Par Lalla (Lalla) le dimanche 26 février 2006 - 19h26: |
Pour Adovaldo Sampaio
-akharva el culo ke no pedo-=frappe le derriere qui n'a pas pete;autrement dit:il ne faut pas etre injuste;
Par Braham (Braham) le dimanche 26 février 2006 - 19h46: |
Quelques réflexions sur les relations Sion Diaspora
Parler du Sionisme en quelques lignes est une mission impossible et généralement réservée à ceux qui le connaissent mal ou qui lui veulent du mal.
Non, ceci n'est pas une apologie de la diaspora ni une exaltation du sionisme, mais un désir de calmer la discussion où chacun essaie de justifier son choix.
Je me contenterai ici de présenter quelques opinions personnelles sur ce sujet et ses dérivées.
1- Chacun est libre de vivre là où bon lui semble, parce qu'il a fallu des raisons très importantes et beaucoup de courage pour choisir sa terre de refuge quand on a été force de quitter le pays où on est né. Notre génération, a vécu toutes les difficultés de réinstallation et d'intégration dans le pays de l'espoir d'un meilleur avenir
2- La soutien des communautés juives de la diaspora à l'Etat d'Israël n'a pas d'égal dans toute notre histoire.
3- Devant la croissance exponentielle des ennemis d'Israël, la présence juive dans le monde est absolument indispensable.
4- Les juifs de la diaspora connaissent très bien leur situation, et les "prophéties" religieuses ou existentielles que certaines personnes essaient de prêcher ardemment, sont vraiment déplacées.
5- Les sentiments de solidarité, de la majorité du peuple juif dans la diaspora envers Israël, transcendent les composantes idéologiques ou messianiques. Ils reposent beaucoup sur une destinée commune, une mémoire historique millénaire de gloire et de souffrance ainsi que de l'Image que nous avaient imposées les peuples que nous avons côtoyés.
6- Personne ne peut ignorer la contribution intellectuelle, artistique, économique et politique des membres de nos communautés à l'humanité entière et au patrimoine de leurs pays.
7- Nous aimons chercher dans les génériques des films et dans les medias, des célébrités au nom à consonance connue et rappeler souvent notre place sur le palmarès des Prix Nobel, ces personnalités sont presque tous des juifs de la diaspora.
Les conditions impossibles de dénigrement et de harcèlement continus, de la part de ceux qui se croyaient être les maîtres de notre pays d'origine, avaient rendu notre vie impossible sur la terre que nos parents habitaient voilà des siècles.
Le sionisme moderne, en général et en Tunisie en particulier, nous avait proposé une réponse qui contenait un défi intellectuel et physique.
Pour certains c'était la solution religieuse qui s'associait à une espérance messianique, pour d'autres, la solution nationale-laïque offrait une participation active dans la construction d'une Révolution (ou une Renaissance) du peuple juif. Des fois c'était une combinaison des deux. Il y avait même qui se sentaient chanceux d'appartenir à une génération qui vivait une rare occasion, qui ne s'était pas présentée depuis le temps des Maccabéens.
La majorité des juifs avait choisi une autre solution et prit la décision de se reconstruire dans d'autres pays; pour des raisons familiales, économiques, de sécurité, d'incrédulité ou même d'ignorance. Ils passèrent d'une diaspora à une autre.
En dehors du Sioniste qui est venu vivre en Israël, malgré les attractions extérieures et les problèmes intérieurs, je connais plusieurs amis et cousins qui vivent dans la diaspora avec différentes nuances de sionisme et portent, sincèrement, Israël dans leur cœur:
- Ceux qui ont quitté Israël et qui l'ont fait physiquement, seulement
- Ceux qui l'aiment à distance sans y avoir mis les pieds.
- Ceux qui suivent avec angoisse "Les Nouvelles" à chaque événement en Israël
- Ceux qui pensent y venir vivre un jour et ceux qui croient s'acquitter en passant leurs vacances sur ses plages au lieu d'aller au sud de la France ou en Espagne.
- Ceux qui lui expriment leur affection et qui essaient de l'aider, par tous les moyens, mais de loin.
- Et bien d'autres…
La question de la diaspora juive n'est pas née d'aujourd'hui. Elle existait depuis l'Antiquité, même quand notre peuple était souverain dans son pays.
