Par Pinacolada (Pinacolada) le lundi 23 juin 2003 - 13h08: |
pour les fêtards et les noctambules de tous poils : un site pratique, trés sympa et fort bien fait -> http://www.tunislanuit.com
Tabarka Jazz Festival 2003: http://www.scooporganisation.com/scoop/news/tabarka_jazz_festival_2003.cfm
Tabarka World Music festival 2003: http://www.scooporganisation.com/scoop/news/world_music_festival_2003.cfm
A+
Pinacolada.
Par Pinacolada (Pinacolada) le lundi 23 juin 2003 - 11h43: |
drôle de démocratie ! Hajkloufette, tu vantes la démocratie israelienne, mais dés que quelqu'un ose exprimer un avis contraire, tu l'accuses de jouer la carte de la victimisation. En suivant ta logique, tout le monde doit etre d'accord avec la politique du gouvernement sharon, sous peine d'etre taxé de...
Henri, Tu as le droit de defendre ton point de vue, mais je souhaite seulement que tu le fasses avec des arguments qui tiennent, pas en t'attaquant à moi ou à l'auteur de cet article. s'attaquer à la personne et non à son argumentation n'est rien d'autre qu'une sortie de secours qu'on utilise lorsqu'on est en manque d'arguments valables...j'éspere que ce n'est pas ton cas Henri !
Bonne journée, Ciao !
Par Wnes (Wnes) le lundi 23 juin 2003 - 09h13: |
Yéh Bébert, Gastron...Homme !ZZZZZ!
Un certain Albert Cohen n'avait-il pas écrit que : " Le jambon était la seule partie kasher du cochon ! "
Alors, les andouilles et les andouillettes, qui sévicent sur le WEB, n'ont selon Albert Cohen, strictement rien de kasher, même pas le boudin à Darbou...Rass.
Sakha l'ftour, aïnou bicha !
Wnessou El Douda
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 23 juin 2003 - 09h42: |
le 15 juin s est ouvert aux environs de Paris le salon du Bourget qui est toujours pour Israel un moyen de faire connaitre et recconnaitre son industrie d armement de pointe . Comme tous les ans , le stand d Israel attire un tres nombreux public
En Israel le lien des industries de developpement d armement sont tres liees a Tsahal , en fait elles essayent toujours de developper ce qui donnerait une reponse immediate a nos besoins militaires deguerre ou de defense ce qqui permet une amelioration constante et une adaptation raapide aux demandes du terrain .
Un apercu des nouveautes que l on a pu voir au salon du Bourget
Missile Air Terre POPEYE developpe a RAFAEL , missile avec une beaucoup plus grande amplitude , deja utilise dans l US Air force , il augmente la distance necessaire pour toucher l avion ennemi .
Le PAWS , systeme de protection des helicopteres , des avions de transport contre des attaques de misssiles
le TALD , nouvel avion sans pilote qui transmet les memes signaux qu un avion de combat offrant ainsi une simili cible aux avions ennemis
Le Harpy , petit avion dont le role est de "se suicider " sur des cibles ennemis tels que des radars ou des batteries anti aeriennes
Le SPIKE ., missile anti char , nouvelle generation, avec une tete electro optique permettant une extreme exactitude de tir , de jour comme de nuit et dans toutes conditions meteo
Le radar MDSR qui decouvre , homme , voiture ou helicoptere .
voici une image :
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 23 juin 2003 - 08h21: |
LA STRATÉGIE ISRAÉLIENNE APRÈS LA GUERRE D'IRAK
Par le Major Général Yaaqov Amidror – ancien directeur du Collège de défense nationale et de la division d'étude et de recherche de Tsahal. Conférence du 3 mars 2003 devant l'Institut des Affaires Contemporaines de Jérusalem. Paru dans le "Jerusalem Issue Brief"- Traduit et adapté par Albert Soued, écrivain www.chez.com/soued
Résumé de la conférence
En cherchant à "démocratiser" le Moyen Orient, les Etats-Unis pensent à des modèles comme l'Allemagne ou le Japon, deux pays défaits par la guerre et reconstruits.
Il faut se remémorer qu'Israël a ouvert la voie aux Américains, en stoppant les visées nucléaires de l'Irak, démonstration de la coopération stratégique entre les deux pays. Israël a longtemps craint la perspective d'une coalition syro-irakienne. En effet, en 1973, l'entrée à la dernière minute des troupes irakiennes au Golan a presque failli le sauver au profit des Syriens. Et la suppression de cette menace venant de l'Est change complètement la stratégie israélienne eu égard à un éventuel conflit dans la région.
Au moment où certains pays arabes commencent à comprendre que la force et la terreur ne les mènent nulle part, l'adoption forcée de la "feuille de route" signifie une régression, donnant le signal que la terreur est payante!
