Archive jusqu'au 16/juillet/2003

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires de Juillet 2003: Archive jusqu'au 16/juillet/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pinacolada (Pinacolada) le mercredi 16 juillet 2003 - 12h58:

Cet aricle devrait plaire à Michka, la porte-parole(autoproclamé) de la Maison Blanche. :)

L’ambassadeur des Etats-Unis à La Presse

« Je suis bien placé pour prendre la mesure
de l’immense progrès enregistré par la Tunisie »

La Presse — La mission de M. Rust Deming, ambassadeur des Etats-Unis à Tunis, arrive à son terme et il quittera avec regret la Tunisie à la fin de ce mois. Avec regret parce que M. Deming entretient une relation un peu particulière avec notre pays qu’il connaît depuis 1966. C’est cette année-là précisément que M. Deming, alors jeune diplomate, occupe son premier poste diplomatique à l’ambassade américaine à Tunis. Ses deux jumelles sont nées ici et ont fait leurs premiers pas sous notre ciel méditerranéen. M. Deming est revenu à Tunis près d’un tiers de siècle plus tard en tant qu’ambassadeur où il passera trois ans à ce poste. Par conséquent, comme il le précise lui-même, il est bien placé pour mesurer le chemin parcouru par la Tunisie en plus d’un tiers de siècle. Et c’est de cela que nous avons parlé avec lui, mais aussi des relations tuniso-américaines, de l’Irak, de la question palestinienne, du débat américano-américain sur certains arguments utilisés par le Président Bush dans son discours sur l’état de l’Union de janvier 2003, etc. Interview.

— Comment évaluez-vous l’évolution des relations tuniso-américaines au cours de ces dernières années ?

Avant tout, laissez-moi dire quelques mots sur l’évolution de la Tunisie elle-même. Ma femme et moi avons eu le privilège de vivre en Tunisie à deux reprises, deux périodes qui se situent à trente ans d’intervalle l’une de l’autre. Nous avions été ici de 1966 à 1968, j’étais le plus jeune membre de l’ambassade. Je suis revenu il y a trois ans en tant qu’ambassadeur. Dans cette perspective, je suis très bien placé pour prendre la mesure de l’immense progrès enregistré par la Tunisie au cours de cette période, économiquement, socialement, mais aussi politiquement. De 1966 à 1968, la Tunisie était plutôt un pays en voie de développement, aujourd’hui la Tunisie est à la tête des pays émergents dans le monde. Le niveau de l’éducation, le niveau du développement, le niveau d’alphabétisation, la position de la femme, les succès du planning familial, tous ces éléments ont contribué à l’énorme succès de la Tunisie et à sa position dans le monde aujourd’hui. La Tunisie est aujourd’hui un immense chantier et je suis extrêmement optimiste pour l’avenir de la Tunisie et très fier de ce que la Tunisie a réalisé jusqu’à ce jour.

Concernant votre question sur l’évolution des relations tuniso-américaines, je pense que nous avons changé et la Tunisie a aussi changé. Quand j’étais ici de 1966 à 1968, la Tunisie était alors la plus grande bénéficiaire de l’aide américaine par tête d’habitant. Parce que la Tunisie était un pays important pour les Etats-Unis, parce que la Tunisie utilisait l’aide américaine plus judicieusement que d’autres; et la Tunisie demeure dans l’histoire de l’USAID (Agence américaine pour le développement international) l’un des plus grands exemples de succès de notre point de vue en termes d’utilisation de l’aide pour les besoins du développement des ressources humaines et des ressources économiques. Enfin parce que la Tunisie a toujours adopté des positions sages et modérées au niveau de sa politique étrangère.

Aujourd’hui, la Tunisie demeure un pays extrêmement important pour nous, mais n’est plus bénéficiaire des larges programmes d’aide au développement de l’USAID, parce qu’elle a évolué depuis et le revenu par tête d’habitant est bien au-delà des critères fixés par cette agence pour recevoir les fonds d’aide au développement. Nous continuons à coopérer au niveau du partenariat Afrique du Nord-USA, à coopérer au niveau militaire, mais la nature de la coopération a changé. Je pense que l’avenir appartient au secteur privé. La Tunisie est une destination attirante pour l’investissement américain. Beaucoup de compagnies américaines opèrent déjà en Tunisie dans le secteur textile, pétrolier et autres. Certes il y a eu un ralentissement après les attentats du 11 septembre 2001, mais maintenant, on assiste à un retour au niveau d’avant, surtout que les relations de la Tunisie avec l’Union européenne font d’elle une plateforme intéressante pour l’exportation vers cette partie du monde. Et puis si le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et d’autres pays modérés évoluent vers un marché commun, cela fera de la Tunisie une destination plus attirante encore, car un marché de 50 millions de consommateurs est plus intéressant pour les investisseurs qu’un marché de 10 millions. Ensuite, il y a ce programme de partenariat USA-Moyen-Orient établi l’année dernière et qui pourrait constituer une opportunité pour la Tunisie d’accroître encore davantage sa coopération avec les Etats-Unis.

