Par Rd (Rd) le mardi 14 février 2006 - 16h06: |
marrant cette idée de variante.
j'ai eu aussi envie cette semaine d'en préparer.
plusieurs méthodes:
les variantes proprement dites se préparent au vinaigre:
tailler les differents légumes en batonnets: carottes,navets(avec la peau mauve), fenouil,céleri branche,rave, chou fleur.
BIEN LAVER, NE PAS LAISSER DE PARTIES FLETRIES OU NOIRCIES.
mettre en égouttoir avec du gros sel, mélanger, laisser dégorger quelques heures.
bien rincer et mettre en pot recouvert de vinaigre blanc.
1 semaine a temperature ambiante.
pour les légumes msayar:
diluer pour un litre d'eau bouillie 100g de sel, laisser refroidir.
mettre en pot des poivrons entiers dans lesquels on aura pratiqué des scarifications longitudinales,choisir des "cornes de boeufs", des concombres fins, des demi-citons non traités, des gousses d'ail entières sans chemise.
tout cela bien sur soigneusement lavé auparavant et sans taches.
recouvrir de saumure. fermer
repos une semaine.
autre méthode "à la russe"
saumure: 60g de sel, 20 g de sucre, 1 litre de vinaigre d'alcool.
mettre les légumes coupés tel quel directement
repos une semaine
on peut varier les variantes en rajoutant des condiments: graines de moutarde,estragon, thym, romarin etc..mais ceci n'est pas très tune.
Par Henri (Henri) le mardi 14 février 2006 - 14h25: |
Un peu de serieux apres tous ces articles si pessimistes.
Comment dit-on a gauche en italien?!!!!!!!
A sinistra.
C'est pas une blague.
Mais si vous en voulez,en voila une.
Tous les matins Carmello boit son café sur la terrasse d'un café, et depuis quelques jours, il remarque que Salvatore se présente devant la cabine téléphonique de la place, se regarde sur le reflet de la vitre, lisse sa moustache , fait un beau sourire, rajuste son costume, sa cravate, rentre dans la cabine décroche le téléphone, parle... attend... raccroche... et sort de la cabine sans payer et content ???...
Intrigué il appelle Salvatore et lui demande... "Voila depuis quelques jours j'ai remarqué que tu te présentes devant la cabine, tu te fais beau... tu rentres dans la cabine ... tu téléphones gratuitement et tu sors toujours content ???... C'est quoi cette histoire ?..."
Salvatore dit à Carmello, "C'est très simple... touto les matins je me metto devant la cabina de léléphono, je m'arrange... je me fais bello.... après, je décroche le téléphono... et je loui demande : Téléphono qui c'est le plou beau de touto lo pays?... et le téléphono me dit toujours que c'est moi, il me dit Tou....Tou... Tou... Tou..."
Par Braham (Braham) le mardi 14 février 2006 - 10h08: |
Ces Scadinaves !!
C'est la Dynamite de Nobel et les Allumettes Suedoises qui ont tout fait.
Par Mena (Mena) le mardi 14 février 2006 - 09h02: |
Beyrouth : déclarations d’intentions sur fond de pogromes (info # 011302/6) [analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
Samedi dernier, les Forces du 14 mars, le mouvement désormais historique qui avait exigé il y a exactement un an le départ des Syriens suite à l’assassinat de Rafic Hariri, s’est réuni à l’hôtel Bristol dans lequel il avait vu le jour [1].
Le ministre druze des télécommunications, Marwan Hamadé, a rappelé à cette occasion que la bataille pour l’indépendance et la liberté du Liban n’était pas encore gagnée et que Damas poursuivait son agression contre notre pays par l’intermédiaire de ses agents agissant dans nos frontières, à la tête desquels monsieur Hamadé a placé le président de la république Emile Lahoud.
Le ministre a fait état de la position des courants de la majorité parlementaire (en fait, tous les composants non-chiites) contre la perpétuation de la détention d’armes par le Hezbollah, pour l’envoi de l’armée jusqu’à la frontière israélienne et pour le respect de l’accord d’armistice avec nos voisins du sud. Cette préoccupation se fait de plus en plus centrale dans le débat politique national. L’ancien président, le chrétien Kataëb Amine Gemayel, a ajouté sa voix à cette préoccupation grandissante ; lors d’une réunion avec des juristes du 14 mars, il a souligné en substance que l’accord de Taëf prévoit "le déploiement de l’armée sur l’ensemble du territoire national et stipule que l’Etat est seul responsable de la préservation de la souveraineté libanaise et de la sécurité du peuple. Le document fait également état de l’accord d’armistice", tout en demandant : "Qu’en est-il aujourd’hui de toutes ces clauses, notamment celles en rapport avec les décisions souverainistes qui doivent être détenues par le seul Etat libanais, notamment en matière de guerre et de paix ?".