Les objectifs américains en Irak, désarmement, stabilité et démocratie
Un examen attentif des motivations américaines de partir en guerre contre Saddam Hussein montre qu'il ne s'agit pas simplement de le désarmer et d'éliminer ses stocks d'armes de destruction massive. Le but réel est de stabiliser son pays – une tâche immense – car la société irakienne n'est pas homogène et contient des ferments d'inimitiés et de conflits qui risquent d'embraser la région s'ils ne sont pas dissipés.
L'horizon américain s'étend au delà de cette stabilisation; certains stratèges voient cette guerre comme un tremplin pour remodeler le Moyen Orient sur le plan politique.
Ils sont conscients que la guerre menée contre la terreur va durer et que la force seule n'en viendra pas à bout. Ils estiment que les régimes arabes et musulmans doivent subir des changements profonds et que l'Irak en sera le prototype, lorsqu'on aura réussi à le "démocratiser", après cette guerre annoncée. Même les Américains les plus naïfs ne croient pas qu'on puisse y parvenir un an après la guerre, mais qu'il faut cependant entamer le processus qui mènera à la démocratie.
Mais l'Irak n'est pas l'ultime objectif, car il s'agit du Moyen Orient, du monde arabe et de l'Islam. Gagner la guerre en Irak n'est qu'une première étape; et pour gagner celle qui est menée contre le terrorisme, il faudra aller plus loin dans le changement de structure de la région. Cette guerre aura des conséquences pour Israël et ses voisins. Ne perdons pas de vue que l'administration américaine actuelle n'est pas une suite de celle de Bush père, laquelle était motivée par des considérations commerciales et pétrolières seulement. Sur le plan idéologique, on peut dire qu'elle est la continuation de celle de Reagan. Cette administration mène une guerre contre l'"axe du mal" et souhaite voir des démocraties naître partout. Ses modèles sont le Japon et l'Allemagne, après la 2ème guerre mondiale, deux pays écrasés mais reconstruits après la guerre. L'Europe de l'Est serait un second modèle, avec la démocratisation de nombreux pays, après l'effondrement de l'Urss. Ces deux expériences seraient instructives pour l'avenir du Moyen Orient.
Les Américains doivent réussir dans leur triple challenge pour convaincre les Européens et réduire leurs critiques. L'histoire ne juge et ne rapporte que les résultats.
Israël dans "ce nouveau Moyen Orient"
Le rêve américain est de construire "un nouveau Moyen Orient"! Il ne s'agit pas de signer de nouveaux accords, mais de révolutionner tout le système qui prévaut actuellement. Dans l'hypothèse d'une réussite, cela nécessitera de la part d'Israël qu'il redéfinisse sa stratégie. Quand les Etats-Unis désarmeront l'Irak, la position stratégique d'Israël devra être remodelée. En effet, la menace des missiles irakiens cessera et Israël en sera soulagé d'autant, car il ne faut pas perdre de vue qu'Israël a dépensé beaucoup d'argent et d'énergie pour neutraliser cette menace (abris, masques, systèmes antimissiles…)
La suppression de cette menace sera aussi un avertissement à d'autres pays équipés de fusées qui chercheraient à les utiliser. Dans le passé, la coopération stratégique avec les Etats-Unis a été payante, notamment lors de l'élimination par Israël en 1981du réacteur nucléaire irakien Osirak. Et cette coopération au niveau des missiles l'est également, par la mise hors d'état de nuire de tout état qui menacerait Israël ou tout autre pays du Moyen Orient.
Le front oriental
Le changement de régime en Irak libérera Israël d'une autre menace, une guerre classique sur le front oriental. Israël a longtemps craint la perspective d'une coalition syro-irakienne; en 1973, l'entrée à la dernière minute des troupes irakiennes au Golan a presque failli le sauver au profit des Syriens. Et la suppression de cette menace venant de l'Est change complètement la stratégie israélienne à l'égard d'un éventuel conflit dans la région.
Une issue heureuse de la guerre d'Irak aura des implications dans les négociations avec les Palestiniens. Israël a toujours exigé le déploiement de forces militaires capables de protéger le pays contre une attaque venant de l'Est. L'Irak devenant un partenaire de l'Occident, ce pays renforcerait le "tampon" jordanien et Israël pourra éviter un déploiement important et coûteux dans la vallée du Jourdain. Israël pourrait avoir aussi une position plus souple dans les arrangements sécuritaires liés à la partie orientale d'une entité palestinienne.
Une issue heureuse de la guerre d'Irak aura des répercussions indirectes sur la Syrie. La chute de l'Urss et la suppression de l'aide accordée a affaibli ce pays qui a cherché un allié en Irak, malgré des relations traditionnellement tendues entre les deux pays. La chute de l'Irak isolera la Syrie, qui n'aura plus cette profondeur stratégique vers l'Est. La menace syrienne sera notablement atténuée.
