Par Hai (Hai) le mercredi 04 juin 2003 - 20h12:

A Claudia,

Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux et je te félicite de ne pas trouver le mot "Dieu" dans ton message!

Par Mexico (Mexico) le mercredi 04 juin 2003 - 20h30:

CLAUDIA
Hazak ou Baroukh!

Je me permets humblement d'ajouter que Chavouot peut se dire aussi "Shvoua", "Shvouot"
Deux promesses:
Celle de D.ieu envers les Juifs
Celle des Juifs envers D.ieu
Quel beau mariage!!!
HAG SAMEAH

Yael

Par Albert (Albert) le mercredi 04 juin 2003 - 21h01:

Madame Axelle ,

Que lis- je, vous jetez l'éponge, vous qui aviez promis que personne ne vous détrônera....? Mais enfin Madame, qu'elle mouche vous a donc piqué pour que vous quittiez subitement le paquebot.

Vous vous souvenez de votre rentrée par en bas, dans la généalogie, puis en saut de puce sur adra
Là où tout le monde se congratule…..? Vous vous souvenez de notre chére Janet ( Z'L) la critique qui eut l'honneur de vous souhaiter la bienvenue à sa façon et bien sur ma défense….!

Savez-vous qu'il y a dans l'athlétisme cinq sortes de coureurs, les demi-fond, les fond, les marathoniens, les courts-fonds, les steeples, les sans steeples, et ceux du cent mètres....?

Vous n'avez tenu qu'une courte distance et aviez manqué de souffle…Mais attendez ma chére dame, ceci est un manquement à votre parole car vos jérémiades comme vous le dites, vont nous manquer et ceux là gênaient qui……? Wnes de la Douda , son agence qui change de dénominaeur comme moi je change de pseudos, aux dattes...qui est un monsieur (et pas joyeuse') fort sympathique…

Au fait…Dans un forum, comme celui là nul n'est à l'abri d'une confrontation ni d'une remarque, nous en avions eu tous les religieux autant les bouffons comme moi que les croquignoles, regardez HAI, le ressuscité qui vient de temps en temps nous avertir qu'il est là alors que je le croyais hiberner..! Certains n'écrivent plus d'autres plus habiles sont restés……Nous sommes dans le virtuel Madame, on me dit que cela ne fâche pas alors que je sais pertinemment que la fierté en prend un coup. Vous savez ce que j'ai fais de ma fierté …? Je l'ai mis dans le virtuel et je ne la compte plus…

Si vous savez Madame, combien parfois la célébrité est dure à porter….!

Tenez regardez Chichi Jacques Chraque…, je parle du croquis et tant d'autres où on le voit 'bisouter' les fesses fumantes de Monsieur S Haddam Hout et bien doit il démissionner pour cela et moi Madame qui reçoit quelques fois quelques invectives et de beaux dessins dois-je en prendre de la graine…? Mais non Madame, allez de toutes les manières, qu'elle que soit votre décision je la respecte et vous offre un bouquet de roses.
Venez au théâtre, tenez moi compagnie , il fait si bon là bas…!

Albert dit Breitou Mtana...

Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 04 juin 2003 - 20h25:

Avraham Gilbert Nahmias z"l 1948-5708 /2003-5763



Et si j’avais suivi un cour de réanimation, j’aurais peut être pu le sauver?

Depuis le dimanche 1 juin 2003 15h, le temps d’un flash, là, inanimé, étendu par terre dans la salle de bain, le visage de Gilbert me revient constamment dans la tête, et si j’avais suivi un cour de réanimation?

Pour l’avoir vu maintes et maintes fois à la télé, oui à tort, comme tout le monde je pensais savoir comment faire, mais entre la théorie et la pratique, ce dimanche là, j’ai réalisé que je ne savais rien du tout. C’est là que j’ai, par la force des choses, appris qu’après 3 minutes d’inanimation le cerveau, en manque d’oxygène, subit des dommages irréversibles et que l’être humain passe de vie à trépas tout aussi rapidement. Chaque seconde compte et tout est entre vos mains. Oui trois minutes, et même si Urgence Santé (SAMU Montrealais) vient rapidement en cinq minutes (chose très rare) et bien c’est déjà trop tard.

Lorsqu’on a appelé chez moi pour dire que Gilbert venait de se sentir mal, en quelques secondes je me suis précipité en courant à la maison de mes beaux parents juste 3 portes à coté où j’ai trouvé Sidney le cellulaire à la main en communication avec le service d’urgence Montréalais 911 (SAMU) qui tentait de lui dire quoi faire en attendant l’arrivée de l’ambulance. Là, j’ai essayé de prendre la relève. Sidney, tenant le téléphone qu’il me collait sur l’oreille et toujours suivant les instructions de la préposée, j’ai bien essayé de lui faire la respiration artificielle bouche à bouche. Ensuite la préposée m’a demandé de lui pomper le cœur, et comme je l’avais vu maintes et maintes fois à l’aide de mes deux mains placées en bas de la poitrine j’ai pompé, mais par manque de pratique, c’est mon rythme qui n’était pas bon. Il y a toute une procédure à suivre et il ne faut surtout pas se tromper car les secondes s’écoulent et le temps entre la vie ou la mort diminue.

