Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 06 mai 2003 - 18h27:

JOYEUX ANNIVERSAIRE ISRAEL

55 ans quel bel age mon amour !
Pour toi , le pays se pare de ses plus beaux atours
nos yeux encore humides des larmes que nous avons versees ,
se tournent vers l avenir sans jamais oublier le passe .
Partout des chants , des dances , des feux d artifices
sont en ton honneur , a la hauteur du sacrifice.
Tu es ce soir la plus belle , et meme si tu es encore et toujours menacee
tes fils et tes filles veillent , et sont la pour te proteger
souviens toi , lorsque tu es nee enfant roi
renaissant des cendres et du froid , personne ne donnait cher de toi .
pourtant , ton desert a fleuri , tes villes partout ont jailli,
dans tous les domaines , tu demontres au monde jaloux et ebahi
que tu es une force , une reussite , un enorme pied de nez
a tout ceux qui croyaient te noyer le jour meme ou tu es nee .
Alors chante , danse , ris , et vis car chaque annee
c est ce merveilleux miracle qui est fete .
Terre sainte , terre benie , terre promise
imbibee du sang de tes filles et de tes fils
si tu as un seul desir , un seul voeu a faire
c est la paix que tu souhaites le plus sur cette terre .
ce soir , en allumant les bougies sur ton gateau
on espere tous , qu un ange t offrira comme cadeau
la joie , la serenite , la reussite dans tout ce que tu entreprends
l entente entre tous tes habitants , et tous comme un seul homme
nous te souhaitons ... PEACE , PAIX , SALAM , CHALOM .

Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 06 mai 2003 - 18h23:

je crois rever ou plutot faire un cauchemard que signifie ce dernier message de mailroom qui n a meme pas l honnetete de signer . Comment peut on ecrire autant de faits inexacts et en plus les dater si c est vraiment un article de l Agence de Presse il faut alors reagir et ne pas laisser ecrire de telles anneries .
JERUSALEM (AP) - Israël a donné lundi soir le coup d'envoi des célébrations de la journée annuelle du souvenir consacrée aux victimes de 143 années de conflits opposant les peuples juif et arabe depuis le début de la colonisation
d'Israël
Permettez moi de douter de vos sources moi je crois plutot a une pierre dans la mare de votre part un acte de lachete apres tout peut etre que personne ne reagira ...
C est mal nous connaitre la prochaine fois que vous voudrez donner votre avis ou envoyer un article ayez l honnetete minimale de le signer et surtout verifiez vos sources ...

Par Mailroom (Mailroom) le mardi 06 mai 2003 - 17h25:

Début de la journée du souvenir en Israël

JERUSALEM (AP) - Israël a donné lundi soir le coup d'envoi des célébrations de la journée annuelle du souvenir consacrée aux victimes de 143 années de conflits opposant les peuples juif et arabe depuis le début de la colonisation d'Israël.

Tandis que les sirènes retentissaient à Jérusalem pour signaler le début d'une minute de silence, la circulation s'est interrompue et la population s'est recueillie, rendant hommage aux quelque 21.540 personnes tuées depuis 1860, date à laquelle les Juifs ont commencé à s'installer en bordure de la Vieille Ville de Jérusalem.

L'Etat d'Israël n'a été officiellement crée qu'en 1948.

"Le prix que nous avons payé pour être un peuple libre sur notre propre terre est lourd", a déclaré le président israélien Moshe Katsav lors d'une cérémonie organisée à Jérusalem.

Mardi matin, les sirènes doivent à nouveau retentir pour deux minutes de silence, marquant le début des cérémonies officielles dans les cimetières militaires du pays.