Malheureusement, il ne faudra pas s'attendre à de grands changements du côté palestinien. Tout succès américain en Irak n'affectera en aucune manière l'hostilité des organisations terroristes comme le Hamas ou le Jihad Islamique. La menace terroriste ne peut être contrée que par des actions de l'armée israélienne en profondeur en territoire autonome Palestinien, visant les infrastructures de la terreur.
La "feuille de route" (carte routière en anglais) et ses risques
Tout succès américain en Irak mènera les Arabes et les Européens à exiger des Etats-Unis l'application de la "feuille de route" et à forcer Israël à l'adopter. Cette feuille de route compromettra sérieusement tous les acquis américains dans leur lutte contre la terreur, et consacrera Arafat et l'Autorité Palestinienne comme les grands vainqueurs de la guerre menée contre l'Irak. Le remplacement du discours du 24 juin 2002 de Georges W Bush par la "feuille de route" gratifie les Palestiniens, avant qu'ils n'aient levé le bout du doigt pour combattre le terrorisme. De plus, il compromet sérieusement les résultats notables acquis par l'armée israélienne dans sa lutte contre la terreur. Enfin le message de ces acquis sur le terrain, à l'intention des pays arabes, est que le terrorisme ne paye pas. La récompense accordée aux Palestiniens compromettrait gravement ce message.
La logique de base de la "feuille de route" prévoit que si les Palestiniens arrêtent le terrorisme, ils recevront la majeure partie de ce qu'ils demandent, y compris un état indépendant et le gel des implantations. La "feuille de route" rejette la terreur comme moyen de parvenir à des gains politiques et promet de récompenser les Palestiniens une fois qu'ils réussiront à arrêter le terrorisme seulement. Sur le plan moral, je ne vois pas pourquoi les Américains imposeraient aux Israéliens de "payer" pour l'arrêt de la terreur; sur le plan de l'histoire ce serait une erreur tragique!
Nous sommes en principe à l'aube d'une ère nouvelle au Moyen Orient. Certains pays arabes sont en train de comprendre que la force et la terreur ne mènent nulle part. L'adoption forcée de la "feuille de route" signifiera une régression, signifiant aux Arabes que la terreur paye! Ce serait une farce historique et morale.
Et la démocratie en Palestine?
L'objectif à long terme des Américains, la démocratie, pourrait être significatif surtout dans les futures relations entre Israël et le nouvel état de Palestine. La société Palestinienne est une candidate de choix à la démocratie. Elle est mieux préparée que l'Egypte ou la Jordanie, la Syrie ou l'Arabie, car son système politique n'est pas encore figé. De plus, elle n'a pas les problèmes de la plupart de ces pays (sauf l'Egypte) où une minorité gouverne la majorité. Ayant vécu avec la société israélienne depuis 1967, les Palestiniens ont déjà goûté à la démocratie. Si les Américains parviennent à "catalyser" la démocratie en Irak, des incidences bénéfiques pourraient se répercuter sur les relations entre Israéliens et Palestiniens.
Si des changements ont lieu au Moyen Orient dans la voie de la démocratie, l'acceptation d'Israël en tant qu'état Juif dans la région ne poserait plus de problème majeur.
Les "challenge" pour Israël
Un des objectifs d'après guerre d'Israël est de convaincre les Etats-Unis de résister aux pressions européennes et arabes en vue de l'adoption de la "feuille de route". Il faut bien au contraire faire pression sur l'Autorité Palestinienne pour qu'elle abandonne la terreur et qu'elle la combatte plutôt, en réorganisant ses structures. À ce moment là le processus pourra s'enclencher. L'élimination des terroristes et de leurs chefs est la condition préalable à tout processus. Tout cessez-le-feu ne mènera nulle part, comme le président Bush l'a clairement spécifié dans son discours du 24 juin 2002.
Nous espérons que les Etats-Unis s'en tiendront à cette position. Les mesures prises par les Israéliens depuis le début de l'intifada ont semé les graines d'une prise de conscience palestinienne. L'adoption d'emblée de la "feuille de route" compromettrait ces acquis, et risquerait de remettre Israël dans une situation où les Palestiniens seraient convaincus que la force est le moyen suprême pour gagner.
Le second "challenge" pour Israël est de convaincre les Etats-Unis de ne pas s'en tenir à un succès en Irak. Car alors, le H'ezbollah s'épanouira de plus belle, l'Iran continuera à développer missiles et armes de destruction massive, la Syrie restera la capitale de tous les terrorismes. Il ne faut pas perdre de vue que le Hamas et le Jihad opèrent à partir de sièges à Damas. L'Iran alimente le H'ezbollah en armes depuis Damas. Damas alimente en missiles ce même H'ezbollah.
