Par Maurice (Maurice) le lundi 23 janvier 2006 - 22h31: |
Judas Iscariot, the disciple who betrayed Jesus with a kiss, is to be given a makeover by Vatican scholars, according to the London Times. The proposed "rehabilitation" of the man who was paid 30 pieces of silver to identify Jesus to Roman soldiers in the Garden of Gethsemane, comes on the ground that he was not deliberately evil, but was just "fulfilling his part in God's plan," the London Times said. Christians have traditionally blamed Judas for aiding and abetting the Crucifixion, and his name is synonymous with treachery. According to St Luke, Judas was "possessed by Satan." According to the London Times, a campaign led by Monsignor Walter Brandmuller, head of the Pontifical Committee for Historical Science, is aimed at persuading believers to look kindly at a man reviled for 2,000 years. Mgr Brandmuller told fellow scholars it was time for a "re-reading" of the Judas story. He is supported by Vittorio Messori, a prominent Catholic writer close to both Pope Benedict XVI and the late John Paul II. Signor Messori said that the rehabilitation of Judas would "resolve the problem of an apparent lack of mercy by Jesus toward one of his closest collaborators." He told La Stampa that there was a Christian tradition that held that Judas was forgiven by Jesus and ordered to purify himself with "spiritual exercises" in the desert. 'Judas portrayed with a hooked nose' In scholarly circles, it has long been unfashionable to demonize Judas and Catholics in Britain are likely to welcome Judas' rehabilitation. The London Times quoted Father Allen Morris, Christian Life and Worship secretary for the Catholic Bishops of England and Wales, as saying, "If Christ died for all - is it possible that Judas too was redeemed through the Master he betrayed?" The "rehabilitation" of Judas could help the Pope's drive to improve Christian-Jewish relations, which he has made a priority of his pontificate. Some Bible experts say Judas was "a victim of a theological libel which helped to create anti Semitism" by forming an image of him as a "sinister villain" prepared to betray for money. In many medieval plays and paintings Judas is portrayed with a hooked nose and exaggerated Semitic features. In Dante's Inferno, Judas is relegated to the lowest pits of Hell, where he is devoured by a three-headed demon. The move to clear Judas's name coincides with plans to publish the alleged Gospel of Judas for the first time in English, German and French. Though not written by Judas, it is said to reflect the belief among early Christians - now gaining ground in the Vatican - that in betraying Christ Judas was fulfilling a divine mission, which led to the arrest and Crucifixion of Jesus and hence to man's salvation, according to the London Times. 'Fell headlong' Mgr Brandmuller said that he expected "no new historical evidence" from the supposed gospel, which had been excluded from the canon of accepted Scripture. But it could "serve to reconstruct the events and context of Christ's teachings as they were seen by the early Christians." This included that Jesus had always preached "forgiveness for one's enemies." Some Vatican scholars have expressed concern over the reconsideration of Judas. Monsignor Giovanni D'Ercole, a Vatican theologian, said it was "dangerous to re-evaluate Judas and muddy the Gospel accounts by reference to apocryphal writings. This can only create confusion in believers." The Gospels tell how Judas later returned the 30 pieces of silver - his "blood money" - and hanged himself, or according to the Acts of the Apostles, "fell headlong and burst open so that all his entrails burst out." ----------- --------------------------------------------------------------------------------
Par Bekhor (Bekhor) le lundi 23 janvier 2006 - 23h15: |
Je crois que bientot "ahman ijbad" aura un nouveau "POURIM"
Par Davideden (Davideden) le lundi 23 janvier 2006 - 06h45: |
Ahmadinejad veut renvoyer les Juifs chez eux en Europe!! Mofaz et Katsav aussi?
