Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 14 mai 2003 - 02h55: |
LA DIFFERENCE ENTRE LES SEFARADES ET LES ASHKENAZES.
L’auteur de « réveillez-vous séfarade » a complètement raison.
Oui cette personne a raison car nos parents et ancêtres séfarades ne faisaient pas de la religion un commerce.
Nos rabbins connus et moins connus, travaillaient pour la plupart d’entre eux, bénévolement, ils avaient un commerce ou un autre métier pour gagner leur vie.
Les Mohalims, (circonciseurs) les Haverims, (travail mortuaire), les Cohanims, (rachats des premiers nés) ; eux aussi pour la plupart d’entre eux travaillaient bénévolement. C’était un travail LECHEM CHAMAIM ( pour la bonne action) .
Malheureusement les séfarades en quittant leurs pays natals, et en fréquentant les ashkénazes, ont appris leurs mauvaises manières.
Chez les ashkénazes toutes les mitsvoth cites plus haut sont payantes.
Les mitsvoths que les ashkénazes accomplissent se font en majorité sous forme d’études, en plus ils se font payer pour étudier dans les yeshivots.
Nos parents disaient que le monde tenait sur trois piliers : 1/ THORA 2/ AVODA 3/ GUEMILOUT HASSADIM.,(1/l’etude de la Thora 2/ le travail 3/ l’entraide mutuelle.
Mais les ashkénazes grands fondateurs des yeshivots ont presque abolis les deux autres piliers de nos ancêtres, ils ont remplis les yeshivots d’etudiants de treize a soixante dix sept ans, qui étudient quelques heures par jour moyennant un salaire mensuel honorable.
Ainsi les ashkénazes on créer un système a fabriquer des « Travailleurs de la Thora » ainsi les deux premiers piliers sont devenus un.
Ce système a ainsi créer des fainéants qui travaillent a étudier et qui vivent en assistanat permanent sur le dos de la société, des communautés, des dons et du gouvernement israélien sur qui elles fonts pression avec un marchandage ignoble lors d’élections. ( pour les coalitions)
Les ashkénazes interprètent a leurs manière le deuxième pilier cité plus haut, le mot AVODA devient avodat-Hachem (travail de Dieu), alors que nos parents parlaient de travail quotidien pour gagner son pain.
Les ashkénazes contrairement a nos coutumes ont créer la concurrence dans la religion, ils se sont fait sectaires, Les loubavitchs, les satmers, les nitoures-carta etc. etc…
Bien entendu ils font du prosélytisme vis a vis de nos séfarades qui les suivent aveuglement, ceux qui les suivent ont peut être des complexes d’infériorités vis a vis de leurs « sefaradisme », ce qui serait un comble, car les valeurs de nos parents sont plus pures et plus justes que celles des ashkénazes. ( je parle sur le plan sacerdotal et clérical)
Les séfarades ne font pas de prosélytisme contrairement aux ashkénazes, et c’est pour cette raison que les ashkénazes ne nous suivent pas.
Quand je vois des séfarades avec des longs mentaux hassidique, des SHTAIMELS (chapeaux a revers de fourrures) ou des chapeaux en feutre a grand revers a la manière de l’Europe de l’Est du 18eme siècle je me demande si des ashkénazes auraient adoptes les djellabas de nos rabbins, si nos rabbins actuels les portaient encore.
Victor Cohen.
Par Wnes (Wnes) le mercredi 14 mai 2003 - 00h04: |
Yael, Bonsoir,
Savez vous ce que signifie les mots dogme, et dogmatisme, soyez aimable de les expliquer,
merci par avance.
Quand aux conversions de peuples entiers au Judaïsme, comment l'expliquez vous, si la foi n'a pas été propagée, et par quel miracle ? Peut-on vraiment propager une foi sans le moindre prosélitisme ?
Bien à vous,
La Douda
Par Victoria (Victoria) le mercredi 14 mai 2003 - 00h21: |
Si on ne devait retenir qu'un article sur la France actuelle ce serait assurément celui-là écrit par le génial Dantec :
Comme en 40 !
