Par Albert (Albert) le jeudi 12 juin 2003 - 20h05:

Mon cher Maxiton,

Voilà ce que je devais publier hier, suite à votre réponse que j'apprécie J'y ajoute un suivi de commentaire.

Des pays se sont construits par les armes, et des sociétés ont change souvent leur régime soit pacifiquement soit par des révolutions, ou par le sort des armes . Souvent avec du sang, d'où les martyrs et les héros.

La Tunisie puisque telle était le sujet ' Nous l'avons faite…' Je cite de mémoire, s'est faite non pas seulement par l'apport de la culture juive seulement mais, aussi , il y a fort longtemps par d'autres cultures et civilisations pèle- mêle telles que Berbères, Romaines, Turques, Espagnoles, Italiennes , Maltaise, etc….Et en dernier ressort Française. Aucun pays au monde ne peut prétendre s'être construit par lui-même. Nous savons pertinemment que la richesse culturelle d'un pays se fait par le brassage de ces diverses communautés souvent déplacées, immigrées ou fuyant la terreur et l'anarchie comme le fût notre diaspora en perpétuel déplacement. Avant qu'elle ne se fixe en Israël.

Ce liant a contribué grandement à nos échanges qu'ils fussent commerciaux, socio/culturele ou autre.
La France, rendant lui grâce, nous a émancipé bien que nous le fûmes avant qu'ils ne viennent coloniser cette terre. La langue française ayant eu le mérite de nous faire entendre, et comprendre d'une seule voix sans qu'elle eut à intervenir sur nos us, coutumes et libertés. De toutes sortes.

Maxiton, as-tu remarqué, que c'est toujours des historiens juifs qui parlent de notre judèo/arabe. As-tu entendu un chercheur, peu être un , qui a osé, parle de notre présence là –bas…? Ou a tu entendu la tenue d'un séminaire, d'un congrès ou simplement une réunion sur la terre de nos ancêtres faite par nos historien là bas….?

Heureusement que des colloques se tiennent sur ces sujets, en Israël. Et raviver notre mémoire.

Par Mena (Mena) le jeudi 12 juin 2003 - 19h10:

Du droit d’éradiquer les éradicateurs (info # 011206/3) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Imaginons, le temps d’un petit un exercice intellectuel, que se soit levée une organisation armée, qui se serait fixée pour objectif l’éradication de la France en tant qu’entité politique et son épuration jusqu’au dernier Français.



Râââ ! Cette simple idée, qu’elle soit d’ailleurs dirigée contre les Français ou contre n’importe quel autre peuple, a de quoi faire frissonner et pas que les âmes sensibles. Quelque part, pour peu qu’on ait été élevé dans la culture occidentale, la simple énonciation d’un projet de ce type recèle d’un concept disparu depuis longtemps de la surface terrestre. Ce fut après l’extermination des Indiens des Amériques et ce connut un court mais véhément sursaut durant l’ère nazie.



Le rappel de l’épopée honnie des nationaux-socialistes me donne le prétexte de compliquer un peu notre exercice et de nous accorder une digression : Remontons ainsi le temps jusqu’en été 1945 et envisageons que les Juifs, les Russes, les homos ou les Tziganes, pour se venger des persécutions que les Allemands leur avaient fait subir, décident de liquider les Germains jusqu’au dernier d’entre eux.



Cette mise en scène nous fournit l’alibi d’un peuple idéalement (pour notre exercice, s’entend) compromis dans le soutien d’un système hyper criminel (ce qui rend les Allemands qui lui ont résisté d’autant plus remarquables, soit dit en passant). Mais au moment de faire subir des sévices collectifs à ce peuple, une punition historique, on se demandera de par notre construit culturel, presque spontanément, si l’application d’un principe d’éradication d’une population (génocide) ou l’annihilation de l’expression politique d’une nation (les Soviétiques l’avaient envisagé et la création de la DDR en était la demi mesure) et l’épuration d’une nationalité, d’une race, d’une ethnie ou d’une religion, dans un espace géographique donné, constituent des recours concevables. Cette considération,

à elle seule, nous éclairera suffisamment, au point de constituer l’une des conclusions obligées de notre digression, même si la sanction est destinée au peuple coresponsable de l’enchaînement de méfaits le plus inouï de l’histoire moderne.