Un îlot de paix et de démocratie en Irak dans un océan hostile ne consacrera pas le succès américain. Une opération en Irak est insuffisante. La démocratie ne se développera pas au Moyen Orient si les dictatures de la région sont protégées par les Etats-Unis.
La menace du H'ezbollah
Les Etats-Unis doivent faire pression sur la Syrie pour qu'elle cesse son soutien au H'ezbollah et qu'elle l'élimine du Liban du sud. N'oublions pas qu'il y a quelques années Amal, les Palestiniens et d'autres organisations terroristes ont abandonné leur implantation au Liban sous la pression israélienne, mais que le H'ezbollah s'y développe grâce à la Syrie. Celle-ci pourrait le désarmer en quelques semaines. Ce groupe a plus de 12 000 fusées Katiousha et des missiles de plus longue portée (70 km) qui peuvent atteindre la ville de Haifa.
Au bout du compte, la guerre contre le H'ezbollah sera menée par Israël et non par les Etats-Unis. Israël ne peut pas se permettre que ses guerres de défense au Moyen Orient soient menées par les Etats-Unis. Israël doit s'en tenir au principe qui l'a guidé depuis la guerre d'indépendance, se défendre lui-même et ne pas attendre qu'un autre pays le fasse pour lui.
Les menaces non conventionnelles venant de Syrie et d'Iran
Après la défaite de l'Irak, il restera les menaces de missiles de longue portée, avec des charges non conventionnelles venant de Syrie et d'Iran. La Syrie a des centaines de ces missiles, la plupart pouvant être équipés de charges non conventionnelles. La Syrie est devenue une superpuissance en matière d'armes chimiques. Entre les mains d'un pouvoir faible comme celui de Bashar al Assad, cela signifie que la Syrie est une menace réelle pour la stabilité de la région. Bashar n'a pas la prudence de son père et son admiration pour Nasrallah, le chef H'ezbollah est une source d'inquiétude.
L'Iran se dirige inexorablement vers des missiles à très longue portée, à charge nucléaire. Il est sidérant de constater que les inspecteurs internationaux de l'énergie nucléaire qui visitent l'Iran trouvent d'énormes installations d'enrichissement de l'uranium et n'en disent pas un mot dans leurs rapports. Israël doit se protéger par tous les moyens contre les menaces militaires syriennes et iraniennes.
Voir aussi le site politique www.nuitdorient.com
Par Henri (Henri) le lundi 23 juin 2003 - 07h04: |
Pinacolada,
Pourquoi te caches tu derriere hamira hass? aurais tu peur? chez nous en Israel notre probleme c'est la democratie, tout le monde peut dire n'importe qu'elle connerie, c'est la democratie, la preuve: hamira hass.
Peferes tu attendre une heure a un barrage ou te faire pulveriser par un "malheureux kamikaze"?
Pourquoi ne plains tu pas les Israeliens coinces des heures dans les embouteillages dus aux barrages de controles pour eviter que ces malheureux kamikaze puissent se faire exploser et tuer lachement des femmes et des enfants.
Mais non, mais non, ne t'enerve pas Henri ne vois tu pas qu'il est bourre de pinacoladaaaa!!!!!
Khali idoui encore un autre qui utilise le shampoing special "lave-cervelle"
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 23 juin 2003 - 06h49: |
Pinaccolada
Ca ne prouve qu une seule chose c est qu en Israel on a la chance de s exprimer librement et meme d etre pro palestinien .... ca s appelle la democratie ... mais que vous le montiez en epingle ca s appelle de la victimisation .
Par Pinacolada (Pinacolada) le lundi 23 juin 2003 - 01h54: |
Hajkloufette, tu as dit: "Arretez d'utiliser les mots et les phrases pour faire de la victimisation"
corrigez-moi si je me trompe, mais je croyais que l'auteur de cet article(Amira Hass) etait une israélienne. non ??
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 23 juin 2003 - 00h45: |
George W. Bush lance un appel à tous les pays pour « éradiquer toute trace d'antisémitisme des livres scolaires, de la radio et de la TV »
VIENNE, 20 juin (AFP) - L'Allemagne s'est déclarée vendredi à Vienne disposée à organiser l'année prochaine une conférence internationale sur l'antisémitisme.
C'est l'ambassadeur d'Allemagne auprès de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), M. Dieter Boden, qui a fait cette déclaration dans le cadre d'une conférence de l'OSCE à Vienne consacrée elle aussi à l'antisémitisme.
"Nous proposons d'organiser à Berlin une conférence qui fera suite à celle-ci", a déclaré M. Boden à l'issue des travaux de la conférence de Vienne.