Par Francois (Francois) le lundi 23 janvier 2006 - 06h22: |
Les Etats-Unis interviennent dans les élections de l'AP
Les Etats-Unis, extrêmement concernés par les événements politiques importants du Proche-Orient, auraient décidé d’intervenir cette fois dans la campagne électorale de l’AP, en vue des prochaines élections pour le Conseil législatif palestinien prévues le 25 janvier prochain. Le Washington Post indique que les Américains ont pris cette initiative afin de tenter d’empêcher la victoire tant redoutée du Hamas.
Pour atteindre leur objectif, les Américains auraient versé près de deux millions de dollars à l’Autorité palestinienne afin de l’aider à réfréner l’engouement des électeurs palestiniens pour l’organisation terroriste. L’argent aurait été transféré secrètement par l’intermédiaire de l’Agence pour le développement international (USAID) pour permettre à l’AP et au Fatah de gagner des points face à leur adversaire.
L’USAID, créée en 1961 par le président J. F. Kennedy, est une agence gouvernementale indépendante chargée de la coopération pour le développement et de l'assistance humanitaire. Elle œuvre ouvertement pour la réalisation de projets dans les territoires administrés par l’AP. L’an dernier par exemple, 400 millions de dollars avaient été transférés pour financer notamment l’amélioration de certaines infrastructures.
Dans le cadre des activités de ces derniers jours, réalisées grâce à l’aide discrète des Américains, les rues des villes ont été nettoyées, de la nourriture et de l’eau ont été distribuées gratuitement aux Palestiniens franchissant les points de passage, des ordinateurs ont été installés dans des centres communautaires et des tournois de football ont été organisés pour les jeunes.
Les Américains financent également certaines publicités publiées ces derniers jours dans les journaux palestiniens, annonçant par exemple une plantation à Ramallah en présence d’Abou Mazen ou des défilés du Fatah. En outre, l’aide américaine permet à Abou Mazen de mener un certain nombre d’activités permettant d’asseoir son autorité.
Mais ce n’est pas tout. Les services d'agences américaines ont été loués pour appuyer la campagne électorale de l’AP et du Fatah. L’une d’entre elles, siégeant dans le Vermont, est responsable par exemple de la propagande destinée à convaincre la population palestinienne que grâce à Abou Mazen, l’AP a enfin obtenu "la fin de l’occupation israélienne dans la bande de Gaza, après 38 ans de présence".
Source: http://a7fr.net/Default.aspx?tabid=52&articleType=ArticleView&articleId=1068
Par Primo (Primo) le lundi 23 janvier 2006 - 14h52: |
Terrorisme et publicité : le cynisme ne doit plus payer
Comment ne pas avoir un réflexe nauséeux légitime, à la lecture des déclarations sans vergogne du cerveau de la tuerie de Munich de 1972, le Palestinien Abou Daoud, 74 ans aujourd’hui. Ces propos, prononcés à l’occasion de la sortie du film de Steven Spielberg, "Munich", et repris dans une dépêche AFP, reproduite ci-dessous, et dans une interview au Journal du Dimanche, doivent cependant être lus avec attention. Ils sont, en effet, le témoin de la façon avec laquelle un terrorisme immonde a réussi, en moins de vingt-cinq ans, à s’offrir une façade de respectabilité sans que personne n’y trouve à redire.
"Moi, j'étais un combattant palestinien, de Beyrouth au Golan, et de Ramallah à Munich, et, oui, effectivement, je ne regrette rien" (…) "avec Munich et la caisse de résonance des Jeux, 500 millions de foyers se sont retrouvés à l'heure palestinienne", déclare Abou Daoud.
Cynisme total mais remarquable lucidité : dans les années 1970, les Palestiniens avaient inventé le terrorisme publicitaire et cette tuerie avait été commise pour faire connaître "le peuple palestinien". Opération totalement réussie : l’Europe cheguévariste commençait à être en manque de grande cause à défendre avec la fin de la guerre du Vietnam qui se profilait. La stratégie palestinienne avait su s’insérer dans ce marché-là et le produit "Palestine" correspondait parfaitement aux besoins du consommateur compassionniste de l’époque.