Mais plus encore, cette hypothèse nous conduit à conclure à l’inapplicabilité des sanctions collectives envisagées à la population d’un Etat, quelle qu’ait pu être le comportement de ses élites ainsi que l’empressement de la population à les suivre. A moins de participer d’un système aussi dégénéré que l’hitlérisme, on considérera, d’une part, que les mesures que j’ai énoncées ci avant ne sont pas applicables et d’autre part, qu’il n’existe pas de relation entre la culpabilité, qu’elle soit envisagée ou avérée, gouvernementale d’une action et la possibilité de massacrer une population dans un pseudo élan de justice. Ce genre de justice n’en est pas une. Le fait de se poser des questions, même élémentaires, à son sujet, fait qu’on la considère forcément comme une injustice et comme une très grande perversion.



Retrouvons maintenant, si vous le voulez bien, le thème principal de notre exercice et pimentons-le un peu. Pour ce faire, imaginons maintenant que cette organisation armée soit passée de la théorie à la pratique et se soit mise à assassiner le plus grand nombre de Français possible, utilisant à cet effet, toutes les occasions qui se présentent à elle ainsi que toutes celles qu’elle est capable de susciter. L’organisation ennemie ne distinguant pas entre ses victimes, à part pour s’assurer qu’elles soient, en principe, françaises.



Ajoutons que l’organisation a su persuader la nation dont elle est issue de la nécessité suprême d’éradiquer la France et les Français, au point de convaincre des milliers de volontaires à accepter de se sacrifier comme autant de bombes humaine afin d’œuvrer pour l’objectif.



Après chaque assassinat collectif de Français, les leaders de l’organisation prennent soin de rappeler, avec une infatigable régularité, qu’il s’agit d’une étape dans la lutte contre la France mais que ladite lutte ne cessera que lorsque le dernier Français aura été éliminé.



De compromis avec la France, il n’est pas question pour ces chefs, car ils compromettraient l’essence de leur doctrine. Ils refusent même, ces timoniers de l’apocalypse, de discuter avec ceux des représentants de leur propre nation qui envisagent de vivre en paix avec la France et ils appellent le peuple à leur renversement brutal.



Bien évidemment, cette organisation existe, dans le strict cadre même que je dépeins, c’est le Hamas, sauf que son ennemie n’est pas la France, vous l’aurez compris, mais l’Etat d’Israël. Je veux, par cette transposition des rôles, à la fois montrer le caractère universellement monstrueux du Hamas et de ses objectifs et permettre au lecteur français de regarder, le temps d’une lecture, cette organisation terroriste, comme si c’était son existentialité à lui qu’elle menaçait.



Au-delà de cette personnalisation d’une menace, je veux faire comprendre sa binarité. De par les objectifs que le Hamas s’est fixés, et qui demeurent absolument imperméables aux changements conjoncturels, et seulement à cause de l’existence de ces objectifs, il n’est pas possible de coexister avec une milice armée, qui œuvre, par tous les moyens, à votre éradication et qui s’en vante.



C’est soit la France, soit le Hamas mais pas la France et le Hamas ensemble et tous ceux qui s’activent dans la même dynamique que ces Islamistes, pour reprendre les termes de notre exercice intellectuel. Rantissi est très clair dans son discours, qui parle de purifier son pays des Juifs jusqu’au dernier d’entre eux.



Sauf ceux qui prennent au sérieux la déclaration du regretté Jean Yanne "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", et qui sont sérieusement légions, il n’existe aucune bonne raison de ne pas croire Rantissi, surtout lorsque son organisation ponctue ses phrases avec des autobus qui sautent.