— Mais malgré tout, les liens économiques et commerciaux entre nos deux pays n’ont jamais été à la hauteur des relations politiques privilégiées qu’ont toujours entretenues Tunis et Washington. Est-ce que l’éloignement géographique est la seule explication ou il y en a d’autres?

Il y a un certain nombre de facteurs, et l’éloignement géographique en est un. Pour beaucoup de compagnies américaines, la Tunisie est peu connue. C’est en partie notre responsabilité et en partie celle de nos amis tunisiens du secteur privé et au sein de l’administration de n’avoir pas su faire connaître la Tunisie comme elle devrait l’être. Ensuite, depuis le 11 septembre, on assiste à un ralentissement général de l’investissement dans cette région, en particulier pour deux raisons : les gens hésitent à voyager à cause de toute cette confusion liée aux voyages qui s’est installée au lendemain de ces événements; ensuite parce que les hommes d’affaires aussi bien américains que tunisiens ne veulent pas prendre de grandes décisions dans un environnement incertain.

Maintenant, nous avons tourné la page d’une période difficile. Les choses prennent une tournure positive en Irak et au Moyen-Orient en relation avec le processus de paix. Les hommes d’affaires américains sont plus confiants en l’avenir, la même confiance existe en Tunisie et nous souhaitons donc qu’il y ait plus de participation active américaine dans l’économie tunisienne. Et comme je l’ai dit tout à l’heure, si des progrès sont réalisés au niveau de l’UMA, la région sera plus attractive encore pour l’investisseur américain. Mais même sans cela, le fait que la Tunisie dispose d’importants atouts au niveau des ressources humaines et des infrastructures économiques fait d’elle un pays très attirant pour les investisseurs américains et une plateforme d’exportation vers l’Union européenne.

— Et l’initiative Eisenstat relative au Maghreb ?

C’est une initiative qui remonte à 1998 et qui consiste à encourager la coopération intermaghrébine. Nous n’avons pas fait beaucoup de progrès à ce niveau malheureusement, parce que les pays maghrébins eux-mêmes ont des difficultés à accroître leur coopération économique. L’initiative Eisenstat devint du coup trois programmes de coopération bilatérale : un programme tuniso-américain, un programme algéro-américain et un programme américano-marocain. Maintenant, une opportunité s’offre à nous pour revigorer et revitaliser tous ces programmes de coopération. Le secrétaire d’Etat, Colin Powell, avait annoncé en novembre dernier un programme de partenariat avec le Moyen-Orient doté cette année d’une somme s’élevant à 127 millions de dollars. Il y a là des opportunités de coopération avec nos amis tunisiens, notamment sur le plan de l’éducation qui constitue l’un des vastes aspects de notre partenariat. L’année dernière, la Tunisie et les Etats-Unis ont signé un accord relatif à l’investissement et au commerce qui est une première étape vers des arrangements commerciaux. En septembre, une réunion se tiendra aux Etats-Unis où seront étudiées les différentes étapes nécessaires à un accord de libre-échange. Et compte tenu des progrès faits par la Tunisie dans sa relation avec l’Union européenne et au niveau de sa propre économie, je pense que nous pourrons avancer rapidement.

— En politique, comme dans n’importe quel autre domaine, il est impossible de résoudre une crise sans aller aux causes qui l’ont fait naître. Les Etats-Unis ne donnent pas l’impression de vouloir traiter en profondeur certaines crises graves pour les résoudre une fois pour toutes. La crise israélo-palestinienne est la première à laquelle on pense, n’est-ce pas ?