Tout cela se fait sous un stress terrible, on se dit que l’on n’a pas le droit de faire d’erreur, chaque seconde compte, et imaginez si l’on n’a pas le bon entraînement! En cas d’échec, c’est terrible.

Après des minutes interminables l’ambulance (SAMU) est arrivée et ils ont pris le relais. Ils l’ont emmené à l’hôpital et l’ont déclaré officiellement mort une heure plus tard.

et si j’avais suivi un cour de réanimation??????

Avant d’être emmené en Israël pour y être inhumé, Gilbert a reçu un vibrant hommage de toute la communauté.

La grande salle du salon funéraire Montréalais Peperman était presque pleine à capacité. Les enfants de la Yéchiva Yavné, que Gilbert emmenait et ramenait tous les jours ont tenu à lui rendre hommage par l’intermédiaire d’un représentant qui a lu un texte qu’ils avaient rédigé. Plusieurs d’entre eux parmi les plus âgés étaient présents dans la salle. Tout le personnel est venu pleurer devant le cercueil mais il fallait voir avec quelle force de tristesse. Tous les rabbins présents ont fait des éloges funèbres dignes du grand homme qu’était Gilbert ou « Bébert » notre cousin mais que nous considérions comme un frère.

Il n’avait que des amis et tous ont tenu à être présents. Son ami de toujours, Itsi Chwartz, était effondré, du haut de ses "2 mètres" ou presque, il pleurait comme un enfant.

Tu vas nous manquer Gilbert, les vendredis soirs chez mami Viviane et papi David ne seront plus jamais les mêmes.


Edmond et Délia

esilber@sympatico.ca

Par Claudia (Claudia) le mercredi 04 juin 2003 - 18h13:

CHAVOUOT

A l'occasion de toutes les fetes juives, nous ne fetons pas seulement un evenement historique. Il ne s'agit pas seulement la commemoration d'un
evenement lointain.

Chaque fete implique l'homme, car il se retrouve lui-meme dans le meme evenement, annee apres annee. A Pessah', l'homme, et meme la nature,
ressentent une certaine liberation : nous vivons la sortie d'Egypte.

A Chavouot, chaque annee, nous recevons la Torah. Chaque annee, nous faisons partie de ceux qui proclament la presence d'Ha-chem et qui osent declarer : ''Naasse Venichma'' : ''Nous ferons, et nous comprendrons'' – nous executerons tout ce que Ha-chem nous ordonne, meme sans en comprendre la raison, et nous comprendrons peut-etre ensuite : notre respect des Mitswoths ne depend pas de la logique de ces lois.

Chavouot est donc la fete par excellence ou nous pouvons prendre sur nous le respect des Mitswoths. C'est le moment ou, en tant que peuple, nous avons accepte le joug de la Torah, et c'est le moment ou, en tant qu'individu,
nous devons aussi progresser dans ce sens. Tout d'abord parce qu'un pacte a ete signe entre Ha-chem et nous ce jour-la, et que ce pacte nous lie a Lui et a sa Torah jusqu'a present, mais aussi parce que, aujourd'hui, sans rapport avec le passe, nous decidons de signer ce pacte !
La signature renouvelee de ce pacte doit nous permettre de repartir du bon pied, les batteries chargees, et le coeur plein de bonnes intentions pour le futur. L'accomplissement de la Torah n'est pas toujours simple. Meme lorsque l'on respecte toutes les lois qui nous sont ordonnees, il y a des moments ou l'on a moins d'enthousiasme, des moments ou l'on ne trouve plus le temps d'aller a des Chiourims, des moments ou des millions d'alibis nous viennent
en tete pour laisser passer telle ou telle Mitswa, des moments ou le Yetser Hara met en place une serie de circonstances qui font que l'auteur du ''Vouloir'' s'oublie et n'ecrit plus pendant deux semaines...

Ces moments de ''Yerida'', litteralement ''descente'' sont humains, et ils
doivent toujours permettre ensuite un renouveau, un reveil, une prise de conscience. Cela ne doit pas nous decourager, mais nous aider a savoir ce
que l'on veut et a atteindre le but avec plus de forces ensuite.
On ne peut pas tenir un regime pendant deux ans, il y a des ecarts, ce n'est pas grave. L'essentiel est que ces ecarts ne nous encouragent pas a abandonner totalement le regime, mais au contraire a repenser a l'importance de ce regime et a recommencer avec des objectifs plus clairs et plus forts...