Un papier de Maurice G. Dantec
publié dans Cancer! en mars 2003
Il existe dans la vie de petits moments de bonheur indicibles, qui peuvent racheter tous les exils, toutes les hontes, tous les ratages, comme toutes les réussites. Voir Chirac, il y a environ une semaine, droit comme un piquet, ânonner quelques vertueuses explications de texte au sujet de la "vieille Europe", expression balancée la veille dans les gencives de toute la politicaillerie franchouillarde par un Rumsfeld astronomiquement hautain, fut pour moi une expérience qui confinait au ravissement mystique. Revoir cette grande connasse quelques jours plus tard tenter une nouvelle fois de sauver les plumes de l'Indéfectible-Ami-De-La-France-Et-De-La-Cause-Du-Monde-Arabe, me fit me demander, entre deux crises fou rire, si cette nation qui, un jour, donna à l'Europe un Charlemagne, serait désormais en mesure de lui fournir autre chose que des Julien Dray ou des Sarkozy. Mais ce soir, après deux minutes passées devant mon écran de télévision, la perspective d'une France définitivement CONDAMNÉE par elle-même à n'être bientôt qu'un souvenir décoratif sur les étagères de la (post)-Histoire s'est imposée, sans rémission possible, et le vent glacial du désespoir a bien failli m'emporter. Mais désormais plus aucun désespoir ne peut m'atteindre, je suis au-delà de cette zone-limite: Maintenant, je n'attends plus que l'Heure du Jugement.
Pour lire la suite :
http://www.revue-politique.com/index1.htm
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 13 mai 2003 - 19h29: |
bonjour
je suis navrée de vous dire que dans la rubrique "écoles"
vous avez omis de mentionner l'école de ma maman
madame Katia Bellahsen soeur du très célébre Fabien Bellahsen.
c'est l'école de la rue Hoche
SIPION L'AFRICAIN
merci de l'indiquer et bravo pour votre travail
Sarah Ankri
Par Albert (Albert) le mardi 13 mai 2003 - 19h13: |
MON KIF
C 'est quand je me rends compte que nous avons un artiste ici, que je nomme ANONYME..
MERCI...VA PRENDRE TON OSCAR AU THEATRE..
MERCIII
Par Anonyme (Anonyme) le mardi 13 mai 2003 - 19h06: |
Par Mexico (Mexico) le mardi 13 mai 2003 - 18h54: |
Cher Omega,
Ce que vous dites est relatif. Qui a dit que la passion de certains hommes pour les femmes etait une faiblesse?
Yael
Par Omega (Omega) le mardi 13 mai 2003 - 18h04: |
Chere Mexico,
Je ne suis pas du tout d'accord avec votre definition de "LEADERS".
Autrement comment expliqueriez vous des hommes comme LE ROI SALOMON ou BILL CLINTON ou JOHN KENNEDY qui n'ont jamais pu dominer leurs passions pour la gent feminine.
OMEGA
Par Emma (Emma) le mardi 13 mai 2003 - 17h39: |
Je suis Juif !
Par Arik Walker
J'écris aujourd'hui parce que je suis Juif.
Un Juif apparemment ordinaire dans un état ordinaire de droit en Occident.
Un Juif qui s'interroge et s'inquiète moins pour lui que pour ses proches, ses parents, ses amis, les enfants de ses amis, les parents de ses amis, et aussi pour lui, un peu, quand même.
Je suis Français!
Quand j'étais plus jeune, disons adolescent et jeune adulte, je croyais qu'être Français c'était quelque chose. Quelque chose qui vous porte en vous, quelque chose qui vous émeut quand vous entendez la Marseillaise ou regardez le drapeau. Un sentiment de fierté patriotique d'appartenir à la patrie de Rousseau, de Voltaire, des révolutionnaires de 1789, autant que du de Gaulle de Londres ou de la patrie de Jean Moulin. La grandeur de la France, la France, pays phare du monde, mère des démocraties ou peu s'en faut.