La scène politique libanaise reste cependant sous le coup de la surprise du document de travail signé entre le chef du CPL, le général Michel Aoun, et le leader de l’organisation terroriste chiite du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Cet accord de principe traite de la nécessité d’obtenir le désarmement du Hezbollah par le dialogue et l’intégration à l’armée régulière et non par l’exclusion et la force. Michel Aoun, qui s’était fait le champion de la nécessité d’imposer l’autorité de l’Etat sur tout le territoire national, le plus tôt possible, et par tous les moyens nécessaires, a sans aucun doute étonné par son rapprochement avec le mouvement extrémiste islamique.
Cet assemblage contre-nature s’explique par la volonté intraitable de monsieur Aoun de devenir le prochain président élu du Liban. Lors, les chiites représentent numériquement la plus grande composante démographique de ce pays et une alliance avec ces derniers favoriserait les chances du général. Ce d’autant plus que les chiites se sentent exclus de la vie politique par le mouvement du 14 mars et sa colonne vertébrale constituée par le souverainisme libanais, opposé aux alliés du Hezb situés à Damas. De son côté, le général connaissait une espèce de mise sur la touche exercée par les autres composantes souverainistes. "On avait plus que l’impression que les sunnites de Hariri junior ainsi que les autres partis chrétiens du Liban s’étaient activement mis en quête d’un candidat de remplacement à Michel Aoun", nous a confié un lieutenant du CPL, "or depuis cet accord avec Nasrallah, tout le monde nous courtise à nouveau, à commencer par Walid Joumblatt".
Rappelons à ceux de nos lecteurs qui sont peu en phase avec les règles de la politique libanaise que, constitutionnellement, le président de notre Etat doit impérativement être un chrétien maronite ; ceci expliquant peut-être l’importance et la fébrilité autour de ces alliances tournantes.
A la Ména libanaise on ne peut que confirmer le résultat de ce coup stratégique du général et, le connaissant bien et de longue date, on ne craint pas qu’il perde son âme ; ceci dit, en politique aussi, les apparences pèsent d’un poids certain et quelques louanges faites par Aoun aux terroristes anti-libanais fanatiques ont le pouvoir de nous mettre assurément mal à l’aise. Ceci, même si le général affirme maintenant qu’il tente de "détourner le Hezbollah de son allié syrien", ce qui est patriotique autant que louable et que son "accord avec Nasrallah constituait un point de départ pour une entente nationale".
Aoun rajoute une justification intéressante à son initiative de dialogue avec le Hezbollah : il affirme en effet avoir consulté les autorités françaises et américaines afin de savoir si elles étaient prêtes à appuyer sur le terrain l’armée libanaise en cas d’une hypothétique opération militaire destinée à libérer le Sud. Devant la réponse négative des gouvernements consultés, et face au risque de voir le Hezb soutenu par la Syrie lors d’une telle opération, le leader du CPL en a déduit qu’il ne reste objectivement, pour parvenir au désarmement des islamistes, que la voie du dialogue et de l’entente pacifique.
Au-delà de ces déclarations d’intention et de ces manœuvres politiciennes, toute la classe politique se déclare horrifiée par les émeutes islamistes du dimanche 5 février contre le quartier chrétien d’Achrafieh. Cette agression s’est produite à l’initiative d’un groupe auto-intitulé "Le mouvement national pour la défense du prophète Mahomet". Les habitants d’Achrafieh nomment dorénavant ce saccage le dimanche noir.
On se serait cru revenus aux pires heures de la guerre civile, rapportent tous les témoins. Après avoir débordé les forces de police, au prix d’un mort dans leurs rangs et d’une cinquantaine de blessés, les casseurs s’en sont allés incendier le Centre Tabaris 812, qui abrite les bureaux du consulat du Danemark. Les flammes ont détruit quatre étages de l’immeuble, une banque, des commerces et un supermarché mais la représentation diplomatique est demeurée intacte. Sur le chemin de leur méfait principal, les émeutiers, armés de barres de fer, de battes en bois, de pierres et d’essence, ont détruit tout ce qu’ils trouvaient sur leur passage. Ils ont ainsi pillé et anéanti des dizaines de magasins, incendié des centaines de véhicules et dévasté des voitures de police et des camions de pompiers.
Ils s’en sont pris aux symboles chrétiens, détruisant la lourde croix de l’archevêché grec-orthodoxe, brisant, en pleine messe, les vitraux de l’église Saint-Maron tout en tentant d’y bouter le feu, avec les fidèles qui se trouvaient à l’intérieur du lieu saint. Les défenseurs du prophète ont en outre brisé les niches dédiées à Marie, qui foisonnent dans les rues d’Achrafieh.
Si ce n’était pas suffisant, les hystériques ont également mis le feu à l’entrée des immeubles accueillant la résidence du consul de Slovaquie et l’ambassade néerlandaise. Certains habitants du quartier ont eu la vie sauve en se faisant passer pour des musulmans, d’autres, grâce à l’intervention d’un cheikh qui a empêché de sa personne la foule d’entrer dans des résidences chrétiennes, récitant des versets coraniques prônant la tolérance et couvrant les habitants en fuite du drapeau vert de l’islam.