Chavouot, le jour du don de la Torah, doit nous donner l'elan qu'il nous manque parfois. Nous acceptons a nouveau de signer le contrat avec Ha-chem, de se rapprocher de Lui, de Lui faire confiance. Et de Son cote, Lui aussi accepte a nouveau de signer le contrat avec chacun de nous, malgre toutes les clauses que l'on ne respecte pas comme il faut...

Chaque jour Ha-chem place Sa confiance en nous, et Il attend de nous un comportement qui coincide avec les clauses... Chaque matin, Il nous rend la
vie, nous rend la Nechama, et espere que nous l'utiliserons a bon escient.
Combien de fois ne meritons-nous pas cette confiance ? Mais meme apres une journee passee en futilites, Ha-chem nous donne encore une chance, et nous rend la Nechama qui se trouve aupres de Lui pendant la nuit et qu'il pourrait facilement retenir... La Nechama etant spirituelle, elle souffre d'etre dans un corps materiel qui la musele. Si on lui demandait son avis, elle prefererait certainement rester aupres d'Ha-chem et ne plus redescendre... Et pourtant, Ha-chem la renvoie chaque matin, et c'est ce que l'on dit en se reveillant : ''Mode Ani...Raba Emounbateh'a'' = ''Je te remercie Ha-chem pour m'avoir rendu ma Nechama...Grande est ta confiance...'' , grande est la confiance que Tu places en nous chaque matin...

Cette confiance d'Ha-chem doit nous pousser en avant, doit nous faire comprendre que nous sommes redevables apres toutes les bontes qu'Il nous fait.
A Chavouot, Ha-chem accepte, et nous acceptons, de renouveler ce contrat eternel entre nous, cette confiance que l'un porte a l'autre. Ce que nous ordonne Ha-chem dans son contrat, dans Sa Torah, est seulement pour notre bien, alors ne le decevons pas... !

Vouloir c'est Pouvoir

Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 04 juin 2003 - 16h53:

Je vous recommande de lire dans le Figaro du lundi 2 juin le terrible article de Alain Gerard Slama intitule : Les enfants de Bourdieu
Il permet de comprendre ce qui se qui se passe en France avec les greves des enseignants, et des salaries des transports publics, ayant eux des statuts les mettant en dehors du cadre de la reforme des retraites.
En filigrane on peut y trouver tous les arguments permettant d accuser l action des rouges-verts contre Israel et d une maniere generale contre les juifs
lien www.lefigaro.fr, archives, les enfants de bourdieu.

Dans le figaro de ce matin 4 juin un reportage sur Alger apres le seisme.
Les islamistes y voient la main divine, pour les imams integristes: c'est une punition de Dieu, en colere contre les femmes denudees, impudiques, qui ne portent pas le hidjab.
En condamnant dans leurs preches les femmes devergondees ( sic ) ils ont rendu licite le lynchage de ces suppots de satan comme un acte qui doit plaire a Dieu.

Dans la region de Boumerdes ( sans l accent grave ca a un accent de verite ) les jeunes filles en tenue occidentale sont la cibles des apprentis talibans.

Les bars se vident ete les mosquees se remplissent

A deux heures d avion de Paris..

L'article entier dans le figaro
http://www.lefigaro.fr/international/20030604.FIG0068.html

Les enfants de Bourdieu plus les enfants de l integrisme un melange detonnant, rendant la France de plus en plus inhabitable.

Et il n'aura fallu que vingt ans pour faire d'un grand pays la caricature qu il est devenu

Disons le Kaddish

Par Bebel (Bebel) le mercredi 04 juin 2003 - 15h38:

A Benazerti,

AUCUNE COLONIE ou plutot IMPLENTATION ne s'est construite sur le dos de maisons detruites de palestiniens.AUCUNE.
toutes ont ete sur des terrains vide de tout habitant. a proximite de villages palestiniens ,oui, mais pas sur les villages.


les maisons que detruit Israel sont celles des palestiniens-terroristes-assassins qui se sont fait saute pour tuer le maximum de juifs.Et cela afin d'essayer de faire comprendre aux futurs volontaires de s'exploser que ca paye pas,que leur famille sera sans toit a cause d'eux.

Par Benzarti (Benzarti) le mercredi 04 juin 2003 - 14h52:

a propos de sniper encore...
vous voyez dans cette chanson que le mal mais vous voyez pas qu'on denonce les colonies sauvages que israel laisse faire!ils denoncent aussi la violence des 2 cotés!et les maisons detruites c'est de l'invention peut-etre?LES COLONIES QUI PILLULLENT AUSSI,c'est pas des mensonges.israel detruit des maisons palestiniennes pour accueillir des juifs de je ne sais où!

Par Axelle (Axelle) le mercredi 04 juin 2003 - 10h42:

Wnes.