Moi, le petit garçon ou jeune homme juif de province, je ne me suis jamais réellement inquiété de l'antisémitisme qu'on appelle avec plus de justesse aujourd'hui la judéo phobie.
Français, je me le suis senti toute ma vie. Mon service militaire, je l'ai fait dans l'armée de l'air française. Ma langue maternelle, le français. Mes auteurs de référence, Hugo, Sartre, Ronsard, Giono, Balzac.
Français de confession juive, comme français de confession protestante, catholique ou musulmane (il y en avait peu quand j'allais à l'école primaire), mais français éduqué à l'école laïque de la République.
Mes grands-parents maternels avaient quitté leur shtetl de Biélorussie et les pogroms et se sont installés à Paris. "Heureux comme D.ieu en France" dit le proverbe yiddish.
En dépit de l'affaire Dreyfus, que pouvait-il arriver aux juifs de France et aux juifs français. Zola avait redonné un sens de l'honneur à notre patrie. C'était les années folles d'après 1918.
Mes grands-parents paternels étaient alsaciens, vivants dans la vallée du Rhin depuis des temps séculiers. Tour à tour français puis allemands après 1870 et enfin français en 1918, ils ont toujours portés leur patriotisme et leur allégeance à la France. Je revois encore la photo de ma grand-mère, âgée de 18 ans lors de l'armistice de 1918 habillée en costume folklorique alsacien frappé de la cocarde tricolore sur sa coiffe.
Et puis vint le temps où le proverbe yiddish se défaussa.
Mes grands-parents maternels prirent des trains pour Auschwitz et Maïdanek après avoir été déchus de leur nationalité française; devenu apatride mon grand-père ne pu combattre dans l'armée française que dans la Légion Etrangère. La famille paternelle vécu l'évacuation de l'Alsace, puis l'exode au gré de l'avancée des allemands flanquée de l'étoile jaune.
Mais tout cela c'est du passé. Hormis le garder dans la mémoire familiale je ne vais pas emmerder le monde et surtout servir de miroir aux anciens collabos de Vichy. Alors on se tait, on ne renie pas. Je suis comme beaucoup, un juif traditionaliste, c'est-à-dire ne portant pas de signe distinctif, vivant mon judaïsme comme d'autres leur christianisme, c'est-à-dire dans le domaine privé, donc intégré à la République.
Puis vinrent les attentats de la rue des Rosiers et la montée de l'extrême droite qui a ravivé moult souvenirs douloureux. Des prises de consciences se sont faites jour. J'avais 20 ans.
J'ai continué à me sentir juif en France comme D.ieu en France.
Au gré de l'évolution de la société, des prises de positions des politiques en matière de relations internationales, c'est-à-dire depuis 1967, de plus en plus anti-sionistes, j'ai découvert que d'en être français, je n'en avais pas moins un attachement cultuel et tripale à Israël. Mais pourquoi serais-je allé vivre là-bas alors que je ne parle même pas l'hébreu. A peine suis-je capable de lire les prières.
Beaucoup de mes amis sont "montés" en Israël, ont fait leur alya. Des membres de ma famille sont israéliens, comme d'autres péruviens ou américains.
Moi je suis français, vivant en France, travaillant en France. Je n'ai que ce seul passeport. Après tout je ne suis pas le seul.
Ayant reçu une éducation humaniste d'une part, et une éducation de la chose politique d'autre part, afin de pouvoir comprendre, ou de savoir comment chercher à comprendre sans tout prendre pour pain béni, j'ai commencé à apprendre, à découvrir pour pouvoir me forger mes propres opinions. N'est-ce pas là le plus beau cadeau que des enfants puissent recevoir de leurs parents?
Tout cela, c'est possible aussi parce que je vis dans un état de droit qui me respecte dans mon intégralité grâce à une Constitution, du moins l'ai-je cru jusqu'il y a peu.
Je suis juif!