Comme pour toute opération commerciale, il existait une balance avec coût de production, prix de revient, rapport qualité/prix, etc. :
"… [L’opération a coûté] moins de 5.000 dollars, auxquels il faut ajouter les billets d'avions des jeunes pour venir en Allemagne. J'ai réglé les hôtels et divers frais sur place, il restait même quelques centaines de dollars que j'ai rendus à la trésorerie du Fatah…", conclut le vieux chef terroriste.
Effroi ? Colère ? Rejet de la cause palestinienne ? C’est ce à quoi on aurait pu s’attendre, mais comme pour tout bon cru, il suffisait de laisser reposer. Le temps allait faire son œuvre et, quelques années plus tard, Yasser Arafat pouvait se pavaner, revolver à la ceinture, à la tribune des Nations Unies.
Le drame de Munich avait pourtant provoqué, dans les premiers jours, des réactions d’horreur et d’indignation. Mais, en même temps qu’il suscitait ces commentaires, les Palestiniens entamaient avec succès leur guerre de communication. Très vite, leur barbarie fut oubliée, ce qui permit l’émergence, dans l’opinion mondiale, de l’idée que leur combat était juste. Ils ont fait leur publicité de la pire des manières et, au lieu d’être repoussés définitivement au ban de l’humanité, ils ont réussi, avant tout, à se faire connaître. Et là était leur seul objectif.
La mémoire à court terme qui caractérise nos civilisations modernes a fait que leurs actes meurtriers ont fini par être occultés pour laisser place à l’idée que leur lutte était "juste et légitime".
Nous devons, sans faire de procès d’intention, mettre les "observateurs" face à leurs responsabilités : nous devons leur rappeler qu’ils ont failli obéir au même processus de perversion du raisonnement après les attentats du 11 septembre 2001. Ce sont les piqûres de rappel de Madrid et de Londres – curieusement, pas celles de Tel-Aviv ou de Jérusalem - qui semblent les avoir empêchés de sombrer définitivement dans le maelstrom dans lequel les attiraient les alliés objectifs de l’islamo-fascisme. Mais ils glisseront facilement du rejet au soutien des idéologies qui sous-tendent ces attentats s’ils continuent de témoigner de la même sensiblerie face à des dénominations telles que "mouvement de libération nationale" ou "organisation de lutte populaire", autant de pièges sémantiques destinés à camoufler des idéologies fascistes.
Pour beaucoup de professionnels de l’information, il suffit de manquer d’un peu de culture et de disposer de beaucoup de démagogie pour transformer des organisations mafieuses en mouvements héroïques et pour influencer tellement l’opinion que l’on peut voir, un jour, un voyou sanguinaire nommé Prix Nobel de la Paix.
Aujourd’hui, d’autres organisations terroristes, le Hamas en tête, risquent, si elles savent s’y prendre, de conduire tout ce joli monde dans les mêmes ornières que l’OLP de 1970.
Ouvrons grand nos yeux et, surtout, faisons-les ouvrir aux "faiseurs d’opinion". Nous sommes parvenus à un croisement historique où de graves enjeux géopolitiques et économiques ne nous permettront plus le luxe d’erreurs telles que celles décrites dans cet article.
Il conviendrait de rendre obligatoire, par la force s’il le faut, la reconnaissance du droit à l’existence d’autrui et du droit à l’élimination, sans état d’âme, des criminels contre l’Humanité. Abou Daoud en a réchappé. Tant mieux pour lui, tant pis pour la Justice, mais ne lui donnons pas, en plus, le droit de revendiquer un quelconque héroïsme.