Suite à ces émeutes, le ministre de l’Intérieur a présenté sa démission. Environ trois cents suspects ont été appréhendés et sont en voie de déferrement devant la justice.
Pour Marwan Hamadé, il ne fait aucun doute que le régime syrien se trouve à l’origine du "terrorisme dont a été victime Achrafieh" et derrière lequel "se cachent des mercenaires à la solde des services de renseignement syriens". Cette estimation est également celle que j’ai recueillie auprès des responsables des services de sécurité, qui ajoutent que la plupart des casseurs-pilleurs étaient des Palestiniens appartenant aux organisations pro-syriennes.
L’ingérence de la Syrie lors de ce qu’il appelle "l’invasion d’Achrafieh" est aussi la thèse retenue par Mgr Nasrallah Sfeir, le patriarche de l’Eglise maronite libanaise. Mgr Sfeir a ainsi déclaré que "le pire, dimanche dernier, était d’avoir voulu faire croire à l’opinion publique que les Libanais sont incapables de s’autogouverner. Cela est la plus grande atteinte que l’on puisse faire à un pays", a-t-il complété.
Sfeir a encore usé de la litote pour faire entendre une remarque articulée en clair par nombre de responsables libanais. Le patriarche a dit : "Il n’en reste pas moins, et grâce à Dieu, que les habitants ont fait montre d’un grand degré d’éveil, ce qui a permis d’éviter une hécatombe aux conséquences insoupçonnées".
En d’autres termes : si les chrétiens d’Achrafieh avaient fait usage des armes qu’ils détiennent toujours en quantités non négligeables pour de se défendre contre les émeutiers, on risquait d’assister à une ré-ignition de la guerre de religions.
Je ne comprends pas : eux, ils ont le droit ?
Lorsque vous trouverez un moment, pensez donc à la relation causale qu’il peut exister entre la publication de caricatures sur le prophète Mahomet, en septembre dernier, dans un journal danois, et la mise à sac d’un quartier maronite à Beyrouth, des symboles physiques de ses cultes et des représentations diplomatiques de Hollande, de Slovaquie ET du Danemark. J’ai beau chercher, tout en me demandant pourquoi cette actualité a été si peu et si mal commentée en Europe, je conçois toujours plus de craintes que de compréhension. Encore que les manifestants voulaient aussi faire griller l’ambassade d’Argentine et que l’un de mes cousins les en a dissuadés, leur faisant croire qu’il s’agissait d’un Etat musulman…
Notes :
[1] En marge de la gigantesque manifestation prévue demain à Beyrouth
Par Moshébé (Moshébé) le lundi 13 février 2006 - 23h53: |
Par Albert (Albert) le lundi 13 février 2006 - 21h56: |
Mon grain de...VARIANTE.
Madame Veronique,
Vous avez demandè la recette des variantes, je crois hier...!
Ben voilà vous êtes servie, vous avez devant vos yeux UNE VARIANTE dans un bocal.
Je suis MSSI'YAR... Embouteillè par la grâce d'une SOURIS.
Dégustez cet assaisonnement Madame, Véronique le SAMSON que je suis, est devenu UN SOMBRE HEROS en SOMBRERO, accroupi bien PENE dans sa cage de verre.
Si vous aimez les cactus qui bronzent au soleil de Mexico, allez donc faire un tour au PTB juste en bas....Mais ne vous y frottez pas trop....!
Par Pauline (Pauline) le lundi 13 février 2006 - 18h42: |
IL N’EST JAMAIS TROP TARD !
Il n’est jamais trop tard pour prendre la mesure des choses.
La recrudescence de la violence dans les pays islamiques signe bien la volonté d’en découdre avec la Liberté et de celer le sort de la démocratie. Cette violence dirigée autant vers l’intérieur de l’Islam que vers l’extérieur nous signale le vrai danger et les véritables cibles : la démocratie et l’individu en tant qu’éléments libres.
Ce n’est pas uniquement une guerre contre l’Occident qui est manifestée, c’est une guerre contre l’Etre Humain et avec elle c’est la guerre sans merci des factions de l’Islam entre elles qui est mise crûment sur le devant de la scène avec la question obsédante : qui sortira vainqueur ?
Pour l’instant focalisons les esprits sur Israël tant il est vrai que nos « perroquets cathodiques » l’ont seriné sur tous les tons. La création d’Israël n’étant aux yeux de quelques-uns qu’un mouvement colonialiste de l’Europe et des US vers les pays de la région. Ces pays ont annexé purement et simplement le territoire palestinien ! Une façon bien «politicienne » de faire exister quelque chose qui n’a jamais existé. C’est en fonction de cette fausse idée que d’aucuns peuvent dire sans rire que la création d’Israël est une fausse «bonne » idée, voire une erreur.
Historiquement. Sociologiquement. Politiquement. Sur les trois plans le développement est logique mais la base est fausse. L’Histoire a été revue et corrigée et à force de « répéter un mensonge il en devient vérité. (Goebbels) ».
Les choses n’existent qu’à partir du moment où elles peuvent être nommées ! Vérité première qui ne peut avoir d’existence chez les épigones pro-palestinien et les islamistes bon ton. Dire que le peuple palestinien est une invention française qui date de 1973, avec une première approche en 1967, dire que le «territoire palestinien » est une extrapolation liée à l’Islam d’une part et au territoire jordanien de l’autre, soutenir que le Hamas et ses commanditaires ne veulent surtout pas entendre parler d’un pays à construire tant qu’Israël existera en tant qu’Etat Juif, sont des propos qui vous disqualifient totalement et des doutes concernant votre santé mentale sont mis automatiquement sur le tapis !
Cela veut-il dire qu’il n’existe pas dans cette région des populations d’individus qui vivent et souffrent ? Bien entendu que non mais nous évitons de hiérarchiser les dites souffrances en fonction de nos idéologies ou de la religion ou de la nationalité des populations. La population palestinienne souffre. La population israélienne souffre. La population chrétienne souffre. Ce n’est pas en faisant exister artificiellement l’une d’entre elles en tant que ce qu’elle n’est pas qu’un soulagement de ses maux et de sa misère seront trouvés. Ce n’est pas non plus en la maintenant sous perfusion et ce depuis plus de 50 ans qu’une solution sera trouvée. Ce n’est pas non plus en matraquant et détruisant idéologiquement et humainement les générations qui montent qu’une solution existentielle sera mise en place ! Ce Crime ne peut rester impuni et tous les complices qui résident et vivent en Europe ou ailleurs sont nombreux. Ils devront rendre des comptes.
Pour l’instant ce crime est simplement évacué sur l’Autre ! Cela semble avoir échappé à nos dirigeants, tant de droite comme de gauche qui pour arriver aux fins souhaitées, à savoir s’opposer aux US, ont soutenu Arafat (et maintenant le Hamas très probablement), seul interlocuteur valable contre vent et marée et tant pis pour les dommages. La France qui a perdu toute crédibilité tente de recréer ce qui ressemble à une copie de l’alliance de 1947.
C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre toutes les prises de position déterminées par la «réalpolitik » en collusion avec les islamistes en Europe. Et nombre de politiciens sont sensibles à ce chant des sirènes qui prit racine en Allemagne au milieu du XIX ème siècle (juste avant la guerre de Crimée 1853 formulée par August Ludwig Von Rochau ) Elle a été réactualisée et est devenue la doctrine du Rechtsstaat ou de l’ Etat de droit. (Voir l’article de Mr Rocard paru dans le journal Le Monde)
Cette théorie a été abandonnée dans les années 1900 mais des éléments nous amènent à penser à juste titre, qu’elle a été un des instruments théoriques déterminant dans l’avènement des guerres de 1870 et celle de 14-18. Alors pour construire l’avenir, la realpolitik n’est peut-être pas le meilleur instrument ! Basée sur trois grandes lignes
- adopter l’attitude du laisser faire, celle de la complaisance ou de la collaboration, lorsqu’il n’est pas possible de faire mieux. Le propre de l’impuissance.
- Affirmation que toute politique poursuit des intérêts avant d’appliquer des principes. Le propre de la médiocrité.
- Prétendre qu’on ne peut rompre les relations avec la moitié du monde. Le propre de l’acceptation.
Tous les protagonistes de l’époque post Deuxième guerre mondiale sont là. Pas un seul ne manque et les générations nouvelles remplacent les défunts, ils sont parfois de la même famille ! Il ne manque même pas les instructeurs allemands ! La question est de savoir si ces protagonistes tiendront le même rôle que celui qu’ils ont tenu en 1947-1948-1949 ? Le proche avenir nous le dira. Occultons le phénomène et pour l’instant raccrochons nous à l’analyse des « prévisionnistes » politiques qui postulent le déclin des US et de l’Occident et l’avènement de l’Islam.
Sur cette position de la France le constat est sans appel. La France est restée scotchée aux XIX et XX èmes siècles dans une attitude néocoloniale dont les effets ont été visibles dans l’affaire Haïti, Cote Ivoire et Ruanda. Faisant l’économie d’un passage, celui qui nous amenait au XXI ème siècle nos dirigeants ont préféré organiser l’anti-américanisme et l’anti-israelisme pour établir une tête de pont antioccidentale, pardon multipolaire managée par la France d’une part et le couple Franco-allemand au niveau de l’Europe.
Les dommages enregistrés sont nombreux : apologie de l’islamisme, montée de l’antisémitisme qui lui est lié, perte du sens démocratique des valeurs qui forment les fondements de notre histoire et de notre nation. Depuis 2 ans nous avons perdu la presque totalité du statut de démocratie qui était accolé à la France. Sur le plan de l’économie, les désastres sont encore plus importants. Le pays a perdu tous ses repères liés au travail, au collectif, à tout ce qui fait que « vivre ensemble en France » est autre chose qu’un frôlement ressenti dans une manif ou dans le métro !
Les Dirigeants ont été désavoués et ce désaveu a eu pour résultat une modification radicale du paysage politique en accord avec la crainte qu’inspire une des bombes sociales qui n’a pas totalement explosé : l’ouverture du pays vers l’extérieur et la disparition de nos marqueurs de territoire que sont les frontières. Le problème de l’immigration, vécue comme une invasion est réactivée par la perte des frontières. Même si la liaison n’est pas aussi automatique que d’aucuns veulent bien le souligner. La réaction en chaîne qui s’en suit met en évidence le chômage, les délocalisations, les privilèges de certains, la précarité, le mal à être de tous, et la mise en lumière des problèmes sociaux utilisés bien souvent par les courants les plus réactionnaires de l’échiquier politique. La crise et la montée de l’antisémitisme et du racisme rendent l’immigration plus particulièrement sensible et celle qui est associée à la guerre d’Algérie prend une ampleur telle que la «discrimination positive » a été inventée.
Ce marqueur des relations sociales n’a pas fini de bouillonner et de faire des vagues. Les tentatives de culpabiliser la France à partir de la torture utilisée durant le conflit algérien n’est pas propre à calmer les esprits au contraire. Si de torture nous devons parler il nous faut l’aborder de part et d’autre et dégager la responsabilité de tous les protagonistes dans les phénomènes. La mémoire est toujours active et nous savons, pour l’avoir vécu, ce qui s’est réellement passé dans les Aurés, à Palestro, à Alger, Oran, en France et ailleurs.
D’autant que ce rejet se nourrit de l’impact des images que nous devons aux exactions des islamistes, pardon des «combattants pour la liberté » des «combattants contre la coalition » des «résistants contre l’occupation ». Les Français refusent, à juste titre d’être mis du coté des seuls acteurs et utilisateurs de la torture et de se trouver embrigadés dans une culpabilisation tendant à faire de l’autre une victime, un martyr. Les images qui arrivent de toutes les latitudes disent le contraire. Elles disent que la victime n’est pas toujours sur la polarité «victimaire »et que sa barbarie est aussi ignoble que celle de l’Autre. La torture est inhérente à la guerre et à la relation de pouvoir. Cela ne veut pas dire qu’elle soit naturelle même si elle s’enracine au plus profond de l’individu. Elle naît dans la relation que l’individu a à lui même et nulle part ailleurs. Elle signe un non respect de soi avant d’être un non respect de l’autre ce qui ne l’excuse en aucune façon.
Soyons absurdes : Peut-il y avoir une guerre propre ? Une guerre de type presse bouton dans laquelle nous ne verrions ni les champs de bataille, ni les cadavres et dans laquelle les morts se relèveraient pour faire plus propre ? Oui cela existe mais uniquement dans nos jeux vidéos ! Dans la vie réelle … Une guerre du genre « Messieurs les Anglais tirez les premiers » ! Ou alors la guerre en dentelle ! Même dans celle des boutons il y avait de la «torture ».
Il ne peut plus y avoir de guerre de type 39-45 ou Indochine ou Algérie. Celle du Vietnam a sonné la fin de ce style d’engagement. La guerre actuelle, la guerre future ne peut être que plus moche, plus atroce et plus meurtrière pour les populations civiles. L’Afrique, l’Irak, l’Amérique du Sud, l’Ex-Yougoslavie nous donnent à voir ce que pourront être les exactions dans la zone des combats ou aux périphéries de ces zones. Les télévisions du monde entier nous en montrent tous les détails. Les dernières images en date sur les otages montrés sous toutes les coutures et assassinés après usage n’ont pas d’équivalent dans l’horreur et pourtant au nom de l’information cette torture est sublimée et personne ne la trouve choquante. Par contre, un Musulman torse nu avec un sac sur la tête est du plus pur sadisme, de la plus horrible des tortures, une caricature de Mahomet est une action insoutenable qui mérite de lancer un milliard d’individus sur le pavé des rues. Cela en est au point que toutes les armées de la coalition, tous les pays européens ont été désignées avec le plus grand sérieux comme des armées, des pays de barbares ! A contrario, la décapitation d’individus, la lapidation de femmes sont des actions qui passent pour des actes de défense héroïque ou coutumières. Je n’ai entendu personne dans le camp de l’anti torture, dans celui de la Paix, dans celui de l’Islam s’élever contre ces assassinats.
La relation à la torture dépend donc bien des idéologies qui existent en arrière plan. Elle dépend donc de la relation que nous avons à la vie et au prix que nous donnons à cette vie. Il se peut, et c’est dommageable que la question de la torture soit un combat d’arrière garde, un combat dont la signification n’a d’autre but que de calmer une mauvaise conscience et de raviver une culpabilité «d’hommes riches »parfaitement « instrumentalisable » ! Or de plus en plus, la guerre de type terrorisme se déroulera sans uniforme et donc exit les conventions de Genève et exit le droit dans la guerre. Bonjour la barbarie !
Devons – nous aborder le problème du terrorisme sur le même plan que celui de la torture ? Devons-nous penser que ce sont deux domaines d’action sans aucune liaison ? Deux domaines parallèles qui ne se rencontreront jamais ? Deux domaines en parfaite indépendance ? Non bien sur ! Les deux sont inextricablement liés sauf pour les aveugles. Certes dans l’action terroriste ce n’est pas la «gégène » qui fonctionne, ce ne sont pas les «brodequins » ou les allumettes sous les ongles, c’est une torture morale, spirituelle du type : je suis partout et nulle part tu n’es à l’abri ! Une torture qui s’en prend au plus grand nombre ! Une torture qui s’en prend à ceux qui ne peuvent se défendre. Une torture qui fige et rend la vie improbable. Une torture qui met le bourreau à l’abri et des regards et des conséquences de ses actes. Qui s’insurge devant cette torture ?
L’Europe ne peut être défendue. Ce pays, de la grandeur d’un continent, est une idée avant d’être un marché et un rassemblement de pays et d’individus. Nous sommes loin encore de pouvoir conjuguer un ETRE ENSEMBLE viable même si les électeurs dans leur majorité et dans tous les pays d’Europe savent que nous ne pourrons revenir en arrière et que l’idée de l’Etat Nation, tel que le traité de 1648 (WestPhalie) l’a dessiné est caduque. Cette idée est arrivée au bout de son existence. L’idée de l’Etat français et de la France façonnés par plusieurs siècles de guerres intra-européennes et coloniales est tombée également dans les «poubelles » de l’Histoire. L’’opposition aux US calquée sur l’opposition aux Empires anglais, Austro-Hongrois, prussien et allemand et soviétique dans un contexte plus récent n’est pas non plus la solution qui permettra de passer la rampe du XXI siècle. C’est, hélas, l’idée qui sous tend les actions de la France dans toute sa politique internationale et européenne et que masque l’idéologie de la Paix.
L’Europe a beaucoup de chemin à accomplir pour devenir un terrain politique vivifiant et viable. Que manque-t-il pour ?
Quelques générations de travail très certainement si nous arrivons à écarter durablement le danger représenté par l’islamisme. Quelques siècles dans le cas contraire. L’Europe arrive à faire (presque) coïncider sa territorialité, frontières géographiques et historiques, à sa configuration psycho-symbolique ce qui l’amène à se conjuguer en tant que UN.
Cette unité associée à l’Euro comme monnaie commune forment deux des trois éléments constitutifs d’une Nation. Un lieu dans lequel une citoyenneté peut naître. Le troisième élément, l’élément manquant est la langue. Il peut être le plus facile ou le plus difficile et le plus dangereux à mettre en place. Une langue commune pourra-t-elle voir le jour sans pour autant mettre en danger l’existence des deux premiers éléments ? Une langue commune pourra-t-elle voir le jour dans la concorde européenne sans que les querelles des XVIII ème, XIX ème et XX èmes siècles remontent à la surface ? Quel choix à réaliser : anglophone, latin, germain. (C’est dans cet espace que tente de pénétrer le monde arabophone par l’OPA qu’il a mis sur le monde intellectuel et celui de la culture). Trois sources qui ont un passé chargé de guerres pour assurer la prépondérance de l’une ou l’autre. Le risque est forcément grand a telle enseigne que d’aucuns pensent qu’une quatrième source, l’arabophone pourrait mettre tout le monde d’accord ! Mais pour que cela réussisse il faut faire admettre que la source arabophone appartient bien à l’Histoire de l’Europe ! Certains pourront argumenter sur le fait que j’oublie la culture comme ciment d’un peuple. Certes. Mais l’Europe n’est pas occupée par un peuple mais par des peuples et leurs cultures sont différentes. La jonction interculturelle s’élabore à partir des périphéries de chacune d’entre elles et non de manière forcée ou artificielle. L’URSS a échoué. Tito a échoué. Mao a échoué dans l’imposition d’une culture commune. Même la Chrétienté et l’Islam ont échoué.
Le 11/09 une guerre nous a été déclarée et l’islamisme n’aura de cesse que de coller à sa réalité fantasmatique : devenir le maître du monde. La définition de l’ethnocentrisme est sans appel.
(Ethnocentrisme : Le « primitif » se prend pour le centre de l’univers et peut croire que Dieu à tout créé pour lui. Ce qui amène le croyant à penser que, puisque la langue du groupe, qui doit sauver l’humanité elle est la mère de toutes les autres langues, celui qui ne la parle pas est un animal ou un barbare et puisque sa culture est divine, puisque sa religion est la seule véritable religion, toutes les autres ne sont que pure vanité » (AL-Afif Al-Akhdar – Crise identitaire du monde arabe.)