M. Rudolf Giulani, ancien maire de New York qui dirigeait la délégation américaine, a approuvé l'idée et déclaré que ce serait "une honte si une conférence historique (NDLR comme celle de Vienne) devait demeurer sans suite".
Selon M. Giulani, la conférence qui aura sans doute lieu en juin 2004 à Berlin "pourrait représenter un grand pas" dans la lutte contre l'antisémitisme.
L'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'OSCE, M. Stephan Minikes, a indiqué que l'organisation, qui rassemble 55 pays et dont l'objet principal est la sécurité en Europe et la défense des droits de l'homme, décidera lors de sa réunion ministérielle prévue en décembre à Rotterdam de donner suite ou non à la proposition de l'Allemagne.
Dans un message lu devant les délégués, le président américain George W. Bush a lancé un appel à tous les pays pour "éradiquer toute trace d'antisémitisme des livres scolaires, des programmes de télévision ou de radio et de toute publication officielle". "Tous les pays ont le devoir de dénoncer l'antisémitisme et la violence qu'il engendre", a dit le président Bush. Plusieurs délégués ont insisté sur le fait qu'avec l'internet il était non seulement possible mais en plus facile de diffuser des messages à caractère antisémite.
L'ambassadeur des Pays-Bas auprès de l'OSCE, M. Daan Everts, a stigmatisé "la musique et les slogans antisémites qu'on entend dans les stades de football de même que les profanations de cimetières juifs". "Il n'y a pas d'explication rationnelle de l'antisémitisme qui existe depuis la nuit des temps", a encore déclaré M. Everts. "Il nous faut simplement tenir compte du fait que l'antisémitisme existe et il nous faut le combattre avec force et détermination".
M. Andrew Baker, représentant du comité juif américain, s'est demandé si la conférence de Vienne, qui a été organisée à l'initiative des Etats-Unis dans le cadre de l'OSCE, "allait rester sans suite" et a invité les pays participants à poursuivre leurs travaux. "Il faut que cela continue", a déclaré M. Baker.
Par Emma (Emma) le dimanche 22 juin 2003 - 20h03: |
Corrida pour une bourkha
Qui a déjà assisté à une corrida comprendra ce qui se passe en France et dans le monde.
Le taureau entre dans l’arène, sous les applaudissements et un soleil brûlant. Il court et se rend très vite compte qu’il ne peut plus sortir. Il est pris au piège, la foule est heureuse.
Chevaux et cavaliers entrent en piste pour un tour de présentation.
Le spectacle commence. Le taureau fonce, se heurte aux murs de protections, encorne un cheval bien protégé, change sans cesse de direction dans l’espoir d’atteindre une cible.
Le toréador salue le public. C’est le maître de cérémonie, celui qui donnera le rythme des assauts.
Après quelques faenas dûment orchestrées, entrent les picadors. Ces derniers toucheront la bête avec des pointes non pas destinées à la tuer, mais à l’affaiblir. Le taureau saigne, cherche une issue, croit encore en lui.
La chaleur est étouffante, le soleil tape, et le public attend, impatient, l’exécution.
Le matador empoigne une longue épée, prolongement de son bras.
Encore quelques faenas.
Applaudissement, cris de joie, taureau épuisé.
Maintenant !
La pointe achève son parcours, l’homme est heureux. Le public réclame les oreilles et la queue.
Les musulmans de France et du monde entier ont préparé leur corrida. Ils applaudissent les picadors, toréadors et matadors.
Les quelques faenas qu’ils tentent de nous infliger ont réveillé le public qui en redemande.
Les premiers piques sont plantés : foulard islamique, chansons antisémites, culte musulman dirigé par des fanatiques, 11 septembre, prisons américaines remplies de convertis, viande halal dans les écoles laïcs, cinémas pour hommes à Barbès…
La mise à mort se prépare.
Les pauvres taureaux espèrent, commencent à regretter leur liberté, tapent un peu du pied.
La foule aime ça et reprend un peu de Mecca Cola pour se désaltérer.
Certaines arènes sont déjà en avance. La mise à mort a commencé.
Sur les bords de la méditerranée, près de Tel Aviv, la corrida n’aura pas lieu.
Les matadors sont pourtant prêts pour le combat, mais ils sont tombés sur un taureau qui réfléchi, se défend. Bien que la chaleur fasse tourner la tête du public, on assiste à une corrida non conventionnelle. Celle du taureau dansant avec son matador !
Une horde d’un milliard de spectateurs n’en peut plus. Elle exige la mise à mort.
Pendant ce temps, en France, un petit taureau dirigeant l’Intérieur que l’on croyait malin comme un singe vient de refermer la porte de l’enclos derrière lui. Il vient d’entrer dans la danse macabre de sa prochaine fin. Dans la foule, quelque chose d’inhabituel. Un taureau !!