Nous parlons avec fierté de la présence de juifs à Carthage, à Hammam-Lif et à Djerba depuis la nuit des temps. L'histoire des juifs, en Mésopotamie et sur tout le pourtour de la Méditerranée, ainsi que dans l'Empire Romain (volontaires ou exilés de force), est écrite dans les livres et dans notre mémoire.
L'immigration vers Israël, qu'on appelle Allya (Montée ou plutôt Ascension) et le nouvel immigrant: un O'lé, voulaient glorifier la direction que les nouveaux exilés devaient suivre pour retrouver leur dignité éclaboussée par la Dhimmitude islamique et les pogromes. De O'lé, on a dérivé l'antonyme, Yoréd, pour celui qui avait abandonné Israël. La Yerida qui était, dans les années 50 et 60, presque une honte qu'on voulait cacher, sonne plus péjorative que Descente, elle était plutôt associée à Fuite. Itzhak Rabin avait traité, dans le temps, les Yordim de: NEFOLETT SHEL NEMOUSHOTT (des déchet de chétifs) les derniers des lâches. Mais aujourd'hui son fils, ainsi que celui de Oulmert vivent aux USA.
Le nombre d'Israéliens qui vivent de nos jours en Amérique, dépasse 20% de la population juive d'Israël. Ils le font librement et sans aucun complexe. C'est la meilleure solution, à mon avis, car on ne peut éternellement vivre dans une certaine schizophrénie, ici ou là-bas ?
Mais certains amis israéliens se révoltent quand ces citoyens lointains veulent leur imposer leurs opinions sur la vie qu'ils avaient eux même abandonnée.
Contrairement à plusieurs pays démocratiques, une personne qui détient un passeport israélien et qui vit à l'étranger n'a pas de droit de vote.
Il y a même des israéliens qui éprouvent une certaine gène d'entendre les juifs de la diaspora s'exprimer à propos d'Israël avec des termes très ardents, sans toutefois venir et partager avec eux le meilleur et le pire. Ma mère qui avait un proverbe pour chaque chose disait: "EL H'NANA OUK'ELETT LAH'LIB, QIF EDJAJ". (Pas de traduction).
Mais la solidarité juive vibre en nous tous. A chaque fois qu'un juif est touché, dans n'importe quel coin du Globe, nous ressentons la même peine.
Je crois qu'il est injuste, inopportun et même indécent, de trouver dans la souffrance juive dans un des pays de la diaspora, une raison d'appeler à la Allya, comme si c'était un noyé qu'il faudrait secourir. Il ne faut pas oublier qu'on abandonne vite une bouée pour monter à bord d'un bateau plus sur.
Je crois qu'il y a une certaine méchanceté chez ceux qui se réjouissent des malheurs de leurs frères en détresse en leur reprochant leur "pêche originel" et qui croient faire preuve de générosité en les invitant à faire leur Allya au plus vite. Je suis sur qu'ils n'ont pas besoin de ce rappel. Non ! Même parmi les rescapés des camps de concentration nazis, peu avaient choisi la solution sioniste.
Il n'est pas moins indécent de la part de nombreux juifs, de France, que je connais et qui croyant prouver leur solidarité, affirment sans gène, que si la situation se détériorait encore, ils envisageraient leur Allya, ou bien ceux qui trouvent dans les souffrances que nous infligent les palestiniens une opportunité d'étaler des arguments solides qui justifieraient (surtout à leurs yeux) leur présence dans la diaspora.
Les temps nouveaux nous ont apporté ce que l'on peut appeler une Semi-Allya, qui a peut être un certain avantage économique mais qui n'est pas plus sympathique. Des nord-africains d'un certain age qui achètent des appartements pour passer quelques mois en Israël. Cela a créé un grand boom dans l'immobilier de certaines villes de la région côtière qui va de Netanya à Ashdod. On entend des israéliens qui disent que ce ne sont que des opportunistes qui arrivent à la fin de leur vie productive, comme les américains vont à Miami. Une personnalité a dit une fois "Merci, on n'en veut pas de ces gens là, ils viennent bourrer nos hôpitaux et nos cimetières; ils arrivent 30 ans trop tard. "
Mais il a dit qu'il voyait dans l'arrivée des jeunes qui, un peu secoués par les mouvements de jeunesse ou un élan religieux, essaient de corriger la décision de leurs parents, qui avaient préféré chercher leur avenir dans la diaspora. Peut être parce qu'ils possèdent le même enthousiasme que celui des années 50.
Je ne crois pas que tout le peuple juif viendra un jour s'établir en Israël, et il serait faux de prétendre qu'Israël est le meilleur des pays, mais qu'importe la raison qui vous pousse à y venir, quand et pour combien de temps, vous serez toujours reçus comme des frères.
Braham
Par Douda (Douda) le dimanche 26 février 2006 - 16h14: |
Cher Henri,
Si tu as répondu, STP indique donc sans détour le lien vers ta réponse, quand au titre de porte parole du site, il est espérer que tu sois d’accord avec le fait que nul ne puisse y prétendre,,,
Salut,
Douda du PTB
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 26 février 2006 - 16h57: |
Derniere Minute !
Appel des Francais du Technion pour un Rassemblement pour Ilan (z"l) a Tel Aviv,aujourd'hui a partir de 18h (dans une heure).
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Reuven Bitton:
MANIFESTATION DE SOLIDARITE DIMANCHE A TEL-AVIV
{Liste-Francais-Technion}
Une manifestation de soutien a la famille d'Ilan et de solidarite avec la communaute juive
de France est prevue dimanche a Tel Aviv devant l'ambassade de France.
Je suis en contact avec plusieurs associations de juifs francophones en Israel (Unifan, CNEF) et d'autres comme WUJS, et meme le CRIF que
j'ai eu au telephone ce matin.
Cette manifestation est prevue vers 18h, pour que ceux qui bossent puissent avoir le temps de venir.
En attendant, faites passer ce message autour de vous a un maximum de gens (francophones ou pas, mais faudra traduire), parlez-en autour de vous, pour que l'info arrive a un maximum de gens.
Nous nous devons de reagir face a cet acte barbare, montrer que nous avons nous aussi ete touches dans notre propre chair, et montrer a la famille d'Ilan que nous partageons leur
douleur.
Je compte sur vous tous, meme si je sais que c'est la periode des examens.
N'oublions pas que notre force, c'est notre solidarite.
Par Viviane (Viviane) le dimanche 26 février 2006 - 14h45: |
RECTIFICATIF
Le rassemblement de Natanya aura lieu à 18 heure 30 au lieu de 19 heures 30. Ce changement est indépendant de notre volonté. Mille excuses.
Par Suggest1 (Suggest1) le dimanche 26 février 2006 - 13h59: |
Commentaire de suggest.1
Il y va fort le Boris Cyrulnik Avec tout le respect que je lui dois;
Alors ? Que devrions nous dire?
NOUS!
Qui avons été cachés et cela pendant très longtemps !
Loin de p’O’pa et m’O’man !
‘’réduits à la plus atroce solitude’’, dixit Cyrulnik
Est ce que cela a nui au ‘développement notre 'empathie.’’
Et nous ? Qui étions si pauvres à Belleville ou sur les hauteurs de Belleville ?
Est-ce que cela nous a amenés à voler ou tuer, à créer des gangs de barbares ?
NON !
Nous nous devions d’aller à marche forcée vers l’Intégration
Non ! Je n’éprouve pas de Sympathie pour ces discours de ‘PSY’ prêts à tout expliquer ou excuser!
Et cela d’autant plus que je crois savoir que Boris Cyrulnik est lui même un effet de la résilience
Empathie
"Capacité de se mettre à la place de l'autre et de ressentir ses sentiments et ses émotions’’
Objet : La théorie du bouc émissaire et le luxe de cruauté des assassins.
René Girard a très bien montré, dans sa théorie du bouc émissaire, comment un groupe humain entame son processus de socialisation en se choisissant une figure repoussoir, chargée de tous les maux. Partant de là, si on laisse prospérer dans nos sociétés des communautés fermées et autarciques, on récoltera l'antisémitisme et, de fil en aiguille, la guerre de tous contre tous, qui faisait rage dans les cités-Etats mésopotamiennes ou médiévales. Si on ne s'occupe pas des groupuscules qui pratiquent l'ultra violence, on risque de nourrir de futures déflagrations mondiales. D'où l'urgence d'écouter partout les esprits modérés, et de les soutenir.
