Par Meyer (Meyer) le vendredi 03 février 2006 - 11h24:

Hamas demands return of Seville in internet children's magazine

Spain Herald
Wednesday, January 04, 2006

The children's website Al Fateh, property of the Palestinian terrorist group Hamas, demands in its most recent issue the return of the Spanish city of Seville to the "lost paradise" of Al Andalus, as the Muslim part of Spain was called during its existence between 711 and 1492. The web magazine, whose name means "conqueror," says it is for "the young builders of the future."

http://www.spainherald.com/2414.html

Par Mena (Mena) le vendredi 03 février 2006 - 11h02:

Le Département d’Etat courtise – les islamistes qui assassinent avec modération – (info # 010202/6) [analyse]
Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency

Un mélange d’auto-intoxication et de calcul politique myope a de tous temps poussé les diplomates et les stratèges à chercher la stabilité à tout prix. La politique coloniale britannique s’en fit une règle d’or : en pactisant avec des « élites » locales souvent corrompues et avides de pouvoir, Sa Majesté gouvernait de vastes territoires « indirectement », comme on le formulait joliment, faisant l’économie de lourds investissements administratifs. Fréquemment, la méthode était opérante : on avait le calme.

C’est ce qu’on fit au Moyen-Orient. Quand l’Empire ottoman eut l’obligeance de se suicider en choisissant d’entrer dans la Grande Guerre aux côtés des Empires centraux, un certain nombre de pays s’ajoutèrent à l’Egypte et aux petits émirats du Golfe persique dans l’escarcelle de l’Angleterre : l’Irak et la Transjordanie, dont les trônes, gouvernements impériaux indirects, furent occupés par l’instrument choisi par le Foreign Office et l’India Office, la famille des chérifs de La Mecque, les Hachémites descendus du Prophète. Les hommes forts, ou faibles, selon les cas, étaient en tout cas sunnites, d’où provint le culte de l’homme fort sunnite, en général un militaire, qui constitua une grande partie de la politique moyen-orientale de Londres dans l’entre-deux-guerres et après. Le culte était renforcé par le romantisme arabophile, qui sévissait dans les classes dirigeantes britanniques : le « noble Bédouin » du désert était devenu l’incarnation moderne du bon sauvage (à la différence du citadin civilisé, corrompu et artificiel, dont le Juif, quel hasard, était le représentant consommé). De T.E. Lawrence à Gertrud Bell ou à St John Phil (le père), le cliché est constant.

Quand les Américains craignirent de manquer de pétrole, en 1943, Washington commença à s’intéresser à la région à l’échelle gouvernementale. Diplomates et espions américains héritèrent des clichés britanniques. Ils les achetèrent à bas prix, d’autant que Londres liquidait au rabais ses anciennes responsabilités régionales. On en aura une vive impression en consultant les mémoires d’un des plus importants diplomates-barbouzes américains de l’après-guerre, Miles Copeland, The Game of Nations, où il exhibe, sans la moindre gêne, avec fierté même, la politique menée dans la région : puisqu’il faut des alliés, et qu’il faut moderniser, les seuls qui puissent procéder à la « modernisation » sont les militaires arabes. Eux seuls sont capables d’agir, puisque les anciennes élites dirigeantes sont abouliques et corrompues. La dictature militaire est donc la grande solution, la panacée du monde arabe.