Vous n'aurez plus l'occasion d'entendre mes sempiternelles jérémiades s'exprimer sur ce forum! soyez-en heureuse... J'ai simplement voulu répondre à un sujet qui avait été lancé par Yael.
Une petite précision, si je souffre, ce qui reste à prouver, ma douleur n'est pas incurable ! j'ai assez de force de caractère pour me défendre toute seule ! et ne le prenez pas au sérieux, surtout pas, ce serait dommage... Mais, je retiendrais une grande leçon de vie :
Les hommes sont hypocrites, menteurs, ne recherche que leur intérêt etc... Je parle des hommes en général.
Tout ceci, pour vous dire, que je vous laisse le forum, je me retire définitivement. D'ailleurs, je commençais à manquer d'inspiration pour écrire.
Restez entre-vous. Je pense et crois que ma place n'est pas ici. Heureusement que tout n'était que virtuel !! Je pense que mon chemin est ailleurs.
Je trouverai ma route, mais pas avec vous.

Axelle.

Par Hai (Hai) le mercredi 04 juin 2003 - 09h46:

Aux Américains,

Qu'est-ce que vous pensez de ça?

La trahison de Washington, par Caroline B. Glick

04/06/03

The Jerusalem Post, 30/5/03

Traduction française de Monique Siac, pour INFO'SION

"L'administration Bush ne considère plus, aujourd'hui, que son soutien à Israël soit nécessairement compatible avec les intérêts des Etats-Unis."


Depuis le début du mois de Mai jusqu'à mardi dernier, les Palestiniens ont lancé 323 attaques terroristes contre des Israéliens. C'est-à-dire une moyenne de 12 par jour, comprenant des attentats-suicide, des infiltrations d'hommes armés dans des villes israéliennes, des tirs contre des voitures, des attaques à la grenade ou à l'aide de missiles antichars, des tirs de mortiers ou de roquettes, des agressions à l'arme blanche.

Le bateau chargé d'armes du Hezbollah, arraisonné mardi par la Marine, alors qu'il se dirigeait vers Gaza, est un indice de la volonté des Palestiniens d'accroître leur capacité d'agression et de parvenir à des résultats plus satisfaisants à leurs yeux. C'est également la preuve que les Palestiniens n'agissent pas seuls. Ils mènent leur guerre terroriste avec le soutien militaire direct de l'Iran , le "patron" du Hezbollah, et de la Syrie, qui lui donne carte blanche.

Au cours des deux dernières semaines, les attaques à la roquette contre Shderot, en provenance de Gaza, ont notablement augmenté. Mercredi dernier, Shderot à été attaquée, à deux reprises, par quatre roquettes. Deux d'entre elles ont atteint des maisons particulières. Par chance, les occupants ne se trouvaient pas sur les lieux lorsque leur maison a été détruite, mais deux femmes et une fillette ont été hospitalisées en état de choc.

Prenant la parole samedi dernier à Holon, le maire de Shderot, Eli Moyal, a précisé que, bien que l'on puisse avoir l'impression que les opérations de Tsahal au nord de la bande de Gaza visant à mettre fin aux attaques à la roquette n'aient pas été très efficaces, en réalité, si Tsahal cessait d'agir à Beit Hanoun, le foyer de fabrication des roquettes Kassam, ce ne sont pas "quelques roquettes qui tomberaient sur Shderot, mais des centaines".

La cargaison qui se trouvait à bord du bateau intercepté prouve bien la volonté des Palestiniens d'accroître l'efficacité de leurs attaques.

La Marine a saisi 36 Cédéroms donnant des instructions sur la manière de fabriquer des bombes, des roquettes et divers autres types d'explosifs, ainsi que des conseils pour faire le maximum de victimes lors d'attaques-suicide dans les autobus.

La cale du bateau contenait également cinq boîtes de détonateurs pour des roquettes de 122 mm, ainsi que différents composants permettant de fabriquer des bombes, tels qu'un système de mise à feu par radio et des retardateurs électroniques.

Dans une interview pour Yedioth Aharonot", publiée jeudi dernier, le Premier ministre de l'Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, a répété pour la énième fois qu'il n'avait pas l'intention d'engager une action contre l'infrastructure terroriste. Bien qu'il affirme négocier actuellement avec le Hamas l'arrêt des attaques contre Israël, et déclare qu'en cas d'accord pour un cessez-le-feu il essaierait de trouver un arrangement avec le Fatah et le Djihad Islamique, Abbas n'entreprendra aucune action militaire contre ces réseaux terroristes. "Nous ne nous livrerons jamais à une guerre civile", dit-il.

Il laisse également entendre qu'Israël doit l'aider à convaincre les terroristes de cesser leurs actions en "libérant les prisonniers et en évitant toute opération militaire".

Pour sa part, Saeb Erekat est encore plus direct. Lors d'un entretien, mercredi, avec l'Associated Press, il a expliqué qu'Abbas essaie de convaincre le Hamas et le Djihad Islamique d'attendre qu'un Etat palestinien soit proclamé avant d'attaquer des cibles israéliennes. Selon ses propres paroles, "Abbas va tout faire pour obtenir cette déclaration de cessez-le-feu, parce que c'est la clé. Il pourra alors dire aux Palestiniens: "vous voyez, nous avons obtenu qu'Israël reconnaisse l'Etat palestinien. Tout ce qu'il nous faut, c'est un processus de paix crédible de deux ans".