Dans la réalité des choses, exacerbée encore par l’initiation de la Carte routière, cela signifie que la scission stratégique, même si cela ne se voit pas forcément sur vos médias, se fait très simplement dans les deux camps suivants :



1. Ceux qui ont choisi l’option des deux Etats pour deux peuples différents
2. Les autres



Il se peut qu’il soit effectivement plus aisé pour Ariel Sharon que pour Mahmoud Abbas de s’attaquer frontalement à la direction du Hamas. Ce qui compte, c’est qu’ils soient objectivement du même côté de la palissade, qu’ils le savent et qu’ils comprennent que dans l’équation de la coexistence, il n’y a pas de place pour le Hamas, ses patrons et ses alliés et qu’ils oeuvrent en conséquence.



Quant à la tentative d’élimination de Rantissi, je trouve très hypocrite qu’elle ait étonné autant de monde. A moins de haïr la paix et d’embrasser la cause de l’islamisation de la planète, je ne conçois pas que l’on puisse s’opposer à l’éradication des éradicateurs. Cette remarque vaut même et surtout au plan éthique, démocratique et selon les valeurs de la gauche démocratique. Ceux qui s’emploient à l’extermination d’un peuple, par l’assassinat ciblé d’innocents, qu’ils soient Israéliens, Français ou autres, n’ont pas le droit de respirer le même air que ceux qui aspirent à la coexistence pacifique entre les différences et sûrement pas s’ils les tuent.

Par Emma (Emma) le jeudi 12 juin 2003 - 18h42:

Les victimes identifiees de l'attaque contre le bus a Jerusalem sont :


Sgt. Tamar Ben-Eliahu, 20, Moshav Faran

Alexander Kazaris, 77, Jerusalem

Ro’i Eliraz, 22, Mevassaret

Tsipora Pesakovitch, Tsur Hadassah

Rene Malka Sultana, 67, Jerusalem

Allen Cohen, 47, Jerusalem

Elsa Cohen, 70, Jerusalem

Yaffa Mualem, 65, Jerusalem

Zvi Cohen, 39, Kiryat Menahem

Eugenia Berman, 50, Jerusalem

Tita Martin Tita, 75, Jerusalem

Yaniv Ubaid, 22, Herzliya

Bat-El Ohana, 21, Kiryat Ata

Anna Orgal, 55, Jerusalem

Ayez une pensee pour ces innocentes victimes de la haine.

Par Davideden (Davideden) le jeudi 12 juin 2003 - 16h58:

Je serais d'accord sur une seule une chose dite par Boulares Sofiene: Il n'a pas de "probleme Juif" en Tunisie.
Il reste quelques Synagogues a bruler et celle de Djerba qui sert a ammener quelques devises et continuer la propagande et la politique de l'autruche.

Mr. Sofiene a la preuve que la Tunisie a toujours ete tolerante puisque les Juifs ont le droit de visiter Djerba chaque annee. N'a-t-on pas le droit de visiter Berlin ou meme Auschwitz? Cela veut il dire que la l'Allemagne et la Pologne ont un passe sans reproches?

Ce qui est arrive aux Juifs de Tunisie est bien loin d'etre comparable a ce qui s'est passe en Pologne ou en Allemagne.

Neanmoins, il reste en proportion plus de Juifs en Pologne que de Juifs en Tunisie. Expliquez le depart d'une population entiere par les "juifs tunisiens est qu’ils ne se sentaient pas tunisiens mais ils se sentaient plus des israéliens ou des français peut être" est une revision de l'histoire.

Ceux partis au Canada se sentaient ils quoi? et ceux partis au USA?
Les Arabes qui vivent dans les maisons qui appartenaient a ces Juifs se sentent quoi? et ceux qui ont vole aux Juifs leur commerce?

Mr. Sofiene, pourquoi la Tunisie ne reconnait pas l'etat d'Israel et cesse l'incitement antiIsrael dans les medias? Les Palestiniens ont aussi le droit de venir visiter Israel et ceux qui vivent en Israel ont plus de droits que les Arabes qui vivent en Tunisie!!