Lui sera épargné car sa progéniture vient de s’accoupler avec un picador. Il a compris qu’en revêtant le costume local, il échappait à la mise à mort publique.
Cette bête est en fait le Président des taureaux !
Assis au troisième rang d’un cinéma morne et moribond, je regarde un film sur mon pays et je pleure. Je suis devenu moi aussi un toréador car je veux vivre, encore un peu.
Mon pays a changé de nom.
Il s’appelle Corrislam !
J’ai réussi à fermer les yeux et à revoir les contrées verdoyantes, les collines ensoleillées et les plages. J’ai espéré la victoire du taureau et je suis resté. D’autres, plus lucides, sont partis vers Israël. Moi j’ai eu peur que le combat ne soit plus dur qu’ici. J’ai eu peur de prendre le bus 14, j’ai eu peur de manger une pizza dans un restaurant, je n’ai pas eu confiance en mon Chef taureau.
Tant pis pour moi…
A Chariaabad, où les Champs Elysées d’antan ont fait place à un souk, ma femme vient de mettre au monde un petit picador.
Dans ma tête, et seulement ici, je me répète sans cesse : Si je t’oublie, oh Jérusalem …
NECHEK
Par Albert (Albert) le dimanche 22 juin 2003 - 20h14: |
Je ne sais pas ce qui se passe, mais en ce moment, la défection est plus importante que lors des dernières semaines, dans la gastronomie.
Alors, je me suis dit dans ma petite tête (je ne suis pas Bou ras, moi) pourquoi ne pas proposer autre chose.
Dans d’autres sites, on nous propose des recettes, par exemple un Boulou sans levure, ou bien des Zelabias (C’est quoi ce mot maman C’est mal élevé ?) Wnes il dit bien Zeeee.
Mais non ma fille, cela, ça se mange, alors que celui de Wnes, c’est comme les frigolos de Bébert.
Bon, moi je vais vous proposer pour aujourd’hui la recette de l’andouille « pur porc. »
Avec cette recette, j’espère attirer nos amis non juifs.
Ils seront si contents, qu’ils penseront à la fondation.
Eshkoun yâref ?
Voici la recette. Interdiction de copier/coller, suivez mon regard.
Henri, tu peux la manger, même la congeler, le porc a été saigné par notre rabbin de la Goulette.
Bon il est vieux, mais qu’est-ce que ça peut faire, c’est un rabbin, non ?
Voilà :
Tout d’abord vous allez chez le charcutier, acheter du boyau de 1 à 2 cms de large.
Couper en gros dés des morceaux de chair de porc à hachage et de lard gras : Le dosage des proportions dépend du goût de chacun : En général on prévoit la même quantité de maigre et de gras.
Mettez, le tout, dans une terrine avec sel, poivre, clous de girofle (il doit vous en rester de Kippour, pour les coings), thym, un peu de 4 épices (Ras el h’anout), laisser macérer pendant 6 heures, à couvert.
C’est ce qu’on appelle en Judéo « Kassar ou melah’.
Pour les fins gourmets, ajouter une bonne d’ose de Harissa (pas point com.)
Farcissez les boyaux comme pour le osbane.
Une fois le boyau rempli, fermez les extrémités avec de la ficelle de ménage.
Suspendez les andouilles dans un endroit sec et aéré pendant 48 heures.
Mettez à fumer, comme pour le jambon, 4 fois, une heure, à 48 heures d’intervalle.
Faire cuire ensuite dans un bouillon. Pour ceux qui sont en train de faire le bouillon du couscous, profitez-en.
Laissez frémir (Henri ce n’est pas pour toi, pourquoi tu frémis ?) pendant 4 ou 5 heures.
Laissez refroidir dans le bouillon.
Suspendez pendant 24 heures et consommez.
Si vous voulez d’autres recettes, demandez.
Voici un aperçu :
Le poulpe façon piccola Sicilia.
Les pieds de porcs, façon Aregma.
L’Akoud avec le cœur, les rognons et le foie, du porc.
Les Chichons, frittons, grattons.
Le boudin, noir ou blanc.
Les animelles (Glandes de testicules de porcs), Bayday en Judéo.
Breitou, qui n'est pas cochon...
Par Albert (Albert) le dimanche 22 juin 2003 - 20h06: |
Benzarti,
Etrange question que tu me poses là...?
Ben pour satisfaire ta curisositè, j'ai les deux nationalitès.... Et j'ai même un ami qui en à trois.....!!!!...Pour mes vacances, je crois aller cette annèe en terre sainte en Israël...Voir mes couins et mes amis....