Et alors que nous voyons tout ceci se dérouler sous nos yeux, le gouvernement a accepté dimanche la "feuille de route" du "Quartet" qui prévoit l'établissement rapide d'un Etat palestinien. C'est incroyable, mais les ministres du cabinet qui ont voté en faveur de la "feuille de route" disent l'avoir fait bien que ce plan soit contraire aux intérêts nationaux d'Israël. Ils ont naïvement justifié leur conduite en précisant que l'administration Bush avait accepté de prendre en considération, au fur et à mesure de la mise en oeuvre de ce plan, les réserves qu' Israël avait émises avant de l'accepter.

Ces 14 amendements (dont nous n'avons eu connaissance que par des "fuites" à l'usage de la presse, le gouvernement n'ayant pas osé les publier de manière officielle), atténueraient, s'ils étaient acceptés, les dangers inhérents à la "feuille de route". Mais il est impossible de tirer de cela la moindre consolation, car l'administration Bush a déclaré nettement qu'elle rejetait ces amendements. Le Secrétaire d'Etat Colin Powell a déclaré sans ambages qu'aucune modification ne serait apportée à la "feuille de route".

Il convient de souligner que la "feuille de route" oblige Israël à accepter d'emblée la création d'un Etat palestinien dirigé par l'OLP sur des terres sur lesquelles Israël peut légalement prétendre à la souveraineté, autant, sinon plus que l'OLP.

Tandis qu'Israël se voit refuser la possibilité de protéger ses citoyens d'agressions armées perpétrées par les Palestiniens, tout ce que l'on exige de ces derniers, c'est de déclarer qu'ils sont opposés à toute agression armée contre l'Etat d'Israël.

Tandis qu'Israël doit reconnaître le droit à l'autodétermination pour les Palestiniens et renoncer au droit du retour des Juifs sur des terres dont la souveraineté est contestée, on n'exige pas des Palestiniens qu'ils reconnaissent que l'Etat d'Israël a le droit d'exister en tant qu'Etat juif. La "feuille de route" ne précise nulle part que les Palestiniens doivent renoncer à leur exigence d'installer des millions de "réfugiés" à l'intérieur des frontières d'Israël.

Israël, qui a supporté pendant 32 mois de voir ses citoyens subir sans relâche des attaques terroristes (dirigées par l'Autorité palestinienne) se voit montré du doigt par le Quartet, dans la "feuille de route", comme étant le "méchant". Israël doit cesser de se défendre contre le terrorisme.

Israël doit accepter toutes les exigences des Palestiniens sans exception. Peut-être Ariel Sharon pensait-il qu'en acceptant la "feuille de route", la balle se retrouverait du côté palestinien. Depuis deux mois, l'administration Bush a exercé sans relâche des pressions sur le Premier ministre israélien pour qu'il accepte la "feuille de route", "pour le Président". D'après certaines informations, le Département d'Etat menaçait même Israël de sanctions économiques et militaires si Sharon refusait.

Le Middle East Newsline rapportait la semaine dernière que le Département d'Etat préconisait de supprimer les garanties prévues de 8 milliards de dollars, ainsi qu'une assistance militaire supplémentaire de 1 milliard de dollars, au cas où le gouvernement israélien n'accepterait pas la création, prévue par la "feuille de route", d'un Etat palestinien d'ici la fin de l'année.

Le Département d'Etat recommandait également que l'administration ouvre une enquête sur l'utilisation d'hélicoptères de combat Apache et Cobra, et de chasseurs F-16 par l'aviation israélienne, lors d'opérations contre des terroristes palestiniens.

Et pourtant, sitôt après que le cabinet ait annoncé sa décision, Washington faisait part de ses projets de sommet tripartite rassemblant le président George W. Bush, Sharon et Abbas, la semaine prochaine. De hauts fonctionnaires de l'administration américaine mettent tout en oeuvre pour s'assurer que Sharon sera prêt à faire concrètement des concessions, lors du sommet d'Aqaba, afin que cette rencontre soit un "succès". Si Sharon pensait qu'en acceptant la "feuille de route" il réduirait la pression américaine, il avait grand tort. Bien loin de diminuer la pression exercée sur lui par les Etats-Unis, la décision de Sharon d'accepter la "feuille de route" n'a fait que la décupler.

Depuis que le président Bush est entré en fonction, de nombreux Israéliens (y compris l'auteur de cet article) l'ont considéré comme le meilleur ami qu'Israël ait jamais eu à la Maison Blanche. Dans son discours du 24 Juin dernier sur les attaques terroristes auxquelles Israël doit faire face, il avait clairement désigné les Palestiniens comme étant les agresseurs. Mais, à la lumière des récentes actions de l'administration, qui sont tout simplement hostiles à Israël, la crédibilité du président en tant qu'ami et allié de l'Etat peut être mise en doute.