Comme ce mot est doux: Yehoudi; il porte la province de Judée, siège de Jérusalem. Il tire son étymologie du 4e fils de Léa: Judas (Yehouda), "le célébrant", celui qui célèbre D.ieu.
C'est une chance que d'être juif. Si je devais me réincarner avec le choix de ma religion, je choisirai celle-là, la religion de la liberté et des livres, du Talmud, de l'étude et de l'exégèse, la religion de la vie en dépit des horreurs que les juifs ont subi depuis des siècles et que nous craignons de vivre encore en ce début de XXI eme siècle, (le 58 eme dans le calendrier hébraïque).
J'ai découvert que la France est ma mère patrie comme Israël est mon père patrie.
La mère donne la vie, apprend à parler, à marcher; le père enseigne, transmet le savoir et la mémoire dans le symbole. Peut-être vais-je couper bientôt le cordon ombilical.
Je suis juif!
Depuis 2 ans et demi, pas un jour où cela ne m'est rappelé par les médias, pas un jour où j'ai le sentiment que la mère patrie m'abandonne, pas un jour où je ne me rapproche plus du père patrie.
Je suis Juif et en tant que tel, j'ai perdu des amis parce que le Juif, aujourd'hui, il tue les enfants palestiniens comme autrefois les enfants chrétiens à la veille de Pâques!
Je suis juif!
Et on a de cesse de me dire à la radio, à la télé, dans une grande partie de la presse écrite, dans les rues du monde à commencer par les rues de Paris qu'on ne veut plus des juifs! D'ailleurs il suffit d'aller aux manifestations, dans les partis politiques, dans les universités, dans les cours de récréation des écoles.
Oh, les hommes sont pervers et aujourd'hui ils hésitent à crier "mort aux juifs"; ils crient "mort à Sharon", "Israël assassin", "nous sommes tous des palestiniens", et j'en passe.
Ces juifs qui emmerdent le monde avec leur Shoah et avec leur "Israël parenthèse de l'Histoire" pour ne citer que l'actuel président français! Que n'y sont-ils pas tous restés, tout eut été plus simple. Ces juifs maintenant avec leur Israël qui emmerdent ces palestiniens, ces juifs à nouveau bouc émissaires des maux du monde.
Cela ne cessera jamais tant qu'il y aura des juifs, et il pourtant le monde devra se faire à l'idée qu'il y aura toujours des juifs.
Combien sommes-nous? Une petite quinzaine de millions, à peine 0.25% de la population mondiale et on ne parle que de nous et on a de cesse de nous voir disparaître!
La France ne veut plus de ses Juifs, c'est clair, pas plus que les autres nations de la Terre - Durban l'a démontré - et même sur leurs 20.000 km2 de désert qu'ils ont osé faire fleurir et au sous-sol aussi aride qu'une outre vide, ils dérangent, ils gênent!
Nous devenons, jour après jour, des citoyens de seconde zone. Les silences politiques, les sondages sur les agressions à caractère raciste le démontre. Déjà quasiment plus personne ne s'offusque. Si les juifs sont battus, c'est de leur faute!
Nous pourrions nous installer sur la Lune, mais elle n'est pas encore prête à nous recevoir et l'avancée spatiale ne nous permet pas de nous exiler vers une autre planète loin de la Terre. Et encore nous laisseraient-on alors? J'en doute!
Je suis Juif!
Je suis Juif et le monde veut nous empêcher de vivre, de respirer, d'exister, d'être.
Mais nous sommes, et nous ne disparaîtrons pas; du moins pas sans nous soulever jusqu'au dernier comme dans le ghetto de Varsovie, qu'on se le dise.
Je suis chez moi sur cette Terre et j'y ai les mêmes droits que les autres 6 milliards d'êtres humains ou prétendus tels qui y sont également et qui partagent l'air qu'ils respirent avec moi
En tant qu'humain, j'ai le droit de décider où je veux vivre, mais on ne peut me dénier le droit de vivre à un endroit ou de vivre tout court parce que je suis juif.
