant sur son expérience de producteur de spectacles, Jacques Marouani relance et rénove un concept de spectacle aujourd’hui tombé en désuétude : le music-hall. A partir de janvier 2003, chaque lundi, au théâtre du Trianon, à Paris, Music hAll Mondaysâ donnera les moyens à de jeunes artistes de faire leurs preuves devant le public, tout en offrant à ce dernier la possibilité de donner un coup de pouce aux chanteurs, humoristes et magiciens, les plus prometteurs.
Soirée du lundi : le créneau manquant pour les parisiens
Le temps n’est plus où toute la société française vivait au même rythme et aux mêmes heures. Aujourd’hui, il existe toute une catégorie de parisiens qui se heurtent au sacro-saint principe de la fermeture du lundi. Que faire ? Que voir ? Où sortir ? Pour ceux, de plus en plus nombreux, qui travaillent le samedi et/ou le dimanche comme pour ceux qui aiment sortir tous les soirs, même le lundi, le lancement de Music hAll Mondaysâ est un événement qui va changer leur vie du lundi et peut-être même… toute leur vie.
Un lundi pour changer le destin
Chaque lundi soir, au théâtre du Trianon, il sera facile de voter pour ou contre tel ou tel artiste, il sera également possible de rencontrer les artistes et, surtout, de s’inscrire pour participer soi-même aux castings Music hAll Mondaysâ, à l’issue desquels les candidats sélectionnés pourront faire leurs premiers pas ou confirmer leur talent devant un public qui s’exprimera en toute liberté.
La parole est au public…
Loin des Stars Academy et cie, plus proche des radio-crochets d’antan, Music hAll Mondays permettra à de jeunes artistes de talent de se faire remarquer en créant leur propre public, au fur et à mesure de leurs retours sur la scène du Trianon. En effet, un système de « vote » interactif sera mis en place afin d’assurer une sélection pyramidale assurant le retour sur la même scène des artistes plébiscités par le public. Symbolisant à la fois la scène, la chanson et la prise de parole, le micro, emblème de Music hAll Mondaysâ, sera l’instrument du destin de tous ceux qui souhaitent tenter leur chance et, peut-être, devenir artiste professionnel.
… et le spectacle est à tout le monde
Soulignant la volonté de son créateur, Jacques Marouani, de renouer avec l’authenticité, la sincérité, la fraîcheur mais aussi la popularité du music hall d’autrefois, Music hAll Mondaysâ favorisera la participation de tous au spectacle en proposant un tarif unique, accessible à toutes les bourses : 10 euros le billet. Un système d’abonnement – 40 euros pour 5 lundis – sera également mis en place afin de favoriser la constitution d’un public d’habitués, attachés à leur soirée du lundi avec Music hAll Mondaysâ.
Né en 1958 et appartenant à la troisième génération d’une famille à qui l’on doit l’invention en France du métier d’agent artistique, Jacques Marouani a été le producteur de Hair, au théâtre Mogador, en 1997, à Paris. Après le succès rencontré par cette nouvelle adaptation de la célèbre comédie musicale, il a décidé de se consacrer à la promotion du music hall pour favoriser l’émergence d’une nouvelle génération d’artistes français et européens.
Music hAll Mondays
Un lundi pour changer le destin
Un Lundi par mois à partir de 20h30
Théâtre du Trianon – 80 bd Rochechouart - 75018 Paris.
Contact Presse
Jacques Marouani
06 60 25 29 34.
jacques.marouani1@libertysurf.fr