Parallèlement à ses appels en faveur de la démocratisation de l'Autorité Palestinienne et à ses exhortations pour que celle-ci prenne des mesures contre le terrorisme, Bush est devenu le partisan le plus convaincu d'un Etat palestinien, que le Bureau Ovale ait jamais connu. Bush est le premier Président des Etats-Unis qui ait jamais fait, de la création d'un Etat palestinien, un objectif de la politique étrangère américaine.

Bush a fait une déclaration en ce sens dans une lettre au prince héritier saoudien Abdullah, le 29 Août 2001, 36 heures après que l'ambassadeur d' Arabie saoudite, le prince Bandar, ait remis à la Maison Blanche un message singulièrement hostile d'Abdullah, qui était presque une déclaration de guerre contre les Etats-Unis. D'après des comptes-rendus parus dans la presse, Bandar informait la conseillère en matière de Sécurité Nationale, Condoleeza Rice, qu'en raison du soutien accordé par l'administration à Israël, "le prince héritier pensait qu'il lui était impossible de maintenir des relations avec les Etats-Unis".

En conséquence, l'administration Bush, apporta sa caution à la résolution 1397 du Conseil de Sécurité, qui, pour la première fois, apportait son soutien à ce même Conseil en faveur de la création d'un Etat palestinien. Bush, tout en reconnaissant à Israël le droit à l'autodéfense, ne l'a jamais autorisé à prendre des mesures décisives contre la machine de guerre palestinienne.

Bien que la menace terroriste palestinienne envers Israël soit liée aux mêmes forces qui sont derrière al-Qaïda, et bien que des Palestiniens se soient battus aux côtés de la Garde Républicaine irakienne contre les forces armées américaines, l'administration Bush refuse d'admettre que la guerre terroriste menée par les Palestiniens contre Israël soit liée au djihad arabo-islamiste contre les Etats-Unis. L'administration va même jusqu'à qualifier d'"illégitimes" les répliques contre-terroristes israéliennes, pourtant identiques à celles utilisées par l'Amérique.

Et aujourd'hui, la seule chose qui demeure du discours historique de Bush, le 24 Juin dernier, la seule exigence qui ait survécu aux événements de l'année écoulée, c'est celle, sans réplique, de l'acceptation immédiate par Israël d'un Etat palestinien.


Des voix se sont élevées pour critiquer les récentes prises de position du Président, arguant que cette hostilité nouvelle envers Israël et ce soutien aux terroristes palestiniens ne peuvent que porter atteinte aux intérêts sécuritaires nationaux américains et diminuer la portée de la guerre engagée par les Etats-Unis contre le terrorisme. Du point de vue israélien, cependant, le problème le plus sérieux posé par cette politique est celui auquel nous n'avions jamais imaginé être confrontés.

En effet, l'administration Bush, si on ne la juge que sur ses actes, nous a prouvé que, si on pouvait, dans le passé, compter sur un minimum de soutien de sa part, ne considère plus, aujourd'hui, que ce soutien soit nécessairement compatible avec ses intérêts. Nous ne pouvons donc plus lui faire confiance aveuglément.

Il est impossible de savoir si cette politique américaine, résolument hostile à Israël, résulte du choix personnel du Président, ou de la mauvaise influence que ses conseillers ont sur lui. Mais, quelle qu'en soit la raison, cette terrible et navrante réalité ne peut être mise sous le boisseau. Les sombres menaces qui nous entourent sont trop sérieuses. Nous devons accepter la vérité. La politique moyen-orientale de l'administration Bush actuelle est hostile aux intérêts sécuritaires nationaux de l'Etat d'Israël.

Caroline B. Glick

© The Jerusalem Post

Par Mexico (Mexico) le mercredi 04 juin 2003 - 09h07:

JPC,

Moi, j'ai ete la "domestique", l'amie et la maitresse.
Maintenant que mes enfants sont grands, il ne me reste plus qu'a etre les deux derniers.

Yael

Par Henri (Henri) le mercredi 04 juin 2003 - 07h43:

La FEMME.

D.. a d’abord cree l’homme qui se trouvait bien seul.

Que fit D… ?

Il detacha un “cote” de l’homme et en fit la femme.

On peut comprendre que l’homme et la femme en s’unnissant (par les liens sacres du mariage)se COMPLETENT et que chacun a son importance.

Toute la sagesse est de voir les qualites du conjoint/conjointe et fermer l’oeil sur le reste, et ne pas oublier que de la facon dont on juge les autres, on sera juge, et qu’on a donc interet a etre cool.

Hag sameah lecoulam.

Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 04 juin 2003 - 06h25:

LE TROISIÈME ROUND ET LA PALESTINE


Après les événements du 11 Septembre 2001 à New York, les Etats-Unis ont pris la décision d’éradiquer le terrorisme, là où il se trouvait, en s’attaquant à deux cibles : les terroristes eux-mêmes et les pays qui les hébergent ou qui les protègent.