Les pratiques des factions de l’Islam sont directement issues de la politique du « tout ou rien » qui elle est un marqueur de névrose. Le renforcement de cette «névrose » par l’obsession de la vengeance contre l’Occident ne fait que mettre en avant plan le narcissisme collectif. Seule LA VICTOIRE TOTALE (la victoire ou la mort) sur les mécréants peut assurer le renouveau de ce narcissisme. La psychose n’est pas loin et les modèles ne manquent pas. Tous ces systèmes ont les mêmes éléments de base : frustration (réelle ou supposée) mise en avant et vérité absolue pour la vaincre.
Pour tenter de faire échec à l’échec programmé et en même temps satisfaire au dernier élément de la mise en place de la dictature, avoir un chef absolu, pourquoi ne pas prendre un prophète associé à un Dieu comme chef charismatique pour mener la bataille ? Peut–être que lui …. Nous percevons là le troisième élément indispensable à la démarche «psychotique » : le magique. Le modèle comportemental est prêt à fonctionner ! Frustration. Certitude. Pensée magique. L’islamisme est en place et peut fonctionner ! Sa dictature aussi !
L’affaire des caricatures vue au travers de ce prisme prend une autre signification.
Il n’est jamais trop tard pour s’opposer à l’oppression !
PJ ALBIGNAC
Par Francois (Francois) le lundi 13 février 2006 - 18h46: |
Non au boycott, achetons danois
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 13 février 2006 - 18h38: |
POLYTHÉISME OU FÉTICHISME?
Par Albert Soued, écrivain - le 12 février 2006 pour www.nuitdorient.com
En lisant une page du Zohar liée à la proximité avec le divin qu'avait Abraham, le père des peuples et des 3 monothéismes, je me suis posé la question des rapports entre les Musulmans et Mahomet.
Je m'explique: en Islam Mahomet est le prophète "envoyé" par Allah pour transmettre la parole divine; c'est un homme qui a reçu la parole, à travers des rêves et des visions, pour la transmettre à l'humanité. Mais Mahomet n'est pas Allah.
Or l'interdiction de représentation en image ne concerne que Allah, inconnaissable, mais en aucune manière son prophète qui n'est qu'un envoyé-homme. D'ailleurs les preuves de représentation arabe et musulmane du prophète sont très nombreuses. Et la dernière que je connaisse, c'est la reproduction dans un journal égyptien connu et nommé "Al Fajr" (l'Aurore) des 12 caricatures danoises, sans que personne ne s'en offusque, c'était le 17 octobre 2005, quelques jours après leur parution au Danemark. Ces dessins étaient présentés avec humour par le célèbre journaliste A'del H'amouda.
Or depuis un temps certain déjà les dogmes de l'Islam semblent déraper au gré des circonstances, des fatwas et des contre-fatwas pleuvant selon le vent socio-politique.
Parce que soyons sérieux, si l'Islam est un vrai monothéisme, il ne doit pas confondre Allah et son émissaire. Pas d'image d'Allah inconnaissable, on est d'accord. Mais si on ne peut pas représenter son émissaire, c'est que soit on l'a déifié, et nous sombrons dans le polythéisme, soit on vient d'inventer une règle nouvelle concernant un homme qui a vécu en chair et en os et le sacralisant, et là nous sommes en plein fétichisme. Mahomet deviendrait une relique sacrée, un fétiche.
L'hystérie collective anti-occidentale qui vient de s'emparer d'une partie de la population musulmane dans le monde ne me paraît pas très spontanée. Ceci étant, si autant de gens sérieux sont tombés dans le piège de l'indignation pour de vulgaires dessins souvent peu compréhensibles, c'est qu'il font sciemment le jeu de forces politiques puissantes qui cherchent à détourner l'attention du monde des problèmes qui les assaillent: la Syrie face à un procès d'assassinat d'une personnalité, l'Iran face au refus de l'Occident de le faire entrer dans le club nucléaire, le Hamas élu face à ses contradictions et tous les autres pays arabo-musulmans qui ont failli, face à leurs populations.
Il est vrai que l'Islam confronté à la modernité est comme devant un mur qu'il ne peut surmonter sans se réformer et, de ce fait, par certains côtés, sans se déformer et se déjuger. L'Islam est face à son avenir déjà depuis deux ou trois siècles et à chaque occasion qui se présentait pour se réformer devant l'évolution du monde, il a fait machine arrière. Aujourd'hui l'Islam dit intégriste a le vent en poupe car, mêlé à l'Occident depuis déjà plus de 80 ans, il a compris plusieurs choses. D'abord qu'il risquait de perdre son âme et sa puissance s'il s'adaptait aux valeurs occidentales de liberté, de libre-arbitre et de droits de la femme. Ensuite voyant que sur le plan spirituel et moral il n'avait rien à envier à l'Occident, il a mis en avant en les exagérant ses propres valeurs qui n'ont pourtant rien de mirobolant (1). Et puis par un magistral retour aux sources, il a trouvé l'inspiration dans les objectifs des pères fondateurs de l'Islam, conquérir le monde par le vrai jihad, reconstituer la nation-mère, la oumma et installer de nouveau le caliphat perdu en 1923. Çà c'est un programme alléchant pour des populations frustrées et en attente.