Je suis Juif et chaque jour qui passe m'éloigne de la Marseillaise, porteuse de liberté et de Révolution pour me rapprocher de la Hatikva, chant de l'espérance.
Je suis juif et n'en suis pas moins homme. Et l'homme se dirige vers là où il a un espoir de vivre, toujours! Il va vers là où se trouvent les valeurs de dignité et de conscience qui démocratiquement lui permettront de vivre, d'entreprendre, de s'épanouir, d'aimer.
Le temps des juifs en France est-il venu comme en 1394 quand ils furent chassés du royaume du très catholique Philippe le Bel?
Chaque jour qui passe nous inquiète un peu plus.
Être prêt à partir; quitter le cher pays de son enfance. "Douce France, cher pays de mon enfance, chargé de tant d'insouciance, tu es si cher à mon coeur...."
Mais non plus pour émigrer et errer, mais pour rejoindre le père patrie, rejoindre les collines de Sion, rentrer à la maison et s'y sentir enfin chez soi, accueilli comme au retour d'un long et périlleux voyage et dire: je suis israélien!
Simplement sans avoir à justifier du fait d'être juif.
Et être! Seulement être!
E A Benouaisch
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 13 mai 2003 - 17h42: |
ISRAEL : LES SOLDATS DE L'IMPOSSIBLE
Sur la chaîne “ODYSSEE” : demain, mercredi 14/5 à 12h30 et jeudi 15/5 à 16h30 (dernière diffusion)
Le film fut précédemment diffusé sur Arte, suivi d’un documentaire de Barbara Victor sur les femmes “kamikazes”.
Pour ceux qui n’avaient pas vu, a découvrir absolument !
AC
Par Mexico (Mexico) le mardi 13 mai 2003 - 09h32: |
Albert, c'est pour ca que je precisais: "vrais" leaders...
Par Axelle (Axelle) le mardi 13 mai 2003 - 14h17: |
Une amie m'a dit qu'elle avait entendu sur une radio nationale que Brigitte Bardot avait tenu des propos racistes et antisémites hier soit à l'émission M.O. Fogiel : on ne peut pas plaire à tout le monde ! Je n'ai pas pu regarder cette emission malheureusement, car je connais trop bien le personnage qu'elle est... Elle peut très bien défendre la cause animale, sans pour autant tenir de tels propos ! J'avais d'ailleurs écrit un très beau poème pour rendre hommage aux animaux abandonnés et je ne suis pas pour autant raciste et antisémite ! ( il ne manquerait plus que ça ! ). Si quelqu'un a vu l'emission, pourriez-vous m'en parler. Je vous en remercie. Car, si c'est le cas, nous pourrions peut-être envoyer à sa fondation un écrit lui expliquant notre manière de penser, nous aussi ! Merci.
Axelle.
Par Mexico (Mexico) le mardi 13 mai 2003 - 09h05: |
La Douda,
Comme vous etes une agence de presse alternative, vos sources devraient etre credibles. Pour les ignorants, elles le seront. Ce n'est pas mon cas.
Le judaisme se differencie des autres religions pour ne pas pratiquer le proselytisme, sinon tout le contraire: la veritable conversion compte sur de nombreuses exigences.
Nos Sages ont institues que les femmes mariees devaient se cacher les cheuveux qui sont une parure afin d'eviter d'attirer l'attention des hommes et pour qu'ils sachent que telle femme est mariee, donc a respecter.
Il existe une contreverse au sujet des perruques qui s'averent parfois plus jolies que les propres cheuveux naturels d'une femme.
Notre foi se differencie encore des autres pour ne pas etre dogmatique: chacun et chacune a le libre arbitre de decider ce qu'il veut faire. Donc, il n'y a aucune segregation.
Si tel est votre point de vue, c'est votre probleme.
Yael
Par Albert (Albert) le mardi 13 mai 2003 - 09h41: |
REFLEXION MATINALE PAR UN JOUR SANS TRANSPORT.
‘….Censurer un écrit, c’est faire naître une mini révolution qui devient plus importante si on le bannit…. !’C'est pire quand on le déplace.