Jean-Pierre Chemla © Primo-Europe, 22 janvier 2006
Le cerveau de "Munich" ne regrette rien
Samedi 21 janvier 2006
Le Palestinien Abou Daoud, cerveau de la prise d'otages qui se termina par un bain de sang aux Jeux olympiques de Munich, en 1972, affirme qu'il "ne regrette rien", dans une interview publiée par Le Journal du Dimanche. Interrogé à Damas, avant la sortie mercredi en France de "Munich", le film de Steven Spielberg, Abou Daoud, 74 ans, déclare regretter "la mort des victimes, des otages et de nos «jeunes». Mais ils sont morts, dit-il, à cause de l'intransigeance de Golda Meir (ndlr: Premier ministre israélien à l'époque) et de la panique des Allemands".
"Moi, j'étais un combattant palestinien, de Beyrouth au Golan, et de Ramallah à Munich, et, oui, effectivement, je ne regrette rien", affirme-t-il. Pour lui, l'opération a été un succès: "avec Munich et la caisse de résonance des Jeux, 500 millions de foyers se sont retrouvés à l'heure palestinienne".
Abou Daoud précise qu'il n'a pas vu le film "Munich". "Apparemment, il est réaliste", dit-il. Mais il ajoute: "ce que je reproche à Spielberg, c'est qu'il aurait pu interroger les Palestiniens pour avoir une vision plus globale. J'aurais aimé présenter mon point de vue. Néanmoins, Spielberg semble avoir une vision «humaine» des victimes palestiniennes de ce commando. Pour cela, je le remercie".
Il affirme que le commando israélien, chargé d'éliminer les auteurs de la prise d'otages, a tué des gens qui n'avaient "rien à voir" avec l'opération, dont Wael Zeaitar, "un homme de culture et un philosophe", assassiné à Rome. Abou Daoud précise enfin que l'opération a coûté "moins de 5.000 dollars, auxquels il faut ajouter les billets d'avions des jeunes pour venir en Allemagne. J'ai réglé les hôtels et divers frais sur place, il restait même quelques centaines de dollars que j'ai rendus à la trésorerie du Fatah", conclut-il.
AFP
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 23 janvier 2006 - 05h38: |
L'esprit pas si fou de Mahmoud Ahmadinejad
Par Victor Davis Hanson
Encore un article sur l'Iran.
Hélas c'est bien une préoccupation mortelle qui pèse sur nos têtes.
Après la seconde guerre mondiale, pour dédouaner Hitler et les nazis de la terreur qu'ils avaient fait régner sur l'Europe et le monde, on avait bien légèrement laissé croire que Hitler était fou. Malheureusement, ce soit disant fou était suffisamment convaincant pour entraîner son peuple et son élite derrirère lui, et provoquer la mort de 50 millions d'hommes, dont six millions de Juifs.
Dans son combat contre les Juifs d'Europe, il est presque parvenu à ses fins.
Victor Davis Hanson dresse le portrait psychologique de Mahmoud Ahmadinejad, que certains comparent à un nouvel Hitler - ils ont raison - en le dédouanant par la folie : ils ont tort.
Comme le précédent illuminé, il est certes paranoïaque, il est certes ivre de pouvoir, il est certes antisémite de façon profondément pathologique, mais comme l'autre, il est intelligent et a tout un appareil d'Etat derrière lui.
Il faut faire l'étude psychopathologique de ces dirigeants arabes et musulmans, voire de peuples arabes et musulmans dans le contexte de haine qui leur est inculquée, cultivés dans la victimologie paranoïaque : ils haïssent le monde et leurs contemporains d'une haine mortelle et consumante, et prèfèrent, comme ces mères palestiniennes, que leurs enfants meurent pour entraîner dans la mort leurs ennemis. Les Juifs constituant bien entendu leur bouc émissaire favori.
Il va décidément falloir en trouver un autre, à moins de trouver un remède pour les paranoïaques parvenus au faîte du pouvoir.
C'est malheureusement un cas médicalement désespéré !