—Tout d’abord je dois dire que tous mes amis tunisiens m’ont affirmé que la principale cause de tension entre les Etats-Unis et le monde arabe est la question palestinienne. Au cours de ces dernières semaines, les Etats-Unis donnent clairement l’impression qu’ils ont compris le message et qu’ils sont en train de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour résoudre cette crise. Le fait que le Président Bush se soit déplacé le mois dernier à Aqaba et Charm El Cheikh prouve qu’il est déterminé à s’impliquer lui-même et à impliquer son prestige dans l’effort de faire avancer le processus de paix. La préparation de la «feuille de route», les voyages effectués par le secrétaire d’Etat, Colin Powell, et la conseillère Condoleezza Rice dans la région s’inscrivent dans ce vaste effort américain de s’impliquer activement dans le processus de paix au Moyen-Orient . Cela démontre également que nous comprenons l’importance qu’il y a à résoudre ce problème qui est si fondamental à l’établissement de la paix et de la sécurité dans la région au profit des peuples palestinien et israélien afin qu’ils puissent vivre côte à côte et préparer l’avenir de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Les Etats-Unis sont donc en train de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour aider, mais c’est avant tout aux peuples eux-mêmes qu’il revient de résoudre leurs problèmes. Parallèlement, la Tunisie, connue pour sa modération, et d’autres pays amis de la région sont appelés à s’impliquer et à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour faire avancer le processus de paix et aider les peuples palestinien et israélien à faire la paix. L’espoir est d’autant plus grand que la majorité du peuple israélien et la majorité du peuple palestinien comprennent désormais que dans le long terme il n’y a d’autre issue à la crise que la solution pacifique avec deux Etats, comme l’a dit le Président Bush l’année dernière.

La «feuille de route a-t-elle plus de chance de succès que les accords d’Oslo ?

Il n’y a pas de contradiction entre la «feuille de route» et les accords d’Oslo. La «feuille de route» est un mécanisme qui tente de ramener les deux parties à négocier de nouveau sur la base des résolutions 242 et 338 et des accords précédents. Elle ne comporte pas une nouvelle solution pacifique, c’est un mécanisme par lequel on essaie de remettre le processus de négociation sur les rails. Je crois que c’est la première fois depuis trois ans que l’on peut être prudemment optimiste. Car on reconnaît de part et d’autre que la violence ne mène à rien et que les deux parties, les extrémistes exceptés, veulent fondamentalement une solution pacifique.

— Les Tunisiens suivent attentivement ce qui se passe en Irak. Et là-bas les choses ne semblent pas se dérouler comme l’aurait souhaité Washington. Le mot «bourbier» est de plus en plus fréquent dans les discours politiques et dans la presse. Les Américains ont gagné la guerre. Sont-ils en train de perdre la paix ?

Je comprends qu’une telle impression ait pu se répandre. Mais avant tout, on a besoin de comprendre la complexité de la situation à laquelle on fait face. L’Irak est un pays qui a vécu pendant des décennies sous une puissante dictature. C’est un pays dont les infrastructures n’ont cessé de se dégrader pendant douze ans. C’est un pays où il n’y a pas de liberté d’expression et aucune possibilité de jouir de n’importe quel genre de liberté. Trois mois maintenant nous séparent de la fin de la guerre.

Il est évident que les choses se compliquent et que la transformation du pays prendra du temps. Mais je pense que nous sommes sur le bon chemin. Nous sommes fermement convaincus qu’il y a là une occasion de créer une société irakienne démocratique et ouverte et de mettre en place les conditions qui permettront au peuple irakien de vivre dans la paix et la prospérité. Le peuple irakien est l’un des peuples les plus talentueux du monde, mais il avait la malchance de vivre sous un mauvais régime. Maintenant, les choses changent, de nouveaux horizons s’ouvrent. Cela prendra un peu de temps pour que les résultats de ce changement soient visibles. M. de Mello, le représentant de l’ONU à Bagdad, a dit que (le 13 juillet 2003) est un grand jour dans l’histoire de l’Irak puisque ce pays vient de voir pour la première fois la formation d’un Conseil de gouvernement représentant toutes les composantes de la société irakienne. Ce n’est pas un conseil de gouvernement avec avis consultatifs mais avec un pouvoir de prendre des décisions politiques et de préparer la voie à l’adoption d’une nouvelle Constitution. Et c’est là une très importante étape vers un Irak démocratique. Cela prendra du temps de mettre en place un système qui permettra les élections libres, cela prendra du temps pour que les Irakiens aient un gouvernement représentatif qui prendra en charge les affaires du pays. Comme l’a affirmé le Président Bush, nous resterons le temps qu’il faut pour aider le peuple irakien à vivre dans un environnement stable et démocratique et nous ne resterons pas un jour de plus. Nous comprenons la tension qui se crée par la présence de n’importe quelle force étrangère, particulièrement dans un pays comme l’Irak avec une si riche histoire. Mais je pense que dans trois ou quatre mois, la situation s’améliorera très nettement du point de vue de la sécurité, de l’économie et du bien-être du peuple irakien ainsi qu’au niveau de l’évolution politique. Et j’appelle la presse tunisienne, la presse américaine, la presse britannique, la presse française de faire preuve de prudence dans leur jugement et leur évaluation du succès ou de l’échec quand on sait que la situation est compliquée. Mais on est en train de faire des progrès sur le terrain, et ce qui a été réalisé hier (la formation du Conseil de gouvernement le dimanche 13 juillet), est de bon augure.

— La controverse bat son plein en Amérique autour des arguments invoqués par le Président Bush dans son discours sur l’état de l’Union en janvier 2003, concernant notamment l’uranium nigérien. Pensez-vous que la manière dont les démocrates utilisent cette affaire réduit les chances de réélection de l’actuel Président, surtout quand ont tient compte de la dégradation de la situation en Irak et la baisse de popularité de Bush soulignée par le récent sondage d’opinion Washington PostABC ?

Tout d’abord, je dois dire qu’il est très dangereux pour un ambassadeur de parler de la situation intérieure de son pays, même si je quitte dans quelques semaines (rires). Mais je crois que le peuple américain accorde une grande importance à la crédibilité de ce que disent ses dirigeants. Et c’est pour cette raison que les gens en Amérique s’intéressent de très près aux arguments développés sur l’Irak dans le discours du Président. Dans ce discours, il y a une phrase de quelque 60 mots qui fait l’objet d’une controverse. Cette phrase fait référence à des sources britanniques qui affirment que l’Irak a acheté de l’uranium dans un pays africain. Par la suite, cette information s’est avérée inexacte. Cette question est discutée aux Etats-Unis, et cela montre le degré de conscience que nous avons et le niveau d’importance que nous accordons à la précision de ce que disent nos dirigeants. D’autre part, dans un pays démocratique comme les Etats-Unis, les sondages d’opinion sont fluctuants, ils montent et descendent. Il est donc impossible de faire la moindre prévision concernant l’élection présidentielle, même quelques jours seulement avant son déroulement. Pensez à la dernière élection (qui avait opposé les candidats Bush et Gore). Quinze ou seize mois nous séparent encore de la prochaine élection présidentielle, et l’on ne peut se fier aux sondages d’opinion qui sont fluctuants par définition. Mais le débat qui se déroule actuellement aux Etats-Unis reflète la vitalité du système démocratique américain.

— Votre mission se termine dans notre pays que vous quittez à la fin de ce mois. Quels souvenirs gardez-vous de votre séjour en Tunisie, et reviendrez-vous en tant que touriste ?

Laissez-moi répondre d’abord à la deuxième question. Je reviendrai sans doute à plusieurs reprises. Comme je l’ai dit au début, ma femme et moi avons passé cinq ans en tout en Tunisie et nos deux jumelles sont nées et ont fait leurs premiers pas en Tunisie. Nous gardons de très bons souvenirs et nous avons un grand nombre d’amis tunisiens de différentes catégories de la société tunisienne. Nous comptons entretenir ces amitiés après notre départ, surtout que les possibilités de correspondance par e-mail aident sans doute à maintenir le contact. Comme je l’ai dit à l’instant, ma femme et moi, nous reviendrons en Tunisie pour des motifs personnels ou autres, et nous aurons sans doute la possibilité de revoir nos nombreux amis tunisiens.

Entretien conduit par
Hmida BEN ROMDHANE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Odigo (Odigo) le mercredi 16 juillet 2003 - 10h42:

**Soit Pinacolada boit trop de pinacolada soit il travaille pour l'office du tourisme tunisien.**

il est vrai que la Tunisie est un très beau pays pour le tourisme . notre point commun sur ce forum c'est bien notre Tunisie natale .
mais il est tant de quitter notre mère de vacances et aller voir notre père ISRAEL d'autant plus qu'il a grand besoin de nous , il nous demande de venir le voir , il voudrait que tous ses enfants viennent lui dire PERE nous t'aimons de tout notre cœur. il aimerait aussi que le plus possible de ses enfants viennent vivre a ses côtés et partager avec lui le bien et le pire .
Plus de 2050ans d'absence ça commence a faire long
j’en veux beaucoup a mes obligations de ne m’avoir pas permis d’aller vivre avec lui , mais chaqu’un de nous devrait encourager , enfants ou petits enfants a ne pas faire la même bêtise que nous qui sommes restés dans la galouth .
sans vouloir être d’un grand pessimisme , il suffit d’être réaliste et de constater que là où que soyons nous ne serons jamais assez juif que l’on peut l’être en Israël
cordialement

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 16 juillet 2003 - 07h09:

Le chauffeur de taxi Eliahou Gourel , enleve vendredi soir a Jerusalem vient d etre retrouve et libere par des soldats de Tsahal d une unite speciale , il semblerait toutefois que la police palestinienne ait aussi transmis des infos a l armee .
Il a ete retrouve dans un trou de plus de 7 metres de profondeur , endroit ou il aurait passe ces 4 jours . Les 4 terroristes qui l ont enleve ont ete arretes . Ils desiraient que Gourel serve d echange avec les prisonniers palestiniens .
Gourel a sa liberation a ete envoye a l hopital pour un check up . Il est en bonne sante et n aurait pas subi de sevices .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Odigo (Odigo) le mercredi 16 juillet 2003 - 00h32:

Que se serait il passé si sadam avait quitté l'Irak avant les actions militaires que l'on connait ?

Possible que des milliers de morts auraient été évités.

ALORS QUI EST VRAIMENT RESPONSABLE DE CES DEGATS ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Odigo (Odigo) le mercredi 16 juillet 2003 - 00h35:

Nous recevons cet email :

Coptes : conversion forcée de jeunes Chrétiennes à l'islam
lundi 14 juillet 2003

COMMUNIQUE DE PRESSE du 12/07/2003 De l'association coptes d'europe
Depuis les années 70, nous assistons en Egypte à la conversion forcée de
jeunes filles mineures chrétiennes à l'Islam. Elles sont enlevées,
terrorisées, violentées et généralement violées puis elles sont mariées
contre leur volonté à des extrémistes musulmans. Ces exactions se
passent en plein jour au su et au vu des autorités policières et
judiciaires qui
restent impassibles voire complices. Elles classent ces dossiers « sans
suite » en prétextant de simples histoires d'amour classiques ou d'actes
personnels.

Ces méfaits, localisés dans les villages coptes de Haute Egypte, ont
provoqué le départ massif de nombreuses familles chrétiennes vers le
Caire, qui ont été obligées de quitter leur terre ancestrale et se sont
trouvées acculées à la pauvreté dans des quartiers bidonvilles tel que
celui de
El Mokatam afin de protéger leurs filles de ces agissements monstrueux.
Ce plan diabolique a été planifié et exécuté par des intégristes
musulmans (tel que les frères musulmans, les partisans du Jihad el islamia
ou bien
encore de takfir wal hegra par exemple) pour réduire les villages à
majorité chrétienne et acheter les terres à bas prix
Y aura-t-il un jour une justice pour les Chrétiens en Egypte ?
Le code civil stipule que la majorité est atteinte à l'âge de 21 ans et
qu'une fille chrétienne ne pourra ni se marier ni se convertir avant sa
majorité et que la mineure est sous la responsabilité de son père
jusqu'à l'âge de sa majorité ; de même une fatwa (décret religieux) de l'Imam
Tantaoui confirme et approuve qu'une jeune fille chrétienne mineure ne
pourra ni se marier avec un musulman ni se convertir à l'Islam avant sa
majorité.
Pourtant Al Azhar valide les conversions des jeunes Chrétiennes mineures
à l'Islam !
L'Eglise a dénoncé ces actes notamment dans le synode d'Alexandrie du
17/12/76 2de résolution- et a demandé que les jeunes filles soient
restituées à leurs familles.
Le rapport sur la situation religieuse en Egypte publié en 1997 par le
Centre Egyptien des Droits de l'Homme et pour l'Unité National décrit
dans les pages 46, 127, 137, 139 les kidnappings et les conversions forcées à
l'Islam des jeunes filles chrétiennes mineures.
Actuellement, nous recensons une recrudescence de nouveaux cas
d'enlèvement
Mle Anouar Sedky Rateb enlevée le 18/06/2003 dans le village de Nazlat
Moustafa commune de Dairout près d'Assiout
Mle Nivin Malak Kamel 17 ans, enlevée le 12/04/03 dans le village de
Claus commune de Samalout près de El Minia (sa sour a entamé une grève de la
faim, elle est dans un état critique à l'hôpital de El Minia, pour que la
police
fasse une enquête et retrouve sa sour)
Mle Myriam Sergios Bessada, enlevée le 29/06/03 dans le village de Abou
Tichte près de Quena
Nous ne pouvons rester indifférents devant ces actes qui sont à
l'encontre de la liberté religieuse et sont une atteinte aux droits de
l'Homme les
plus élémentaires, nous demandons aux plus hautes autorités égyptiennes
d'appliquer la loi pour tous ses citoyens sans aucune distinction religieuse
et aux organisations internationales de nous aider pour que cessent ces
enlèvements, que les jeunes filles soient rendues à leurs familles, que
les agresseurs soient poursuivis et punis.
L'Egypte signe de nombreuses résolutions et déclarations des Droits de
l'Homme, mais il ne suffit pas de les ratifier, il faut surtout les
respecter et les appliquer.
ASSOCIATION DES COPTES D'EUROPE 15 AVENUE DU BELAIR 75012 PARIS

Copteeuro@wanadoo.fr
C/C

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mercredi 16 juillet 2003 - 00h22:

Perles sur le web,

Selon Dame Victoire :
« La Douda y prend jamais de vacances ?
Ce serait bien qu'il arrête un peu de nous pomper l'air ! » :

- C’est précisément parce que son patron est toujours en vacances, sous un ciel d’azur, que La Douda se permet de surfer sur la vague, en pompant les perles qui passent par ci ou par là, profitant ainsi de la « pompe » pour se divertire de la galerie.

Selon une autre Dame :
« nous avons ete bien malades au retour de Tunisie il y a 3 ans (eau de qualite douteuse) et je ne recommencerais pas l'experience de sitot. » :

- Comme c’est bizarre, La Douda qui voyage beaucoup à Hak El Ouet, et qui entre deux huitièmes Boukha, ne se prive pas d’eau de Zaghouan, n’est jamais malade, ces deux liquides doivent certainement être d’excellentes médecines.

Bonne nuit, et aux prochaines perles,


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 15 juillet 2003 - 22h34:

El Hanan Teneenbaum israelien kidnappe depuis 3 ans d Abbu Dabi ou il etait en voyages d affaires serait vivant mais en mauvais sante . Info donnee a la delegation Israelienne a Londres .
D autres sujets ont ete abordes a Londres , l armement de l Iran et son imperturbable avancee , toujours d apres les milieux informes dans un an et demi le niveau d armement de l Iran sera operationnel et dangereux .
Le troisieme sujet etant bien sur le refus d Israel d inclure la BBC dans son bouquet de programmes du cable . Israel accuse la BBC de ne pas etre juste et de ne pas maintenir un equilibre dans ses reportages sur le conflit du Moyen Orient .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 15 juillet 2003 - 20h50:

Soit Pinacolada boit trop de pinacolada soit il travaille pour l'office du tourisme tunisien. Qui cherchez vous a convaincre en envoyant de la propagande sur la beaute des plages de Tunisie? A mon avis vous perdez votre temps car il y a peu de candidats au voyage en ce moment! Perso, nous avons ete bien malades au retour de Tunisie il y a 3 ans (eau de qualite douteuse) et je ne recommencerais pas l'experience de sitot.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pinacolada (Pinacolada) le mardi 15 juillet 2003 - 20h36:

LES MALHEURS DE LA TERRE

Quelle tristesse la Terre !
Quelle horreur la guerre!
OH! Tout un rien,une dispute
Détruire l’avenir d’innocents
Des coeurs brisés!
Des larmes coulées!
Du sang versé!
Des vies perdues. Quel intérêt porte ce spectacle ?
N’est il pas beau de vivre dans un monde de paix ?
De voir grandir des enfants dans la joie
De voir des hommes cultiver la terre
La vie est si courte,si brève
Pourquoi la rendre encore triste
Que c’est beau de voir les hommes unis.
Que sommes nous devenus que croyons nous être
Si ce n’est des animaux
Regardez-nous nos rues elles sont pleines
Pleines d’enfants abandonnés
Pleines de criminels
Pleines de prostituées
Nos coeurs n’ont plus que cela
La haine
La vengeance
Le désespoir.
ASSEZ!ASSEZ DES GUERRES.
ASSEZ DES MEURTRES
ASSEZ D’ABANDONS, DE PROSTITUTION
Faisons de la terre un monde meilleur
UN MONDE DE PAIX

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 15 juillet 2003 - 20h40:

Y a toujours mieux en Israël comme sites,d'autant plus que ce ne sont pas les déserts enchanteurs juifs qui manquent au patrimoine, sans parler des divers paysages qui ont étè décrits par notre correspondante attitrèe HAJKLOU FETE, alors Zarzis et compagnie FLUTE ET ZUT......C'est pour les allemands et leurs con cul bins....Ils adorent le coco des palmiers tunes. Entre 5 et 7...

Nous avons déjà nos morts en vacance là bas dans leurs hôtels délabrès.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 15 juillet 2003 - 18h03:

Paroles, paroles, paroles chantait Dalida! Meme refrain pr les Palestos dont la parole vaut moins que la poussiere de Gaza (qui ne vaut deja pas grand chose!).
Un chauffeur de taxi israelien a ete kidnappe par le Fatah vendredi, un agent de securite de 24 ans a ete hier soir poignarde a mort a Tel Aviv devant un resto et une autre personne a ete blessee et selon la Debka Israel a recense environ 20 attaques terroristes en preparation!!
A part ca, ils devaient se calmer!
Pendant ce temps-la,le con de Jack Straw du Foreign Affairs Britannique a refuse qu'on isole Arafat!
Quand vont-ils comprendre que Arafat le chacal au keffieh puant est l'OBSTACLE? quand Israel se decidera a le degommer! Faudra bien qu'on y arrive!
Quelle victoire pour nous ce jour la!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Odigo (Odigo) le mardi 15 juillet 2003 - 18h36:

DORIS
Doris
Ce constat est un nouveau coup de couteau
J’ai ressenti la même chose il y a quelques années déjà.
J’avais contacté le consulat de Tunisie à Marseille avec des amis dans notre cas et qui nous a
donné comme réponse " il n'y a pas que le cimetière qui tombe en décrépitude en Tunisie "

QUE LEURS AMES REPOSENT EN PAIX.

par contre quelques messages plus bas ,'Anonyme' nous donne l’adresse pour aller visiter le palais présidentiel !!!!!!!

http://harissa.com/Portail/forums.htm

cordialement

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pinacolada (Pinacolada) le mardi 15 juillet 2003 - 20h00:

A Zarzis, un village de liberté

Zarzis (Tunisie) : de notre envoyé spécial Jean Miot

Les bleus confondus de la mer et du ciel, des maisons blanchies à la chaux... Ajoutez le mot-clef «Bienvenue», un sourire et le parfum du jasmin : vous êtes en Tunisie.

Un pays dont l'image est injustement décriée, le plus petit du Maghreb, mais celui dont le développement est le plus marqué, où la liberté de la femme est la plus réelle, où la sécurité est la plus assurée.


Les civilisations ont façonné ses paysages. Les Phéniciens d'abord, fondateurs de Carthage qui fit trembler Rome. Imaginez le bouleversement de l'histoire si Hannibal n'avait pas cédé aux délices de Capoue et si les sénateurs carthaginois lui avaient envoyé les renforts demandés... Le «Carthago delenda est» qui hanta nos humanités latines, conduisit les légions romaines à tout détruire avant que de coloniser l'Afrique du Nord. Puis ce furent les Byzantins, les Andalous, les Italiens, les Français enfin, qui firent de ce territoire le plus latin de cette part d'Afrique.


Zarzis, la plus méridionale des stations balnéaires tunisiennes, est à moins de trois heures d'avion de Paris. Ce fut une merveilleuse étape de l'Odyssée. De l'aéroport de Djerba, les modernes Ulysse y accèdent par la chaussée romaine, puis par la route qui domine la plage interminable et traverse les champs d'oliviers, à perte de vue, avant de déboucher sur le petit quartier de Souihel, tout blanc.


Le Sangho Club de Zarzis est un vrai village, avec sa médina et ses ruelles étroites, caché dans une palmeraie de 14 ha. Il fut le premier-né du groupe Sangho, créé en 1969 par un ancien d'HEC, Hosni Djemmali, fondateur de «Tunisie-Contact» (ainsi que de «Maroc-Contact»), et de «Tunisirama» qui assure l'accueil des clients, organise leurs circuits, séjours et randonnées dans le désert, mini-méharées... Une espèce rare de tour-opérateur, efficace et consciencieux.


Le groupe s'est rapidement diversifié, avec le Syphax à Sfax, premier hôtel d'affaires de la deuxième ville de Tunisie, puis le Sangho Marrakech, subtil mélange de tradition et de modernisme, qui a nécessité près de deux années de travaux réalisés par des artisans marocains. Le Sangho Tataouine est un chef-d'oeuvre d'architecture adaptée à un site extraordinaire, avec ses bungalows «noyés» dans la rocaille au point d'y disparaître, à l'orée du désert, au pied de la forteresse où souffrirent les têtes brûlées des «Bat' d'Af'». Enfin, le Sangho village de Djerba a ouvert ses portes il y a deux ans.


Le luxe le plus appréciable du Sangho Club de Zarzis, c'est l'espace. Là encore, l'architecture est d'inspiration strictement locale. Les bungalows blancs avec terrasse, havres de fraîcheur au plus fort de l'été, se cachent éparpillés dans les jardins. Quarante donnent directement sur la plage. «La liberté a son club», la devise Sangho est rigoureusement respectée : confort pour les adultes, paradis pour les enfants, animations discrètes respectant l'indépendance de chacun.


Quatre restaurants, dont un gastronomique, permettent de varier les menus et de découvrir les spécialités locales : le brick – à déguster selon la règle sans faire dégouliner le jaune d'oeuf ! –, le fricassé (beignet), la salade tunisienne (crudités) ou le méchouïa (tomates et piments cuits puis malaxés avec de l'ail et de l'huile d'olive), la chakchouka (ratatouille épicée), le couscous bien sûr, avec l'agneau, le poulet ou le poisson, la kamounia (ragoût de boeuf avec sauce au cumin), le tajine (rien à voir avec son homonyme marocain, c'est ici une quiche gratinée à base de viande et de légumes), le méchoui, côtelettes et brochettes grillées... Le poisson est chaque jour à l'honneur, sans oublier la langouste.


Et puis pour accompagner, sans hésitation, buvez local ! Il y a plus de trois mille ans que dure l'histoire d'amour entre la terre, le soleil, l'homme et le vignoble tunisien. Les Domaines de Carthage par exemple, produisent des blancs fruités, à partir de cépages muscat et chardonnay, et des rouges généreux, syrah, mourvèdre, mais aussi pinot, merlot, cabernet sauvignon. Les gris sont gouleyants à souhait.

Pour ce qui est des aménagements de la maison, entre le café maure, le night-club, les boutiques, la piscine, les courts de tennis, les sports nautiques, le parachute ascensionnel, le tir à l'arc, l'équitation, la bicyclette, la gym-tonic, les salles de sports ou de jeux vidéo, la bibliothèque, les installations de thalassothérapie (baignoires d'hydromassage, massages, soins esthétiques), le hammam traditionnel avec cascade chaude et vaporium... franchement, que demander de plus ? Il est même possible de ne rien faire du tout... ou de lire ce roman policier qui vient de paraître et dont l'intrigue se déroule au sein même du club (1). A consommer d'un trait, sur place.

(1) Mystère à Zarzis, par Bernard Giroux, Albin Michel.

source: www.lefigaro.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 15 juillet 2003 - 20h03:

Madame Doris,

Mais qu'est ce que vous nous apprenez que nous ne sachions déjà...!

Nous avons débattu sur ce sujet mais je vois que vous n'êtes pas au courant.Enfin, cherchez dans les archives d'harissa et vous comprendrez que c'est peine perdue.Vous remettez sur la table ce qui a étè déjà dit mille fois alors ...!

Vous rentrez pour la première fois ici...bien ingénument madame Doris.

En tant qu'ancien marbrier qui a travaille de nombreuses annèes au Borgel,je peux vous assurer que cette situation dure depuis des décennies et que personne ne peut rien y faire.

Gardez vos aieux en mémoire et c'est suffisant.
Quand à votre film, il ne vaut pas la peine que vous le montrez à qui que ce soit, tout le monde s'en fiche ...! Ok...!

Voilà ma réponse sur le vif du sujet.
Mes salutations, Madame.