Archive jusqu'au 07/juillet/2003

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires de Juillet 2003: Archive jusqu'au 07/juillet/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le lundi 07 juillet 2003 - 17h14:

Interview d’Ahmed Qoreï (Abou Alaa), président du Conseil législatif palestinien : « Les paroles de Bush sur la judéité d’Israël nous inquiètent pour le droit retour » ; « Oslo était une réussite en ce que nous ne donnions rien en échange »

Traduction par MEMRI

Le quotidien libanais Al-Nahar (1) a publié une interview d’Ahmed Qoreï (Abou Alaa), président du Conseil législatif palestinien. En voici quelques extraits :
Les sommets d’Aqaba et de Charm El-Cheikh

Question : Jusqu’où l’application de la feuille de route, consécutive au sommet d’Aqaba, peut-elle être qualifiée de réussite, à la lumière de l’implication directe du président américain George Bush ?

CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA SUITE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 07 juillet 2003 - 17h17:

c:


Jacques Chirac décore le rabbin Sitruk et Jean-Claude Casadesus


PARIS (AFP) - Le président Jacques Chirac a remis lundi la cravate de commandeur de l'Ordre national du Mérite (ONM) au Grand rabbin de France Joseph Sitruk et celle de la Légion d'honneur au chef d'orchestre Jean-Claude Casadesus.

Au cours d'une cérémonie dans la salle des Fêtes de l'Elysée, le chef de l'Etat a salué "les qualités de diplomate" et "le sens religieux très rigoureux" du rabbin Sitruk, devenu à 43 ans en 1988 le plus jeune Grand rabbin de France.

Jacques Chirac a souligné "le rayonnement exceptionnel" que ce "militant pour la paix dans le monde, militant contre l'exclusion et le racisme" donne à sa mission.

En remettant à Jean-Claude Casadesus la cravate de commandeur de la Légion d'honneur, le président de la République a rappelé, sous les yeux de sa mère et de sa soeur, les comédiennes Gisèle Casadesus et Martine Pascal, qu'il appartenait à "une grande famille de musiciens" et d'acteurs.

Créateur de l'Orchestre national de Lille, Jean-Claude Casadesus, a dit Jacques Chirac, est "un grand chef, un grand ambassadeur de la musique française".

Jacques Chirac a également élevé à la dignité de Grand officier de la Légion d'honneur Lucien Rebuffel, qui fut "pendant dix ans, le président charismatique" de la CGPME. Il fut également conseiller RPR de Paris lorsque Jacques Chirac était maire, et conseiller régional d'Ile-de-France.

Secrétaire général de la Fondation Charles-de-Gaulle, Jean Méo, ancien dirigeant d'Elf-Aquitaine et d'Havas, ancien secrétaire général adjoint du RPR, président honoraire de l'Institut français du pétrole, a pour sa part été promu commandeur de la Légion d'honneur.

Pierre Potier, membre de l'Académie des Sciences, a été promu officier de la Légion d'honneur pour "son oeuvre scientifique exceptionnelle".

Noël Perrin, antiquaire à Jasseron (Ain), Laurence Danon, présidente du directoire de France-Printemps, Jacques Hintzy, président du comité français de l'UNICEF, Elie Saint-Léger, charpentier-ébéniste qui a été meilleur ouvrier de France, et Jean-Marie Rabo, président de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS), ont été faits chevaliers de la Légion d'honneur.

Stélio Farandjis, ancien secrétaire général du Haut conseil de la francophonie, a été promu commandeur de l'ONM.

Daniel Revel, chef du service financier et du personnel de l'Elysée, a également reçu la cravate de commandeur de l'ONM. Jacques Chirac a salué en lui "un collaborateur remarquable".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 07 juillet 2003 - 16h04:

Je sais qu'Adra n'est pas l'endroit pr faire des annonces mais enfin celle la merite quand meme d'etre signalee.
Ma grand-mere Pia Germon fete aujourd'hui ses 96 printemps! On lui dit un Grand Mazal Tov et on lui souhaite bien sur de feter son centenaire... aux cotes de son epoux Simon Germon qui partage sa vie depuis 67 ans!!!

De la part de ses petites filles Isabelle Tahar Miller, Frederique Small, Celine Sarah Lewkowicz ainsi que ses arrieres petites filles americaines Naomi, Eva et Anaelle et arrieres petits enfants sabra: Yonathan, Yankel, Yehuda et Dvorah.
Se joignent a nous pr lui souhaiter un joyeux anniversaire Justin, Andy et Ralph Gedalia.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 06 juillet 2003 - 22h24:

De tres belles photos du sud de la Tunisie a voir sur ce site http://www.vjoncheray.com/voyages/tunisie/index.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 06 juillet 2003 - 20h59:

Juffa répond aux questions d’Etienne Duranier (info # 010607/3) [scoop]

Interview publiée par Metula News Agency avec l’assentiment explicite du reporter Etienne Duranier.



Etienne Duranier Stéphane Juffa bonjour, comme la Ména l’avait annoncé, il semble que les tractations entre les gouvernements israélien et palestinien vont bon train. Etes-vous optimiste quant à une issue positive des discussions en cours ?



Stéphane Juffa Vous me demandez si les mesures bilatérales en cours conduiront à un traité de paix ?



ED C’est cela même.



SJ Personne n’est capable de répondre à cette question pour le moment, ce que vous me demandez est un acte de voyance, pas d’analyse stratégique.



Je crois qu’il faille se contenter d’observer et d’analyser au jour le jour l’évolution de la situation. Ceci dit, et dans le cadre étroit de cette attitude que je propose, il est important de noter les changements qui sont intervenus entre les deux gouvernements.



ED Pouvez-vous nous les citer ?



SJ Premièrement, il s’agit d’un changement de partenaires. L’écartement de Yasser Arafat a réussi, si bien que les interlocuteurs aux commandes, côté palestinien, sont Mahmud Abbas et son Monsieur Sécurité, Mohammed Dahlan. Ces deux personnalités sont crédibles, selon les renseignements généraux israéliens, et ils visent honnêtement l’instauration d’un Etat palestinien vivant en paix avec Israël.



ED Et encore ?



SJ Leur langage est différent, aussi bien lorsqu’ils s’adressent à leurs interlocuteurs israéliens qu’à leurs compatriotes. Ils expriment publiquement la nécessité de faire la paix et ils menacent de répression les Palestiniens qui entendraient rompre le cessez-le-feu.



D’ailleurs ils ont déjà emprisonné des terroristes ayant tiré des missiles sur des localités israéliennes. Ils ont également appréhendé ceux qui ont ouvert le feu sur une patrouille israélienne, dans la région de Rafah ainsi que les assassins qui ont tué un camionneur étranger travaillant dans une implantation israélienne.



ED Sont-ce là des arrestations crédibles ? Ne va-t-on pas assister à nouveau à un carrousel d’arrestations fictives et de relaxes discrètes et rapides ?



SJ Je ne le crois pas. Abbas et Dahlan savent que cela détruirait leur crédibilité aux yeux des Israéliens et des Américains alors que leur avenir politique dépend du succès de la Carte routière.



ED Vous dites "Carte routière" quand tous les commentateurs francophones utilisent "Feuille de route" ?



SJ "Road Map" se traduit en français par carte routière. Une feuille de route, en anglais, ce serait un "navigation log". La différence, c’est que le premier concept est indicatif et le second coercitif. Ceux qui se sont risqués à cette mauvaise traduction entendent faire croire que le plan de paix est consommé et écrit et qu’il ne reste plus aux interlocuteurs qu’à en suivre les étapes. C’est inexact, car énormément de points restent à définir après que les problèmes sécuritaires auront été solutionnés. Et ces sujets ne figurent pas sur la Carte routière.



ED De quels sujets est-il question ?



SJ De l’essentiel. Des modalités de coexistence des deux Etats, du tracé de leur frontière définitive, des problèmes de répartition de l’eau, des conditions de transport entre les deux entités, de sécurité, d’emploi et de commerce.



ED Est-ce le traitement de ces questions qui vous empêche de fixer un pronostic ?



SJ Entre autres, oui. Je ne suis pas du tout persuadé qu’il sera aisé de trouver des compris mutuellement acceptables pour un grand nombre d’interrogations épineuses. Une fois les aspects sécuritaires fixés, on sera seulement revenu au statut de Camp David II. Il faudra alors plancher à nouveau sur tous les éléments politiques réclamant une solution définitive et ce ne sera certes pas chose facile.



ED L’avenir des implantations viables ?



SJ Oui, même si on reviendra sur la solution Clinton. Ca n’est pas, malgré les apparences, le sujet le plus délicat à résoudre.



ED Le statut de Jérusalem ?



SJ Certainement. De même que la définition d’un cadre international pour le traitement des réfugiés palestiniens, issus de Palestiniens et dits Palestiniens, partout où ils se trouvent.



ED Et le terrorisme ?



SJ Les organisations terroristes devront avoir été désarmées avant d’atteindre ce stade des négociations, de même que l’incitation médiatique au meurtre d’Israéliens devra avoir disparu des écrans de télévision, des journaux et des livres de classes de Palestine.



ED Sans cela ?



SJ Abbas et Dahlan le savent bien. Il n’y aurait pas d’Etat palestinien définitif et les zones évacuées actuellement par Tsahal jouiront d’un statut non écrit de territoires autonomes, autant que durera le calme sécuritaire relatif.



ED Et si ce calme ne tient pas ?



SJ Ce sera la 3ème Intifada qui pourrait, pour la première fois, être déclenchée par un gouvernement israélien.



Mais même s’il ne faut négliger aucune éventualité, remarquons que cette situation d’Intifada est celle qui prévaut avant la Road Map, alors prenons note de ce que le changement réside dans les différences que je viens de mentionner et qu’une nouvelle lucarne d’opportunité de négocier la paix s’est ouverte.



ED L’Europe pourra-t-elle aider au succès de ce processus ?



SJ En théorie, elle le pourrait le faire mais pas avec une France qui autorise les collectes de fonds pour les assassins terroristes islamiques, mondialo-hégémonistes. L’attitude difficilement concevable de la France fait reposer toute l’influence étrangère sur les Américains et cette modération extérieure sera de plus en plus prépondérante, à mesure qu’on va triturer dans la chair fraîche des ethos réciproques.



ED Mondialo-hégémonistes, c’est un terme que l’on voit souvent dans les articles de la Ména, que signifie-t-il ?



SJ Que la finalité déclarée des organisations armées religieuses actives en Palestine, telles que le Hamas ou le Djihad islamique, consiste en l’islamisation obligatoire du monde, au besoin par l’emploi de la force. Le fait que des politiciens ou des journalistes occidentaux indélicats dissimulent à leurs publics les chartes explicites de ces mouvements n’est certes pas de nature à altérer leurs objectifs.



ED Croyez-vous que tous les musulmans partagent ce dessein ?



SJ Heureusement pas. Ce dessein hégémoniste provient de l’interprétation particulière des textes religieux de l’Islam, que font certains musulmans. Ce courant va se renforçant, durant ces dernières années, mais d’autres interprétations, tolérantes, antithétiques de celle-ci, sont exprimées par des dignitaires de la foi coranique, notamment en France et en Italie, mais j’en ai rencontrés également en Egypte, en Jordanie et en Palestine.



Reste que notre problème n’est pas théologique pour l’essentiel, même si ce sont les membres de ces obédiences hégémonistes, qui perpètrent les assassinats collectifs de civils israéliens.



ED Revenons à la France, si vous le permettez. Comment réagit l’intelligentsia parisienne aux avancées Abbas-Sharon ?



SJ Mal. Depuis l’évacuation par Tsahal de la bande Gaza et de la ville de Bethlehem, les médias tricolores se sont tous faits étonnamment discrets sur ce qui se passe ici. On sent même une gêne confuse face à la cordialité apparente des relations entre Mahmoud Abbas et Ariel Sharon.



ED Comment expliquez-vous cette étrange réaction ?



SJ On pourrait bien entendu la mettre sur le compte du contentieux franco-américain, mais ce serait par trop simpliste. D’autres éléments interviennent. N’oublions pas que le gouvernement français ainsi que les médias qui lui sont traditionnellement très proches sur les questions de politique étrangère, avaient tout misé sur Yasser Arafat. Comment, dès lors, expliquer au public de l’Hexagone que Mahmoud Abbas prétende devoir éradiquer le terrorisme palestinien, là où Arafat justifiait son existence – qu’il appelait résistance - par de prétendues exactions de l’armée israélienne ?



Comment lui expliquer, à ce public français, que Abbas parvient à imposer un cessez-le-feu à toutes les factions palestiniennes, alors qu’Arafat a toujours déclaré que c’était une chose impossible à faire parce que les Israéliens avaient détruit l’infrastructure de ses forces de sécurité ?



Et puis, ces mêmes médias se sont déchaînés sans discernement contre le Premier ministre Sharon, l’accusant, à la suite de Védrine, de vouloir exécuter Arafat et transférer les Palestiniens hors de Palestine, lorsque qu’ils ne lui prêtaient pas l’intention de les exterminer purement et simplement.



Comment, dans ces conditions, montrer les ministres les plus importants du gouvernement palestinien se réunir dans le bureau du même Sharon, à Jérusalem ? Et Mahmoud Abbas, s’exprimant, à ses côtés, devant une tablette portant les armoiries de l’Etat d’Israël ?



ED Parler du processus en cours serait pour ces médias reconnaître des années de désinformation ? Est-ce ce que vous insinuez ?



SJ Je fais plus que juste l’insinuer, Etienne, je le proclame. Le gouvernement et la presse français sont à ce point emberlificotés dans leur couverture mensongère des événements de la région, qu’ils ne savent plus comment s’en sortir, ni comment se comporter.



Au point que la France a quasiment boycotté le sommet économique qui s’est tenu en Jordanie voici deux semaines et qui s’est soldé par un succès certain.



Au point que la presse française n’a fait aucun cas de l’initiative de paix Ayalon-Nusseibah et qu’elle prend souvent le parti des éradicationnistes arabes et de ceux qui s’opposent à la Carte routière et à Mahmoud Abbas. C’est aussi le cas de la CAPJPO, qui avait réuni de nombreux barons de la presse et de la science en France, sous le drapeau de la recherche d’une paix juste et durable au Proche Orient et qui, maintenant, feint d’ignorer les avancées de la Road Map et jusqu’à l’existence du plan de paix Ayalon-Nusseibah.



Je n’aimerais pas être dans les pantoufles de ces gens qui ont soutenu Olivia Zemor et qui se retrouvent aujourd’hui dans le camp de la guerre à outrance, plus extrémiste encore que le Hamas et le Djihad, qui respectent eux, pour le moment, un cessez-le-feu afin de permettre aux négociations de se poursuivre…



ED Où en est la Ména avec l’Affaire A Dura ?



SJ Je crois que notre agence a réussi le tour de force de contrebalancer l’imposture diffusée par la télévision publique française. A force d’un travail minutieux et empreint d’une grande objectivité, nous avons réussi à persuader l’immense majorité des médias mondiaux de l’existence d’inconséquences majeures dans le reportage Abou-Rahma – Enderlin, qui détruisent sa crédibilité.



Aujourd’hui, il suffit de taper "Mohamed A Dura" (ou Al-Dura) sur n’importe quel moteur de recherche de l’Internet pour se rendre compte de la véracité de ce que j’avance. Des centaines de journaux et de revues généralistes ont adopté les conclusions de nos enquêtes et se basent nommément sur le travail d’investigation de Nahum Shahaf ainsi que sur celui des journalistes et analystes de la Ména.



ED Pourquoi, Stéphane Juffa, considérez-vous ce renversement comme un tour de force ?



SJ Parce qu’à moins d’être globalement crédible et écouté, comme c’est le cas de la Ména, et de circonstancier ses critiques avec une précision sans faille, il est à peu près impossible à un média écrit de faire échec à une thèse – fût-elle incorrecte – lorsqu’elle est soutenue par un média national audiovisuel.



Dans le cas de Mohamed A Dura, les augures nous étaient encore plus défavorables, puisque les médias de la France entière se sont mobilisés afin de défendre l’imposture de France 2, n’hésitant que rarement à nous invectiver voir à nous insulter carrément.



Aucun média français n’a ainsi daigné présenter nos conclusions et aucune chaîne de télévision tricolore n’a présenté notre documentaire filmé sur l’Affaire. Personne, en France, ne nous a invités à en débattre. Personne n’a parlé du livre-enquête de Gérard Huber.



Et pourtant, la plupart des professionnels de l’information en France, ainsi que les hommes politiques, sont désormais conscients de ce que le reportage de France 2 est une pitoyable mise en scène.



Hors de France, en Allemagne et dans les pays anglo-saxons, principalement, contrées où la presse a procédé à des contre investigations librement diligentées, la thèse des soldats israéliens qui concentrent leur feu durant 45 minutes sur un enfant palestinien martyr n’est plus crue par personne.



ED Une victoire de la Ména, en quelque sorte ?



SJ Chaque fois que nous sentons que l’équilibre dans l’information progresse et que les désinformateurs ont plus de difficultés pour monopoliser les médias, nous sommes payés de nos efforts. Mais il s’agit d’un combat perpétuel, qui ne connaît que des satisfactions éphémères. D’un combat sans victoires et sans euphories.



Notre bataille est quotidienne et elle consiste à bien informer nos lecteurs et à imposer la présence de nos standards exigeants dans le paysage médiatique.



ED Est-ce que vous détestez des gens comme Charles Enderlin, Sylvain Cypel, Jean Daniel, Théo Klein, Gilles Paris, Dominique Vidal, Roche, Labévière, Pascal Boniface etc. que vous épinglez dans les articles de la Ména ?



SJ Nous ne les épinglons pas. Ca ne veut rien dire, "épingler". Nous déconstruisons leurs hypothèses exprimées lorsque nous avons acquis la certitude qu’elles sont inaptes. Que leur incorrection soit volontaire ou fortuite !



ED Mais encore ?



SJ Je ne leur ferai pas une tape confraternelle dans le dos à la prochaine occasion où je les rencontrerai, leur attitude me rebute quand même un peu.



Ceci dit, je ne lèverai jamais la main sur aucun d’eux et je déconseille vivement à quiconque d’adopter une attitude différente de la mienne. L’usage de la force physique, voire de la menace d’en user est quelque chose d’inadmissible, de criminel. De plus, le prétexte de l’existence de telles menaces donne une justification à l’œuvre de ces gens. Certains prétendent, follement, que la Ména incite à la violence contre leurs personnes et c’est souvent le seul argument, même s’il est également fallacieux, qu’ils tentent de faire valoir.



Il est nettement suffisant de laisser Charles Enderlin assister impuissant à l’effondrement de ses thèses sur l’échec de Camp David – par la pseudo volonté de Barak et de Clinton d’humilier Arafat – ainsi qu’au dévoilement de l’imposture A Dura. Son inconfort, alors qu’il ne peut soutenir aucun débat de spécialistes sur cette affaire, est suffisamment pénible à voir, sans qu’il ne faille imaginer des punitions barbares. Imaginez son désagrément, lorsque j’affirme que les scènes insoutenables de l’agonie de Mohamed A Dura, qu’il affirme être en possession de FR2, n’existent pas et qu’il n’est pas en situation d’établir le contraire. Il n’est pas de pire désaveu pour un journaliste.



De plus, je me garderai bien de mettre tous les noms que vous avez cités dans le même panier. Certaines des personnes dont nous critiquons le travail ne sont pas des fripouilles.



ED Avez-vous joué un rôle actif dans l’écartement de Pascal Boniface des instances dirigeantes du PS ?



SJ Je suis persuadé que c’est surtout lui qui a joué ce rôle, en croyant à tort que l’image d’Israël en France s’était suffisamment détériorée pour lui permettre d’accréditer la confusion entre critiquer sporadiquement une décision politique du gouvernement israélien et insulter, avec force inculture, la nation d’Israël et ses dirigeants.



Si vous me demandez, Etienne, si j’ai appelé Sarkozy pour lui dire de démissionner de l’IRIS ou si nous nous sommes livrés à des actes interventionnistes de ce genre, ma réponse est non, bien évidemment.



Par contre, si vous demandez si les articles de la Ména, révélant notamment – ce qui n’intéressait pas la presse française - à savoir la démission d’un grand nombre de membres très importants du conseil d’administration de l’IRIS, en publiant les raisons, de leurs mains, qui les avaient fait démissionner, ont contribué à la perte de crédibilité de Boniface, je dis que nous avons fait notre travail d’informateurs pendant que les voltigeurs regardaient en bâillant les couchers de soleil.



Je crois surtout que c’est notre commentaire sur l’interview que Boniface avait accordée au quotidien suisse Le Temps, qui a fait s’allumer beaucoup de lumières rouges. Il s’agit de l’article dans lequel cette personne se plaignait de ce que Bush n’avait pas inclus Israël dans la liste des pays de l’Axe du Mal.



Pas tout le monde à Paris ne lit Le Temps, alors que les commentaires de la Ména tombent rarement dans l’oreille des sourds. Sur le fond, je ne crois pas que quelqu’un qui se permet de telles inanités stratégiques ait sa place au parti socialiste. Ni à la tête d’un institut d’étude stratégiques, d’ailleurs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 06 juillet 2003 - 20h55:

Yad Vashem dénonce les mesures en faveur de Papon

La direction du mémorial de Yad Vashem a vivement protesté contre la nouvelle décision prise par les autorités françaises, qui ont renouvelé la retraite du collaborateur Maurice Papon.
Il y a cinq ans, ce dernier avait été condamné à dix ans de prison et à une lourde amende pour avoir participé à la déportation de France de 1500 Juifs qui ont été internés dans des camps de concentration nazis.
Cependant, il a été libéré en automne dernier «en raison de problèmes de santé».
Les directeurs du mémorial juif de la Shoah ont estimé qu’en lui accordant une libération anticipée et une retraite, les autorités françaises faisaient preuve d’un mépris total de la justice.
Ils ont ajouté que la peine qui lui avait été infligée au départ avait été particulièrement légère par rapport aux actes qui lui étaient reprochés et qu’une telle décision portait atteinte aux rescapés de la Shoah.
Ils ont salué la position prise par le ministre français de la Justice Dominique Perben, qui s’est opposé au renouvellement du versement de la retraite de Maurice Papon.

A7.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 06 juillet 2003 - 19h51:

Chalom,

le numero 9 de Pnima vient de sortir! Venez vite nous lire sur http://www.pnima.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 06 juillet 2003 - 18h52:

Ahul, Shalom,

L’article ci-dessous me semble très réaliste quant à ce qu’il décrit.
Juste pour vous faire remarquer qu’il faudrait simplement changer le mot « arabes » par « imazighen arabêtisés » et nous serions d’accord à 100%. Nous avons connu la même situation au « Maroc » où les Juifs Imazighen ont été « doucement » chassés par l’administration arabo-baatiste qui a suivi le protectorat. Ceci étant dit, je ne dois pas vous apprendre que cette dernière avait été placée par l’ancien colonisateur et que bien que les juifs avaient la possibilité d’émigrer vers la France, ils ont dû malgré tout fuir de peur de vivre des représailles d’une population abrutie par l’arabisation ! Bien que les attaques physiques ont été peu nombreuses (car je me souviens de qq unes comme la tentative d’assassinant du Rabin de Tanger juste après 1967) mais réelles. La vente des commerces ne s’était pas faite sans magouilles de la part des tenants du pouvoir à l’époque (la bourgeoisie Fassie) pour s’approprier des affaires à bon prix…Mon père était témoins de pas mal d’actes de ventes à des prix bradés.
La France ne protégeait pas non plus les Juifs outre mesure…Mon père se souvient encore de soldats (bien français) qui maltraitaient les juifs imazighen à Tafraout, dans les années 30-40, ce qui provoquait des actes de solidarité et de défense de la part des Imazighen musulmans scandalisés.
Bien à vous
Stan
A propos du " droit au retour "


L'épuration ethnique des Juifs en pays arabes

" Judenrein ", nettoyés de toute présence juive ! Voilà ce que sont devenus les pays arabes. Qui réclame le " droit au retour " des Juifs sur leur terre natale ? Qui demande le partage de ces " territoires " ancestraux qu'ils occupaient avant même la présence arabe ? Qui s'est préoccupé de leur immense détresse psychique et financière lorsqu'ils ont débarqué en France ou ailleurs, dispersés aux quatre vents, acculturés, arrachés à leur terre, abandonnant leurs morts, dépossédés de leurs moindres biens ?


L'attentat de la synagogue de Djerba, la guerre en Irak (et la découverte de ces quelques juifs vivant comme des Troglodytes), ou plus récemment les attentats de Casablanca, auraient pu être l'occasion pour les médias de s'interroger sur la quasi-disparition de ces populations juives. Mais non ! il est tellement plus facile et islamiquement correct de nous resservir sempiternellement l'antienne de la merveilleuse entente des Juifs et des Arabes en pays arabes !


Pour ne prendre que la Tunisie, où la Ghriba suffit à attester une présence juive plusieurs fois millénaire (ne dit-on pas qu'elle fut construite sur une pierre datant de la destruction du second Temple de Jérusalem ?), il est clair que le Protectorat n'a été qu'une " parenthèse " de l'histoire, car avant et après celui-ci la relation Juifs-Arabes était tout sauf idyllique


- Avant le protectorat : pogroms et brimades

Comme s'exclame Albert Memmi, lui-même Juif tunisien " Allons je vois bien qu'il faut parler plus net : la fameuse vie idyllique des Juifs dans les pays arabes, c'est un mythe ! La vérité, puisqu'on m'oblige à y revenir, est que nous étions une minorité dans un milieu hostile ; comme tels, nous avions toutes les peurs, les angoisses, le sentiment constant de fragilité des trop faibles ...la cohabitation avec les Arabes n'était pas seulement malaisée, elle était pleine de menaces, périodiquement mises à exécution...J'ai vécu les alertes du ghetto, les portes et les fenêtres qui se fermaient, mon père arrivait en courant après avoir verrouillé son magasin en hâte parce que des rumeurs sur l'imminence d'un pogrom s'était répandues. Mes parents faisaient des provisions dans l'attente d'un siège, qui ne venait pas nécessairement d'ailleurs, mais cela donnait la mesure de notre angoisse, de notre insécurité permanente. Nous nous sentions alors abandonnés de toute la terre, y compris hélas des autorités du Protectorat " Albert Memmi " Juifs et Arabes " éd. Gallimard, 1974 p.50


Quant aux brimades, il suffit de rappeler la touchante coutume de la chtèka , ou " coup sur la tête " que n'importe quel Arabe avait le droit de donner sur un passant Juif, ou encore celle qui obligeait les Juifs à descendre du trottoir dès lors qu'il croisait un Arabe...


-Après l'Indépendance : spoliation et nettoyage ethnique

Dès la proclamation de l'Indépendance, une méthode d'épuration " soft " très au point permit de se débarrasser des Juifs (qu'ils soient de nationalité française ou tunisienne) tout en les spoliant :


Alors qu'une partie de la population juive avait cru possible de continuer à vivre dans leur pays devenu état tunisien, " qu'ont fait les Tunisiens ? ". Tout comme les Marocains et les Algériens, ils ont liquidé-avec intelligence et souplesse- leur communauté juive. Ils ne se sont pas livrés à des brutalités ouvertes comme dans d'autres pays arabes ; ce qui d'ailleurs aurait été difficile après tant de services rendus, l'aide d'une partie de nos intellectuels ; à cause aussi de l'opinion mondiale...mais ils ont étranglé économiquement la population juive. Pour les commerçants c'était facile : il suffisait de ne pas renouveler les patentes, de refuser les licences d'importation ; en même temps, on avantageait leurs concurrents musulmans. Dans l'administration, ce n'était pas plus compliqué : on n'engageait pas les juifs ; ou on mettait les anciens agents dans des difficultés linguistiques insurmontables que l'on n'imposait pas aux Musulmans. De temps en temps, on envoyait en prison un ingénieur, ou un grand commis, sur des accusations mystérieuses, kafkaïennes, qui affolaient tous les autres. " op. cit.p.54

Sans compter, qu'à l'occasion de tel ou tel évènement extérieur, les flambées de violences, avec comme point culminant l'incendie de la Grande synagogue de Tunis en 1967, continuaient à dissuader ceux qui " résistaient " et devenaient, privés de protection, l'objet de défoulement privilégié des foules haineuses.


Et c'est ainsi que poussés à l'exil, sans un dinar en poche - partir avec le moindre argent était passible de prison !-, les Juifs tunisiens quittèrent leur pays abandonnant tout ce qu'ils avaient construit par leur seul travail : les maisons dans lesquelles ils étaient nés et dans lesquelles leurs aïeux étaient morts, -maisons aussitôt investies par des familles arabes-, leurs commerces -commerces sur lesquels firent aussitôt main-basse leurs concurrents, ou leur cabinet médical ou juridique -cabinet sur lequel louchait l'ami ou confrère arabe et qui, à force de harcèlement, les avait poussés dehors.


Aujourd'hui déni et révisionnisme

Bien sûr, 1500 Juifs environ restent à Djerba et Tunis et à peu près autant au Maroc. " Protégés " par le pouvoir comme au temps de leur " dhimmitude ". Espèce en voie de disparition, ils constituent une sorte de zoo à la fois caution morale sur la scène internationale " voyez comme chez nous les Juifs sont bien traités " et argument révisionniste : " les autres n'ont pas été chassés, ce sont eux qui ont voulu partir " (et pour cause !!!)


Le " droit au retour ", voire la création d'un état " judéo-tunisien ", les Juifs tunisiens seraient largement en droit de les réclamer !


Serait-ce si incongru ? Nettement moins que ce que les Palestiniens réclament : un état " palestinien " dans une partie de la Palestine historique " la Cisjordanie ", plus Israël dans lequel devraient revenir les " réfugiés "...palestiniens !....


Pas très logique tout çà ? Très logique au contraire ! Pour préciser : un pays arabe " pré-inexistant ",- la Cisjordanie - mais déjà " néo-judenrein " (les habitants des colonies de Judée-Samarie, berceau du peuple juif, devraient quitter les lieux sans que l'on exige la moindre réciprocité pour le million d'arabes israéliens !) plus un autre état arabe (Israël) livré " clés en mains " celui-là, et avec une population juive presque aussitôt minoritaire...En clair le dernier avatar du projet d'épuration ethnique en " terre arabe "


Emma Dressou

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 06 juillet 2003 - 18h51:

Dans la nuit de samedi dernier, à 11:00 du soir, une ambulance palestinienne arrivée en trombe au barrage situé à proximité de la ville de Kalkilia, demandait, en anglais, aux soldats alors en place, une aide d'urgence afin de porter secours à une femme palestinienne à un stade avancé d'accouchement.

Sur place des infirmiers de Tsahal dont le Lieutenant réserviste Vadim, officier médecin, accoururent aussitôt avertis.

L'ambulancier, qui parlait quelques mots d'hébreu, expliqua au Lieutenant Vadim que le bébé était bloqué à l'intérieur du ventre de la mère.
"Je me suis approché de la femme et j'ai entrevu la tête de l'enfant", raconte Vadim.
"La mère s'est mise alors à pousser et le bébé est tombé directement dans mes mains."

Les Palestiniens qui s'inquiétaient du sort de l'enfant se sont appaisés et la mère remercia chaleureusement le Lieutenant.
"J'ai donné de petites tapes sur le postérieur du bébé qui aussitôt s'est mis à pleurer. Ce qui est un bon signe. J'ai ensuite coupé le cordon ombilical et mis la maman sous perfusion".
"Les ambulanciers m'ont demandé s'il était prudent de transporter la mère et l'enfant à l'hôpital le plus proche. Ce à quoi j'ai répondu oui, leur santé n'étant plus en danger."