Golda Méïr disait aux Arabes palestiniens, je cite de mémoire : "Nous ne parviendrons à la paix avec vous que quand vous aimerez plus vos enfants vivants, que les Juifs morts". Vu l'enseignement de la haine distillé quotidiennement par la télé de l'AP à ses enfants, deux générations seront encore nécessaire pour en approcher.
Simon Pilczer
Jewish World Review 19 janvier 2006 / 19 Teves, 5766
L'esprit pas si fou de Mahmoud Ahmadinejad
Par Victor Davis Hanson
http://www.jewishworldreview.com/0106/hanson011906.php3
Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l'IHC
Le président iranien peut bien incarner le mal, mais il comprend trop bien l'esprit post-moderne occidental
" Les escarmouches dans les territoires occupés font partie de la guerre du destin. Le résultat de centaines d'années de guerre sera défini sur la terre palestinienne. Comme l'imam [Khomeiny] l'a dit, Israël doit être effacé de la carte ". Ainsi déclame le président de l'Iran Mahmoud Ahmadinejad.
Selon sa rhétorique apocalyptique, nous pouvons comprendre pourquoi le président Ahmadinejad peut vouloir un arsenal de missiles nucléaires. Il serait en mesure d'obliger à se coucher un courant constant de riches émissaires européens, de menacer les Etats du Golfe persique de faire baisser la production de pétrole, de neutraliser l'influence des Etats-Unis dans la région - et bien sûr, de détruire Israël.
Dans tous ses discours ivres de pouvoir, Ahmadinejad reflète une vision de la fin des temps : L'histoire en arrive à sa fin ultime sous son égide. En effet, le président Ahmadinejad transporte magiquement même ses auditoires étrangers dans la stupeur. Sur son récent discours aux Nations Unies, il s'est vanté : " J'ai senti que tout à coup, l'atmosphère a changé là-bas. Et pendant 27 à 28 minutes, tous les dirigeants ne clignaient pas ".
Ainsi le nom d'Ahmadinejad entouré d'un halo vivra dans l'éternité - mais à la seule condition qu'il chasse de Jérusalem le croisé intrus. Le Shiisme peut bien être le dépossédé du monde musulman mais, alors que la figure messianique du grand Mahdi vient sur terre, Ahmadinejad peut contribuer au retour du fervent, jamais revu depuis que Saladin expulsa les infidèles de Palestine.
Mais désormais, à moins d'une intervention divine, la tache d'Ahmadinejad pose deux petits obstacles : obtenir la bombe, et préparer le monde à la disparition d'Israël.
Bizarrement, le premier obstacle pourrait être plus aisé. Le Pakistan et la Corée du nord appauvris l'ont écarté. La Chine et la Russie vendront à Téhéran tout ce qui ne peut être obtenu auprès d'Etats voyous. Finalement, Moscou et Pékin opposeront probablement leur veto à toute action punitive des Nations Unies.
Les diplomates de l'Europe impuissante s'inclineront toujours devant une aussi importante personnalité mondiale, " excluant " la force pour stopper l'industrie nucléaire iranienne, de même qu'ils ont offert argent et accords commerciaux si Téhéran agissait seulement de façon sensée.
Les Etats-Unis ont un mouvement anti-guerre croissant, et 180.000 soldats sont occupés à faire naître la démocratie en Afghanistan et en Irak. Et l'imprévisible George Bush dispose de moins de trois années à son poste de toute façon.
Mais la seconde partie pour préparer le monde à la fin de l'Etat juif est plus délicate.
Bien sûr, l'évangile séculaire du Moyen-Orient est l'antisémitisme, diffusé à toute heure en Syrie, en Arabie saoudite et au Pakistan. Dans ces lieux, des médias dirigés par l'Etat font retentir de vieux sermons sur les " porcs et les singes ". Là encore, la Russie et la Chine ne se soucient pas de ce qui arrive à Israël, aussi longtemps que sa disparition n'affecte pas leurs affaires.