On leur promet de dépecer l'Occident une fois celui-ci conquis démocratiquement, par le nombre (2).
Alors, en attendant ce destin, l'affaire des caricatures permet à l'intégrisme islamique de se compter, de créer une solidarité sur le plan mondial et surtout d'évaluer le niveau de "capitulation" de l'Occident. Et quand on est Occidental et décideur puissant, mais père (ou mère) ou grandpère (ou grandmère) d'un enfant musulman, on se dit qu'après tout pourquoi ne pas capituler tout de suite. Et peu importe si le raisonnement derrière le slogan tient du polythéisme ou du fétichisme, on répète à l'envi "l'image de Mahomet est un blasphème" (3).
Notes
Pour vous faire une opinion personnelle, je vous conseille d'acheter le Coran et de consacrer une journée à une lecture tranquille de ce document (je conseille le Coran, par J Grosjean, traduction et notes de D. Masson, éd NRF, collection la Pléiade – valeur env 25 e). Maintenant si vous voulez un raccourci, allez à la rubrique Islam de www.nuitdorient.com , ou www.nuitdorient.com/n2312.htm & www.nuitdorient.com/n233.htm
À titre d'exemple, le taux des naissances musulmanes en France est de 20/25%; il suffit d'un calcul approximatif simple pour savoir quand la France abandonnera ses valeurs.
Et même des dirigeants juifs qui n'on rien compris ou qui suivent le vent répètent que les caricatures danoises heurtent la sensibilité musulmane.
Par Email (Email) le lundi 13 février 2006 - 07h19: |
Soirée élection miss franco Tunisie
12 mars de 18 h a 02h00
Maîtriser l'art de la fête, de la mise en scène et des rencontres n'est pas chose facile, c'est à cette fin que nous avons décidé d organiser 1 élection par pays
MISS FRANCO TUNISIE MISS FRANCO ALGERIE MISS FRANCO MAROCAINE
L’Objectif de la soirée est de promouvoir l’Art de Vivre oriental par ses aspects culturels, ludiques et élitistes.
Dans un cadre magnifique Qui reflète avec subtilité le raffinement de ce restaurant.
Comment ne pas y passer pour découvrir le goût de l'orient et la beauté à L’extrême...? A peine passé la porte, on se sent non seulement transporté quelque part entre Carthage et Constantinople
Après ça plus personne ne vous empêchera de pousser des youyou de plaisir,Accompagnant la danseuse et le danseur du ventre Avec un délicieux mélange d oriental funk House et Rn'b qui vous entraînera dans
La plus belle histoire orientale en vous éblouissant par son ambiance Au Programme Des animations surprises diverses en fonction des thèmes comme des défilés, chanteur, henné, des show case,....
Et toujours des DJs invités pour vous distiller que du bonheur. Messieurs, venez
Accompagnés... Bon esprit et tenue correcte exigés.
Casting
Le concours de beauté Miss orientale est ouvert à toutes les jeunes filles françaises ou résidentes en
France d origine orientale chaque mois un pays sera présenter le premier pays a l honneur est la Tunisie.
Pour vous inscrire, il faut être âgée entre 18 et 30 ans et mesurer au moins 1m65.
Joindre deux photos. (Portrait, une photo en pied)
JASMINE NIGHT a toute liberté pour admettre ou refuser les candidatures sans en avoir à donner les raisons.
Les miss sont présentées dans leur tenue de soirée personnelle pour un premier passage complété d'une interview, puis dans d'autres tenues originaire du pays de la candidate et appartenant à des stylistes partenaires de Jasmine night.
Après la présentation globale (deux passages + interview), que les candidates sont soumises au vote du jury.
Le jury est mixte compose de personnalités de radio du tourisme et compagnie aérienne Ils sont désignés par JASMINE NIGHT et n'ayant aucun lien de parenté avec les candidates.
C'est ce jury qui, après délibération désigne l'Elue
Le jury devra apprécier non seulement la beauté, mais aussi l'élégance naturelle, le charme, la grâce,
la féminité, l'expression corporelle, indispensables pour l'éthique d'une miss .
Vous pouvez encore postuler pour MISS FRANCO ALGERIENNNE, MISS FRANCO TUNISIENNE, MISS FRANCO MAROCAINE …..
www.jasmine-night.fr
jasmine_night@hotmail.fr
Lieu : 20 rue Quentin bauchart ( http://www.qin-elysee.fr/ )
Soirée : 20 euros avec conso
Soirée plus Dîner : 35 euros sur réservation 01 40 70 19 17
Infos contact Jasmine night : 06 19 35 55 99