A la tombée de la nuit, une cérémonie organisée sur le cimetière du Mont Herzl, à Jérusalem, signalera le passage de la journée du souvenir à la journée de l'indépendance célébrant le 55e anniversaire de la création d'Israël. AP

Par Odigo (Odigo) le mardi 06 mai 2003 - 13h40:

ATTENTION

>Pendant les prochaines semaines soyez vigilant faites attention a ne pas
ouvrir **La Bible Des Moines** indépendamment de qui vous l'a envoyé
>S.V.P. FAIRE SUIVRE À TOUTE VOTRE FAMILLE ET AMIS. (.....S.V.P SOYEZ TRÈS
PRUDENT...... GROOOSS PROBLÈME !!!!
>NE PAS OUVRIR ''Bible des moines'' C'est un virus qui peut effacer tout ce
que contient votre disque dur ''C''. Il arrivera à vous comme un e-mail
provenant d'une personne familière.
>Envoyez ce e-mail à tous les contacts de votre carnet d'adresses.
>Je préfère recevoir 25 fois ce message que ne pas le recevoir du tout. Si
vous recevez ce e-mail nommé ''Les Moines.Com'' ne l'ouvrez pas. Effacez-le
immédiatement! Ce virus supprime toute la librairie dynamique (.dll files)
de votre ordinateur. S.V.P FAIRE SUIVRE CE MESSAGE.

Par Lalla (Lalla) le mardi 06 mai 2003 - 12h19:

Ah!Breitou,vous revoila!quel bonheur...

Par Emma (Emma) le mardi 06 mai 2003 - 07h55:

Selon une dépêche Aroutz 7, Tsahal a mis au jour à Rafiah dans la nuit de vendredi un tunnel servant à faire passer des armes. Le tunnel avait été creusé à une profondeur de 14 mètres. Des centaines de Palestiniens, dont de nombreux enfants, ont tenté d’empêcher les soldats de détruire le tunnel, en jetant des pierres et des bouteilles incendiaires. Pendant l’opération, le photographe anglais, James Miller, qui avait pénétré dans la zone d’échange de tirs, a été tué. Les premiers rapports ont fait état qu’il aurait été atteint par les tirs d’un tank israélien, alors qu’il s’était approché de l’engin blindé en brandissant un drapeau blanc.

Mais le film projeté samedi soir sur sur la première chaîne de télévision et qui a été pris lors de l’événement montre d’une façon claire qu’il a été touché dans le dos.

Une enquête diligentée par les Britanniques est ouverte. Or, sans même attendre son résultat, les Palestiniens ont fait aujourd’hui un simulacre d’enterrement, avec force défilés et bannières anglaises. Pour eux, c’est clair : le journaliste a été assassiné par les soldats israéliens !
Une façon d’exacerber un courant antisémite croissant en Grande Bretagne ?

Il y a un mois les mêmes défilaient contre la guerre en Irak aux cris de “Mort à l’Amérique, mort à l’Angleterre” en brûlant leurs drapeaux...

Avant de relayer unilatéralement et précipitamment un prise de position tranchée sur foi des “sources palestiniennes”, les médias internationaux, RSF et les ONG ont une obligation de réserve. Elle consiste à informer de la mort du journaliste tout en s’abstenant de désigner le coupable supposé sans preuves. Dans l’attente des résultats de l’autopsie et de l’enquête en cours, la déontologie exige l’utilisation du conditionnel d’usage quant aux circonstances. Sinon, ce n’est plus de l’information et cela devient de la propagande.

Par ailleurs, pour une vision équitable de la situation, il serait indispensable de considérer également les déclarations d’un porte-parole de Tsahal au Jerusalem Post, selon lesquelles “il est vraisemblable que James Miller, journaliste britannique, ait été mortellement blessé par des tirs palestiniens qui se trouvaient derrière lui.”

A suivre. Attentivement.

Albert Capino

Par Axelle (Axelle) le mardi 06 mai 2003 - 02h08:

Mr Albert,

Tout d'abord, je suis très heureuse de vous retrouver sur le forum d'Harissa Mr Albert, vous m'avez manqué !

Mme SEBAG et Mr Albert,

Pour en revenir aux propos de Mr Roger HANIN lors de l'emission 7 à 8, je voudrais dire ceci :

Comment le peuple juif peut-il pardonner la SHOA!
C'est impensable et inadmissible de tenir de tels propos ! Cela voudrait dire tout simplement, on efface tout et on recommence... Donc, toutes ces victimes de la barbarie nazie sont mortes pour rien ! Cela fait partie de l'histoire.... Je crois rêver !