Mais l'Occident se trouve dans une autre situation. Là, l'histoire de l'antisémitisme s'approche dangereusement, représenté par l'Holocauste qui a presque totalement anéanti les communautés juives d'Europe.
Ainsi, soulever des doutes sur ce génocide est désormais l'objectif d'Ahmadinejad aussi bien que de cibler le centre de Tel Aviv. La négation de l'Holocauste est un vieux tour, mais son approche est différente.
Il a étudié le récent esprit occidental postmoderne, bercé sur sa sainte trinité de multiculturalisme, d'équivalence morale, et de relativisme. En tant que populiste du Tiers Monde, Ahmadinejad s'attend à ce que son propre fascisme échappe à l'examen attentif s'il récite seulement suffisamment de pêchés du passé de l'Occident. Il comprend aussi la victimologie. Il sait ainsi que pour détruire les Israéliens, il - et pas eux - doit devenir la victime, et les Européens ceux qui lui ont forcé la main. Pour citer Ahmadinejad :
" Aussi nous demandons : si vous avez vraiment commis cet énorme crime, pourquoi le Peuple opprimé de Palestine serait-il puni pour cela ? Si vous avez commis un crime, vous devriez vous-mêmes payer pour lui ".
Ahmadinejad saisit aussi qu'il y a des millions d'occidentaux disposant d'une haute éducation, mais cyniques, qui ne voient rien de très exceptionnel dans leur propre culture. Donc si l'Amérique démocratique dispose d'armes nucléaires, pourquoi pas l'Iran théocratique ? " Vos arsenaux sont pleins à ras bord, alors quand vient le tour d'une nation comme la mienne de développer une technologie nucléaire pacifique, vous mettez des objections et recourez à des menaces ".
De plus, il sait comment le relativisme occidental fonctionne. Ainsi, qui doit dire quels sont les " faits " ou ce qui est " vrai " - selon la tendance des puissants à " construire " leurs propres narrations pour appeler " histoire " le résultat. L'Holocauste n'a-t-il pas été exagéré, ou peut-être même fabriqué, comme de simples prisons sont devenues des " camps de la mort " à travers un abus de langage, pour s'emparer de la terre palestinienne ?
Nous rions de toutes ces absurdités. Nous ne devrions pas.
L'argent, le pétrole et les menaces ont porté les théocrates iraniens au seuil même d'un arsenal nucléaire. Leur troublant diagnostic du malaise occidental les a désormais convaincus qu'ils peuvent soigneusement fabriquer une réalité sans Holocauste dans laquelle les Musulmans sont les victimes et les Juifs les agresseurs, méritant une punition. Et ainsi l'Iran d'Ahmadinejad, légitimement lésé (et nucléaire) peut finalement, après " des centaines d'années de guerre ", remettre les choses en place comme il faut au Moyen-Orient.
Et alors un monde qui souhaite continuer à gagner de l'argent et à conduire des voitures en paix ne se souciera pas outre mesure de la manière dont ce saint homme, divinement mis à son poste, achèvera une ennuyeuse " guerre du destin ".
Par Albert (Albert) le lundi 23 janvier 2006 - 02h26: |
Monsieur Spielberg,
Pourquoi ne pas faire un film sur BREITOU???
Cela vous evitera des ennuis
De toutes les façons quoi que vous fassiez sur les juifs ou sur les arabes celà serait toujours mal perçu.
Chacun d'eux tire la couverture vers soi pour laisser l'autre complétement nu.
Il faut toujours être avec nous, dans 150 ans on verra..
Breitou
Par Emma (Emma) le lundi 23 janvier 2006 - 01h36: |
"Munich": Spielberg répond aux critiques
AFP
Le cinéaste américain Steven Spielberg, accusé de renvoyer dos à dos terroristes palestiniens et agents secrets israéliens dans son dernier film "Munich" sur la réaction israélienne à la prise d'otages sanglante des jeux Olympiques de 1972, répond aux critiques dans une interview à paraître lundi.
"Je ne suis pas prétentieux au point d'affirmer que je délivre un plan de paix pour le Proche-Orient avec mon film" qui sort prochainement en Allemagne et en Israël, dit le réalisateur dans l'interview accordée au magazine allemand Der Spiegel.
"Mais est-ce une raison pour laisser le champ libre à ceux qui simplifient tout? Aux Juifs et aux Palestiniens extrémistes qui considèrent jusqu'à aujourd'hui toute forme de solution par la négociation comme une sorte de traîtrise? (Est-ce une raison) pour se taire, juste pour ne pas avoir d'ennuis?", s'interroge-t-il.
"Je voulais juste me servir du puissant médium qu'est le cinéma pour amener le public à une confrontation très intime sur un thème qu'on ne connaît généralement tout au mieux que de manière abstraite", ajoute Steven Spielberg qui refuse de "donner des réponses simples à des questions compliquées".
"Croyez-moi, je n'ai pas abordé le sujet de manière naïve. Je suis un juif américain et je connais les sensibilités dans le conflit israélo-palestinien", souligne le cinéaste qui affirme qu'il serait prêt à "mourir pour Israël".
Son long métrage "Munich" raconte comment les services secrets israéliens ont poursuivi et tué les commanditaires de la prise en otage d'athlètes israéliens, les 5 et 6 septembre 1972, par huit Palestiniens du groupe "Septembre noir".
Déjà sorti aux Etats-Unis, le film y a reçu un accueil mitigé. Il a notamment été critiqué par certains responsables israéliens qui estiment que Spielberg est moralement condamnable en renvoyant dos à dos Palestiniens et Israéliens. "C'est une équation morale incorrecte", a affirmé le consul général de l'Etat hébreu à Los Angeles, Ehud Danoch.
La prise d'otages s'était soldée par la mort de vingt personnes: onze sportifs israéliens, cinq terroristes palestiniens et un policier allemand.
Par Braham (Braham) le dimanche 22 janvier 2006 - 23h10: |
Par Albert (Albert) le dimanche 22 janvier 2006 - 21h54: |
NOTRE MONDE..
A quoi ressemblerait ….DemaiIIIIIIIIIn…§§§§§....HEINNNN......
Si la terre s’arrêtait de….////.. TournEEEEEer…§§§§§§§
Ou alors qu’une grosse bombe exploserait
Sous quelques cieux de gens mal inspiréEEEEEEEEs…
Je pense au premiers caAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAs…§§§§§§
A ces gens qui auront la tête en bas ..§§§§§§§
Qui vivront totalement dans le noir sans voir le soleil.
Ils auront la luUUUUUne comme compagne
C’est bien triste la clarté….. De cet dame....
Dans le second caAAAAAAAs…./////..
Le monde sera transformè…§§§§§§§.
Les nuages blancs ne seront plus aux rendez-vous
Aux belles saisons.
Et le ciel aura perdu de son azur
Et nous, nos inspirations.§§§§§
Nous vivrons une ère glaciale
Enfouis sous des igloos d’aciIIIIIIer…….§§§§§§
Un peu comme les animaux de Noé
Mais là…………Je ne peux pas compaAAAAA….reEEEEEEEEEEr….§§§§§§§§§§§§
Par Davideden (Davideden) le dimanche 22 janvier 2006 - 21h03: |
Voila un article interressant dans l'ImMonde:
'Iran a affirmé qu'il n'était pas "inquiet" de l'envoi possible de son dossier nucléaire au Conseil de sécurité de l'ONU et a dénoncé le caractère "politique" de la réunion d'urgence du 2 février du Conseil des gouverneurs de l'Agence atomique onusienne. "Nous ne sommes pas inquiets face au Conseil de sécurité, mais c'est une méthode incorrecte que certains poursuivent", a déclaré M. Assefi, lors de son point de presse hedomadaire. "La réunion d'urgence du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'est pas nécessaire. C'est un acte politique", a-t-il ajouté.