L’Afghanistan a été libéré des Talibans qui hébergeaient Al Qaeda , principal auteur de la destruction des tours de Manhattan. Et du même coup, le pays a été débarrassé d’un régime islamiste moyenâgeux et totalitaire.

Après 12 ans d’atermoiements, l’Irak vient d’être libéré d’un autocrate qui gouvernait par la terreur et qui développait des armes de destruction massive. Il s’agissait là de terminer une opération entreprise en 1991 par le père de l’actuel président américain et non achevée. Du même coup, le pays a été débarrassé d’un régime fasciste et qui, quoique laïc, flirtait avec l’islamisme d’Al Qaeda, hébergeant dans la montagne kurde les rescapés de cette organisation, au sein de l'entité Ansar al Islam.



Le président Bush a déjà désigné un autre état de l’ « axe du mal », l’Iran. Cet état héberge des cadres de l’organisation d’Al Qaeda, en particulier ceux qui ont récemment perpétré les attentats de Ryad en Arabie Saoudite. De plus cet Etat a un programme nucléaire très ambitieux qui peut déboucher à court ou moyen terme sur des armes de destruction massive. Est-ce l'Iran qui sera visé par le troisième round ? Cela dépend de son attitude vis à vis des shiites d’Irak, du niveau de son incitation islamique et de sa volonté de se plier aux contrôles internationaux en matière d’énergie atomique.

Mais deux autres entités terroristes plus ou moins liées à l’Iran devraient être également mises sous étroite surveillance, la Syrie et l’Autorité Palestinienne. Après la guerre d’Irak, l’administration Bush leur a donné une dernière chance de s’amender, en envoyant à l’une et l’autre des messages non équivoques: démanteler les nombreuses organisations terroristes qu’elles hébergent, livrer les hommes recherchés, soit à Damas (une vingtaine de responsables irakiens), soit à Ramallah dans la Mouqata (une vingtaine de chefs terroristes), livrer les armes non autorisées, cachées sur leur territoire. Ainsi une dernière chance est-elle offerte à Bashar Al Assad de s’aligner. Il a livré quelques « atouts » irakiens, mais le reste tarde à venir… La dite « feuille de route » (mauvaise traduction de carte routière dont le sens est plus large et moins contraignant) serait la dernière chance offerte à l’Autorité Palestinienne de se transformer en un état indépendant, à condition qu’elle abandonne « totalement et sérieusement » toute forme de terrorisme et les bombes homicides et qu’elle accepte un « état juif » à ses côtés, c’est à dire qu’elle abandonne l’idée d’un droit au retour des réfugiés palestiniens en Israël. La nomination d’un premier ministre avec de larges pouvoirs est un premier pas, mais le reste tarde à venir….

Gouvernant par la terreur, ces deux entités sont prisonnières de leur politique et des organisations terroristes qu’elles ont créé ou hébergé et qu’elles croient contrôler ou manipuler ; elles ont donc des difficultés sérieuses à se renier. Par conséquent, elles sont lentes à s’exécuter et elles vont continuer à « louvoyer ». Elles y sont encouragées par l’Europe qui, par ses rencontres et ses déclarations inopportunes, les aident à résister aux pressions américaines.

La solution du problème du terrorisme au Moyen Orient passe par la dissuasion musclée pour aboutir à la démocratisation progressive de la région. Les états voyous doivent être neutralisés par les moyens les plus divers, financiers, politiques ou militaires quand cela s’avère nécessaire. L’apaisement a fait son temps. C’est la doctrine Bush énoncée le 24 juin 2002.

Le contentieux avec la Syrie baathiste devrait être résorbé par les Etats-Unis dans les mois qui viennent et il permettrait alors de résoudre la menace permanente du groupe terroriste Hezbollah, installé au Sud-Liban et véritable maître du jeu syro-libanais. Pour le moment à l'égard de ce pays, le Département d’Etat utilise la méthode douce de la persuasion par l’argent.

La pression terroriste de l’Autorité Palestinienne est supposée diminuer grâce à l’acceptation de la « feuille de route » et la construction d’une séparation matérielle unilatérale. Il s’agit de deux éléments d’une fragile trêve qui nourrissent des illusions de paix. En effet, depuis dix ans l’Autorité Palestinienne a montré ses limites et son incapacité à gouverner et à créer un état. Et ceci malgré les différentes aides internationales fort généreuses. La corruption, le népotisme, la lutte de clans, la terreur intérieure et la culture du terrorisme ont eu raison de toute velléité sérieuse de jeter les fondements d’un groupe national organisé. Il est probable aussi que ce qu’on clame « Palestine » depuis quelques décennies, en se remplissant la bouche du nom, ne soit qu’une addition de citoyens venus des pays arabes voisins, tout au long du 20ème siècle, attirés par le dynamisme des Juifs, et qui n’ont pas une conscience nationale palestinienne très évoluée. Il suffit pour s’en convaincre de jeter le regard du côté exemplaire du chef Yasser Arafat qui est un égyptien qui a accumulé en dix ans des richesses estimées à plus de plusieurs milliards d’euros, au détriment de son soit disant peuple, et qu’il place à l’étranger, comme sa femme et sa fille, vu son niveau de confiance dans la nation Palestine…tout en se gargarisant de slogans et de mots qui semblent séduire maint visiteur européen. Et contrairement aux espoirs de ce chef terroriste, plusieurs "intifadas" meurtrières et haineuses n’ont pas réussi à créer le ciment national recherché.