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 22 juin 2003 - 19h46: |
Baccalauréat mouvementé au lycée Colbert
Dès la première épreuve du baccalauréat, la chasse aux porteurs de kippa était de mise au lycée Colbert de Paris
Jeudi 12 juin au matin : première épreuve écrite du bac, version 2003. Au lycée Colbert, comme dans tous les autres établissements de France, les candidats sont plutôt tendus, d’autant plus que certains redoutent une action des professeurs grévistes, laquelle [finalement] n’aura pas lieu. Ayant partagé la crainte de tous les lycéens, les élèves venus de plusieurs écoles juives (Beit Hanna, Sinaï…) sont soulagés de voir que les épreuves vont se dérouler normalement.
Fausse joie : dès l’entrée, la proviseur de l’établissement leur demande, sur un ton agressif, de retirer leur kippa. L’un des garçons présents répond que si tous ceux qui portent une croix autour du cou l’enlèvent, il ôtera à son tour son couvre-chef. Les choses semblent alors se calmer et tout le monde pense que l’on va en rester là. Erreur. Tout d’abord, Madame la proviseur vient, au cours même de l’épreuve, redemander à un ou deux élèves; de se délester de la kippa litigieuse.
«On ne vous aime pas»
Mais, le pire reste à venir. Après l’épreuve, quelques étudiants juifs restent dans la cour pour échanger leurs impressions, comme le font aussi d’ailleurs plusieurs camarades non-Juifs. C’est alors que la proviseur apparaît à sa fenêtre et se met à crier que l’épreuve étant terminée, il faut sortir. «Au début, raconte Yonathan, on a cru qu’elle s'adressait à tout le monde. Mais, elle a précisé que c’était à nous qu’elle parlait et elle a ajouté : "On ne vous veut pas ici. Vous dégagez de mon établissement"».
Du coup, les intéressés ne bougent pas. S’ensuit alors une scène hallucinante. La proviseur arrive dans la cour et hurle : «Vous n’avez pas compris ce que j’ai dit. Vous êtes indésirables. On ne vous aime pas. On ne vous veut pas ici». Avant de menacer : «Je ferai en sorte que, lundi, vous ne passiez pas les épreuves dans mon établissement».
De tels propos ont, comme il se doit, suscité des réactions chez les directeurs et les parents des écoles concernées, ainsi que des interventions auprès des instances compétentes de l’Éducation Nationale. Celles-ci auraient évoqué la possibilité de sanction. Quoi qu’il en soit, un fait est certain : le lundi suivant, la dame est restée sagement dans son bureau. Et tout s’est déroulé dans le calme.
KNAFO Joseph - Jean - Claude
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 22 juin 2003 - 18h41: |
MAHAL : Les volontaires étrangers de l'Armée de Défense d'Israël
Ils furent 3500 à se porter volontaire lors de la Guerre d'Indépendance de l'Etat d'Israël en 1948.
Venus de 37 pays différents, juifs et non-juifs, ils prirent part au combat par seule conviction de la justesse de la cause qu'ils avaient entrepris de défendre.
MAHAL est l'acronyme en hébreu de '' Mitnadvei Chutz La Haretz'' ce qui signifie en français '' Volontaires de l'étranger''.
Alors que les Nations Unies viennent de voter le plan de partage de la Palestine Mandataire le 29 Novembre 1947, les agressions répétées des arabes de la région se multiplient, soutenues par les Etats arabes voisins.
L'Administration britannique loin de tenter de rétablir l'ordre, prête même parfois main forte aux arabes dans leurs forfaits et prend part à des actes de sabotages contre les juifs.
Si les arabes ne sont parvenus à prendre aucun village, leur succès est plus grand pour ce qui est des routes: les juifs de Jérusalem sont rapidement isolés, dépourvus d'eau, de nourriture et d'armes pour se défendre.
De même les implantations du Néguev sont rapidement assiégées.
C'est au début du mois d'Avril que les juifs reprennent peu à peu le contrôle de la situation en entreprenant de recupérer la route de Jérusalem. Ils y parviennent mais la reperdent presque aussitôt.
Ils réussissent cependant le 18 Avril à prendre, au nord, la ville de Tibériad, celle de Haïfa le 21- 22 Avril et Jaffa à la fin du mois.
Le 4 Mai des populations arabes locales, aidées de la légion arabe transjordanienne commandée par des officiers britanniques attaquent quatre villages juifs dans la région de Hébron qui, après 10 longs jours de résistance acharnée, doivent se rendre.
Dans ce contexte embrasé, les Nations Unies sont ineffectives au possible.
Le Conseil de Sécurité ne cherche pas à faire respecter le plan de partage et tente mollement d'arracher aux parties belligérantes l'acceptation d' un cessez-le-feu.
Une commission est finalement constituée le 23 Avril pour tenter de résoudre le conflit mais elle aussi se soldera par un échec.
Le 15 Mai 1948, lendemain de la Déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israël, l'Egypte, la Jordanie, la Syrie, l'Irak, le Liban et les arabes de la région déclarent la guerre au jeune Etat dont l'armée se compose alors d'une majorité de rescapés des camps de concentration, défaits par le poids de l'Histoire et démunis de tout moyen de défense.