L'IRAN DÉNONCE LES PROPOS "HONTEUX" DE CHIRAC SUR LE NUCLÉAIRE
Le régime iranien a violemment dénoncé dimanche les propos du président français Jacques Chirac qui avait déclaré que la France se réservait le droit de riposter de façon non conventionnelle, donc nucléaire, face aux "dirigeants d'Etats qui auraient recours à des moyens terroristes".
"On peut penser que le président français a tenu ces propos pour tenter de réhabiliter le prestige de la France dans le monde après les récents troubles (...) où des jeunes exacerbés par l'injustice et la violation des droits de l'homme étaient descendus dans la rue et brûlaient des centaines de voitures chaque nuit", a déclaré le président du Parlement, Gholam-Ali Hadad-Adel, dans un discours devant le Parlement retransmis en direct par la radio.
"C'est une honte pour le peuple français que son président dise qu'il utilisera l'arme atomique sous prétexte de lutter contre le terrorisme", a-t-il ajouté. "Les Français doivent faire des efforts durant des années pour effacer la honte laissée par le massacre d'un million d'Algériens, effacer le souvenir de l'aide de la France à Saddam Hussein et les massacres en Afrique et au Rwanda", a-t-il ajouté.
Jeudi, le président français a déclaré que "les dirigeants d'Etats qui auraient recours à des moyens terroristes contre nous, tout comme ceux qui envisageraient d'utiliser, d'une manière ou d'une autre, des armes de destruction massive, doivent comprendre qu'ils s'exposeraient à une réponse ferme et adaptée de notre part. Cette réponse peut être conventionnelle, elle peut aussi être d'une autre nature".
La France a jusque-là toujours refusé, à la différence des Etats-Unis, d'envisager de recourir à l'arme nucléaire contre des groupes terroristes.La France a configuré ses forces nucléaires pour pouvoir répondre de façon "flexible" à une menace, avait ajouté Jacques Chirac en visite à la base nucléaire de l'Ile Longue, au large de Brest (ouest), alors que selon la doctrine française, le recours à l'arme nucléaire doit être total et définitif.
De son côté le porte-parole du ministre des affaires étrangères iranien, Hamid Reza Assefi, a déclaré que les "propos du président français étaient inacceptables et injustifiables", dans un communiqué cité par l'agence Irna. "Ces propos ont redoublé l'angoisse des opinions publiques des pays du monde face aux pays qui possèdent l'arme atomique", a-t-il ajouté.
Donc:
1. les Iraniens ont bien recu le message.
2. Les violences urbaines sont belles et bien lies a une politique d'intimidation de la France.
3. On comprend pourquoi la France infiltree et occupee a peur de se defendre sous menaces de terrorisme venant des civils occupants.
4. La grande question est la France va-t-elle rejoindre les allies ou va-t-elle restes dans la collaboration ou l'indiference.
Par Albert (Albert) le dimanche 22 janvier 2006 - 19h00: |
Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 22 janvier 2006 - 20h04: |
Les menaces du monde occidental
Par Maurice (Maurice) le dimanche 22 janvier 2006 - 18h38: |
WHISTLEBLOWER MAGAZINE
MOST DANGEROUS NATION ON EARTH
Why America must wake up now and deal with Iran's imminent threat
Iran. Most Americans see it as a far-off, oppressive Islamic dictatorship – but probably too distant to be a real threat to the United States of America.
Surprise. America may soon be forced by circumstances to deal decisively with the Islamic republic – or face dire consequences.
Incredibly, after four years of the "war on terror," there has been very little national debate on the need to confront Iran. And yet, as revealed in this disturbing issue of Whistleblower, titled "MOST DANGEROUS NATION ON EARTH":