LE FIGARO. – Le meurtre d'Ilan Halimi est un acte d'une cruauté inédite dans l'histoire récente de la France. Renvoie-t-il à une défaite de l'ordre civilisé ?
Boris CYRULNIK. – Le luxe de cruauté dont ses ravisseurs et assassins ont fait montre à l'égard d'Ilan Halimi est d'une barbarie inouïe, et cette barbarie interroge l'ensemble de notre société. A l'heure qu'il est, nous ne savons pas encore en détail ce qui s'est passé dans le réel. Le jeune homme a été enlevé, séquestré et torturé à mort parce qu'il était juif ; aux yeux de ses assassins, les Juifs étaient supposés «avoir de l'argent». Mais nous pouvons déjà essayer d'entrer dans la tête de celui qui se qualifie de «cerveau des barbares». Et alors, on découvre un individu qui est si prisonnier de soi qu'il est incapable de se décentrer de lui-même. On peut faire l'hypothèse d'un arrêt dans le développement de l'empathie. Cette interruption est presque toujours une preuve de carences relationnelles, affectives et sociales. Elle peut survenir dans deux cas bien distincts.
Lesquels ?
Dans les situations de carence extrême, d'abord : Victor de l'Aveyron, dit l'enfant sauvage, soigné par Itard, fournit le modèle de ces petits d'hommes qui, réduits à la plus atroce solitude, ne peuvent pas se décentrer d'eux-mêmes. Songeons aussi aux enfants roumains, abandonnés dans des orphelinats. Mais on observe un arrêt du développement de l'empathie dans les situations de pléthore matérielle associée à une carence humaine. Youssouf Fofana est probablement emblématique de ce cas de figure. Le degré de perte de repères dans les banlieues des pays occidentaux riches est souvent très élevé. La jeunesse n'est pas exclue de la condition matérielle, par comparaison avec d'autres continents, mais littéralement abandonnée à domicile, livrée à elle-même et sans communication avec un Autre structurant. Tout concourt, dans la situation matérielle de ces adolescents, à autoriser le développement de leurs capacités physiques, mais tout les détourne de cultiver leur empathie.
Une des nouveautés inquiétantes du crime de Bagneux ne tient-elle pas à la – relative – banalité de la trajectoire personnelle de ses meurtriers ?
Youssouf Fofana et ses complices, impliqués, pour certains, dans des affaires de délinquance, n'ont sans doute pas eu, au cours de leur enfance et de leur jeunesse, de rencontre structurante qui leur aurait appris à visiter le monde mental d'autrui et, partant, à développer leur empathie. Mais, en un sens, ils sont emblématiques. Car les conditions d'éducation actuelles des enfants façonnent des psychologies de prédateur. Tout éthologue le sait : la lionne anticipe les mouvements de l'antilope pour mieux l'attraper. Idem de l'aigle avec les brebis : l'Autre n'est conçu que comme un objet à traquer. Quand ce fonctionnement mental prévaut entre des êtres humains, ce qui est décisif, c'est qu'à aucun moment, l'individu «prédateur» ne se représente la souffrance qu'il inflige à sa «proie». D'où le raffinement de cruauté sadique. Dans l'esprit d'un prédateur, il n'y a jamais de crime. Nous sommes aux antipodes de la culpabilité éprouvée par le personnage dostoïewskien de Raskolnikov dans Crime et Châtiment.
Comment expliquez-vous l'antisémitisme du «gang des barbares» ?
Nous sommes vraisemblablement en présence d'un antisémitisme qui ne se vit pas comme tel, d'un antisémitisme absolument inculpabilisable. Il y a tellement d'indifférence structurelle à l'Autre chez les meurtriers d'Ilan Halimi que l'antisémitisme n'a sans doute pas été le mobile principal de leur crime, mais un des déclencheurs qui a accéléré le passage à l'acte. Ils avaient une avidité d'argent. Ils étaient satisfaits de séquestrer un jeune homme en échange de la libération duquel ils espéraient extorquer une rançon élevée. La puissance du stéréotype antisémite et le mobile crapuleux se sont additionnés. La monstruosité propre de leur geste, c'est que, tout au long du calvaire qu'ils ont infligé à leur victime, les meurtriers d'Ilan Halimi ne se sont sans doute perçus ni comme des tortionnaires ni comme des antisémites. L'absence d'empathie conduit souvent à une monstrueuse innocence. Avec ce meurtre, nous découvrons un phénomène qui relève de la famille des perversions – en l'occurence la psychopathie, déni quasi absolu de l'altérité.