Leur but déclaré: détruire l'Etat naissant.
Syriens et Irakiens attaquèrent au nord, les Egyptiens au sud, Les Jordaniens à l'est.
L'Etat encerclé de toute part va se battre de toutes ses forces.
Au titre de ces combats courageusement menés, par des hommes souvent inexpérimentés dont la rage de survivre provient de ces années au cours desquelles ont a tenté déjà par 100 fois de les exterminer, figure la bataille du Néguev, conduite, entre autre, par le bataillon 75 composé de volontaires français de la métropole et d'Afrique du nord, et dirigeait par un ancien Capitaine de l'armée du Général Leclerc - Taddée Diffre - qui prendra le pseudonyme de Teddy Eytan.
Français de vieille souche, catholique pratiquant, nourri de préjugés antisémites de sa bourgeoisie de province, Taddée Diffre est aussi un ancien officier français de la Division Leclerc qui avait été administrateur colonial avant de participer, avec les F.F.L, aux combats d'Afrique et d'Italie.
Il s'engagea ainsi dans la Haganah (devenue Tsahal en 1948) en Novembre 1947 et se retrouva simple reccrue dans un camp de Sathonay près de Lyon, sous les ordres d'un officier d'instruction israélien, avec d'autres volontaires que la Haganah avait recrutés.
La main sur un révolver posé sur une bible ouverte, il prêta serment à l'Armée de Défense d'Israël.
Mais Teddy Eytan attire la méfiance.
Non juif, on s'interroge sur ses motivations et sa sincérité.
Pourtant celui-ci continuera de se mettre au service d'une cause dont il est convaincu de la justesse.
Un homme cependant, dès le début, lui accordera sa confiance : Itszhac Tsadé, figure héroïque du Palmah dont il est alors le chef.
Connaissant le passé militaire glorieux de Teddy, il l'affectera dès le début à des postes phares.
Ainsi celui qui avait accompli dans la Division Leclerc le voyage Fort-Lamy-Tripoli-Tunis est nommé officier technicien d'un commando de jeeps destiné à opérer dans le Néguev des raids sur les arrières des Egyptiens et ce afin de protéger les convois chargés du ravitaillement des kibboutzs du Néguev et appréhender les défenses ennemies.
Mais Teddy en proie à des divergences de méthodes d'attaques avec un anglais sous-officier dans cette même unité va bénéficier de l'intervention de Tsadé qui le changera de bataillon. Désormais dans le B.89, Teddy va servir sous les ordres d'un homme à l'oeil recouvert d'un bandeau noir et dont le nom n'est pas encore connu : Moshé Dayan.
L'ancien Capitaine de la Division Leclerc a trouvé son chef.
C'est en Août 1948 que Teddy Eytan va se voir affecté au poste déterminant de Commandant du bataillon 75 plus connu sous le nom de ''Bataillon français'' (Hacommando Hatsarfati), perçu comme le bataillon de fortune (ou d'infortune).
Composé de 350 soldats, ceux-ci sont majoritairement originaires d'Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie )les autres de Métropole.
Leur point commun unique : leur volonté de se battre pour l'indépendance de l'Etat juif.
Indisciplinés, sans formation militaire aucune, c'est cette unité aux allures dégingandées qui s'illustrera pour sa conquête de la fameuse colline n°13 dans le Néguev où, réduits à 58 combattants, ils tiendront tête aux forces égyptiennes bien supérieures en nombre et armement qu'ils finiront même par vaincre, au prix de 9 morts et 24 blessés.
Les combats terminés, Teddy Eytan regagna la France.
La Nation lui doit aujourd'hui ainsi qu'aux autres volontaires une reconnaissance éternelle.
David Ben Gourion avait déclaré à leur sujet : " ...la participation à notre combat ...d'hommes et de femmes d'autres Nations ne se mesure pas seulement en terme d'effectifs supplémentaires ; Elle est une démonstration de la solidarité du peuple juif...Sans l'assistance et l'aide du peuple juif tout entier, nous n'aurions pas accompli grand chose...La plupart des sections les plus avancées de nos forces armées n'auraient pas pu être créées sans les spécialistes qui nous arrivèrent de l'étranger ".
Itshak Rabin avait lui aussi, en 1993 lors de l'inauguration du Mémorial des volontaires tombés pendant la guerre ( Mémorial situé à Chaar Hagay à Jérusalem), rendu hommage à ces héros :
" ...Ils sont venus à nous lorsque nous en avions le plus besoin, pendant ces jours durs et incertains, le peuple d'Israël et l'Etat d'Israël ne les oublieront jamais ".
Merci.
article pris sur le site de IDF