Copeland narre par le menu comment les services officiels et para-officiels des Etats-Unis s’abouchèrent avec certains groupes militaires syriens pour amener le premier coup d’Etat militaire qui secoua Damas après-guerre, et préluder à la longue suite d’abominations qui aboutirent à la dynastie assadienne. Il conte avec plus de détails encore les relations intimes entre lui-même, ses collègues, et le groupe des « Officiers libres » dirigés par Gamal Abdel Nasser, avant leur prise de pouvoir, pendant le putsch, et après. On apprend ainsi que la CIA avait joué un rôle crucial dans l’essor et la victoire desdits officiers « libres ». On voit la centrale de renseignement expliquer à Nasser comment ériger un Etat policier, comment organiser la police secrète, etc. La gueule enfarinée, Copeland, auto-satisfait, donne là un « mode d’emploi » de la délirante politique qui guida longtemps les Anglo-américains – et les autres Occidentaux ! L’épisode de Suez, en 1956, ne fut, hélas !, qu’un épisode d’éphémère courage franco-anglais. Mais c’est au nom du culte de l’homme fort sunnite que le secrétaire d’Etat du président Eisenhower, John Foster Dulles (« dull, duller, Dullest » ricana Churchill), proféra les pires menaces à l’égard de Londres et de Paris, afin qu’ils fassent grâce à Nasser, lequel, sauvé, s’empressa de cracher au visage de ses bienfaiteurs en se tournant vers Khrouchtchev.

De nos jours, le barbouze britannique Alastair Cooke, passé du MI 6 à la diplomatie parallèle, fait des ronds de jambe au Hamas, tout comme les fonctionnaires du département d’Etat font des mamours au chef international des Frères musulmans, le cheikh Youssouf Qaradaqi – un Egyptien sis à Qatar – d’où il fulmine ses fatwas appelant à l’assassinat de civils israéliens et de militaires américains en Irak, ce qui n’empêche pas les uns anglais et les autres américains de l’orner de l’épithète d’ « islamiste modéré » – les islamistes qui assassinent avec modération –. C’est un son de cloche que l’on entend malheureusement dans certains cercles proches de la Maison Blanche.

Alors que le président Bush reste fermement sur une ligne « sharanskyenne », son impéritie dans le suivi donne une latitude d’action inexcusable aux opposants de cette politique. Pendant que le président répète son inconditionnel refus de traiter avec une organisation terroriste vouée à la destruction d’Israël – phrase qu’il a répétée à de nombreuses reprises ces derniers jours – on susurre du côté de Foggy Bottom, le siège du département d’Etat, qu’il serait bon que « nos amis saoudiens » prennent le relais et assurent l’intendance de l’Autorité désormais « hamassée ».

Les chefs du Hamas reçoivent de bons conseils : faire montre d’une rhétorique « modérée ». « Nous n’entendons pas exterminer tous les Juifs tout de suite », permettrait aux Européens, le ministre anglais Jack Straw en première ligne, de crédibiliser l’argument : « le pouvoir modérera le Hamas, les responsabilités les calmeront », en un mot, les sornettes et les bondieuseries dont on aspergea Arafat avant, pendant et après Oslo.

Les excellents instincts de Bush, homme politique aux convictions « tripales », l’ont toujours maintenu dans le bon chemin. Un élément fondamental de la stratégie suivie pendant cinq ans et avec une admirable constance par Ariel Sharon, fut de ne jamais laisser de distance s’installer entre lui et Bush. Dans le fardeau que les héritiers Olmert et Livni auront à porter, le moindre poids ne sera pas celui de tisser un lien aussi fort. Ajoutons que, de même qu’Arafat, par extrémisme et autisme (« je peux tout me permettre ») s’était totalement aliéné Bush en lui mentant (dans l’affaire du chargement d’armes du Karina), on peut compter sur le Hamas, et sur l’Iran, pour radicaliser le jeu. Devoir compter, pour se tirer d’affaire, cependant, sur les erreurs de ses ennemis, est un jeu dangereux. C’est malheureusement celui que joue une partie de Washington, celle-là même qui glissait naguère à l’oreille et dans les discours du président les balivernes du genre « l’Islam est une religion de paix. »

Par Jneyen (Jneyen) le vendredi 03 février 2006 - 06h44:

MEI KHABOUNESH,

Article tres tres tres interessant sur la spoliation des juifs qui continue encore de nos jours sous divers stratagemes juridiques bourrés de mensonges.