Peut-on dire que les individus qui ignorent ce «décentrement de soi» sont plus nombreux que jadis ?
En un certain sens, oui. Au-delà de Youssouf Fofana et de ses complices, la déculturation et la déritualisation qui frappent de larges franges de la jeunesse occidentale fabriquent des enfants dotés d'un potentiel sain, tant sur un plan physique que psychologique, mais qui n'ont pas été ouverts à l'Autre. Car les structures symboliques sur lesquelles un individu a besoin de s'étayer pour se construire leur ont fait défaut. Cette béance laisse trop souvent à l'individu le choix entre la soumission à la pulsion ou l'allégeance à une secte, à un parti politique extrême. Entre le vide de ses pulsions et un caïd qui, comme tous les dictateurs, lui procure un semblant d'idéal de soi : «C'est le chaos ou moi.» D'où la tentation de se dissoudre dans des communautés closes, de s'abandonner aux maléfices du sentiment d'appartenance, de s'anéantir dans le «groupe en fusion» analysé par Sartre. Le clan formé par Youssouf Fofana relève de ces socialisations archaïques. Et là, bien sûr, vous retrouvez la haine antisémite.
L'Etat d'absence d'empathie de Jeunes sans education structurante est utilisé par des religieux sans formation dans un combat imaginaire primitif et nocif communautaire On ne peut pas que remplir les prisons Trop de politiques et de religieux reduisent le problemes à la frustration quand c'est une deviance de transmission de valeurs
Suggest.1
Par Albert (Albert) le dimanche 26 février 2006 - 13h36: |
IL N AURA PAS DE DESCENDANCE.
Ma chére Rahélina.
Merci pour ce que tu m’as dis j n’ai pas perdu ma plume.
Elle est toujours bien entre mes doigts.
Tu sais je ne cours pas après les fêtes.
J’ai le pas un peu lourd comme m langue d’il y a 61ans.
Donc difficile à me déplacer.
J’étais donc à un henné d’une cousine à ma Colomba, le 35 ième d’ une liste qui en compte 228. Bim bourah youssif.
Scénario habituel…Décor orientale…Orchestre aussi. Avec en plus Cheikh el Afrit.
Comme toujours les salutations
-‘ Ah… ? Comment vas –tu Albert… ?’ ‘ Ca fait longtemps… !’
Bises à droite, à gauche, merci par là, salut par ici bref, du déjà vu.
Sans oublier ceux qu’on fuit bien sur. Dérobades.
Buffet un peu maigre.
Challinè, je ne viens pas pour la bouffe mais pour relever qqs curiosités que je vous ramènent ici .
Mais voilà ce soir j’ai rien relevé, j’avais l’esprit ailleurs.
30 minutes pus tard, j’ai pris place autour de la table ‘CERFEUIL’ en arabe je crois ‘Korcheuf’.
Décor connu…Mzoura ‘ baba mcha alliya’, left ‘ hléft elli je ne le mangerai plus’, variantes comme moi sorties d’un dessin made Michka, slata mech’oui’yè , rabi me yech’oui’nech,
Foul tri hattè hénè tri quif qrarzi, zitoun ekh’dar ( ekh) bref tout le bien de D ieu.
Coup de violon, dabouka et harmonium et voilà nos grosses femmes envahirent la piste comme d’habitude. Youyous devant, youyous derrière stih ou rqij…
Une bruit infernale d’autant plus que j’étais à deux mètres e la sono. Les gens de la famille sont toujours mis aux premières loges sinon tet’khe’lè. J’aurai préfère le fond de la salle. Comme ça j’aurai dit à ma femme ‘..Tu vois comme ils nous ont respectés…’
‘ ..Ils nous respectent vraiment au point que je n’entendais plus rien.. !’ Je le lui ai dis le lendemain matin alors qu’elle ronflait. Comme cela pas de querelles.