J'ai vu beaucoup de films, de documentaires et lu énormément de livres sur toutes ces atrocités perpétrées contre le peuple juifs et je peux vous dire que bien des larmes ont coulées de mes yeux en voyant certaines images toutes aussi horribles les unes que les autres.

Et, que dire lorsque l'immonde personnage qu'a été Klaus Barbie et qui sous son commandement le 6 Avril 1944 à Izieu, 44 enfants de 4 à 15 ans furent arrêtés et envoyés dans les camps d'extermination et n'en sont jamais revenus !
Faut-il l'oublier ?

Mr Hanin a peut-être oublié les camps de :
AUSCHWITZ - RAVENBRUCK - BUCHENWALD - DACHAU -
et bien d'autres encore ! Et le devoir de mémoire, qu'en fait-il ?

On ne peut et on ne doit pas pardonner de telles atrocités, c'est un peu trop facile de dire cela.
Par contre, il ne faudra JAMAIS oublier toutes ces horreurs qui ont été commises contre le peuple juif. Et faire, tout, pour que cela ne se reproduise PLUS JAMAIS.

Et le peuple juif EST LE PEUPLE ELU. Et, sans vouloir faire un mauvais jeu de mot, il a bien mérité, de par le fait de tout ce qu'il a subi, le titre de peuple élu de Dieu !

Heureusement, aujourd'hui, existe ISRAEL. Et que Dieu le protège et le bénisse. Ce peuple a enfin trouvé sa terre promise. Et je terminerais en disant ceci : j'imagine une très belle image :
Toutes les victimes de la Shoa, regardant du ciel, Cette terre sainte d'Israël en se disant, nous sommes morts, mais notre peuple a survécu. ISRAEL en est la preuve vivante. Alors, nous ne sommes peut-être pas morts pour rien...

Oui, Monsieur Hanin, personne ne peut pardonner une action qui a été préméditée, planifiée et exécutée contre tout un peuple parcequ'il était juif ! Pardonner voudrait dire oublier. Alors, moi, je vous dis NON !!

Toute ma tendresse à vous tous et toutes.

Axelle.

Par Davideden (Davideden) le lundi 05 mai 2003 - 23h58:

Michka,

Le fait que dans la culture Tunisienne la plus grande insulte est "Juif" ou alors "ta mere est Juive".

Ce sont des generations apres generations auxquels la haine du Juif a ete enseigne avant d'aprendre aux enfants a lire et a ecrire.

Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 21h34:

Roger Hanin a perdu les pédales...
'....Ah cette vieillesse qui nous rend séniles...'
De Hanine ( affectueux) il est devenu AMER...bon qu'on lui pardonne au moins rien dut tout..

Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 21h29:

BON ANNIVERSAIRE ISRAEL....MARA 1200 YAM...
ABRAHAM

Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 20h37:

POUR NOTRE DIGNITE

ET POUR LA VOTRE


Cette devise figure dans un des appels au combat des insurgés du ghetto de Varsovie.



Article écrit par : David DOUVETTE (HISTORIEN)



Le sens historique

d'un engagement total

Contrairement à une idée encore trop fortement ancrée dans la conscience collective mondiale et dans la conscience collective Juive, elle aussi, les juifs ne se sont pas laissés extermi­ner comme des moutons à l'abattoir. La vérité historique fut bien différen­te de cette antienne entêtante et entê­tée.

Les Juifs, bien au contraire, se sont pleinement engagés dans les combats contre le fascisme et contre le nazis­me.

D’abord, dans leur pays d'origine où sévissaient, comme en Pologne, en Roumanie et en Hongrie, des régimes xénophobes et antisémites. Ils se sont engagés en masse (25% de la totalité des volontaires des Brigades internationales) pour porter secours à la République espagnole,

quand la Pologne fut envahie, ils se sont battu au sein de l'armée en dépit

de leurs rapports exécrables avec les autorités et une grande partie de la population.

De même, les juifs immigrés se sont engagés et ont combattu en France et en Belgique ainsi que dans la 1 ère Ar­mée polonaise, constituée en France.

Nombre de juifs français ont rejoint la France Libre.

Quand l'Union soviétique fut à son tour envahie, ils furent plus de 700.000 à combattre dans l'armée ré­gulière, dans les rangs des unités de partisans et dans les maquis.