Honte a un pays soit disant hautement culturel....

http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/spoliation/dossier.asp?ida=436818

Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 03 février 2006 - 10h58:

LA DÉSINFORMATION EN MARCHE

Par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com

Le 03/02/06

Pour n'avoir pas censuré la publication de caricatures sur le prophète Mohamed, le Danemark subit l'assaut du Jihad mondial, allant jusqu'au boycott de ce pays et la fermeture d'ambassades arabes à Copenhagen.

Un grave problème se pose à l'Europe: sous la pression de l'Internationale islamique la liberté d'expression n'est-elle pas menacée? Ne peut-on pas critiquer l'Islam ou son prophète, quand des individus comme Dieudonné s'en donnent à cœur joie contre le Judaïsme, les Juifs, leurs rabbins, sans aucune sanction possible ? Ou quand des dizaines de caricatures anti-juives circulent dans le monde, émanant de pays arabes "respectables", sans qu'aucun Musulman ne s'en émeuve…

Dans son éditorial, le journal Die Welt écrit: "On prendrait les protestations musulmanes plus au sérieux si elles étaient moins hypocrites. Quand la télévision syrienne a diffusé en prime-time des drames documentaires montrant des rabbins en cannibales, les imams se sont tus"

En Jordanie, ce n'est pas par solidarité avec l'Europe qu'un tabloïd a reproduit trois des dessins controversés. Mais "pour appeler les musulmans à travers le monde à la raison", les dessins ne prêtant pas à conséquence. Dans l’éditorial, le rédacteur en chef explique avoir "publié volontairement ces caricatures pour que les gens sachent contre quoi ils se révoltent".

La preuve en est que les dessins sont parus depuis 4 mois et qu'aucun Musulman ne s'en est offusqué. Aujourd'hui, il s'agit d'une campagne orchestrée par les Islamistes pour soulager l'Iran et le Hamas en mauvaise posture internationale, du fait de leurs positions en flèche. Ils ont ajouté aux 12 dessins pratiquement anodins, dix autres "faux" révoltants, avec des têtes de porc, pour exciter la population musulmane (mélange du vrai et du faux, méthode classique de désinformation)

Le président égyptien Hosni Moubarak va plus loin. Il met en garde les pays européens contre une "mauvaise gestion du scandale qui pourrait", d'après lui, "profiter aux forces extrémistes et terroristes". À bon entendeur, salut! Pour les Européens qui n'auraient pas saisi Moubarak , il faut refuser catégoriquement les diverses exigences islamistes, et ne pas sombrer dans les "salamaleq" de l'apaisement ou de l'"islamiquement correct".

Par Maurice (Maurice) le jeudi 02 février 2006 - 22h04:

La victoire du Hamas a éveillé les esprits et inquiète certains journalistes. Denis Jeambar, directeur de la rédaction de l’Express, parle de « régression ». « La société palestinienne est à son tour prise dans ce mouvement de régression orchestré par un intégrisme qui prône un retour au passé comme remède aux malheurs du présent. L'arme de ces fondamentalistes : l'application de la charia », note Denis Jeambar qui souligne que « Cette loi, qui refuse toute distinction entre le droit divin et le droit civil, entre le religieux et le politique, est la ligne de fracture entre l'univers musulman et le monde développé ». D’ailleurs, tout en estimant que les Occidentaux devaient « cesser de se sentir responsables de cette faillite et arrêter de légitimer, par des mea culpa qui n’ont pas lieu d’être, la dialectique fondamentaliste qui les prend pour cible », Denis Jeambar cite Bernard Lewis qui rappelle que «c'est le manque de liberté qui est à la base des maux dont souffre le monde musulman » et que « Ce n'est qu'en renonçant à leurs griefs et à leur victimisme, en surmontant leurs querelles, en unissant leurs talents, leur énergie et leurs ressources dans un même élan créatif que ces peuples pourront de nouveau faire du Moyen-Orient ce qu'il était dans l'Antiquité et au Moyen Age, un haut lieu de la civilisation. Le choix leur appartient». « Pour l'heure, ils font le choix contraire et plongent dans l'engrenage, funeste pour tous, de la haine, de l'obscurantisme et de l'affrontement », ajoute, pour sa part, Denis Jeambar.