Par Nao (Nao) le jeudi 12 juin 2003 - 15h27:

J'ai la rage au coeur comme beaucoup d'entre vous surement ce matin.
Qu'attends Israel pour leur larguer une bonne bombe sur la tete et faire un VRAI Massacre? De qui a t'on peur? de la communaute internationale? elle nous hait de toute facon et souhaite que nous n'existions pas! Il y a des massacres sans nom au Congo. Qui s'y interesse???
Tout le monde fait une obsession maladive sur les palestiniens!!!!

Hier Rumsfeld a dit qu'il fera une guerre sans merci aux guerrillas en Irak! Pourquoi eux en ont-ils le droit et pas nous? Ou alors il y a un language americain officiel (pr la presse) et officieux (en prive a Israel)!
Quelle difference y a t'il aujourd'hui entre un militant du Hamas et un palestinien de la rue? AUCUNE! Il suffit de les voir par milliers agglutines commes des insectes a hurler leur haine dans les rues de Gaza la maudite!
Puisque Hamas se dechaine, alors dechainons notre colere avant eux en emportant tout sans distinction sur notre passage!!
Ou alors Israel leur auto-proclame leur etat de merde et leur fait une VRAIE guerre pas comme celle la larvee et incontrolable! Et la on va voir combien de temps ils vont tenir!
Ce matin je ne suis pas coeur tendre!

Par Wnes (Wnes) le jeudi 12 juin 2003 - 15h09:

La Douda ( Agence de presse alternative )

Cher Djlachem, et hommage à Boulares Sofiene,

La condition de "dhimmi" qui qualifiait ceux qui étaient soumis à l'impôt appelé "dhima", n'existe plus en Tunisie depuis bientôt deux siècles, alors qu'à l'époque en France on payait encore la dîme.

Quant à ceux qui se sont expatriés, Chrétiens, Israélites, ou Musulmans, ce fut de leur plein grés. Il faut bien se souvenir, que ceux qui préparaient leur expatriations, disaient souvent à ceux qui restaient : " Nous on part pour Paris, Nice, Cannes...etc..., alors quand est-ce que vous partez ? "

On avait bien envie de leur dire " Debarassek, nous on est bien ici ! " Mais comme on était polis, alors on ne le leur disait pas.

Bien à vous,

La Douda

Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 12 juin 2003 - 14h51:

ceci est la bonne adresse

http://www.conceptwizard.com/pipeline_of_hatred.html

Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 12 juin 2003 - 11h29:

A Boulares Sofiene,

Il y a des vérités historiques qui sont maintenant incontestables.

Même si les Tunisiens sont un peuple accueillant et que nos relations doivent s'améliorer et retrouver le lustre qu'elles ont peut-être connu au 20e siècle, cela ne doit pas se faire au détriment d'un regard honnête sur l'Histoire. Ce n'est parce qu'on se ment qu'on s'entendra mieux.

Il ne s'agit pas de dénigrer un individu et d'en faire une généralité mais de décrire la réalité de la condition de "dhimmi" en Tunisie comme dans tout autre pays arabe.

Et cela, je crois que vous aurez beaucoup de mal à prouver le contraire.

Cordialement

Jean-Pierre Chemla

Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 12 juin 2003 - 09h05:

a voir et a diffuser largement, world wide si possible


http://www.conceptwizard.com/pipeline_of_hatred.html

Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 12 juin 2003 - 08h25:

Rideau Rouge- TV5 : Israël – Palestine : Faisons un rêve…

En direct, mardi 10 juin à 20h25 (gmt), Rideau Rouge revient sur la situation tragique de ces deux peuples, avec des reportages, des témoignages et des invités.
Clause Sérillon a envoyé balader l'ambassadeur Nissim Zvilli quand il voulait rectifier les manipulations historiques et les contre-vérités d'une jeune assistante d'Abou Mazen, du nom de Diane BOUTOU, fort excitée par ailleurs. Elle a la fureur contenue et la mauvaise foi de Charles Enderlin qui parlait "au nom d'Arafat" et proposait des observateurs internationaux d'urgence (pour internationaliser le conflit), avec la rapide approbation de Saeb Arakat, sur le plateau.
Israël a du pain sur la planche devant ces énergumènes (anciens et nouveaux) qui inventent tous les arguments possibles pour détruire la nation israélienne.
Je voudrais revenir sur 3 points mal connus du public et de Clause Sérillon et que l'ambassadeur Zvilli n'a pu expliciter sur le plateau, puisque Sérillon l'en a empêché avec des arguments fallacieux.
1. Résolutions ONU: assemblée générale/conseil de sécurité. Toute résolution de l'Assemblée Générale ou de toute commission de l'Onu est une simple recommandation; par contre celle du Conseil de Sécurité s'impose. Les pays arabes ont fait fi de la résolution du Conseil de Sécurité de 1947 créant l'état d'Israël et un état palestinien...
2. En 1948, l'Egypte a envahi Gaza et la Jordanie a envahi la Judée/Samarie, défiant la résolution du Conseil de Sécurité. La ligne d'armistice de 1949, frontière d'Israël avec l'Egypte et la Jordanie n'est pas reconnue comme une frontière internationale; elle est une simple ligne de séparation entre armées. Par conséquent, légalement selon la 4ème Convention de Genève de 1949, Gaza et la Cisjordanie ne sont pas considérés comme des "territoires occupés" après la guerre de 1967, mais comme des territoires contestés, soumis à négociation pour déterminer leur futur statut.
3. La plupart des Palestiniens sont des arabes ayant migré vers la Palestine tout au long du 20ème siècle, venant des pays arabes. Lors des nombreuses guerres contre Israël provoquées par ces mêmes pays arabes, des palestiniens (650 000) se sont enfuis vers leur pays d'origine à l'instigation de celui-ci. Par contre, une fois et demi plus de juifs (soit 900 000 âmes) ont quitté les pays arabes, la plupart chassés de ces pays, souvent avec un délai de 48 heures et sans ressources, dont les 2/3 ont été absorbés par Israël.

albert soued - texte à diffuser librement
voir aussi www.chez.com/soued et www.nuitdorient.com

Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 12 juin 2003 - 07h57:

"Il n'y a pas de problème juif dans notre pays. Il n'y a pas de problème de minorités. Nous n'avons pas l'intention de créer une question juive artificielle suite aux pressions extérieures. Nous ne leur donnons pas la permission de nous influencer !"

Réponse de Jelal Bayar, Premier ministre turc, aux pressions de l'Allemagne nazie (27 janvier 1938)



Madame, Monsieur,

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication sur notre site d'une étude très intéressante du professeur Hasan Köni, de la Faculté des Sciences Politiques de l'Université d'Ankara, consacrée aux Juifs de Turquie.

Pour lire cette étude, cliquez sur le lien suivant :
http://www.tetedeturc.com/Armenien/Antisemitisme.htm#Juifs-de-Turquie


Nous vous signalons également la mise en ligne d'un dossier consacré à des maux endémiques qui rongent la société arménienne : l'antisémitisme et la turcophobie. Pour consulter ce dossier, cliquez sur le lien : http://www.tetedeturc.com/Armenien/Antisemitisme.htm


Bien cordialement,

L'équipe de Tête de Turc
http://www.tetedeturc.com
Le site francophone des Amis de la Turquie

Par Claudia (Claudia) le jeudi 12 juin 2003 - 07h53:

La nuit dernière, Israël a fourni des informations à l'administration américaine démontrant le lien entre le responsable du Hamas, Abdel Aziz Rantisi, et le terrorisme actuel contre des Israéliens. (Guysen.Israël.News)

Par Emma (Emma) le jeudi 12 juin 2003 - 02h36:

A VOIR ABSOLUMENT CE DOCUMENT SUR L'ANTISEMITISME

Par Email (Email) le jeudi 12 juin 2003 - 02h41: