Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 07h17: |
petition contre l'attribution de l'oscar au film "PARADISE NOW"
A mon grand regret les juifs francais , peut-etre par manque d'informations , ne participent pratiquement pas a cette petition contre cette remise d'oscar a un film qui humanise le terrorisme et deshumanise les victimes israeliennes innocentes . Je lis regulierement les derniers articles sur votre site ! Si vous pouviez apporter votre soutien a cette petition ainsi que celui de vos abonnes , ce serait aussi votre soutien aux victimes israeliennes !
Merci et shalom !
http://www.blondi.co.il/eng_site/index.html
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 07h10: |
URGENT!!!
Chers Amis:
Mes plus sincères félicitations de vos remarquables travaux et activités!
Professeur d'université et linguiste, je prépare la septième édition de mon livre LÍNGUAS E DIALETOS ROMÂNICOS,et, pour bien conclure mon travail, j'ai gros besoin de votre très gentille et précieuse collaboration en vue de me faire parvenir, d'urgence, à titre de courtoisie et d'aide culturelle,
2 ou 3 proverbes en judéo-espagnol écrit en écriture RASHI,avec la respective translitération en caractères latins.
Vous recevrez un exemplaire de mon livre dès parution, avec mes meilleurs remerciments.
Je vous souhaite beaucoup de bonheur.
Bien cordialement vôtre,
ADOVALDO SAMPAIO
Brésil
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h54: |
Salut à tous,
Trop d'épreuves et de malheurs arrivent en ce moment pour ne pas comprendre qu'il est temps de se réveiller et de se remettre en question sur notre comportement.
Arrêtons de laisser passer ces événements horribles et de continuer à vivre notre train-train quotidien. Essayons plutôt de tirer un enseignement et une leçon de tout cela car Hachem aime son peuple et ne souhaite surement pas son malheur.
Alors essayons de nous rapprocher de Lui par nos téfilot, essayons de prendre sur nous une nouvelle résolution,quelle qu'elle soit, ou bien essayons simplement d'effacer une mauvaise habitude de notre comportement.
Ce sera une trés bonne façon de manifester notre soutien à les martyrs de notre peuple.
Et avec l'aide de D..., les mérites de chacun d'entre nous permettront d'avancer la venue du Machiah ! amen
Celine Mettoudi
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h50: |
Il faut donc nous méfier de ceux qui cherchent à nous convaincre par d'autres voix que celle de la raison.
(Primo LEVI)
Envoye par G. Fitou
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h47: |
NOMS JUIFS TUNISIENS MANQUANTS
Ma famille est de Tunis, et Sousa, (italien juifs). Le nom de ma mere est Funaro, avec un n seulement.
Le nom de sa grand mere est Pariente, (mais vous l'avez deja dans votre liste).
merci.
Mon cousin Tunisien-Francais , Aldo Funaro habite Paris, ou il est avocat. Il faudrais ajouter son nom a la liste de Tunisien de France, car il est bien connu a' Paris.
Merci
Laura Petrella
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h30: |
A Netanya, les propriétaires d'appartement attendent l'été pour les louer ou les vendre aux français. Pendant ce temps, les israéliens qui souhaitent acheter ou louer ne trouvent plus d'appartements à des prix réalistes ...
La bulle - haboua
Bien que contents de voir les prix s'envoler pour les appartements du centre ville, les professionnels craignent que cette illusion qui touche les habitants de ces quartiers, mettent en difficulté les jeunes couples qui sont obligés de payer un prix fort et non réaliste.
Pourquoi en sommes nous là ? Les juifs de France savent qu'un jour, pas très lointain, ils seront obligés de la quitter. Certains l'ont compris et se ruent sur des appartements qui répondent à leurs critères.
Qu'ils soient olim hadashim, futurs olim ou simplement à la recherche d'un point d'accueil en cas de départ précipité ... ils décident rapidement et sont prêts à payer 10 à 20% plus chers.
Pourquoi Netanya ? la proximité du bord de Mer ainsi qu'un centre ville avec des cafés ont toujours charmé les juifs de France. De plus une grande communauté d'origine tunisoise, active et dynamique avec un environnemnt traditionnaliste font de Netanya, une ville d'accueil privilégiée pour les juifs de France.
Anecdote vécue. le voisin d'un de nos amis, voulait vendre son bel appartement pour un prix de 340.000 $. La meilleure proposition qu'il a des israéliens est de 320.000$. Pendant 6 mois il ne trouve pas acquéreur.
En Juin 2005, un couple de parisiens venu passer quelques jours de vacances à Netanya, achète l'appartement pour un prix de 390.000$. La signature s'est faite en 48 heures.
Les leçons à tirer.
1) L'acheteur n'a pas eu la présence d'esprit de se renseigner avant. Il aurait pu prendre contact avec l'un des locataires ... rester 2 jours de plus et économiser 50.000 $.
2) L'acheteur aurait pu vérifié s'il n'y avait pas d'autres problèmes ... dans ce cas, il y avait des problèmes d'étanchéïté, problème qu'il va découvrir à présent ...
3) etc ...
Pour vous, nous avons préparé un dossier avec des conseils de professionnels. N'hésitez pas à le consulter.
Mazal Tov -
Yossi
Venez nous voir
http://www.terredisrael.com
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h26: |
Voici un E-mail que ma belle-fille à Londres a reçue du web master du Site de la Synagogue que fréquente mon fils. :
« «
If you could pls. forward my email to Ms. Elizabeth Sarfati. I was searching the web for my roots. My grandfather (who died way before I was born) is Raphael B. Sarfati. He came to the Philippines during the first World War. I know so little of him and even less of my roots. I
know he had a sister named Elizabeth. Perhaps Ms. Elizabeth Sarfati knows him? Thank you. =) » »
De notre part nous ne connaissons pas de famille en Philippines.
Peut-être que quelqu’un connaît ses Sarfati.
C.Sarfati
Par Email (Email) le dimanche 26 février 2006 - 06h02: |
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 26 février 2006 - 05h59: |
NOS KIFS
merci a boga d'avoir fait le boga light!!! au moins on peut continuer a kiffer avec une bonne bkaila ou des bons fricassés et un verre de boga light frais!!à quand la pkaila light pour la kiffer tous les jours???
Par Mena (Mena) le dimanche 26 février 2006 - 05h33: |
Dans l’arrière-cour de l’antisémitisme à la française (info # 012502/6) [analyse]
Par Luc Rosenzweig © Metula News Agency
Une fois dissipée la sidération d’horreur provoquée par la découverte et la révélation progressive des détails du martyre d’Ilan Halimi, que nous enseigne cette affaire sur l’état de la société française, et plus particulièrement sur son attitude envers les juifs de ce pays ?
A la surface, rien qui puisse laisser supposer que la France soit en train de basculer dans une séquence historique pouvant être comparée à la barbarie nazie, ni même à une version moderne de la Russie pogromiste.
Jeudi 23 février, la quasi-totalité de l’establishment politique, intellectuel et religieux du pays était présente ou représentée à la synagogue de la Victoire, à Paris, pour témoigner sa solidarité à la famille d’Ilan, et au-delà, à une communauté juive traumatisée.
Dimanche, le peuple de France est invité à faire de même en participant à une grande manifestation expiatoire contre l’antisémitisme. A la différence de celle du 7 avril 2002, boudée par les organisations non-juives pour cause de soutien au peuple israélien, celle-ci est soutenue par l’ensemble des partis, à l’exception de l’ineffable Ligue Communiste Révolutionnaire. Il y aura sans doute beaucoup de monde, et dimanche soir, nombreux seront ceux qui rentreront chez eux avec la bonne conscience d’airain du devoir humaniste accompli.
Le chiffre d’affaire des boutiques de GSM du 11ème arrondissement n’en n’aura pas été notablement affecté, et dans l’ensemble, les juifs de France continueront à jouir, dans le pays aux mille fromages, d’une situation enviable, tant sur le plan individuel que communautaire et religieux.
Mais sous cette surface apparemment rassurante, on a pu voir émerger, tels des geysers sulfureux jaillissant des failles de la croûte terrestre, des bouffées nauséabondes n’augurant rien de bon pour l’avenir.
Le comportement du pouvoir, au début de l’affaire, a été pour le moins équivoque. Derrière les récentes démonstrations publiques de compassion, il s’est efforcé, et s’efforce encore, de louvoyer entre la défense des grands principes et la crainte panique de voir se rallumer « l’Intifada des banlieues » de novembre 2005.
Lorsque l’affaire Ilan Halimi éclate, on est en pleine « crise des caricatures danoises ». Jacques Chirac, à la différence de Nicolas Sarkozy, condamne au nom du respect des religions la publication, au nom de la liberté d’expression, par certains journaux français, des caricatures de Mahomet. On est donc en plein processus d’appeasement des musulmans de France, d’autant plus qu’un virage vers une politique étrangère plus ferme à l’égard de l’Iran, de la Syrie est en cours, pour des motifs dont seul le président de la République connaît le détail.
Dans les cercles du pouvoir, on croise tous les matins les doigts pour qu’aucun incident du type de la poursuite policière tragique de Clichy-sous-Bois ne vienne rallumer un incendie dont ont sait qu’il peut repartir à tout moment.
C’est pourquoi on dépêche sans délai à la télévision, le soir même de la mort horrible d’Ilan, deux hauts fonctionnaires pour mentir en direct au journal de 20 heures. Un procureur et un commissaire principal affirment ainsi, sans rougir ni voir leur nez s’allonger, qu’il n’y a pas l’once d’un gramme d’une microtrace d’antisémitisme dans ce fait-divers hors du commun, perpétré par des individus dotés du « degré zéro de la pensée ». Or il est établi aujourd’hui – par les auditions des premiers inculpés, par le témoignage de la mère d’Ilan – que nos deux représentants éminents de l’Etat de droit savaient que le gang de barbares était à dessein venu piéger ses victimes dans ce 11ème arrondissement de Paris, parce que les boutiques tenues par des juifs y sont nombreuses, et que dans la représentation du monde de ces crapules, tous les juifs sont riches. S’ils ne le sont pas, leur communauté, supposée ultra solidaire, pourvoira à leur salut et au paiement de leur rançon. Le juge et le policier tenteront, maladroitement, de noyer le poisson en parlant de « 10 à 12 » tentatives ratées d’enlèvement, dont seules quatre cibles étaient juives, ce qui, ipso facto, devrait classer Ilan dans la catégorie des morts à cause de pas-de-chance. Ce mensonge fera long feu, puisque la proportion de non-goys parmi les cibles se révèlera autrement significative (4 sur 6), mais il donnera le ton. « Des voyous, rien que des voyous, circulez, il n’y a rien d’autre à voir ! », répétaient en boucle porte–parole officiels et gourous des médias, à la notable exception du Monde.
Quand il s’avèrera que lesdits voyous s’étaient bien livrés à la « chasse aux juifs » pour les raisons évoquées ci-dessus, les organes du pouvoir et leurs serviteurs, tels un ban de poisson, changeront tous brusquement de direction. En route pour la synagogue en voitures officielles, et pour le bas peuple, en métro, vers la place de la République avec les banderoles habituelles. Mais par derrière, au moyen de confidences distillées aux journalistes accrédités à l’Elysée et à Matignon, on fait passer le message, vite relayé dans les médias, qu’on ne croit pas, en haut lieu, à la dimension antisémite du crime. En conséquence, il faut, selon les « entourages », se garder de toute conclusion prématurée – voir le précédent de la mythomane du RER C –, à propos de laquelle Villepin, alors ministre de l’Intérieur, s’était « planté grave », comme on dit dans les milieux que le pouvoir veut séduire.
D’un seul coup, la « présomption d’innocence » est brandie comme un étendard pour faire comprendre à ces hystériques de juifs que leur paranoïa commence à lasser. Comme si le respect d’une instruction judiciaire avait empêché les mêmes moralistes d’appeler le peuple à descendre dans la rue, par exemple lorsqu’un jeune Marocain s’était noyé à la Seine, il y a une dizaine d’années, jeté au fleuve par les nervis du Front national. Ou encore quand les féministes s’étaient, à juste titre, mobilisées à la suite de la mort de Souhane, la jeune beurette brûlée vive par un « caïd » des cités. Avait-on entendu alors des appels à « attendre que toute la lumière soit faite » pour manifester, dans la rue, son émotion ?
Tous les mécanismes du refoulement, de la dénégation sont alors mis en mouvement. On concède, bien sûr, que les tortionnaires ne sont pas des philosémites patentés, mais on souligne que leur antisémitisme n’est qu’un élément accessoire, c'est-à-dire négligeable de leur crime. On va plus loin : pour être qualifié d’antisémite, un crime ou un délit doit être uniquement motivé par la haine du juif. Déjà légitimée par le droit imprescriptible à cracher à la figure d’Israël an nom d’un antisionisme de bon aloi, l’invective judéophobe s’est vue absoute, ces derniers temps, par la justice française. Une jurisprudence tend à s’imposer, qui permet à Dieudonné et ses émules de proclamer impunément que la richesse prêtée aux juifs d’aujourd’hui est fondée sur le sang et les larmes des esclaves noirs dont leurs ancêtres auraient fait jadis juteux commerce. Aujourd’hui on franchit un pas de plus dans la restriction du champ de l’antisémitisme : ses victimes n’ont même plus droit à être considérées en tant que telles. Les juifs assassinés parce qu’ils sont juifs sont des victimes comme les autres, et n’ont, en conséquence, droit à aucun traitement spécifique.
Les avocats des prévenus – qui pourraient les en blâmer ? – s’engouffrent dans la brèche et proclament à qui veut les entendre que leurs clients ne sont pas antisémites. Ah ! Si on avait trouvé Mein Kampf, Bagatelles pour un massacre ou la correspondance complète de Richard Wagner dans les rayonnages de ces analphabètes, leur cas serait peut-être différent…
A gauche, comme d’habitude, le premier réflexe est de crier au danger de « stigmatisation » de populations qui seraient d’abord des victimes des vilenies passées et présentes des dominants de tout poil. Seul un Julien Dray, porte-parole du PS, se distingue en parlant de « l’effet Dieudonné » pour expliquer le drame de Bagneux. « De quelle religion est donc ce M. Dray ? » murmure-t-on alors dans les chaumières de droite comme de gauche, où l’on sent monter comme un soufflé le sentiment général que l’on n’en aurait pas fait autant si Ilan se fût appelé Robert, et eût été originaire de Saint-Flour ou de Landerneau. J’exagère ? Ces propos ont irrigué, ces derniers jours, les « lignes ouvertes » des radios et télés ayant organisé des débats interactifs sur l’affaire.
Ainsi, la judéophobie « nouvelle » des islamistes de banlieue et de leurs « idiots utiles » de gauche et d’extrême gauche rejoint le vieux fond antisémite de la France profonde, pour dénier aux juifs de France le droit à l’émotion et à la colère exprimées publiquement. « Soyez discrètement tristes et tout ira bien ! ». Voilà qui est nouveau et inquiétant.