Régression (L’Express)

Par Breitou (Breitou) le jeudi 02 février 2006 - 22h19:

CHANSON.

Paris le 24/01/2006.

Par Suggest1 (Suggest1) le jeudi 02 février 2006 - 20h53:

L’article de l’Express sur la spoliation des biens des Juifs d’Autriche qui cependant continue :

http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/spoliation/dossier.asp?ida=436818 (klic klic)

Ferdinand Bloch-Bauer, était un magnat du sucre, propriétaire de la plus grande raffinerie d'Autriche, mais aussi mécène et collectionneur d'art. Adèle, sa jeune épouse, fille d'un banquier de Vienne, fut l'une des muses de Gustav Klimt, qui l'a croquée sur des dizaines de dessins et surtout sur deux toiles devenues célébrissimes. Estimé à lui seul à plus de 50 millions d'euros, Adèle Bloch-Bauer I, ou le «portrait doré», est considéré comme la Joconde de l'Autriche, une icône nationale, qu'on retrouve imprimée à la chaîne sur les tee-shirts et les tasses à café des boutiques du musée du Belvédère.

Ici un tableau figurant la victoire de Judith la belle veuve Juive sur Holopherne (la tête d’Holopherne en bas à droite)
http://www.rmn.fr/galeriesnationalesdugrandpalais/02expo/2005/klimt/pics/klimt.jpg (klic klic)

Reproduction du tableau Adele Bloch-Bauer ou le «portrait doré (la Joconde de l’Autriche)
http://imagecache2.allposters.com/images/CLI/ACG1002.jpg (klic klic)

suggest.1

Par Michka (Michka) le jeudi 02 février 2006 - 20h47:

En ce qui concerne la polémique qui embrase les musulmans, et faisant suite au message de Sammy GHOZLAN, il me vient un proverbe qui décrit bien son commentaire sur les nombreuses caricatures antijuives qui foisonnent dans les pays musulmans et qui n'ont jamais été condamnées :

" C'est l'arroseur arrosé... "

Par Michka (Michka) le jeudi 02 février 2006 - 20h36:

Les propos scandaleux du président d’IKEA

Interrogé au sujet du boycott des produits Scandinaves au Moyen-Orient, le fondateur et président d’Ikea Ingvar Kamprad, 6e fortune mondiale, aurait affirmé:

"Ce n’est pas tellement un problème. De toute façon, les arabes dorment par terre, mangent avec les doigts, et ne possèdent qu’un seul livre. Ce n’est pas à eux que l’on vendra lits, couverts et étagères."

AFP

Par Claudia (Claudia) le jeudi 02 février 2006 - 19h04:

A Gaza, menaces contre les Français et les Danois et les Norvégiens

NOUVELOBS.COM | 02.02.06 | 10:10

Deux groupes armés palestiniens ont menacé de "prendre pour cible" tout Français, Danois et Norvégien à Gaza et en Cisjordanie.

D eux groupes armés palestiniens ont menacé jeudi 2 février dans un communiqué de "prendre pour cible" tout Français, Danois et Norvégien à Gaza et en Cisjordanie, après la publication dans la presse de ces pays de caricatures du prophète Mahomet.
Dans un communiqué, les Comités de la résistance populaire et le "commandement commun" des Brigades des martyrs d'Al-Aqsa affirment que "tout Norvégien, Danois ou Français présents sur notre terre est une cible".
"Nous demandons la fermeture des bureaux et consulats en Palestine des trois pays concernés, sinon nous n'hésiterons pas à les détruire", ajoutent-ils.
Un porte-parole des Comités de la résistance populaire, qui se présente sous le nom d'Abou Moujahid, a confirmé que cette menace devait être prise au sérieux et qu'elle serait élargie à tous les pays dont la presse publierait ces caricatures.

Appels au boycott
Les deux groupes réclament également la mise en place d'un boycottage des produits français, danois et norvégiens: "Nous mettons en garde les commerçants et tous ceux qui vendent des produits de ces trois pays".