Quand les alliés attaquèrent sur tous les fronts, ils furent plus de 200.000, venus des U.S.A., de Grande Bre­tagne, d'Australie, d'Amérique latine et même, de ce que l'on appelait alors, la Palestine.

Ils furent des milliers à se battre dans les conditions les plus extrêmes et les plus impossibles dans les ghettos et dans les camps de concentration et d’extermination.

Dans les pays occupés, ils ont dû me­ner le double combat contre l'occu­pant et contre les collaborateurs. En Pologne, Biélorussie, Lituanie, Esto­nie, Lettonie, Yougoslavie, Roumanie et en Hongrie ce fut bien pire encore: les juifs qui échappaient aux nazis fu­rent tout aussi sauvagement assassinés par les ultra-nationalistes locaux dont l’antisémitisme assassin rivalisait en férocité et cruauté. En dépit de toutes ces conditions plus épouvantables les unes que les autres, en dépit de l'effroyable et implacable processus du génocide qui anéantissait des millions d' hommes, de femmes et d'enfants, les juifs se sont battus non seulement pour mourir dans la dignité, non seulement pour leur survie, mais aussi pour la liberté des peuples asservis d'Europe.

Quelque fut leur engagement politique, qu’ils fussent de droite ou de gauche, sionistes ou non, quelles que furent leurs espérances, un Etat juif pour les uns, le socialisme pour les autres, ou simplement le retour à la démocratie républicaine pour d'autres encore, ils se sont battus. Il fut bien difficile parfois d'unir toutes ces forces éparses.

Cela s'avéra quelques fois impossible.

Le bilan de la participation des juifs aux différents combats pour la Liberté et la Démocratie fut-des plus éloquent. Sur une population (juive) mondiale de 13.000.000 d'âmes, plus de 1.200.000 d'entre eux, hommes, femmes et adolescents ont combattu dans les Résistances intellectuelle. spirituelle, de la presse clandestine. aux sauvetages d'adultes et d'enfants et dans les luttes armées, légales ou clandestines.



David DOUVETTE

Receuillit par l 'agence BREITOUNA AND CO

Par Mena (Mena) le lundi 05 mai 2003 - 20h13:

Ouvrez la fenêtre ! (info # 010505/3 [analyse])

Par Albert Capino © Metula News Agency



Le jour de l’investiture de Mahmoud Abbas a été marqué par un assassinat-collectif-suicide perpétré par des terroristes arabes à Tel-Aviv. Les médias français, pour leur part, n’ont eu d’yeux que pour la "riposte" israélienne et son "cortège de victimes palestiniennes", suivant la formule banalisée, ne manquant pas de préciser que "les ultras de chaque bord tentent de décrédibiliser l’autre partie, de montrer qu’elle ne recherche pas la paix."



Même si la publication de ces poncifs de la désinformation n’ont, en l’occurrence, qu’un rapport très incertain avec la réalité : Les opposants palestiniens d’Abbas ne cherchant pas à "montrer que les Israéliens ne poursuivent pas la paix" mais s’employant à affirmer verbalement et par des assassinats de civils, que la paix ne les intéresse pas et qu’ils ne cesseront leurs crimes "qu’après la libération des territoires occupés par Israël en 1948", autrement dit, après l’éradication de l’Etat d’Israël.



Côté israélien, les ultras sont surtout opposés au principe même de la création d’un Etat palestinien, prévu par la Road Map, ainsi sont-ils plutôt gênés, au contraire, par le fait que Mahmoud Abbas fût un interlocuteur valable, notamment aux yeux du Premier Ministre conservateur Ariel Sharon.



Or, si on se borne à envisager les faits tels qu’ils sont, on peut en conclure qu’une nouvelle fenêtre de compromis s’offre aux peuples du Moyen Orient. Un compromis qui entraînerait naturellement des concessions des deux côtés et qui s’annoncent douloureuses.



Bien sûr aussi que nul n’est parfait et Abou Mazen , pour reprendre son nom de guerre, n’est certainement pas un saint. Ainsi a-t-il écrit des textes négationnistes, à Moscou en 1983 et encore, existe-t-il plus que des soupçons, démontrant qu’il a participé au financement de l’assassinat des athlètes israéliens à Munich en 1972.



Reste qu’il apparaît aujourd’hui comme un interlocuteur valable, quelqu’un par lequel un dialogue responsable peut véritablement s’établir.



Il ne s’agit pas d’occulter son passé engagé, révolutionnaire, négationniste, voire terroriste mais de considérer que sa compréhension stratégique a évolué. Sa compréhension, basée sur le concept des "deux Etats pour deux peuples", qui bat en brèche celle, ringarde et nihiliste, de Yasser Arafat scotché sur sa vision de la Palestine de la rivière à la mer, qui l’exclut, déjà théoriquement, de la recherche honnête d’une solution pacifique au conflit.



Arafat, qui vient de donner une nouvelle preuve de son opposition à une solution négociée, en faisant annuler la présentation conjointe du plan de paix du Professeur Sari Nusseibah et du général israélien à la retraite, Ami Ayalon. Cette présentation était prévue cet après-midi et elle vient donc d’être annulée.



C’est à la capacité d’un homme politique d’agencer sa volonté au nom d’une cause supérieure, de négocier un traité de paix en faisant abstraction de ses phobies, que l’on peut juger de sa stature et de sa qualité.



Et l’heure n’est pas aux règlements de compte mais, pour les politiciens responsables, à donner une chance à la nouvelle fenêtre de paix qui s’entrouvre. La gauche israélienne, en pleine débandade après la démission, hier, du secrétaire du parti travailliste Amrmam Mitzna, rejoindra le gouvernement Sharon aussitôt que ses composantes annexionnistes de droite – opposées par principe à la Road Map qui conduit à la création d’un Etat palestinien – l’auront abandonné.



Dans les semaines qui s’annoncent, le pire ennemi ne sera pas forcément pas celui d’en face, mais les forces de l’intérieur qui tenteront, de part et d’autre, de faire capoter les négociations par intérêt, par dogmatisme, par nationalisme effréné, par l’interprétation radicale de préceptes religieux, soit encore par soif de puissance. C’est cet état de paradoxe qui devrait rapprocher les deux anciens guerriers, que sont Abou-Mazen et Ariel Sharon, qui ont d’ores et déjà accepté de regarder vers l’avenir, de se serrer la main et d’entrevoir ensemble – ils se sont déjà souvent rencontrés – les conditions du chemin qui peut mener à la paix.



Sharon est aujourd’hui le seul homme politique en Israël à pouvoir regrouper autour de lui le centre droit et le centre gauche – qui représentent plus de 80% des Israéliens – afin de constituer une base politique suffisamment solide et homogène pour faire, le cas échéant, les concessions nécessaires à la paix.



Et si Abbas, de son côté, parvient à éviter les nombreux pièges que lui concocte Arafat, et notamment, s’il trouve la force de désarmer les organisations terroristes armées opposées au principe même de la paix et aussi, à la prévalence d’une force de sécurité unique dans l’Autonomie Palestinienne ; si Abbas parvient à persuader son peuple de choisir le compromis et la vie, plutôt que le fanatisme et le sabordage, il se pourrait bien que les peuples israéliens et palestiniens conjurent enfin la malédiction qui pèse sur leurs existences.



C’est qu’il faut considérer la fameuse feuille de route comme un récipient, un espace protégé capable de cuirasser les fragiles radicelles de la paix. Mais la paix ne s’instaurera vraiment, que lorsque chacun des deux peuples aura accepté de vivre dans la proximité de l’autre, en respectant tant ses différences que son privilège à s’autodéterminer. L’ouverture de la partition de la Road Map se joue en quartet, mais le Finale de la paix ne s’interprètera qu’en duo.

Par Albert (Albert) le lundi 05 mai 2003 - 20h03:

Par Mailroom (Mailroom) le lundi 05 mai 2003 - 18h43:

Bon jour,

I am travelling to Tunis at the end of May. Can you tell
me if the Grand Synagogue is open to visitors or if I will need
to make arrangements prior to my intended visit?

Sincerely,
Donald Szumowski
Washington, DC
USA.