Il y a néanmoins dans cette Palestine un noyau de gens ancrés dans le pays depuis longtemps et qui souhaitent vivre en paix, quelle que soit l’entité qui les gouverne, à condition qu’elle soit normale et libérale. Les territoires palestiniens devraient donc êtres mis sous tutelle extérieure, de préférence américaine ou plutôt jordanienne, et cela pendant plusieurs années avant de déterminer leur sort définitif. Une Palestine indépendante comme prévue dans la feuille de route du Quartet, élevée dans la haine et de culture terroriste, serait une menace permanente pour l’état d’Israël et une source de déstabilisation de la région. Ce microétat ne serait pas viable et devrait être rattaché à une entité plus conséquente.

Combien de morts faudra-t-il encore dans cette région pour que les dirigeants de la plus grande puissance du monde finissent de tergiverser et se mettent d’accord entre eux sur la vraie politique à mener au Moyen Orient ? Entre la vision du Président Bush du 24 juin 2002 et la fin de la guerre d’Irak, quelques innocents ont cru qu’enfin les Etats-Unis étaient en train d’appliquer la politique adaptée à la région et au moment. Mais après des menaces contre la Syrie non suivies d’exécution, et les remerciements chaleureux à Israël pour les avoir sérieusement aidés dans leur guerre contre Saddam Hussein, accompagnés de pressions pour l’adoption de la feuille de route, les Américains seraient-ils revenus aux fantasmes des grandes puissances d’il y a un siècle ? Diviser pour régner et garder un foyer contrôlable de tension pour canaliser la haine des peuples arabes frustrés, thèmes que nous avons abondamment développés dans un article intitulé "La Palestine, pour ou contre la paix". Ladite feuille de route ne serait-elle alors que l’apaisement de l’incendie de l’intifada qui serait allé trop loin ? Apaisement provisoire qui porte en lui les braises du prochain feu.

Même si le Président Bush se hasarde au bord de la mer Rouge, même s’il distribue quelques dollars ici ou là, il faudrait qu’il se détermine vite : vision neuve d’un Moyen Orient démocratique à terme ou petit jeu désuet du Département d’Etat qui ne peut déboucher que sur des tensions, qui un jour ne seront plus contrôlables. Pour être crédible, le Président Bush ne peut appliquer une politique élaborée par l’équipe de Donald Rumsfeld dans une partie du Moyen Orient et une autre politique, celle de Colin Powell, dans le conflit israélo-palestinien. A moins que le président des Etats-Unis ne poursuive seulement que des intérêts cyniquement et étroitement pétroliers !

Ceci étant, on ne peut que se réjouir des tentatives de paix quels qu'en soient les raisons ou les promoteurs. De plus, la trêve annoncée est souhaitée par toutes les parties. Les Etats-Unis veulent le calme dans la région pour pouvoir mener leur lutte contre le terrorisme, en se faisant entendre et comprendre par les nations de la région. L'Autorité Palestinienne mettra à profit la prochaine "houdna" (en Islam on accepte la trêve dans le jihad quand on se trouve en difficulté) pour renflouer son organisation rendue exsangue après presque 3 ans de guerre d'usure et surtout grâce à la contre offensive menée par le général Mofaz. D'ores et déjà, les militants du Hamas et des autres organes terroristes sont recyclés et formés dans la lutte anti-terreur et rémunérés pour cela (!). Israël a besoin d'une très longue accalmie pour mener à bien les réformes de structure nécessaires à la société et pour attirer à nouveau investisseurs et touristes.

Comme les positions politiques des parties au conflit semblent de plus en plus inconciliables, on peut se demander combien de temps durera cette trêve qu'on annonce à grand bruit: jusqu'au prochain cycle de violence, ou jusque après le 3ème round américain ?

Albert SOUED, écrivain – 3 juin 2003 – www.chez.com/soued

voir aussi le site politique www.nuitdorient.com

Par Jpc (Jpc) le mercredi 04 juin 2003 - 06h29:

Mexico et Richard

Moi je suis d'accord avec Richard sur le fait que nous avons perdu chez les femmes d'aujourd'hui un aspect "domestique" par rapport a la generation de nos meres.

Mais nous y avons gagne des amies et des maitresses extraordinaires.