Bref, j’avais l’esprit ailleurs toute la soirée en voyant tout ces jeunes entre 15 et 30 ans cheveux ‘ gélifiés’ et costard de circonstance danser comme des fous.
Et là, j’ai eu une comme une vision .
Le jeune visage de Ilan m’est apparu car après tout pourquoi n’aurait t’il pas été là ce jeune homme…. ? Pourquoi n’aurait t’il pas eu un henné, et quatre jours plus tard son mariage… ?
Je me suis mis à imaginer sa rentrée aux bras de sa fiancée, sourires aux lèvres, et les femmes qui youyoutent, ses parents, ses sœurs et proches autour de lui à taper des mains…Des MAZEL TOV sortis des bouches de ses amis qui l’auront mis sur des chaises pour les balancer, prendre les lèvres de sa belle meuf qu’il aurait embrassé devant toute sa famille….
Les voir tous heureux …Voir la maman de la fille étalée du henné sur les paumes des jeunes filles….. Offrir des bijoux à sa fiancée, en recevoir sous l’œil de la caméra… ????
Puis recevoir plus tard , les 7 bénédictions à la syna comme tous les jeunes juifs qui aspirent à fonder une famille….
Au lieu de cela, il a reçu des prières funèbres et des éloges sous terre.
Il n’aura pas d’enfants, il ne perpétuera pas le nom ‘’’’’’’’’’’’’’’ de sa famille
Il était fils UNIIIIIIIIIIIQUE RAHEL…. !
Le barbare a effacé une branche des HALIMI pour toujours.
Par Suggest1 (Suggest1) le dimanche 26 février 2006 - 12h53: |
Evenement
http://suggest1.free.fr/EVENEMENT%20Vers.MS.doc
suggest.1
Par Matouk (Matouk) le dimanche 26 février 2006 - 12h47: |
Toutes mes condoléances à la famille de ILAN HALIMI.je condamne ce crime ignoble.
prions tous ensembles,et mobilisons nous pour que ça ne se reproduise plus jamais.ne soyons pas hypocrites, on oublions demain ce qui c est passé aujourd'hui.car je vois dans les debats televisé ou il y a enormèment d'hypocrisie de la part de certains.
Par Breitou (Breitou) le dimanche 26 février 2006 - 12h57: |
CHANSON.
Paris le 19/02/2006.
RAP POUR UN RAPT DE BARBARES.
Salut la poliIIIIce et les ‘qoffAAAAAars’ ( juifs blasphémateurs)
Que d’Adra sur cette ‘affAAAAar’ ..§§§§§§ ( affaire)
Vous parlez beauUUUUUcoup sans agIIIir…..§§§§§§§…..Moi, je parle peu mais j’agis.
Je suis le cheEEEEf des barbares..§§§§§…J’ai ‘raptè’ ‘rakettè’ rançonné
A la barbe de la police…§§§§§§…..Quelques juifs bien riIIIIches.
Le dernier je l’ai enfermé comme un raAAAAt..////
Je l’ai mutilé fumé comme un cigare..§§§§§§….Tout en récitant mes versets de coran
Aux oreilles de ses parents…§§§§§§
J’aurai pu le découper comme des tranches de lard
Mais je l’ai exsangue comme un cochon..§§§§§§§…..
Bien dommage de ne pas l’avoir bouffé, ce cafaAAAArd
L’animal est interdit par ma religion…/////
Ahaha ahaha … ! Je me suis fais la malle
Sous les yeux des gaulois, sans mal….§§§§§
Ces imbéciles avaient la tête ailleurs sans doute à surveiller la déroute
Du Clemenceau bien plus cher à leurs yeux pleins de choucroute
Qu’un IlaAAAn agonisant près d’une voie ferrée…§§§§§§
Je vais embrouiller cette justice le moment venu avec mes mensonges que j’ai sur ma liste…§§§§§§§….
Tous les juges habillés d’hermine
Sont des couilles molles, ils préfèrent s’branler sous leurs pupitres
Que de condamner la vermine ..////§§§§§
J’ai confiance en leur verdiIIIIIct
Moi, en tout cas je suis bien vivaAAAAAnt
Grâce à Allah, alors pas de panique.