Psychiatre de formation

Le Lieutenant Vadim est psychiatre de formation.
Nouvel immigrant de Russie, il s'est engagé dans Tsahal dans le cadre d'un programme dit "Shlav Beth" destinés aux nouveaux immigrants, et comprenant des classes prépararoires écourtées et l'accès au cours d'officiers.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 06 juillet 2003 - 16h27:

PARRAINER UNE FAMILLE VICTIME DU TERRORISME EN ISRAEL
Je viens de lire le message suivant via un groupe francais
GroupeRuth-owner@yahoogroupes.fr

Le terrorisme n'arrete pas de nous frapper, ici en Israel, et touche des centaines de familles israeliennes. Des centaines d'orphelins sont demunis, desempares et avec peu ou pas de soutien financier ou moral, ceci etant du a une situation economique des plus difficiles que nous ayons connue.
Depuis plus d'un an, un groupe de volontaires s'est forme spontanement pour les aider.
Il a commence aux US et Canada et a eu beaucoup de succes. 400 familles ont ete adoptees en 2002!
Je voudrais les aider a mobiliser le soutien moral et financier des familles juives de France. Notre but est de faire adopter 200 familles en France en 2003-2004.
L'idee de base est de former des groupes de familles/individus en France qui sont prets a adopter une famille/orphelins et les aider moralement et financierement.
L'originalite de cette idee est qu'elle met en contact direct une famille et un groupe de soutien sans aucun intermediaire entre les deux.

Le site Adopt-A-Family est accessible a partir du site:
http://www.justhelp.org/

Je serais tres heureux de recevoir vos idees sur la maniere d'introduire un tel programme en France ou de connaitre votre interet a contribuer/aider.
Alain Dahan

NB: Ceci est valable bien entendu pour la Belgique, la Suisse et tous les pays du monde qui pourraient aider.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 06 juillet 2003 - 17h27:

Assistes t on a un renouveau ou meme un rechauffement des relations entre Israel et la Communaute Europeenne ??? Plusieurs signes positifs semblent indiquer un changement de l attitude de l Europe envers Israel . Ce ne sont que des premisses mais assez interessantes pour qu on en parle .
Javier Solana , a envoye a Ariel Sharon un message pour reouvrir un nouveau dialogue Israel - Europe . Sharon n a toujours pas repondu mais le fait qu il ait prevu un voyage en Angleterre et en Norvege , prouve bien le renouveau des relations car depuis bien longtemps Sharon ne s etait pas rendu en Europe .
Bien sur il n y a pas encore un reel changement de la politique Europeenne mais les signaux existent.
Les Europeens semblent avoir compris que ; accuser Israel de tous les maux ne fait que les eloigner de toute influence sur la politique du Moyen Orient .
Le fait que Bush n ait invite aucun Europeen aux discussions d Aqaba a ete un signal fort qui a fait comprendre a l Europe l hegemonie totale des USA
Pourtant un seul point risque encore de poser des problemes dans ces premisses de relations , c est la position de l Europe face a Arafat . Les Europeens continuent a le rencontrer alors qu Israel declare qu elle ne recevra pas ceux qui iront le voir .
A suivre !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 06 juillet 2003 - 16h12:

Meyer savais tu que Tel Aviv est en fait la ville ou les maisons du style Bauhaus sont les plus nombreuses dans le monde . Ce style epure et geometrique sans fioritures ni decorations convenait parfaitement a l alyah des annees 40 qui voulait des maisons pratiques et semblables a celles qu ils avaient connu en Allemagne . Il y a a Tel Aviv plus de 4000 batiments de ce style .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 06 juillet 2003 - 15h39:

On n'a pas besoin d'etre psychologue pour comprendre que quand une personne n'a pas confiance c'est parcequ'elle n'est pas elle-meme honete et quand elle pense que les autres controlent l'argent, c'est parcequ'elle est incapable d'en faire autant et lorsqu'elle sent que les autres sont superieurs c'est tout simplement parcequ'elle a un complexe d'inferiorite.
En effet, on a toujours tendance a juger autrui en fonction de ce qu'on doit justement rectifier en soi-meme.

Yael

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 06 juillet 2003 - 15h44:

L'UNESCO a classe la ville de Tel Aviv-Yaffo comme Site de l'Heritage Mondial.

Cela est du en particulier aux immeubles du centre ville construits dans les annees 1930. Ils ont ete concus par des architectes d'origine allemande adeptes du style Bauhaus. Le cafe Apropo en fait partie. Alors qu'il venait d'etre renove dans l'aspect d'origine, il avait fait l'objet d'un attentat meurtrier.

http://www.haaretzdaily.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=314808&sw=UNESCO